Lucien Vogel éditeur | Paris [circa 1920] | 19.50 x 25 cm | une feuille
Estampe originale en couleur tirée sur papier vergé, non-signée. Gravure originaleréalisée pour l'illustration deLa Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: «En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France.» («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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Lucien Vogel éditeur | Paris 1920 | 18 x 24 cm | une feuille
Estampe originale en couleur faisant la publicité de la boutique Verlaine, tirée sur papier vergé. Deux vignettes publicitaires au dos sur Valaze et les produits du Dr Dys. Gravure originaleréalisée pour l'illustration deLa Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: «En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France.» («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. - Ph
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Lucien Vogel éditeur | Paris 1920 | 19.50 x 25 cm | une feuille
Estampe originale en couleur tirée sur papier vergé, signée en bas au centre dans la planche. Gravure originaleréalisée pour l'illustration deLa Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: «En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France.» («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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Zürich, Johann Rudolph Simler, 1688. 8°. (12) Bl., 466 S., (3) Bl. (Register); 109 S. Mit 1 Porträt, 1 gestochenen Titel und zahlr. Notenbeispielen im Text. Lederband der Zeit auf Holzdeckeln, Schliessen ausgerissen.
HBLS VI, 372. – Die Erstausgabe erschien 1648 und wurde bis 1688 weitergeführt und bearbeitet (vorliegende Ausgabe). Johann Wilhelm Simler (1605–1672), ein Schweizer Dichter der Barockzeit, studierte Theologie in Zürich und promovierte 1627 in Genf. Ab 1629 wirkte er als Pfarrer in Uetikon, ab 1631 in Herrliberg. 1638 übernahm er das Amt eines Zuchtherrn und kirchlichen Inspektors in Zürich. Seine Dichtkunst war nur in seiner Heimat von Bedeutung. Da seine Texte mit Schweizer Mundart durchsetzt waren, erwiesen sie sich für ein deutsches Publikum als schwer verständlich. – Mit mehreren handschr. Besitzereinträgen. Das Papier stärker gebräunt und stockfleckig. Die Einbanddeckel verzogen und der Lederbezug stärker berieben.
Leiden, Ex Officina Elzeviriana (Bonaventura & Abraham Elzevier), 1627. 12°. 535 (1) S., (16) S. Index, (1) S. Privileg. Mit gest. figürlichem Titel (Rütlischwur), signiert P.S. Etwas späteres Pergament.
Haller IV, 409. – Barth 17193. – Willems 278. – Simler's (1530-1576) berühmtes Werk «De Republica Helvetiorum» in zwei Büchern bildet den Hauptteil der vorliegenden Ausgabe (S. 26–484). Ferner enthalten sind: Brevis Helvetiae Geographica descriptio, ex Francisco Guillimanno & Osualdo Molitore, Helvetiae; Soli naturae, ex Henrico Glareano; De Fluvis aliquot Helvetiae; Danielis Heremita Belga De Helvetiorum... epistola ad D. Ferdinandum Gonzagam Mantua fil. Eine von drei Ausgaben mit demselben Erscheinungsjahr. – Alter handschr. Eintrag auf Titel, Stempel auf Titel verso, teilw. etwas fleckig, knapp beschnitten, Widmung auf Vorsatz.
Quatrième edition, reveve et augmentée à la fin de quelques particularitez. Genf, Gabriel Cartier, 1598. 8°. (16), 301, (17) S. Pergamentband der Zeit.
Barth 23684. – Feller-Bonjour I, 197f. – Vgl. Rudolphi 730 u. 731. – Vgl. Vischer C-909 u. Lonchamp 2712 (für die erste Ausgabe). – Vierte Ausgabe von Simlers Lehrbuch über das eidgnössische Staatsrecht, erschien erstmals kurz vor seinem Tode 1576. Der Abriss der staatlichen, politischen und gesellschaftlichen Verhältnisse ist ein Auszug aus seinen umfangreicheren «Collectaneen». «Kein Werk aus schweizerischer Feder ist so oft aufgelegt worden; es schwang sich über den Glaubenshass der Zeit hinweg. Bis zum Untergang der alten Schweiz blieb Simlers Werk das beliebteste Handbuch des eidgenössischen Staatsrechtes ... Durch ihn ist die Geschichtsschreibung Tschudis und Stumpfs Allgemeingut geworden» (Feller-Bonjour). Französische Übersetzung von Gentillet. – Das Titelblatt mit durchgestrichenen handschr. Besitzereinträgen. Das Papier vereinzelt stockfleckig und mit Wurmgängen. Die Einbanddeckel etwas verzogen und fleckig.
E.Plon Nourrit et Cie, Rue garancière, 10. In-4°, forte reliure demi chagrin brun, tête dorée et dos à cinq nerfs, 4000 gravures reproduites en fac-similé dans le texte, d'après les documents des bibliothèques publiques, musées, collections particulières, portraits, caricatures, monuments, évènements...etc, 676 pages, bonne reliure et agréable tranche de titre , les coins supérieurs des plats sont cependant émoussés ainsi que les tranches des plats.
