(L'histoire de la Régence et des premières années du règne de Louis XIV. L'exemplaire de la bibliothèque de Madame Victoire de France (1733-1799), fille de Louis XV, en maroquin olive à ses armes et avec son ex libris gravé sur cuivre) JOLY GUI. (16.. - 1678) "MEMOIRES DE GUI JOLY CONSEILLER AU CHATELET & C. : CONTENANT L'HISTOIRE DE LA REGENCE D'ANNE D'AUTRICHE & DES PREMIERES ANNEES DE LA MAJORITE DE LOUIS XIV, JUSQU'EN 1666. LES INTRIGUES DU CARDINAL DE RETZ A LA COUR... NOUVELLE EDITION". 1738-1739, Amsterdam, J.F. Bernard. 2 tomes en 2 volumes in-12° (157x101 mm) (dimensions pages 154x96 mm) I : (7) ff. (titre, dédicace et avertissement), 244 pp., (1) f. b. ; II : (1) f. (titre), 300 pp., (2) ff. b. (I : (1) f., *6, A-P8, Q2 ; II : (1) f., A-T8) Reliure de l'époque en maroquin olive. triple filet doré d'encadrement et armoiries dorées au centre des plats. Dos à cinq nerfs avec fleurons et décorations dorés et pièces de titre et de tomaison en maroquin citron. Filet doré sur les coupes. Tranches dorées. Gardes de papier décoré. Deuxième édition (la première est de 1718, toujours en deux tomes) Quelques petites usures sur les coupes et à trois angles inférieurs des reliures. Plats supérieurs insolés, mais séduisant exemplaire, frais et assez bien conservé. Ces mémoires de Gui Joly, sécretaire du cardinal de Retz, furent publiés quelques année plus tard des mémoires du cardinal de Retz, pour les équilibrer et sont l'important témoignage d'une des périodes les plus difficiles et délicates pour la monarchie française et pour le futur règne de Louis XIV. "Le ministère du Cardinal Richelieu étant devenu odieux, la nouvelle de sa mort fut reçue généralement dans toute la France avec des témoignages & des sentimens d'une joye qu'on ne peut assez exprimer ; & même comme cette mort fut bientôt suivie de celle du Roi Louis XIII, & que la Régence fut donnée à la Reine, cette joye fut extrêmememnt augmentée par l'expérance qu'on eut d'un changement avantageux...". "... mais comme on remarqua bientôt après que la Reine en changeant d'état avoit aussi changé d'humeur & de sentiment ; comme on vit qu'elle remettoit le gouvernement du Royaume, & le soin des affaires au Cardinal Mazarin... de sorte qu'elle tomba dans le mépris de la plupart des grands Seigneurs & autres personnes de qualité...". Joly exemplaire aux armoiries dorées de la Princesse Victoire Marie Louise Thérèse de France (1733-1799), dite Madame Victoire, cinquième fille de Louis XV. Née à Versailles le 11 mai 1733 est l'une des huit filles de Louis XV et Marie Lesczynska. Elevée à partir de 1738 par les religieuses de l'abbaye de Fontevrault, elle revient à la cour en mars 1748. Très proche de sa mère, la reine Marie Lesczinska, de fon frère le dauphin Louis-Ferdinand et de ses soeurs, elle souffre avec eux des adultères du roi, de la rigidité du protocole, de la bassesse des courtisans et se retire à peu à peu, comme le font également ses proches, de la vie mondaine de la cour. Elle est affectueusement surnommée "Coche" par son père. A la révolution elle sera contrainte de quitter la France, avec sa soeur aînée, Madame Adelaïde, et de se réfugier en Italie où, après plusieurs déplacements, voir fuites, elle mourra en 1799. Madame Victoire possédait une riche bibliothèque de près de 6.000 volumes. Composé d'une pièce principale et d'un supplément dans l'entresol, cette bibliothèque est toujours existante et visible au château de Versailles. "Les livres de Mesdames sortaient des mains des mêmes relieurs, Fournier, qui tenait boutique à Versailles, dans le vestibule du château, et suivait la cour dans ses déplacements, et Vente, à la fois libraire et relieur. Ces volumes ne différaient que par la couleur du maroquin ; Madame Adelaïde avait adopté le rouge, Madame Victoire le vert et Madame Sophie le citron. Calquée en quelque sorte l'une sur l'autre, ces trois collections ne contenaient que des ouvrages d'un goût sévère et conforme aux habitudes de recueillement et de dévotion que les princesses avaient conservé de leur éducation religieuse". (E. Quentin Bauchart, Les femmes bibliophiles, II, pp. 127-128) Provenance : Ex libris gravé sur cuivre de la bibliothèque de Madame Victoire au verso du premier plat de chaque tome. (Quérard, IV, 233) (LCPCRELI-0019)
(L'histoire de la Régence et des premières années du règne de Louis XIV. L'exemplaire de la bibliothèque de Madame Victoire de France (1733-1799), fille de Louis XV, en maroquin olive à ses armes et avec son ex libris gravé sur cuivre)
Paris, Pillet, 1815-1816 5 vol. in-12, veau blond, dos lisses ornés de filets, guirlandes et fleurons dorés, pièces de titre et de tomaison noires, encadrement de volutes dorées sur les plats, tortillon doré sur les coupes, tranches dorées, guirlande dorée en encadrement sur les contreplats (reliure de l'époque).
