Paris, Firmin-Didot, 1886. 15 x 25, 270 pages, 221 figures, 1 chromolithographie, reliure d'édition plein cuir, dos richement orné de fers dorés, plats : encadrements gravés à froid, 3 tranches dorées, très bon état (pas trop de rousseurs dans l'ensemble).
Etude illustrée d'après les ouvrages de M. Paul Lacroix, sur le Moyen Âge, la Renaissance, le XVIIe et le XVIIIe siècle.
1920 broché in-octavo, dos gris - manque de papier en haut et en bas, couverture illustrée, illustrations : 40 planches noires hors-texte, 372 pages, 1920 London Maggs Bros Dealers in Fine and Rare Books Prints and Autographs,
Ouvrage d'expression anglaise, Catalogue de Librairie Ancinenne londonnienne sur les Incunables, numéro 395 - bon état génral malgré le petit défaut signalé
MAILLARD, Olivier. [Jehan PETIT, libraire] [Jean Barbier, Michel Lesclancher, imprimeurs]
Reference : AMO-4519
(1515)
Venundantur Parhisiis in edibus Johannis Petit sub lilio aureo. [Impressus Joannis Barbier.] Impensis Johannis Petit bibliopole Parisiensis. Anno Domini millesimo quingentesimo decimoquinto. Pridie Kalendas Decembris [30 novembre 1515] 108-[92] f. (sign. a-z8, [-]8, [-]8) ; in-8° (collationné complet) Suit l'édition de 1511 imprimée par J. Barbier pour J. Petit (Renouard, ICP, II, 155). Matériel typographique de Jean Barbier. Texte sur 2 col. caractères gothiques, titre en rouge et noir, marque au titre. Références : Renouard, ICP, II, 1169. Renouard, Imprimeurs, III, p. 173, n° 238. Relié à la suite : Quadragesimale opus declamatum Parisiorum urbe ecclesia sancti Johannis in Gravia : per venerabilem patrem Sacre Scripture interpretem divini verbi preconem eximium : fratrem Oliverium Maillardi ordinis fratrum Minorum. Parisius sub eodem recollectum : ac novissime magno labore correctum impressionique traditum. Anno. M. CCCCC. XV. (Et per quendam... impensis vero honestiviri Johannis Petit bibliopole Parisiensis impressorum. Anno M. CCCCC. XVI. Dievero. XXV. mensis. Maii.) [1516] 174-[4] f. ; in-8° (collationné complet). Même pagination que l'édition de 1506 ou 1508 (Jean Barbier pour Jehan Petit également). Texte imprimé sur deux colonnes, caractères gothiques. Relié à la suite : Passio Domini nostri Jesu Christi a reverendo.p.Oliverii Maillard Parisius declamata. (Paris,) : J. Petit, (1519) | Paris : [Michel Lesclancher, imprimeur] : Jean Petit (libraire), Sans date [circa 1519] Sign. A-B (16 feuillets) ; in-8° (collationné complet) Daté d'après la marque de Jean Petit au titre (Renouard, Marques, n° 883). - Caractères gothiques à 2 colonnes. Référence : Renouard, ICP, II, 2136. Haebler, IV (marque de J. Petit) Renouard, 883 (marque de J. Petit) ; BP16_103799 (Bibliographie des éditions parisiennes du 16e siècle); Localisation d'exemplaires dans les fonds publics : Lausanne, BCU London, BL Oxford, BL. Ensemble 3 ouvrages reliés en 1 fort volume petit in-8 (162 mm x 100 mm | Hauteur des marges : 157 mm). Exemplaire avec de bonnes marges. Reliure plein veau brun glacé, dos lisse, filets dorés, titre doré "MAILLARD // SERMONS", doublures et gardes de papier marbré, tranches dorées. Roulette à froid en encadrement des plats. Reliure exécutée dans les premières années du XIXe siècle (sans doute pas après 1825). Reliure fraîche malgré quelques marques et frottements sans gravité, intérieur d'une grande fraîcheur totalement dépourvu de rousseurs, papier bien blanc. Première page de titre légèrement salie. Cachet sur le premier titre (bibliothèque Jean-François [-René-Marie-Pierre] de Kergariou (1779-1849)). Quelques faibles mouillures sans conséquence et peu visibles.
