8, rue Bréa
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France
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Phone number : 01 43 54 43 61 P., Saillant, Desaint, Durand, Panckoucke, 1768, in-8°, liv-498 pp, reliure veau marbré de l'époque, triple filet doré encadrant les plats, dos lisse à caissons ornés , tranches marbrées, coins émoussés, une charnière fendue et recollée, état correct. Discours sur l'origine & les révolutions des langues celtiques & françoise + dictionnaire. Ouvrage souvent attribué à tort à La Curne de Sainte Palaye. Rare (Barbier, 961-962)
Flammarion, 1993, fort pt in-4°, xi-1680 pp, plus de 1400 articles, plus de 230 cartes géopolitiques, tables et index de plus de 10.000 entrées, reliure cartonnée illustrée de l'éditeur, jaquette illustrée, bon état
Au-delà des idéologies, la géopolitique est une façon de voir le monde. Ce Dictionnaire présente une conception globale de la géopolitique : géographie des rapports de force, des tensions, des enjeux territoriaux, des revendications. Selon l'auteur, un "dictionnaire est un outil de lutte contre les ignorances et celui-ci donne, pays par pays, une sorte de répertoire simplifié des griefs réciproques et des contentieux géopolitiques". On ne s'étonnera donc pas de la diversité des thèmes traités : articles par pays, par région du monde ; articles consacrés à des villes (Hong Kong), à des fleuves (Euphrate), à des ensembles (Europe, Tiers-monde), à des mouvements politiques, à des notions juridiques (État, droit de la mer), à des thèmes (drogue). Plus qu'un dictionnaire encyclopédique, c'est un outil de citoyenneté et d'information que propose Yves Lacoste, spécialiste en géopolitique : des clés qui permettent d'analyser les arguments en présence dans un conflit, de lutter contre les idées reçues. S'adressant à un large public et enrichi de nombreuses cartes, ce dictionnaire offre à chacun une réponse à un discours médiatique souvent confus. (Mattieu Reno)
Larousse, 1993, in-8°, 288 pp, qqs illustrations, cart. illustré de l'éditeur, qqs rares surlignures, bon état
Albin Michel, 1925, gr. in-4°, 209 pp, broché, dos factice, état correct
Contient plusieurs centaines de poinçons et signatures de potiers et fabricants de faïence et porcelaine classés alphabétiquement.
SPID, 1952, gr. in-8° carré, 441 pp, imprimé sur papier pur fil, broché, couv. à rabats salie, intérieur très propre, état correct
Tome V seul (sur 6) : I. L'Essor du Libre-Echange, 1840-1878. II. Le Retour au protectionnisme, 1878-1914 (Maurice Baumont). III. L'Emprise de l'Etat sur le commerce, 1914-1950 (Paul Naudin).
Seuil, 1991-1992, 2 vol. gr. in-8°, 511 et 572 pp, 64 pl. de gravures et photos hors texte, biblio, chronologie et index dans chaque volume, brochés, couv. illustrées, bon état
De la fondation de l'ordre par Ignace de Loyola en 1540 à sa suppression en 1773 par le pape Clément XIV, Jean Lacouture propose ici, avec “Les Conquérants”, le premier volet d'un diptyque multicolore que complétera l'évocation des “Revenants” de 1814 à nos jours. En quatorze séquences, il retrace les principaux épisodes de cette histoire prodigieuse et fait surtout revivre les acteurs d'une croisade inlassablement recommencée "pour une plus grande gloire de Dieu". – Avec “les Revenants”, deuxième volet des Jésuites, Jean Lacouture poursuit la multibiographie de ces "hommes en noir", compagnons et continuateurs d'Ignace de Loyola. Supprimée en 1773, la Compagnie de jésus renaît en 1814. Après avoir été pendant plus d'un demi-siècle, les "grenadiers" d'une Eglise immobile, les Jésuites se sont portés à l'avant-garde, et leurs audaces marquent de nouveau, en profondeur, l'histoire de notre civilisation.
