8, rue Bréa
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France
E-mail : clio.histoire@free.fr
Phone number : 01 43 54 43 61 Arthaud, 1961, in-8°, 466 pp, 20 héliogravures hors texte, 80 dessins de l'auteur dans le texte, biblio, index, broché, jaquette illustrée lég. abîmée, bon état
"La civilisation étrusque nous a livré un ensemble considérable de 9.000 inscriptions, sur lesquelles une trentaine de mots seulement avaient été déchiffrés ; mais l'on était resté jusqu'à présent dans l'ignorance, et de l'origine de ce peuple (oriental ou italique autochtone ?), et de la signification de sa langue... En fait, la reconstitution d'une langue oubliée depuis le début de notre ère demande, suivant l'expression de Mayani « une longue lutte, beaucoup de discernement et beaucoup de persévérance » ; en associant la méthode comparative et la méthode combinatoire, l'auteur a fait précisément preuve d'un tel discernement et a trouvé dans la langue albanaise la clé qui lui a permis d'interpréter de nombreuses inscriptions laissées par un des peuples les plus secrets de l'Antiquité. Ainsi se trouvent élucidés nombre de mots, qui apparaissent en harmonie avec la nature de la fresque ou de l'objet où ces mots sont inscrits; ils nous font pénétrer le milieu étrusque, aussi bien sur le marché que chez le médecin, le prêtre ou l'administrateur, et ils nous font comprendre le sens des paroles prononcées. Certes tout n'est pas devenu facile, mais le silence de la langue étrusque est désormais rompu, ce qui semblait mort est ramené doucement à la vie, tantôt avec une netteté stupéfiante, tantôt sous des aspects encore voilés et imprécis. La valeur d'un tel travail est considérable, tant il est vrai que, au fond, « l'archéologie est la reconstitution de la vie »." (Max Vauthey, Revue archéologique du Centre de la France, 1962)
Arthaud, 1961, in-8°, 466 pp, 20 héliogravures hors texte, 80 dessins de l'auteur dans le texte, biblio, index, reliure pleine basane fauve, dos à 4 nerfs soulignés à froid, pièce de titre basane vermillon (rel. de l'époque), bon état
"La civilisation étrusque nous a livré un ensemble considérable de 9.000 inscriptions, sur lesquelles une trentaine de mots seulement avaient été déchiffrés ; mais l'on était resté jusqu'à présent dans l'ignorance, et de l'origine de ce peuple (oriental ou italique autochtone ?), et de la signification de sa langue... En associant la méthode comparative et la méthode combinatoire, Mayani a trouvé dans la langue albanaise la clé qui lui a permis d'interpréter de nombreuses inscriptions laissées par un des peuples les plus secrets de l'Antiquité. Ainsi se trouvent élucidés nombre de mots, qui apparaissent en harmonie avec la nature de la fresque ou de l'objet où ces mots sont inscrits; ils nous font pénétrer le milieu étrusque, aussi bien sur le marché que chez le médecin, le prêtre ou l'administrateur, et ils nous font comprendre le sens des paroles prononcées. Certes tout n'est pas devenu facile, mais le silence de la langue étrusque est désormais rompu, ce qui semblait mort est ramené doucement à la vie, tantôt avec une netteté stupéfiante, tantôt sous des aspects encore voilés et imprécis. La valeur d'un tel travail est considérable." (Max Vauthey, Revue archéologique du Centre de la France, 1962)
Fayard, 1987, in-8°, 568 pp, biblio, index, broché, bon état
Cette biographie s'intéresse surtout au jeune Socrate. Il y est présenté non pas comme un mutant miraculeux mais comme la maturité d'une prise de conscience athénienne.
