Gazette des Beaux-Arts 19° BANQUET DES OFFICIERS DES ARQUEBUSIERS DE St GEORGES 1627, Eau forte de William UNGER d'après Frans HALSDimensions de l'image : 202 x 135 mmDimensions de la feuille : 279 x 190 mmEnvoi en lettre suivie
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University of Applied Science, Chicago, Ill.: 1921.Semi-hardcover. 8vo - over 73⁄4" - 93⁄4" tall. fourth edition, 5 lesson booklets total, illustrated. The introduction notes "the science of finger print identification is a new one. Although finger prints have been used for over a thousand years, the present practical system of classifying finger prints was perfected only a few years ago. In taking up the study of finger print identification you are allying yourself with one of the most rapidly progressing of the the modern professions,bound with;Secret intelligence Service:concise instruction in modern methode,fourth edition,47p. ALL ARE IN VERY GOOD CONDITION.
1840 Paris : A la librairie de l'Enfance et de la Jeunesse, de P.-C. Lehuby, 1840.cartonné editeur,in8 oblong,91 pages, 12 planches gravées en noir,illustrations ;format album 14 x 21 cm
bon état,quelques rousseurs,rare
Stäfa, Vlg. Th. Gut & Co, 1976. 8°. 396 S. Mit zahlr. (dv. einige farb.) Abb. Orig.-Leinenbd.
Stäfa, Th. Gut, 1976. 8°. 396 S. Mit zahlr. (dv. einige farb.) Abb. Goldgepr. Orig.-Lederband.
Basel, beim Verfasser und bey Schoell et Comp., 1803. 4°. Typogr. Titelblatt, Aquatinta-Titelblatt und 7 Aquatinta-Tafeln, montiert. Späterer Leinenband mit goldgepr. Deckeltitel.
Thieme/Becker 34, 8. – Lonchamp 3066 (mit dem franz. Titel «l'oraison dominicale d'un habitant d'Unterwalden». – Erste Ausgabe, erschien gleichzeitig in französischer Sprache. Johann Martin Usteri (1763–1827) «war in Anlehnung an Salomon Gessner die Verkörperung eines Künstler-Dilettanten, der gleichermassen als Zeichner, Dichter und Sammler Bedeutung erlangte» (e-Hls). – Das Papier durchgehend etwas stockfleckig. Vorsätze gebräunt. Der Einband berieben.
Zürich, S. Höhr, 1883. X, 144 S.
Angebunden: Ders.: Zwingli und Erasmus. Eine reformationsgeschichtliche Studie. Zürich, S. Höhr, 1885. 39 S. – Ders.: Initia Zwingli. Beiträge zur Geschichte der Studien und der Geistesentwicklung Zwinglis in der Zeit vor Beginn der reformatorischen Thätigkeit. S. 607–737. – Papier stärker gebräunt.
O.J. (ca. 1860). Lithographie (ovales Brustbild). Bildgrösse: 15 x 13 cm. Blattgrösse: 32 x 23 cm.
Die Ränder stärker, ansonsten leicht gebräunt.
O.J. (ca. 1860). Lithographie (ovales Brustbild). Bildgrösse: 15 x 13 cm. Blattgrösse: 31 x 22 cm.
Abzug auf Japanpapier, montiert.
Aarau, Im Verlag bei Heinrich Remigius Sauerländer, 1832. 8°. XVI, 428 S., (3) S. (Verlagsanzeigen). Pappband der Zeit mit Marmorpapierbezug, Rückenschild und Rückenvergoldung.
Mit eigenh. Brief von Anton Largiadèr (1893–1974), Schweizer Historiker und Zürcher Staatsarchivar an Konrad Escher, datiert 21. Dezember 1948. – Mit handschr. Namenszug auf dem Vorsatz. Papier durchgehend etwas stockfleckig. Der Einband berieben, das Rückenschild teilweise abgelöst.