Le premier ouvrage donne quarante sept Sermons pour le dimanche et divers autres sermons dont seize sur les péchés, la mort, etc. Le second ouvrage donne soixante dix autres sermons publiés pour la première fois en 1498. Le troisième ouvrage donne le sermon de la Passion de notre seigneur Jésus Christ. Un exemplaire du premier ouvrage seul était proposé au catalogue Morgand sous le n°2237 (relié en vélin blanc) et coté 100 francs. « Frère Olivier Maillard était un prédicateur du XVème siècle qui acquit beaucoup de célébrité en prononçant plusieurs sermons latins mêlés de français, dans lesquels il déclama contre les vices des grands, des gens d'Église et des hommes de loi. » (Brunet, Manuel du libraire, III, 1318) « Jamais personne n'avait attaqué toutes les classes et toutes les professions sociales avec plus de hardiesse, de virulence et de mauvais goût. Chacun de ses sermons est une satire amère et outrageante, revêtue d'un langage grossier, trivial, et de mots empruntés aux mauvais lieux du plus bas étage » (Hoefer, Biographie universelle). Le libraire Morgand dans son Bulletin de mai 1876 prend la peine de commenter ainsi : « Olivier Maillard jouit d'une immense réputation à la fin du XVe siècle, et les sermons qu'il composa furent imprimés pour servir de modèle aux autres prédicateurs. Ce qui en fait l'intérêt pour nous, c'est qu'ils sont écrits dans un langage strictement populaire. L'orateur évite les périphrases : il n'hésite pas à employer même les mots les plus grossiers s'ils le font mieux comprendre de la foule. Jusque dans ses discours latins, on retrouve le bouffon qui, étant en chaire à Toulouse, entonnait une chanson spirituelle sur l'air : Bergeronette savoisienne. Voici, à titre d'exemple, un fragment d'un discours qu'il adresse aux jeunes filles (f. y i, recto) : « Audistis loqui de quodam frafre patris nostri Francisci qui dicebatur frater Egidius. Dicit quod vidit semel unampulcherrimam filiam cuiusdam militis et habebat unam baguam preciossimam et nichil mundi aliud habebat. Hec filia débet esse anima nostra. Hec habebat quinque fratres qui volebant habere istam gemmam. (Vous avez entendu parler d'un certain frère de notre père François, qui s'appelait frère Egidius. Il dit qu'il a vu une fois la plus belle fille d'un certain soldat et qu'elle avait une bague très précieuse et rien d'autre au monde. Cette fille doit être notre âme. Il avait cinq frères qui voulaient avoir ce joyau.) Venit primus dicens : « Soror mea, date rnichi illam gemmam. » — « Et frater, quid dabitis michi ? » Dixit ille : « Ego dabo vobis de meo ministerio : sum pictor, dabo vobis imaginem quam protraham. » Dixit illa : « Dum dederitis michi et videro, non ero.? 35omellor.-,- ite, non habebitis. » Venit secundus : vidistis ne illos deceptores, sciliéet mimos et lusores de omnibus instrumentis musicalibus ? Dixit sorbH : « Date michi istam baguam : dabo vobis de meo ministerio. Sum mimus; dabo Vobis de quo placuerit. s Cui dixit: « Cum audiero sonum, non ero melior; ite, non habebitis. » Dixerunt alii très : « Habebimus si possumus. » Venit tertius qui petiit istam baguam. Cui dixit : « Quid dabitis michi? » — « Dabo vobis de meo ministerio (iste erat apothecarius et portabat secum odores), dabo vobis de muglias [?]. » Dixit ipsa: « Ite, non habebitis. » Tandem venit quartus, et erat coquus. Cui dicit: «Dabo vobis du saupiquet : sum coquus. » Dixit ipsa : « Dum gustavero, de quo ero hielior ? Vos non habebitis. » Demum venit quintus et rusticior aliis quattuor, qui dixit : « Mea erit illa bagua; date michi. » Dixit illa : « Quid dabitis mihi ? » —. « Dabo vobis de meo ministerio : habeo et dabo, mea, magistros reverendos scholares; scilicet sunt aliqui decuria. Ego sum leno et macquerellus. » Dixit illa : « Rustice et turpissime, ite, non dabo vobis. Nunquam Deo placeat quod unus macquerellus habeat illam preciosam . g«mmam. Tandem et finalitër venit filius Régis qui dulcis erat et honestus et dixit : « Date michi illam gemmam. « — « Quid dabitis mihi ? » Cui dixit : « Arnica mea, non promitto vobis nisi meipsum. » Et tune illa extendit manum et ei dédit. » (Il