Bon Etat Franco de port pour la France jusqu'à 30 euros. MONDIAL RELAY privilégié et disponible pour les pays suivants : Portugal, Pologne, Espagne, Allemagne, Autriche, Pays Bas, Luxembourg, Italie, Belgique. Paiement immédiat par Paypal : https://paypal.me/Artlink?locale.x=fr_FR . Chèques et virement acceptés. Nous accompagne toutes les étapes de votre achat. Achat et déplacement France Suisse.
Lucien Vogel éditeur | Paris Avril 1914 | 19 x 24.50 cm | une feuille
Estampe originale en couleur rehaussée à l'or, tirée sur papier vergé, signée en bas à gauche de la planche. Gravure originaleréalisée pour l'illustration deLa Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: «En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France.» («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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Paris Mars 1914 | 19 x 24.50 cm | une feuille
Estampe originale en couleur, tirée sur papier vergé, signée en bas à gauche de la planche. Gravure originaleréalisée pour l'illustration deLa Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. * Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: «En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France.» («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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LONDRES (CHEZ NOURSE) 1751 2 VOL. RELIES EN 1, IN-12°, 17 X 10 CMS, RELIÉ VEAU MOUCHETÉ, DOS A 5 NERFS ORNÉ DE FLEURONS DORÉS, TR. ROUGE. 2FF-285PPS; 1FF-148PPS. PREMIÈRE ÉDITION FRANÇAISE TRADUITE PAR RAULIN, ANCIEN OFFICIER DES DRAGONS.
CETTE RELATION EST UN EXTRAIT DE L'IMMENSE OUVRAGE D'HISTOIRE NATURELLE DE SIR HANS SLOANE, MÉDECIN NATURALISTE, SUR QUELQUES UNE DES ANTILLES ET SPÉCIALEMENT SUR LA JAMAÏQUE. L'AUTEUR Y AVAIT RÉSIDÉ QUINZE MOIS EN QUALITÉ DE MÉDECIN; IL PUT AINSI OFFRIR UNE MINE FÉCONDE POUR LES NATURALISTES. L'OUVRAGE EST AGRÉMENTE DE 6 PL. DÉPL. GRAVÉES EN TAILLE-DOUCE A LA FIN DE VOLUME 2 : MOULIN A SUCRE, POISSONS, PLANTES, BOTANIQUE. BEL EXEMPLAIRE. SLOANE HANS : HISTOIRE DE LA JAMAÏQUE. 1751 2 VOL. BOUND IN 1, IN-12°, 17 X 10 CMS. TRANSLATED FROM THE ENGLISH BY RAULIN. ILLUSTRATED WITH 6 FOLDING FULL PAGE PLATES BY DE POILLY : SUGAR MILL, BIRDS, HERBS, FISH. FINE COPY. P2-7C
Solar Solar 1984, In-4 cartonnage éditeur sous jaquette illustrée, 96 pages. Reproductions couleur. Bon état
Toutes les expéditions sont faites en suivi au-dessus de 25 euros. Expédition quotidienne pour les envois simples, suivis, recommandés ou Colissimo.
Barcelona, Thomas Piferrer, 1771. 2 volumes petit in-8 de [24]-479 pages [16]-488 pages, plein veau moucheté brun, dos lisses ornés de filets et fleurons dorés, pièces de titre et de tomaison rouges et vertes. Petit manque à la coiffe supérieure du tome 1. Au tome 2, manque de peau à un coin et mouillure à un autre. Intérieur très frais, sans défaut.2 small in-8 volumes of [24] -479 pages and [16] -488 pages, full brown speckled calf, smooth backs decorated with gilt fillets and floral ornaments, red and green title and number label. Small wear in the turn in at the top of volume 1. In volume 2, wear of skin at one corner and waterstain at another. Very fresh interior, without defects.
Illustré d'une carte dépliante et de 7 planches hors-texte dont 5 dépliantes.Illustrated with a folding map and 7 engravings, 5 of which are folding. Antonio de Solís y Ribadeneyra (1610-1686) est un dramaturge et historien espagnol. Il est considéré comme l'un des plus grands écrivains espagnol de l'époque baroque. "Historia de la conquista de Mexico" (première édition en 1684) couvre les trois ans entre la nomination de Cortés pour commander l'armée et la chute de la ville. Le livre fut extrêmement populaire des deux côtés de l'Atlantique, il est resté, jusqu'au milieu du XIXe siècle une source importante de l'histoire latino-américaine.Antonio de Solís y Ribadeneyra (1610-1686) is a Spanish playwright and historian. He is considered one of the greatest Spanish writers of the Baroque era. "Historia de la conquista de Mexico" (first edition in 1684) covers the three years between the appointment of Cortés to command the army and the fall of the city. The book was extremely popular on both sides of the Atlantic, it remained, until the mid-nineteenth century, an important source of Latin American history.
Solothurn, o. Vlg., 1805. 8°. 7 S. Moderne Broschur.
