8, rue Bréa
75006 Paris
France
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Phone number : 01 43 54 43 61 P., Pierre Lafitte et Cie, s.d. (1910), in-8°, 80 pp, 8 tableaux reproduits en couleurs sur 8 pl. hors texte et une illustration en noir, cart. illustré de l'éditeur, imprimé sur bouffant, qqs rares rousseurs, bon état (Coll. Les Peintres illustres n° 19)
Sous la direction d'Henry Roujon, secrétaire perpétuel de l'Académie des Beaux-Arts, Pierre Lafitte (1872-1938) fonde en 1909 la collection, « Les Peintres illustres / Artistic-Bibliothèque en couleurs », proposant des biographies de peintres avec des reproductions de tableaux en volumes cartonnés. C'était la première fois que l'édition en couleurs d'une série de biographies d'artistes était mise à la portée de tous. Initalement prévue en 24 volumes (un par mois), le succès amènera l'éditeur à publier une deuxième série (volumes 25 à 48), puis une troisième, jusqu'à atteindre 66 volumes parus à la mi-1914 (sur 72 prévus : il semble que le déclenchement de la guerre ai provoqué l'arrêt de la collection). Les textes ne sont pas signés, mais sont d'un bon niveau. Il est certain qu'Henry Roujon a écrit lui-même un certain nombre de volumes de la première série ; par ailleurs on sait qu'Henri Barbusse a écrit celui sur Meissonier et François Crastre ceux sur Rosa Bonheur, Bastien-Lepage, Puvis de Chavannes, Le Corrège, Véronèse, Henner et Goya.
P., Pierre Lafitte et Cie, s.d. (1910), in-8°, 80 pp, 8 tableaux reproduits en couleurs sur 8 pl. hors texte et une illustration en noir, cart. illustré de l'éditeur, imprimé sur bouffant, qqs rares rousseurs, qqs marques à la plume au 2e plat, bon état (Coll. Les Peintres illustres n° 20)
Sous la direction d'Henry Roujon, secrétaire perpétuel de l'Académie des Beaux-Arts, Pierre Lafitte (1872-1938) fonde en 1909 la collection, « Les Peintres illustres / Artistic-Bibliothèque en couleurs », proposant des biographies de peintres avec des reproductions de tableaux en volumes cartonnés. C'était la première fois que l'édition en couleurs d'une série de biographies d'artistes était mise à la portée de tous. Initalement prévue en 24 volumes (un par mois), le succès amènera l'éditeur à publier une deuxième série (volumes 25 à 48), puis une troisième, jusqu'à atteindre 66 volumes parus à la mi-1914 (sur 72 prévus : il semble que le déclenchement de la guerre ai provoqué l'arrêt de la collection). Les textes ne sont pas signés, mais sont d'un bon niveau. Il est certain qu'Henry Roujon a écrit lui-même un certain nombre de volumes de la première série ; par ailleurs on sait qu'Henri Barbusse a écrit celui sur Meissonier et François Crastre ceux sur Rosa Bonheur, Bastien-Lepage, Puvis de Chavannes, Le Corrège, Véronèse, Henner et Goya.
P., Pierre Lafitte et Cie, s.d. (1912), in-8°, 80 pp, 8 tableaux reproduits en couleurs sur 8 pl. hors texte et une illustration en noir, cart. illustré de l'éditeur, imprimé sur bouffant, qqs rares rousseurs, bon état (Coll. Les Peintres illustres n° 38)
Sous la direction d'Henry Roujon, secrétaire perpétuel de l'Académie des Beaux-Arts, Pierre Lafitte (1872-1938) fonde en 1909 la collection, « Les Peintres illustres / Artistic-Bibliothèque en couleurs », proposant des biographies de peintres avec des reproductions de tableaux en volumes cartonnés. C'était la première fois que l'édition en couleurs d'une série de biographies d'artistes était mise à la portée de tous. Initalement prévue en 24 volumes (un par mois), le succès amènera l'éditeur à publier une deuxième série (volumes 25 à 48), puis une troisième, jusqu'à atteindre 66 volumes parus à la mi-1914 (sur 72 prévus : il semble que le déclenchement de la guerre ai provoqué l'arrêt de la collection). Les textes ne sont pas signés, mais sont d'un bon niveau. Il est certain qu'Henry Roujon a écrit lui-même un certain nombre de volumes de la première série ; par ailleurs on sait qu'Henri Barbusse a écrit celui sur Meissonier et François Crastre ceux sur Rosa Bonheur, Bastien-Lepage, Puvis de Chavannes, Le Corrège, Véronèse, Henner et Goya.