Hachette, 1966, gr. in-8°, 191 pp, nombreuses gravures et photos en noir et sur 8 pl. en couleurs, cart. illustré de l'éditeur, bon état
P., M-P. Trémois, 1927, in-8°, 131 pp, broché, bon état. Edition originale, un des 1000 ex. numérotés sur vergé Hollande (tirage ne comportant pas le frontispice de Dignimont)
"De ses écrits, d'une sobriété mériméenne, deux surtout sont à retenir pour leur haute signification. “Le Cachemire écarlate” nous montre un homme supérieur, de tendance janséniste, qui épouse une paysanne et quitte le plus cher de sa pensée et de son goût pour mieux lui appartenir et vivre pleinement auprès d'elle ; cette femme portait à son mari un culte trop exclusif et trop jaloux, au point qu'obligée d'aller soigner sa mère et de se tenir séparée de lui elle avait empoisonnée la malade..." (Louis Chaigne, Vies et œuvres d'écrivains, II, 1962)
P., Imprimerie Guillot, 1885, in-12, 242 pp, 15 illustrations dans le texte, modeste reliure toile noire de bibliothèque, rousseurs éparses, état correct
... Napoléon savait entretenir dans les régiments le culte du drapeau. Ses soldats avaient pour leurs aigles un attachement passionné. On vit des régiments qui avaient perdu leur étendard se faire hacher dans un héroïque désespoir. Tel le 4e de ligne. Ce régiment, à Austerlitz s'était laissé enlever son aigle. Les soldats, fanatisés par cette perte, avaient accompli des prodiges de valeur et avaient pris six drapeaux à l'ennemi. Cependant, l'empereur passant le lendemain devant le front du régiment, s'écria : - Soldats, qu'avez-vous fait de l'aigle que je vous avais donnée ?... Le colonel, sans répondre, s'approcha et lui présenta les six drapeaux pris aux Russes et aux Autrichiens. - Je sais bien, reprit Napoléon, que vous n'avez par été des lâches, mais vous avez pu être imprudents ; ces six drapeaux ne me rendent pas mon aigle. A la bataille suivante, le régiment se faisait décimer pour conquérir un nouveau drapeau...
PUF, 1962, in-8°, 124 pp, 5e édition, broché, bon état (Coll. Bibl. de Philosophie contemporaine)
"Sous ce titre, M. Lacroix groupe une série d'études sur l'homme marxiste, système et existence, la signification du doute cartésien, la croyance. Comme on le voit par ces indications, le marxisme est la seule des doctrines mentionnées dans le titre de l'ouvrage qui fasse l'objet d'un examen explicite. Celui-ci est d'ailleurs excellent, présentant sous une forme sérieuse, claire et agréable un ensemble d'idées dont l'expression est, chez bien des auteurs, fragmentaire, incohérente ou positivement défectueuse. La critique est inégale ; certaines réflexions vont loin et on regrette que l'auteur n'ait pas jugé bon de les développer ; d'autres remarques paraissent moins pertinentes et reprennent trop facilement des objections sans portée réelle. L'existentialisme n'est traité que sous la forme d'une tendance philosophique en rébellion contre l'esprit de système. Encore qu'on lise avec beaucoup de profit ce que l'auteur expose de la nécessité, des limites et des dangers de l'esprit de système en philosophie, on peut juger que c'est là un point de vue trop étroit pour accéder à la discussion des vrais problèmes que pose l'existentialisme (à commencer par celui de sa propre unité), sauf, peut-être en ce qui concerne Kierkegaard, ancêtre de plus en plus éloigné. Le personnalisme est le plus mal traité et il n'y est fait que des allusions, d'ailleurs nombreuses. On le regrettera d'autant