Colombes , Collection Génération n°5 (Gervais Jassaud) 1971 In-8 Broché Edition originale
EDITION ORIGINALE illustrée de sérigraphies originales en couleurs de Claude Viallat, insérées dans l'ouvrage. Tirage à 300 exemplaires. UN DES 15 PREMIERS lettrés sur chiffon Lafuma contenant 6 SERIGRAPHIES originales de Claude VIALLAT. €€€€€€ Les estampes, insérées dans l'ouvrage, sont tirées sur vélin blanc dans un format oblong. Le tirage sur Crif offset ne contient lui que deux sérigraphies de l'artiste. Il a été tiré en outre quatre-vingt exemplaires pour le service de presse, non illustrée Très bon exemplaire 0
Format : 33,5 x 25,5 cm.
Bel état.
Publié par CAUDRILIER. Imp. Becquet frères. Format : 25,5 x 33,5 cm.
Des rousseurs éparses.
1974 Marseille Le Roudelet Felibren dóu Pichoun-Bousquet et le Comité Valère Bernard 1974, en édition monumentale tirée à 160 exemplaires, “La Légende de Jean de l'Ours”, illustrée de 13 eaux-fortes, tirées par Valère Bernard lui-même, de bandeaux et de lettrines.
Le Roudelet Felibren dóu Pichoun-Bousquet et le Comité Valère Bernard ont publié :en 1974, en édition monumentale tirée à 160 exemplaires, “La Légende de Jean de l'Ours”, illustrée de 13 eaux-fortes, tirées par Valère Bernard lui-même, de bandeaux et de lettrines. Dans cette œuvre, I'auteur fait se rejoindre la légende universelle de “Jean de l'Ours” avec la légende pyrénéenne de “La Fée Esclarmonde”. C'est un peu l'histoire de “La Belle et la Bête” : Jean de l'Ours délivre Esclarmonde de sa prison,c’est-à-dire libère la langue d’Oc.
nantes Sebire et Mellinet 1844 Une lithographie Originale, en noir et bistre, Format de la gravure elle-même : 24 centimètres de haut par 20 centimètres de large, imprimé en noir sous la gravure au centre : "Valério pinx et Lith. COSTUMES D'ESCOUBLAC" , gravure provenant de : "Le Touriste, ou Souvenir de l'Ouest de la France" : Nantes , Sebire et Mellinet, 1844,
SUPERBE ........... trés rare ...... en bon état (very good condition). en bon état
S.n., Paris 1913, 14x22,5cm, une feuille.
Estampe originale en couleur, tirée sur papier vergé, signature en bas à droite de la planche. L'une des premières revues de mode françaises, parue quelques temps avant la fameuse Gazette du bon ton et réunissant les grands artistes français de la mouvance Art déco. Le Journal des dames et des modes est une revue trimensuelle de mode française illustrée créée en 1797. Sa publication est stoppée en 1839 avant d'être reprise en juin 1912 sous l'impulsion de Tommaso Antongini, le secrétaire, ami et biographe de Gabriele d'Annunzio. Elle disparaîtra en août 1914 à l'aube de la Première Guerre mondiale. La revue était tirée à 1279 exemplaires ce qui en fait, pour l'époque, une publication relativement confidentielle. Les 186 planches, d'une grande finesse, sont gravées sur papier fort puis coloriées au pochoir. Elles représentent, la majorité du temps, des femmes, mais aussi des hommes et des enfants. Les modèles ne sont pas, à la différence de ceux de la Gazette du bon ton dont la publication verra le jour quelques mois plus tard, ceux des couturiers de renom mais sont le fruit de l'imagination des illustrateurs eux-mêmes. Les pochoirs sont, la plupart du temps, exécutés par George Barbier, mais d'autres artistes collaborent à la revue: Léon Bakst, B. Berty, Bernard Boutet de Monvel, Roger Broders, Jan van Brock, Umberto Brunelleschi, H. Robert Dammy, Étienne Drian, Abel Faivre, Marie-Madeleine Franc-Nohain, Xavier Gosé, Paul Iribe, Kriegck, Victor Lhuer, Pierre Legrain, Charles Martin, Fernand Siméon, Ismael Smith, Armand Vallée et Gerda Wegener. Nombre de ces illustrateurs seront également associés à La Gazette du bon ton. Leurs travaux, emblématiques du mouvement Art déco, soulignent l'influence de l'orientalisme et des costumes des ballets russes tout en les inscrivant dans les activités quotidiennes des Français aisés de l'époque. Dès la préface du premier numéro de 1912, Anatole France déclare: « Au bout de soixante-quinze ans, il renaît. Il renaît par les soins de quelques esprits ingénieux et artistes. Il renaît pour les curieux (s'il en est encore) que ne contentent pas les journaux de modes tirés à plusieurs milliers et illustrés par la photographie.Et si les éditeurs nous rendent très exactement, dans son format, avec son papier, son impression, ses procédés de gravure et de coloris, le vieux classique des modes d'autrefois, c'est qu'ils entendent le continuer agréablement et devenir les classiques charmants de la mode d'aujourd'hui et de demain. » - Photos sur www.Edition-originale.com -
S.n., Paris 1913, 14x22,5cm, une feuille.
