P., Gallimard, NRF, 1947, in 12 broché, 248pp. ; couverture tachée et défraichie.
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Albin Michel, 2004. Format 14x22 cm, reliure editeur sous jaquette illustree, 360 pages.Tres bon etat.
contenant toutes les dépêches officielles télégraphiées aux préfets par M.A.THIERS.Les canons de Montmartre,la Commune, Le gouvernement de Versailles,la guerre civile,le pillage dans Paris,l’assassinat des otages,les incendies de Paris, rapports officiels.In 12 broché,couverture grise muette d’attente,rempliée.Faux-titre,titre;292 pages,14 gravures sur bois en fin de volume Paris Librairie Duquesne sans date.Page de faux-titre poussiéreuse. Peu courant.
P;, Minuit, 1957. In-12 broché, 191 pages. Couverture un peu defraichie, très bon état intérieur.
La librairie fermera ses portes en 2025. Des remises de 25 à 50 % peuvent s'appliquer au cas par cas.
Editions de Minuit, 1957, in-12, 191 pp, préface de François Mauriac, broché, bon état
"Micheline Maurel (1916-2009) était professeur de lettres à Lyon en 1941-1942, quand elle entra dans la Résistance et fut arrêtée et déportée en 1943 à Neubrandebourg, près de Ravensbrück. Son récit décrit le quotidien d'un camp de femmes pendant les vingt mois où elle fut emprisonnée. Il a obtenu le Prix des critiques et le Prix de la Résistance." (Vignes, 275)
Editions de Minuit, 1957, in-12, 191 pp, préface de François Mauriac, reliure pleine toile moutarde (très lég. salie), dos lisse, pièce de titre basane caramel, couv. conservée, bon état
"Micheline Maurel (1916-2009) était professeur de lettres à Lyon en 1941-1942, quand elle entra dans la Résistance et fut arrêtée et déportée en 1943 à Neubrandebourg, près de Ravensbrück. Son récit décrit le quotidien d'un camp de femmes pendant les vingt mois où elle fut emprisonnée. Il a obtenu le Prix des critiques et le Prix de la Résistance." (Vignes, 275)
préface de Marcel Conche - La Versanne : Encre Marine, 1991 - in-12 broché, 86pp. - bon état -
Nacht und nebel : "nuit et brouillard" formule qui dans le jargon nazis désignait les déportés voués à l'extermination -
1872 Imprimerie Nouguiès, Albi, 1872. In-12 broché. xvi, 112 pages
Quelques piqûres, couverture légèrement défraîchie.Bon exemplaire de cette rarissime publication Républicaine contre Napoléon III.Liste des diverses condamnations
Paris, Éditions du Centre 1955 In-8 broché 22,3 cm sur 15,5. 192 pages. Exemplaire non coupé. Bon état d’occasion.
Bon état d’occasion
Editions Frison Roche, 1994, in-8°, 135 pp, broché, couv. illustrée, bon état
FNDIRP, Editions de l'Atelier, 2001, 112 pp., broché, bon état.
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1945 (Cosne), Poussière imprimeur ( vers 1945); Plaquette in 8 brochée, couverture orange imprimée en noir ; 20pp.
Originaire de Gennevilliers, Meresse fonda le Groupe Méresse qui fut en relation avec les groupe Donnay et Lhopital. Déporté à Sarrebruck le 11 septembre 1943, Mathausen le 16 septembre 1943, Buchenvald le 19 octobre 1943, Dora le 2 novembre 1943, Ravensbruck le 16 avril 1945 il fut libéré par les Russes à Malchov le 2/5/1945. (Gr Cl3)
Stock, 2007, in-8°, 420 pp, biblio, index, broché, couv. illustrée, bon état
On a souvent répété que l'expérience concentrationnaire était indicible. Et pourtant de très nombreux textes, œuvres ou films s'efforcent d'en témoigner en cherchant le langage et les images capables d'approcher ce qui est au-delà de l'imaginable. A partir d'un vaste corpus littéraire et cinématographique, Philippe Mesnard étudie les différentes formes d'expression mobilisées par les témoins, écrivains et artistes. Il distingue ainsi quatre configurations testimoniales : l'écriture réaliste supposée transparente (chez Vassili Grossman, David Rousset et d'autres), l'écriture "transcendante" qui transpose la réalité sur une scène symbolique (comme dans Le Dernier des Justes d'André Schwartz-Bart ou La Vie est belle de Roberto Benigni), la "configuration critique" ménageant la place du vide et de la perte (par exemple chez Imre Kertész, Robert Antelme ou Claude Lanzmann) ou encore l'écriture "pathique", émotionnelle, bousculant le récit pour en faire surgir la violence extrême. Ces écritures varient selon les auteurs, les moments et les contextes de leur production, chacune ajuste, entre distance et proximité, son rapport à al catastrophe. Mais toutes utilisent les ressources de la culture contre ce qui, détruisant l'homme, la détruisait aussi. Telle est la résistance polyphonique du témoignage dont Philippe Mesnard donne ici une analyse originale, ample et synthétique qui fera référence.