est venu le premier en disant : « Ma sœur, donne-moi ce joyau. "Et mon frère, qu'allez-vous me donner ?" Il a dit : « Je vais vous parler de mon service : je suis peintre, je vais vous donner un tableau que je vais dessiner. " Elle a dit : " Tant que tu te donnes à moi et que je verrai, je ne le serai pas. « Le second est venu : n'avez-vous pas vu ces trompeurs, habiles mimes et joueurs de tous les instruments de musique ? Sorb a dit: "Donnez-moi cette bague: je vous donnerai de mon service." je suis poète; Je te donnerai ce qu'il me plaira. s A qui il a dit : « Quand j'entendrai le son, je n'irai pas mieux ; allez, vous n'aurez pas » D'autres disaient beaucoup : « Nous l'aurons si nous le pouvons. » Une troisième personne est venue qui a demandé cette bague. A qui il a dit: "Que me donnerez-vous ?" "-" je vous parlerai de mon service (il était épicier et portait des parfums avec lui), je vous parlerai des épouses [?]. Elle a dit: "Allez, vous ne l'aurez pas." Enfin le quatrième arriva, et c'était lui le cuisinier. A qui il dit : "Je vais te donner deux saucisses : je suis cuisinier." " Elle dit : " Pendant que je goûterai, de qui aurai-je le plus froid ? Vous n'aurez pas Enfin vint le cinquième et plus rustique que les quatre autres, qui dit : « Ce sac sera à moi ; donne le moi Elle a dit: "Qu'allez-vous me donner?" » -. "Je vais vous parler de mon ministère: j'ai et je donnerai, mes professeurs, des savants respectés; bien sûr il y a des conseils. Je suis doux et doux. Elle a dit: "Rustique et très moche, allez, je ne vous le donnerai pas." Dieu ne sera jamais content qu'un proxénète ait cette précieuse chose. Enfin et enfin vint le fils de Régis, qui était doux et honnête, et dit : « Donne-moi ce bijou. " - " Qu'est-ce que tu vas me donner ? A qui il dit : "Mon Arnica, je ne te promets rien d'autre que moi." Et puis elle tendit la main et la lui tendit. ») Nous prenons cet exemple au hasard. On rencontre dans les sermons de Maillard une foule d'autres passages qui permettraient de placer ce prédicateur parmi les auteurs macaroniques, et qui lui méritent une place distinguée parmi les prédécesseurs de Tabarin et de Bruscambille. » Références : Cf. Arthur de la Borderie, Œuvres d'Olivier Maillard, Nantes, 1877, Société des Bibliophiles Bretonss, Bibliographie Maillardine, qui cependant ne cite pas exactement ces éditions (pp. 135-162 pour les éditions latines) ; Morgand, Bulletin, mai 1876, n°2237. Provenance : de la bibliothèque de Jean-François [-René-Marie-Pierre] de Kergariou (1779-1849), noble breton devenu sous l’Empire comte d'Empire, chambellan de Napoléon Ier et préfet, sera sous la Restauration préfet de divers départements, conseiller d’Etat et député avant d’être élevé à la pairie. Historien, archéologue, collectionneur de raretés, membre de l’Académie celtique, ce volume vient sans doute de la bibliothèque de son beau-père Pierre-Hyacinthe Chrestien de Treveneuc. Avec son timbre encré avec ses initiales et portant la devise "Là ou ailleurs". Les volumes de sa riche bibliothèque et ses autres collections devaient passer, selon son souhait, à son fils aîné (ou au suivant) avec mission de les conserver et de ne s'en séparer qu'en cas d'extrême nécessité. On comprend la présence de ce volume dans sa bibliothèque où les auteurs bretons avaient une place primordiale. Ensemble rare de trois œuvres du prédicateur Olivier Maillard. Bel exemplaire d'une grande fraîcheur.
Phone number : 06 79 90 96 36
Quebec Imprimé à la Nouvelle Imprimerie 1806
in-12, 169p. et 1f. (table). :: Traduction de : The Poor Man's Controversery, par Jean-Baptiste Boucher-Belleville. :: Incunable canadien. Vlach-Buono, Catalogue collectif des impressions québécoises no 767; TPL 797. :: :: Cartonnage ancien, toile rustique ciré, dos lisse avec trace de pièce de titre papier. Note manuscrite sur la garde : Donné par Mr Le Saulnier au Pensionnat de la Cg ND [Congrégation de Notre-Dame], Montréal; et sur le contreplat : Mission de Châteauguay, 1844. Exemplaire manipulé, quelques feuillets laches ou recousus de fil vert, une découpe page 169 nous prive de la charmante vignette.