P., Pierre Lafitte et Cie, s.d. (1912), in-8°, 80 pp, 8 tableaux reproduits en couleurs sur 8 pl. hors texte et une illustration en noir, cart. illustré de l'éditeur, imprimé sur bouffant, qqs rares rousseurs, bon état (Coll. Les Peintres illustres n° 42)
Sous la direction d'Henry Roujon, secrétaire perpétuel de l'Académie des Beaux-Arts, Pierre Lafitte (1872-1938) fonde en 1909 la collection, « Les Peintres illustres / Artistic-Bibliothèque en couleurs », proposant des biographies de peintres avec des reproductions de tableaux en volumes cartonnés. C'était la première fois que l'édition en couleurs d'une série de biographies d'artistes était mise à la portée de tous. Initalement prévue en 24 volumes (un par mois), le succès amènera l'éditeur à publier une deuxième série (volumes 25 à 48), puis une troisième, jusqu'à atteindre 66 volumes parus à la mi-1914 (sur 72 prévus : il semble que le déclenchement de la guerre ai provoqué l'arrêt de la collection). Les textes ne sont pas signés, mais sont d'un bon niveau. Il est certain qu'Henry Roujon a écrit lui-même un certain nombre de volumes de la première série ; par ailleurs on sait qu'Henri Barbusse a écrit celui sur Meissonier et François Crastre ceux sur Rosa Bonheur, Bastien-Lepage, Puvis de Chavannes, Le Corrège, Véronèse, Henner et Goya.
P., Pierre Lafitte et Cie, s.d. (1913), in-8°, 80 pp, 8 tableaux reproduits en couleurs sur 8 pl. hors texte et une illustration en noir, cart. illustré de l'éditeur, imprimé sur bouffant, qqs rares rousseurs, bon état (Coll. Les Peintres illustres n° 51)
Sous la direction d'Henry Roujon, secrétaire perpétuel de l'Académie des Beaux-Arts, Pierre Lafitte (1872-1938) fonde en 1909 la collection, « Les Peintres illustres / Artistic-Bibliothèque en couleurs », proposant des biographies de peintres avec des reproductions de tableaux en volumes cartonnés. C'était la première fois que l'édition en couleurs d'une série de biographies d'artistes était mise à la portée de tous. Initalement prévue en 24 volumes (un par mois), le succès amènera l'éditeur à publier une deuxième série (volumes 25 à 48), puis une troisième, jusqu'à atteindre 66 volumes parus à la mi-1914 (sur 72 prévus : il semble que le déclenchement de la guerre ai provoqué l'arrêt de la collection). Les textes ne sont pas signés, mais sont d'un bon niveau. Il est certain qu'Henry Roujon a écrit lui-même un certain nombre de volumes de la première série ; par ailleurs on sait qu'Henri Barbusse a écrit celui sur Meissonier et François Crastre ceux sur Rosa Bonheur, Bastien-Lepage, Puvis de Chavannes, Le Corrège, Véronèse, Henner et Goya.
P., Pierre Lafitte et Cie, s.d. (1911), in-8°, 80 pp, 8 tableaux reproduits en couleurs sur 8 pl. hors texte et une illustration en noir, cart. illustré de l'éditeur, imprimé sur bouffant, qqs rares rousseurs, bon état (Coll. Les Peintres illustres n° 27)
Ce volume a été écrit par François Crastre. — Sous la direction d'Henry Roujon, secrétaire perpétuel de l'Académie des Beaux-Arts, Pierre Lafitte (1872-1938) fonde en 1909 la collection, « Les Peintres illustres / Artistic-Bibliothèque en couleurs », proposant des biographies de peintres avec des reproductions de tableaux en volumes cartonnés. C'était la première fois que l'édition en couleurs d'une série de biographies d'artistes était mise à la portée de tous. Initalement prévue en 24 volumes (un par mois), le succès amènera l'éditeur à publier une deuxième série (volumes 25 à 48), puis une troisième, jusqu'à atteindre 66 volumes parus à la mi-1914 (sur 72 prévus : il semble que le déclenchement de la guerre ai provoqué l'arrêt de la collection). Les textes ne sont pas signés, mais sont d'un bon niveau. Il est certain qu'Henry Roujon a écrit lui-même un certain nombre de volumes de la première série ; par ailleurs on sait qu'Henri Barbusse a écrit celui sur Meissonier et François Crastre ceux sur Rosa Bonheur, Bastien-Lepage, Puvis de Chavannes, Le Corrège, Véronèse, Henner et Goya.
P., Pierre Lafitte et Cie, s.d. (1911), in-8°, 80 pp, 8 tableaux reproduits en couleurs sur 8 pl. hors texte et une illustration en noir, cart. illustré de l'éditeur, imprimé sur bouffant, qqs rares rousseurs, bon état (Coll. Les Peintres illustres n° 28)
Sous la direction d'Henry Roujon, secrétaire perpétuel de l'Académie des Beaux-Arts, Pierre Lafitte (1872-1938) fonde en 1909 la collection, « Les Peintres illustres / Artistic-Bibliothèque en couleurs », proposant des biographies de peintres avec des reproductions de tableaux en volumes cartonnés. C'était la première fois que l'édition en couleurs d'une série de biographies d'artistes était mise à la portée de tous. Initalement prévue en 24 volumes (un par mois), le succès amènera l'éditeur à publier une deuxième série (volumes 25 à 48), puis une troisième, jusqu'à atteindre 66 volumes parus à la mi-1914 (sur 72 prévus : il semble que le déclenchement de la guerre ai provoqué l'arrêt de la collection). Les textes ne sont pas signés, mais sont d'un bon niveau. Il est certain qu'Henry Roujon a écrit lui-même un certain nombre de volumes de la première série ; par ailleurs on sait qu'Henri Barbusse a écrit celui sur Meissonier et François Crastre ceux sur Rosa Bonheur, Bastien-Lepage, Puvis de Chavannes, Le Corrège, Véronèse, Henner et Goya.
