Write to the booksellersLibrairie Chrétien
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Type
Book (1773)
Object book (1)
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Century
18th (7)
19th (90)
20th (1332)
21st (175)
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Syndicate
ILAB (1774)
SLAM (1774)
"Aigle royal".
Lausanne Gonin & Cie 1929 1 in-4 Gravure en couleurs sur Velin pur chiffon d'Arches signée en bas à droite, Lausanne, Gonin & Cie, 1929-1931, in-4, 14.5 x 14.5 cm. (format à vue), 20.7 x 21.7 cm.
En plein vol plané, un aigle royal aux ailes déployées, évolue dans un massif montagneux. Paul JOUVE (1878-1973) est sans conteste l'un de nos plus grand artiste animalier. Il aime dessiner d'après nature. Il fréquenta l'école vétérinaire, les abattoirs afin d'y apprendre l'anatomie animale ; il visita régulièrement le jardin des Plantes et de nombreux zoos européens. Passionné par les félins et la faune africaine, il sait rendre vie à ses sujets animaliers et n'hésite pas, bien au contraire, à partir en Afrique du Nord, en Extrême-Orient, pour travailler sur le motif. Il s'agit d'une illustration gravée par Perrichon et extraite des Poèmes Barbares de Leconte de Lisle. Tirage limité à 119 exemplaires + 20 exemplaires d'artiste. "Une des meilleures collaborations de ces deux artistes réputés". (Carteret, IV-227 ; Monod, II-6718 ; Planche reproduite dans Les Artistes du Livre "Paul Jouve").
"Ours brun avec muselière - Poèmes barbares"
Lausanne Gonin & Cie 1929 1 in-4 Gravure sur bois en noir sur fond or, Lausanne, Gonin & Cie, 1929-1931, in-4, 19.5 x 15 cm.
Paul JOUVE (1878-1973) est sans conteste l'un de nos plus grand artiste animalier. Il aime dessiner d'après nature. Il fréquenta l'école vétérinaire, les abattoirs afin d'y apprendre l'anatomie animale ; il visita régulièrement le jardin des Plantes et de nombreux zoos européens. Passionné par les félins et la faune africaine, il sait rendre vie à ses sujets animaliers et n'hésite pas, bien au contraire, à partir en Afrique du Nord, en Extrème-Orient, pour travailler sur le motif. Au premier plan, apparaît un ours brun muselé, debout sur ses pattes ; à ses côtés un singe est attaché par une chaîne ... Il s'agit d'une illustration gravée par Perrichon et extraite des Poèmes Barbares de Leconte de Lisle. Tirage limité à 119 exemplaires + 20 exemplaires d'artiste. "Une des meilleures collaborations de ces deux artistes réputés". (Carteret, IV-227 ; Monod, II-6718 ; Planche reproduite dans Les Artistes du Livre "Paul Jouve").
"Panthère au repos sur un rocher - Poèmes barbares"
Lausanne Gonin & Cie 1929 1 in-4 Gravure sur bois en couleur sur papier Japon nacré, Lausanne, Gonin & Cie, 1929-1931, in-4, 14 x 14 cm.
Paul JOUVE (1878-1973) est sans conteste l'un de nos plus grand artiste animalier. Il aime dessiner d'après nature. Il fréquenta l'école vétérinaire, les abattoirs afin d'y apprendre l'anatomie animale ; il visita régulièrement le jardin des Plantes et de nombreux zoos européens. Passionné par les félins et la faune africaine, il sait rendre vie à ses sujets animaliers et n'hésite pas, bien au contraire, à partir en Afrique du Nord, en Extrème-Orient, pour travailler sur le motif. Une panthère, assise sur un rocher, profite d'un moment de repos ... Il s'agit d'une illustration gravée par Perrichon et extraite des Poèmes Barbares de Leconte de Lisle. Tirage limité à 119 exemplaires + 20 exemplaires d'artiste. "Une des meilleures collaborations de ces deux artistes réputés".(Carteret, IV-227 ; Monod, II-6718 ; Les Artistes du Livre "Paul Jouve").
"Panthère déchiquetant sa proie - Poèmes barbares".
Lausanne Gonin & Cie 1929 1 in-4 Gravure sur bois en couleurs sur papier Japon nacré, Lausanne, Gonin & Cie, 1929-1931, in-4, 19.8 x 19.5 cm.