Les volumes proviennent de deux éditions différentes. La première édition sous forme de livre avait été donnée encore sous l'Empire, en 1812-14, et les différents articles qui la composent avaient d'abord paru dans la Gazette de France.Étienne de Jouy (1764-1846) était alors plus connu comme dramaturge, mais ce fut cette série des Hermites, souvent drôle et mordante, dont nous présentons le premier titre, qui lui permit de survivre au jugement de la postérité. S'ensuivirent en effet Le Franc-Parleur, suite de l'Hermite de la Chaussée d'Antin (1815, deux volumes), L'Hermite de la Guyane (1816, trois volumes) et L'Hermite en province (à partir de 1818, 14 volumes). À chaque fois, il s'agit d'un ensemble de tableaux piquants des scènes de la vie parisienne. Le succès en fut à l'époque considérable ; et aujourd'hui, ils présentent le plus grand intérêt pour la connaissance de la société du début du XIXe siècle, avant même les magistrales descriptions de Balzac.I. - II. [2] ff. n. ch., vj pp., 396 pp., avec 2 planches gravées sur cuivre par Coupé d'après Desenne, dont un frontispice. - III. [2] ff. n. ch., 356 pp., avec 2 planches gravées sur cuivre par Coupé d'après Desenne, dont un frontispice. - IV. [2] ff. n. ch.,iij pp., 372 pp., avec 2 planches gravées sur cuivre par Coupé d'après Desenne, dont un frontispice. - V. [2] ff. n. ch., 348 pp., avec 2 planches gravées sur cuivre par Coupé d'après Desenne, dont un frontispice. Quérard IV, 258.Bel exemplaire.Précieux exemplaire de la Duchesse de Berry, avec armes dorées poussées au centre des plats et vignette ex-libris Bibliothèque de Rosny, contrecollée sur les premières gardes. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
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Roma Tipografia della R. Accademia naz. dei Lincei del dott. Giovanni Bardi 1932 In-4° (287 x 207 mm), XX - 504 pp. - [1] f. bl., et [1] tableau entre les pp. 40 et 41, chagrin bleu roi, dos lisse orné, plats poncés avec encadrement de filets, armes au centre du plat supérieure, roulette intérieure à froid, tête dorées, non rogné en gouttière et en queue (C.GLINGLER-ROMA, reliure de l'époque).
Exemplaire en reliure signée du roi d'Italie Victor-Emmanuel III Il a été abondamment souligné au crayon bleu et à l'encre noir. Il s'agit de l'édition originale du troisième volume publié par la commission italienne pour l'étude des grandes calamités sous l'égide de l'Académie des Lyncéens. Cette publication aborde en 2 parties et XXI chapitres, tout d'abord les exodes : de nature économique (I - exode irlandais de 1846, II - émigration italienne, III - les croisades), pour cause de persécution religieuse (IV - expulsion des juifs d'Europe dés débuts jusqu'au XVIe siècle, V - des maures d'Espagne, VI - des protestants de France, VII - émigration des juifs de Russie avant la guerre mondiale), pour cause de persécution ou événements politiques (VIII - exode des juifs d'Ukraine de 1919 à 1923, IX - les réfugiés russes après la révolution de 1917, X - les réfugiés bulgares, XI - Exode des grecs de l'Asie mineure et de la Thrace orientale, XII - Les réfugiés arméniens, XIII - les réfugiés de guerre). Et ensuite : les famines en Europe à travers le temps (XIV - les famines du moyen age, XV - les famines durant la « guerre de trente ans », XVI - la famine de 1709 en France, XVII - la famine en Irlande en 1846-47, XVIII - la dénutrition chronique des populations de la Galice au XIXe siècle, XIX - les famines en Russie, XX - la famine en Russie en 1921-22, XXI - la faim causée par la guerre mondiale) Quelques griffures, dos légérement passé.