plus que M. Lacroix est avec feu Mounier un des chefs de file de cette tendance et un des principaux collaborateurs d'Esprit, et que, par ailleurs, il nous avertit à diverses reprises que le personnalisme n'est pas à proprement parler une philosophie mais, si nous l'entendons bien, une certaine manière de comprendre et d'interpréter quelques philosophies, un refus décidé de quelques autres." (A. De Waelhens, Revue Philosophique de Louvain, 1950) — "L’auteur a réuni dans cet ouvrage des études très variées et sans lien extérieur : L’homme marxiste, Système et Existence, La signification du doute cartésien, La Croyance. Pourtant, le livre donne l’impression d’une très forte unité, et il est possible de retrouver à travers ces pages la progression d’un certain nombre de thèmes reliés par une intention bien définie, qu’on peut appeler le personnalisme, à condition de ne pas prendre ce mot au sens d’un système philosophique défini." (Roger Mehl, Revue d'Histoire et de Philosophie religieuses, 1951)
Nantes, Aux Portes du Large, 1947, gr. in-8°, viii-381 pp, préface de M. Emile Gabory, illustrations de V. Batard et R. Chapelet, peintres de Marine, une planche en couleurs des pavillons des différents armateurs de baleiniers, 101 pl. de gravures hors texte, 4 cartes sur 2 dépliants hors texte in fine, broché, jaquette illustrée, bon état
Nantes, Aux Portes du Large, 1947, gr. in-8°, 348-xxviii pp, préface du capitaine A. Marchandeau, 166 gravures et photos hors texte sur 80 pl. hors texte, un plan replié et 2 cartes dépliantes hors texte, broché, couv. illustrée avec pt mque angulaire, bon état. Edition originale, envoi a.s.
"Je profite de l'occasion pour rendre hommage aux bons, gros bouquins du capitaine Lacroix, cap-hornier, qui a bourlingué sur les sept mers du globe et qui a fourré dans ses livres, en plus des mirobolantes photographies et des documents que l'on ne trouve nulle part ailleurs, tout ce qu'il a pu apprendre et voir de ses yeux durant ses longues croisières et ses dures campagnes de mer, sans parler des aventures de mille navires et des mille et un secrets du métier dont les marins ne sont jamais chiches. Ses livres constituent l'épopée de la marine à voile, et qu'importe son tour de plume, puisque le vieux loup de mer a tant de choses à nous dire et à nous apprendre, et qu'il est profondément humain ! Le capitaine Lacroix est en train d'écrire, sans s'en douter dans sa bonhomie, l'Histoire de la marine marchande française, la vraie, et dont tout le pays se désintéresse ! C'est déjà un monument, et ça n'est pas fini..." (Blaise Cendrars, Bourlinguer, 1948)
Editions Douin, 2015, in-8°, 344 pp, 11 figures dans le texte, broché, couv. illustrée, bon état (Coll. La nouvelle bibliothèque des curieux). Réédition (texte entièrement recomposé) de l'édition de 1885
Paul Lacroix (1806-1884), plus connu sous les pseudonymes de P. L. Jacob ou du bibliophile Jacob a été l'un des plus grands érudits français du XIXe siècle. Curieux et infatigable travailleur il toucha à tous les domaines et nous laisse une somme incroyable d'écrits. Paul Lacroix a tant écrit, traduit, annoté, compilé, arrangé, édité un peu partout, que la liste complète de ses productions diverses est presque impossible à dresser. L'histoire de France, l'études des moeurs et croyances étaient ses domaines favoris. Il a été de surcroit un grand collectionneur de livres rares et de belles éditions. D'où son surnom de bibliophile Jacob.
