, Paris, Berger-Levrault 1974, in-8, br., (couv. légt fanée, dos insolé), int. frais, 295p.
Phone number : 01 43 29 46 77
, Paris, L.G.D.J. 2001, in-8, br., (couv. très lég. passée), bon état, 213p.
Phone number : 01 43 29 46 77
[Paris], Hacquart, 1817 in-4, titre, 28 pp. en feuilles, cousu.
C'est comme député du Bas-Rhin (1815-1819) que Magnier-Grandprez (1767-1835) effectua ce rapport, mais il était tout indiqué pour la tâche, ayant été inspecteur de l'administration des douanes, puis directeur des domaines à Strasbourg. LIVRE NON DISPONIBLE À PARIS, VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Paris, Antoine Bailleul, 1809 3 vol. in-8, [4]-XXIV-437 et [4]-867 pp. en numérotation continue, cartonnage papier émeraude à la Bradel, filets dorés au dos Plats salis, mouillures marginales au début du tome 1 (reliure de l'époque).
Unique édition. Les douanes sous l'Empire.L'ouvrage, en dépit de son titre est essentiellement un guide fiscal à l'usage des Douanes de l'Empire : les deux auteurs, Magnien-Granpré et Deu étant des fonctionnaires de l'administration des douanes, dont le spectaculaire développement sous Napoléon, en dépit d'une impopularité croissante (parallèle à celle de l'Administration des Droits-Réunis), attend toujours son historien. LIVRE NON DISPONIBLE À PARIS, VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
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In-8, cartonnage marbré (rel. postérieure lég. frottée), 30 p. Paris, Imprimerie nationale, Thermidor an V [1797].
Edition originale. A propos du scandale que provoqua les abus auxquels donna lieu l'exécution des traités Dijon pour le retirement des assignats. (Martin & Walter, III, 22427).Quelques lég. rousseurs. Exemplaire non rogné provenant de la collection de régionalisme bourguignon du journaliste et marchand de vin Pierre Ponnelle, avec son ex-libris gravé.
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Bruxelles, Ancienne Librairie Castaigne, 1911. 16 x 24, x + 235 pages, broché, bon état.
Préface de M. O. Lepreux.
A Paris, De l'Imprimerie Nationale, s.d. in-8, 7 pp., dérelié.
"Un Etat est d'autant plus puissant, qu'il compte un plus grand nombre de propriétaires, et par conséquent une plus grande division de propriétés..."Martin et Walter, IV, 10404.
Paris, 18 germinal an 5, 7 avril 1797 , 1 pp. bi-feuillet in-8, cachet à l'encre rouge de la "Liquidation de la Guerre, 1ère classe".
Intéressante missive incitant l'administrateur d'accepter des assignats pour le paiement des fourrages de l'Armée ; "Le citoyen Champsaur nous communique les difficultés qu'il éprouve de votre part sur l'échange des assignats que les besoins du service ont exigé lorsqu'il était agent des fourages à l'Armée d'Italie (…). Nous avions notifié que de semblables permissions précédemment accordées avaient toujours été suivies d'une dépréciation de l'assignat et que pressés entre les besoins que nous ne pouvions satisfaires qu'avec du numéraire, et le désir de maintenir autant qu'il était en nous la valeur de l'assignat, nous n'avons cru pouvoir concilier l'un et l'autre (…)." Le député Maisse espère que cette disposition déchange sera comprise. La pièce est contresignée par le député Peyre.Procureur de Forcalquier, Jacques Maisse (1756-1806) fut élu député des Basses-Alpes à la Convention sur les bancs de la Gironde, vota la mort du Roi ; il sera envoyé en mission à l'Armée d'Italie en 1795, réélu au Conseil des Cinq-Cents jusqu'en 1797, nommé commissaire du directoire de son département puis procureur à Forcalquier sous l'Empire. Ancien homme de loi, administrateur des Basses-Alpes, Peyre (1760-18--) avait été élu député à la Convention sur les bancs du parti Girondin, vota la mort du Roi, protesta contre l'arrestation des 73 avant de se rétracter ! En mission à l'Armée de Rhin et Moselle, il fur réélu au Conseil des Cinq-Cents, en sortit en l'an VII, après avoir été secrétaire de cette assemblée.