Paris Eugène Renduel 1833 In-8° (222 x 138 mm), [1] pl. - 413 pp. - [1] f., demi-basane verte, dos lisse orné de filets, armes en pied (reliure de l'époque)
DE LA BIBLIOTHÈQUE DU FILS DE MARÉCHAL DE BESSIÈRES, FIDÈLE DE NAPOLÉON. Édition originale illustrée en frontispice d'une lithographie de Jean Gigoux. Dans ce roman de moeurs, un vieillard, découvrant que son épouse est enceinte d'un autre, jure de se venger. Avec ce premier ouvrage, Jules Lacroix s'inscrit dans les traces de son déjà célèbre frère aîné, Paul Lacroix dit « le bibliophile Jacob », auquel le récit est dédié : « Je viens d'écrire la première page de mon roman, qui par malheur n'est pas historique, mais il est vrai peut-être. [...] En tous cas, c'est dans tes livres que je peux apprendre à nouer solidement une action, sans jamais en embrouiller le fil, à créer de ces caractères, types en naissant, qui reflètent leur époque, qui vivent sous ta plume [...] » (p. 20) Jules Lacroix publiera plusieurs romans inspirés par le mélodrame (Corps sans âme, 1834 ; Une fleur à vendre, 1835 ; Le Tentateur, 1836...) ainsi que des pièces dramatiques et traductions de Sophocle et Shakespeare. PROVENANCE : Napoléon Bessières (1802-1856), 2e duc d'Istrie et fils de Jean-Baptiste Bessières, duc d'Istrie et général de Napoléon Bonaparte. Armes en pied du dos. On connaît un autre ouvrage de sa bibliothèque, relié à l'identique. Remarqué par Napoléon Bonaparte lors de la campagne d'Italie, Jean-Baptiste Bessières participe à l'expédition d'Égypte en tant que commandant du corps des guides à cheval. En 1804, il est élevé à la dignité de maréchal de l'Empire et fait grand officier de la légion d'honneur. Bessières père participe aux batailles d'Austerlitz, Eylau, Essling et Wagram, à la guerre d'Espagne et à la campagne de Russie. Parfois critiqué par ses pairs (Marmont commente : « Si Bessières est maréchal, tout le monde peut l'être. »), le fidèle Bessières bénéficie néanmoins de l'entière confiance de Bonaparte, qui juge pour sa part : « Bessières était un officier de réserve plein de vigueur, mais prudent et circonspect. On le verra dans toutes les grandes batailles rendre les plus grands services. » Frappé par un boulet de canon à l'ouverture de la campagne de Saxe, il meurt le 1er mai 1813, laissant sa famille sans fortune. Bonaparte écrit à sa veuve : « Ma cousine, votre mari est mort au champ d'honneur ! La perte que vous faites, vous et vos enfants, est grande, sans doute, mais la mienne l'est davantage encore : le duc d'Istrie est mort de la plus belle mort et sans souffrir ; il laisse une réputation sans tache ; c'est le plus bel héritage qu'il ait pu léguer à ses enfants. Ma protection leur est acquise ; ils héritent aussi de l'affection que je portais à leur père. » Son fils Napoléon Bessières est en effet inscrit au testament de Bonaparte pour un don de 100 000 francs. Louis XVIII le récompense à son tour pour les services du premier duc d'Istrie et le nomme à la Chambre de pairs. Il siège à la Chambre haute sous le gouvernement de Louis-Philippe Ier. Quelques indications au crayon en marge. Rousseurs marginales, quelques manques de papier marginaux. Reliure frottée. 1 exemplaire en bibliothèque française (BnF Tolbiac)
1750 Amsterdam, par La Compagnie, 1750; in-12°, plein veau fauve marbré , dos à nerfs orné de rosaces et petits fers doré dans chaque compartiment de double filet doré, titre doré sur étiquette de maroquin vieux-rouge, tranches jaunes mouchetées de rouge, armoiries dorées au centre des plats; (2)pp. ( titre imprimé en noir et rouge), 271pp. Ex-libris manuscrit sur petite étiquette au 1er contreplat “Jean Gardet 1769“. Initiales B.G. sur la garde blanche. Exemplaire provenant de la Bibliothèque des Pavée de Vendeuvre , avec leurs armoiries dorées au centre des plats ( au et la devise "Ardeo, persevero, spero“ (armoiries poussées au 19ème siècle).
Ce volume renferme notamment les Mémoires de La Fare sur la Cour de Louis XIV. L’auteur ( 1644-1702), était originaire de Valgorge en Vivarais. Bon exemplaire, coiffes légèrement frottées avec très petit manque à la coiffe supérieure. (Reu-Bur)
Saint-Germain-en-Laye, Imprimerie Th. Lancelin, 1872. Plaquette in-12, demi chagrin écrasé époque, dos à nerfs, titre doré, date dorée en pied, armes dorées de Pavée de Vendeuvre sur les plats. 90 pp. Rare ouvrage illustré de 3 planches dépliantes en fin de volume. Coiffes et coins légèrement frottés, quelques rousseurs, papier gondolé.
Constantinople (Amsterdam), sans éditeur, sans date (1699). 2 parties en 1 volume in-12, en plein veau postérieur (deuxième moitié XVIIIème), au dos lisse orné de fleurons dorés et aux plats ornés d'armoiries dorées, avec couronne de comte, non identifiées. 2 ff, 205-(1) pp, 229-(1) pp. Illustré d'un frontispice, et de 10 planches en taille douce représentant les favorites. Craquelures aux dos, frottements au mors, restaurations aux mors, aux coiffes, aux coins et sur le plat inférieur, rousseurs.
À Paris, Chez G.-C. Hubert, 1821.
