8, rue Bréa
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France
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Phone number : 01 43 54 43 61 France-Empire, 1989, in-8°, 419 pp, 16 pl. de photos hors texte, broché, couv. illustrée, bon état
"Tour à tour administrateur en Afrique noire avant 1939, soldat pendant toute la Seconde Guerre mondiale (avec Leclerc au Tchad, en Libye, en Tunisie, puis en France et en Allemagne, enfin en Indochine), homme politique, sénateur et député, par la suite, Raymond Dronne a vécu les étapes de ce qu'on appelle la décolonisation : depuis les dernières années de l'Empire jusqu'à l'effondrement en passant par les étapes intermédiaires de l'Union Française et de l'éphémère Communauté. Dans ce livre, il en retrace l'histoire, une histoire récente et frémissante, un récit agrémenté d'anecdotes et de souvenirs, une évocation passionnée, sans ménagements, non conformiste, un document de vérité, qui bouscule beaucoup d'idées admises..."
Presses de la Renaissance, 1985, gr. in-8°, 550 pp, traduit de l'américain, qqs fac-similés, broché, couv. illustrée, bon état
"Les archives secrètes d'Howard Hughes." — On croyait tout savoir sur Howard Hughes, l'excentrique milliardaire américain, pionnier de l'aviation, producteur, réalisateur, directeur de studio et séducteur insatiable, amant entre autres de Katharine Hepburn et Ava Gardner... Pourtant, une partie de l'iceberg demeurait immergée: les années 1968 à 1976, où Hughes vécut cloîtré dans un hôtel-casino de Las Vegas, entouré d'infirmiers mormons et en proie aux fantasmes les plus fous. Son dernier rêve: contrôler, dominer, «acheter» l'Amérique tout entière. Voilà ce que révèlent les fameux papiers volés dans les bureaux de Hughes et pour lesquels la CIA était prête à payer un million de dollars. Au terme d'une enquête extraordinaire, Michael Drosnin a retrouvé ces mystérieuses archives. Un document où l'on apprend entre autres : – Comment Howard Hughes a corrompu le gouverneur du Nevada, Paul Laxalt, devenu par la suite sénateur et ami intime de Ronald Reagan. – Comment il «acheta» Hubert Humphrey, Lyndon Johnson, Richard Nixon... – Comment il s'est offert tout le staff de Bob Kennedy immédiatement après son assassinat; Larry O'Brien, président du Parti démocrate au moment du Watergate, devenant un «homme» de Hughes. "Citizen Hughes", c'est Howard Hughes par lui-même et, au-delà, l'histoire secrète de notre temps.
S.l., s.n. (chez l'auteur), 1988, in-4°, (7)-6-289-(11) pp, qqs illustrations, biblio, broché, qqs annotations stylo, bon état
Mémoire réalisé sous la direction de Didier Musiedlak (Université de Pau et des pays de l'Adour, T.E.R. année 1897-1988) — "Il s'agit de montrer quelle a été la perception de John Fitzgerald Kennedy, c'est à dire de l'homme, du président, de la politique américaine en France de 1960 à novembre 1963."
Seuil, 1982, in-12, 377 pp, biblio, index, broché, bon état (Coll. Points Histoire)
Armand Colin, 1966, gr. in-8°, 360 pp, qqs cartes, chronologie, biblio, index, cart. éditeur, soulignures, bon état (Coll. U)
PUF, 1972-1978, 4 forts vol. pt in-4° carré, 658, 674, 714 et 707 pp, 192 planches d'illustrations hors texte reproduites en héliogravure, biblio, index, reliures toile rouge éditeur, sans les jaquettes, ex. du service de presse, bon état
Complet en 4 volumes. Tome I : Des origines à 1875, par Jacques Droz, Albert Soboul, F. Bédarida, Jean Bruhat, Annie Kriegel, Cl. Mossé. - Tome II : De 1875 à 1918, par Jacques Droz, Madeleine Rebérioux, Paul Guichonnet, Pierre Vilar, F. Bédarida, Roger Portal, Marianne Debouzy, Jean Chesnaux, Annie Kriegel. - Tome III : De 1918 à 1945, par F. Bédarida, Pierre Brocheux, Georges Castellan, Jean Chesnaux, Jacques Droz, Paul Guichonnet, Annie Kriegel, Georges Lefranc, Roger Portal, Pierre Vilar, etc. - Tome IV : De 1945 à nos jours, par Marianne Debouzy, Jacques Droz, René Galissot, Jean Lacouture, Robert Paris, Yves Person, Madeleine Rebérioux.