Paul JOUVE (1878-1973) est sans conteste l'un de nos plus grand artiste animalier. Il aime dessiner d'après nature. Il fréquenta l'école vétérinaire, les abattoirs afin d'y apprendre l'anatomie animale ; il visita régulièrement le jardin des Plantes et de nombreux zoos européens. Passionné par les félins et la faune africaine, il sait rendre vie à ses sujets animaliers et n'hésite pas, bien au contraire, à partir en Afrique du Nord, en Extrème-Orient, pour travailler sur le motif. L'heure de dévorer sa proie est enfin arrivée. Quel festin ! Il s'agit d'une illustration gravée par Perrichon et extraite des Poèmes Barbares de Leconte de Lisle. Tirage limité à 119 exemplaires + 20 exemplaires d'artiste. "Une des meilleures collaborations de ces deux artistes réputés". (Carteret, IV-227 ; Monod, II-6718 ; Planche reproduite dans Les Artistes du Livre "Paul Jouve").
"Panthère déchiquetant sa proie - Poèmes barbares".
Lausanne Gonin & Cie 1929 1 in-4 Gravure sur bois en couleurs sur papier Japon nacré, Lausanne, Gonin & Cie, 1929-1931, in-4, 13 x 13.5 cm. (format à vue).
Paul JOUVE (1878-1973) est sans conteste l'un de nos plus grand artiste animalier. Il aime dessiner d'après nature. Il fréquenta l'école vétérinaire, les abattoirs afin d'y apprendre l'anatomie animale ; il visita régulièrement le jardin des Plantes et de nombreux zoos européens. Passionné par les félins et la faune africaine, il sait rendre vie à ses sujets animaliers et n'hésite pas, bien au contraire, à partir en Afrique du Nord, en Extrème-Orient, pour travailler sur le motif. L'heure de dévorer sa proie est enfin arrivée. Quel festin ! Il s'agit d'une illustration gravée par Perrichon et extraite des Poèmes Barbares de Leconte de Lisle. Tirage limité à 119 exemplaires + 20 exemplaires d'artiste. "Une des meilleures collaborations de ces deux artistes réputés". (Carteret, IV-227 ; Monod, II-6718 ; Planche reproduite dans Les Artistes du Livre "Paul Jouve").
"Panthère lovée".
Lausanne Gonin & Cie 1929 1 in-4 Gravure sur velin pur chiffon d'Arches, Lausanne, Gonin & Cie, 1929-1931, in-4, 14.5 x 14.5 cm. (format à vue), 20.7 x 21.7 cm.
Scène touchante de grâce représentant une panthère lovée. Paul JOUVE (1878-1973) est sans conteste l'un de nos plus grand artiste animalier. Il aime dessiner d'après nature. Il fréquenta l'école vétérinaire, les abattoirs afin d'y apprendre l'anatomie animale ; il visita régulièrement le jardin des Plantes et de nombreux zoos européens. Passionné par les félins et la faune africaine, il sait rendre vie à ses sujets animaliers et n'hésite pas, bien au contraire, à partir en Afrique du Nord, en Extrème-Orient, pour travailler sur le motif. Il s'agit d'une illustration gravée par Perrichon et extraite des Poèmes Barbares de Leconte de Lisle. Tirage limité à 119 exemplaires + 20 exemplaires d'artiste. "Une des meilleures collaborations de ces deux artistes réputés". (Carteret, IV-227 ; Monod, II-6718 ; Planche reproduite dans Les Artistes du Livre "Paul Jouve").
"Tigre à l'affût - Poèmes barbares".
Lausanne Gonin & Cie 1929 1 in-4 Gravure sur bois en noir avec fond réhaussé d'or, Lausanne, Gonin & Cie, 1929-1931, in-4, 19.5 x 15.5 cm.
Paul JOUVE (1878-1973) est sans conteste l'un de nos plus grand artiste animalier. Il aime dessiner d'après nature. Il fréquenta l'école vétérinaire, les abattoirs afin d'y apprendre l'anatomie animale ; il visita régulièrement le jardin des Plantes et de nombreux zoos européens. Passionné par les félins et la faune africaine, il sait rendre vie à ses sujets animaliers et n'hésite pas, bien au contraire, à partir en Afrique du Nord, en Extrème-Orient, pour travailler sur le motif. Un tigre, sauvage et féroce, se met soudain à l'arrêt, prêt à chasser... Il s'agit d'une illustration gravée par Perrichon et extraite des Poèmes Barbares de Leconte de Lisle. Tirage limité à 119 exemplaires + 20 exemplaires d'artiste. "Une des meilleures collaborations de ces deux artistes réputés".(Carteret, IV-227 ; Monod, II-6718 ; gravure reproduite dans Les Artistes du Livre "Paul Jouve").
