Lyon, Mougin-Rusand, 1893 ; in-8, broché ; 36 pp. et deux portraits hors-texte (Louis XIV et Charles II de Grande-Bretagne), couverture en japon impérial.
Edition originale rare, bon exemplaire.Prix port compris pour la France métropolitaine.
Phone number : 06 60 22 21 35
Flammarion 1985 in4, 390 pages, 1985, nombreuses reproductions d'estampes en couleurs.
En excellent état (quelques épidermures insignifiantes sur la tranche supérieure et légère pliure au dos de la jaquette).
26 cm X 31,2 cm, 359 pp, reliure cartonnée + jaquette illustrée. 300 planches couleurs.
Livre protégé par une couverture plastique. Petites traces de pliure sur la jaquette. Bords de la jaquette un peu frottés. Très bon état par ailleurs. Intérieur frais.
Bruxelles, Galerie Georges Giroux, 1921. In-4, broché, 144 pp., 1055 numéros, 29 oeuvres reproduites en 20 planches hors-texte sur papier couché. Tirage limité à 1050 exemplaires, un des 600 numérotés sur vergé anglais teinté, n°126. Carton d'invitation pour l'exposition privée joint.
Dos bruni, intérieur frais. - Frais de port : -France 6,9 € -U.E. 9 € -Monde (z B : 15 €) (z C : 25 €)
(Zürich, Orell Füssli, 1820). 4°. (43) Bl. Mit 40 emblemat. Kupfern (mit Versen und Bildüberschrift) auf 40 einseitig bedruckten Bl. von Chritstoph Murer. Neuer Pergamentband im Stile des 16. Jh.
Lonchamp 2531. – Seltener, mit den erhaltenen Kupferplatten gedruckter Nachdruck, der erstmals 1622 erschienenen Kupfer von Christoph Murer (1558–1614). Die 40 Platten ursprünglich zur Illustration der dramatischen Komödie «Von den Drangsalen der christlich-edessenischen Kirchen in Mesopotamien» gedacht, wurden vor der Drucklegung durch die Zensur verboten und acht Jahre nach Murers Tod durch den Zürcher Johann Heinrich Rordorf (1591–1680) zu Emblemen umfunktioniert, das heisst mit moralisierenden Versen und Titeln versehen und danach publiziert. Murer, bekannt als der Schöpfer des Murer-Stadtplanes, stammte aus Zürich und war «die bedeutendste Erscheinung unter den Zürcher Buchillustratoren dieser Epoche» (Leemann-van Elck). Er war ein Patenkind Christoph Froschauers und über mehrere Jahre hinweg Mitarbeiter in Tobias Stimmers Strassburger Offizin. «Diese bedeutende, trefflich gezeichnete und gestochene Bilderfolge ... zeugt von der sich vollzogenen Entwicklung Murers, die von der niederländischen Kunst beeinflusst ist» (Leemann-van Elck). – Durchgehend leicht stockfleckig. Pergamentband verzogen.
Wädischwyl. 1789 (1795) Quer-4°. Gestochenes Frontispiz, 2 Blatt mit Illustration N°. 1, (Nr. 1.), 41 gest. kalligraphischen Kupfertafeln (Nr. 2-42) und 1 Kupfer (verso 2. Blatt) von Heinrich Bruppacher nach J. J. Röschi. In späterer Leinenmappe.
Doede: Bibliographie Deutscher Schreibmeister-Bücher 115 (beim Jahr 1789). – Schreiblehrbuch mit gestochenen Schriftvorlagen. «Ungefähr das achte Jahr sollte der Zeitpunkt seyn, der Jugend den ersten Unterricht in den Anfangsgründen der Schreibkunst zu ertheilen» (Vorwort). Heinrich Bruppacher (1758–1835) der Schweizer Medailleur, Schrift- u. Kupferstecher war in Wädenswil am Zürichsee tätig. Die sorgfältig gestochenen Kupfertafeln mit zahlreichen Schriftbeispielen (Fraktur, Kurrent, Kanzlei, Initial(en)-Alphabete, lat.-franz. Kursive u. a.), entworfen von Johann Jakob Röschi, von dem ausser, dass er «an dem Kunstinstitut in Bern» tätig war, wenig bekannt ist. Doede gibt das Erscheinungsjahr fälschlicherweise mit 1789 an, widerspricht sich aber in der Aufnahme, da die letzten beiden Tafeln mit 1795 datiert sind. Die Tafeln 1–41 vom Stecher und Verfasser in der Platte signiert. Die Tafel 42 mit einem Vorwort an die Subskribienten von Jakob Emanuel Roschi. Mit den nach dem Tode von Bruppacher erschienenen Tafeln Nr. 41 und 42. – Einband berieben und bestossen. Durchgehend fleckig, vorderer Vorsatz mit Einrissen. Trotz den stärkeren Gebrauchsspuren ein gutes und vollständiges Exemplar.