Bruxelles [Paris], 1779 fort vol. in-4, XIV-776-10-[1] pp., veau fauve racinée, dos à nerfs orné, pièce de titre maroquin rouge, tranches rouges (reliure de l'époque).
Unique édition, rare, bien complet du supplément de 10 pp., tiré séparément et pas toujours joint. L'ouvrage, préparé par les soins de Dionis, doyen des conseillers de la Cour, n'a pas été mis dans le commerce, et ne put être publié que sous le régime de la permission tacite, intermédiaire entre celui de l'approbation et l'interdiction. Ultérieurement, le livre fut supprimé par arrêt de la Cour des Aides du 29 février 1779.Ce recueil comprend en fait tous les comptes-rendus des séances de la Cour des Aides pendant que Chrétien-Guillaume de Lamoignon de Malesherbes (1721-1794) en fut premier président, d'abord en survivancier de son père (1749), puis en titre, ainsi que ses remontrances, du moins à partir de l'affaire du vingtième (1756). On sait que cette institution, supprimée avec les Parlements par la Réforme Maupeou, joua, sous Malesherbes, un rôle d'opposition considérable à ce que les Cours estimaient alors l'arbitraire royal, et qu'elle partageait largement l'idéologie "constitutionnaliste" commune dans les familles de la Grande Robe. Mais la personnalité libérale exceptionnelle de son premier Président donne un surcroît d'intérêt à ces interventions qui, sans lui, s'ajouteraient à tous les autres recueils de remontrances que le siècle multiplia.Grosclaude, Malesherbes, I, 783. Dupin (1832), 954 bis. LIVRE NON DISPONIBLE À PARIS, VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
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Paris, Rousseau, 1913 gr. in-8, 449 pp., bibliographie, broché.
LIVRE NON DISPONIBLE À PARIS, VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Paris, Rousseau, 1913 gr. in-8, 449 pp., bibliographie, demi-chagrin brun, dos à nerfs Bel exemplaire. (Lavaux).
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In-8, broché, couverture imprimée, 294, (1) p. Paris, Jouve et Cie, 1927.
Rare thèse sous la direction de Germain Martin, dont le nom figure au crayon sur la couverture.Couverture défraîchie. Bibliographie. Nombreuses statistiques chiffrées.
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À Paris, de l'Imprimerie Nationale, 1791 in-8, 15 pp., dérelié.
Martin & Walter, III, 22706.
Paris, F. Hayez, 1874 15 parties en un vol. in-4, pagination multiple, demi-chagrin noir, dos à nerfs orné de caissons à froid, encadrements à froid sur les plats de toile chagrinée, tranches mouchetées Coiffes et nerfs frottés, mais bon exemplaire. (reliure de l'époque).
Peu commun. - Premier des trois volumes de documents monétaires publiés respectivement en 1874, 1876 et 1880 par Jules Malou (1810-1886), alors ministre dans le cabinet Barthélémy de Theux, et en réalité quasi premier ministre de 1871 à 1878. Il est à noter que seules les parties I-XI et XV de notre recueil appartiennent à ce premier volume, les pièces XII-XIV relevant normalement du deuxième :I. Note explicative (datée de 1873, XI pp.). - II. Premier fascicule : Pays-Bas (1873, 21-[3] pp.). - III. Supplément au premier fascicule (1873, 20 pp.). - IV. Deuxième fascicule : Belgique (1873, 18 pp.). - V. Troisième fascicule : Empire allemand (1873, 36 pp.). - VI. Quatrième fascicule : France (1873, 44 pp.). - VII. Cinquième fascicule : pays scandinaves (1873, 13 pp.). - VIII. Supplément au cinquième fascicule (1873, 9 pp.). - IX. Sixième fascicule (1873, 47 pp., avec un tableau dépliant). - X. Supplément au sixième fascicule (173, 19 pp., avec un tableau dépliant hors-texte). - XI. Septième fascicule (1873, XV-67 pp.). - XII. Deuxième série, premier fascicule. Pays-Bas. Rapport de la section centrale de la deuxième Chambre des Etats-Généraux (1874, [2]-82 pp.). - XIII. Deuxième série, troisième fascicule : Empire d'Allemagne (1874, [2]-28 pp.). - XIV. Deuxième série, quatrième fascicule. Exécution de la convention monétaire additionnelle conclue le 31 janvier 1874 entre la Belgique, la France, l'Italie et la Suisse (1874, [2]-56 pp.). - XV. Table (8 pp.). LIVRE NON DISPONIBLE À PARIS, VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
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Paris, Saint-Jobbe, 1848 in-8, 31 pp., dérelié.