P., Pierre Lafitte et Cie, s.d. (1909), in-8°, 78 pp, 8 tableaux reproduits en couleurs sur 8 pl. hors texte et une illustration en noir, cart. illustré de l'éditeur, imprimé sur bouffant, qqs rares rousseurs, bon état (Coll. Les Peintres illustres [n° 2])
Sous la direction d'Henry Roujon, secrétaire perpétuel de l'Académie des Beaux-Arts, Pierre Lafitte (1872-1938) fonde en 1909 la collection, « Les Peintres illustres / Artistic-Bibliothèque en couleurs », proposant des biographies de peintres avec des reproductions de tableaux en volumes cartonnés. C'était la première fois que l'édition en couleurs d'une série de biographies d'artistes était mise à la portée de tous. Initalement prévue en 24 volumes (un par mois), le succès amènera l'éditeur à publier une deuxième série (volumes 25 à 48), puis une troisième, jusqu'à atteindre 66 volumes parus à la mi-1914 (sur 72 prévus : il semble que le déclenchement de la guerre ai provoqué l'arrêt de la collection). Les textes ne sont pas signés, mais sont d'un bon niveau. Il est certain qu'Henry Roujon a écrit lui-même un certain nombre de volumes de la première série ; par ailleurs on sait qu'Henri Barbusse a écrit celui sur Meissonier et François Crastre ceux sur Rosa Bonheur, Bastien-Lepage, Puvis de Chavannes, Le Corrège, Véronèse, Henner et Goya.
P., Pierre Lafitte et Cie, s.d. (1909), in-8°, 79 pp, 8 tableaux reproduits en couleurs sur 8 pl. hors texte et une illustration en noir, cart. illustré de l'éditeur, imprimé sur bouffant, qqs rares rousseurs, bon état (Coll. Les Peintres illustres [n° 3])
Sous la direction d'Henry Roujon, secrétaire perpétuel de l'Académie des Beaux-Arts, Pierre Lafitte (1872-1938) fonde en 1909 la collection, « Les Peintres illustres / Artistic-Bibliothèque en couleurs », proposant des biographies de peintres avec des reproductions de tableaux en volumes cartonnés. C'était la première fois que l'édition en couleurs d'une série de biographies d'artistes était mise à la portée de tous. Initalement prévue en 24 volumes (un par mois), le succès amènera l'éditeur à publier une deuxième série (volumes 25 à 48), puis une troisième, jusqu'à atteindre 66 volumes parus à la mi-1914 (sur 72 prévus : il semble que le déclenchement de la guerre ai provoqué l'arrêt de la collection). Les textes ne sont pas signés, mais sont d'un bon niveau. Il est certain qu'Henry Roujon a écrit lui-même un certain nombre de volumes de la première série ; par ailleurs on sait qu'Henri Barbusse a écrit celui sur Meissonier et François Crastre ceux sur Rosa Bonheur, Bastien-Lepage, Puvis de Chavannes, Le Corrège, Véronèse, Henner et Goya.
P., Pierre Lafitte et Cie, s.d. (1910), in-8°, 80 pp, 8 tableaux reproduits en couleurs sur 8 pl. hors texte et une illustration en noir, cart. illustré de l'éditeur, imprimé sur bouffant, qqs rares rousseurs, bon état (Coll. Les Peintres illustres n° 14)
Sous la direction d'Henry Roujon, secrétaire perpétuel de l'Académie des Beaux-Arts, Pierre Lafitte (1872-1938) fonde en 1909 la collection, « Les Peintres illustres / Artistic-Bibliothèque en couleurs », proposant des biographies de peintres avec des reproductions de tableaux en volumes cartonnés. C'était la première fois que l'édition en couleurs d'une série de biographies d'artistes était mise à la portée de tous. Initalement prévue en 24 volumes (un par mois), le succès amènera l'éditeur à publier une deuxième série (volumes 25 à 48), puis une troisième, jusqu'à atteindre 66 volumes parus à la mi-1914 (sur 72 prévus : il semble que le déclenchement de la guerre ai provoqué l'arrêt de la collection). Les textes ne sont pas signés, mais sont d'un bon niveau. Il est certain qu'Henry Roujon a écrit lui-même un certain nombre de volumes de la première série ; par ailleurs on sait qu'Henri Barbusse a écrit celui sur Meissonier et François Crastre ceux sur Rosa Bonheur, Bastien-Lepage, Puvis de Chavannes, Le Corrège, Véronèse, Henner et Goya.