Phone number : 41 (0)44 261 57 50
Librairie Renouard Paris, Librairie Renouard - H. Laurens éditeur, 1909. In-4 relié percaline éditeur à plats décorés. IV + 472 pages. 174 figures. Bibliographie, tableau chronologique sommaire, table des termes techniques, table es noms d'artistes, table des illustrations. Bel exemplaire, essentiel sur le sujet. Contient un chapitre "Note sur l'Intaille", notamment en Egypte, en Chaldée, en Grèce en Perse, etc. Bon état
Toutes les expéditions sont faites en suivi au-dessus de 25 euros. Expédition quotidienne pour les envois simples, suivis, recommandés ou Colissimo.
1973 Editions Hier et Demain, , 1973. In-plano, en feuilles, sous emboîtage toile jaune éditeur, texte liminaire et 42 planches. en noir et couleurs Ce tirage a ete limite a 799 exemplaires exemplaire Présentation du professeur Robert Bonecque. Les documents reproduits proviennent notamment du département des cartes et plans de la Bibliothéque Nationale du Cabinet des Estampes des musées et Bibliothéques locaux et de collections priveés sous emboitage recouvert de tissus jaune original 57 cm. parfait etat
photos sur demande : neuf
1951 Sl, Maurice Darantière, sd [1951]. 29 x 20 cm, in-4, 36 ff. n. ch. dont 12 eaux-fortes hors texte; en feuilles sous couverture blanche rempliée et illustrée.
Edition originale. L'un des 200 exemplaires sur vélin du Marais, seul papier (n° 108). (Inconnu de Monod.) On joint à l'exemplaire : 1/ La maquette de l'ouvrage, due à Claude Frégnac, comportant 10 dessins à l'encre bleue sur papier calque, contrecollés (les dessins des deux derniers clochers n'ont jamais été contrecollés). 2/ 16 feuillets d'essais d'impression, comportant 7 épreuves hors texte. 3/ Pour chacun des douze clochers, le tapuscrit, ainsi que les documents suivants : a) Vaisons-la-Romaine : dessin à l'encre de Chine sur papier calque, 1 épreuve de l'état définitif, b) Saint-Véran-de-Cavaillon : dessin à encre de Chine sur papier calque, 1 épreuve de l'état définitif, c) Les Saintes-Maries-de-la-Mer : dessin à l'encre de Chine sur papier calque, 1 épreuve à grandes marges justifiée épreuve d'artiste, d) Viviers : dessin à l'encre de Chine sur papier calque, 1 épreuve à grandes marges du premier état, 1 épreuve de l'état définitif, e) Saint-Honorat-des-Alyscamps : dessin à l'encre de Chine sur papier calque, 1 épreuve à grandes marges du premier état, 1 épreuve de l'état définitif, f) Géménos : 1 épreuve du premier état justifiée épreuve d'artiste et paraphée, 4 épreuves de l'état définitif, g) Alès : dessin à l'encre de Chine sur papier calque, 2 épreuves du premier état dont l'une justifiée épreuve d'artiste, h) Le Thoronet, une épreuve du premier état justifiée épreuve d'artiste et paraphée, i) Moustiers-Sainte-Marie : un dessin à l'encre de Chine, rehaussé au lavis, sur papier Canson, paraphé, 1 épreuve du premier tirage, justifié épreuve d'artiste, 1 épreuve du premier état, 1 épreuve de l'état définitif justifiée épreuve d'artiste, j) Saint-Tropez : 1 épreuve du premier tirage, justifié épreuve d'artiste, k) Saint-Gilles-du-Gard : 2 dessins à l'encre de Chine sur papier calque, le premier correspondant à une gravure finalement rejetée et entièrement recommencée, deux états de cette estampe, le deuxième justifié épreuve d'artiste, 1 épreuve de l'état définitif, tel que finalement retenu, l) Le Thor : dessin à l'encre de Chine sur papier calque, 1 épreuve de l'état définitif. 4/ Un dessin à l'encre de Chine sur papier calque représentant l'Eglise St-Laurent de Salon-de-Provence (aucune gravure correspondant à cette étude, finalement non choisie pour le livre). 5/ Un dessin à l'encre de Chine sur papier calque représentant l'Eglise Notre-Dame-de-la-Garde à Marseille (idem que 4/). 6/ Un dessin à l'encre de Chine sur papier calque représentant la cathédrale d'Embrun, une épreuve du premier état et une autre du 2e état, justifiées épreuve d'artiste et paraphées (Embrun ne fut finalement pas retenu pour le livre). 7/ 2 paires d'estampes représentant des églises que nous ne sommes pas parvenus à identifier. Cet ensemble exceptionnel constitue un témoignage particulièrement intéressant de la genèse d'un livre illustré. Elève d'André Favory, Lily Rossignol est peintre de paysages, de nus et de fleurs. Son travail de graveur semble peu connu et peu abondant. Les eaux-fortes jointes, tirées par l'artiste elle-même, et non, comme dans l'ouvrage imprimé, par Roger Lacourière, sont beaucoup plus profondes que dans ce dernier. Quelques traces de rouille laissées par des trombones dans les marges de certaines estampes. Pour le reste, parfait.
