Pages d'Histoire - Librairie Clio

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‎LEFLON (Jean).‎

Reference : 68728

(1957)

‎Eugène de Mazenod, évêque de Marseille, fondateur des Missionnaires Oblats de Marie Immaculée, 1782-1861. (Thèse).‎

‎ Plon, 1957-1965, 3 vol. in-8°, 491, 667 et 859 pp, un portrait en frontispice du tome I, 9 cartes et 4 gravures hors texte, sources et biblio, index, brochés, très bon état‎


‎Tome I : De la noblesse de robe au ministère des pauvres, les étapes d'une vocation, 1782-1814 ; Tome II : Missions de Provence. Restauration du diocèse de Marseille, 1814-1837 ; Tome III : L'oeuvre pastorale et missionnaire, adaptation et extension, 1838-1861. — "On s'est trop souvent heurté à la médiocrité conformiste et verbeuse de maintes biographies épiscopales du siècle dernier, à peine distinctes de l'oraison funèbre, pour ne pas se réjouir de voir paraître le « Mazenod » si précis, si vivant, que vient d'achever Mgr Leflon. Ce dernier a dû maîtriser ici, non seulement une immense documentation, mais aussi la difficulté que présentait la double appartenance de son héros : fondateur et évêque ; il fallait en faire revivre la riche personnalité en l'insérant, sans l'y enfermer, dans le double cadre de sa congrégation et de son diocèse. Le premier volume (1782-1814) suit, « de la noblesse de robe au ministère des pauvres, les étapes d'une vocation », dont la maturation coïncide avec le temps des orages révolutionnaires. Les deux suivants retracent inséparablement « l'œuvre pastorale et missionnaire », en adoptant pour charnière la date de 1837, à laquelle Eugène de Mazenod accède au siège episcopal de Marseille. (...) Mgr Leflon n'a pas seulement mené à bien une solide biographie épiscopale, mais projeté de nouvelles lumières sur toute une époque du catholicisme français." (Claude Savart, Revue d'histoire de l'Église de France) ‎

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‎LEFRANÇAIS (Gustave).‎

Reference : 902

(1972)

‎Souvenirs d'un révolutionnaire (1848-1871). Texte établi et présenté par Jan Cerny.‎

‎ Société Encyclopédique Française, Editions de la Tête de Feuille, 1972, fort gr. in-8°, 498 pp, avec en annexe le Programme d'enseignement de l'Association fraternelle des instituteurs, institutrices et professeurs socialistes (1849), table analytique des matières, broché, couv. à rabats, pt trace de coupure sans manque sur les 5 derniers feuillets et au 2e plat, bon état (Coll. Futur antérieur)‎


‎Réédition de cet ouvrage rarissime publié à Bruxelles en 1902. "Ce n'est que sur souscription, et grâce aux efforts de Goullé, Descaves et des frères Reclus, que ces Souvenirs seront réunis en volume et édités à Bruxelles après la mort de leur auteur, qui survécut jusqu'en 1901 comme caissier de l'Aurore. Il s'agit là d'un des ouvrages essentiels sur la Commune, « qui traîna longtemps en solde aux étalages » (Descaves) et sur la période qui l'a précédée. Le Programme d'enseignement publié en annexe est la reproduction de l'édition originale de 1849 (G. Sandré)." (Le Quillec, 2743) ‎

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‎LEFÈVRE (Genevieve).‎

Reference : 55288

(1994)

ISBN : 9782903716462

‎Georges Labit, un globe-trotter toulousain, 1862-1899.‎

‎ Editions Daniel Briand, 1994, in-8°, 319 pp, 91 gravures et photos, une carte, repères chronologiques, sources et biblio, broché, couv. illustrée, bon état‎