P., Pierre Lafitte et Cie, s.d. (1909), in-8°, 74 pp, préface de Henry Roujon, 8 tableaux reproduits en couleurs sur 8 pl. hors texte et une illustration en noir, cart. illustré de l'éditeur, imprimé sur bouffant, qqs rousseurs, bon état (Coll. Les Peintres illustres [n° 1])
Sous la direction d'Henry Roujon, secrétaire perpétuel de l'Académie des Beaux-Arts, Pierre Lafitte (1872-1938) fonde en 1909 la collection, « Les Peintres illustres / Artistic-Bibliothèque en couleurs », proposant des biographies de peintres avec des reproductions de tableaux en volumes cartonnés. C'était la première fois que l'édition en couleurs d'une série de biographies d'artistes était mise à la portée de tous. Initalement prévue en 24 volumes (un par mois), le succès amènera l'éditeur à publier une deuxième série (volumes 25 à 48), puis une troisième, jusqu'à atteindre 66 volumes parus à la mi-1914 (sur 72 prévus : il semble que le déclenchement de la guerre ai provoqué l'arrêt de la collection). Les textes ne sont pas signés, mais sont d'un bon niveau. Il est certain qu'Henry Roujon a écrit lui-même un certain nombre de volumes de la première série ; par ailleurs on sait qu'Henri Barbusse a écrit celui sur Meissonier et François Crastre ceux sur Rosa Bonheur, Bastien-Lepage, Puvis de Chavannes, Le Corrège, Véronèse, Henner et Goya.
P., Pierre Lafitte et Cie, s.d. (1911), in-8°, 80 pp, 8 tableaux reproduits en couleurs sur 8 pl. hors texte et une illustration en noir, cart. illustré de l'éditeur, imprimé sur bouffant, qqs rares rousseurs, bon état (Coll. Les Peintres illustres n° 26)
Ce volume a été écrit par François Crastre. — Sous la direction d'Henry Roujon, secrétaire perpétuel de l'Académie des Beaux-Arts, Pierre Lafitte (1872-1938) fonde en 1909 la collection, « Les Peintres illustres / Artistic-Bibliothèque en couleurs », proposant des biographies de peintres avec des reproductions de tableaux en volumes cartonnés. C'était la première fois que l'édition en couleurs d'une série de biographies d'artistes était mise à la portée de tous. Initalement prévue en 24 volumes (un par mois), le succès amènera l'éditeur à publier une deuxième série (volumes 25 à 48), puis une troisième, jusqu'à atteindre 66 volumes parus à la mi-1914 (sur 72 prévus : il semble que le déclenchement de la guerre ai provoqué l'arrêt de la collection). Les textes ne sont pas signés, mais sont d'un bon niveau. Il est certain qu'Henry Roujon a écrit lui-même un certain nombre de volumes de la première série ; par ailleurs on sait qu'Henri Barbusse a écrit celui sur Meissonier et François Crastre ceux sur Rosa Bonheur, Bastien-Lepage, Puvis de Chavannes, Le Corrège, Véronèse, Henner et Goya.
P., Pierre Lafitte et Cie, s.d. (1910), in-8°, 80 pp, 8 tableaux reproduits en couleurs sur 8 pl. hors texte et une illustration en noir, cart. illustré de l'éditeur, imprimé sur bouffant, qqs rares rousseurs, bon état (Coll. Les Peintres illustres n° 18)
Sous la direction d'Henry Roujon, secrétaire perpétuel de l'Académie des Beaux-Arts, Pierre Lafitte (1872-1938) fonde en 1909 la collection, « Les Peintres illustres / Artistic-Bibliothèque en couleurs », proposant des biographies de peintres avec des reproductions de tableaux en volumes cartonnés. C'était la première fois que l'édition en couleurs d'une série de biographies d'artistes était mise à la portée de tous. Initalement prévue en 24 volumes (un par mois), le succès amènera l'éditeur à publier une deuxième série (volumes 25 à 48), puis une troisième, jusqu'à atteindre 66 volumes parus à la mi-1914 (sur 72 prévus : il semble que le déclenchement de la guerre ai provoqué l'arrêt de la collection). Les textes ne sont pas signés, mais sont d'un bon niveau. Il est certain qu'Henry Roujon a écrit lui-même un certain nombre de volumes de la première série ; par ailleurs on sait qu'Henri Barbusse a écrit celui sur Meissonier et François Crastre ceux sur Rosa Bonheur, Bastien-Lepage, Puvis de Chavannes, Le Corrège, Véronèse, Henner et Goya.
