, Fonds Mercator 2017, 2017 Hardcover, 263 pages, Texte en Francais, 300 x 280 mm, Tres belle exemplaire ! Beaucoup illustrations de couleur,. ISBN 9789462301894.
Jasper Johns (b.1930) is regarded as one of the most influential American artists of the last sixty years. When he broke onto the New York art scene in the 1950s, Johns and his lover Robert Rauschenberg established a decisive new direction in an art world that had been dominated by the Abstract Expressionists. Johns's striking use of popular iconography, such as flags, numbers and maps, rendered with a distinctive textural, painterly surface, made a colossal impact. In this handsomely illustrated study, skilled writers examine Johns's pioneering oeuvre and offer a detailed overview of the career and international significance of this subtlest of craftsmen. This book accompanies the exhibition 'Jasper Johns', 23 September-10 December 2017, Royal Academy of Arts, London
Lucien Vogel éditeur | Paris Mars 1920 | 24 x 37 cm | une feuille
Estampe double originale en couleur, tirée sur papier vergé, signée en bas à droite de la planche. Gravure originaleréalisée pour l'illustration deLa Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: «En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France.» («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
Phone number : 01 56 08 08 85
Lucien Vogel éditeur | Paris Mars 1920 | 24 x 37 cm | une feuille
Estampe double originale en couleur, tirée sur papier vergé, signée en bas à droite de la planche. Gravure originaleréalisée pour l'illustration deLa Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: «En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France.» («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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Paris, D. de Nobele, 1967. 7 vol. in-8, rel. de l'éditeur simili cuir bordeaux, dos lisse, titre doré, 287-(8)ff-259 pp., VIII-312-VIII-327-IV pp., 322-(9)ff-304 pp., 322-(9)ff-349 pp.,338-(5)ff-308 pp., XV-324-270 pp., 359 pp., Réimpression offset exécutée pour F. DE NOBELE de l'édition de Paris, 1835-1871, nombreuses planches h.t.
Petit défaut de collage au dos du vol. 2, sinon très bonne condition. - Frais de port : -France 8,45 € -U.E. 13 € -Monde (z B : 23 €) (z C : 43 €)
1896 Les peintres-lithographes : album trimestriel de lithographies originales et inédites 1896 - belle epreuve Impression . claires rousseurs en marge. toutes marges dimension feuille : 320 x 460mm.. timbre de la Société des Peintres-Lithographes, tirage à 80 ex.- Peintre, graveur, professeur de dessin, poète ou collectionneur marchand et historien d’art – Wickenden partagea sa vie entre l’Angleterre (où il naquit en 1861) les États-Unis, le Canada (où il mourut en 1931) et la France où il séjourna entre 1883 et 1900, étudiant à l’École des Beaux-Arts de Paris ou demeurant une dizaine d’année à Auvers sur Oise.Peintre profondément influencé par l’École de Barbizon, il publia aux États Unis de nombreux articles sur Corot, Millet, Rousseau et Daubigny.
signature de l'artiste dans la planche, timbre à sec de l'éditeur en marge-Émile FRIANT est un peintre, graveur naturaliste français. Né à Dieuze le 16 avril 1863 et mort le 9 juin 1932 à Paris.- Peintres-lithographes (les) Albums trimestriels de lithographies originales et inédites par divers artistes, sous la direction de Léonce Bénédite, Henri-Patrice Dillon, Jean Alboize. Paris, aux bureaux de L'Artiste. 1893-1896 Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 200 €
Paris Le Club Français du Livre 1963 in 4 (27,5x21,5) 1 volume reliure skivertex noir de l'éditeur, dos et plat supérieur titrés en blanc, plat supérieur orné d'une vignette illustrée contrecollée, 451 pages [5], avec de nombreuses reproductions en noir et blanc. Introduction, commentaires et notices par Philippe Roberts-Jones. Ouvrage composé d'après les maquettes de Jacques Darche, assisté par Françoise Rocziki. Edition hors-commerce numérotée. Exemplaire numéroté. Bel exemplaire ( Photographies sur demande / We can send pictures of this book on simple request )
Très bon Reliure Ed. numérotée
Gravure à l'eau forte, éditée par le revue "L'ART", imprimerie Salmon. Dimensions de l'image 290 x 100 mm, dimensions de le feuille 435 x 290 mm. Bon état avec des traces de scotch au dos et unne légère trace de soleil sur les bords de la feuille. Venez consulter l'ensemble de mes objets sur mon site antharedeschuyter.fr ! Envoi recommandé R2 9
The Fens ou Fenland(s) est une région de l'Est de l'Angleterre. C'était autrefois une région marécageuse, mais les marais, asséchés progressivement au cours des siècles, ont laissé place aux champs. Elle s'étend principalement autour de l'estuaire du Wash, dans les comtés cérémoniaux du Lincolnshire, du Cambridgeshire et du Norfolk. Remises possibles sur les achats en lot, achetez plusieurs objets à la fois ! Reçoit sur rendez-vous pour consultation des ouvrages.