Naples, 10 mai 1850. Très belle lettre écrite sur un petit bi-folium, agrémenté en marge d’une grande composition à l’or et de trois aquarelles dans le style troubadour : Un personnage en prière devant une église, un ange et une sainte femme (pochoir et aquarelle). Une charmante lettre adressée à sa « chère Grum », le climat de Naples n’est pas clément, « Le Roi a ete bon pour eux il a permis a Adinolphe de porter l’uniforme de Husard de la garde vous pensez sa joie », suivent quelques nouvelles domestiques. Très beau document dans l’esprit néo gothique cher à la Duchesse.
Circa 1968 Tapuscrit in 4 broché de 64 ff portant en page de titre « MARGARET (titre provisoire) / Scénario original de D. Medveczki et R. Topor » .
Scénario original inédit de premier jet d’un film de Diourka MEDVECZKI dont la réalisation prévue en 1970, fut abruptement abandonnée par le réalisateur qui décida de rompre tout lien avec la société. Étoile montante de la nouvelle vague Diourka Medveczki est un véritable météore qui ne produisit que trois œuvres durant sa courte carrière : « Paul » avec Bernadette Lafont, Jean-Pierre Léaud, Jean-Pierre Kalfon en 1969 ; « Marie et le curé » avec Bernadette Lafont et Jean Claude Castelli en 1968 et « Jeanne et la moto » Avec Isabelle Marcanton et Alain Fradisse en 1969. Les cahiers du cinéma reconnaissent alors « Un cinéaste dont on peut d’ores et déjà estimer qu’il est l’un des plus importants tournant en France », 1969. Il est vrai que l’œuvre a de quoi séduire, à mi chemin entre Pierre Buñuel et Jean Luc Godard son style est véritablement fascinant. Maniant un humour décalé, volontiers provocateur servi par une image aux plans audacieux et très construits. Compagnon de Bernadette de Lafont sa vie connaît un tournant au début des années 70, il divorce et traverse une crise existentielle qui l’amènera à choisir une vie d’ermite dans les Cévennes dans une maison en bois construite de ses mains et meublée de ses propres sculptures. Diourka est en effet sculpteur d’origine Hongroise qui connaît dans les années 60 une reconnaissance prometteuse, soutenu par Picasso à Valauris, il exprime une fougue et un talent que tous lui reconnaissent. C’est cet attrait pour les volumes qui l’amène au cinéma, il dit lors de son dernier entretien avoir voulu alors « faire un cinéma qui soit comme un bas-relief en mouvement ». « Margaret » désiré ardemment par la critique ne vit jamais le jour, ce film devait être l’aboutissement d’un cycle qui resta donc inachevé. Nous n’avons pas pu trouver de témoignage de la rencontre Topor-Diourka, mais à la lecture de cette très étrange histoire la réponse s’impose comme une évidence. La foisonnante imagination de Topor, son humour décalé rencontre avec Diourka une sorte d’alter-égo et nous ne pouvons que nous joindre à la cohorte des critiques se lamentant sur le fait que ce film énigmatique n’ai jamais vue de jour. En 2012, André S. Labarthe et Estelle Fredet ont rencontrés Diourka et ont réalisés un émouvant reportage « Diourka à prendre ou à laisser ». Est parut un coffret DVD regroupant ses trois films ainsi que le documentaire de André S.Labarthe et Estelle Fredet et le Documentaire « Bernadette Lafont exactement » 2007, que nous joignons à cet étonnant document. En quelques mots et sans déflorer la teneur du scénario voici un petit résumé de l’étrange histoire de « Margaret ». Sachez que le film se déroule dans une petite épicerie, qu’il y est question de vie étriquée, de séduction torride, de rats, et d’une petite fille qui dans ce monde désespérant apportera l’espoir d’une vie nouvelle. Diourka avait d’ailleurs imaginé ce rôle pour sa propre fille.
Hildesheim, Olms, 1970. 150 X 215 mm. relié toile grise d'éditeur. 171 pp. Nombreuses figures.