Hatier, 1970-1976, 4 vol. in-8°, 224, 222, 224 et 223 pp, 13 cartes et tableaux, 10 figures, brochés, bon état (Coll. d'Histoire contemporaine)
Tome 1 : La formation de l'unité allemande, 1789-1871, par J. Droz. Tome 2 : L'Empire allemand, 1871-1918, par P. Guillen. Tome 3 : République de Weimar et Régime hitlérien, 1918-1945, par J. Bariéty et J. Droz. Tome 4 : La construction de deux Etats allemands, 1945-1973, par P. Guillen et G. Castellan.
Editions du Rocher, 1997-1999, 3 vol. gr. in-8°, 555, 373 et 605 pp, reliures souple illustrées de l'éditeur, bon état
Les mémoires de Maurice Druon (1918-2009) : Tome 1 : Circonstances civiques, du voyage, du gaullisme. – Tome 2 : Circonstances politiques, 1954-1974. – Tome 3 : Circonstances politiques II, 1974-1998. — "Du Chant des Partisans aux éditoriaux de haute politique ; des Grandes Familles qui obtint le prix Goncourt en 1948 aux Rois maudits ; du ministère des Affaires culturelles au Secrétariat perpétuel de l'Académie française, le chemin de Maurice Druon est à la fois imprévu et exemplaire. (...) Jeune sous-lieutenant de la France libre aussi bien qu'Académicien, Maurice Druon n'a pas cessé d'écrire, de témoigner, de s'indigner, bref, de dire avec force et talent ce que lui dictait sa conscience. (...) Autant qu'un livre de mémoires, “Circonstances” est, et restera, un lieu de mémoire, et un grand document, à chaud, à vif, à cru, de ce qu'a vécu et enduré un homme de courage et de foi." (Henry Bonnier)
P., Editions municipales, 2003-2004, 2 vol. gr. in-8°, 109 et 125 pp, brochés, bon état
Tome I : Une jeunesse à Toulon ; Paris : A la découverte du Quartier Latin ; La Guerre ; Au temps du Maréchal Pétain ; Mon séjour en Autriche au Cabinet du Général Béthouart, 1945-1947 ; Mon séjour en Colombie, 1948-1955 – Tome II : Mon retour en France ; Combats pour l'Algérie française ; Ma nomination comme maire-adjoint du 13e arrondissement ; Derniers soubresauts de l'Algérie française ; L'explosion de mai 1968. Référendum et départ du général de Gaulle ; De Georges Pompidou à Valéry Giscard d'Estaing ; 1973 : retour en Colombie et séjours en Espagne ; Paris 1977-1978 : élections municipales et élections législatives ; Etc.
La Table Ronde, 1965, in-8°, 314 pp, broché, bon état, envoi a.s.
P., Librairie de l’Action Française, 1925, pt in-8°, 64 pp, agrafé sous couv. imprimée, C. de bibl., bon état
Félix Alcan, 1934, in-8°, x-461 pp, préface de C. Bouglé, reliure demi-basane fauve, dos à 4 nerfs soulignés à froid, titres et fleuron dorés (rel. de l'époque), un mors lég. frotté, bon état
"Dans cet ouvrage, l'auteur passe en revue tous les problèmes d'organisation sociale de l'industrie, qui se sont posés en France depuis la guerre. Ce sont, tout d'abord, les groupements ouvriers et leurs programmes et méthodes d'action qu'il nous décrit. Viennent ensuite les institutions patronales, et particulièrement les oeuvres de « service social » ; enfin M. D. expose et examine ce qui a été fait dans notre pays pour la conciliation des conflits du travail et la collaboration du personnel des entreprises à leur gestion. C'est un véritable traité d'économie sociale qui nous est apporté là. L'auteur, auquel il a été donné, successivement, de travailler pendant de longues années comme ouvrier d'industrie, d'occuper d'importantes fonctions à la Confédération générale du travail, d'étudier sur place la vie ouvrière des Etats-Unis (on se rappelle le succès de ses “Standards”) et, enfin, de collaborer aux