Paris, Maurice Dreyfous, 1879. 4°. (2) 312 S. Mit 27 Tafeln u. zahlr. Textillustr. Schwarz- u. goldgepr. Orig.-Leinenband mit dreis. Goldschnitt.
Durchgehend leicht gebräunt u. stellenweise stockfleckig. Einband berieben und bestossen. Gelenke angeplatzt.
1897 Les peintres-lithographes : album trimestriel de lithographies originales et inédites 1897 - belle epreuve Impression . claires rousseurs en marge. toutes marges dimension feuille : 320 x 460mm.. timbre de la Société des Peintres-Lithographes, tirage à 100 ex.
signature de l'artiste dans la planche, timbre à sec de l'éditeur Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 200 €
, , 1871. Eau-forte (feuille 67 x 103 cm, dimensions à la cuvette 47 x 64 cm).
Spectaculaire composition anticommunarde gravée à l'eau forte par Octave de Rochebrune qui montre l'Hôtel de Ville de Paris incendié sous le titre « Le Crime. Monument à la gloire de l'Armée française qui a sauvé la France et la civilisation. Dans la nuit du 23 au 24 mai 1871, le Louvre, l'Hôtel de Ville, les Tuileries, le Palais de Justice, le Palais-Royal etc. furent incendiés par les sicaires de la Commune de Paris (…) ». « Après avoir appris la technique de l’eau-forte en autodidacte en 1859, Octave de Rochebrune (1824-1900) n’a cessé de graver. Son œuvre comporte près de 500 eaux-fortes et une dizaine de lithographies, montrant son intérêt pour le patrimoine de sa Vendée natale, mais aussi pour les grands monuments de France. Sa passion de l’architecture perpétue la tradition romantique amorcée dans les années 1830, mais sa démarche va plus loin. Archéologue et collectionneur, il signe de nombreuses planches relevant fidèlement les résultats de fouilles et les objets de sa collection » (BnF).Belle épreuve sur papier vergé avec la mention Ove de Rochebrune. fec. 1er Septembre 1871. Il s'agit probablement du deuxième état de l'estampe, décrit par Clouzot dans son catalogue raisonné comme ayant subi une « remorsure partielle autour de la grande inscription et de la barricade attaquée par la troupe », avant les « quelques retouches de pointe sèche » réalisées au troisième état.Beraldi, XI, p.224 ; Clouzot, Catalogue descriptif et raisonné de l'oeuvre de Rochebrune, Paris, Niort, 1901, n°176 ; Le Quillec, 4019.
Rodari, Florian, Wirth, Jean, Musée d'art et d'histoire, Cabinet des estampes
Reference : lc_49013
Musée d'art et d'histoire (1976)
Broché, comme neuf.
Schaffhausen, Hurter'sche Buchhandlung, 1843-44. 8°. VIII, 602 S.; VI S., S. 7-632. Mit 4 gef. Plänen u. 2 gef. Karten mit Grenzkolorit. Interimsbroschuren der Zeit.
HBLS V, 663. - Feller/Bonjour II, 610f. - Erste Ausgabe des geschichtsforschenden Werks von Emanuel von Rodt (1776-1848), der eidgenössischer Artilleriehauptmann und 1812 Sekretär des Kriegsrats war. "Gestützt auf seine aufschlussreiche Forscherarbeit, namentlich im bernischen Staatsarchiv, geht er über eine ganze schweizerische Literatur, die Karl verdammt, hinweg und betrachtet die Dinge auch von der burgundischen Seite, eine Selbstentäusserung, die ihm mit der Ausweitung des Gesichtsfeldes gelohnt wird" (Feller/Bonjour). Die Pläne und Karten zeigen die Schlachten bei Hericourt, Grandson, Nancy, Murten und die Kriegsschauplätze Europas, Elsass mit Franche Comté der Wadt sowie Savoyen u. der Schweiz. Unbeschnittenes und unaufgeschnittenes Exemplar.