‎Grand voyageur de la fin du XIXe siècle, Georges Labit rapporta des réflexions originales sur les pays parcourus, et des objets témoins d'autres civilisations, présentés dans le musée tout à fait insolite qu'il créa à Toulouse. – Il reste surtout connu pour avoir été un grand voyageur devant l’Eternel. Et si sa passion pour les voyages l’a conduit dans différentes parties du monde (Scandinavie, Europe centrale, Afrique du Nord, etc.), il fut, avec Émile Guimet, l’un des rares aventuriers français à avoir visité l’Extrême-Orient et notamment le Japon sous l’ère Meiji et en avoir rapporté suffisamment de souvenirs de valeur pour leur faire prendre place dans des musées qui portent leur nom. Et si le Musée Guimet de Paris est bel et bien le plus connu des musées français pour les arts asiatiques en général et l’art japonais en particulier, le Musée Georges Labit prouve lui aussi qu’un Toulousain s’intéressa grandement à ce pays mêlant déjà ancienneté, longue histoire et traditions à une modernité naissante et menée tambour battant. Un musée qui mérite incontestablement le détour pour la variété et la qualité de sa collection d’objets d’art asiatiques. Sa mort reste aujourd’hui encore un mystère. — "La rumeur populaire ne s’embarrasse pas de délicatesse. Et en février 1899, à Toulouse, pour expliquer la mort de Georges Labit, fils du très fortuné Antoine Labit, on murmure qu’une maîtresse éconduite lui a tout simplement « coupé… son nom ». Une thèse de l’émasculation, parfaitement fantaisiste, mais qui vient combler l’absence d’explication officielle sur la brusque disparition d’un homme de 37 ans, notable apprécié de ses concitoyens, dont le mariage devait être célébré quelques jours plus tard. Sa fin ne sera jamais élucidée. Après son enterrement, son père s’oppose à toute enquête... Fait encore plus étrange, dans les jours qui suivent les faits, aucune autorité officielle n’insistera pour tirer au clair les circonstances du décès. La rumeur, toujours elle, s’empare alors de l’affaire. Bientôt, dans la ville, les hypothèses vont se multiplier quant à la cause réelle du décès de Georges. Une d’entre elle affirme que Labit a été terrassé à l’angle de la rue Bayard d’un coup de flèche empoisonnée ! L’auteur du meurtre, prétendent des proches de la famille, serait un certain Georges Sicard, frère d’une maîtresse abandonnée. Une vendetta familiale sur fond de romance qui n’a jamais trouvé une quelconque confirmation. En revanche, peu de temps après la mort de Georges Labit, son père, Antoine, fouille consciencieusement les archives de son fils. Il en retire ou découpe de nombreux documents. Les archives de Georges sont aujourd’hui encore conservées et attestent de cet étrange comportement. Antoine voulait-il cacher quelque chose ? Ce quelque chose avait-il un rapport avec la mort de son fils ? Difficile de répondre. Mais, une chose est sûre : tout au long de sa courte existence, Georges a entretenu des rapports particulièrement conflictuels avec son puissant père. Une quinzaine d’années plus tôt, ce dernier a d’ailleurs intenté une action en justice pour mettre son fils sous tutelle. Antoine reproche à Georges ses dépenses : la loi va lui donner raison et totalement assujettir Georges au bon vouloir de son père. La part de fortune venant de sa mère décédée lui est confisquée et confiée à Antoine Labit… Sombre histoire familiale, révélatrice de l’autorité d’un père qui ne tolère aucune rivalité. Issu d’une lignée de commerçants, Antoine a débuté sa prodigieuse ascension dans un bazar de la rue Saint-Rome. Rapidement, son sens des affaires lui permet d’ouvrir un nouveau magasin, nettement plus vaste, à l’angle des rues Lafayette et Alsace- Lorraine. Intitulé « La Maison universelle », ce grand magasin devient en quelques années le commerce le plus fréquenté de la ville. On y trouve de tout et Antoine engrange d’importants bénéfices qu’il réinvestit dans l’édification d’un vaste patrimoine immobilier. Quand Georges naît en 1862, il est déjà un des hommes les plus riches de Toulouse. Ses affaires dépassent le cadre de la cité. Connu à Paris, il en profite pour envoyer Georges parfaire ses études auprès d’un négociant en 1881. Le jeune homme a 19 ans et mène une vie de fils prodigue qui lui vaut sa mise sous tutelle. Une relation orageuse s’installe alors avec son père. Georges part quelques temps plus tard à Vienne pour parfaire son apprentissage du commerce. Trois ans plus tard, il rentre à Toulouse. Les relations avec Antoine se sont améliorées. Celui-ci consent à le charger d’une mission de prospection commerciale. Désormais, Georges parcourra le monde pour ramener au « Magasin Universel » des produits de tous les pays. En quelques années, il écume l’Europe, La Laponie, L’Afrique du Nord, la Chine, le Japon. Fasciné par les contrées qu’il traverse, le commerçant devient ethnologue. En plus des produits pour le magasin familial, il ramène des centaines de témoignages et d’objets des peuples qu’il visite. Ses connaissances l’amènent à devenir correspondant de la prestigieuse Société géographique de Toulouse. Il collabore à divers journaux et publie des reportages et des photographies sur ses voyages. Les années passent entre affaires et voyages. Devenu un notable toulousain, il est en 1894 le représentant de la ville de Toulouse aux funérailles du tsar de Russie, Alexandre III. En 1893, il inaugure un musée, financé par son père. L’endroit est dédié aux nombreux objets ramenés de ses voyages. Dans le même temps, peu à peu, son père consent à lui donner une part plus importante dans la gestion de ses affaires. Georges annonce même à un père réjoui son intention de se marier. L’époque des crises semble définitivement passée. A quelques jours de son mariage, le drame survient. Antoine restera inconsolable de la perte de son fils. Peut-être pour préserver l’honneur de sa mémoire, il ne souhaita pas que les causes de sa mort soient rendues publiques. Le mystère reste entier." (Philippe HUGON, « La Dépêche » 23 août 2001) — Le livre nous éclaire de façon très intéressante et parfois même amusante sur ce qu’était le Japon de cette époque ainsi que sur la présence étrangère. Ou du moins de ce que Georges Labit et son compagnon de voyage, un certain M. de Montreuil, en ont perçu. En voici un extrait : « Le port de Yokohama. – La traversée bord du Djemnah s’achève à Yokohama, le vaste entrepôt commercial de l’Empire. Le paysage est moins riant qu’à Kobé et la concession à l’air d’une banale ville de province anglaise, avec ses maisons blanchies à la chaux. Les riches hôtels américains qui n’ont rien emprunté au Japon, les magasins semblables à ceux de Londres ou de New-York et d’affreux bars où l’on débite du gin, whisky, cocktails, font oublier aux voyageurs l’éloignement de l’Occident. La livre sterling, aussi universelle que la langue anglaise, est acceptée dans tout le Japon, alors que la monnaie française s’échange uniquement à Yokohama contre des yens japonais, et encore, à un change très défavorable. La ville se divise en quatre parties principales : la ville européenne au bord de la mer, le Bluff sur la colline, la ville chinoise et la ville japonaise. Le Yokohama européen compte cinq mille habitants. Les plus nombreux sont les Anglais, dans le haut commerce et la banque, concurrencés par les Américains du nord et loin derrière, on recense seulement quatre-vingt cinq Français, en comptant le personnel du consulat et de l’agence des Messageries Maritimes. Chaque communauté forme une société avec ses intérêts à part. Depuis l’ouverture des ports du Japon, les commerçants et banquiers occidentaux qui ont fait fortune se sont fait construire de superbes maisons de plaisance sur la riante colline du Bluff – quartier qui est à Yokohama ce que Saint-John’s Wood est à Londres et Passy à Paris – où flottent des pavillons de différentes nationalités. Les Chinois sont aussi nombreux que tous les étrangers réunis. Ils ont des emplois de caissier ou de comptable dans les grandes maisons de commerce et de crédit ou font « la petite banque, le petit négoce » en vendant meilleur marché que les Européens. Comme toutes les villes chinoises, leur quartier, fait d’un amas de constructions mal bâties, se sent de loin… Ce centre pestilentiel regorge de maisons de jeux et de bouges fréquentés par la population interlope de Yokohama et par les marins de passage. La ville japonaise, très étendue, contraste par la propreté de ses belles rues bordées de maisons de bois sans la moindre peinture, « de vrais joujoux de chalets suisses » aux vitres en papier translucide. Dans la journée, on fait coulisser les unes sur les autres leurs façades légères en sapin, de sorte que l’on voit tout ce qui se passe à l’intérieur. Extrêmement inflammables, ces habitations sont à la merci de la moindre étincelle capable de réduire en cendre tout un quartier. En 1876, douze mille incendies ont anéanti près de quarante cinq mille maisons dans le pays. Les bâtiments qui échappent aux incendies risquent d’être démolies par les tremblements de terre si fréquents au Japon. C’est pourquoi il est rare qu’un Japonais naisse, vive et meure sous le même toit, sauf à la campagne où l’on trouve encore des constructions anciennes. » ‎