London, Thames and Hudson, 1973, pt in-8°, 216 pp, 117 illustrations (dont 29 en couleurs), une carte, index, broché, bon état. Texte en anglais
Bruxelles, Revue d'Etudes latines, 1970, gr. in-8°, 138 pp, biblio, index, broché, bon état (Coll. Latomus, vol. 115)
"Les rites de la nouvelle année sont peut-être, parmi les rites anciens voire archaïques, ceux que nous pouvons le plus facilement comprendre : en effet, certains de leurs éléments ont subsisté jusqu'à nous. Ainsi l'ouvrage de M. Meslin montre que la fête romaine des kalendes de janvier représente le cas très rare de la persistance bi-millénaire d'un rituel célébrant le temps nouveau." (Hervé Rousseau, L'Antiquité classique, 1972)
Bordas-Laffont, 1971, gr. in-8°, 608 pp, 44 pl. d'illustrations en couleurs hors texte, environ 500 illustrations, cartes et tableaux, index, reliure pleine toile décorée de l'éditeur, jaquette illustrée, bon état
"M. Meuleau inaugure la collection qu'il dirige, “Le Monde et son histoire”, par deux gros volumes qu'il a eu le courage et le mérite de rédiger lui-même : Maurice Meuleau, “Le monde antique”. L'essentiel du second volume est consacré à Rome et à ses provinces, sans que soient négligées les civilisations d'Extrême-Orient et le monde barbare. On y retrouve les mêmes qualités d'équilibre que dans le premier ; des sous-titres bien choisis scandent heureusement un texte généralement bien informé. On louera l'effort de synthèse (bonne bibliographie), l'attention portée aux problèmes économiques, sociaux, culturels, on admirera beaucoup l'illustration, exceptionnellement abondante et originale ; documents peu connus, comme la Muse de Cortone, p. 216, nombreuses monnaies, objets de la vie quotidienne, paysages. Une admirable série de portraits et de paysages est intercalée dans les index détaillés du second volume (noms de personnes et de lieux)." (R. Chevallier, Revue belge de philologie et d'histoire, 1967)
Albin Michel, 1941, in-8°, xi-345 pp, 16 pl. de gravures hors texte, index, broché, bon état
Mazenod, 1973, fort in-4°, 601 pp, 1041 reproductions, cartes et plans, en noir et en couleurs, reliure toile éditeur, sans la jaquette, bon état (Coll. L'Art et les grandes civilisations)
Un ouvrage qui a fait date et qui reste unique. Destiné à l'amateur éclairé, l'ouvrage, grâce à de magnifiques illustrations convient également au lecteur désireux seulement de le feuilleter, et faire ainsi défiler l'épopée pharaonienne, image après image. C'est un musée photographique unique, immense. Plans et notices chronologiques aident à la compréhension mais l'ampleur de l'ouvrage est telle que l'on ne peut que le revisiter régulièrement.
Club Français du Livre, 1959, in-8°, 302 pp, 4 illustrations à pleine page, biblio, reliure toile brique décorée de l'éditeur, bon état. Bien complet des deux dépliants volants (l'un comprenant 3 cartes, l'autre un Tableau chronologique comparatif)
Destinée captivante que celle du Bouddhisme, né sous la forme d'un schisme de l'Hindouisme, et devenu – avec le Christianisme et l'Islam – l'une des trois grandes religions du monde ; Enrichi par des affrontements idéologiques dus à son expansion rapide hors des frontières de l'Inde, le Bouddhisme a fermenté et bouleversé toute la pensée orientale. A la source de ce foisonnement d'idées : un homme – en qui certains on vu un Dieu –, le Bouddha. Posant un regard clairvoyant et révélateur sur la souffrance universelle, le Bouddha a vécu et prêché le détachement, la tolérance et l'indifférence aux contingences matérielles, dans le but de délivrer l'homme du cycle infernal de la transmigration et de le guider vers l'harmonie parfait du Nirvana. André Migot fait bien plus ici que nous raconter la vie du Bouddha et nous décrire sa pensée. Il révèle à notre rationalisme occidental le rayonnement d'un prophète immortel et amène le lecteur, même le plus critique, à s'intéresser aux différents aspects de la sagesse bouddhique.