1981 Fayard (1981) - In-8 broché de 328 pages - Couverture photo (Violet) - Exemplaire en très bon état
Jean MIALET, Saint-Cyrien promotion 1942. A son retour de déportation, son état de santé lui interdit le métier militaire. Ancie éléve de l'E.N.A., conseillier à la cour des comptes, inspirateur du groupe "Rencontre".
Fayard, 1981, gr. in-8°, 325 pp, broché, couv. illustrée, bon état
« Au coeur de l'été 1975, je suis revenu sur les lieux dans lesquels, trente ans plus tôt, j'avais connu la condition de déporté. Ni à Buchenwald, ni à Dora, ni à Harzungen, je n'ai ressenti la peur, la colère ou la haine. Le temps a guéri des blessures que j'avais cru définitives. C'est à cette époque, pourtant, que j'ai pris la décision de rappeler, avec les moyens dont je disposais, ce qu'avaient été les camps nazis. Trop de contemporains les avaient oubliés. Certains niaient jusqu'à leur existence. Surtout, je voyais se développer l'idée que la barbarie est un produit exotique, réservé, en somme, à ces Khmers rouges dont on découvrait alors les méfaits. Aussi, à mon retour en France, ai-je repris les mémoires dans lesquels, en 1945, à l'hôpital d'Argelès-Gazost, à peine sorti des camps, j'avais craché mon âme. Je n'ai jamais oublié Dora, antre d'où sont sortis les V1 et les V2, ancêtres du Spoutnick, des fusées Apollo et des missiles, porteurs des armes nucléaires dont j'aurai été, au milieu d’une tribu lamentable de sous-prolétaires et pour une part minuscule, l'un des premiers constructeurs. Je l'aurai été à mon corps défendant et le coeur rempli d'une rage dont la virulence avait frappé les lecteurs de mes mémoires. Ici, j'ai voulu retracer l'histoire de cette haine, de son déchaînement à Dora, le cimetière des Français, et aussi, à travers d'obscurs cheminements, de sa disparition. » — Par Jean Mialet, né en 1920 à Sarrebrück (Sarre), fils d'officier, saint-cyrien lui-même, promotion 1942, Arrêté en juillet 1943, il a été déporté à Buchenwald et à Dora. A son retour de déportation, son état de santé lui interdit le métier militaire.
Fayard Fayard, 1981. In-8 broché de 325 pages. Bon état
Toutes les expéditions sont faites en suivi au-dessus de 25 euros. Expédition quotidienne pour les envois simples, suivis, recommandés ou Colissimo.
P., Fayard, 1981, in 8° broché, 327pp. ; couverture illustrée en couleurs (très légèrement fanée).
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Seuil, 1955, in-8°, 248 pp, un plan, broché, qqs soulignures crayon, bon état. Edition originale sur papier courant (il a été tiré 25 ex. numérotés sur vélin Neige)
"La « rue de la liberté » est, par dérision, l'allée centrale du camp de Dachau, où E. M. fut détenu près de vingt et un mois, du 15 septembre 1943 au 27 mai 1945. Proclamant, après tant d'autres, « tristement la vie triste », E. M. assure : « Ni sains, ni saufs. Décourageante formule et vraie ... une certaine candeur nous est à tout jamais interdite ». Il écrit un livre attachant dont on n'oublie aisément ni le ton, ni le témoignage, ni, finalement, la sérénité." (Revue française de science politique, 1961) — "Le livre tiré par Edmond Michelet de ses notes de Dachau constitue un des documents les plus vivants et les plus honnêtes sur l’aventure concentrationnaire (...) : avec une objectivité remarquable, Michelet décrit ce que fut la vie d’un résistant français qui a dû et pu tenir près de vingt mois dans un block de Dachau ; il analyse les conflits qui surgissaient entre classes de détenus – politiques et « droit commun » – allemands, latins et slaves ; il démonte la curieuse machine politique qui avait fini par s’organiser, l’équilibre des pouvoirs dans une cité d’esclaves hantés par la mort et qui, pourtant, ne cessaient de regarder vers la vie. Une galerie de beaux portraits psychologiques alterne avec des scènes dramatiques et de larges fresques, comme l’épidémie de typhus de l’hiver 44-45 et la pagaïe ubuesque d’une libération de fantômes. Le témoignage du chrétien, qui dit ce qu’il a tiré de sa foi, est porté sans ostentation et avec noblesse. Et il n’était pas possible de faire ressortir plus honnêtement l’ambiguïté d’une aventure où l’homme a révélé les pires côtés de sa nature (...) mais aussi ses virtualités héroïques et son irrépressible spiritualité." (Pierre-Henri Simon) — "Un témoignage de première importance sur l'expérience concentrationnaire." (O. Wieviorka)
Seuil, s.d. (1988), pt in-8°, 249 pp, un plan, broché, bon état