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‎LE GALL (Laurent).‎

Reference : 113806

(2009)

ISBN : 9782846542319

‎L'électeur en campagnes dans le Finistère. Une Seconde République de Bas-Bretons. (Thèse).‎

‎ Les Indes savantes, 2009, gr. in-8°, 878 pp, 39 cartes, annexes, sources, biblio, index, broché, couv. illustrée, bon état‎


‎L'électeur en campagnes est l'histoire d'une recherche sur ce que voter voulut dire dans le Finistère des années 1831-1852. En s'intéressant aux électeurs – davantage qu'aux élections – des 282 communes du département, cette enquête qui juxtapose des études de cas et joue sur la variation des échelles (de l'individu au département en passant par le hameau) s'interroge sur les modalités de la "transition démocratique". Elle espère lever un coin du voile sur les fausses évidences d'une multitude d'actes électoraux qui engagèrent tout autant le devenir d'un régime – la Seconde République du suffrage universel – et d'une nation que la construction d'un espace et d'un temps politiques spécifiques. Si le citoyen-électeur de la Basse-Bretagne – mais ce pourrait être ailleurs, ou presque – des années orléanistes puis républicaines put être porteur d'une "opinion", il fut aussi et surtout le réceptacle et le vecteur d'un ordre démocratique en construction. L'analyse de ses traces à partir de sources profuses (procès-verbaux des élections locales et nationales, chansons qui le mirent en scène, immense corpus protestataire...) et la reconstitution de ses parcours n'aspirent qu'à contribuer modestement aux débats qui concernent la politisation des ruraux dans la France du XIXe siècle et l'ouverture d'un champ des possibles en 1848. ‎

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‎LE GALLO (Yves).‎

Reference : 68234

(1968)

‎Brest et sa bourgeoisie sous la Monarchie de Juillet. Etudes sur la marine et l'officier de marine. (Thèse).‎

‎ PUF, 1968, 2 vol. gr. in-8°, xxxvi-441 et 461 pp, 2 planches d'illustrations et un plan dépliant hors texte, biblio, index, brochés, bon état‎


‎"Parmi les grandes villes françaises d'aujourd'hui, Brest est l'une des plus jeunes. Créée par la monarchie absolue dans une position stratégique exceptionnelle, cette ville de guerre est liée aux vicissitudes de la politique navale d'un peuple qui prête intérêt aux choses de la mer d'une façon épisodique. Sous la Monarchie de Juillet, la marine française, composée essentiellement de navires à voiles, se trouve dans une situation médiocre. Malgré ces déficiences, l'entretien des navires nécessite la présence d'un arsenal qui constitue alors l'entreprise industrielle la plus considérable de France. Autre singularité brestoise : la ville forme une colonie en marge de la Bretagne et apparaît comme un îlot linguistique français au milieu des populations bretonnantes. La découverte d'un journal manuscrit rédigé par un employé des finances d'opinions légitimistes, Jean-François Brousmiche, a incité l'auteur à observer la vie et la mentalité de la bourgeoisie brestoise sous la Monarchie de Juillet. Le deuxième volume de la thèse d'Yves Le Gallo contient la publication intégrale des vestiges de ce document, c'est-à-dire du registre consacré aux années 1844 et 1845. Les noms des 270 brestois cités dans ce journal ont suggéré à l'auteur des notes très riches et un premier volume qui font revivre les bourgeoisies militaire et civile du grand port de guerre. Son origine sociale et sa profession font de Brousmiche un témoin moyen. Ses convictions légitimistes le rendent assez critique à l'égard de ses concitoyens devenus en majorité orléanistes. Yves Le Gallo a su exploiter cette excellente source pour retracer un tableau très vivant de cette bourgeoisie brestoise « passionnée d'argent et férue de Légion d'Honneur », qui « communie dans l'admiration de la rente et du galon ». (...) A partir des observations de Brousmiche, une grande partie de la thèse est consacrée à un monde encore peu étudié, celui de la marine : officiers, marins, fonctionnaires, fournisseurs, bagnards retiennent successivement notre attention..." (Y.-M. Hilaire, Revue d'histoire de l'Église de France, 1971) ‎

