178 Rue du Faubourg Saint Honoré
75008 Paris
France
E-mail : librairie_chretien@yahoo.fr
Phone number : 33 01 45 63 52 66 Futuropolis 2008 Dessin autographe à la mine de plomb signé, 27 x 21 cm. Futuropolis, 2008, in-4, 64 pages, couverture illustrée en couleurs.
Bel et rare envoi autographe de Gibrat (Paris 1954), sur la page de titre de l'album "Mattéo, Première époque (1914-1915)", représentant l'héroïne Juliette: "Moi de Juliette, je ne recevais que du silence ...". Jean-Pierre Gibrat met, dans sa bande dessinée Mattéo, son talent au service du dessin, de la couleur, de la mise en page et du scénario.
1893 Huile sur toile, signée et datée en bas à gauche, 1893, 46 x 61 cm., cadre doré.
Oeuvre naturaliste de Numa-François Gillet (Bordeaux 1868-1940 Montigny-sur-Loing) artiste français, expose au Salon des Artistes Français dont il est membre, peintre, céramiste. Ami de Armand Point ils peignent souvent ensemble et leurs oeuvres ont des inspirations communes et une sensibilité proche dans leurs palettes et expressions.
1970 Dessin à l'encre de Chine sur papier, (1970), 22 x 15 cm. (format à vue), 25 x 17.4 cm. (format de la feuille).
Planche originale de Alberto Giolitti, numérotée sous le dessin. Au recto croquis féminins à la mine de plomb. Alberto Giolitti(1923-1973), est un artiste de bande dessinée d'origine italienne, qui signe également sous deux pseudonymes "Gilbert" et "Heinzl". Après avoir vécu en Amérique du Sud puis aux États-Unis ou il collabore aux Comics books Dell Publishing, il revient vivre en Italie où il créée le studio Giolitti consacré à la bande dessinée.
1995 Affiche titrée en bas à gauche et référencée Mattotti en bas à droite, (1995), 86 x 70 cm., 95 x 79 cm. avec le cadre doré.
Lorenzo MATTOTTI (né en Italie en 1954), après des études d'architecture à Venise, se tourne vers le graphisme, la bande dessinée et l'illustration de mode. Son style empreint de poésie s'arme de couleurs flamboyantes. Infimes marques. Affiche pour la campagne italienne sur le golf (Voir "Traits séduisants" pages 202 et 203).
GOLF TROPHEE WORMS. MATCHAVARIANI (Henri). Trophée Golf Novembre 1991 Banque Worms.
Reference : 22427
(1991)
1991 Pastel signé, 1991, 60.5 x 45.5 cm., encadré.
Henri Matchavariani (Paris 1939) tire son trait comme une épée, vif et précis mais surtout incisif. Il va droit à l'essentiel, visant le coeur. Après une formation graphique à l'Ecole des Arts Appliqués de Paris il devient Directeur Artistique d'agences de publicité (Philips, Polydor, Delpire). Artiste et illustrateur il expose ses oeuvres à Paris, Milan, Hambourg, Tokyo, Toronto, Montréal ... Il reçoit le Grand Prix de l'Illustration. Maquette originale de l'affiche "Compétition de golf 1991" sous le parrainage de la Banque Worms.