Édition originale in-12 finement reliée par René Simier aux armes de Marie-Caroline de Bourbon(170x100mm), veau glacé olive, dos lisse orné de filets, encadrement doré sur les plats, filet doré sur les coupes et roulette sur les chasses, 274pp; 315pp. Ex-libris de la Bibliothèque de Rosny appliqués sur les contreplats. Propriétaire du Château de Rosny -dès 1818-, Marie-Caroline de Bourbon (Duchesse du Berry, 1798-1870) mécène des arts et épouse du Duc de Berry n'a cessé de se passionner pour la littérature et ce qui s'y rapporte au point de rassembler l'une des plus fabuleuses bibliothèques de l'époque : 8000 volumes pour la plupart reliés par René Simier (1772-1843) -relieur de l'impératrice Marie-Louise, puis de Louis XVIII et de Charles X, installé 152 rue Saint-Honoré à Paris-. La bibliothèque du Château de Rosny fut constituée avec le concours de M. Thoury et du conservateur de la Bibliothèque Mazarine, André Osmond. S'y côtoyaient manuscrits, livres de science et de botanique, des ouvrages d'histoire, de littérature française et étrangère. Après une première vente à Londres en 1831 de quelques centaines de livres, Marie-Caroline de Bourbon se sépare de sa bibliothèque de Rosny 6 ans plus tard en 1837. Philippe-Jacques de Laroche (dit Hubert, 1765-1837) est un dramaturge dont les pièces ont été représentées sur les plus grandes scènes parisiennes. Traces d'auréoles bas de pages (vol1), rares rousseurs, coins lég émoussés, exemplaires en très bonne condition.
Le Puy, Imprimerie Marchessou, 1892 in-8, [2] ff. n. ch., 69 pp., demi-maroquin à grain long bleu nuit, dos à nerfs, armes sur le contreplat, tête dorée, couverture conservée (reliure de l'époque). Dos légèrement insolé.
Extrait des Mémoires de la Société agricole et scientifique de la Haute-Loire, tome VI. Unique édition, peu commune.Au CCF, exemplaires à la BnF, à la Mazarine, à Clermont et Montpellier.Exemplaire aux armes du marquis des Roys [Ernest-Gabriel, marquis des Roys de Lédignan Saint-Michel, 1836-1903], et vignette ex-libris contrecollée sur les premières gardes.Bel exemplaire. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Paris, sans nom, 1877. In-folio, plein veau gaufré signé Thierry successeur de Petit-Simier, dos à nerfs orné de filets estampés à froid, d'un aigle doré en pied et d'un motif doré en tête, titre doré, date dorée en pied, plats encadrés d'un triple filet à froid et ornés en leur centre des armes dorées de la famille La Trémoille, coupes et chasses ornées de roulettes dorées, tranche supérieure dorée, faux-titre, titre, 447 pp, 2 pp non chiffrées. Tirage limité numérotés à 200 exemplaires sur papier vergé, celui-ci portant le numéro 90. Ouvrage illustré d'un de frontispice, de 4 planches hors texte et 26 planches contenant 45 sceaux. Envoi de Louis de La Trémoille au marquis de Chateaurenard, daté de 1878, sur la page de faux-titre. Coins et coiffes légèrement frottés, petite traces blanches et griffures légères au plat inférieur, rousseurs éparses, très bel exemplaire néanmoins.
L'ouvrage est divisé en sept parties: Première partie, Filiation de la branche aînée; Deuxième partie, Puinés de la branche aînée; Troisième partie, Les batards des aînés; Quatrième partie, Branche de Royan; Cinquième partie, Branche de Noirmoutier; Sixième partie, Première branche de Talmond; Septième partie, Seconde branche de Talmond.
Paris, Chaubert, 1753. In-16, plein veau époque, dos lisse orné de filets et de fleurons dorés, titre doré, III, 5 pp non chiffrées, 371 pp. Livres aux armes de Jean-Thierry Fagnier de Vienne (1698-1769), conseiller clerc à la Grand Chambre du Parlement de Paris, abbé commendataire de Bonne Fontaine (Diocèse de Reims). Dos craquelé, certains cahiers déréglés, dorures des armes un peu effacées.
imprimerie royale 1752 2 in-4 A Paris, De l'imprimerie royale, 1752-1754, 2 volumes in-4 de 215x285 mm environ, XV, 203 - VII, 333 pages, contenant 2 vignettes de titre dont une de Cochin et 3 bandeaux de N. Cochin. Pleine reliure marbrée d'époque aux armes de Louis XV, dos à cinq nerfs portant titres dorés sur pièces de cuir bordeaux, caissons ornés de fers royaux, plats encadrés de triple filet doré, fer central aux armes royales (armoiries dans un écu ovale ceint des colliers de Saint-Michel et du Saint-Esprit), roulette dorée sur les coupes, tranches mouchetées rouges, gardes de papier marbré à la coquille. Exemplaires solides mais reliures abimées (coiffes manquantes, tranchefiles apparentes et l'une d'elle abimée, mors fendus, coins dénudés, griffures sur les plats), ex libris du médecin états-unien Jacob Solis Cohen collé sur les contreplats, des cernes sur les gardes volantes, rares rousseurs sinon intérieur frais.