Club Français du Livre, 1969, in-8°, 302 pp, 4 illustrations à pleine page, 3 cartes sur un dépliant volant, biblio, reliure plein cuir caramel décorée de l'éditeur, dos lisse, bon état
Destinée captivante que celle du Bouddhisme, né sous la forme d'un schisme de l'Hindouisme, et devenu – avec le Christianisme et l'Islam – l'une des trois grandes religions du monde ; Enrichi par des affrontements idéologiques dus à son expansion rapide hors des frontières de l'Inde, le Bouddhisme a fermenté et bouleversé toute la pensée orientale. A la source de ce foisonnement d'idées : un homme – en qui certains on vu un Dieu –, le Bouddha. Posant un regard clairvoyant et révélateur sur la souffrance universelle, le Bouddha a vécu et prêché le détachement, la tolérance et l'indifférence aux contingences matérielles, dans le but de délivrer l'homme du cycle infernal de la transmigration et de le guider vers l'harmonie parfait du Nirvana. André Migot fait bien plus ici que nous raconter la vie du Bouddha et nous décrire sa pensée. Il révèle à notre rationalisme occidental le rayonnement d'un prophète immortel et amène le lecteur, même le plus critique, à s'intéresser aux différents aspects de la sagesse bouddhique.
Hachette, 1957, in-8°, 266 pp, broché, couv. illustrée, dos lég. taché, qqs marques au stylo en marge sur les 6 premières pages, bon état
"Monsieur Mireaux est trop passionné des poèmes homériques pour n'avoir pas réussi à écrire un ouvrage d'une lecture facile, agréable, voire attachante, sans excès d'érudition. Écrit avec amour d'une façon alerte et claire, ce livre n'en apporte pas moins un tableau d'ensemble de la vie quotidienne des héros de l'Iliade et l'Odyssée." (L'Antiquité Classique, 1955)
Maspero, 1980, in-8°, 260 pp, 46 figures, cartes, plans et photos, biblio, index, broché, couv. illustrée à rabats, bon état (Coll. Textes à l'appui)
L'archéologie est traditionnellement une discipline un peu désuète qu'on imagine pratiquée par des jeunes gens enthousiastes et de vieux professeurs. Le livre de C. A. Moberg vient à point pour déranger cette idée reçue. Introduction à l'archéologie, ouvrage non conformiste, s'attache – parfois avec humour – à décrire les règles et les méthodes de l'archéologie moderne, du chantier au laboratoire.
Picard, 1991, gr. in-8°, 447 pp, nombreuses illustrations dans le texte (cartes, croquis, photos), biblio, broché, couv. illustrée, bon état (Coll. Millénaires)
36 études érudites (dont 18 en anglais) — La naissance de la métallurgie et de l'orfèvrerie implique l'analyse des relations culturelles entre l'Europe et le Proche-Orient, du Ve au IIIe millénaire. De nouveaux travaux tant paléométallurgiques qu'archéologiques font ici la synthèse de nos connaissances sur l'origine de ces productions apparues en plein Néolithique dans certaines régions du Sud-Est de l'Europe, à Varna (Bulgarie) en particulier, et mettent en évidence l'autonomie ou les liens des centres métallurgiques dans une société nouvelle.