P., Pierre Lafitte et Cie, s.d. (1911), in-8°, 80 pp, 8 tableaux reproduits en couleurs sur 8 pl. hors texte et une illustration en noir, cart. illustré de l'éditeur, imprimé sur bouffant, qqs rares rousseurs, bon état (Coll. Les Peintres illustres n° 25)
Ce volume a été écrit par Henri Barbusse. — Sous la direction d'Henry Roujon, secrétaire perpétuel de l'Académie des Beaux-Arts, Pierre Lafitte (1872-1938) fonde en 1909 la collection, « Les Peintres illustres / Artistic-Bibliothèque en couleurs », proposant des biographies de peintres avec des reproductions de tableaux en volumes cartonnés. C'était la première fois que l'édition en couleurs d'une série de biographies d'artistes était mise à la portée de tous. Initalement prévue en 24 volumes (un par mois), le succès amènera l'éditeur à publier une deuxième série (volumes 25 à 48), puis une troisième, jusqu'à atteindre 66 volumes parus à la mi-1914 (sur 72 prévus : il semble que le déclenchement de la guerre ai provoqué l'arrêt de la collection). Les textes ne sont pas signés, mais sont d'un bon niveau. Il est certain qu'Henry Roujon a écrit lui-même un certain nombre de volumes de la première série ; par ailleurs on sait qu'Henri Barbusse a écrit celui sur Meissonier et François Crastre ceux sur Rosa Bonheur, Bastien-Lepage, Puvis de Chavannes, Le Corrège, Véronèse, Henner et Goya.
Laffont, 1989, gr. in-8°, 350 pp, 8 pl. de gravures hors texte, importante biblio (11 pp), broché, couv. illustrée, bon état, prière d'insérer, envoi a.s.
"On ne peut manquer d'être sensible au choix et à l'exceptionnelle qualité des documents qui nous sont ici présentés. Ce sont certaines étapes, souvent les plus mal connues, toujours les plus significatives de cette cruelle histoire de la délinquance juvénile qui sont retracées avec une impitoyable lucidité. Et l'incomparable culture historique de l'auteur, les exigences de son information nous font découvrir des aventures ignorées comme celles de la jeunesse tumultueuse d'un révolutionnaire au cœur pur : Saint- Just. La longue expérience professionnelle de Y. R., ses efforts inlassables pour venir en aide à ces « enfants perdus », au-delà des exigences administratives et des obstacles, donnent à ses critiques de certaines réalisations et à la dénonciation de certains échecs un ton parfois amer mais jamais découragé. Et pourtant la répression paraît encore trop souvent le seul remède à ces situations de déviance où l' « histoire de notre temps » témoigne de la peur d'une société qui ne se défend que par la prison. Comment après cette succession d'échecs de la justice et de l'éducation ne pas souhaiter avec Y. R. « l'indispensable remise en cause de tout un appareil social, éducatif et médical qui, bien trop souvent, de rejet en rejet, ne connaît plus d'autre aboutissement que la néfaste et inutile incarcération »." (Hélène Gratiot-Alphandéry, Enfance, 1991)
Club des Libraires de France, 1955, in-8°, (4)-347 pp, 11 photos de vues aériennes de paysages sur 21 pl. hors texte, imprimé sur Alfa d'Avignon, reliure toile illustrée de l'éditeur (maquette de Pierre Faucheux), qqs rares piqures sur les premiers et derniers feuillets, bon état
"II est fort bien d'avoir réimprimé l'Histoire de la campagne française de Gaston Roupnel, cette manière de petit chef-d'œuvre personnel – ou, si l'on préfère, ce grand poème lyrique du meilleur connaisseur de nos campagnes de l'Est. Seulement, on aimerait trouver au moins une note indiquant, au lecteur ignorant de ces détails, que l'auteur est mort, que son livre depuis longtemps épuisé date de 1932, et que l'ouvrage actuel est une réimpression... Tant pis !... J'aimerais que nos éditeurs aient toujours le même souci, le même scrupule de présentation que les grands auteurs qu'ils publient." (Lucien Febvre, Annales ESC, 1956) — "M. Roupnel nous apporte de belles vues d'ensemble sur la campagne française. Le livre qu'il nous donne ainsi s'inspire de préoccupations qui ne sont pas sans rappeler celles que nous trouvions dans l'ouvrage de M. Marc Bloch. Le travail de M. Roupnel, qui paraît après celui de M. Bloch, avait été à peu près complètement rédigé auparavant ; il en résulte qu'aucun des deux auteurs n'a pu tirer parti de l'œuvre de l'autre, ce qui est regrettable. En tout cas, réjouissons-nous de l'attention que les historiens français manifestent pour ce que furent dans le passé gens et choses de la terre. Du livre de M. Roupnel nous ne retiendrons pas ce qui rentre plus particulièrement