Phone number : 41 021 964 60 10
Fribourg, Fragnière 1917, 240X165mm, broché.
Pour un paiement via PayPal, veuillez nous en faire la demande et nous vous enverrons une facture PayPal
Paris Université de Paris Paris Université de Paris 1943, In-8 broché de 173 pages. Photos. Envoi d'auteur. Bords des plats légérement abimés.
Toutes les expéditions sont faites en suivi au-dessus de 25 euros. Expédition quotidienne pour les envois simples, suivis, recommandés ou Colissimo.
A Ville Marie [i.e. Montréal] Chez Wm Gray 1818
in-12, 270p. et 1 f. (Table). :: Incunable canadien. Attribué à Montgolfier et publié par Jean-Henri-Auguste Roux (DBC 4, 588). Ouvrage «tiree de memoires certains, et la plupart originaux.» :: Première biographie publiée au Canada et toute première biographie d'une sainte publiée en Amérique. :: TPL 1160; Vlach & Buono 781; Gagnon 1, 124. L'édition française (Avignon-Liège, 1728) est signée Ransonet [Sylvestre-François-Michel, fl. 1726-1743], Faribault donne l'édition de 1818 comme une réimpression de cette dernière. :: Reliure originale : pleine basane, dos lisse avec 7 filets à froid, pièce de titre rouge : M. Bourgeois. :: Exemplaire manipulé, mais toujours solide, marges restaurées à plusieurs endroits et perte de texte à la p. 29 malheureusement. Intéressante provenance. Ex-libris manuscrit ancien : Congrégation Notre Dame, Boucherville 12 janv. 1819.
Phone number : 1 514 820 2324
Détail des pièces imprimées : I. Le dévouement de Malesherbes (Paris, Didot, 1822) II. Discours prononcé dans la séance publique tenue par l’Académie française pour la réception de M. Villemain, le 28 juin 1821 III. Réponse de M. Roger à M.... 1 vol in-4, en demi-maroquin à grains longs, dos à 4 faux nerfs orné au petit fer et en à froid, signé en queue « Thouvenin ». Ex-libris armorié et tampon de bibliothèque de A.-H. Dampmartin.
Un important recueil composé de pièces imprimées et manuscrites, accompagné d’une double table de la main de Dampmartin.Une belle réunion, reliée par Thouvenin, des oeuvres de Dampmartin.A.-H. Dampmartin (1755 – 1825) fut membre de l’armée de Condé, censeur impérial sous l’Empire et membre du corps législatif. Parmi ses nombreux écrits, La France sous ses rois (1810, 5 vol.) fut de nombreuses fois réédité ; ses écrits littéraires et considérations politiques lui valurent l’éloge et la considération de ses contemporains. Un bel ensemble réunissant imprimés et manuscrits originaux de l’auteur, provenant de sa bibliothèque.
"1994. Paris Fondation ARCH Paris-Musées et Electa Musée du Petit Palais 14 octobre 1994 au 8 janvier 1995 - Broché 24 cm x 30 cm 301 pages photos couleur pleine page - Sous la direction de Yuri Pétrosyan textes de Oleg F. Akimushkine Anas B. Khalidov et de Efim A. Rezvan glossaire bibliographie - Etat neuf"
, brepols, 2010 380 p., 100 b/w ill., 210 x 270 mm, Languages: French, German, Paperback. ISBN 9782503525754.
