Paris, Vve Jules Renouard , 1860. 2 tomes en 2 vol. in-8 à pagination continue XII-137-(1) pp., 1 fac similé et 1 tableau repliés, 196 pp. ; (197-) 704 pp., 1 planche repliée, demi-maroquin noir, dos à nerfs, tête doré, non rogné (David).
Rare réunion en édition originale des deux tomes publiés séparément, le premier en 1853 (ici avec titre de relais à la date de 1860), le second en 1860 chez la veuve Jules Renouard, sortis des presses de Grimblot et veuve Raybois à Nancy. Divisé en trois parties dont I. la biographie de Callot suivie de nombreuses notes et pièces justificatives ; II. le catalogue de l'oeuvre de Callot « réduit aux morceaux authentiques » ; III. la troisième partie divisée en cinq sections 1. Pièces douteuses 2. Pièces faussement attribuées à callot par Gersaint, Regnault-Delalande et autres 3. Pièces gravées par différents artistes d'après les dessins du maître 4. les Imitations 5. les copies classées d'après l'ordre adopté pour le catalogue de l'oeuvre. Fac similé d'autographe de Callot, tableau généalogique de la famille Callot, et planche de la marque des papiers sur lesquels ont été tirées les épreuves du "Combat à la barrière”.Exemplaire sur papier Hollande truffé d'un portrait en frontispice de Jacques Callot (Yves 1855) dans une reliure signée David.Provenance : bibliothèque du libraire new-yorkais Hans Peter Kraus (ex-libris) qui ouvrit sa première librairie à Vienne en 1932, avant de l’installer à New York en 1939. Dos frottés, coiffe de pied arasée (tome I). Vicaire, V, 635-636.
Impression en sérigraphie. 1980. Dim: 57 x 76 cm. Tirée à 150 exemplaires. Signée et justifiée par l'artiste. Encadrée.
Andrew Holmes (1947-) est un artiste britannique, a travaillé la photographie puis est devenu un peintre de l'hyper réalisme.Mec Art: nom masculin invariable. (de mécanique et art, avec l'influence de pop art). Technique et courant artistiques caractérisés par l'utilisation d'images photomécaniques. (Effets de trame chez Bertini et Rotella à partir de 1963 ; dès 1962, report d'images photographiques par sérigraphie chez Warhol ou Rauschenberg).(Larousse).
Impression en sérigraphie. 1980. Dim: 57 x 76 cm. Tirée à 150 exemplaires. Signée et justifiée par l'artiste. Encadrée.
Andrew Holmes (1947-) est un artiste britannique, a travaillé la photographie puis est devenu un peintre de l'hyper réalisme.Mec Art: nom masculin invariable. (de mécanique et art, avec l'influence de pop art). Technique et courant artistiques caractérisés par l'utilisation d'images photomécaniques. (Effets de trame chez Bertini et Rotella à partir de 1963 ; dès 1962, report d'images photographiques par sérigraphie chez Warhol ou Rauschenberg).(Larousse).
Impression en sérigraphie. 1980. Dim: 57 x 76 cm. Tirée à 150 exemplaires. Signée et justifiée par l'artiste. Encadrée.
Andrew Holmes (1947-) est un artiste britannique, a travaillé la photographie puis est devenu un peintre de l'hyper réalisme.Mec Art: nom masculin invariable. (de mécanique et art, avec l'influence de pop art). Technique et courant artistiques caractérisés par l'utilisation d'images photomécaniques. (Effets de trame chez Bertini et Rotella à partir de 1963 ; dès 1962, report d'images photographiques par sérigraphie chez Warhol ou Rauschenberg).(Larousse).
Köln, König, 2011. 4°. 254 S., mit zahlreichen Illustrationen. Illustrierter Leinenband.
Mit 1 DVD-Video.- Sehr gut erhaltenes Exemplar.
Zürich, Zürcher und Furrer, 1881. VI, 610 S. Mit 1 Plan und 1 Textillustration. Halbleinenband der Zeit.
Mit handschriftlichem und gestempelten Besitzereintrag auf dem Titelblatt. Durchgehend stockfleckig.