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‎LEGER (François).‎

Reference : 68799

(1993)

ISBN : 9782741300373

‎Monsieur Taine.‎

‎ P., Critérion, 1993, gr. in-8°, 502 pp, 8 pl. de gravures et photos hors texte, biblio, index, broché, couv. illustrée, bon état (Prix de la critique de l'Académie française 1994) On joint une lettre de Bernardine Melchior-Bonnet, petite-fille de Taine, à une descendante d'Albert Sorel où Taine est évoqué, et un feuillet de l'Encyclopedia Universalis sur Taine‎


‎Auteur en 1980 d'un livre consacré à « La jeunesse d'Hippolyte Taine », François Léger est le spécialiste incontesté de cet écrivain auquel il a voué trente ans de sa vie. Afin de mieux le connaître, il ne s'est pas contenté de dépouiller une abondante documentation inédite. Il a refait ses voyages, visité les lieux où il vécut et relu l'ensemble de son oeuvre, de son retentissant essai sur « Les philosophes français du XIXe siècle », jusqu'aux derniers volumes des « Origines de la France contemporaine », sans oublier une foule d'articles et de manuscrits. La biographie qu'il lui consacre dresse le portrait d'un homme exceptionnel, aux idées hardies, qui a profondément marqué la vie intellectuelle de son temps. ‎

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‎LEGRAND (Daniel).‎

Reference : 104514

(1979)

‎Sur le travail des enfants dans les manufactures. 1830-1855. Présentation de Norbert Olszak.‎

‎ P., EDHIS, 1979, in-8°, 10-28-19-14-20-7-14-13-25-7-11-12-14 pp, 4 fac similés dépliants, broché, bon état. Reprint des éditions originales des treize brochures publiées de 1831 à 1855‎


‎Brochures publiées par Daniel Legrand, industriel rubannier, d’origine helvétique, installé en Alsace. Protestant fervent, l’auteur essayait de soutenir, par son activité économique, l’action menée par le pasteur Oberlin en faveur du développement de cette partie déshéritée des montagnes vosgiennes. Mais réaliste et bien informé des nouvelles conditions créées par la grande industrie manufacturière, il comprit très tôt que les recommandations morales ne suffiraient pas à garantir le sort des ouvriers dans toutes les régions. Il s’employa donc à défendre, par de nombreuses lettres et brochures, ses projets de réglementation de la durée et des condition du travail, d’abord pour les enfants, puis pour tous les travailleurs. ‎

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‎LEGRAND-GIRARDE (Général).‎

Reference : 7331

(1954)

‎Un quart de siècle au service de la France. Carnets 1894-1918. Madagascar, Elysée, Chine, Loi de trois ans, Guerre de 1914-1918.‎

‎ P., Presses Littéraires de France, 1954, fort gr. in-8°, 644 pp, un portrait de l'auteur en frontispice, broché, non coupé, bon état‎


‎"Ce livre est composé pour la plus grande part de notes prises au jour le jour par un officier du génie qui prit part à la campagne de Madagascar (février 1895-décembre 1896), puis fut membre de la Maison militaire du Président de la République de janvier 1897 à février 1900, enfin commanda le corps du génie lors de l'expédition de Chine de 1900-1901. Il n'apporte guère de révélations, même sur la période de service à l'Elysée qui coïncide avec l'Affaire Dreyfus (dont les développements essentiels sont attribués à la rivalité personnelle entre Picquart et du Paty de Clam). L'intérêt de ces pages est plutôt de nous faire connaître l'état d'esprit d'un exécutant militaire moyen, qui ne paraît pas avoir eu jamais accès aux secrets d'Etat. La dernière partie n'a plus le caractère d'un journal ; c'est l'histoire des disgrâces successives du général Legrand durant la première guerre mondiale ; il n'y faut donc pas chercher autre chose qu'un exposé apologétique, parsemé d'attaques assez dures contre le général Joffre et ses jeunes Turcs, ainsi que contre Dubail, Franchet d'Espérey, de Boissoudy. Bien que l'auteur ait pris une part importante à la préparation et au vote de la loi de trois ans, il est d'une brièveté regrettable sur ce sujet. Au total, il nous laisse l'impression d'un fort honnête homme, mais qui n'apparaît pas comme un grand esprit." (J. Néré, Revue Historique, 1956) ‎

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‎LEGRAND (Henry).‎

Reference : 87661

(1979)

ISBN : 9782070286898

‎Le Cercle amoureux d'Henry Legrand, d'après ses manuscrits cryptographiques conservés à la Bibliothèque nationale, transcrits et présentés par Jean-Paul Dumont et Paul-Ursin Dumont.‎

‎ Gallimard, 1979, in-12, 192 pp, 2 pl. hors texte, appendices, notes, broché, bon état (Coll. Les Vies parallèles). Edition originale‎