travaux du B. I. T., est riche d'une expérience rare en matière de problèmes ouvriers et sociaux. A les aborder, il n'apporte pas seulement l'aptitude particulière que lui donnent ses souvenirs personnels, mais il les traite en auteur qui sait s'objectiver et qui les domine par une réflexion méthodique. Tous ceux qui enseignent les questions sociales ou dont l'activité soutient quelque lien avec elles, liront avec profit ce livre, qui illustre de manière vivante la législation ouvrière et qui aide à comprendre des aspects importants de la vie contemporaine." (Roger Picard, Revue d'économie politique, 1934)
Aux Editions du Temps qui passe, s.d. (1950), in-4°, 551 pp, nombreuses illustrations, tableaux et cartes dans le texte et à pleine page, broché, bon état. Edition originale. Ouvrage tiré à 5000 exemplaires, un des 4700 ex. numérotés (n° 737). Sous le patronage de l'Association des mutilés des yeux. Peu courant
La France demeure ; La France blessée (la France blessée dans sa chair, la France des camps, la France appauvrie dans ses biens) ; La France dans le Monde (la France d'Outre-Mer) ; Ce que le Monde doit à la France (rayonnement spirituel de la France, apport de la France à la civilisation moderne) ; L'effort français depuis la guerre ; Ressources de la France, raisons d'espérer (la France agricole, la France maritime, la France industrielle, Economie de la France Outre-Mer, l'Algérie, le Maroc, la Tunisie, le goût français, prestige de la France, le plan de modernisation et d'équipement de la France, la France continue).
Laffont, 1977, in-8°, 218 pp, broché, couv. illustrée à rabats, bon état (Coll. Un homme et son métier)
Duchenne veut dénoncer l'image mythique entretenue par les médias et la littérature et proposer une image réaliste du métier de détective : "En vérité, je ne ressemble guère à ces héros de série noire que le destin promène de casinos en traquenards, à la poursuite de fabuleux trésors ou de beautés fatales..." (p. 9) — "Savoir ce qui se passe derrière les murs de l'apparence, déjouer les plans de ceux qui complotent le mal, retrouver des êtres enfuis sur les sentiers de la déroute morale et humaine, dépister les voleurs, empêcher que les secrets d'une invention soient dérobés et exploités ailleurs, autant de souhaits que chacun a fait au moins une fois. Les détectives privés, ces "flics de l'impossible", ces redresseurs de torts à qui l'on va se confier parce que la solitude n'est plus tenable, que l'angoisse se fait trop précise, exaucent quotidiennement ces souhaits. Albert Duchenne, directeur de la célèbre agence Dubly, soulève pour nous le voile qui recouvre ce métier de l'ombre, secret et mal connu parce que trop souvent romancé. Il raconte ce qu'est la vie quotidienne d'une agence, il révèle les coulisses et les arcanes de ce métier difficile, dangereux parfois, et qui se fait autant avec le coeur qu'avec la tête... et les jambes." (4e de couverture)
Denoël, 1982, in-8°, 236 pp, témoignages, annexes, broché, prière d'insérer, bon état
Enquête et témoignage sur la prison de femmes de Fleury-Mérogis.
Larousse, 2006, in-4°, 240 pp, très nombreuses illustrations en noir et en couleurs, chronologie, biblio indicative, index, cart. illustré de l'éditeur, bon état
Editions Sociales, 1947, in-12, 479 pp, une photo de l'auteur en frontispice, broché, bon état
"Le présent volume contient la plupart des interventions de Jacques Duclos dans les diverses assemblés qui se sont succédées depuis la Libération."