Cet ouvrage reunit les actes des communications regroupees en fonction de leurs contenus respectifs en quatre sections. La premiere est consacree a la genese et au developpement des inventaires regionaux et nationaux. La seconde reunit les communications concernant la mise en texte des savoirs. La troisieme section a pour objet l?etude des exemplaires et de leurs particularites. La quatrieme section ressemble des communications concernant les perspectives nouvelles offertes a la recherche par l?informatisation des catalogues d?incunables et le traitement numerique de leurs donnees. Jean-Marie Arnoult, Le catalogue des incunables des bibliotheques de la Region Champagne-Ardenne - Dominique Frasson-Cochet, Les coutumes du Bourbonnais de 1498: sur 3 exemplaires composites - Genevieve Guilleminot-Chretien & Magali Vene, Imprimeurs et libraires parisiens du XVIe siecle: les manuscrits de Philippe Renouard a l?epreuve des ressources en ligne - Martine Lefevre, Les incunables du Marquis de Paulmy - Yves Jocteur Montrozier, De l?inventaire au catalogue, le destin des incunables de la Grande-Chartreuse - Valerie Neveu, La Vita Christi du Pseudo-Bonaventure et un ?lectionnaire? en francais: deux unica de la Bibliotheque Municipale de Rouen - Ezio Ornato, Division du travail et pratiques de composition dans l?atelier de Gunther Zainer (Augsburg, 1469) - Annie Taurant-Boulicaut, A propos de deux editions scolaires parisiennes - Ludo Vandamme, Colard Mansion et le monde du livre a Bruges - Lauriane Firoben & Nicolas Petit, Icono 15, base iconographique des incunables illustres francais de la Bibliotheque nationale de France - Bettina Wagner, Inkunabeln im Internet. Online-Projekte zur Katalogisierung und Digitalisierung in Deutschland - Philippe Nieto, Cartographie de l?imprimerie au XVe siecle. Un exemple d?application de la base bibliographique ISTC a la recherche en histoire du livre - Thierry Claerr, Les monographies d?imprimeurs et libraires parisiens des XVe et XVIe siecles - Karine Rebmeister-Klein, Les marques de possession, une approche de l?histoire des bibliotheques - Marie-Claire Waille, Les incunables de la Bibliotheque Municipale de Besancon. Catalogue, provenances, marques de possession: quelques pistes - Guy Lanoe, L?apport de l?analyse des reliures (1470-1530) a l?histoire des bibliotheques - Emmanuelle Toulet, Les collections d?incunables et d?editions du XVIe siecle de la Region Picardie - Malcolm Walsby, Les premiers temps de l?imprime vernaculaire francais - Yann Sordet, Les incunables chez quelques collectionneurs francais des XVIIe et XVIIIe siecles: election, distinction,
Haguenau, Henri Gran, pour Jean Rynman, 1500. In-folio gothique à deux colonnes de (264) ff., le dernier blanc [Collation: cahier signé de chiffres 8, a-g8, h6, i-k8, l6, m-n8, o6, p-q8, r6, s8, t6, cahier signé de chiffres 6, v-x8, y6, z8, A-B8, C6, D-K8]. Relié à la suite : PELBARTUS DE THEMESWAR. Sermões quadragesimales pomerii fratris Pelbarti de Themeswar diui ordinis sancti Francisci incipiut feliciter. Haguenau, Henri Gran, pour Jean Rynman, 10 juillet 1500. In-folio gothique à deux colonnes de (110) ff. [Collation: a-b8, c6, d-e8, f6, g-h8, c6, k-l8, m6, n10, o6, p6]. 2 ouvrages en 1 fort vol. in-folio, aies de bois recouverts de peau de truie estampée à froid de motifs de Vierge à l'Enfant, de lion, d'oiseau et de fleur, dans de grands croisillons, dos à quatre nerfs, fermoirs de cuirs avec attaches en laiton (reliure de l'époque).
Deuxième édition incunable de deux sermonnaires du théologien hongrois Pelbartus de Themeswar (c.1435-1504) imprimés à Haguenau en Alsace. Les Sermones Pomerii de tempore et les Sermones Pomerii quadragesimales sont sortis une première fois des presses d'Henri Gran respectivement en 1498 et 1499. L'exemplaire des quadragesimales, comme ceux du British Museum et de Polain, est conforme au second tirage des 38 premiers feuillets décrit par Hain.Dès le XVe siècle, Haguenau s’impose comme le deuxième foyer, après Strasbourg, de diffusion de l’imprimerie en Alsace. Elle y fut introduite en 1489 par Henri Gran ; de 1501 à 1527, celui-ci publie encore 213 ouvrages ; sa production est essentiellement théologique ; on y relève, par exemple, 45 éditions de Pelbartus de Themeswar. Henri Gran, est bien vite rejoint par d’autres comme Thomas Anshelm, Pierre Brubach, Guillaume Seltz et Jean Rynman. Bien avant Colmar et Mulhouse, la cité développe une activité florissante, conjugaison de deux opportunités. Son statut de Ville impériale libre « imperiali oppido Hagenaw » qui attire compagnons et artisans et aussi, le voisinage des imprimeries strasbourgeoises dont les presses n’arrivent plus à répondre à la demande. Lettrines rubriquées, signets de cuir pour marquer les sections (certains déchirés). Quelques annotations marginales ; traces d'écriture sur les tranches. Accrocs aux coiffes, mors supérieur partiellement fendu, petites galeries de vers.Précieux recueil incunable dans une reliure entièrement estampée de l'époque.1. Polain, 3026 ; Hain, 12552 ; Goff, P-255 ; IGI, 7390. Manque au British Museum.2. Polain, 3030 ; Hain, 12560 ; Goff, P-256 ; IGI, 7388 ; BMC, III, 688.