Unique édition. Curieux affairiste, Amand-François-Marie Mancel, qui se faisait appeler "de Valdouer" (1815- après 1858) était le fils d'un simple laboureur, fut à partir de 1838 le rédacteur en chef du journal Le Vendeur (1838-1841), spécialisé dans les annonces immobilières et financières. Puis il prit des participations dans des sociétés de chemin de fer, s'intéressa aux brevets ferroviaires, avant de faire faillite frauduleuse en 1858. Bref, la personne la plus indiquée pour s'en prendre au capital et à sa tyrannie ...Un seul exemplaire au CCF (BnF).
Paris, Mme de Bréville 1825 1 in -8 demi havane, caissons à nerfs et ornés 280[p.p]
Très bien conservé Disponibilité sous réserve de vente en boutique, prix valable frais de port inclus pour commande > 90 € et poids < 1 Kg
Avignon, Joseph-Daniel Hirschner, 1751 in-8, titre, 157 pp., [3] pp. n. ch. de table, basane fauve marbrée, dos à nerfs, tranches rouges Accrocs aux deux coiffes, légère épidermure sur le plat supérieur. (reliure de l'époque).
Unique édition, très rare, de ce manuel de comptabilité ; il a été composé par le syndic du couvent dominicain d'Avignon et se vendait uniquement auprès du portier, ce qui explique sa rareté.Au CCF, exemplaires seulement à l'Inguimbertine.Ex-dono de mademoiselle de Monery, daté du 19 avril 1779.
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S.l., s.d. (1869) pièce in-4, [2] pp. n. ch., en feuille, bord gauche avec léger manque et perte de quelques lettres.
Travail préparatoire à la rédaction de l'Exposé de la situation générale de l'Empire, présenté tous les ans au Corps législatif et au Sénat.Petit mémento répondant à la question : Quel a été le mouvement général des opérations de la Banque coloniale pour l'exercice précédent, avec un tableau comparatif des opérations ? Elle concerne très certainement la Banque de la Guadeloupe, banque française privée créée par la loi du 11 juillet 1851 sur l’organisation des banques coloniales. Elle devait fusionner en 1967 avec la Banque de la Martinique pour créer la Banque des Antilles françaises (BDAF), qui appartient, comme la Banque de la Réunion, au Groupe BPCE.
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Montpellier, 1er septembre 1773-9 septembre 1782 grand in-folio étroit (63 x 25 cm), [91] ff., couverts d'une écriture soignée et très lisible, dérelié. Dernier feuillet détaché.
L'objet comptable de cet important manuscrit est parfaitement exprimé par le liminaire en haut du premier feuillet : "Nous commettons Monsieur Petit juge en la jurisdiction consulaire de cette ville pour le paraphe des deux cens quarante sept feuilles de ce journal qui doit servir pour la raison & commerce de Mr. Jullian fils & Cie de Nîmes". Sur les 247 ff. paraphés initialement, ne nous sont parvenus que 91, soit que les derniers ont été perdus, soit, plus vraisemblablement qu'ils n'aient pas servi aux écritures pour une raison sociale ou une autre. Sont enregistrés, par date, les noms des clients et fournisseurs, la nature des marchandises et leurs prix.Les marchandises enregistrées avec leur valeur sont des tissus de toutes sortes, des articles de confection, des effets d'ameublement. LIVRE NON DISPONIBLE À PARIS, VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
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Paris, 30 juin 1711 petit in-4 oblong (22 x 29 cm), en feuille, sur vélin souple.