"Petit-Beurre".
Nantes IMPRIMERIE MODERNE 1937 1 Chromolithographie sur papier, Nantes, Imprimerie moderne, (1937), 23.7 x 20.6 cm.
!["Petit-Beurre". . [LEFEVRE-UTILE]. [P.L.V.].](https://static.livre-rare-book.com/pictures/CIP/15741_1_thumb.jpg)
Habillage de boîte pour les biscuits "Petit-Beurre" dans les tons bleu-gris, "destiné a être collé sur les boîtes métalliques d'un contenu de 500 grs et déclinant l'ange de la Renommée inscrit dans un cartouche ovale mentionnant la marque et les différentes médailles obtenues par la maison LU" (in catalogue "Lu collection Lefèvre-Utile" vente Artcurial du 27 mai 2003). Légères pliures.
"Le Petit Ecolier".
Paris 1897 1 Chromolithographie, en couleurs, sur carton, signée et datée dans la planche en bas à droite, (1920), 46 x 31 cm.
La plus célèbre publicité pour le petit beurre Lu. Un écolier en blouse bleue et coiffé d'un béret porte une médaille sur sa poitrine. Il croque un petit beurre LU. Louis Lefèvre-Utile, successeur de Jean-Romain Lefèvre, inventeur de la marque LU, a le premier l'idée de s'allier à de grands dessinateurs pour promouvoir les produits de sa marque. C'est ainsi que Firmin BOUISSET invente la célèbre effigie du "petit écolier" (Patrick Thibault, La Belle Histoire de LU, 1998, 109 pp., p. 28). Plis aux coins et léger manque de papier.
«Variation sur la mode».
1920 Gouache et mine de plomb sur papier gris contrecollé, signée en bas à droite sous le dessin, (1920), titre et signature au dos du carton d'origine, 31.5 x 24 cm.
Pierre LEGRAIN (Levallois-Perret 1889- Paris 1929), artiste aux multiples facettes et tête d'affiche de l'Art-déco (relieur, designer, ensemblier, dessinateur, collabore à L'Assiette au Beurre, Au Témoin, Le Mot..) . Il participa au Salon des Artistes Décorateurs (S.A.D.), travailla pour Jacques Doucet, collabora avec Paul Iribe. Il eut une clientèle prestigieuse : le couturier Jacques Doucet, Le Vicomte de Noailles, Robert de Rothschild, Pierre Meyer... Membre fondateur du Groupe des Cinq qui visait à contrecarrer le classicisme de la S.A.D. Il réalise une scène de mode dans laquelle évolue, dans un jardin à la française, trois femmes vêtues de superbes manteaux de fourrure et coiffées de chapeaux ravissants. L'une d'elle étreint une statue, les deux autres sont hiératiques, telles des staues, mais mettent en valeur les manteaux qu'elles portent. Des roses, proches de celles dessinées par Paul Iribe, jonchent le sol et ajoutent une touche de couleur vive à la scène. Titre autographé au verso, cachet et numéro d'exposition (16 58) au verso. Infimes taches et traces de colle, salissures.
"Danseuses au repos".
1910 1 Cuivre-matrice et eau-forte originale de Louis Legrand signée à gauche avec remarque au coq, rayé, (1910), 36 x 55 cm. (cuivre), 36.5 x 55.2 cm. (format de la feuille bords repliés), 36 x 54 cm. (format à vue).
Le talent de Louis Legrand en fait un des maîtres aquafortistes du courant symboliste de la fin du XIXème siècle. Il saisit avec grâce deux jeunes danseuses s'échauffant près de la barre. Louis Legrand (1863-1951), peintre, graveur et dessinateur français, élève de l'École des Beaux-Arts de Dijon, vint à Paris étudier la gravure à l'eau-forte chez Félicien Rops. Il travailla à partir de 1892 pour l'éditeur Gustave Pellet. En 1896, il fit une importante exposition avec 200 gravures dans la galerie L'Art Nouveau. À l'Exposition Universelle de 1900 à Paris il obtint une médaille d'argent. En 1908, le magazine "L'Art et le Beau" lui consacra un numéro (...). "Quel homme, ce Legrand, il trouverait des angles dans une boule de billard" affirma Félicien ROPS. (in Osterwalder "Dictionnaire des illustrateurs 1800-1914" , 605). Cuivre-matrice rayé par l'artiste en achevé d'édition.