Lyon, Amable Leroy, 1804, in-12, iv-548 pp, reliure pleine basane naturelle, dos à 5 nerfs et caissons fleuronnés, pièce de titre basane noire (rel. de l'époque), dos frotté, intérieur très propre et sans rousseurs, bon état
Important manuel de Plain-chant par le musicologue François de La Feillée (1700-1764). Le Plain-chant est un chant monophonique accompagnant des rites religieux, le plus souvent les rites chrétiens, avant la domination de la polyphonie au XIIIe siècle. Les milieux ecclésiastiques et monastiques, comme les musicologues, s'entendent maintenant pour distinguer le chant grégorien – vieux fonds « classique » de la haute époque médiévale (VIe au VIIIe siècle), du plain-chant propre au Moyen Âge tardif, et surtout à la période qui suit le Concile de Trente : simplification et modification des mélodies, déplacement des accents sur les notes longues, suppression de pièces du répertoire (notamment une grande partie des séquences), compositions originales de l'ère baroque (messes, offices et hymnes). Ce répertoire sera en usage jusqu'à la restauration de Solesmes et à l'édition de la Vaticane, au début du XXe siècle. Dernière édition augmentée, revue et corrigée, de cet ouvrage très développé, recueil de musique gravée. L'avertissement est très intéressant, montrant l'effort fait pour adapter le plain-chant aux principes et aux règles de la musique.
Laffont, 1980, 7 vol. in-8°, xii-882, 854, 856, 856, 852, 775 et 300 pp, index, brochés, sous coffret, bon état
Tome 1 : Aa-Co ; Tome 2 : Co-Fa ; Tome 3 : Fa-Jo; Tome 4 : Jo-Oeu; Tome 5 : Oeu-Ru; Tome 6 : Sa-Zu ; Tome 7 : Index. — "Le Dictionnaire des Oeuvres constitue une "somme" d'autant plus nécessaire à l'homme moderne que les références dont a besoin celui-ci sont aujourd'hui plus étendues, non seulement dans le temps, mais dans l'espace. Depuis quelques siècles, la multiplication des ouvrages de l'esprit a été si rapide qu'une vie entière ne suffirait pas à parcourir les plus justement célèbres. Le monde occidental s'est étendu aux Amériques ; le monde oriental est devenu un élément nécessaire de toute culture complète. Non seulement il ne serait plus possible de tout lire, mais il serait fou de l'essayer. Tantôt le titre d'un ouvrage a été prononcé devant nous avec éloge, tantôt une allusion à un auteur a été faite par un critique que nous estimons ; parfois la lecture d'un livre, ou même d'une phrase de tel écrivain nous donne envie de connaître le reste de son oeuvre. C'est ici qu'intervient ce dictionnaire. Non seulement il m'apprendra les titres des oeuvres, mais il me donnera l'analyse des plus importantes. Le journaliste, l'écrivain, et tout simplement l'honnête homme, ont à tout moment besoin d'un renseignement sur des disciplines qui leur sont étrangères, et cela dans tous les langages. Ils trouveront, dans cet ouvrage, l'analyse de vingt mille oeuvres de toutes natures, qui couvrent les champs les plus variés. C'est une lecture fascinante et précieuse..." (André Maurois)
Emile-Paul, 1936, in-12, 237 pp, 16 gravures hors texte, index, imprimé sur beau papier, broché, bon état
"Dans ce volume orné de fort intéressants portraits, signalons les chapitres sur les La Force et le chapitre XIII, Metternich intime : on le voit hôte maussade du peu séduisant Hôtel du Prince de Galles (aujourd'hui place Beauvau) et amoureux platonique de la toute belle Constance de Lamoignon, comtesse de Caumont la Force, amour qui dura autant que la vie de la comtesse. Cela n'empêcha pas le diplomate d'avoir successivement trois femmes, plus sa liaison très positive (mais Constance était morte depuis très longtemps) avec la princesse de Lieven. La tendresse, et même celle qu'il eut pour ses filles, toutes deux enlevées douloureusement à son coeur de père, se joignait à son inconcevable fatuité. Citons aussi des pages assez piquantes sur Chateaubriand à Rome et sur les Mémoires d'outre-tombe." (Henri Hauser, Revue Historique, 1938)