Zürich, Orell, Füssli und Comp., 1877. Gross-8°. 19 S. Mit 1 lithogr. Portrait. Orig.-Broschur (stellenweise gebräunt). = "Neujahrsblatt der Allgemeinen Musikgesellschaft Zürich", Nr. 65.
Durchgehend leicht stockfleckig.
Herisau, Schläpfer & Co., 1929. 8°. XV, 724 S. Mit 1 Frontispiz und zahlr. Abb. im Text sowie 1 Karte (1:25000) und 1 Tafel mit geologischen Profilen lose in hint. Deckeltasche. Orig.-Leinenband (leicht gebräunt und stockfleckig).
Namenszug verso Frontispiz.
Bern, J. Dalp'sche Buch- und Kunsthandlung (K. Schmid), 1875. 8°. 69 S., (10) S. (Anzeigen). Mit 6 (dv. 2 gef.) Tafeln u. 5 Textillustr. in Holzstich nach Gustave Roux sowie 1 gef. chromolithogr. Karte (34 x 47 cm). Illustr. Orig.-Leinenband.
Wäber S. 123; vgl. HBLS V, 718 (für Roth). - Einzige Ausgabe dieses Werks des Schweiz. Journalisten u. Schriftstellers Abraham Roth (1823-1880), dessen selbständige Publikationen hauptsächlich historisch-politische Themen u. geographische Gegenstände umfassen. Er war leidenschaftlicher Bergsteiger u. Mitbegründer des SAC. Die Tafeln nach dem Künstler Gustave Roux (1828-1885) zeigen Tägertschi, Entlebuch, Langnau, Werthenstein, Hünigen u. Diessbach; die Karte im Massstab 1:200'000 zeigt die Bahnlinie Bern-Luzern. - Leicht gebräunt. Einbandrücken mit altem Material restauriert. Vorsätze teilw. erneuert.
St. Gallen, Buchdruckerei Zollikofer, 1912. 8°. 283 S. Mit einigen Tafeln, einer gef. Tabelle und einer gef. Karte. Orig.-Brosch. = "Dis. der Philosophischen Fakultät deer Uni. Zürich"
Begutachtet von Prof. Hans Schinz.
Zug, Switzerland 1973 In-8 Broché Edition originale
Edition originale de ce catalogue présentant les estampes de l'artiste, réalisées entre 1969 et 1973. Reproductions et descriptions de chaque planche. Texte en anglais et en allemand. Tirage à 3000 exemplaires justifiés et signés par Roth Bon exemplaire 0
Zürich, Privatdruck der Brauerei A. Hürlimann AG, 1953. 4°. 119 (3) Seiten. Mit 44 Original.-Radierungen von Hans Wullschleger. Orig.-Halbpergamentband.
Eines von 280 Exmeplaren. Hier eines der 15 mit Buchstaben bezeichnteten Exmplare für die die Mitarbeiter. Jede Radierung vom Künstler handschriftlich signiert. – Papier leicht stockfleckig..
Zürich, Privatdruck der Brauerei A. Hürlimann AG, 1953. 4°. 119 (3) Seiten. Mit 44 kolorierten Original.-Radierungen von Hans Wullschleger. Orig.-Pergamentband.
Eines von 280 Exmeplaren. Hier eines der 15 mit Buchstaben bezeichnteten Exmplare für die die Mitarbeiter. Jede Radierung vom Künstler handschriftlich signiert. – Papier leicht stockfleckig.
1618 P., Chez Bauger, r. du Croissant, 16, Imp. dAubert & Cie, s.d. (1838), 1 planche encadrée (dimensions à vue : 280 x 230 mm), cadre du XIXe s. en placage de loupe (465 x 370 mm).Papier bruni, couleurs restées bien fraîches.