Deux jeunes danseuses à leur toilette.
1890 Fusain, sanguine et crayon bleu sur papier crème pâle, signé en bas à gauche, (1890), 38 x 29 cm., encadré.
Louis LEGRAND (1863-1951), élève de Félicien ROPS, s'attache à un sujet très en vogue à la fin du XIXe siècle, les coulisses du monde de la danse et du spectacle, joint à celui de la toilette. Le représentant le plus prolixe de ces sujets est Edgard DEGAS, qui s'appuie sur le développement des salles de spectacle au Second Empire. La danse est alors vue sous un angle sociologique et moderne, détaché de la mythologie. Après lui, Henri de TOULOUSE-LAUTREC reprendra le thème des plaisirs nocturnes et du corps féminin traité de manière crue, mais non sans tendresse. Louis LEGRAND se montre un fin observateur de ses contemporains ; les deux jeunes filles, traitées de dos, sont saisies dans un moment intime, rendu plus doux par le choix de la technique. Infimes plis, légères brunissures marginales.
"Etude pour la mère du Christ".
1 Eau-forte et aquatinte originale, titrée et signée dans la planche en bas à gauche, 26 x 34 cm.
Epreuve d'état, avant la coupure du cuivre (une ligne médiane en atteste). L'étude représente à droite la mère du Christ, au visage marqué par le chagrin. Elle tend la main, sa tête recouverte d'un fichu. A droite, une étude d'un visage de femme, avec un chapeau, ainsi qu'une main de squelette.
"Le Bedeau de Mée".
1911 1 Dessin à la pointe sèche original et aquatine, signée, titrée et datée dans la planche en bas à gauche, 1911, 36.5 x 26.5 cm.
Pointe-sèche numérotée sous le coup de plaque, 46/70. Tirage d'après un dessin de 1891, représentant un bedeau, aux traits profondéments humains, tenant contre lui un enscensoir, son coup orné d'une lourde chaîne d'or à gros anneaux. Son chapeau d'un noir profond fait ressortir la finesse de la composition.
"Le Joueur de billes".
1899 1 Eau-forte signée en haut à gauche dans la planche, titrée, L'Estampe, (1897-1899), 14 x 19 cm.
Page d'album "Le Joueur de billes", édité pour L'Estampe et l'affiche par l'Imprimerie Porcabeuf. L'Estampe et l'Affiche fait partie de ces nouvelles publications naissant autour du succès publicitaire, artistique et commerciale de l'affiche. Elle paraît tous les mois de 1897 à 1899, et fait travailler les plus grands illustrateurs. Infimes piqures et taches marginales.
"Femme assise nue de dos".
1930 Dessin au fusain sur carton, signé en bas au milieu, (1930), 27,5 x 22,5 cm.
Raymond LEGUEULT (1898-1971) a été l'un des peintres de "La Réalité Poètique" avec Maurice Brianchon en 1949. En 1932, il enseigne à l'Ecole nationale supérieure des Arts Décoratifs de Paris, puis à l'Ecole Nationale des Beaux-Arts de Paris de 1952 à 1968. Raymond Legueult participe à de nombreux Salons dont celui de la Société Nationale des Beaux-Arts et des Tuileries. En 1933, il obtient le Grand Prix de Peinture au concours organisé à la galerie Georges Bernheim et présidé par André Lhote. On le voit également à la galerie Druet et à la galerie Charpentier (Paris). En 1939,il participe à la grande exposition consacrée à La Peinture française contemporaine à New York. Puis, on le voit à Lisbonne, Madrid, Barcelonne, Varsovie, Londres ou encore aux Etats-Unis au Carnegie Institut de Pittsburgh. Artiste apprécié, Raymond Legueult traduit dans sa peinture et ses dessins ses sentiments. les femmes aussi sont comme des fleurs, mais des fleurs créées par lui et par son rêve. Raymond Cogniat de la galerie des Arts écrit en 1965 à propos de l'oeuvre de l'artiste [...] "les femmes aussi sont comme des fleurs, mais des fleurs créées par lui et par son rêve".[...]Ce dessin de femme exécuté dans une forme ovale montre le caractère intimiste de luvre. Carton jauni, traces de colle.