Formulaire pré-imprimé sur peau de vélin renseigné manuscritement."Sur les deux millions de livres de rentes créées par édit de juin 1711, je Pierre Gruyn, conseiller du Roy en ses conseils, Garde de son Trésor royal, confesse avoir reçû en cette ville de Paris, de l'oeuvre et fabrique de la parroisse Saint-Landry (...) la somme de deux mil livres en louis d'or, d'argent et autre monnoye pour le principal de cent livres de rente". La somme provenait du duc de Rohan, suivant un acte de fondation passé entre ce dernier et les marguilliers de la paroisse.Sise dans l'île de la Cité, la petite paroisse de Saint-Landry jouissait de l'une des plus petites juridictions de la capitale : quelques rues dans nord de l'île comme la rue de Glatigny en partie, la rue Basse-des-Ursins, la rue Moyenne-des-Ursins, la rue Haute-des-Ursins, la majeure partie de la rue Saint-Landry, de la rue du Chevet-Saint-Landry, de la rue de la Colombe et de la rue d'Enfer jusqu'au port Saint-Landry. Son église, fermée en 1791 par suite de la perte de son statut paroissial, ne fut démolie qu'en 1829.Signature autographe de Pierre Gruyn (mort en 1722), garde ancien du Trésor royal de 1694 à sa mort.Cf. Claeys (Thierry) : Dictionnaire biographique des financiers en France au XVIIIe siècle, I, pp. 1010-1013.
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Paris, 5 octobre 1708 petit in-4 oblong (22 x 29 cm), en feuille sur vélin souple. Bords ébarbés.
Formulaire pré-imprimé sur peau de vélin renseigné manuscritement et donnant dans le Quartier Saint-Antoine de Paris quittance de la taxe sur les boues, impôt dû par les propriétaires parisiens pour le nettoiement des rues et l'entretien des lanternes, instauré en 1509 par acte du Parlement de Paris. En 1757 seulement, les propriétaires assujettis pourront s'en racheter en versant 20 annuités. "Je Jean de Turményès de Nointel, conseiller du Roy en ses conseils, Garde de son Trésor royal : confesse avoir receu comptant en cette ville de Paris, de sieur True de Saint-Farjeux tuteur des enfans de luy et de dame Catherine Le Pilleur son épouze, propriétaire d'une maison en entrant de la ruë Saint-Antoine à droite continuant à la Place Royalle [= Place des Vosges actuelle] dudit costé et finissant à la maison du sieur Jeanin de Castille tenuë par le nommé Champion arequebuzier la somme de trois cent quatre vingt seize livres".Signature autographe de Jean de Turményes de Nointel (1668-1727), Garde alternatif du Trésor royal de 1702 à 1727, après avoir été intendant de la Généralité de Moulins (1699-1702).Cf. Claeys (Thierry) : Dictionnaire biographique des financiers en France au XVIIIe siècle, II, pp. 1108-09.
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S.l., s.d. (1763) in-4, [3] ff. n. ch., 150 pp., couvertes d'une écriture épaisse et très lisible, brochés sous couvertures de papier doré à motifs floraux de l'époque.
Un nombre important de dépôts publics conserve des exemplaires de ces états financiers dressés pendant la Guerre de Sept ans, avec des dates diverses qui vont jusqu'à 1765 : BnF, Arsenal (exemplaire du marquis de Paulmy), Archives nationales, Bibliothèque de l'Hôtel de Ville (une copie réalisée en 1812 pour Mollien), Reims, Rouen et Valenciennes. À une époque où ce genre de documents ne faisait naturellement l'objet d'aucune publication (celle de Necker fera scandale en son époque), il s'agissait de copies destinées à des membres du gouvernement ou de l'administration. Deux détails permettent cependant d'inférer que les copies en étaient réalisées à un nombre relativement important d'exemplaires : les couvrures, toutes de papier doré à motifs floraux, comme ici ; et, sur notre premier volume, la marque "Le prix est de 15 livres", retrouvé sur un état de 1759, qui atteste d'une circulation monnayée.Pour notre exemplaire, nous avons un correspondant presque exact dans le manuscrit coté 949 de la Bibliothèque de Reims (même date, mais chiffrage différent). Le contenu en est, comme tous les états financiers publics d'Ancien Régime, approximatif et sans vrai détail : "Dans les documents originaux, comme dans les recueils qui les compilent, il est rarement précisé de quel type de dépense ou de quel type de revenu il s'agit. Rédigés dans un but pratique, sans publicité, les comptes et les états n'ont pas à se qualifier pour ceux qui les utilisent" (Alain Guéry, Les Finances de la monarchie française sous l'Ancien Régime, in : Annales, 1978).Séduisant exemplaire dans une élégante brochure dorée. LIVRE NON DISPONIBLE À PARIS, VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
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S.l., 1759 2 vol. in-4, [3] ff. n. ch., 88 pp. ; [35] ff. n. ch., brochés sous couvertures de papier doré à motifs floraux de l'époque. Disparate dans la teinte des motifs floraux sur chacun des volumes.