De Boccard, 1940, gr. in-8°, (8)-84 pp, 61 pp en francais suivi de 22 pp en arabe, broché, surlignures stabilo et annotations crayon sur 17 pp, sinon bon état (Études orientales publiées par l'Institut francais d'archéologie de Stanboul, VI)
Editions de l'Eclat, 1992, in-8°, 246 pp, traduit de l'italien, biblio, index, broché, jaquette illustrée, bon état
Chez Philippe de Macédoine, « un homme à l'âme profonde et ambiguë qui suscitera à chaque pas notre hésitation, une qualité pourtant se détache avec une grande netteté: la vertu du guerrier, prêt à payer de sa personne, audacieux jusqu'à la témérité, capable de toutes les surprises, meneur de soldats. » Au-delà de ce portrait efficace, le Philippe de Momigliano est plus qu'une simple biographie. Le personnage est intégré à la réalité grecque et barbare de son temps, comme à l'histoire de la Macédoine, esquissées avec une habileté et une vigueur synthétiques, non seulement au plan de l'histoire événementielle, mais aussi de leurs fondements plus profonds et contradictoires, comme la conception de la liberté politique rapportée à la conception moderne. C'est cette ample contextualisation qui constitue la grande originalité de ce livre – écrit en 1932 – ce qui fit écrire à un critique de l'époque : « C'est un chef d'oeuvre... Momigliano a l'imagination d'un véritable historien. » Réédité peu avant sa mort, cet ouvrage a fait l'objet d'une nouvelle préface dans laquelle Momigliano écrit: « Ce que je peux dire c'est que dans ce petit livre, naquit un ensemble de questions auxquelles j'ai consacré toute ma vie. » Philippe introduit à la grande œuvre d'Arnaldo Momigliano en ce qu'il contient en germe ce qui sera par la suite sa préoccupation première, à savoir les questions de la liberté et de l'articulation des Sagesses barbares au corps de l'hellénisme.
P., Ancienne Maison Quantin, 1892, gr. in-8°, 320 pp, 94 illustrations et plans, reliure pleine percaline carmin de l'éditeur, dos lisse avec titres dorés et fleurons en noir, 1er plat illustré d'une vignette et de deux branches dorées, bon état (Coll. Bibliothèque d'Histoire illustrée)
"... C'est une série d'essais, écrits avec beaucoup d'élégance, sur la religion, la propriété, la famille, l'Etat, l'unité nationale, l'art et la vie matérielle de la Grèce antique, d'où se dégage très nette la physionomie si complexe du peuple hellénique avec ses idées et ses conceptions surces différents sujets. Grâce à une analyse approfondie des textes et à un consciencieux examen des monuments, grâce aux progrès récents de l'épigraphie et de l'archéologie, grâce enfin aux recherches patientes et fécondes de l'érudition contemporaine, l'auteur est parvenu à faire une reconstitution exacte et vivante de ce peuple grec, unique dans l'histoire de la civilisation, à la fois politique et artiste, savant et lettré... Bien qu'Athènes tienne naturellement dans le livre la plus grande place, on ne peut que féliciter M. Monceaux d'avoir, à de fréquentes reprises, tourné ses regards du côté des antiquités moins connues des autres villes. Des gravures, presque toutes excellentes, et choisies avec autant de soin que de goût, ont été intercalées dans le texte. La lecture de la Grèce avant Alexandre est facile, attachante et agréable : elle est de celles. trop rares, dont il est permis de dire que ceux qui savent y trouveront autant de plaisir que ceux qui désirent apprendre y trouveront de profit." (Revue des Questions historiques, 1894) — "... ancien membre de l'Ecole française d'Athènes, ayant dirigé des fouilles importantes, ayant parcouru et visité de nombreuses régions de la Grèce, ayant étudié sur place de nombreux documents littéraires archéologiques, épigraphiques, il publia plusieurs ouvrages d'histoire et d'archéologie grecques : outre ses deux thèses de doctorat, Les Proxénies grecques et De cornmuni Asiae provinciae (1886), le compte rendu de ses Fouilles au Sanctuaire des Jeux Isthmiques (1884) et surtout le magnifique volume, en collaboration avec Victor Laloux, sur La Restauration d'Olympie, l'histoire, les monuments, le culte et les fêles. A ces livres d'une érudition exacte et précise, il convient d'ajouter un volume d'une lecture aussi agréable que solide sur La Grèce avant Alexandre. Paul Monceaux (1859-1941) s'avérait ainsi comme un helléniste, un historien de la Grèce d'une compétence et d'un talent incontestables..." (Jules Toutain)
P., Domat-Montchrestien, 1941-1948, 2 vol. in-8°, (10)-719 et 345 pp, biblio, index, le premier volume en reliure demi-toile, avec les plats de couv. originaux collés sur les plats, qqs rares soulignures crayon, le tome II est broché, couv. lég. tachée, bon état
Le dernier des grands traités de droit romain. — "... Son œuvre la plus durable est le Manuel élémentaire de Droit Romain qu'il rédigea tout jeune, et qui devait connaître un grand succès puisqu'il en fut publié six éditions en treize ans. Bien que destiné aux étudiants, c'est un ouvrage scientifique de haute valeur qui n'est pas indigne de ses illustres devanciers en langue française, les Manuels de Girard et de Cuq. Il se fait apprécier par une forte érudition, une information étendue, facilitée par, la bonne connaissance qu'avait l'auteur de l'allemand, de l'anglais et de l'italien, et surtout par la sagacité avec laquelle sont examinés les innombrables problèmes que le droit romain ne cesse de nous présenter (car il semble que plus on l'étudie, plus il ouvre au chercheur de nouvelles perspectives)." (Henri Lévy-Bruhl, Revue du Nord, 1958) — Tome premier : Introduction historique, les sources, la procédure, les personnes, les droits réels, les successions (3e édition, revue et complétée). – Tome II : Les obligations (4e édition revue et complétée).