"Regard intime".
1930 Dessin au fusain sur papier contrecollé sur carton, signé en bas à droite, (1930), 27,5 x 22,5 cm.Annotation écrite de la main de l'épouse de l'artiste Emilienne Legueult certifiant l'authenticité de l'oeuvre.
Raymond LEGUEULT (1898-1971) a été l'un des peintres de "La Réalité Poètique" avec Maurice Brianchon en 1949. En 1932, il enseigne à l'Ecole nationale supérieure des Arts Décoratifs de Paris, puis à l'Ecole Nationale des Beaux-Arts de Paris de 1952 à 1968. Raymond Legueult participe à de nombreux Salons dont celui de la Société Nationale des Beaux-Arts et des Tuileries. En 1933, il obtient le Grand Prix de Peinture au concours organisé à la galerie Georges Bernheim et présidé par André Lhote. On le voit également à la galerie Druet et à la galerie Charpentier (Paris). En 1939,il participe à la grande exposition consacrée à La Peinture française contemporaine à New York. Puis, on le voit à Lisbonne, Madrid, Barcelonne, Varsovie, Londres ou encore aux Etats-Unis au Carnegie Institut de Pittsburgh. Artiste apprécié, Raymond Legueult traduit dans sa peinture et ses dessins ses sentiments. les femmes aussi sont comme des fleurs, mais des fleurs créées par lui et par son rêve. Raymond Cogniat de la galerie des Arts écrit en 1965 à propos de l'oeuvre de l'artiste [...] "les femmes aussi sont comme des fleurs, mais des fleurs créées par lui et par son rêve".[...]Ce dessin d'une belle délicatesse, nous invite dans l'univers intime d'une femme. Feuille jaunie, légères mouillures.
LEHMANN (Maurice), MASCHWITZ (Eric). BRUNELLESCHI (Umberto).
Reference : 19383
(1938)
Balalaïka.
1938 22 aquarelles pour le spectacle-opérette de Mogador, sur papier cartonné beige, 21 signées en bas à droite, 4 datées (1938), rehauts d'or et de blanc, mine de plomb, feuilles de 32 x 25 environ, dessins de 30 x 15 cm. environ.
Umberto BRUNELLESCHI (Toscane-Italie-1849-1949 Paris), peintre, portraitiste, illustrateur, artisre de la mode, publicitaire, affichiste, décorateur italien. Influencé par la Comedia dell'Arte, mais également les créations de la troupe de DIAGHILEV, il crée des costumes pour les Folies Bergère, le Casino de Paris, le théâtre du Châtelet, des théâtres new-yorkais, italiens et allemands... Il commence sa carrière de costumier en 1914, avec une revue de scène aux "Bouffes parisiennes", montée par Madame RASIMI pour laquelle il crée des costumes sur les masques vénitiens. Il travaille ensuite à Florence au théâtre de la Pergola pour deux pièces (1915), puis, toujours pendant la guerre, à la Scala de Milan. A son retour à Paris, il travaille pour le music-hall : les années 1925-1938 sont celles de ses plus grands succès. Sa renommée est telle qu'en 1924, Giacomo PUCCINI lui écrit après avoir composé "Turandot" : "Cher Brunelleschi, Turandot est quasiment terminé. Je pense à vous pour les figures". L'opéra, qui se donne à la Scala en 1925, est un succès. En 1928, il travaille à New-York, sur l'invitation du danseur Léonide MASSINE. Son style se modifie et devient plus structuré et graphique : il met au point sa fameuse silhouette oblongue. Ses motifs décoratifs s'attachent à de nouvelles sources, notamment grâce à la danseuse Joséphine BAKER dans l'opérette d'OFFENBACH, "Créole", en 1934. Les années suivantes voient sa participation intensive aux revues des Folies Bergères et des théâtres du Châtelet ("Au Soleil du Mexique") et de Mogador ("Balalaïka") et enfin le "Turandot" de PUCCINI, mis en scène en 1940 (Cristina Nuzzi, Umberto Brunelleschi, Illustrazione, moda et teatro (1879-1949), F.M.R., 1979, p. 22). Études de costume pour "Balalaïka", l'opérette en 3 actes et 12 tableaux dEric Maschwitz inspirée par la Révolution Russe de 1917. Créée à Londres en 1936, Balalaïka est remarquée par Maurice Lehmann, le directeur du Châtelet, qui loue le théâtre de Mogador pour l'occasion. Ce spectacle avec couplets dHenri Wernert, musique de Georges Posford et Bernard Grün, airs additionnels de Robert Stolz est joué pour la première fois le 24 septembre 1938. Infimes déchirures, petites rousseurs, forte brunissure sur le dernier dessin.