Paris, Picard 1897-1909 3 tomes (le tout paru), xviii,602 + xviii,593 + viii,653 pp., 26cm., brochures originales, qqs. rousseurs aux tranches (pas dans le texte), pages toujours non coupées, texte frais, bon état, poids: 2.5kg., G107350
- Lyon, Imprimerie Léon Delaroche et Cie, 10, Place de La Charité, 1893. - Grand In Octavo, broché, couverture souple mastic titrée en noir et ornée d'un monogramme au lion, II-472, 3f , 8 planches de fac similés hors texte (22) sur papier fort dont un comprenant des ornements , en noir, l'ouvrage est richement illustré de reproductions dans le texte autour de la typographie dans un ordonnancement alphabétique. Bel exemplaire, second plat un peu dentelé en ses bords .
Cet ouvrage particulièrement exhaustif réunit 684 incunables dont le détail est servi par de bons fac similés.8 Tables in fine. - Bon Etat Franco de port France jusqu'à 30 euros. MONDIAL RELAY privilégié et pays suivants desservis : Portugal, Pologne, Espagne, Allemagne, Autriche, Pays Bas, Luxembourg, Italie, Belgique. Toutes les étapes de votre achat sont accompagnées. Achat, estimations et listages France / Suisse (sur rdv).
[Penhouët (Armand-Louis-Bon Maudet, comte de ; 1764-1839)] [Incunable de la lithographie] :
Reference : 22702
(1818)
Besançon, Vacherant-Tissot, 1818 ; in-4°, demi veau marbré, dos lisse à faux nerfs de filets dorés, pièce de titre rouge (reliure de l'époque) ; XVI, 216 pp., [1] f. d'errata et 4 lithographies originales hors-texte, dont une dépliante, lithographiées par F. Berthaux à Dijon, d'après les dessins de M. Aime Penhouët, garde national à Lyon, en 1817.
Edition originale de cet ouvrage très intéressant pour l'histoire des acqueducs de Lyon mais surtout très recherché car il contient 4 planches lithographiées classées parmi les "incunables de la lithographie" ; les planches sont datées de 1817. Rares petites rousseurs, bel exemplaire !
Phone number : 06 60 22 21 35
Feuille d'incunable parisien du quinzième siècle provenant de « La Mer des hystoires ». Texte anonyme traduit et adapté du « Rudimentum novitiorum » publié à Lubeck en 1475. Paris, Pierre Le Rouge pour Vincent Commin, 1488. Un feuillet grand in-folio de 2 pages (39.5 x 25.7 cm) en caractères gothiques sur 2 colonnes de 50 lignes. Recto : « La sixiesme aage » avec un trait de 10 cm à l'encre ancienne à la marge gauche et une déchirure marginale de 2 cm à droite. Verso : Feuillet vii.xx.vi, signature T.ii, avec un bois gravé (7.2 x 8 cm) montrant Constantin IIIIe de ce nom lxii empereur et une bordure renaissance décorée à la grotesque de plantes, angelots, sirène et griffon (non coloré). Édition originale. Graesse IV, 492. Brunet III, 1640.
Pierre Le Rouge, calligraphe, enlumineur, graveur et imprimeur français. Figure dominante des débuts du livre imprimé parisien et premier imprimeur du roi. La Mer des hystoires fut son chef-d'oeuvre.
Feuille d'incunable parisien du quinzième siècle provenant de « La Mer des hystoires ». Texte anonyme traduit et adapté du « Rudimentum novitiorum » publié à Lubeck en 1475. Paris, Pierre Le Rouge pour Vincent Commin, 1488. Un feuillet grand in-folio de 2 pages (40 x 28 cm) en caractères gothiques sur 2 colonnes de 50 lignes. Recto : « La VIe aage » avec un bois gravé (6 x 4.3 cm) montrant Néron. Quelques rousseurs. Verso : Feuillet c, signature n.iii, avec un bois gravé (9 x 7.5 cm) montrant St-Denys l'aréopagite et une bordure renaissance décorée à la grotesque de plantes, d'oiseaux et d'un dragon central (non coloré). Édition originale. Graesse IV, 492. Brunet III, 1640.