"La « rue de la liberté » est, par dérision, l'allée centrale du camp de Dachau, où E. M. fut détenu près de vingt et un mois, du 15 septembre 1943 au 27 mai 1945. Proclamant, après tant d'autres, « tristement la vie triste », E. M. assure : « Ni sains, ni saufs. Décourageante formule et vraie ... une certaine candeur nous est à tout jamais interdite ». Il écrit un livre attachant dont on n'oublie aisément ni le ton, ni le témoignage, ni, finalement, la sérénité." (Revue française de science politique, 1961) — "Si, après dix ans écoulés, Edmond Michelet prend la décision de livrer au public ses souvenirs de résistance et de déportation, ce n'est pas, dit-il, pour combler une lacune : il se réfère souvent à des ouvrages qui, selon lui, ont donné le ton juste de l'expérience concentrationnaire. II répond à une question posée par ses compagnons de route : Comment se sont comportés les chrétiens dans les camps ? Comment un chrétien a-t-il pu garder l'intégrité de sa foi au sein de l'enfer ? Edmond Michelet brosse la fresque de ses souvenirs de prison et de camp en retraçant le cadre dans lequel il les a vécus, en faisant revivre toutes les phases de l'existence du concentrationnaire, mais en insistant surtout sur les personnalités rencontrées, croyantes ou incroyantes, qui ont su préserver en elles « l'humain » et le respecter chez les autres. II trace ainsi d'émouvants portraits de disparus : le jeune juif agnostique qui récitait du Claudel, le jeune poète, chef incontesté du petit groupe de Dachau que Michelet appelle « les intellectuels délirants », ou tous ces « gens bien élevés » aujourd'hui entrés dans la légende de la Résistance, le général Delestraint, Jacques Renouvin, l'instituteur Georges Lapierre. II évoque tous ces « gens bien élevés », les incroyants, les prêtres, ceux qui restaient des hommes, ceux qui, communistes, athées, aidèrent les catholiques fervents à professer leur foi à Dachau, ceux qui, étrangers ou même Allemands antinazis, pleuraient de joie à la libération de Paris. Michelet trace un nouvel atlas des nationalités dans les camps; mais, avec une impartialité non dépourvue d'humour, il insiste sur les individualités rencontrées, car, pour lui, le caractère individuel, quand il est bien affirmé, prime le caractère national, ce qui n'empêchait pas un antifasciste espagnol et un antifasciste italien de se jeter à la tête les réalisations de leur dictateur respectif en revendiquant pour chacune d'elles la superiorité. Un des aspects importants de la Rue de la Liberté, c'est l'évocation dans le camp des brassages de races, de nationalités, de religions, d'appartenances politiques, d'horizons philosophiques et, primant le tout, la multiplicité des circonstances qui avaient conduit les deportés au camp..." (Olga Wormser, Revue d'histoire de la Deuxième Guerre mondiale, 1956) — "On n'a pas assez dit que le livre tiré par Edmond Michelet de ses notes de Dachau constitue un des documents les plus vivants et les plus honnêtes sur l'aventure concentrationnaire. Les défauts propres à ce genre d'ouvrages, la dispersion de l'attention sur des anecdotes, l'abus du pathétique et des superlatifs d'horreur sont parfaitement évités : avec une objectivité remarquable, Michelet décrit ce que fut la vie d'un résistant français qui a dû et pu tenir près de vingt mois dans un block de Dachau; il analyse les conflits qui surgissaient entre classes de détenus – politiques et « droit commun » –allemands, latins et slaves ; il démonte la curieuse machine politique qui avait fini par s'organiser, l'équilibre des pouvoirs dans une cité d'esclaves hantés par la mort et qui, pourtant, ne cessaient de regarder vers la vie. Une galerie de beaux portraits psychologiques alterne avec des scènes dramatiques et de larges fresques, comme l'épidémie de typhus de l'hiver 44-45 et la pagaïe ubuesque d'une libération de fantômes. Le témoignage du chrétien, qui dit ce qu'il a tiré de force de sa foi, est porté sans ostentation et avec noblesse. Et il n'était pas possible de faire ressortir plus honnêtement l'ambiguïté d'une aventure où l'homme a révélé les pires côtés de sa nature dans la cruauté des bourreaux et dans la déchéance des faibles, mais aussi ses virtualités héroïques et son irrépressible spiritualité, dans la vertu de ceux qui ont préservé au fond de cet abîme la puissance de leur volonté, les élans de la charité et la fraîcheur de l'espérance. " (Pierre-Henri Simon)
Broché, 20X14 cm, 2020, 356 pages, éditions du seuil. Très bon état.