Fayard, 1968, in-8°, 432 pp, 8 pl. de photos hors texte, broché, couv. à rabats, bon état (Coll. Les Grandes études contemporaines). On joint le faire-part de décès de Jacques Duclos (25 avril 1975)
"Les « mémoires de militants », s'ils apportent souvent une information inédite, sont souvent lourds et pesants. Ce n'est pas le cas des livres récents de Jacques Duclos et Charles Tillon. Les mémoires de Jacques Duclos – qui ne s'écartent en aucun point de l'interprétation officielle du Parti communiste français – apportent cependant un témoignage de premier ordre. Non seulement parce qu'elles sont l'expression d'une fidélité de presque cinquante ans, d'une longue vie militante jamais effleurée par le doute ; mais surtout parce qu'elles relatent un itinéraire vers le communisme, à la fois singulier et exemplaire. Dans cette relation réside à notre avis le meilleur de ces mémoires. L'auteur raconte dans le premier tome, avec un réel talent de conteur, d'un ton vif et non sans émotion, ses souvenirs d'enfance et de jeunesse. Ce faisant, il en a assurément éprouvé un grand plaisir. On lira particulièrement le récit que J. Duclos fait de son enfance de petit Pyrénéen à Louey, avec en arrière-plan l'évocation de cette France rurale (dans ce petit village où l'on parle l'occitan, c'est l'instituteur qui enseigne aux enfants le français) ; le récit de son apprentissage de pâtissier, de sa « montée » à Paris à l'âge de 16 ans. Ce récit est en même temps celui d'un cheminement somme toute classique vers le communisme : découverte de l'injustice sociale (il rêvait de devenir instituteur), influence d'un instituteur admirateur de la Révolution française, des premières lectures (notamment V. Hugo et Renan qui le détacha du catholicisme de son enfance), expérience vécue de la guerre (les pages consacrées à Verdun sont assez hallucinantes), découverte du socialisme, retentissement de la Révolution russe, adhésion au PCF naissant. Les pages que J. Duclos consacre à l'histoire des premières années du PCF sont également intéressantes ; non par la relation tout à fait orthodoxe des luttes intestines du nouveau Parti (les lignes consacrées à Souvarine et en règle générale à tous ceux que J. Duclos appelle les « renégats » rappellent fâcheusement une certaine historiographie), mais par la description que l'auteur nous donne de son « cursus » de militant, de son élévation dans la hiérarchie du Parti : secrétaire de section en 1921, candidat aux élections législatives de 1924, élève à l'Ecole centrale de Bobigny, candidat aux élections législatives de 1926 et battant la liste conduite par Paul Reynaud et H. de Kérillis, entré au Comité central, membre du bureau de l'Internationale pour les pays occidentaux à Berlin, délégué de l'Internationale en Espagne auprès du Parti communiste espagnol. C'est en même temps l'évocation du « climat » dans lequel se déroule, dans les années qui suivirent la bolchévisation, l'action des militants : virulence de la propagande antimilitariste qui conduit J. Duclos, gérant de la Caserne, à deux ans de prison, violence des réunions politiques (J. Duclos échappe de peu en 1931 à une tentative d'assassinat), apprentissage de la vie clandestine (entré dans la clandestinité en 1928, il n'en ressortira qu'au début 1933). Le livre se clôt sur le 6 février 1934 et la marche vers l'alliance des Partis de gauche, notamment sur l'ouverture en direction des radicaux à la veille du congrès d'octobre 1934 (l'auteur précise que ce geste de M. Thorez fut accompli malgré les réticences – à cette époque – de l'Internationale représentée en l'occurrence par Ercoli)." (Nicole Racine, Le Mouvement social, 1970) — "Premier volume d'une autobiographie qui entraînera son lecteur au travers de plus de trois-quarts de siècle de luttes politiques, “Le chemin que j'ai choisi” retrace les quarante premières années de vie privée et publique de son auteur. Ouvrier pâtissier, Jacques Duclos adhère au Parti socialiste en 1920. Au Congrès de Tours, il se range aux côtés de la majorité, au sein du nouveau Parti communiste français. Député de 1926 à 1932, il est aussi secrétaire et membre du Bureau politique de son parti à partir de 1931. L'ouvrage fourmille d'anecdotes amusantes et de portraits pittoresques : il n'en reste pas moins un livre « politique », qui explique, commente, discute et justifie le cheminement parfois laborieux grâce auquel un jeune parti inexpérimenté allait devenir un parti révolutionnaire de masse. En même temps, il laisse percevoir la mutation idéologique et psychologique qu'un tel phénomène nécessite de la part de ses militants." (Revue française de science politique, 1969)
Fayard, 1969, in-8°, 462 pp, 8 pl. de photos hors texte, broché, couv. à rabats, bon état (Coll. Les Grandes études contemporaines)
"Le second tome couvre la période 1935-1939. Le récit de J. Duclos, devenu un des principaux dirigeants du PCF, se confond avec l'histoire du Parti dans le Front populaire. Témoin et acteur de premier plan de cette période, J. Duclos nous en donne une version qui n'apporte pas de révélations. Par souci d'exactitude, il cite de larges extraits de textes officiels de l'époque, articles de l'Humanité, des Cahiers du bolchévisme qui donnent au récit un ton d'exposé un peu monotone. Cependant, lorsque J. Duclos se laisse aller à raconter ses souvenirs, à parler de ses rencontres, on retrouve une touche plus personnelle. Citons le récit de la rencontre avec le leader socialiste Largo Caballero, auprès duquel il est envoyé par l'Internationale pour le gagner à l'idée d'un front populaire ; celui des rencontres hebdomadaires avec Léon Blum au moment du gouvernement de Front populaire. L'auteur sait d'ailleurs se retrancher, avec une feinte objectivité, derrière un texte défavorable lorsqu'il veut éviter de se prononcer (c'est ainsi que pour évoquer le rôle de Malraux en Espagne, il cite un commentaire du général Hidalgo de Cisneiros). Le livre se clôt sur l'automne 1939, date à laquelle recommence pour le PCF la clandestinité..." (Nicole Racine, Le Mouvement social, 1970)
Fayard, 1970, in-8°, 315 pp, 16 pl. de photos hors texte, broché, couv. à rabats, bon état (Coll. Les Grandes études contemporaines), envoi a.s.