Julliard/Pauvert, 1984, fort in-8°, 739 pp, 3 cartes, une généalogie, broché, couv. illustrée, bon état
Ce roman retrace l'histoire du jeune et innocent Kaeso, vers la fin de la dynastie issue du sang de César, époque charnière où s'entrecroisent de façon aiguë les questions juive, arménienne, chrétienne, et la question même de l'avenir de Rome – et du notre. La vieille Ville va mourir et de ses cendres doit renaître une Rome resplendissante qu'un Néron artiste rêve de baptiser de son nom. Au mythe de la Néropolis s'oppose le mythe chrétien de la cité vertueuse. Période baroque et passionnée s'il en fut, marquée par l'émancipation provocatrice des femmes, la fascination de l'inceste, le massacre des enfants, les tortures inquisitoriales, les tueries de l'amphithéâtre, la tragique brutalité des courses de chars, la vogue de la bestialité et du théâtre pornographique, le succès des lupanars, l'exhibitionnisme des sodomites et des gitons, les honteuses délices de l'esclavage, l'apogée des débauches de groupe et le premier génocide pour raison d'Etat, tandis que les étranges soldats du Christ spéculent sur une apocalypse qui ne sera pas encore au rendez-vous. Enfin, les Romains tels qu'ils furent vraiment, vus par un historien rigoureux et minutieux, mais qui est d'abord un romancier à l'humour noir, amateur de métaphysique troublante ! Néron, époux comblé de Poppée, de Pythagoras et de Sporus, ainsi que Sénèque, Pierre et Paul ont respiré la même atmosphère vicieuse et viciée. De tels contrastes valaient qu'une plume impartiale récrive un Quo Vadis sans convention, à la lumière, certes, des dernières thèses parues, mais en accord aussi avec les sensibilités et les curiosités de notre époque inquiète, où semblent reparaître des Nérons qui n'ont pas même à leurs débordements l'excuse de l'art.