Un nombre important de dépôts publics conserve des exemplaires de ces états financiers dressés pendant la Guerre de Sept ans : BnF, Arsenal (exemplaire du marquis de Paulmy), Archives nationales, Bibliothèque de l'Hôtel de Ville (une copie réalisée en 1812 pour Mollien), Reims, Rouen et Valenciennes. À une époque où ce genre de documents ne faisait naturellement l'objet d'aucune publication, il s'agissait de copies destinées à des membres du gouvernement ou de l'administration. Deux détails permettent cependant d'inférer que les copies en étaient réalisées à un nombre relativement important d'exemplaires : les couvrures, toutes de papier doré à motifs floraux, comme ici ; et, sur notre premier volume, la marque "Le prix est de 15 livres", qui atteste d'une circulation monnayée.Pour le premier volume, nous avons un correspondant exact dans le manuscrit coté 1-161 de la Bibliothèque de Rouen (même date, même chiffrage).Le second volume a pour intitulé : Supplément aux affaires généralles concernant les finances du royaume de France, ou Suite des affaires extraordinaires faittes en France depuis et compris l'année 1758 jusqu'à la fin de celle de 1761 à cause des sommes extraordinaires levées dans le royaume pour subvenir aux dépenses extraordinaires au sujet de la présente guerre. Il ne semble pas signalé au CCF.On joint : un bifeuillet également manuscrit de recettes et dépenses pour l'année 1763, avec un extrait de la Théorie de l'impôt [par le marquis de Mirabeau].Séduisant exemplaire dans une élégante brochure dorée. LIVRE NON DISPONIBLE À PARIS, VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
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S.l. [Versailles], s.d. (1816) in-folio, [7] ff. n. ch. un f. vierge, en feuilles.
Dispose, sous forme de tableaux, et par arrondissement, les estimations des bois distraits de l'administration communale, et donc soustraits aux impositions afférentes, le tout dans le cadre des contributions fixées pour chaque département pour l'entretien des troupes d'occupation.On joint la lettre explicative accompagnant cet état : Extrait du procès-verbal du Conseil général (un bifeuillet in-folio écrit au premier et signé de Peyronet, secrétaire général de la préfecture).
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S.l.n.d. (vers 1840); in-4, [6] ff. n. ch., couverts d'une écriture moyenne et relativement lisible (environ 35 lignes par page), en feuilles, cousu.
Appartient à une série de petits traités rédigés par Barbot du Plessis fils sur les questions économiques, qui semblent l'avoir spécialement intéressé.Le problème, c'est qu'avec des sentences du genre : "Le prix des biens dépend de ce qu'ils valent pour l'homme, de ce que l'homme vaut pour soi et pour la société. Valeur est une vertu qui soutient l'existence", on est très loin des données que l'époque exploite pour analyser les mécanismes économiques : par simple comparaison, c'est à peu près à la même époque que Marx élaborait, sur la base de Ricardo, sa théorie de la valeur, autrement lumineuse. C'est là une caractéristique de Barbot : le mélange de la signification commune la plus abstraite des termes employés avec leur usage spécifique. D'où, à la suite de cette définition liminaire, un long développement sur les "besoins de l'existence" d'une généralité décourageante ; d'où : "Le prix n'est pas une fraction purement numérique, mais résulte de la somme des besoins", ce dont on ne se serait nullement douté ... Ceci dit, les concepts remués ici étaient tout à fait dans l'air du temps, et commençaient à être solidement utilisés pour saisir les réalités financières et économiques nouvelles.
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