"Les mémoires de J. Duclos sont, sur la période 1940-1944, un témoignage important puisque l'auteur dirigea, avec B. Frachon, le Parti communiste pendant l'occupation. Cependant les historiens n'y trouveront pas toutes les réponses aux questions posées par cette période. Ainsi pour les années 1940-1941, J. D. dit avoir écrit ses mémoires en suivant de près “L'Humanité” clandestine dont il a été l'un des principaux rédacteurs, mais il passe sous silence la campagne alors menée contre la guerre impérialiste et la dénonciation de l'impérialisme anglo-français. Les faits avancés pour illustrer la démonstration (le Parti communiste a défendu l'intérêt national depuis le début) n'emportent pas la conviction dans la mesure où ils ne sont pas assortis des précisions désirables (ainsi des propositions transmises par Politzer à de Monzie pour défendre Paris) ; sur l'appel du 10 juillet 1940, des précisions intéressantes sont données (le texte a été corrigé au fur et à mesure de la composition clandestine). J. D. donne des renseignements utiles sur l'organisation clandestine du parti à la fin 1940 et sur la résistance communiste dès les premiers mois de 1941." (Revue française de science politique, 1972)
Fayard, 1971, in-8°, 496 pp, 8 pl. de photos hors texte, broché, couv. à rabats, état correct (Coll. Les Grandes études contemporaines)
"Le tome IV, qui couvre les débuts de la Quatrième République, retiendra l'attention pour trois faits : l'éviction des ministres communistes en mai 1947, la réunion constitutive du Kominform, les relations entre dirigeants du Parti communiste pendant la maladie de Maurice Thorez." (Revue française de science politique, 1972)
Editions Sociales, 1967, in-8°, 382 pp, 17 pl. de documents hors texte, broché, bon état
Editions Epi, 1971, in-8°, 184 pp, broché, couv. illustrée d'une photo de J. Duclos, bon état
"Destiné à ceux qui ne connaissent pas les communistes ou qui ne les connaissent qu'à travers la propagande adverse, le livre de J. D. vise à replacer le communisme dans l'histoire (enracinement de l'idéal communiste dans les doctrines du passé, rupture avec elles par la formation du socialisme scientifique). J. D. retrace brièvement l'histoire du Parti communiste puis développe longuement les objectifs actuels du parti. Un dernier chapitre, où le talent de polémiste de l'auteur se révèle, est en forme de « questions-réponses » sur des sujets actuels." (Revue française de science politique, 1972)
Editions Sociales, 1975, fort in-8°, 774 pp, notices biographiques, reliure skivertex vert de l'éditeur, jaquette rouge illustrée, bon état
Payot, 1919, in-12, 121 pp, 4 pl. hors texte (3 photos et un autographe), broché, un portrait photo de Clemenceau en couverture, état correct
L'étudiant (l'enfance, les études, le voyage d'Amérique) ; Le médecin (l'étudiant, la thèse, le praticien) ; L'homme politique (le maire, le conseiller municipal, le député, le sénateur, le ministre) ; Le journaliste (l'essor, les polémiques) ; L'écrivain (l'oeuvre, les idées, le théâtre) ; Le grand citoyen (avant la victoire, dans la victoire).