Estampe originale en couleur, tirée sur papier vergé, signature en bas à gauche de la planche. L'une des premières revues de mode françaises, parue quelques temps avant la fameuse Gazette du bon ton et réunissant les grands artistes français de la mouvance Art déco. Le Journal des dames et des modes est une revue trimensuelle de mode française illustrée créée en 1797. Sa publication est stoppée en 1839 avant d'être reprise en juin 1912 sous l'impulsion de Tommaso Antongini, le secrétaire, ami et biographe de Gabriele d'Annunzio. Elle disparaîtra en août 1914 à l'aube de la Première Guerre mondiale. La revue était tirée à 1279 exemplaires ce qui en fait, pour l'époque, une publication relativement confidentielle. Les 186 planches, d'une grande finesse, sont gravées sur papier fort puis coloriées au pochoir. Elles représentent, la majorité du temps, des femmes, mais aussi des hommes et des enfants. Les modèles ne sont pas, à la différence de ceux de la Gazette du bon ton dont la publication verra le jour quelques mois plus tard, ceux des couturiers de renom mais sont le fruit de l'imagination des illustrateurs eux-mêmes. Les pochoirs sont, la plupart du temps, exécutés par George Barbier, mais d'autres artistes collaborent à la revue: Léon Bakst, B. Berty, Bernard Boutet de Monvel, Roger Broders, Jan van Brock, Umberto Brunelleschi, H. Robert Dammy, Étienne Drian, Abel Faivre, Marie-Madeleine Franc-Nohain, Xavier Gosé, Paul Iribe, Kriegck, Victor Lhuer, Pierre Legrain, Charles Martin, Fernand Siméon, Ismael Smith, Armand Vallée et Gerda Wegener. Nombre de ces illustrateurs seront également associés à La Gazette du bon ton. Leurs travaux, emblématiques du mouvement Art déco, soulignent l'influence de l'orientalisme et des costumes des ballets russes tout en les inscrivant dans les activités quotidiennes des Français aisés de l'époque. Dès la préface du premier numéro de 1912, Anatole France déclare: « Au bout de soixante-quinze ans, il renaît. Il renaît par les soins de quelques esprits ingénieux et artistes. Il renaît pour les curieux (s'il en est encore) que ne contentent pas les journaux de modes tirés à plusieurs milliers et illustrés par la photographie.Et si les éditeurs nous rendent très exactement, dans son format, avec son papier, son impression, ses procédés de gravure et de coloris, le vieux classique des modes d'autrefois, c'est qu'ils entendent le continuer agréablement et devenir les classiques charmants de la mode d'aujourd'hui et de demain. » - Photos sur www.Edition-originale.com -
S.n., Paris 1912, 14x22,5cm, une feuille.