Payot, 1924, in-12, 318 pp, broché, petit manque au 2e plat, papier jauni, état correct
Hachette, 1948, in-8°, 349 pp, reliure bradel récent pleine toile brique, pièce de titre basane noire, bon état
En 1925, la thèse de doctorat de Pierre Montet fut consacrée aux “Scènes de la vie privée dans les tombeaux égyptiens de l'Ancien Empire” ; ce livre demeure une contribution fondamentale de l'archéologie égyptienne. Plus tard, en 1946, revenant au sujet de sa thèse, il publia un livre aussi bien documenté que vivant sur “La vie quotidienne en Egypte au temps des Ramsès” ; traduit en de nombreuses langues, ce fut, pour toute une génération, l'introduction obligée à un voyage aux rives du Nil... (Jean Leclant, Revue Archéologique) — "Pourquoi nos collections sont-elles mille fois plus riches en sarcophages et en stèles qu'en objets fabriqués pour les besoins des vivants ? C'est parce qu'il faisait bon vivre au bord du Nil ; les Egyptiens débordaient de reconnaissance envers leurs dieux et cherchaient par tous les moyens de jouir jusque dans leur tombeau des biens de ce monde. Pour son étude, Pierre Montet a choisi la période des Sétoui et des Ramsès, c'est-à-dire de 1320 à 1100 avant Jésus-Christ, période illustrée par trois règnes magnifiques, ceux de Sétoui Ier, de Ramsès II et de Ramsès III. Pierre Montet a utilisé ces sources avec un très grand talent et sans perdre de vue qu'elles portent sur trois mille ans d'histoire et que, pendant cette période, les moeurs égyptiennes ont subi une évolution marquée. Que n'apprenons-nous pas !... que les époux faisaient chambre à part, au moins chez les gens aisés ; que la femme infidèle étaient punie de mort ; que si tous les enfants étaient bien accueillis, le désir d'avoir un garçon était universel ; que la culture des céréales étaient la culture essentielle et que la préparation de la farine et du pain était longue et minutieuse ; que cette époque connut, comme la nôtre, bien des guerres avec l'étranger et bien des troubles intérieurs... Voici un livre qui doit trouver sa place dans toutes les bibliothèques de lecteurs cultivés et qui peut rendre d'immenses services à tous les étudiants."
Hachette, 1967, in-8°, 346 pp, notes, biblio, cart. éditeur, jaquette illustrée, bon état
En 1925, la thèse de doctorat de Pierre Montet fut consacrée aux “Scènes de la vie privée dans les tombeaux égyptiens de l'Ancien Empire” ; ce livre demeure une contribution fondamentale de l'archéologie égyptienne. Plus tard, en 1946, revenant au sujet de sa thèse, il publia un livre aussi bien documenté que vivant sur “La vie quotidienne en Egypte au temps des Ramsès” ; traduit en de nombreuses langues, ce fut, pour toute une génération, l'introduction obligée à un voyage aux rives du Nil... (Jean Leclant, Revue Archéologique) — "Pourquoi nos collections sont-elles mille fois plus riches en sarcophages et en stèles qu'en objets fabriqués pour les besoins des vivants ? C'est parce qu'il faisait bon vivre au bord du Nil ; les Egyptiens débordaient de reconnaissance envers leurs dieux et cherchaient par tous les moyens de jouir jusque dans leur tombeau des biens de ce monde. Pour son étude, Pierre Montet a choisi la période des Sétoui et des Ramsès, c'est-à-dire de 1320 à 1100 avant Jésus-Christ, période illustrée par trois règnes magnifiques, ceux de Sétoui Ier, de Ramsès II et de Ramsès III. Pierre Montet a utilisé ces sources avec un très grand talent et sans perdre de vue qu'elles portent sur trois mille ans d'histoire et que, pendant cette période, les moeurs égyptiennes ont subi une évolution marquée. Que n'apprenons-nous pas !... que les époux faisaient chambre à part, au moins chez les gens aisés ; que la femme infidèle étaient punie de mort ; que si tous les enfants étaient bien accueillis, le désir d'avoir un garçon était universel ; que la culture des céréales étaient la culture essentielle et que la préparation de la farine et du pain était longue et minutieuse ; que cette époque connut, comme la nôtre, bien des guerres avec l'étranger et bien des troubles intérieurs... Voici un livre qui doit trouver sa place dans toutes les bibliothèques de lecteurs cultivés et qui peut rendre d'immenses services à tous les étudiants." (Rabat de la jaquette)