1982 Dessin aux feutres de couleurs, signé en bas à droite, 1982, 42 x 30 cm, encadré.
Modèle emblématique de la maison BALENCIAGA, qui réactualise les sources hispanisantes : ici, la longue jupe à volants du flamenco est raccourcie, et le costume agrémenté d'accessoires. Michel GOMA (né à Moncrabeau en 1932) est un des couturiers français des plus cosmopolites. Artiste formé chez Jeanne LAFAURIE en 1951, il ouvre sa première maison à Paris (1958-1963), puis travaille pour Jean PATOU (1963-1974). Passionné d'opéra, il sera le mentor des talents les plus prometteurs, comme Jean Paul GAUTIER. Il lance sa maison de couture en 1975. Aux côtés des influences espagnoles de BALENCIAGA, il travaille au Japon depuis les années 1970. Eclectique, mais exigent, il prête ses talents à de nombreuses marques et supports : les voitures NISSAN, CRAVEN, Delphine SEYRIG et Farah DIBA, les pièces d'Harold PINTER... Il travaille la matière de façon ample et ronde : on trouve dans ses modèles volants bouffants et corsets. Après la mort de BALENCIAGA en 1972, la maison c'est Michel GOMA qui est choisi comme directeur artistique de la marque. Il saura rester fidèle aux références hispanisantes de son prédecesseur en inovant dans les matières et la fluidité des coupes, qui deviennent plus fonctionnelles. En 1987, il donne à la marque une nouvelle visibilité en impulsant sa ligne de prêt-à-porter. Guy MONREAL lui consacre à cette occasion un élogieux article dans L'Officiel de la Mode (N°736, 1987) : "Il vient d'inventer une jeune femme, dynamique et spirituelle.Il l'habille de jupes toupie et de jupons «cancan» pour le cocktail, de décolletés corbeille, de volants spirale et de manches lampion pour le soir.Et en hommage au grand cristobal, il la magnifie au finale de la collection avec des robes d'infante aux corsets brodés, aux jupes généreuses et bruissantes, à la somptuosité désamorcée par l'humour".
1986 Fusain sur papier, signé au feutre noir en bas à droite, (1980), 65 x 49 cm.
Un homme et une femme se tiennent debout nus. Elle les cheveux longs pose sa tête sur l'épaule de l'homme qui lui rend un baiser. Michel GOMA par son trait mélange les deux corps qui deviennent ainsi fusionnels. Michel GOMA (Moncrabeau 1932) est un couturiers français cosmopolite. Artiste formé chez Jeanne LAFAURIE en 1951, il ouvre sa première maison à Paris (1958-1963), puis travaille pour Jean PATOU (1963-1974). Passionné d'opéra, il sera le mentor des talents les plus prometteurs, comme Jean Paul GAUTIER. Il lance sa maison de couture en 1975. Aux côtés des influences espagnoles de BALENCIAGA, il travaille au Japon depuis les années 1970. Eclectique, mais exigent, il prête ses talents à de nombreuses marques et supports : les voitures NISSAN, CRAVEN, Delphine SEYRIG et Farah DIBA, les pièces d'Harold PINTER... Il travaille la matière de façon ample et ronde : on trouve dans ses modèles volants bouffants et corsets. Après la mort de BALENCIAGA en 1972, la maison c'est Michel GOMA qui est choisi comme directeur artistique de la marque. Il saura rester fidèle aux références hispanisantes de son prédecesseur en inovant dans les matières et la fluidité des coupes, qui deviennent plus fonctionnelles. En 1987, il donne à la marque une nouvelle visibilité en impulsant sa ligne de prêt-à-porter. Guy MONREAL lui consacre à cette occasion un élogieux article dans L'Officiel de la Mode (N°736, 1987) : "Il vient d'inventer une jeune femme, dynamique et spirituelle.Il l'habille de jupes toupie et de jupons «cancan» pour le cocktail, de décolletés corbeille, de volants spirale et de manches lampion pour le soir.Et en hommage au grand cristobal, il la magnifie au finale de la collection avec des robes d'infante aux corsets brodés, aux jupes généreuses et bruissantes, à la somptuosité désamorcée par l'humour". Déchirures marginales.