Superbe caricature, non signée, aquarellée et gommée sur blanc de Dumas, Hugo et Lemaître, chassés par Rachel, parue initialement dans la Caricature Provisoire de déc. 1838.Les exemplaires en couleurs dépoque sont rarissimes.Selon le site de La Maison de Victor Hugo :Description iconographique: Cette caricature montre Victor Hugo et Alexandre Dumas chassé du "Théâtre Français" et se dirigeant vers le "Théâtre de la Renais Cendre", allusion au Théâtre de la Renaissance qu'ils viennent de créer. Dumas porte un étendard avec la devise " Adultère Inceste ! Assassinat ! sang ! mort ! damnation ! ". Victor Hugo porte un sac inscrit "blague", une bouteille de "poison" et le texte de "Ruy Blas" sous le bras. Devant eux, de dos, l'acteur Frédérick Lemaître qui vient de créer le rôle de Ruy Blas, tient une paire de bottes et une épée de "Tolède".Commentaire historique: Cette caricature, parue dans « La Caricature provisoire », n° 6, du 23 décembre 1838, fit lobjet dune édition séparée sous la rubrique « Album théâtral », par Bauger, éditeur de "La Caricature" et du "Charivari". Elle fait allusion à la création du théâtre de la Renaissance, compagnie théâtrale Installée salle Ventadour, qui a été fondée à l'initiative de Victor Hugo et Alexandre Dumas par Anténor Joly, afin de disposer d'une troupe pour jouer le répertoire romantiques. Elle vient alors dinaugurer sa programmation le 8 novembre 1838 avec la création de « Ruy Blas », avec Frédérick Lemaître dans le rôle-titre. La lithographie, non signée, généralement attribuée à Benjamin Roubaud, est donnée dans le commentaire publiée en 2ème page du journal à « M. de Barray » : « dessins. / M. de Barray, qui estime beaucoup le talent de Mlle Rachel, nous la montre cependant sous des traits peu flattés : cest elle qui est ici la personnification de la tragédie renouvelée des Grecs, que lartiste naime guère, et dune administration théâtrale quil naime pas. Les romantiques, chassés du temple Védel, se réfugient dans celui de la Renais-Cendre, et font fort bien ». Il s'agit en fait d'un pseudonyme « provisoire » de Benjamin Roubaud créé par Philipon au moment du lancement de "La Caricature provisoire" comme le confirme un catalogue des publication de Beauger (Bauger) dans "Le Charivari" du 31 mars 1842 qui précise : " Les romantiques chassés du temple, par Benjamin....50".Nous tenons spécialement à remercier Jean-Paul Roubaud pour ces précieuses informations concernant l'attribution de cette gravure, n'hésitez pas à visiter l'excellent site qu'il consacre, en collaboration avec Pierre Quiblier, à Benjamin Roubaud.
1833 Planche HT parue dans La Caricature politique, morale, littéraire et scénique, volume 6, 27 décembre 1833 (Planche n°345)- Lithographie sur blanc- Hauteur: 27cmx Largeur: 35.6cm - Image: Hauteur: 18cmxLargeur: 28cm - Titre en bas au centre : « La France traine [traîne] son boulet. » ; indications : en ht à gche : « La Caricature (Journal) 164. », en ht à dte : « Pl. 345. » Inscription - Dans la lettre : « Chez Aubert, galerie vero dodat. » [éditeur], « L. de Becquet, rue Furstemberg 6. » [imprimeur] ; dans l’image, en bas au centre, signature : « Benjamin » [Benjamin Roubaud, dessinateur],pli à gauche,sinon bon.
Dans un paysage de plaine désolée, un monticule de pierres à dte, sur lequel est assise la figure de la France, sous les traits d’une femme plantureuse vêtue d’une robe sombre ouverte sur un large décolleté, couronnée d’une maquette de fortifications (la désignant comme l’allégorie de la France). Son bras gche est posé sur ses jambes, tandis qu’elle appuie son front sur sa main dte, le bras plié et posé sur une pierre. La pl. propose une image de la France affligée. La cause de cet accablement est accrochée à son pied gche : elle est en effet enchaînée à un boulet de prisonnier dont la forme s’apparente à celle d’une poire. Il est représenté au premier plan à gche. Il s’agit de la représentation caricaturale du visage du roi Louis-Philippe. Ainsi la pl. critique vivement la politique menée par le roi Louis-Philippe, en assimilant ce dernier à un boulet, c’est-à-dire une entrave au bon développement du pays. C’est une manière de dénoncer le bafouement des principes républicains. Une souche d’arbre mort située derrière la France contribue à amplifier l’atmosphère pathétique qui se dégage de cette pl. Enfin, à l’arrière-plan, deux hommes, habillés en gardes, surveillent la France. Il s’agit de Soult et Lobau. Critique de la situation présente jugée intolérable, cette pl. est également un encouragement à faire évoluer les choses et est signe d’espoir, si l’on en croit l’explication : « La France n’est pas condamnée au boulet à perpétuité, et tôt ou tard la Liberté le lui détachera ».Personnages représentés: Soult, Nicolas-Jean de Dieu; Louis-Philippe Ier, roi des Français; Mouton, Georges, comte de Lobau Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 200 €