S. n. | Paris 1912 | 14 x 22.50 cm | une feuille
Estampe originale en couleur, tirée sur papier vergé, signée en bas à droite de la planche. L'une des premières revues de mode françaises, parue quelques temps avant la fameuse Gazette du bon ton et réunissant les grands artistes français de la mouvance Art déco. Le Journal des dames et des modes est une revue trimensuelle de mode française illustrée créée en 1797. Sa publication est stoppée en 1839 avant d'être reprise en juin 1912 sous l'impulsion de Tommaso Antongini, le secrétaire, ami et biographe de Gabriele d'Annunzio. Elle disparaîtra en août 1914 à l'aube de la Première Guerre mondiale. La revue était tirée à 1279 exemplaires ce qui en fait, pour l'époque, une publication relativement confidentielle. Les 186 planches, d'une grande finesse, sont gravées sur papier fort puis coloriées au pochoir. Elles représentent, la majorité du temps, des femmes, mais aussi des hommes et des enfants. Les modèles ne sont pas, à la différence de ceux de la Gazette du bon ton dont la publication verra le jour quelques mois plus tard, ceux des couturiers de renom mais sont le fruit de l'imagination des illustrateurs eux-mêmes. Les pochoirs sont, la plupart du temps, exécutés par George Barbier, mais d'autres artistes collaborent à la revue: Léon Bakst, B. Berty, Bernard Boutet de Monvel, Roger Broders, Jan van Brock, Umberto Brunelleschi, H. Robert Dammy, Étienne Drian, Abel Faivre, Marie-Madeleine Franc-Nohain, Xavier Gosé, Paul Iribe, Kriegck, Victor Lhuer, Pierre Legrain, Charles Martin, Fernand Siméon, Ismael Smith, Armand Vallée et Gerda Wegener. Nombre de ces illustrateurs seront également associés à La Gazette du bon ton. Leurs travaux, emblématiques du mouvement Art déco, soulignent l'influence de l'orientalisme et des costumes des ballets russes tout en les inscrivant dans les activités quotidiennes des Français aisés de l'époque. Dès la préface du premier numéro de 1912, Anatole France déclare: « Au bout de soixante-quinze ans, il renaît. Il renaît par les soins de quelques esprits ingénieux et artistes. Il renaît pour les curieux (s'il en est encore) que ne contentent pas les journaux de modes tirés à plusieurs milliers et illustrés par la photographie.Et si les éditeurs nous rendent très exactement, dans son format, avec son papier, son impression, ses procédés de gravure et de coloris, le vieux classique des modes d'autrefois, c'est qu'ils entendent le continuer agréablement et devenir les classiques charmants de la mode d'aujourd'hui et de demain. » - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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S. n. | Paris 1912 | 14 x 22.50 cm | une feuille
Estampe originale en couleur, tirée sur papier vergé, signée en bas à gauche de la planche. L'une des premières revues de mode françaises, parue quelques temps avant la fameuse Gazette du bon ton et réunissant les grands artistes français de la mouvance Art déco. Le Journal des dames et des modes est une revue trimensuelle de mode française illustrée créée en 1797. Sa publication est stoppée en 1839 avant d'être reprise en juin 1912 sous l'impulsion de Tommaso Antongini, le secrétaire, ami et biographe de Gabriele d'Annunzio. Elle disparaîtra en août 1914 à l'aube de la Première Guerre mondiale. La revue était tirée à 1279 exemplaires ce qui en fait, pour l'époque, une publication relativement confidentielle. Les 186 planches, d'une grande finesse, sont gravées sur papier fort puis coloriées au pochoir. Elles représentent, la majorité du temps, des femmes, mais aussi des hommes et des enfants. Les modèles ne sont pas, à la différence de ceux de la Gazette du bon ton dont la publication verra le jour quelques mois plus tard, ceux des couturiers de renom mais sont le fruit de l'imagination des illustrateurs eux-mêmes. Les pochoirs sont, la plupart du temps, exécutés par George Barbier, mais d'autres artistes collaborent à la revue: Léon Bakst, B. Berty, Bernard Boutet de Monvel, Roger Broders, Jan van Brock, Umberto Brunelleschi, H. Robert Dammy, Étienne Drian, Abel Faivre, Marie-Madeleine Franc-Nohain, Xavier Gosé, Paul Iribe, Kriegck, Victor Lhuer, Pierre Legrain, Charles Martin, Fernand Siméon, Ismael Smith, Armand Vallée et Gerda Wegener. Nombre de ces illustrateurs seront également associés à La Gazette du bon ton. Leurs travaux, emblématiques du mouvement Art déco, soulignent l'influence de l'orientalisme et des costumes des ballets russes