1985 Feutres noir et de couleurs sur papier, (1985), 50 x 29.5 cm, signé en bas.
L'artiste livre une interprétation personnelle de la mode des années 1980, très féminine. Les années 80 proposent une mode destructurées, aux formes nettes et pointues. Pour la première fois, la mode en France est considérée comme un des Beaux-arts et exposée dans les galeries et musées, de même que les top-modèles commencent à devenir des stars. La mode est volontiers affirmée, mixant une multiplicité de couleurs et de détails.Michel GOMA (né à Moncrabeau en 1932) est un des couturiers français des plus cosmopolites. Artiste formé chez Jeanne LAFAURIE en 1951, il ouvre sa première maison à Paris (1958-1963), puis travaille pour Jean PATOU (1963-1974). Passionné d'opéra, il sera le mentor des talents les plus prometteurs, comme Jean Paul GAUTIER. Il lance sa maison de couture en 1975. Aux côtés des influences espagnoles de BALENCIAGA, il travaille au Japon depuis les années 1970. Eclectique, mais exigent, il prête ses talents à de nombreuses marques et supports : les voitures NISSAN, CRAVEN, Delphine SEYRIG et Farah DIBA, les pièces d'Harold PINTER... Il travaille la matière de façon ample et ronde : on trouve dans ses modèles volants bouffants et corsets. Après la mort de BALENCIAGA en 1972, la maison c'est Michel GOMA qui est choisi comme directeur artistique de la marque. Il saura rester fidèle aux références hispanisantes de son prédecesseur en inovant dans les matières et la fluidité des coupes, qui deviennent plus fonctionnelles. En 1987, il donne à la marque une nouvelle visibilité en impulsant sa ligne de prêt-à-porter. Guy MONREAL lui consacre à cette occasion un élogieux article dans L'Officiel de la Mode (N°736, 1987) : "Il vient d'inventer une jeune femme, dynamique et spirituelle.Il l'habille de jupes toupie et de jupons «cancan» pour le cocktail, de décolletés corbeille, de volants spirale et de manches lampion pour le soir.Et en hommage au grand cristobal, il la magnifie au finale de la collection avec des robes d'infante aux corsets brodés, aux jupes généreuses et bruissantes, à la somptuosité désamorcée par l'humour".
Feutres de couleurs, signé en bas à droite.
Etude de mode réalisée en 1992. La mode de ces années est marquée par des phénomènes sociopolitiques forts (chômage, chute du mur). Les pièces basiques des années précédentes (jean, pull marin, caban), sont ressorties et accessoirisées. En parallèle, le luxe se développe à nouveau Michel GOMA mixe habillement les coupes et les couleurs sobres avec des accessoires fantaisistes (boutons dorés, colliers, fleurs de tissu).Michel GOMA (né à Moncrabeau en 1932) est un des couturiers français des plus cosmopolites. Artiste formé chez Jeanne LAFAURIE en 1951, il ouvre sa première maison à Paris (1958-1963), puis travaille pour Jean PATOU (1963-1974). Passionné d'opéra, il sera le mentor des talents les plus prometteurs, comme Jean Paul GAUTIER. Il lance sa maison de couture en 1975. Aux côtés des influences espagnoles de BALENCIAGA, il travaille au Japon depuis les années 1970. Eclectique, mais exigent, il prête ses talents à de nombreuses marques et supports : les voitures NISSAN, CRAVEN, Delphine SEYRIG et Farah DIBA, les pièces d'Harold PINTER... Il travaille la matière de façon ample et ronde : on trouve dans ses modèles volants bouffants et corsets. Après la mort de BALENCIAGA en 1972, la maison c'est Michel GOMA qui est choisi comme directeur artistique de la marque. Il saura rester fidèle aux références hispanisantes de son prédecesseur en inovant dans les matières et la fluidité des coupes, qui deviennent plus fonctionnelles. En 1987, il donne à la marque une nouvelle visibilité en impulsant sa ligne de prêt-à-porter. Guy MONREAL lui consacre à cette occasion un élogieux article dans L'Officiel de la Mode (N°736, 1987) : "Il vient d'inventer une jeune femme, dynamique et spirituelle.Il l'habille de jupes toupie et de jupons «cancan» pour le cocktail, de décolletés corbeille, de volants spirale et de manches lampion pour le soir.Et en hommage au grand cristobal, il la magnifie au finale de la collection avec des robes d'infante aux corsets brodés, aux jupes généreuses et bruissantes, à la somptuosité désamorcée par l'humour".