Lithographie - Planche HT parue dans La Caricature politique, morale, littéraire et scénique, volume 7, 6 février 1834 LA CARICATURE (JOURNAL)/(N°170)(Planche n°358-359) - Œuvre : Hauteur: 35.5cmx Largeur: 53cm - Image : Hauteur: 29cm x Largeur: 47.5cm - Titre en bas au centre : « Le père si tendre avait promis (bis) // De fair’ égorger nos amis (bis) // Mais son coup a manqué // Grâce à nos bons jurés. // Dansons la Carmagnole, // Vive le son, vive le son // Dansons la Carmagnole // Vive le son du Canon. » ; indications : en ht à gche : « La caricature (Journal) N°170 », en ht à dte : « Pl. 358 et 359. »Inscription - Dans la lettre : « Chez Aubert, galerie véro dodat. » [éditeur], « Litho. de Becquet, rue Furstemberg 6. » [imprimeur] ; dans l’image, en bas à dte, signature : « Benjamin » [Benjamin Roubaud, dessinateur]Inscription - Sur les bâtiments à l'arrière-plan : « COUR D’ASSISES » et « PALAIS DE JUSTICE ». Un des patriotes tient un mât dont le sommet est couronné par un bonnet phrygien, et auquel est accrochée une pancarte portant la mention « Declaration [déclaration] // DU // jury // non // ils ne sont // pas coupables ». Le surnom emblématique de ce procès (« conspiration // de la poele a [poële à] frire ») est inscrit sur une feuille à terre, que les patriotes ne tarderont certainement pas à piétiner. Sur les affiches collées sur le mur à gche : « L’ENRAGE », « Un scandale », « LE [ ?] », « FAUSSAIRE », « scandale », et d’autres titres et inscriptions, illisibles.La foule, composee d’ouvriers, de gardes nationaux, d’etudiants, de journa- listes, danse la farandole autour du Palais de Justice. Philippon bat la mesure devant le Charivari ; a gauche, Persil s’enfuit mais on a attache une poele a frire a la queue de sa robe.
iconographie:Célébration de l’acquittement des suspects dans la conspiration dite de la poële à frire, et de manière générale, expression de joie face aux diverses relaxes prononcées par la justice dans des affaires de conspiration montées de toutes pièces, d’après la presse d’opposition, par le gouvernement. La scène de la pl. prend place devant le palais de justice, alors que vient d’être rendu le verdict de l’affaire dite de la poële à frire. A gche, deux patriotes jettent par la fenêtre les pièces à conviction, déversées du grand sac du « COMPLOT » : s’y trouvent un fusil, une bouteille, une feuille (sur laquelle l’inscription est illisible), divers ustensiles, un parapluie… Sous la fenêtre, Persil s’enfuit à toutes jambes, en rasant les murs. Mais il n’est pas assez rapide puisqu’un homme est occupé à lui faire une farce en accrochant une poële au bas de sa robe de juge. Il tient sous le bras l’ « acte [d’] // accusation ». C’est la farandole formée par les patriotes en train de fêter la fin heureuse du procès que Persil fuit. Les parties dte et médiane de la composition sont occupées par la représentation de la ronde d’hommes se tenant la main et chantant la chanson formant le titre de la pl. Narguant Persil, au premier plan à gche se trouvent la figure de "La Caricature" (fou portant un bonnet à plumes et grelots et un vêtement à grelots) dansant au son du tintamarre joué par la figure du "Charivari" avec des ustensiles de cuisine. Le titre est teinté d’une note républicaine très prononcée, puisqu’il reprend les premières paroles du chant révolutionnaire La Carmagnole. Les paroles du premier couplet (qui sont, dans le chant original : « Madam’ Veto avait promis (bis) // De faire égorger tout Paris (bis) // Mais son coup a manqué // Grâce à nos canonniers ») sont adaptées à la situation contemporaine. En revanche, le refrain qui leur fait suite est inchangé, puisqu’il est repris tel quel. Peut-être ce complot dit de la poële à frire fait-il référence au procès des vingt-sept, dont les accusés furent en définitive acquittés.Personnage représenté:Persil, Jean-Charles Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 200 €