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Paris, Jacques Barois Fils, 1739. Avec Approbation & Privilège du Roy. 2 volumes in-12, plein maroquin rouge, triple filet doré autour des plats, armes poussées au centre des plats, triple filet doré en encadrement, dos à nerfs orné de fers dorés, pièces de titre et de tomaison de maroquin olive, tranches dorées. Reliure de l’époque. 163 x 96 mm. EDITION ORIGINALE DE LA PLUS GRANDE RARETE. Elle était ainsi décrite dans le catalogue James de Rothschild, n° 1300 : « Première édition de ce recueil. Tome premier : 2 ff. et 420 pp. Ce volume contient : Le Traitre puni, comédie imitée de l'espagnol de Don Francisco de Rojas (La Traicion busca el castigo) ; Don Felix de Mendoce, comédie imitée de Don Lope de Vega Carpio (Guardar y Guardar se) ; Le Point d'honneur comédie imitée de Don Francisco de Rojas, (No ay amigo para amigo) et La Tontine comédie en un acte. Tome second : 2 ff, 389 pp. et 1 f. pour le Privilège - Ce volume contient : D. Cesar Ursin, comédie imitée de Don Pedro Calderon De La Barca (Peor esta que estava) ; Crispin rival de son maistre, comédie, Turcaret, comédie ; Critique de la comédie de Turcaret, par le Diable boiteux, dialogue divisé en deux parties. Le privilège, daté du 22 août 1738, est accordé pour neuf ans à Le Sage, qui déclare céder son droit à Jacques Barois fils. Exemplaire de M. E. QUENTIN-BAUCHART (Mes Livres, n° 128). Haut : 163 mm. ». Le présent exemplaire mesure aussi 163 mm. PRECIEUX ET BEL EXEMPLAIRE RELIE EN MAROQUIN ROUGE AUX ARMES DE LA COMTESSE DE PROVENCE (1753-1810).
Angers, Mame aîné, 1827 in-12, [2] ff. n. ch., iv pp., 382 pp., maroquin cerise à long grain, dos à nerfs orné de pointillés, filets et guirlandes dorés, symboles religieux poussés dans les entre-nerfs (calices, ciboires, monstrances, tiare, mitre et crosse), encadrement de dent-de-rat, simple filet et double guirlande dorés avec fleurons d'angle sur les plats, hachuré doré sur les coupes, tranches dorées, guirlande dorée en encadrement sur les contreplats (reliure de l'époque). Rousseurs abondantes.
Très intéressante publication, donnée à l'initiative des Dames de la retraite de la Société de Marie, d'Angers, qui signent la dédicace à Mgr Montault-Desilles. La Société de Marie d'Angers était de fondation récente (1823, par Louise-Marie du Cléguer), mais elle reprenait une tradition qui s'enracinait dans le XVIIe siècle.La première partie de notre ouvrage est formée par une nouvelle édition des Lettres sur la nécessité de la retraite (Paris, 1682) du Jésuite Louis Le Valois (1639-1700), dont le principal apostolat fut précisément de donner des retraites tant aux membres du clergé qu'aux gens du monde. La seconde regroupe des biographies de personnes des deux sexes investies dans cette oeuvre des retraites spirituelles (Catherine de Francheville, fondatrice des Soeurs de la Retraite de Vannes ; Mme de Forsans, etc.), ainsi que des détails sur le rétablissement des maisons de retraite dans le Finistère, l'Ille-et-Vilaine, et le Maine-et-Loire.Backer & Sommervogel VIII, 421-22 (sub 2).Bel exemplaire.Exemplaire de prix décerné le 17 septembre 1831 à Mlle Lucrèce Mereuil par le Pensionnat des dames de la retraite à Angers.Aussi, les armes de Charles Barbier de Montaut-Desilles (1755-1839), évêque d'Angers de 1802 à sa mort et dédicataire de l'ouvrage, poussées au centre des plats, ne constituent-elles pas une marque d'appartenance, mais une distinction propre à certains livres de prix approuvés par le diocèse (OHR 2113-3). - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
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Paris, Antoine Dezallier, 1715 in-8, [3] ff. n. ch. (titre et dédicace), xxxij pp., 659 pp., [4] pp. n. ch. de privilège, texte entièrement réglé, avec 4 planches hors texte, découpe à la page 1, avec perte de texte, maroquin vieux-rouge, dos à nerfs cloisonné et orné d'entrelacs à fleur de lis centrale, grand décor à la fanfare sur les plats, tranches dorées, guirlande dorée en encadrement sur les contreplats, gardes fixes doublées de papier doré à motifs floraux (reliure de l'époque).