Hachette/GLM, 1988, in-8°, 349 pp, mise à jour bibliographique par Guillemette Andreu, cart. éditeur, jaquette illustrée, bon état
En 1925, la thèse de doctorat de Pierre Montet fut consacrée aux “Scènes de la vie privée dans les tombeaux égyptiens de l'Ancien Empire” ; ce livre demeure une contribution fondamentale de l'archéologie égyptienne. Plus tard, en 1946, revenant au sujet de sa thèse, il publia un livre aussi bien documenté que vivant sur “La vie quotidienne en Egypte au temps des Ramsès” ; traduit en de nombreuses langues, ce fut, pour toute une génération, l'introduction obligée à un voyage aux rives du Nil... (Jean Leclant, Revue Archéologique) — "Pourquoi nos collections sont-elles mille fois plus riches en sarcophages et en stèles qu'en objets fabriqués pour les besoins des vivants ? C'est parce qu'il faisait bon vivre au bord du Nil ; les Egyptiens débordaient de reconnaissance envers leurs dieux et cherchaient par tous les moyens de jouir jusque dans leur tombeau des biens de ce monde. Pour son étude, Pierre Montet a choisi la période des Sétoui et des Ramsès, c'est-à-dire de 1320 à 1100 avant Jésus-Christ, période illustrée par trois règnes magnifiques, ceux de Sétoui Ier, de Ramsès II et de Ramsès III. Pierre Montet a utilisé ces sources avec un très grand talent et sans perdre de vue qu'elles portent sur trois mille ans d'histoire et que, pendant cette période, les moeurs égyptiennes ont subi une évolution marquée. Que n'apprenons-nous pas !... que les époux faisaient chambre à part, au moins chez les gens aisés ; que la femme infidèle étaient punie de mort ; que si tous les enfants étaient bien accueillis, le désir d'avoir un garçon était universel ; que la culture des céréales étaient la culture essentielle et que la préparation de la farine et du pain était longue et minutieuse ; que cette époque connut, comme la nôtre, bien des guerres avec l'étranger et bien des troubles intérieurs... Voici un livre qui doit trouver sa place dans toutes les bibliothèques de lecteurs cultivés et qui peut rendre d'immenses services à tous les étudiants."
Hachette, 1974, in-8°, 346 pp, biblio, broché, couv. illustrée à rabats, bon état
En 1925, la thèse de doctorat de Pierre Montet fut consacrée aux “Scènes de la vie privée dans les tombeaux égyptiens de l'Ancien Empire” ; ce livre demeure une contribution fondamentale de l'archéologie égyptienne. Plus tard, en 1946, revenant au sujet de sa thèse, il publia un livre aussi bien documenté que vivant sur “La vie quotidienne en Egypte au temps des Ramsès” ; traduit en de nombreuses langues, ce fut, pour toute une génération, l'introduction obligée à un voyage aux rives du Nil... (Jean Leclant, Revue Archéologique) — "Pourquoi nos collections sont-elles mille fois plus riches en sarcophages et en stèles qu'en objets fabriqués pour les besoins des vivants ? C'est parce qu'il faisait bon vivre au bord du Nil ; les Egyptiens débordaient de reconnaissance envers leurs dieux et cherchaient par tous les moyens de jouir jusque dans leur tombeau des biens de ce monde. Pour son étude, Pierre Montet a choisi la période des Sétoui et des Ramsès, c'est-à-dire de 1320 à 1100 avant Jésus-Christ, période illustrée par trois règnes magnifiques, ceux de Sétoui Ier, de Ramsès II et de Ramsès III. Pierre Montet a utilisé ces sources avec un très grand talent et sans perdre de vue qu'elles portent sur trois mille ans d'histoire et que, pendant cette période, les moeurs égyptiennes ont subi une évolution marquée. Que n'apprenons-nous pas !... que les époux faisaient chambre à part, au moins chez les gens aisés ; que la femme infidèle étaient punie de mort ; que si tous les enfants étaient bien accueillis, le désir d'avoir un garçon était universel ; que la culture des céréales étaient la culture essentielle et que la préparation de la farine et du pain était longue et minutieuse ; que cette époque connut, comme la nôtre, bien des guerres avec l'étranger et bien des troubles intérieurs... Voici un livre qui doit trouver sa place dans toutes les bibliothèques de lecteurs cultivés et qui peut rendre d'immenses services à tous les étudiants."