Planche HT parue dans La Caricature politique, morale, littéraire et scénique, volume 6, 28 novembre 1833 (Planche n°335)- Lithographie - Œuvre: Hauteur: 27.2cmx Largeur: 35.8cm - Image: Hauteur: 20.9cm x Largeur: 27.9cm - Titre en bas au centre : « Voyez Messieurs et Dames ! » ; légende plus bas au centre : « Voyez comme il est bien dressé, il donne la patte à tout le monde et se met à genoux et reçoit toujours avec un nouveau plaisir les petites // étrennes de la société. » ; indications : en ht à gche : « La Caricature (Journal) N°159 [160]. », en ht à dte : « Pl. 333. » [erreur de numérotation, planche 335] - Dans la lettre : « chez Aubert, galerie véro dodat. » [éditeur], « Lith. de Becquet, rue Furstemberg 6. » [imprimeur] ; dans l’image, en bas à gche, signature : « Benjamin » [Benjamin Roubaud, dessinateur]Description iconographique:Dans une arène entourée de palissades de bois, Louis-Philippe est représenté avec un corps d’ours et une tête humaine, vue de dos, mais reconnaissable au haut toupet. L’explication de la pl. précise que Benjamin Roubaud a voulu montrer « le système de la paix à tout prix, dans un ours qui danse et qui fait le beau à volonté, sous le knout d’un Cosaque qui le tient enchaîné, et au son du fifre et du tambour qu’un Anglais fait sonner » (Guillaume IV, roi du Royaume-Uni ?). C’est sur un parapluie posé sur ses épaules que le roi fait reposer ses bras. A terre, à gche, gît un chapeau décoré de la cocarde tricolore. Derrière la palissade, une foule de monarques assistent au spectacle et semblent contents, à en juger par leur mine réjouie, « depuis le colosse d’Autriche jusqu’à la colossillonnette d’Espagne » (in explication). On peut notamment reconnaitre Méhémet Ali. L’explication spécifie que la pl. vise à montrer « la double nature d’un Système qui a toute la rudesse d’un ours envers les patriotes de l’intérieur, et toute sa gentillese et son obéissance pour les hommes de la sainte-alliance », faisant allusion en cela à l’attitude répressive et belliqueuse de Louis-Philippe envers le peuple français, et au contraire, sa docilité dans les affaires internationales, Louis-Philippe ayant mené une politique étrangère de non-intervention afin de se concilier les bonnes grâces des grands royaumes (notamment des trois pays formant la Sainte-Alliance). Cf. congrès de la Sainte-Alliance à Münchengraetz en septembre 1833.Personne / Personnage représenté:Louis-Philippe Ier, roi des Français
iconographie:Dans une arène entourée de palissades de bois, Louis-Philippe est représenté avec un corps d’ours et une tête humaine, vue de dos, mais reconnaissable au haut toupet. L’explication de la pl. précise que Benjamin Roubaud a voulu montrer « le système de la paix à tout prix, dans un ours qui danse et qui fait le beau à volonté, sous le knout d’un Cosaque qui le tient enchaîné, et au son du fifre et du tambour qu’un Anglais fait sonner » (Guillaume IV, roi du Royaume-Uni ?). C’est sur un parapluie posé sur ses épaules que le roi fait reposer ses bras. A terre, à gche, gît un chapeau décoré de la cocarde tricolore. Derrière la palissade, une foule de monarques assistent au spectacle et semblent contents, à en juger par leur mine réjouie, « depuis le colosse d’Autriche jusqu’à la colossillonnette d’Espagne » (in explication). On peut notamment reconnaitre Méhémet Ali. L’explication spécifie que la pl. vise à montrer « la double nature d’un Système qui a toute la rudesse d’un ours envers les patriotes de l’intérieur, et toute sa gentillese et son obéissance pour les hommes de la sainte-alliance », faisant allusion en cela à l’attitude répressive et belliqueuse de Louis-Philippe envers le peuple français, et au contraire, sa docilité dans les affaires internationales, Louis-Philippe ayant mené une politique étrangère de non-intervention afin de se concilier les bonnes grâces des grands royaumes (notamment des trois pays formant la Sainte-Alliance). Cf. congrès de la Sainte-Alliance à Münchengraetz en septembre 1833.Personnage représenté:Louis-Philippe Ier, roi des Français Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 200 €
1833 Planche HT parue dans La Caricature politique, morale, littéraire et scénique, volume 6, 29 août 1833 (Planche n°308)- La Caricature. Journal. Morale, Religieuse, Littéraire, Scénique - La Caricature ( Journal) No 147.coloriée. Plate 308. [Paris de Becquet for Maison Aubert [29 August 1833] Lithograph. Overall paper size 34.5 × 25.8 cm.French caricature of Talleyrand’s proposal to Lord Palmerston to form an alliance with Britain to counter-balance the continental league of the autocratic states of Russia, Austria, and Prussia.The print represents Talleyrand standing, supported on a crutch, reining in the infant Louis-Philippe, whilst King William IV bemus- edly looks on, commenting: ‘this child will never walk alone’. One rein is marked ‘Traite de 1815’, the other ‘Sainte Alliance’. Louis- Philippe is depicted from behind as a small boy in skirts playing with a miniature fortress and pulling a toy cannon. As usual with this artist, Talleyrand’s surgical boot is attached in error to his left foot.1 Benjamin Roubaud (1811–1847), lithographer, etcher and painter, made his name as an inspired Parisian caricaturist, contributing to the humorous comic journal La Caricature (1830–1835); he signed himself ‘Benjamin’or ‘A.B.’Dwyer 762 (misdated 1834).