1955 Paris, Le Seuil, 1955, in 8, broché, 252 pages.
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Hachette, Club pour vous, 1975, in-8°, 442 pp, écrit avec la collaboration de Louis Nucera, reliure simili-cuir de l'éditeur, jaquette illustrée, bon état (Prix littéraire de la Résistance 1975)
"Mémoires d'un des esclaves de Himmler dans l'enfer du camp de concentration de Dora où les savants nazis préparaient la conquête de l'espace." — "Ce livre est un hurlement dans le silence. Il saisit, à bras le corps, le grand secret du XXe siècle. Il dit comment des processions de martyrs permirent à l'homme de faire ses premiers pas sur la Lune, sans quitter le cercle d'un Enfer que Dante n'avait su imaginer. Le tunnel de Dora fut "l'enfer de tous les camps de concentration". Dora abrita, dans ses flancs, les fusées secrètes de Hitler. Trente mille hommes, déportés des quatre coins de l'Europe, sont morts pour construire les pyramides de la science. Cela, on devait l'oublier, car les savants de Dora sont, aujourd'hui, les conquérants encensés de l'espace. Jean Michel fut un des esclaves de Himmler dans les entrailles de la terre. Il a décidé, trente ans après, en collaboration avec Louis Nucera, de dynamiter la conspiration du silence. Un document de fin du monde. Une apocalypse vécue, écrite comme le plus captivant des romans où la chaleur humaine survit encore, alors que tout nous entraîne vers la souffrance sans limite et le gel de la mort." (4e de couverture) — Célèbre témoignage dont le but n’est pas l’unique compte-rendu de l’expérience concentrationnaire de l'auteur. L'ambition de Jean Michel est de réparer l’injustice subie par les déportés du camp de Dora, usine des V.1 et V.2, dont les souffrances ont été occultées par la célébrité de von Braun et la politique spatiale occidentale.
Paris, Grand Livre du Mois/Plon, 1978. Hardcover fort volume in-8, 439 pp., cartonnage sous jaquette illustrée.
Bel exemplaire. [CA31-8]
JC Lattès, 1975, in-8°, 440 pp, écrit avec la collaboration de Louis Nucera, broché, couv. illustrée, bon état (Prix littéraire de la Résistance 1975)
"Mémoires d'un des esclaves de Himmler dans l'enfer du camp de concentration de Dora où les savants nazis préparaient la conquête de l'espace." — "Ce livre est un hurlement dans le silence. Il saisit, à bras le corps, le grand secret du XXe siècle. Il dit comment des processions de martyrs permirent à l'homme de faire ses premiers pas sur la Lune, sans quitter le cercle d'un Enfer que Dante n'avait su imaginer. Le tunnel de Dora fut "l'enfer de tous les camps de concentration". Dora abrita, dans ses flancs, les fusées secrètes de Hitler. Trente mille hommes, déportés des quatre coins de l'Europe, sont morts pour construire les pyramides de la science. Cela, on devait l'oublier, car les savants de Dora sont, aujourd'hui, les conquérants encensés de l'espace. Jean Michel fut un des esclaves de Himmler dans les entrailles de la terre. Il a décidé, trente ans après, en collaboration avec Louis Nucera, de dynamiter la conspiration du silence. Un document de fin du monde. Une apocalypse vécue, écrite comme le plus captivant des romans où la chaleur humaine survit encore, alors que tout nous entraîne vers la souffrance sans limite et le gel de la mort." (4e de couverture) — Célèbre témoignage dont le but n’est pas l’unique compte-rendu de l’expérience concentrationnaire de l'auteur. L'ambition de Jean Michel est de réparer l’injustice subie par les déportés du camp de Dora, usine des V.1 et V.2, dont les souffrances ont été occultées par la célébrité de von Braun et la politique spatiale occidentale.
Genève, grâce au concours de James Rosset éditeur, sans date. In-4 broché de [32] pages, les dessins étant numérotés de 1 à 12, couverture illustrée en noir.
Illustré de 13 dessins en noir de Jean-Henri Michel, dont une page de titre. Edition suisse de ces dessins d'un ancien prisonnier de guerre en 39-45, montrant la souffrance dans les camps Imprimée par Roto-Sadag d'après les documents de Draeger, sans indication de tirage, l'exemplaire proposé ici porte la lettre M.