dans le domaine des historiens, ni cette hypothèse d'un grand peuple ligure venant de l'Est à l'époque néolithique et fondant la civilisation agricole de l'Europe occidentale, ni cette autre hypothèse si ingénieusement construite, si habilement appuyée sur les traditions et usages qui se sont perpétués autour du manoir anglais, et d'après laquelle le régime domanial du Moyen Age trouve son origine dans un régime communautaire primitif : « sous le revêtement superficiel du système féodal, la communauté villageoise subsiste encore au Moyen Age comme la réalité profonde de nos campagnes » . Ce n'est pas seulement bien des traits du régime féodal que M. Roupnel fait remonter à cette communauté primitive ; l'organisation systématique des champs, l'existence des biens communaux, les contraintes collectives de l'exploitation rurale, autant de faits qu'il y rattache ; autant de questions qui ne sont pas sans préoccuper les géographes..." (Philippe Arbos, Revue de géographie alpine, 1933)
Grasset, 1938, in-12, 429 pp, broché, très bon état
2e tirage. La première édition est parue en 1932. — "L'Histoire de la campagne française de Gaston Roupnel est un petit chef-d'œuvre personnel – ou, si l'on préfère, un grand poème lyrique du meilleur connaisseur de nos campagnes de l'Est." (Lucien Febvre, Annales) — "M. Roupnel nous apporte de belles vues d'ensemble sur la campagne française. Réjouissons-nous de l'attention que les historiens français manifestent pour ce que furent dans le passé gens et choses de la terre. [L'auteur présente] cette hypothèse d'un grand peuple ligure venant de l'Est à l'époque néolithique et fondant la civilisation agricole de l'Europe occidentale, et cette autre hypothèse si ingénieusement construite, si habilement appuyée sur les traditions et usages qui se sont perpétués autour du manoir anglais, et d'après laquelle le régime domanial du Moyen Age trouve son origine dans un régime communautaire primitif : « sous le revêtement superficiel du système féodal, la communauté villageoise subsiste encore au Moyen Age comme la réalité profonde de nos campagnes » . Ce n'est pas seulement bien des traits du régime féodal que M. Roupnel fait remonter à cette communauté primitive ; l'organisation systématique des champs, l'existence des biens communaux, les contraintes collectives de l'exploitation rurale, autant de faits qu'il y rattache ; autant de questions qui ne sont pas sans préoccuper les géographes..." (Philippe Arbos, Revue de géographie alpine, 1933)
Grasset, 1943, in-12, 413 pp, un portrait de l'auteur dessiné par R. Joël en frontispice, reliure demi-percaline brique, dos lisse avec un fleuron doré, pièce de titre basane verte (rel. de l'époque), charnières fendues, C. de bibl., état correct
Un classique des sciences sociales. Sa défense d'une « histoire structurale » sera appréciée par Fernand Braudel et constitue l'une des sources de sa réflexion sur la longue durée. — "... Non seulement vous avez apprécié avec clairvoyance et indulgence, mais vous avez deviné que ce livre d'histoire avait « son » histoire. J'ai commencé de l'écrire dans les tout premiers jours de juillet 1940. Je venais de voir passer dans mon village de Gevrey-Chambertin, sur la grande route nationale, les flots de l'exode, du douloureux exode, les pauvres gens, les voitures, les charrettes, les gens à pied, une lamentable humanité, toute la misère des routes, et cela pêle-mêle avec des troupes, des soldats sans armes, les restes de l'armée française. Cette immense panique : c'était cela, la France !... Et devant notre maison campaient les soldats de la Wehrmacht, les blindés, les chefs, les guerriers, les vainqueurs !... Quelles atroces journées !... Sur mes vieux jours, aux infortunes irrémédiables de la vie privée allait s'ajouter le sentiment de l'infortune publique, nationale... A deux pas de chez nous l'Allemand était en train de construire sa frontière nouvelle : la ligne de démarcation, cette ligne qui devait pour toujours couper la France en deux !... On en était là. C'était l'aboutissement d'une vieille histoire !... Cette histoire, je l'avais enseignée pendant plus de quarante ans, enseignée avec confiance et avec foi !... De colère et de dépit j'ai commencé d'écrire cette première partie dont le ton pamphlétaire et l'allure critique ont si souvent déplu et déçu. J'en voulais à cette « histoire » qui aurait dû nous être l'expérience de la vie passée, et qui ne paraissait plus rien, qui n'était ni avertissement, ni souvenir utile, ni espoir, ni consolation !..." (Gaston Roupnel, lettre à Fernand Braudel)