Estampe originale en couleur, tirée sur papier vergé, signée en bas à droite de la planche. L'une des premières revues de mode françaises, parue quelques temps avant la fameuse Gazette du bon ton et réunissant les grands artistes français de la mouvance Art déco. Le Journal des dames et des modes est une revue trimensuelle de mode française illustrée créée en 1797. Sa publication est stoppée en 1839 avant d'être reprise en juin 1912 sous l'impulsion de Tommaso Antongini, le secrétaire, ami et biographe de Gabriele d'Annunzio. Elle disparaîtra en août 1914 à l'aube de la Première Guerre mondiale. La revue était tirée à 1279 exemplaires ce qui en fait, pour l'époque, une publication relativement confidentielle. Les 186 planches, d'une grande finesse, sont gravées sur papier fort puis coloriées au pochoir. Elles représentent, la majorité du temps, des femmes, mais aussi des hommes et des enfants. Les modèles ne sont pas, à la différence de ceux de la Gazette du bon ton dont la publication verra le jour quelques mois plus tard, ceux des couturiers de renom mais sont le fruit de l'imagination des illustrateurs eux-mêmes. Les pochoirs sont, la plupart du temps, exécutés par George Barbier, mais d'autres artistes collaborent à la revue: Léon Bakst, B. Berty, Bernard Boutet de Monvel, Roger Broders, Jan van Brock, Umberto Brunelleschi, H. Robert Dammy, Étienne Drian, Abel Faivre, Marie-Madeleine Franc-Nohain, Xavier Gosé, Paul Iribe, Kriegck, Victor Lhuer, Pierre Legrain, Charles Martin, Fernand Siméon, Ismael Smith, Armand Vallée et Gerda Wegener. Nombre de ces illustrateurs seront également associés à La Gazette du bon ton. Leurs travaux, emblématiques du mouvement Art déco, soulignent l'influence de l'orientalisme et des costumes des ballets russes tout en les inscrivant dans les activités quotidiennes des Français aisés de l'époque. Dès la préface du premier numéro de 1912, Anatole France déclare: « Au bout de soixante-quinze ans, il renaît. Il renaît par les soins de quelques esprits ingénieux et artistes. Il renaît pour les curieux (s'il en est encore) que ne contentent pas les journaux de modes tirés à plusieurs milliers et illustrés par la photographie.Et si les éditeurs nous rendent très exactement, dans son format, avec son papier, son impression, ses procédés de gravure et de coloris, le vieux classique des modes d'autrefois, c'est qu'ils entendent le continuer agréablement et devenir les classiques charmants de la mode d'aujourd'hui et de demain. » - Photos sur www.Edition-originale.com -
S.n., Paris 1913, 14x22,5cm, une feuille.
Estampe originale en couleur, tirée sur papier vergé, signature en bas à droite de la planche. L'une des premières revues de mode françaises, parue quelques temps avant la fameuse Gazette du bon ton et réunissant les grands artistes français de la mouvance Art déco. Le Journal des dames et des modes est une revue trimensuelle de mode française illustrée créée en 1797. Sa publication est stoppée en 1839 avant d'être reprise en juin 1912 sous l'impulsion de Tommaso Antongini, le secrétaire, ami et biographe de Gabriele d'Annunzio. Elle disparaîtra en août 1914 à l'aube de la Première Guerre mondiale. La revue était tirée à 1279 exemplaires ce qui en fait, pour l'époque, une publication relativement confidentielle. Les 186 planches, d'une grande finesse, sont gravées sur papier fort puis coloriées au pochoir. Elles représentent, la majorité du temps, des femmes, mais aussi des hommes et des enfants. Les modèles ne sont pas, à la différence de ceux de la Gazette du bon ton dont la publication verra le jour quelques mois plus tard, ceux des couturiers de renom mais sont le fruit de l'imagination des illustrateurs eux-mêmes. Les pochoirs sont, la plupart du temps, exécutés par George Barbier, mais d'autres artistes collaborent à la revue: Léon Bakst, B. Berty, Bernard Boutet de