Bordas, 1968, gr. in-8°, 448 pp, 40 pl. en héliogravure hors texte en noir et en couleurs, cart. illustré de l'éditeur, état correct
Bordas, 1962, gr. in-8°, 416 pp, 40 planches en héliogravure en noir et en couleurs hors texte, cartes, cart. illustré de l'éditeur, dos lég. abîmé, état correct
Maisonneuve & Larose, 1966, in-8°, 306 pp, 28 figures et cartes et 32 pl. de photos h.t., une carte dépliante h.t., biblio, cart. éd. , jaquette illustrée (Coll. "Techniques agricoles et productions tropicales" tome IX, collection dirigée par René Coste)
P., Gabon, 1828, 2 vol. in-8°, xxviii-539 et 522 pp, reliure demi-veau glacé, dos lisses trés ornés, pièces de titre et de tomaisons basane noire, tranches jaspées. Bel exemplaire dans une reliure moderne trés décorative
Tallandier/Historia, 2000, in-4°, 160 pp, nombreuses illustrations et documents en couleurs, index, cart. éditeur illustré
Belin, 2003, in-8°, 564 pp, notes, biblio, broché, bon état (Coll. Socio-histoires)
Trop souvent encore, la politique est réduite à son personnel, à ses partis, à leur concurrence et à leurs crises. Prendre la politique sous l'angle de la politisation, permet d'élargir le champ d'investigation à toutes les modalités, militantes ou professionnelles, d'entrée en politique, de volonté ou de refus d'en faire. C'est d'abord circonscrire l'objet dans la diversité des sociétés qui l'ont inventé, chacune à sa manière et à son rythme ; c'est faire leur place aux processus sociaux collectifs – les "mœurs" – comme aux groupes et individus, institutions et croyances, activités économiques et pratiques culturelles qui façonnent l'espace de la politique. Jacques Lagroye a pu réunir, pour cette entreprise intellectuelle, une pléiade d'auteurs qui sont parmi les meilleurs spécialistes de science politique en France, et qui sont tous attachés à cette façon de travailler. Le lecteur découvrira donc, à travers des enquêtes originales et des observations de première main, ce qu'est la politisation et ses processus : par exemple, le clientélisme, le journalisme politique, le rôle des hauts fonctionnaires, l'entrée des magistrats en politique, l'engagement humanitaire hors des partis, ou bien encore la participation politique des femmes, les comportements électoraux, la définition des actions publiques, la vocation politique et le militantisme au sein des associations.
La Découverte, 2004, gr. in-8°, 777 pp, annexes, biblio, broché, couv. illustrée, qqs rares surlignures au stabilo jaune, bon état (Coll. Textes à l'appui)
De caricatures en vulgarisations schématiques des travaux sociologiques, on a fini par penser que nos sociétés, marquées par le maintien de grandes inégalités sociales d'accès à la culture, étaient réductibles à un tableau assez simple : des classes dominantes cultivées, des classes moyennes caractérisées par une "bonne volonté culturelle" et des classes dominées tenues à distance de la culture. Dans ce livre qui combine solidité argumentative et ampleur du matériau empirique, Bernard Lahire propose de transformer cette vision simpliste. Il met ainsi en lumière un fait fondamental : la frontière entre la "haute culture" et la "sous-culture" ou le "simple divertissement" ne sépare pas seulement les classes sociales, mais partage les différentes pratiques et préférences culturelles des mêmes individus, dans toutes les classes de la société. Il montre qu'une majorité d'individus présentent des profils dissonants qui associent des pratiques culturelles allant des plus légitimes aux moins légitimes. Si le monde social est un champ de luttes, les individus sont souvent eux-mêmes les arènes d'une lutte des classements, d'une lutte de soi contre soi. Une nouvelle image du monde social apparaît alors, qui ne néglige pas les singularités individuelles et évite la caricature culturelle des groupes.