‎Il existe, à la Bibliothèque nationale, un étrange manuscrit : des dizaines de volumes couverts d'une écriture chiffrée qu'on a crue, un temps, « orientale ». Ils venaient de l'héritage d'un certain Henry Legrand (1814-1876), architecte au milieu du XIXe siècle et mort à l'asile. Pierre Louÿs, qui s'est intéressé pendant plusieurs années à ce texte, dit avoir trouvé le code. Jean-Paul et Paul-Ursin Dumont ont poursuivi le jeu. Du mélange de ces incertitudes et de ces probabilités naît un récit dont la valeur de vérité est sans doute à jamais perdue. Mais après tout, l'important, dans un récit, c'est sa réalité, c'est-à-dire le simple fait qu'on le raconte. Laissons flotter le reste. — Michel Foucault projetait de faire une collection intitulée les Vies parallèles. Les souvenirs d'Herculine Barbin (1838-1868), tirés des “Annales d'hygiène publique”, devaient inaugurer la parution d'une série d'archives médico-légales traitant de la sexualité et notamment de l'hermaphrodisme. Après “Herculine Barbin”, la collection ne connaîtra qu'un seul titre : “Le Cercle amoureux d'Henry Legrand”, publié en 1979. — "Les Anciens, écrivait Michel Foucault, aimaient à mettre en parallèle les vies des hommes illustres ; on écoutait parler à travers les siècles ces ombres exemplaires. Les parallèles, je sais, sont faites pour se rejoindre à l'infini. Imaginons-en d'autres qui, indéfiniment, divergent. Pas de point de rencontre ni de lieu pour les recueillir. Souvent elles n'ont eu d'autre écho que celui de leur condamnation. Il faudrait les saisir dans la force du mouvement qui les sépare ; il faudrait retrouver le sillage instantané et éclatant qu'elles ont laissé lorsqu'elles se sont précipitées vers une obscurité où « ça ne se raconte plus » et où toute « renommée » est perdue. Ce serait comme l'envers de Plutarque : des vies à ce point parallèles que nul ne peut plus les rejoindre." ‎

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‎LEGRAND (Maxime).‎

Reference : 107128

(1892)

‎La Vallée du Nil. Epoque contemporaine.‎

‎ P., Firmin-Didot, s.d. (1892), gr. in-8°, 253 pp, 50 gravures dans le texte et hors texte, reliure pleine percaline rouge, dos lisse avec titres dorés et caissons à froid, encadrements à froid sur les plats, motif doré au centre du 1er plat, dos lég. sali, bon état‎


‎L'Egypte à la fin du XIXe siècle. — Maxime Legrand est le pseudonyme de Maxime Petit (1858-1939), magistrat et historien, auteur de nombreux ouvrages chez Larousse, en particulier de manuels scolaires en collaboration avec Claude Augé. Il collabore à la "Revue bleue", à la "Nouvelle revue", à la "Revue universelle" et à diverses publications encyclopédiques Larousse, dont le Nouveau Larousse illustré. Il deviendra Président de chambre honoraire à la Cour des comptes en 1934, et sera membre de nombreuses commissions ministérielles et membre du conseil supérieur des colonies. ‎

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‎LEGRÉ-ZAIDLINE (Françoise).‎

Reference : 113487

(2006)

ISBN : 9782916104065

‎Emois romantiques à La Rochelle ou les passions de Louise la portraitiste et de Sander le marin.‎

‎ Saintes, Le Croît Vif, 2006, in-8°, 301 pp, 16 pl. d'illustrations en couleurs hors texte, notes, annexes, généalogie, biblio, index, broché, couv. illustrée, bon état‎


‎Officier de marine rescapé du naufrage de la Méduse, naturaliste des mers chaudes en relation avec les plus grands savants de son temps, concepteur et directeur du port d'Alger, historien et traducteur de grands textes arabes, gouverneur de Mayotte et Nossy-Bé, la vie du Rochelais Sander Rang des Adrets constitue un véritable roman. D'autant qu'officier et protestant, il épouse une jeune artiste, fille bâtarde d'un comédien... Louise travaille auprès des plus grands peintres et lithographes de son époque, notamment Delacroix avec qui elle échangera une correspondance riche de tous les secrets du métier et d'une amitié sans détour. Louise expose au fameux Salon (de 1831 à 1842) et devient une des portraitistes les plus renommées, que ce soit à Paris auprès des membres du ministère de la Marine, à Alger où elle trouve une inspiration pré-orientaliste ou à La Rochelle dont la bonne société raffole de ses tableaux. Un an après la mort de Sander des fièvres de Mayotte, elle épouse en 1845 Théophile Babut, un banquier de La Rochelle, qui lui offre, outre son atelier, une stabilité apaisante en contraste avec les angoisses de sa vie précédente de femme de marin. D'où le nom sous lequel elle est la plus connue, celui de ses deux maris : Louise Rang-Babut, la "portraitiste officielle de La Rochelle" pendant près de quarante ans. Autour de Louise et de Sander, les mondes apparemment lointains des cercles de la Marine, des cénacles du Muséum et des ateliers des grands maîtres se rejoignent et souvent se mêlent, de même que leur écho local où rien de ce qui est rochelais ne leur est étranger, ni la passion naturaliste et maritime de la ville, ni ses penchants culturels, ni bien sûr ses liens mondains qui se verront encore accentués lorsque Louise installera son atelier à La Rochelle. À travers les rencontres et les amitiés de Louise et de Sander, toute la haute société de la Restauration et plus encore de la monarchie de Juillet se conjuguent en un brassage étonnant. Là réside un des intérêts essentiels de cette double biographie : elle résonne comme une projection de La Rochelle vers le "grand monde", celui des aventures maritimes réuni à celui de la "Société des artistes français". ‎

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‎LEHOUCK (Émile).‎

Reference : 113360

(1966)

‎Fourier aujourd'hui.‎

‎ Denoël, 1966, in-8°, 278 pp, index des noms cités, broché, couv. à rabats, état correct (Coll. Dossiers des Lettres Nouvelles). Edition originale, ex. du SP, prière d'insérer joint‎