Grasset, 1943, in-12, 413 pp, un portrait de l'auteur dessiné par R. Joël en frontispice, broché, couv. lég. salie, pt accroc au dos, état correct
Un classique des sciences sociales. Sa défense d'une « histoire structurale » sera appréciée par Fernand Braudel et constitue l'une des sources de sa réflexion sur la longue durée. — "... Non seulement vous avez apprécié avec clairvoyance et indulgence, mais vous avez deviné que ce livre d'histoire avait « son » histoire. J'ai commencé de l'écrire dans les tout premiers jours de juillet 1940. Je venais de voir passer dans mon village de Gevrey-Chambertin, sur la grande route nationale, les flots de l'exode, du douloureux exode, les pauvres gens, les voitures, les charrettes, les gens à pied, une lamentable humanité, toute la misère des routes, et cela pêle-mêle avec des troupes, des soldats sans armes, les restes de l'armée française. Cette immense panique : c'était cela, la France !... Et devant notre maison campaient les soldats de la Wehrmacht, les blindés, les chefs, les guerriers, les vainqueurs !... Quelles atroces journées !... Sur mes vieux jours, aux infortunes irrémédiables de la vie privée allait s'ajouter le sentiment de l'infortune publique, nationale... A deux pas de chez nous l'Allemand était en train de construire sa frontière nouvelle : la ligne de démarcation, cette ligne qui devait pour toujours couper la France en deux !... On en était là. C'était l'aboutissement d'une vieille histoire !... Cette histoire, je l'avais enseignée pendant plus de quarante ans, enseignée avec confiance et avec foi !... De colère et de dépit j'ai commencé d'écrire cette première partie dont le ton pamphlétaire et l'allure critique ont si souvent déplu et déçu. J'en voulais à cette « histoire » qui aurait dû nous être l'expérience de la vie passée, et qui ne paraissait plus rien, qui n'était ni avertissement, ni souvenir utile, ni espoir, ni consolation !..." (Gaston Roupnel, lettre à Fernand Braudel)
Pantin, Centre national de la danse , 2002, gr. in-8°, 191 pp, 24 pl. de photos en noir et en couleurs hors texte, chronologie, corpus (classement par artiste), broché, couv. illustrée, bon état
Recueil d'essais de théoriciens et de praticiens de la danse mettant en lumière la multiplication des représentations solo sur les scènes européennes depuis le début du XXe siècle. Ils évoquent le renouvellement esthétique, la dimension politique ou idéologique que prend parfois cette forme de création, ce qui rapproche et ce qui sépare les solistes. — On assiste aujourd'hui sur la scène européenne à la multiplication des performances en solo. Comment expliquer ce phénomène ? L'invocation de raisons pratiques ou économiques ne suffit évidemment pas. Alors que les chorégraphes actuels remettent en question le spectacle et le spectaculaire, le solo représente-t-il le lieu privilégié d'une expérimentation et d'un renouvellement esthétique ? Apparu à l'orée du XXe siècle, en même temps que la danse moderne, il n'a cessé depuis lors de se manifester sous des formes variées, souvent empreintes d'une dimension politique ou idéologique. Quel sens donner à cette émergence ? Comment distinguer ce qui rapproche et ce qui sépare le danseur en solo des autres solistes ? Pourquoi le danseur est-il attiré vers cette forme de création solitaire ? Cherche-t-il par son biais à être à la fois acteur et spectateur de lui-même, explorateur et créateur de sa propre matière gestuelle ? Le présent ouvrage est un recueil d'essais où théoriciens et praticiens de la danse mettent en perspective les multiples interprétations du solo dansé.
P., Amis du Club du Livre du mois, 1958 2 vol. in-4°, 511 pp, pagination continue, 16 planches en couleurs hors texte (11 de photos et 5 illustrations par Geo Ham), très nombreuses gravures et photos en noir dans le texte, tiré sur papier héliogravure, exemplaire n° 98, reliures toile décorées de l'éditeur, bon état
"Ce livre, à l'aide d'excellents textes et de nombreuses illustrations, retrace l'histoire de l'automobile par la plume de Jacques Rousseau, le mieux documenté de nos techniciens." (Le Monde) — Jacques Rousseau, historien de l'automobile durant ses temps de loisirs, est connu pour son ouvrage en deux tomes "Histoire mondiale de l'Automobile" paru en 1958 chez Hachette. Ingénieur des Arts et Métiers, il travailla à partir de 1958 chez Simca.