signature : « Benjamin et Paillet » [Benjamin Roubaud, dessinateur, et Paillet, graveur]- Inscription - Sur le château de sable, un graffiti en forme de poire ; sur les laisses avec lesquelles Talleyrand tient le roi : « Traités de 1815 » et « Sainte alliance »Description iconographique:Talleyrand, à dte de la composition, vu de profil, appuie son bras gche sur une béquille. Il tient en laisse un enfant vêtu d’une robe rose et d’un petit fichu bleu (« en moutard tricolore » in explication). Vu de dos, il est reconnaissable au toupet et aux favoris : il s’agit du roi Louis-Philippe, occupé à construire un château de sable avec une truelle. Il tient en laisse un petit canon posé sur une plate-forme à roulettes. Allusion à son désir d’édifier des forts autour de Paris. Derrière eux se trouve Guillaume IV, roi du Royaume-Uni. Il montre Louis-Philippe du doigt tout en regardant Talleyrand avec un sourire moqueur. Il semble donner des ordres à Talleyrand. Cette pl. est une référence au projet de rapprochement avec l’Angleterre tenté par Talleyrand en direction de Palmerston pour contrer l’alliance continentale de la Russie, l’Autriche et la Prusse (Sainte-Alliance de 1815 entre ces trois pays, puis rejointe par la France en 1818 grâce à l’action de Talleyrand). Or, Guillaume IV s’y opposa, fervent défenseur de l’isolationnisme (le Royaume-Uni avait déjà refusé, en 1818, d’entrer dans la Sainte-Alliance). La pl. se moque du manque d’autonomie et d’autorité de Louis-Philippe sur l’échiquier européen.Personnages représentés:Talleyrand-Périgord, Charles-Maurice de; Louis-Philippe Ier, roi des Français Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 200 €
Roubaud, Benjamin (dit Benjamin) (Roquevaire, 01–06–1811 - Alger, 14–01–1847), dessinateur - TALLEYRAND
Reference : 24414
(1834)
1834 La Caricature. Journal. Morale, Religieuse, Littéraire, Scénique - La Caricature( Journal) No 200 Plate 419 [Paris] Delaunois for Aubert [September 1834] Lithograph. Platemark 23 × 27 cm; overall paper size 26.5 × 33 cm.the club foot in error attached to the sitter’s left leg. Four crowned monarchs are swearing their oath by placing a hand on the holy book; from left to right: the rotund figure of Louis-Philippe, the infant Isabella II of Spain supported by a wooden baby walker has dropped her doll, the girlish Maria II of Portugal in a mantilla holding up a doll in her right hand and touching the bible with her left, and KingWilliamIV.French caricature of the Quadruple Alliance of 4th September 1834 portraying Talleyrand dressed as a bishop with mitre and crozier seated in the centre holding a large opened bible; the artist shows
bon état,pli vertical Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 200 €
Roubaud, Benjamin (dit Benjamin) (Roquevaire, 01–06–1811 - Alger, 14–01–1847), dessinateur-lithographe
Reference : 25526
(1842)
1842 LE CHARIVARI Aubert et Cie, imprimeur-lithographe- Marie-Joseph dit Eugène Sue (1804-1857) (Titre factice), PANTHEON CHARIVARIQUE, nº97. (Titre de l'ensemble)- Vers 1841 — 1843- Lithographie-Description:-1 feuillet ; illustration page 3.-- texte imprime au dos,bon etat,marges courtes,rogné en haut,petit manque papier à l'angle du bas,dans l'etat. Hauteur: 36cmx Largeur: 27.3cm - Au recto, sur la lithographie, en bas à gauche, imprimer à l'encre noire : "Chez Bauger & Cie R. du Croissant 16.", au centre : "Chez Aubert & Cie Pl. de la Bourse." et à droite, imprimé à l'encre noire : "Imp. d'Aubert & Cie." ("ie" de "Cie" en exposant sur un point). impressionInscription concernant le titre - Au recto de la lithographie, en haut, imprimé à l'encre noire à gauche : "(Romanciers)" ; au centre : "PANTHEON CHARIVARIQUE." Impression - Au recto de la lithographie, en bas à droite, sur l'image, imprimé à l'encre noire : "Benjamin". (souligné). ImpressionInscription concernant le titre - Au recto de la lithographie, en bas au centre, sous l'image, imprimé à l'encre noire : "Sur la mer littéraire orageuse parfois, / En habile marin navigue Eugène Sue / Sans l'arreter jamais la critique déçue / Voir sa plume filer un succès tous les mois."
Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 200 €
Roubaud, Benjamin (dit Benjamin) (Roquevaire, 01–06–1811 - Alger, 14–01–1847), dessinateur lithographe
Reference : 25262
Lithographie - Planche HT parue dans La Caricature politique, morale, littéraire et scénique, volume 7, 30 janvier 1834 (Planche n°355) - Œuvre : Hauteur: 27cmx Largeur: 35.5cm - Image : Hauteur: 21.2cmx largeur: 28.8cm- Titre en bas au centre : « Verse, verse, verse encore. // (Chanson Bachique) » ; indications : en ht à gche : « La Caricature (Journal) N°169. », « Pl. 355. » - Dans la lettre : « Chez Aubert, galerie véro dodat. » [éditeur], « L. de Becquet, rue Furstemberg 6. » [imprimeur] ; dans l’image, en bas au centre, signature : « Benjamin » [Benjamin Roubaud, dessinateur] - Inscription - Au bout des autres branches de vigne se trouvent diverses sommes d’argent touchées par le gouvernement suite aux amendes infligées aux journaux de l’opposition : « 2200 », « 24000 », « 6000 »…Description iconographique:Parodie d’une représentation du triomphe de Bacchus. Une des œuvres de référence est-elle "Le cortège de Bacchus" réalisée au XVIIe siècle par Cornelis de Vos (Madrid, musée du Prado)? Il semblerait que la pl. entretienne quelque ressemblance avec cette œuvre (le choix de représenter un âne, la disposition des personnages…). C’est Louis-Philippe qui est représenté en Bacchus ventripotent et nu. Il chevauche un énorme coq gaulois. Il tourne la tête vers Persil, représenté en corybante, en train de presser dans la coupe du roi la récolte de raisin, se transformant en écus de cents sous, fruit des procès et amendes dont furent frappés les journaux de l’opposition (le « NATIONAL », la « Tribune » et le « CHARIVARI »). Derrière le coq se trouve Viennet en Orphée chevauchant « un pégase d’Estagel » (in explication), qui est en fait un âne (en référence aux ânes d’Estagel) et jouant de la lyre. Un autre personnage (?) chevauche aussi le coq, et cache les parties génitales du roi avec une branche de vigne. Il est coiffé d’un bicorne. A dte, madame Athalin, en ménade vêtue d’une grande robe, suit le cortège tout en buvant une coupe de « CERISES // A // L’EAU DE VIE » dont elle porte le bocal sous son bras gche. La pl. dénonce le plaisir et l’ivresse procurés aux membres du gouvernement par la récolte de l’argent issu des amendes infligées aux journaux de l’opposition. Le titre est la phrase qu’on imagine Louis-Philippe prononcer pour continuer à se délecter de ce délicieux breuvage.Personne / Personnage représenté:Persil, Jean-Charles; Louis-Philippe Ier, roi des Français; Viennet, Jean Pons Guillaume
iconographie:Parodie d’une représentation du triomphe de Bacchus. Une des œuvres de référence est-elle "Le cortège de Bacchus" réalisée au XVIIe siècle par Cornelis de Vos (Madrid, musée du Prado)? Il semblerait que la pl. entretienne quelque ressemblance avec cette œuvre (le choix de représenter un âne, la disposition des personnages…). C’est Louis-Philippe qui est représenté en Bacchus ventripotent et nu. Il chevauche un énorme coq gaulois. Il tourne la tête vers Persil, représenté en corybante, en train de presser dans la coupe du roi la récolte de raisin, se transformant en écus de cents sous, fruit des procès et amendes dont furent frappés les journaux de l’opposition (le « NATIONAL », la « Tribune » et le « CHARIVARI »). Derrière le coq se trouve Viennet en Orphée chevauchant « un pégase d’Estagel » (in explication), qui est en fait un âne (en référence aux ânes d’Estagel) et jouant de la lyre. Un autre personnage (?) chevauche aussi le coq, et cache les parties génitales du roi avec une branche de vigne. Il est coiffé d’un bicorne. A dte, madame Athalin, en ménade vêtue d’une grande robe, suit le cortège tout en buvant une coupe de « CERISES // A // L’EAU DE VIE » dont elle porte le bocal sous son bras gche. La pl. dénonce le plaisir et l’ivresse procurés aux membres du gouvernement par la récolte de l’argent issu des amendes infligées aux journaux de l’opposition. Le titre est la phrase qu’on imagine Louis-Philippe prononcer pour continuer à se délecter de ce délicieux breuvage.Personnages représentés:Persil, Jean-Charles; Louis-Philippe Ier, roi des Français; Viennet, Jean Pons Guillaume Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 200 €
LE PRAT Guy. 1973. In-12. Cartonnage d'éditeurs. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 221 pages. Quelques dessins en noir et blanc dans le texte. Illustration couleurs, sur le 1er plat.. . . . Classification Dewey : 769-Estampes
"Conseils aux amateurs et collectionneurs. Collection "" Valeurs-Refuge"". Classification Dewey : 769-Estampes"