‎"Charles Fourier a connu pendant un siècle une existence obscure ; il passait pour une tête fantasque. Or depuis quelques années, il bénéficie d'un regain de faveur ainsi que tous les socialistes que Marx qualifiait avec beaucoup de dédain, d'utopiques. L'essai d'Emile Lehouck a le mérite de remettre en lumière un représentant de la littérature officieuse, lançant des idées insolites pour reconstruire et améliorer le monde. De façon plus précise, cet essai renverse une hiérarchie de valeurs : au lieu de l'économiste, c'est le réformateur moral, le visionnaire, l'écrivain que ces pages réhabilitent." (Louis Trenard, Revue belge de philologie et d'histoire, 1970) — "Fourier fut trahi par l'Ecole sociétaire, comme le fut Saint-Simon par les saint-simoniens. M. E. Lehouck a voué à Fourier une vive admiration et il est probablement le premier à l'étudier dans sa totalité et non pas seulement en sociologue. En effet, Fourier ne fut pas uniquement le critique impitoyable de la société admiré par Engels, il fut de plus un grand créateur poétique et le théoricien d'une sociologie qui pressent la psychanalyse. Précurseur de Marx, précurseur de Freud, Fourier fut-il l'inventeur du freudo-marxisme ? Assurément non, mais le surréalisme a pu réclamer son héritage. Cela explique aussi bien l'actualité de Fourier de nos jours que son anachronisme de son temps. Son originalité fut d'être entièrement indifférent au christianisme. Alors que l'oeuvre des « lumières », de Voltaire et Diderot à Sade, n'a de signification que par référence à l' « Infâme » et à sa morale, Fourier n'est pas anti- mais a-chrétien. Il peut ainsi construire son utopie sociale optimiste sur une éducation et une morale dégagées de l'observation objective de la sexualité avec la plus grande indifférence au tabou. Cela aurait suffi à le rendre inintelligible à son époque, dont l'éloigna encore un langage ésotérique et un génie littéraire rabelaisien peu répandu chez les économistes. S'il ne resta pas inconnu, bien que les socialistes l'aient jugé compromettant, c'est que la bourgeoisie cafarde trouvait utile d'exploiter le « pornocrate » comme repoussoir du socialisme. Aujourd'hui, bien des affirmations qui furent scandaleuses semblent être devenues vérités premières. Fourier garde cependant cette force révolutionnaire qui séduisit André Breton, celui-ci l'admire pour le rejet de « la trinité abjecte : la famille, la patrie et la religion ». Comme Fourier est paradoxalement un esprit religieux, il eût été plus exact de parler de la trinité : père, patrie, patron, selon la formule de Georges Bataille. La pensée de Fourier est exposée par l'auteur avec beaucoup de clarté, de façon révélatrice, avec le souci de convaincre. L'enthousiasme de M. Lehouck rend un son parfois très polémique. Il est facile d'enfoncer le médiocre Cabet. Il n'est pas certain que le phalanstère soit une préfiguration du kibboutz et que la reconnaissance du rôle du profit par les économistes soviétiques puisse être considérée comme une revanche de Fourier sur Marx. Le livre est bien écrit, bien présenté ; les textes cités ont une saveur merveilleuse." (H. Dubief, Le Mouvement social, 1967) ‎

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‎LEJEUNE (Dominique).‎

Reference : 70145

(1993)

ISBN : 9782226062925

‎Les Sociétés de géographie en France et l'expansion coloniale au XIXe siècle.‎

‎ Albin Michel, 1993, in-8°, 236 pp, sources et biblio, index, broché, couv. illustrée, bon état‎


‎A travers l'étude des Sociétés de géographie en France, de leur idéologie et de l'évolution de leur recrutement, du début du XIXe siècle – leur "grand siècle" – à l'entre-deux-guerres, Dominique Lejeune, éclaire à la fois l'histoire d'une élite de l'esprit et de l'argent, celle du phénomène des Sociétés savantes et celle d'une science, la géographie, synonyme d'exploration, différemment comprise selon les époques et les individus. De l'association de grands notables des années 1820 qui ne songent qu'à l'exploration du globe sans aucune vue utilitaire, aux groupes de pression des années 1860 prônant une géographie commerciale et colonialiste, les Sociétés de géographie, dominées par celle de Paris, la doyenne du monde, participent au mouvement de tout un siècle qui porte l'Europe au-delà de ses frontières. Explorateurs et géographes de cabinet s'affrontent ; mais tous, avec les officiers, les négociants, les artistes – Jules Verne et Rimbaud pour ne citer qu'eux –, écrivent un chapitre passionnant de la grande histoire de la curiosité occidentale. ‎

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‎LEJEUNE (Louis).‎

Reference : 112048

(1892)

‎Au Mexique.‎

‎ P., Léopold Cerf, 1892, in-12, xvi-314 pp, reliure demi-chagrin chocolat, dos à 5 nerfs soulignés à froid, titres dorés (rel. de l'époque), dos lég. frotté, bon état‎


‎Récit d'un voyage fait au Mexique à la fin du XIXe siècle. — "Soit justification, soit rancoeur, les Français ont effacé toute image idyllique du Mexique et développé un sentiment de refus vis-à-vis de « ce pays de sauvages ». Ce sentiment a bien été compris par Lejeune, jeune ingénieur du corps diplomatique français, qui a cru trouver son origine dans les romans et récits de voyages." (Javier Pérez Siller, L'image du Mexique dans les publications françaises, 1867-1905) — Table : L'arrivée ; Environs de Mexico ; Les terres chaudes ; Les plantes industrielles (le tabac, le caoutchouc, le mezcal de Tequila...) ; A la frontière ; Les mines ; L'état politique ; Les Français au Mexique. ‎

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‎LELIÈVRE (Claude).‎

Reference : 7148

(1994)

‎Histoire des institutions scolaires, 1789-1989.‎

‎ Fernand Nathan, 1994, in-8°, 238 pp, broché, qqs soulignures au stylo rouge et au crayon, bon état (Coll. Repères pédagogiques)‎