"Voltaire aux eaux de Plombieres".
1901 1 Lavis et mine de plomb signé en bas à gauche du monogramme, 8.9 x 11 cm, encadré.
Maurice LELOIR (1853-1940) représente Voltaire en curiste, lisant dans un bain tandis qu'on lui apporte un verre d'eau de source. Afin de soigner ses maux, Voltaire (1694-1778) prenait régulièrement les eaux à Plombières. Du fond de cet antre pierreux, Entre deux montagnes cornues, Sous un ciel noir et pluvieux () De ces lieux où lennui foisonne, Jose encore écrire à Paris ». Vers extraits d'une correspondance adressée à Bertrand René Pallu le 12 juillet 1729. De nombreux curistes, illustres, séjournèrent aux Thermes de Plombières. Nous pouvons citer Montaigne Beaumarchais, Berlioz, Musset, Lamartine...Président de la société des aquarellistes français, il est connu pour ses illustrations de Dumas père, Balzac, Musset. Sa carrière se partage entre la France et les Etats-Unis passionné par l'histoire, il crée en 1906 la Société d'histoire et du costume, qu'il préside jusqu'à sa mort. Il compte également à son actif une fréquentation du milieu du spectacle : on lui doit le tournage du célèbre Masque de Fer, avec Douglas Fairbanks, et de nombreuses mises en scènes de théâtre. Accidents au cadre.
"Jura".
1990 Eau-forte en couleur sur papier fort, signée et titrée à la mine de plomb en bas à droite, épreuve d'artiste, (1990), 14.7 x 16.2 cm dans la planche, 26.5 x 39.5 cm.
Elisabeth LE MIRE-ROLLAND est née à Vannes en 1949. Elle prépare dans l'atelier de Yves BRAYER (1907 - 1990) à l'Académie Charpentier le concours national de l'Ecole Nationale Supérieure des Beaux-Arts. Reçue, elle étudie dans l'atelier de CHAPELAIN-MIDY (1904-1992). Elisabeth LE MIRE sort diplômée de l'E.N.S.B.A en 1972 en gravure et en peinture. La même année, elle expose au Salon des Artistes Français où elle reçoit le prix de peinture de la Fondation Baron Taylor. Devenue professeur d'arts plastiques, elle enseigne à Paris. Depuis les années 70, elle participe à de nombreuses expositions en province et à Paris et notamment à celles du Groupe de Vibraye. Cette eau-forte d'une grande délicatesse montre la maîtrise de l'artiste avec le procédé de gravure en taille douce mêlé d'un estampage à froid. Dans un paysage de campagne enneigé aux tons bleutés, des traces de pas se diffusent et s'incrustent dans la feuille. Le ciel se reflète délicatement au premier plan.
"Les Pas".
1990 Eau-forte en couleurs sur papier fort, traces estampées à froid, signée et titrée à la mine de plomb, épreuve d'artiste, (1990), 24,5 x 29,5 cm.
Elisabeth LE MIRE-ROLLAND est née à Vannes en 1949. Elle prépare dans l'atelier de Yves BRAYER (1907 - 1990) à l'Académie Charpentier le concours national de l'Ecole Nationale Supérieure des Beaux-Arts. Reçue, elle étudie dans l'atelier de CHAPELAIN-MIDY (1904-1992). Elisabeth LE MIRE sort diplômée de l'E.N.S.B.A en 1972 en gravure et en peinture. La même année, elle expose au Salon des Artistes Français où elle reçoit le prix de peinture de la Fondation Baron Taylor. Devenue professeur d'arts plastiques, elle enseigne à Paris. Depuis les années 70, elle participe à de nombreuses expositions en province et à Paris et notamment à celles du Groupe de Vibraye. Cette eau-forte d'une grande délicatesse montre la maîtrise de l'artiste avec le procédé de gravure en taille douce mêlé d'un estampage à froid. Dans un paysage de campagne enneigé aux tons bleutés, des traces de pas se diffusent et s'incrustent dans la feuille. Le ciel se reflète délicatement au premier plan.