Bern, Emanuel Haller, 1801. 8°. (6), 212 S., (1) Bl. 1 gest. Frontisp. und 1 Titelbvignette. Halblederband der Zeit mit Rückenvergoldung.
Erste Ausgabe. – Karl Friedrich August Meisner (1765–1825), Berner Lehrer einer Privatschule beschreibt eine Reise mit seinen Schülern in das Lauterbrunnental nach Grindelwald und ins Haslital, im August 1800. – Es fehlt die gef. Kupfertafel. Papier durchgehend etwas stockfleckig. Einband berieben.
Bern, Emanuel Haller, 1801. 8°. (6), 212 S., (1) Bl. 1 gest. Frontisp., Titelbvignette und Kupfertafel. Halblederband der Zeit mit Rückenvergoldung.
Erste Ausgabe. – Karl Friedrich August Meisner (1765–1825), Berner Lehrer einer Privatschule beschreibt eine Reise mit seinen Schülern in das Lauterbrunnental nach Grindelwald und ins Haslital, im August 1800. – Die Kupfertafel doppelt vorhanden, einmal koloriert.
1951. Bleistift auf starkem Papier. Blattgrösse: 34,5 x 44 cm.
Unten links mit Bleistift signiert (51).
Zürich, Orell, Füssli und Compagnie, 1828. 12°. (2) Bl., 99 S. Broschur d. Zt. aus grünem, lackiertem Papier. Einband berieben und zerknittert - fachmännisch restauriert.
Goedeke XII, S. 54, Nr. 45. - Erste deutsche Ausgabe. Meister (1744-1826), auch genannt "Pariser Meister" oder "Henri le Maître", Schriftsteller und Politiker, lebte damals in Paris und verfasste seine Schrift, "Voyage de Zurich à Zurich" auf Französisch, wie die meistern seiner Werke; sie erschien 1818 und 1826 (vgl. Goedeke Nr. 39). - Etwas stockfleckig.
2 Bände. Ulm, Verlag der Stettinschen Buchhandlung, 1796. 8'. (2) Bl., 832 Spalten; 1 Bl., 442 Spalten, S. 443–586, (1) S. Pappbände der Zeit mit Marmorpapierbezug.
e-HLs (für den Verfasser). – Feller/Bonjour 454. – Das seltene Lexikon wurde von Leonhard Meister (1741–1811) im Jahre 1796 veröffentlicht. Er war von 1773 bis 1791 als Professor für Geografie und Geschichte an der Kunstschule in Zürich tätig. «Dieser Theologe und Vielschreiber sticht unvorteilhaft von der trefflichen Zürcher Gelehrtenschule ab ... Er publizierte flüchtig und oberflächlich drauflos, um die Geschichte zu popularisieren» (Feller/Bonjour). – Das Papier durchgehend stärker stockfleckig. Die Einbände berieben und bestossen.
St. Gallen, Müller, 1826. 12°. 190 S. Mit gest. Frontispiz und 30 Kupfertafeln. Pappband der Zeit.
Der Einband berieben und bestossen. Das Papier durchgehend gebräunt.
Lyon, J. Bapt. et Nicolas De Ville, 1694 ; in-12 ; plein veau havane moucheté, dos à nerfs décoré et doré, pièce de titre grenat, roulette sur les coupes (reliure de l'époque) ; (14), 559, (3) pp., et 2 vignettes gravées dont 1 au titre, 2 planches gravées dépliantes (tables d'airain) et quelques figures dans le texte.
EDITION ORIGINALE de cet ouvrage très érudit du père Menestrier qui passe en revue tous les ouvrages anciens consacrés à Lyon et en corrige les multiples erreurs ; dans une secoinde partie, il traite de la fondation de la ville de Lyon. Cet ouvrage constitue l'introduction indispensable à "L'Histoire civile et consulaire de Lyon" parue en 1696.Bel exemplaire, avec juste une petite usure à deux coins.
Phone number : 06 60 22 21 35
Liestal, Landschäftler A.-G., o. J. (ca. 1930). 12°. 61 (2) S. Goldgepr. Orig.-Leinenbd.
Mit Namenszug auf dem Vorsatz.
Lucien Vogel éditeur, Paris [circa 1920], 19,5x25cm, une feuille.