Pierre Le Rouge, calligraphe, enlumineur, graveur et imprimeur français. Figure dominante des débuts du livre imprimé parisien et premier imprimeur du roi. La Mer des hystoires fut son chef-d'oeuvre.
1870 broché in-quarto carré (paperback in-quarto), dos marron muet (brown spine - without title), première de couverture rempliée illustrée et imprimée (front cover illustrated and printed), quatrième de couverture ornée d'une petite illustration (back cover illuminated with small illustration), tranches non rognées (edges no smooth), pages de garde grises (grey endpapers), page de faux-titre (half title page), XI pages de notice, sans date (no date) XIXeme siècle à Paris Delarue Libraire-Editeur,
notice en français par (note in French by) Benjamin Pifteau et texte de l'édition ancienne en latin (and text of old edition in Latin) - bon état général (good condition)
1892 Paris, Delarue, sans date [1892]. Grand in-quarto (229 X 290 mm) demi-chagrin poli marron foncé, dos lisse, large filet doré en place des nerfs, titre doré, tête rouge, non rogné, plats de la couverture conservés (reliure de l'époque) ; (2) ff. blancs, X pages de faux-titre, titre et préface, (10) feuillets uniquement imprimés sur le recto, (1) f. blanc. Ex-libris collés sur le premier contreplat et le feuillet de faux-titre.
BELLE ÉDITION imprimée sur papier vergé à la forme qui reproduit un ouvrage xylographique imprimé au XVe siècle avec une préface introductive de 6 pages par Benjamin Pifteau. Cette édition, qui ne contient pas de justification de tirage, a probablement tirée à petit nombre. L'"Exercitium super Pater noster" se compose de dix feuilles anopestographes (non imprimées au verso), écrites en caractères gothiques et en langue latine. Chaque page, encadrée d'un filet, contient à la partie supérieure, une phrase de la prière, suivie de quatre longues lignes de texte, en guise de commentaire, et, en dessous, un dessin non colorié, à l'encre grasse, représentant une scène appropriée au texte ; des «rouleaux » désignent par leurs inscriptions les principaux personnages et servent de légendes à la gravure. L"'Exercice sur le Pater noster", sorte de méditation chrétienne très populaire au XVe siècle, est l'une des plus répandues de ces publications, mais ce n'est qu'en 1806 que cet opuscule fut mentionné dans la collection de livres du XVe siècle par le bibliographe La Serna Santander. De la bibliothèque «P. Hernesti Chavoix Typographi » (Ex-libris sur le premier contre-plat) et ce celle de «G. DESBAT » (ex-libris collé sur le faux-titre) avec un ENVOI AUTOGRAPHE signé de l'éditeur : «à monsieur Desbat / hommage de l'éditeur / G. Delarue ». Exemplaire en BEL ÉTAT, bien relié. NICE COPY. PICTURES AND MORE DETAILS ON REQUEST.
Phone number : 06 21 78 12 79
(Québec, John Neilson, 1799). In-8 (20.6 cm) (1)f.,24p. Tiré d'un volume relié. Manque 2 feuillets, le faux-titre et le titre. Déchirure au 3e f., sans perte de texte, rousseurs. D'après Trémaine 1140, le tirage fut de seulement 497 exemplaires. TPL 731. Dionne I, 52. Gagnon I, 2723. Vlach & Buono 860. Lande 2079. [ Incunable canadien.]
Bruxelles, Fl. Tulkens, 1978 19 x 28, 5 volumes, 772 + 748 + 794 + 645 + 617 pp., cartonnage éditeur, très bon état
réimpression de l'édition originale de 1932 augmentée d'un cinquième volume formant un supplément à l'ouvrage
Paris, Editions Les Yeux Ouverts, 1970. 25 x 31, sans pagination, reliure d'édition pleine toile orange, inscriptions en noir, très bon état.
Quelques planches en couleurs.
Editions Les Yeux Ouverts, Paris, 1970. Cartonnage éditeur de pleine toile orange (32 x 24,5 cm), 434p. avec 434 illustrations en noir et blanc, et 16 reproductions en couleurs de l'histoire de Mélusine. Nombreuses reproductions de Dürer et de la Légende dorée.- 1700g.- Très bon état.