tout en les inscrivant dans les activités quotidiennes des Français aisés de l'époque. Dès la préface du premier numéro de 1912, Anatole France déclare: « Au bout de soixante-quinze ans, il renaît. Il renaît par les soins de quelques esprits ingénieux et artistes. Il renaît pour les curieux (s'il en est encore) que ne contentent pas les journaux de modes tirés à plusieurs milliers et illustrés par la photographie.Et si les éditeurs nous rendent très exactement, dans son format, avec son papier, son impression, ses procédés de gravure et de coloris, le vieux classique des modes d'autrefois, c'est qu'ils entendent le continuer agréablement et devenir les classiques charmants de la mode d'aujourd'hui et de demain. » - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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S. n. | Paris 1912 | 14 x 22.50 cm | une feuille
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Genève Cailler, collection "Peintres et Sculpteurs d'hier et d'aujourd'hui" 1951 Broché, couverture illustrée rempliée, étui
Edition originale de cette importante monographie, illustrée de 161 planches en noir, 15 en couleurs. Tirage de luxe imprimé à 225 exemplaires numérotés comprenant 4 EAUX-FORTES originales de DUNOYER de SEGONZAC, tirées sur papier Marais. >>>UN DES 25 PREMIERS avec en plus une TRIPLE-SUITE des estampes, sur Chine, sur Japon et les planches barrées sur Arches. Soit au total 16 GRAVURES originales, encartées dans l'ouvrage. Petite fente à la couverture, mais bel exemplaire du tirage de tête. Très bon 0
Paris, Ed. Manuel Bruker, 1955. In-4, en feuilles sous chemise rempliée illustrée, non paginé, front. en coul. , 7 lithographies (dont 2 en coul.) in et h.-t., 5 pointes sèches dont 1 h.-t., 1 eau-forte h.-t., liste et titre des gravures. Ed. tirée à 250 ex. sur vélin blanc de Rives, (n°95).
Collection : Les Maîtres de la gravure contemporaine. R. Lotiron, graveur français. Avant-propos de Vincent Muselli. Très bel ex. -
RMN - Orangerie - MUSEES NATIONAUX 1976 In-8, broché couv. marron, photographies pleines pages en n. & b. Bon état.
Exposition présentée au Musée de l’Orangerie des Tuileries du 20 février au 3 mai 1976. Bon état d’occasion
1974, Bibliothèque des Arts, Paris. In-folio, relié, toilé éditeur à la bradel sous jaquette illustrée, 224pp largement illustrées n&b. Nombreuses reproductions pleine page. Jaquette émoussée et légèrement insolée. Intérieur bon. Bon exemplaire
Wattwil, 1911. Fotografie. Bildformat: 32 x 25 cm.
Rückseitig handschr. beschriftet: "20. Januar 1911, Mollis".
Très rare estampe d'après Jules Romain. Voir Bartsch tome XVI, p. 395, 49. L'estampe est très proche de celle gravée par René Boyvin (milieu du XVIè). Au verso à la plume et encre brune: F. Rechberger 1805. Celui-ci fut conservateur de la collection Moriz von Fries, puis entra à l'Albertina. Sa signature se trouve sur les feuilles de la collection du comte von Fries. En feuille. Ancienne réparation dans l'angle supérieur droit. Bon XVIè 66 x 88 cm
Bern u. Solothurn, Jent & Gassmann, 1858. 8°. VIII, 80 S. Mit 2 Tafeln u. 2 Textillustr. Halbleinenbd. der Zeit (gering berieben u. bestossen, Rücken verblasst).
Beigebunden: (1.:) Das Schweizerische Heerwesen und der Soldatengeist. Ein Rückblick auf Erscheinungen aus jüngst vergangener Zeit. Von einem schweizerischen Wehrmann. Zürich, Meyer und Zeller, 1859. (2) 77 S. (2.:) Der monarchische Paradisapfel oder der Sündenfall des Schweizerischen Wehrwesens. Offenes Wort an die Herrn Militärdirektoren Obersten Ziegler und Stämpfli. 2. Auflage. Zürich, Kommissionsverlag der Buchhandlung von C. Honegger-Schmid, 1865. (2) 52 (2) S. Mit 1 ganzs. Illustr. - Durchgehend gebräunt u. stellenweise stockfleckig. 2. Beilage mit Namenszug auf Titels.
Dresden ( Dresde ) Ernst Arnold 1922 in 8 (25x18,5) 1 volume reliure cartonnée illustrée de l'éditeur sous couverture à rabats illustrée en couleurs, 19 pages de texte préliminaire (dont table des planches), avec 100 planches hors texte en noir et blanc de reproductions de gravures, eaux-fortes, dont une en frontispice. Axel Ludvig Romdahl, 1880-1951. Bel exemplaire ( Photographies sur demande / We can send pictures of this book on simple request )
Bon Reliure
Feuillet d'Art 1919/20,,planche du tirage numérotée au crayon et signée dans la planche, bon état,infimes rousseurs bords marges
A fine impression in fine condition with full margins Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 200 €