Estampe originale en couleur tirée sur papier vergé, signée en bas à droite dans la planche. Gravure originaleréalisée pour l'illustration deLa Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: «En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France.» («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Lucien Vogel éditeur, Paris Mai 1913, 19x24,5cm, une feuille.
Estampe originale en couleur, tirée sur papier vergé, signée en bas à droite dans la planche. Gravure originale réalisée pour l'illustration deLa Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) La Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: « En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France. » («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, La Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. - Photos sur www.Edition-originale.com -
nantes Imprimerie Moderne - Beuchet et Vanden brugge 1967 une reproduction en photocomposition en couleurs d'une Aquarelle originale de jean adrien Mercier : "LA SIRENE", format : 25,5 x 20 cm pour l'aquarelle elle-même, 29,5 x 24 pour le format total (aquarelle et marge) , sans date ( 1967 signature de Jean adrien Mercier en haut à gauche dans l'aquarelle avec la date 67) Nantes Imprimerie Moderne - Beuchet et Vanden brugge Editeurs,
bel exemplaire ...... TRES RARE ...... en trés bon état (very good condition). en trés bon état
Kassel u. Basel, Bärenreiter-Vlg, 1960. Gr.-4°. 90 S., 4 nn Bl., 10 S., 2 nn Bl. Mit 1 illustr. Titel und 86 Tafeln (davon 74 gefaltet). Orig.-Pappband mit illustriertem Schutzumschlag. tadellos.
Faksimile nach der Ausgabe von 1654.
Leiden, Petri Vander Aa, 1723. Kupferstich von Mattäus Merian. Plattengrösse: 26,2 x 34,6 cm. Blattgrösse: 29,2 x 39,5 cm.
Blatt nur leicht gebräunt.
1852 1852 Edite par l’Artiste,Imp.Delatre,Etching;Printed on cream coloured laid paper. Fine early impression.26.8 x 18.8 cm
tres jaunie,Delteil-Wright 28; Schneiderman 23, ten state of ten.
Paris, Club Français du Livre, 1969, 1 volume, in-folio (41 cm), sous chemise souple à rabats et emboîtage rigide, non paginé, 28 p. + 22 planches. Edition à tirage numéroté à 8000 exemplaires. Réimpression des 22 eaux-fortes de l'édition de 1852-1854. Petits plis aux rabats de la chemise.
Très bel exemplaire. ************* Remise 20 % pour toute commande supérieure à 100 €, envoi gratuit en courrier suivi et assurance à partir de 30 € d'achat (France seulement).
3 Bände. Aarau, Sauerländer, 1905-1929. 4°. XII, 344, 10 S.; X S.345-714; IX, 186 (1) S. Mit zahlr. Tafeln, Stammtafeln und Abb. im Text. Orig.-Leinenbände (nicht uniform).
Hervorragend illustriertes Standardwerk des Aargauer Historikers W. Merz (1868–1938). – Die ersten beiden Bände stärker berieben.
Sérigraphie en 3 couleurs, numérotée 55/100 ex. Signée au crayon en bas à droite. 16,8/25 cm. Bon état.
Grande eau-forte polychrome imprimée sur Arches. Signée en marge, justifiée XX/XX ex. et titrée par l'artiste (63/90 cm). Bon état.
Compositeur, peintre, graveur et sculpteur, traversé en son temps par les questions écologiques et par un culte fervent de la nature, de ses vibrations et de son énergie, observateur de l’air, du gel et de la lumière, défini par la critique comme nuagiste ou paysagiste figuratif/abstrait, Jean Messagier (Paris 1920 - Montbéliard 1999) se tenait à l’écart des courants, des écoles et des formats imposés.
Grande eau-forte à dominante rose imprimée sur Arches. Titrée, justifiée E. A. et signée en marge (63/90 cm). Bon état.
Compositeur, peintre, graveur et sculpteur, traversé en son temps par les questions écologiques et par un culte fervent de la nature, de ses vibrations et de son énergie, observateur de l’air, du gel et de la lumière, défini par la critique comme nuagiste ou paysagiste figuratif/abstrait, Jean Messagier (Paris 1920 - Montbéliard 1999) se tenait à l’écart des courants, des écoles et des formats imposés.