Précieux exemplaire aux armes simplifiées de Marie-Béatrice de Modène-Este (1658-1718), seconde épouse (depuis 1672) du roi d'Angleterre et d'Écosse Jacques II. Il est à noter que, pour cette reliure réalisée a priori pendant l'exil de Saint-Germain, l'écu des Este a été réduit à son meuble originel (l'aigle d'argent), ce qui fait différer notablement ces armes de celles que l'on avait adoptées pendant le règne effectif de Jacques II. Cette provenance apparaît comme des plus rares.Ex-dono manuscrit en regard de la dédicace : "À moi doné par Madme la Princesse d'Albanie à Florence". On pense naturellement à un cadeau effectué par Louise-Maximilienne, princesse de Stolberg-Gedern, et comtesse d'Albany (1752- 1824), l'épouse de l'avant-dernier prétendant Stuart, Charles-Édouard (1720-1788). À la fin de sa vie, elle résidait effectivement à Florence où elle mourut. L'ouvrage a dû lui être transmis par son mari, petit-fils de Marie de Modène. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
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Paris, Philippe-Denys Pierres, s.d. (1787) petit in-8, xvj-176 pp., imprimées sur grand papier vélin, avec une grande carte dépliante "in fine" gravée par Tardieu et imprimée sur soie, maroquin vieux-rouge, dos lisse cloisonné et orné alternativement de lions et d'alérions dorés, encadrement de triple filet doré sur les plats avec lyres dorées en écoinçon, simple filet doré sur les coupes, tranches dorées, guirlande intérieure, gardes doublées de tabis vert (reliure de l'époque).
Exemplaire sans doute unique, imprimée pour le Ministre Calonne, sur grand papier et avec la carte imprimée sur soie.C'est la nouvelle dénomination de la traditionnelle Liste générale des postes de France, publiée depuis 1707, mais ce titre ne fut employé que de 1787 à 1793.Année rare.Nougaret, Bibliographie de l'histoire postale, 1659.Exemplaire aux armes de Charles-Alexandre de Calonne (1734-1802), contrôleur général des finances. C'est sous son administration qu'est placée le service des postes.O.H.R. 1030-2.Bel exemplaire. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
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Parisiis, Stephanum Michallet, 1691. Pet. in-8, rel. pl. bas. mouchetée de l'ép., dos à 5 nerfs, caissons dorés fleuris aux fers dorés, armes dorées sur les plats, roulette dorée sur les coupes, tranches mouchetées ; [16]ff.-219pp.-[12]ff. Cachet.
Aux armes de Bazin de Bezons (Olivier, Hermal et Roton, 1320). Ex libris Ex Bibliotheca Seminarii Carcassonensis. Coiffe de tête absente, frottements aux mors et aux coins, rousseurs angulaires sur les premières pp., bel ex. au demeurant. - Frais de port : -France 4,95 € -U.E. 9 € -Monde (z B : 15 €) (z C : 25 €)
In-8 (200 x 125 mm), plein maroquin rouge de l'époque, dos à 5 nerfs rehaussés d'une roulette dorée et orné de caissons cloisonnés et fleuronnés au chiffre de Louis-Philippe d'Orléans, plats encadrés d'une roulette dorée aux fleurs de lys et frappés au centre des armes du même, coupes et coiffes filetées, tranches dorées, roulette intérieure dorée, xxxvj, 631 p., beau titre-frontispice gravé en taille-douce. Paris, d'Houry, 1745.
Très bel exemplaire de dédicace, reliure de maroquin rouge aux armes du duc d'Orléans dédicataire de l'ouvrage.Louis-Philippe d'Orléans (1725-1785), duc de Chartres puis, après 1752, duc d'Orléans, de Valois, de Nemours et de Montpensier, premier prince du sang, était le petit-fils du Régent, le père de Philippe-Égalité et le grand-père du roi Louis-Philippe.Guigard attribue le fer à Philippe-Égalité.(OHR, pl. 2572:1. Guigard, I, 40).Très bel exemplaire.