‎"L'idée d'Education nationale émerge à la fin du XVIIIe siècle. Il a donc fallu deux siècles pour que les institutions scolaires se mettent en place grâce à Lakanal, Napoléon, Carnot, Guizot, Falloux, Ferry, Haby, Savary, Jospin... Deux siècles de péripéties et de rebondissements passionnants qu'il est bon de se remettre en mémoire à un moment où cette grande dame qu'est l'Education nationale vit un tournant de son histoire." ‎

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‎LEMAITRE (Frédérick).‎

Reference : 19670

(1880)

‎Souvenirs de Frédérick Lemaître, publiés par son fils.‎

‎ P., Ollendorff, 1880, in-12, 348 pp, un portrait en frontispice, modeste reliure pleine toile grise, dos lisse, pièce de titre basane bordeaux (rel. de l'époque), bon état‎


‎Antoine Louis Prosper Lemaître, dit Frédérick Lemaître (1800-1876), est un acteur français. Il fut l’un des plus célèbres acteurs du « Boulevard du Crime ». Lemaître, après des études au Conservatoire, se choisit le prénom de scène « Frédérick ». Refusé dans un premier temps à l’Odéon, il signe un engagement aux Variétés-Amusantes pour une pièce à trois acteurs, Pyrame et Thisbé. Il y jouait le rôle du lion. Puis il commence véritablement sa carrière d'acteur sur le « Boulevard du Crime » dans des mélodrames. Il crée notamment le personnage inspiré du bandit Robert Macaire dans l’Auberge des Adrets. Victor Hugo, qui voit en lui l'acteur de génie, le distribue également dans des rôles de jeunes premiers sensibles, Ruy Blas ou le jeune Gennaro dans Lucrèce Borgia. Il crée aussi le rôle de Kean d'Alexandre Dumas et fait découvrir au public français Hamlet de William Shakespeare. Victor Hugo tenta en vain de le faire admettre à la Comédie-Française qui le refusa. ‎

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‎LEMENOREL (Alain).‎

Reference : 70081

(1988)

‎L'impossible révolution industrielle ? Economie et sociologie minières en Basse-Normandie, 1800-1914.‎

‎ Caen, Cahiers des Annales de Normandie, 1988, gr. in-8°, 478 pp, 53 graphiques, 27 cartes et 8 croquis, broché, bon état‎


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‎LEMOINE (Joachim de).‎

Reference : 24226

(1913)

‎Bilan du Féminisme mondial.‎

‎ Bruxelles, Vanderlinden et P., Félix Alcan, 1913, pt in-8°, 446 pp, reliure demi-percaline havane à coin, dos lisse ave titres, fleuron et doubles filets dorés, couv. et dos conservés (rel. de l'époque), bon état (Coll. Sociologie contemporaine). Rare‎


‎Une curiosité. "Une revue méthodique des événements dont l'ensemble prouve l'intensité profonde et la vaste expansion prise par le féminisme dans le monde entier", par Joaquín de Lemoine (Cochabamba, Bolivie, 1850 – Bruxelles, Belgique, 1924), poète, écrivain, avocat et diplomate (consul général de Bolivie en Belgique). Ouvrage dédié à Madame Raymond Poincaré. ‎

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‎LEMONNIER (Bertrand).‎

Reference : 109169

(1997)

‎Un siècle d'histoire industrielle du Royaume-Uni. Industrialisation et sociétés, 1873-1973.‎

‎ SEDES, 1997, gr. in-8°, 231 pp, 52 graphiques et tableaux, carte, biblio, index, broché, couv. illustrée, bon état (Coll. Regards sur l'histoire)‎


‎"Cet ouvrage présente l'histoire de l'industrie et de la société industrielle britannique à l'ère de la seconde révolution industrielle. Il s'agit d'une synthèse bienvenue, dans un domaine négligé par les historiens français et où la bibliographie en langue française présente encore trop souvent (à l'exception notable des travaux de François Crouzet et de Jean-Pierre Dormois) une image déformée et périmée du déclin de l'économie britannique depuis 1880, par ignorance des travaux récents publiés en langue anglaise. L'ouvrage, très pédagogique, adopte une chronologie originale mais pertinente, abordant successivement le temps des doutes (1873-1913), le temps des bouleversements (1914-1931), le temps de l'effort (1932-1951), et le temps de l'abondance (1952-1973). Chaque partie analyse la conjoncture économique, les politiques gouvernementales, les mutations des structures et des stratégies des entreprises, et les évolutions sociales liées à l'industrialisation. Il faut louer la présence de nombreux tableaux, graphiques et cartes qui seront fort utiles. Mais le principal mérite de cet ouvrage est de souligner la double originalité de l'évolution britannique, dans l'entre-deux-guerres et pendant les « Trente Glorieuses ». M. Lemonnier montre que la crise de 1929 y est moins lourde de conséquences que celle de 1921, d'où le contraste entre le pessimisme des années 20, marquées par de douloureuses reconversions, et le redressement (incomplet mais spectaculaire) des années 30. Bertrand Lemonnier analyse également avec finesse le « paradoxe » des années 1952-73, âge d'or si on le compare avec les performances de l'industrie britannique depuis 1760, mais qui laisse un goût amer aux acteurs économiques, la comparaison internationale leur étant nettement défavorable : la croissance britannique est l'une des plus faibles de l'Europe occidentale, loin derrière l'Allemagne, la France et l'Italie. Ce livre est l'un des rares ouvrages à présenter en langue française un tableau réaliste des forces et des faiblesses de l'économie britannique depuis 1914. Les mutations sociales liées à l'industrialisation sont elles aussi bien vues, ce qui ne saurait étonner d'un historien de la société britannique de l'après-45, complétant ainsi le travail ancien, mais toujours d'actualité, de François Bédarida." (Isabelle Lescent-Giles, Histoire, économie et société, 1998) ‎