Monvel, Roger Broders, Jan van Brock, Umberto Brunelleschi, H. Robert Dammy, Étienne Drian, Abel Faivre, Marie-Madeleine Franc-Nohain, Xavier Gosé, Paul Iribe, Kriegck, Victor Lhuer, Pierre Legrain, Charles Martin, Fernand Siméon, Ismael Smith, Armand Vallée et Gerda Wegener. Nombre de ces illustrateurs seront également associés à La Gazette du bon ton. Leurs travaux, emblématiques du mouvement Art déco, soulignent l'influence de l'orientalisme et des costumes des ballets russes tout en les inscrivant dans les activités quotidiennes des Français aisés de l'époque. Dès la préface du premier numéro de 1912, Anatole France déclare: « Au bout de soixante-quinze ans, il renaît. Il renaît par les soins de quelques esprits ingénieux et artistes. Il renaît pour les curieux (s'il en est encore) que ne contentent pas les journaux de modes tirés à plusieurs milliers et illustrés par la photographie.Et si les éditeurs nous rendent très exactement, dans son format, avec son papier, son impression, ses procédés de gravure et de coloris, le vieux classique des modes d'autrefois, c'est qu'ils entendent le continuer agréablement et devenir les classiques charmants de la mode d'aujourd'hui et de demain. » - Photos sur www.Edition-originale.com -
S.n., Paris 1913, 14x22,5cm, une feuille.
Estampe originale en couleur, tirée sur papier vergé, signature en bas à droite de la planche. L'une des premières revues de mode françaises, parue quelques temps avant la fameuse Gazette du bon ton et réunissant les grands artistes français de la mouvance Art déco. Le Journal des dames et des modes est une revue trimensuelle de mode française illustrée créée en 1797. Sa publication est stoppée en 1839 avant d'être reprise en juin 1912 sous l'impulsion de Tommaso Antongini, le secrétaire, ami et biographe de Gabriele d'Annunzio. Elle disparaîtra en août 1914 à l'aube de la Première Guerre mondiale. La revue était tirée à 1279 exemplaires ce qui en fait, pour l'époque, une publication relativement confidentielle. Les 186 planches, d'une grande finesse, sont gravées sur papier fort puis coloriées au pochoir. Elles représentent, la majorité du temps, des femmes, mais aussi des hommes et des enfants. Les modèles ne sont pas, à la différence de ceux de la Gazette du bon ton dont la publication verra le jour quelques mois plus tard, ceux des couturiers de renom mais sont le fruit de l'imagination des illustrateurs eux-mêmes. Les pochoirs sont, la plupart du temps, exécutés par George Barbier, mais d'autres artistes collaborent à la revue: Léon Bakst, B. Berty, Bernard Boutet de Monvel, Roger Broders, Jan van Brock, Umberto Brunelleschi, H. Robert Dammy, Étienne Drian, Abel Faivre, Marie-Madeleine Franc-Nohain, Xavier Gosé, Paul Iribe, Kriegck, Victor Lhuer, Pierre Legrain, Charles Martin, Fernand Siméon, Ismael Smith, Armand Vallée et Gerda Wegener. Nombre de ces illustrateurs seront également associés à La Gazette du bon ton. Leurs travaux, emblématiques du mouvement Art déco, soulignent l'influence de l'orientalisme et des costumes des ballets russes tout en les inscrivant dans les activités quotidiennes des Français aisés de l'époque. Dès la préface du premier numéro de 1912, Anatole France déclare: « Au bout de soixante-quinze ans, il renaît. Il renaît par les soins de quelques esprits ingénieux et artistes. Il renaît pour les curieux (s'il en est encore) que ne contentent pas les journaux de modes tirés à plusieurs milliers et illustrés par la photographie.Et si les éditeurs nous rendent très exactement, dans son format, avec son papier, son impression, ses procédés de gravure et de coloris, le vieux classique des modes d'autrefois, c'est qu'ils entendent le continuer agréablement et devenir les classiques charmants de la mode d'aujourd'hui et de demain. » - Photos sur www.Edition-originale.com -
S.n., Paris 1913, 14x22,5cm, une feuille.