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La Haye, 1743. 2 ouvrages reliés en un volume in-12 de (2) ff., 251 pp., (1) f., 263 pp. Veau marbré glacé de l’époque, encadrement de triple filet doré autour des plats, armoiries frappées or au centre, dos lisse dos lisse orné de filets et fleurons dorés, pièce de titre de maroquin rouge, filet or sur les coupes, roulette intérieure dorée, tranches dorées sur marbrures. Reliure armoriée de l’époque. 161 x 94 mm. TRES RARE EDITION ORIGINALE DE CES DEUX CONTES DE FEES DE MARGUERITE DE LUBERT LA « Muse et Grâce » DE VOLTAIRE. Un auteur éminemment de son temps. « Avec les contes de Mlle de Lubert, on a affaire à une littérature qui se plaît à faire de la lecture un véritable enjeu de l'écriture. Ils se rapprochent de ce fait des contes parodiques et licencieux qui leur sont contemporains sur le terrain d'une désorganisation de l'économie narrative. Au fil de ses intrigues tortueuses, cette conteuse cherche à suspendre le récit, à ébaucher ou escamoter des possibles narratifs, procédant par surenchère avec les codes du roman de l'époque, pour mettre à mal le genre. La mécanique bien huilée des contes de fées se trouve ainsi bien souvent enrayée par celle du désir, que le conte entend épouser au risque de frôler le dysfonctionnement » (Blandine Gonssollin, Les Contes de Mlle de Lubert : des petites machines à lire et à écrire). Rois poltrons ou dirigeants tyranniques vont être détrônés par le ridicule et le monstrueux que soutient la féerie. Sous la satire merveilleuse, la cour devient un microcosme mortifère, et la critique s’étend même jusqu’au sein des salons précieux. Forte des leçons de politique qu’elle transmet par ses contes, Mlle de Lubert rend la féerie utile à la philosophie. Qui se méfie d’un conte de fées ? On y peut tout dire. La préoccupation politique est au centre des réflexions des Lumières et présente manifestement au fil des contes de Mlle de Lubert. Les contes de la fin du siècle précédent faisaient l’éloge du pouvoir. Ceux du XVIIIe siècle semblent vouloir le déstabiliser. TRES BEL EXEMPLAIRE CONSERVE DANS SA RELIURE DE L’EPOQUE AUX ARMES DU DUC D’AUMONT. Louis-Marie-Augustin de Rochebaron, duc d’Aumont (1709-1782), pair de France, premier gentilhomme de la Chambre du Roi, lieutenant-général des armées du Roi « avait formé de magnifiques collections d’objets d’art et de livres avec un soin et une patience remarquables ; la plupart des reliures sortaient des mains de Padeloup » (O.H.R., pl. 364). Provenance : Bibliothèque du duc d’Aumont ; bibliothèque Marius-Jean-Baptiste-Nicolas d’Aine (1730-1795), conseiller et maître des requêtes ordinaire de l’hôtel du roi, intendant du Limousin, du Béarn et de Touraine, avec ex-libris.
Tours, Mame et Cie, 1861 gr. in-8, XI-203 pp., vélin ivoire à recouvrement, dos lisse orné de filets et de fleurs de lys, double encadrement de filets dorés avec fleurs de lys en écoinçon, armes au centre des plats, tête dorée, fermeture à lacets (reliure de l'époque).
Rare ouvrage tiré à 180 exemplaires. 1/110 sur vergé.Une lettre autographe de M. Luzarche est contrecollée. Elle est adressée à M. Blanchemain.Cet ouvrage est vraisemblablement relié aux armes de ce dernier. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Maastricht, et se trouve à Paris, Cavelier ; Barrois l'aîné, Bailly, 1778 in-12, [2] ff. n. ch., 380 pp., veau blond, dos lisse cloisonné et fleuronné, pièce de titre cerise, encadrement de simple filet à froid sur les plats, armes au centre, simple filet doré sur les coupes, tranches rouges (reliure de l'époque). Petits accrocs au feuillet de faux-titre.
Première édition séparée. Ce texte avait d'abord paru en 1775 dans le Cours d'Etudes pour l'instruction du duc de Parme, de Condillac (dont Mably était le frère). Le philosophe insiste sur l'importance de l'histoire, dans la formation des hommes politiques et des législateurs. Il se livre ensuite à une analyse politique des gouvernements voisins de la France : Suisse, Pologne, Allemagne, Provinces unies, Angleterre et Suède. Dans la dernière partie de son livre, il développe des idées politiques sur la réforme des lois dans un Etat, préconise l'égalité et donne des conseils de bonne gouvernance. Rien que de très classique en somme.Tchemerzine-Scheler IV, 252. Cioranescu, XVIII, 41 183.Exemplaire aux armes d'Antoine-Marie Du Cluzel de La Chabrerie (1737-1833), militaire et poète retiré à Blainville en 1817.O.H.R. 1111.L'ouvrage passa ensuite dans la famille Biencourt (vignettes ex-libris contrecollées sur les premières gardes, dont une portant un ex-dono de la comtesse de Cossé - née Biencourt - à Michel Fessart). - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
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In-12, plein veau havane de l'époque, dos lisse orné de caissons fleuronnés et cloisonnés, pièce de titre de maroquin bordeaux, armes dorées au centre des plats, filet doré sur les coupes, dentelle intérieure, tranches rouges, (5) f., 273, (1) p. bl., xij, (1) f. d'errata. Genève, par la Compagnie des libraires, 1749.
Edition originale de cet ouvrage jamais réédité en létat mais considérablement modifié sous le titre de Observations sur lhistoire de la Grèce.Mably conçut cet important essai de philosophie politique sur le modèle des 'Considérations sur les causes de la grandeur des Romains ' de Montesquieu. Il y expose une théorie originale de gouvernement républicain "mixte", autoritaire, égalitaire et communautaire, idéal spartiate utopique opposé au luxe et à la propriété privée, qui constituera lun des fondements idéologiques des Jacobins sous la Révolution.Cf. Johnson Kent Wright, 'A classical Republican in 18th c. France. The political thought of Mably', p.31 et sq.(Conlon, 'Siècle des Lumières', 49:689. 'France littéraire', V, 405. Maffey, n°3 p. 215).Mors légèrement fendillés.Très bon exemplaire, grand de marges, aux armes de marquis non identifiées.