"Le rêve".
1990 Eau-forte en couleur sur papier fort, signée, titrée et numérotée 9/30 à la mine de plomb, (1990), 21,5 x 28,5 cm.
Elizabeth LE MIRE-ROLLAND est née à Vannes en 1949. Elle prépare dans l'atelier de Yves BRAYER (1907 - 1990) à l'Académie Charpentier le concours national de l'Ecole Nationale Supérieure des Beaux-Arts. Reçue, elle étudie dans l'atelier de CHAPELAIN-MIDY (1904-1992). Elzabeth LE MIRE sort diplômée de l'E.N.S.B.A en 1972, sections gravure et peinture. La même année, elle expose au Salon des Artistes Français où elle reçoit le prix de peinture de la Fondation Baron Taylor. Devenue professeur d'arts plastiques, elle enseigne à Paris. Depuis les années 70, elle participe à de nombreuses expositions en province et à Paris et notamment à celles du Groupe de Vibraye. Cette eau-forte d'une grande délicatesse montre la maîtrise de l'artiste avec le procédé de gravure en taille douce. Une belle endormie à la chevelure rousse déployée repose sur son lit. Elle est de dos. Son corps est recouvert d'un drap blanc et d'une couverture aux dégradés de tons orangés, rappel des boucles auburn. Face à elle, un fond gris-bleu, des pinceaux dans un pot. Calme et volupté émanent de cette eau-forte.
"François-Joseph... Le perd la victoire".
1906 Dessin à la mine de plomb, 1915, signé en bas à gauche, 22 x 18 cm.
Paul IRIBE (Agoulême 1883-1935), artiste fécond aux talents multiples, fut tour à tour illustrateur de mode et humoriste, dessinateur, publicitaire, directeur de revues, éditeur, décorateur, créateur de meubles, de tissus, de bijoux, d'objets décoratifs, directeur artistique... (Osterwalder, I, 526 ; Dico Solo, 430-431). Dessin satirique préparatoire de Paul IRIBE pour la couverture du journal "le mot", n°7, du samedi 23 janvier 1915, intitulé "François Joseph... Le perd la victoire." L'empereur montré, malgré son grand âge, comme un homme encore alerte, au regard vif et sournois, sa canne sur l'épaule, courbé par le poids des décorations. Petites tache et légères salissures.
"Yak 3 Normandie-Niemen".
1973 Gouache et aquarelle titrée, datée et signée en bas à gauche, 1973, 41.5 x 26 cm., 60 x 45 cm. encadrée.
Paul Lengellé (1908-1993), Peintre de l'Air, peintre du ciel (Biographie de Patrick de Gmeline) depuis 1936, présente une superbe vue d'un Yak 3 à la casserole tricolore. Le Yak(ovlev) est un avion de chasse soviétique. Monoplace, il fut utilisé pendant la seconde guerre mondiale, par notamment, les pilotes français du régiment de chasse Normandie-Niémen qui étaient sur le front de l'Est. Les pilotes rejoignirent la France, en juin 1945, à son bord.
"Danseuse nue à la coupe".
1900 1 Bronze doré, sur socle en marbre sculpté en vagues, signé, (1900), 33.5 x 11 x 6.5 cm.
Agathon LEONARD naît à Lille en 1841 et décède à Paris en 1923 ; belge naturalisé français, il fait partie de la Société des Artistes Français en 1887 et de la Société Nationale des Beaux-Arts en 1897. Il reçoit des commandes de l'Etat et "Le Jeu de l'écharpe" fut exposé à l'Exposition Universelle de 1900. Son oeuvre est présentée dans plusieurs musées. Dans "Le dictionnaire des sculpteurs" de Pierre Kjellberg il est présenté de la page 429 à 435. Cette statuette représente une danseuse nue esquissant un léger pas, les bras gracieusement levés et tenant dans sa main droite une coupe. Sa chevelure torsadée est ceinte d'une tiare. La fluidité des lignes et les formes harmonieuses soulignent la finesse de l'exécution.