2006 Feutres de couleurs, signé en bas à droite, daté, 2006, 30 x 21 cm.
Deux études de chapeaux pour lesquels l'artiste a joué avec le plissé du tissu qui structure la forme de la coiffure. La première étude montre une coiffure étagée, en bleu et rose fuschia, et la seconde un petit bibi bleu cyan agrémenté d'une fleur. Michel GOMA (né à Moncrabeau en 1932) est un des couturiers français des plus cosmopolites. Artiste formé chez Jeanne LAFAURIE en 1951, il ouvre sa première maison à Paris (1958-1963), puis travaille pour Jean PATOU (1963-1974). Passionné d'opéra, il sera le mentor des talents les plus prometteurs, comme Jean Paul GAUTIER. Il lance sa maison de couture en 1975. Aux côtés des influences espagnoles de BALENCIAGA, il travaille au Japon depuis les années 1970. Eclectique, mais exigent, il prête ses talents à de nombreuses marques et supports : les voitures NISSAN, CRAVEN, Delphine SEYRIG et Farah DIBA, les pièces d'Harold PINTER... Il travaille la matière de façon ample et ronde : on trouve dans ses modèles volants bouffants et corsets. Après la mort de BALENCIAGA en 1972, la maison c'est Michel GOMA qui est choisi comme directeur artistique de la marque. Il saura rester fidèle aux références hispanisantes de son prédecesseur en inovant dans les matières et la fluidité des coupes, qui deviennent plus fonctionnelles. En 1987, il donne à la marque une nouvelle visibilité en impulsant sa ligne de prêt-à-porter. Guy MONREAL lui consacre à cette occasion un élogieux article dans L'Officiel de la Mode (N°736, 1987) : "Il vient d'inventer une jeune femme, dynamique et spirituelle. Il l'habille de jupes toupie et de jupons «cancan» pour le cocktail, de décolletés corbeille, de volants spirale et de manches lampion pour le soir.Et en hommage au grand cristobal, il la magnifie au finale de la collection avec des robes d'infante aux corsets brodés, aux jupes généreuses et bruissantes, à la somptuosité désamorcée par l'humour".
1980 Feutres de couleurs, signé en bas à droite, (1980), 42 x 29.8 cm.
Inspiration africaine pour une robe blanche, décolleté croisé, long tombé plissé. Des bracelets ethniques aux lourdes pierreries ornent les bras du modèle, sur un fond d'arc en ciel. Michel GOMA (né à Moncrabeau en 1932) est un des couturiers français des plus cosmopolites. Artiste formé chez Jeanne LAFAURIE en 1951, il ouvre sa première maison à Paris (1958-1963), puis travaille pour Jean PATOU (1963-1974). Passionné d'opéra, il sera le mentor des talents les plus prometteurs, comme Jean Paul GAUTIER. Il lance sa maison de couture en 1975. Aux côtés des influences espagnoles de BALENCIAGA, il travaille au Japon depuis les années 1970. Eclectique, mais exigent, il prête ses talents à de nombreuses marques et supports : les voitures NISSAN, CRAVEN, Delphine SEYRIG et Farah DIBA, les pièces d'Harold PINTER... Il travaille la matière de façon ample et ronde : on trouve dans ses modèles volants bouffants et corsets. Après la mort de BALENCIAGA en 1972, la maison c'est Michel GOMA qui est choisi comme directeur artistique de la marque. Il saura rester fidèle aux références hispanisantes de son prédecesseur en inovant dans les matières et la fluidité des coupes, qui deviennent plus fonctionnelles. En 1987, il donne à la marque une nouvelle visibilité en impulsant sa ligne de prêt-à-porter. Guy MONREAL lui consacre à cette occasion un élogieux article dans L'Officiel de la Mode (N°736, 1987) : "Il vient d'inventer une jeune femme, dynamique et spirituelle.Il l'habille de jupes toupie et de jupons «cancan» pour le cocktail, de décolletés corbeille, de volants spirale et de manches lampion pour le soir.Et en hommage au grand cristobal, il la magnifie au finale de la collection avec des robes d'infante aux corsets brodés, aux jupes généreuses et bruissantes, à la somptuosité désamorcée par l'humour".