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Amsterdam, aux dépens de l’éditeur, 1756 [tomes I à VIII]. Bruxelles, de l’imp. Ant Bruyn, 1755 [tome IX]. 9 volumes in-12, maroquin rouge, triple filet doré encadrant les plats, armoiries frappées or au centre, dos à nerfs orné de fers dorés, pièces de titre et de tomaison de maroquin vert, filet or sur les coupes, roulette intérieure dorée, tranches dorées. Reliure de l’époque. 160 x 93 mm. PREMIERE EDITION COMPLETE, EN PARTIE ORIGINALE, DES Lettres de Madame de Maintenon. « Les exemplaires sur papier fin de Hollande sont très rares » mentionne Brunet. Le précieux exemplaire de la comtesse de Provence, sur papier fin de Hollande. La célèbre correspondance de la marquise de Maintenon révèle pleinement les réelles qualités intellectuelles et morales d’une femme remarquable et sincère à la cour du « Roi Soleil ». Parmi les plus belles doivent être relevées l’épitre adressée à la fameuse courtisane, Ninon de Lenclos. Toute cette correspondance constitue un précieux document sur l’éducation des jeunes filles et un poignant témoignage de la vie spirituelle d’une femme remarquable au milieu des artifices de la cour. PRECIEUX EXEMPLAIRE RELIE EN MAROQUIN ROUGE AUX ARMES DE LA COMTESSE DE PROVENCE (1753-1810).
Paris et Lyon, 1845-1847 4 pièces en un vol. in-8, veau vert, dos à nerfs orné de pointillés, filets et doubles caissons dorés, encadrement de double filet et fine guirlande dorés sur les plats, armes au centre du plat supérieur, grande rosace à froid poussée au centre du plat inférieur, simple filet doré sur les coupes, tranches dorées, guirlande dorée en encadrement sur les contreplats (reliure de l'époque). Plat supérieur insolé et passé, mors un peu usés.
Ensemble qui réunit essentiellement les textes présentés au Concours pour l'éloge de Madame la marquise d'Aligre, lancé par l'Académie des sciences, belles-lettres et arts de Lyon.Louise-Charlotte-Aglaé Camus de Pontcarré (1773-1843) avait épousé en 1810 son cousin germain Etienne-Jean-François marquis d'Aligre (1770-1847), qui fut au demeurant le dernier de son nom. Elle fut la fondatrice de nombreux établissements de bienfaisance, entre autres l'asile de Lèves (près de Chartres). Avec son épouse, et profitant d'une fortune considérable, le marquis fit don d'une partie de ses biens pour des œuvres charitables comme la création de prisons ou d'hôpitaux. On lui doit notamment la Fondation d'Aligre (Chartres), l'hôpital de Bourbon-Lancy, l'Hôpital d'Aligre à Château-Chinon, etc.I. GRANDPERRET (Théodore) : Eloge de Madame la marquise d'Aligre. Mémoire couronné par l'Académie royale des sciences, belles-lettres et arts de Lyon. Lyon, Imprimerie et lithographie de Chanoine, 1846, [5] ff. n. ch., pp. 9-69, avec un frontispice lithographié sur fond teinté, sous serpente.II. Inauguration de la chapelle et de la fontaine élevées à la mémoire de Madame d'Aligre, à Bourbon-Lancy. [Paris], Imprimerie de Gustave Gratiot, s.d. [1845], [3] pp. n. ch. Extrait de l'Echo du Charollais, feuille du 10 août 1845. Un seul exemplaire au CCF (Chartres).III. CHAALONS D'ARGE (Auguste-Philbert) : Madame la marquise d'Aligre. Sa vie, ses fondations, sa mort. [Paris], Imprimerie de Gustave Gratiot, 1847, [4] ff. n. ch., 29 pp., avec un frontispice lithographié sur fond teinté, sous serpente (le même que poiur la pièce I).IV. GOUIN (Edouard) : La Marquise d'Aligre. Paris, Imprimerie de Gustave Gratiot, 1847, [4] ff. n. ch., pp. 5-54, avec un frontispice lithographié sur fond teinté, sous serpente (le même que celui de la pièce I).Aux armes Aligre-Camus de Pontcarré - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Paris Bailleul - Delaunay - Renard 1815 1 vol. relié in-18, demi-basane terre, dos lisse orné de guirlandes dorées avec en pied le monogramme couronné de Louis-Philippe d'Orléans, 328 pp. Édition originale de ce recueil de facéties avec la signature autographe de l'auteur. Exemplaire en reliure d'époque (légèrement frottée) au monogramme couronné de Louis-Philippe d'Orléans et portant en page de titre les cachets de la bibliothèque du roi au Palais Royal et de bibliothèque du château d'Eu.