Estampe originale en couleur, tirée sur papier vergé, signature en bas à droite de la planche. L'une des premières revues de mode françaises, parue quelques temps avant la fameuse Gazette du bon ton et réunissant les grands artistes français de la mouvance Art déco. Le Journal des dames et des modes est une revue trimensuelle de mode française illustrée créée en 1797. Sa publication est stoppée en 1839 avant d'être reprise en juin 1912 sous l'impulsion de Tommaso Antongini, le secrétaire, ami et biographe de Gabriele d'Annunzio. Elle disparaîtra en août 1914 à l'aube de la Première Guerre mondiale. La revue était tirée à 1279 exemplaires ce qui en fait, pour l'époque, une publication relativement confidentielle. Les 186 planches, d'une grande finesse, sont gravées sur papier fort puis coloriées au pochoir. Elles représentent, la majorité du temps, des femmes, mais aussi des hommes et des enfants. Les modèles ne sont pas, à la différence de ceux de la Gazette du bon ton dont la publication verra le jour quelques mois plus tard, ceux des couturiers de renom mais sont le fruit de l'imagination des illustrateurs eux-mêmes. Les pochoirs sont, la plupart du temps, exécutés par George Barbier, mais d'autres artistes collaborent à la revue: Léon Bakst, B. Berty, Bernard Boutet de Monvel, Roger Broders, Jan van Brock, Umberto Brunelleschi, H. Robert Dammy, Étienne Drian, Abel Faivre, Marie-Madeleine Franc-Nohain, Xavier Gosé, Paul Iribe, Kriegck, Victor Lhuer, Pierre Legrain, Charles Martin, Fernand Siméon, Ismael Smith, Armand Vallée et Gerda Wegener. Nombre de ces illustrateurs seront également associés à La Gazette du bon ton. Leurs travaux, emblématiques du mouvement Art déco, soulignent l'influence de l'orientalisme et des costumes des ballets russes tout en les inscrivant dans les activités quotidiennes des Français aisés de l'époque. Dès la préface du premier numéro de 1912, Anatole France déclare: « Au bout de soixante-quinze ans, il renaît. Il renaît par les soins de quelques esprits ingénieux et artistes. Il renaît pour les curieux (s'il en est encore) que ne contentent pas les journaux de modes tirés à plusieurs milliers et illustrés par la photographie.Et si les éditeurs nous rendent très exactement, dans son format, avec son papier, son impression, ses procédés de gravure et de coloris, le vieux classique des modes d'autrefois, c'est qu'ils entendent le continuer agréablement et devenir les classiques charmants de la mode d'aujourd'hui et de demain. » - Photos sur www.Edition-originale.com -
S.n., Paris 1913, 14x22,5cm, une feuille.
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TEL. VERS 1944. In-Folio. Broché. Etat d'usage, Plats abîmés, Dos satisfaisant, Papier jauni. Envrion 30 pages + VII + envrion 30 pages- Nombreuses planches (50 planches sur le tome 2) en noir et blanc - Couverture contrepliée - Reliure spirale - PLATS (Partiellement sur le tome 2) DESOLIDARISES - 71 illustrations acompagnées d'une étude historique et technique - 2 PHOTOS DISPONIBLES. . . . Classification Dewey : 769-Estampes
Copyright 1944 Classification Dewey : 769-Estampes
Lausanne, Mermod, 1953. In-4 broché, couv. rempliée, XXVII-222 pp., 136 oeuvres reprod. en noir à pleine page, biographie, bibliographie, index.
Dos frotté en tête et queue, intérieur frais, bonne condition. - Frais de port : -France 4,95 € -U.E. 11 € -Monde (z B : 18 €) (z C : 31 €)
VALLERY-RADOT Jean conservateur en chef du Cabinet des Estampes, Paris.
Reference : 11470
(1953)
Lausanne, Editions Mermod, 1953. In-4 broché couverture rempliée, XXVII - 223 pp. Frottements sur la couverture sinon bon état.