2008 Feutres de couleurs, signé en bas à droite, daté, 2008, 30 x 21 cm.
En 2008, Michel GOMA réalise une ligne "Laitue". Les femmes présentent des formes pommées, aux tissus qui s'évasent en partant du coeur. Modèle en satin rouge et noir d'une grande élégance.Michel GOMA (né à Moncrabeau en 1932) est un des couturiers français des plus cosmopolites. Artiste formé chez Jeanne LAFAURIE en 1951, il ouvre sa première maison à Paris (1958-1963), puis travaille pour Jean PATOU (1963-1974). Passionné d'opéra, il sera le mentor des talents les plus prometteurs, comme Jean Paul GAUTIER. Il lance sa maison de couture en 1975. Aux côtés des influences espagnoles de BALENCIAGA, il travaille au Japon depuis les années 1970. Eclectique, mais exigent, il prête ses talents à de nombreuses marques et supports : les voitures NISSAN, CRAVEN, Delphine SEYRIG et Farah DIBA, les pièces d'Harold PINTER... Il travaille la matière de façon ample et ronde : on trouve dans ses modèles volants bouffants et corsets. Après la mort de BALENCIAGA en 1972, la maison c'est Michel GOMA qui est choisi comme directeur artistique de la marque. Il saura rester fidèle aux références hispanisantes de son prédecesseur en inovant dans les matières et la fluidité des coupes, qui deviennent plus fonctionnelles. En 1987, il donne à la marque une nouvelle visibilité en impulsant sa ligne de prêt-à-porter. Guy MONREAL lui consacre à cette occasion un élogieux article dans L'Officiel de la Mode (N°736, 1987) : "Il vient d'inventer une jeune femme, dynamique et spirituelle.Il l'habille de jupes toupie et de jupons «cancan» pour le cocktail, de décolletés corbeille, de volants spirale et de manches lampion pour le soir.Et en hommage au grand cristobal, il la magnifie au finale de la collection avec des robes d'infante aux corsets brodés, aux jupes généreuses et bruissantes, à la somptuosité désamorcée par l'humour".
1958 Fusain sur papier beige, signé au feutre noir en bas à droite, (1980), 65 x 49 cm.
Une femme de face, le corps tracé au fusain noir, regarde de côté. L'artiste réduit le corps à un trait simple, plus ou moins appuyé. Michel Goma crée avec une ligne comme il a su créer une ligne pour les grands couturiers. Michel GOMA (Moncrabeau 1932) est un couturier français cosmopolite. Artiste formé chez Jeanne LAFAURIE en 1951, il ouvre sa première maison à Paris (1958-1963), puis travaille pour Jean PATOU (1963-1974). Passionné d'opéra, il sera le mentor des talents les plus prometteurs, comme Jean Paul GAUTIER. Il lance sa maison de couture en 1975. Aux côtés des influences espagnoles de BALENCIAGA, il travaille au Japon depuis les années 1970. Eclectique, mais exigent, il prête ses talents à de nombreuses marques et supports : les voitures NISSAN, CRAVEN, Delphine SEYRIG et Farah DIBA, les pièces d'Harold PINTER... Il travaille la matière de façon ample et ronde : on trouve dans ses modèles volants bouffants et corsets. Après la mort de BALENCIAGA en 1972, la maison c'est Michel GOMA qui est choisi comme directeur artistique de la marque. Il saura rester fidèle aux références hispanisantes de son prédecesseur en inovant dans les matières et la fluidité des coupes, qui deviennent plus fonctionnelles. En 1987, il donne à la marque une nouvelle visibilité en impulsant sa ligne de prêt-à-porter. Guy MONREAL lui consacre à cette occasion un élogieux article dans L'Officiel de la Mode (N°736, 1987) : "Il vient d'inventer une jeune femme, dynamique et spirituelle.Il l'habille de jupes toupie et de jupons «cancan» pour le cocktail, de décolletés corbeille, de volants spirale et de manches lampion pour le soir.Et en hommage au grand cristobal, il la magnifie au finale de la collection avec des robes d'infante aux corsets brodés, aux jupes généreuses et bruissantes, à la somptuosité désamorcée par l'humour". Déchirures marginales.