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‎LENOTRE (Théodore Gosselin, dit G.).‎

Reference : 15098

(1932)

‎D'une Révolution à l'autre.‎

‎ Flammarion, 1932, pt in-8°, 126 pp, 4 pl. hors texte tirées en héliogravure, broché, couv. illustrée, bon état.‎


‎Le miracle de la Marseillaise ; Les Cantinières ; Le dernier sacre ; Le premier pas du Second Empire ; Les derniers jours de Louis-Philippe en France. ‎

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‎LENOTRE (Théodore Gosselin, dit G.).‎

Reference : 19532

(1949)

‎Existences d'artistes. De Molière à Victor Hugo.‎

‎ Grasset, 1949, in-12, 342 pp, 8 gravures hors texte, broché, couv. illustrée, papier lég. jauni, bon état (Coll. La petite Histoire, 11)‎


‎"Les “Existences d'artistes”, de G. Lenotre (Grasset), sont un choix de ses chroniques relatives à la vie privée de quelques grands hommes des arts ou des lettres. Ces pages n'ont pas perdu leur fraîcheur, et permettent d'espérer que plusieurs recueils posthumes pourront être encore édités du plus amusant des historiens." (André Thérive, “Le Temps”, 10 janvier 1941) ‎

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‎[LEO, Alfred].‎

Reference : 113706

(1873)

‎D'une peste au païs de Cocquaigne. Ceste cronicque a esté translatée en prose par Dom Ed. O'Farell, Hirlandoys.‎

‎ P., Chez D. Jouaust, en la ruë Sainct-Honoré, jouxte l'hostel de Noailles, 1873, in-12, (2 ff)-108 pp, bandeaux, lettrines et culs-de-lampe, exemplaire sur beau vergé, broché, dos lég. abîmé, bon état. Tirage à 200 exemplaires seulement. Edition originale‎


‎Alfred Leo, écrivain, historien et traducteur, a utilisé les pseudonymes d’Ed. O’Farell et de François Danville. Cette Chronique, écrite dans un style rabelaisien, est un amusement linguistique, comme les Cent Contes Drolatiques de Balzac. ‎

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‎LEON (Paul L.).‎

Reference : 24436

(1930)

‎Benjamin Constant.‎

‎ PUF, 1930, in-8°, 100 pp, 60 pl. de gravures et fac-similés hors texte, broché, bon état (Coll. Maîtres des littératures)‎


‎"Une biographie pour les besoins de la cause, puisque l'auteur veut surtout nous préparer à la lecture d'Adolphe, le roman qui a assis la réputation littéraire de Constant. Elle nous en apprend bien suffisamment sur les aventures de Benjamin. Ajoutons surtout que le volume est accompagné de notes bibliographiques à jour et de planches remarquablement choisies. Voilà même qui fait l'originalité et la valeur de la collection Rieder. On ne saurait exagérer la portée de l'effort réalisé pour un prix très convenable. Ces planches sont très expressives, émouvantes parfois ; le mieux qu'on puisse dire est qu'elles créent une atmosphère de sympathie autour de Constant." (R. Schnerb, Revue d’Histoire moderne et contemporaine, 1933) ‎

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‎LEON (Pierre), François CROUZET et Richard GASCON (dir.).‎

Reference : 69234

(1972)

‎L'industrialisation en Europe au XIXe siècle. Cartographie et typologie.‎

‎ Editions du CNRS, 1972, in-4°, 619 pp, 17 cartes, 15 planches (dont 4 en couleurs hors texte), 85 tableaux et 41 graphiques, reliure éditeur, sans la jaquette, bon état (Actes du Colloque international du CNRS, Lyon, octobre 1970)‎


‎32 études érudites (en français) par François de Dainville, Yves Lequin, M. Postan, Jean Bouvier, François Caron, Pierre Chaunu, Adeline Daumard, Jacques Godechot, Pierre Vilar, Bernard Michel, Rondo Cameron, Paul Guichonnet, J.R. Harris, H. Kellenbenz, P. Lebrun, A. Armengaud, J. Nadal, R.M. Hartwell, L. Bulferetti, W. Köllmann, K.G. Hildebrand, V. Vasquez de Prada, W. Fischer, W. Zorn, M. Laferrère, C. Poni, O. Crisp, B. Veyrassat-Herren, P. Mathias, A.H. John, A.M. Piuz, H. Morsel. ‎

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‎LEPAGE (Auguste).‎

Reference : 117030

(1877)

‎Voyage aux pays révolutionnaires.‎

‎ P., Edouard Baltenweck, 1877, pt in-8°, xi-251 pp, broché, couv. imprimée, état correct. Edition originale rare‎


‎L'auteur qui avait été gérant du “Courrier français”, dont le rédacteur en chef était Vermorel, fait l'historique du journal et dresse un portrait des principaux rédacteurs dont Tolain. Lepage collabora aux journaux anti-communalistes : “Le National”, le “ Journal Populaire”, etc... tous supprimés par la Commune. — "Lepage refait l'histoire, à sa manière : ragots et calomnies, empruntés au “Courrier français” de Vermorel dont il était, on ne sait comment, le gérant. Il revient au Siège, puis à la Commune et ses dirigeants, reprenant les insultes de son précédent ouvrage : “Histoire de la Commune”." (Le Quillec, nouvelle édition, 2784) ‎

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19e Siècle - Pages d'Histoire - Librairie Clio
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