Club des Libraires de France, 1962, pt in-8°, xxxv-305 pp, 8 planches hors texte de reproductions contrecollées en couleurs, reliure toile blanche à rayures brunes de l'éditeur décorée d'une vignette (silhouette de Rousseau), rhodoïd, ex. tiré sur vélin blanc et numéroté, bon état
Les lettres botaniques de Jean-Jacques Rousseau adressées à Madame Delessert, à la duchesse de Portland, à MM. Liotard, du Peyrou, Clappier, Gouan, de La Tourette, de Malesherbes et Linné, présentées par Bernard Gagnebin, suivies du “Fragment de dictionnaire des termes en usage en botanique” préfacé et annoté par Ernest J. Bonnot, avec huit pages d'herbier reproduites en couleurs. — "Philosophe, éducateur, politicien, compositeur, ... promeneur solitaire, J.-J. Rousseau était aussi botaniste. Sa vie durant et avec un entrain et une activité variables, il s'adonna à cette étude de la nature qui le détournait de ses angoisses et de ses obsessions. Il était en relation avec d'excellents naturalistes de son époque, tels Gouan, de La Tourette, et même avec Linné : la correspondance qu'il entretint avec eux montre que ses connaissances scientifiques étaient loin d'être négligeables. A d'autres correspondants, amateurs ou simples curieux de la nature comme sa cousine Mme Delessert de Lyon, la duchesse de Portland, M. Du Peyrou, le Dr Pierre Clappier, etc., il adressait des plantes et parfois même de véritables cours de botanique très bien menés et fort concrets, qui font l'objet de ses lettres. On trouve aussi dans celles-ci des relations d'excursions (comme celle, d'ailleurs peu agréable, qu'il fit au Mont-Pilat !). Les pages d'introduction de B. Gagnebin, spécialiste de Rousseau, sont la biographie souvent émouvante de Jean-Jacques botaniste. Cet homme universel avait aussi le projet de publier un “Dictionnaire de Botanique”, mais cette œuvre se limita aux termes les plus courants. Les définitions y sont données avec un sens critique que beaucoup de scientifiques actuels seront étonnés de découvrir sous la plume d'un littéraire. Qu'on lise, par exemple, sa longue définition de la « Fleur » ; elle est remarquable de rigueur et de précision. Les commentaires (par notre sociétaire E.-J. Bonnot, membre du Groupe de Roanne) ont pour but de montrer comment, depuis le XVIIIe siècle, les mots définis par Rousseau ont vécu : bien peu nous sont parvenus avec leur sens d'alors ; beaucoup se sont spécialisés et sont l'image de faits plus clairs, plus précis, ayant bénéficié de techniques nouvelles d'observation ; beaucoup sont tombés en désuétude mais certains ont fait fortune parce qu'ils représentaient des données fondamentales pour la compréhension du monde végétal ; d'autres encore se sont conservés intacts grâce à l'utilisation qu'on en a faite dans la nomenclature binominale. L'ouvrage, très bien présenté, est agrémenté de photographies hors texte de planches de l'Herbier de Rousseau : Daucus carota, Alchemilla alpina, etc., Mousses diverses (Mnium undulatum, Hypnum splendens...). Bref, c'est un aspect du travail et de la personnalité du philosophe qui méritait d'être connu, car il constitue une page non dénuée de charme et d'intérêt dans l'histoire des sciences de la Nature !" (Publications de la Société Linnéenne de Lyon, 1963)
Fayard, 1961, in-12, 561 pp, notes, index des noms cités, broché, couv. à rabats, bon état (Coll. Les Grandes études historiques) (Prix Thérouanne de l'Académie française 1962)
Ouvrage d'une lecture toujours très plaisante. L'éditeur promet un livre "complet, documenté, passionnant à lire" et termine par : "C'est un voyage merveilleux qui vous est proposé ; à cheval, en voiture, en bateau, en train, en auto, en avion... Embarquez-vous ! On part..." — Table : Des ombres de la Préhistoire sortent la roue et la barque ; Gloire et agonie de la voie romaine ; Trente siècles de navigation ; Routes et canaux au Grand Siècle ; Révolution industrielle et révolution des transports ; Histoire de la voile ; La vapeur conquiert l'Occident ; Le chemin de fer tentaculaire ; La route avant le moteur ; Avènement du moteur ; La troisième dimension (l'aviation).
Nathan, 1979, in-8°, 253 pp, biblio, broché, bon état
"Il y a deux démographies distinctes. L'une, la plus développée à notre époque s'intéresse à la mesure des phénomènes, elle regroupe l'analyse et les méthodes pour ordonner les statistiques anciennes ou actuelles. L'autre est plus soucieuse de comprendre l'influence réciproque de la population, de l'économie et des structures sociales. La première démographie pourrait s'appeler démométrie, et la seconde démologie. A. Roussel retrace l'histoire de cette dernière à travers un choix judicieux de textes qu'il introduit par d'intéressants commentaires. Il a retrouvé les passages où les auteurs anciens parlent de population et les cite assez longuement pour qu'on en aperçoive la complexité..." (Population, 1981)
Panazol, Editions Lavauzelle, 2002, 2 vol. in-8°, vii-525 pp, pagination continue, illustrés de 169 gravures sur bois, dessinées par A. Ferdinandus, Jeanniot, Lemaistre, Fr. Régamey et P. Renouard, reliures demi-basane acajou mouchetée de l'éditeur, dos à 4 faux-nerfs, bon état. Réimpression de l'édition de 1888
Neuf grandes écoles : l'Ecole Navale, l'Ecole spéciale militaire de Saint-Cyr, l'Ecole Polytechnique, l'Ecole Centrale des arts et manufactures ; l'Ecole des Beaux-Arts, l'Ecole de Médecine, l'Ecole de Droit, l'Ecole Normale supérieure, l'Ecole Forestière. L'ouvrage se présente sous forme de lettres qu'auraient pu s'écrire des élèves issus de ces écoles ; Navale, Saint-Cyr et Polytechnique tenant le haut du pavé.