1958 Fusain sur papier, signé au feutre noir en bas à droite,(1980), 65 x 49 cm.
Michel Goma fait une étude de femme. Elle se tient debout avec un léger déhanchement, ses mains derrière le dos. De longs cheveux noirs coulent derrière sa nuque. Une fois de plus, il ne suffit que de quelques traits à l'artiste pour mettre en scène celle qui pose. Michel GOMA (Moncrabeau 1932) est un couturier français cosmopolite. Artiste formé chez Jeanne LAFAURIE en 1951, il ouvre sa première maison à Paris (1958-1963), puis travaille pour Jean PATOU (1963-1974). Passionné d'opéra, il sera le mentor des talents les plus prometteurs, comme Jean Paul GAUTIER. Il lance sa maison de couture en 1975. Aux côtés des influences espagnoles de BALENCIAGA, il travaille au Japon depuis les années 1970. Eclectique, mais exigent, il prête ses talents à de nombreuses marques et supports : les voitures NISSAN, CRAVEN, Delphine SEYRIG et Farah DIBA, les pièces d'Harold PINTER... Il travaille la matière de façon ample et ronde : on trouve dans ses modèles volants bouffants et corsets. Après la mort de BALENCIAGA en 1972, la maison c'est Michel GOMA qui est choisi comme directeur artistique de la marque. Il saura rester fidèle aux références hispanisantes de son prédecesseur en inovant dans les matières et la fluidité des coupes, qui deviennent plus fonctionnelles. En 1987, il donne à la marque une nouvelle visibilité en impulsant sa ligne de prêt-à-porter. Guy MONREAL lui consacre à cette occasion un élogieux article dans L'Officiel de la Mode (N°736, 1987) : "Il vient d'inventer une jeune femme, dynamique et spirituelle.Il l'habille de jupes toupie et de jupons «cancan» pour le cocktail, de décolletés corbeille, de volants spirale et de manches lampion pour le soir.Et en hommage au grand cristobal, il la magnifie au finale de la collection avec des robes d'infante aux corsets brodés, aux jupes généreuses et bruissantes, à la somptuosité désamorcée par l'humour". Déchirures marginales.
1986 Fusain sur papier, signé au feutre noir en bas à droite, annoté au dos "Beaux-Arts 1986", 65 x 49 cm.
Michel Goma crée avec l'assurance du trait et une alliance de courbes tracées au fusain, un corps de femme. Elle est assise et nue, son visage réduit à un oeil et un trait droit pour le nez, une poitrine légèrement soulignée, une toison noire et des courbes pour le dessin du corps longiligne. Michel GOMA (Moncrabeau 1932) est un couturiers français cosmopolite. Artiste formé chez Jeanne LAFAURIE en 1951, il ouvre sa première maison à Paris (1958-1963), puis travaille pour Jean PATOU (1963-1974). Passionné d'opéra, il sera le mentor des talents les plus prometteurs, comme Jean Paul GAUTIER. Il lance sa maison de couture en 1975. Aux côtés des influences espagnoles de BALENCIAGA, il travaille au Japon depuis les années 1970. Eclectique, mais exigent, il prête ses talents à de nombreuses marques et supports : les voitures NISSAN, CRAVEN, Delphine SEYRIG et Farah DIBA, les pièces d'Harold PINTER... Il travaille la matière de façon ample et ronde : on trouve dans ses modèles volants bouffants et corsets. Après la mort de BALENCIAGA en 1972, la maison c'est Michel GOMA qui est choisi comme directeur artistique de la marque. Il saura rester fidèle aux références hispanisantes de son prédecesseur en inovant dans les matières et la fluidité des coupes, qui deviennent plus fonctionnelles. En 1987, il donne à la marque une nouvelle visibilité en impulsant sa ligne de prêt-à-porter. Guy MONREAL lui consacre à cette occasion un élogieux article dans L'Officiel de la Mode (N°736, 1987) : "Il vient d'inventer une jeune femme, dynamique et spirituelle.Il l'habille de jupes toupie et de jupons «cancan» pour le cocktail, de décolletés corbeille, de volants spirale et de manches lampion pour le soir.Et en hommage au grand cristobal, il la magnifie au finale de la collection avec des robes d'infante aux corsets brodés, aux jupes généreuses et bruissantes, à la somptuosité désamorcée par l'humour". Déchirures marginales.
1962 Feutres de couleurs et gouache, signé en bas à droite, (1962-1973), 44 x 28 cm.
Dessin structuré et graphique en orange et noir, rehauts de gouache. Deux jeunes filles semblent rejouer "Les Parapluies de Cherbourg". Michel GOMA (né à Moncrabeau en 1932) est un des couturiers français des plus cosmopolites. Artiste formé chez Jeanne LAFAURIE en 1951, il ouvre sa première maison à Paris (1958-1963), puis travaille pour Jean PATOU (1963-1974). Passionné d'opéra, il sera le mentor des talents les plus prometteurs, comme Jean Paul GAUTIER. Il lance sa maison de couture en 1975. Aux côtés des influences espagnoles de BALENCIAGA, il travaille au Japon depuis les années 1970. Eclectique, mais exigent, il prête ses talents à de nombreuses marques et supports : les voitures NISSAN, CRAVEN, Delphine SEYRIG et Farah DIBA, les pièces d'Harold PINTER... Il travaille la matière de façon ample et ronde : on trouve dans ses modèles volants bouffants et corsets. Après la mort de BALENCIAGA en 1972, la maison c'est Michel GOMA qui est choisi comme directeur artistique de la marque. Il saura rester fidèle aux références hispanisantes de son prédecesseur en inovant dans les matières et la fluidité des coupes, qui deviennent plus fonctionnelles. En 1987, il donne à la marque une nouvelle visibilité en impulsant sa ligne de prêt-à-porter. Guy MONREAL lui consacre à cette occasion un élogieux article dans L'Officiel de la Mode (N°736, 1987) : "Il vient d'inventer une jeune femme, dynamique et spirituelle.Il l'habille de jupes toupie et de jupons «cancan» pour le cocktail, de décolletés corbeille, de volants spirale et de manches lampion pour le soir.Et en hommage au grand cristobal, il la magnifie au finale de la collection avec des robes d'infante aux corsets brodés, aux jupes généreuses et bruissantes, à la somptuosité désamorcée par l'humour".
1965 Feutres de couleurs, signé en bas à droite, (1965), 30 x 23 cm.
Quatre croquis avec indications de tissus (velours soyeux, velours Léonard, crêpe, crêpe de soie, flanelle). Michel GOMA (né à Moncrabeau en 1932) est un des couturiers français des plus cosmopolites. Artiste formé chez Jeanne LAFAURIE en 1951, il ouvre sa première maison à Paris (1958-1963), puis travaille pour Jean PATOU (1963-1974). Passionné d'opéra, il sera le mentor des talents les plus prometteurs, comme Jean Paul GAUTIER. Il lance sa maison de couture en 1975. Aux côtés des influences espagnoles de BALENCIAGA, il travaille au Japon depuis les années 1970. Eclectique, mais exigent, il prête ses talents à de nombreuses marques et supports : les voitures NISSAN, CRAVEN, Delphine SEYRIG et Farah DIBA, les pièces d'Harold PINTER... Il travaille la matière de façon ample et ronde : on trouve dans ses modèles volants bouffants et corsets. Après la mort de BALENCIAGA en 1972, la maison c'est Michel GOMA qui est choisi comme directeur artistique de la marque. Il saura rester fidèle aux références hispanisantes de son prédecesseur en inovant dans les matières et la fluidité des coupes, qui deviennent plus fonctionnelles. En 1987, il donne à la marque une nouvelle visibilité en impulsant sa ligne de prêt-à-porter. Guy MONREAL lui consacre à cette occasion un élogieux article dans L'Officiel de la Mode (N°736, 1987) : "Il vient d'inventer une jeune femme, dynamique et spirituelle.Il l'habille de jupes toupie et de jupons «cancan» pour le cocktail, de décolletés corbeille, de volants spirale et de manches lampion pour le soir.Et en hommage au grand cristobal, il la magnifie au finale de la collection avec des robes d'infante aux corsets brodés, aux jupes généreuses et bruissantes, à la somptuosité désamorcée par l'humour".
1950 1 Dessin à l'encre, (1950), annoté à la mine de plomb sous le dessin, 21 x 39 cm.
Maquette originale pour les "Deux Nigauds". Chapitre N°XXII "On arriva aux bains on assigna des cabinets aux élèves répartis par groupes. Innocent se trouva avec trois ennemis et quatre amis, de sorte qu'il se crut bien protégé. On se déshabilla, on revêtit le caleçon, chacun accrocha ses vêtements au clou désigné, et on se lança dans l'immense bassin. Innocent savait un peu nager, de sorte qu'il se dirigea vers la partie profonde du bassin plusieurs élèves de sa classe s'y trouvaient. -Une passade à Gargilier ! dit l'un d'eux. -Hop ! Il appuya ses mains sur la tête d'Innocent et le fit aller au fond."
1950 1 Dessin à l'encre, (1950), annoté à la mine de plomb sous le dessin, 17.5 x 36 cm.
Sophie, Camille, Madeleine de Fleurville et Marguerite sont assises sur un canapé et sont prisent d'un fou rire. Maquette originale pour l'illustration de la Comtesse de Ségur. Pli au coin inférieur droit.
1950 1 Dessin à l'encre, (1950), annoté à la mine de plomb sous le dessin, 20 x 39 cm.
Maquette originale pour "Les Deux nigauds". Chapitre N°XX "Simplicie mangea, pressa le dîner de Prudence et de Coz, mit son chapeau, et tous trois partirent pour le cirque des Champs-Elysées. Coz les fit placer au premier rang, s'assit derrière elles et attendit. Le spectacle allait commencer, lorsqu'un tumulte de voix furieuses leur fit tourner la tête. (...) Coz regardait Mme Bonbeck d'un air féroce et Boginski d'un air de reproche. Boginski ne voyait ni n'entendait, tant il était honteux de la scène qui venait de se passer".
1978 1 Mine de plomb et feutre, signée en bas à droite, (1989), 27.2 x 36 cm.
Maquette réalisée par l'artiste Michel GOURDON (1925-2011), illustrateur, avec son frère ASLAN, notamment dans Playboy et Lui. Ce dessin original est une maquette pour une étiquette de vin. Michel GOURDON illustre à sa manière le bicentenaire de la Révolution française. Une femme, le buste dénudé, fusil à la main, un doigt en direction de la prison de la Bastille, montre le chemin pour l'assaut. Sur sa tête un bonnet phrygien et une cocarde bleu, blanc, rouge.
1978 1 Mine de plomb et feutre, signée en bas à droite, (1989), 24.5 x 32,5 cm.
Maquette réalisée par l'artiste Michel GOURDON (1925-2011), illustrateur, avec son frère ASLAN, notamment dans Playboy et Lui. Ce dessin original est une maquette pour une étiquette de vin. Michel GOURDON illustre à sa manière le bicentenaire de la Révolution française. Une jeune pin-up révolutionnaire, le buste entièrement dénudé, un drapeau bleu, blanc, rouge à la main qui vole dans le vent de la Révolution, se tient à genoux, devant la prison de la Bastille. Elle porte une charlotte ornée d'une cocarde bleu, blanc, rouge.
1978 1 Mine de plomb et feutre, signée en bas à gauche, (1989), 27 x 36 cm.
Maquette réalisée par l'artiste Michel GOURDON (1925-2011), illustrateur, avec son frère ASLAN, notamment dans Playboy et Lui. Ce dessin original est une maquette pour une étiquette de vin. Michel GOURDON illustre à sa manière le bicentenaire de la Révolution française. Ce dessin érotique montre une jeune pin-up révolutionnaire nue sur fond de drapeau bleu, blanc, rouge. Elle est assise à califorchon sur un canon. Elle porte un bonnet Phrygien orné d'une cocarde bleu, blanc, rouge.
1960 1 Gouache signée en bas à droite, titrée au verso, (1960), 35 x 33 cm.
Maquette réalisée par l'artiste Michel GOURDON (1925-2011), illustrateur, avec son frère ASLAN, notamment dans Playboy, Paris-Flirt, Nous Deux et Lui. Cette gouache est la maquette pour la couverture du livre de José Michel, "Le Cercle refermé" Police No 731, aux éditions Fleuve Noir série dont Michel GOURDON sera l'artiste officiel de 1949 à 1978. Scène d'étranglement où seules les mains du meurtrier apparaissent enserrant le cou de sa victime blonde et pulpeuse. Le titre est réalisé sur calque à la gouache ainsi que la collection. GOURDON disant "la couverture d'un livre, c'est comme une affiche, elle doit faire vendre". Il arrête sa carrière prolixe de "stakhanoviste du pinceau" en 1978, lorsque la photographie remplace le dessin sur les couvertures de livres. (Article de Yann PLOUGASTEL in "Le Monde", 22-02-2013, reproduisant l'affiche).
1978 1 Dessin à la mine de plomb sur papier calque, signé à l'encre de Chine en bas à gauche, (1960), 39,5 x 23,5 cm.
Maquette réalisée par l'artiste Michel GOURDON (1925-2011), illustrateur, avec son frère ASLAN, notamment dans Playboy et Lui. Ce dessin est un travail préparatoire pour une illustration du magazine Paris Flirt. Une jeune pin-up sur talons hauts, à la bouche pulpeuse, à la cambrure provocante, se tient de dos. Elle soulève sa jupe pour laisser apparaître ses porte-jaretelles. Pliure et petites piqures.