Bekanntmachung einer Gesetzesänderung, die der Stadt Solothurn zur Kompetenz in strafrechtlichen Fällen verhilft, die bis anhin dem Kanton unterlagen. Die Aenderungen betreffen: "Innerliche Ordnung und Ruhe überhaupt, Gesundheits- und Annehmlichkeits-Anstalten, Persönliche Polizey dähnet sich aus". Mit Exlibris auf fest. Vorsatz. - Durchgehend gebräunt u. stockfleckig.
Paris Librairie Séguier 1989 in 8 (21x16) 1 volume broché, couverture illustrée, 250 pages [2]. Bel exemplaire ( Photographies sur demande / We can send pictures of this book on simple request )
Très bon
Épreuve sur beau papier filigrané. en feuille Très bon Paris 14,5 x 10,5 cm
Somptueux catalogue. Nombreuses reproductions en couleurs. Liste des résultats jointe. Broché sous couverture illustrée. Très bon London Sotheby's 2001 1 volume in-4°
édition originale
Paris, L'Art décoratif, 1905. In-4, 240 pp., jolie reliure éditeur de percaline bleu ardoise Art Nouveau.
Six numéros de la revue, avec notamment en supplément une gravure de Rops "Celle qui fait celle qui lit Musset", une de R. du Gardier, et une en couleurs de Boutet de Monvel "Le Jardin français".* Voir photographie(s) / See the picture(s). * Membre du SLAM et de la LILA / ILAB Member. La librairie est ouverte sur rendez-vous.
D’après P. P. Rubens. Silène sivre soutenu par une satyresse et par une femme noire. Il y a deux satyresses couchées, dont une allaite ses enfants; deux satyres montent sur un arbre. Gravure d’après la toile de Rubens conservée au musée Pouchkine à Moscou. En feuille Bon 1642 420 x 486 au trait carré + la tablette
édition originale
Zürich, Arnold Bopp, 1913. 8°. 22 S. Orig.-Heft.
Aus der Reihe: "Wirtschaftliche Publikationen der Zürcher Handelskammer", Heft 12. - Papier leicht gebräunt.
Getruckt zu Züriych, in der Froschow, anno 1588. Kl.-4°. XXXI, (1) Bl. (letztes leer). Spätere schlichte Borschur.
VD 16 S 8181; Vischer C 1115; Rudolphi 843. - Der Autor, Wigand Spanheim (gest. 1620) aus der Oberpfalz, Theologe, war der Vorfahr der Gelehrtenfamilie Friedrich Spanheim und dessen Söhne Ezechiel und Friedrich. Das vorliegende Werk bietet eine Übersicht über Weissagungen, angefangen bei Paulus. Der Autor zitiert u.a. Johannes Regiomontanus, der zum Jahr 1588 folgenden Vers verfasste: "Tausent fünffhundert achtzig acht, Das ist das jar das ich betracht. Geht in dem die welt nit under, gschicht sonst gross mercklich wunder". Die Schrift ist David Schobinger (1531-1590) aus St. Gallen gewidmet, einem reichen Kaufmann, Gelehrten und Wohltäter seiner Stadt (HBLS). - Durchwegs gebräunt. - Mit Exlibris Paul Ad. Leemann.
Phone number : 41 (0)44 261 57 50
(1838). Aquatinta, gezeichnet und gestochen von Johann Jakob Sperli d. Ä. Blattgrösse: 40 x 53 cm. Plattengrösse: 31 x 40 cm. Bildausschnitt: 23,2 x 34,5 cm.
Die alte Kreuzkirche am Kreuzplatz in Zürich, die 1839 abgetragen wurde und auf der rechten Seite das erste Postbüro von Hottingen, an der damaligen Postkutschenlinie von Zürich nach Maur. – Blatt etwas gebräunt und fleckig. Blattrand mit kleineren Beschädigungen und Einrissen.
2 Bände. Genève, Fabri & Barrillot, 1730. 4°. (2) Bl., XV, 556 S.; (6) Bl., 518 S. Mit 2 gest. Titelvignetten, 2 mehrfach gef. Ansichten von Genf und 13 Kupfertafeln. Lederbände der Zeit mit reicher Rückenvergoldung und Rückenschildern.
e-HLS. – Zweite Ausgabe, erschien erstmals 1680 und erzürnte den Kleinen Rat von Genf, der Veröffentlichungen über die Vergangenheit der Republik missbilligte. Der Text enthält ca. 20 Holzschnitte. – Die dekorativen Einbände etwas berieben. Papier mit vereinzelten Stockflecken.
Zürich, Orell, Füssli und Comp., 1878. Gr.-8°. 19 S. Mit einem lithogr. Porträt nach H. Bodmer. Orig.-Heft. = "66. Neujahrsblatt (Neujahrsgeschenk an die Zürcherische Jugend sic.) von der allgemeinen Musik-Gesellschaft in Zürich auf das Jahr 1878".
Rohr 890. - Durchgehend gebräunt.
Leipzig, Kayser'sche Buchhandlung, 1840. 4°. 1 Bl., IV S., S. 3-652. Mit 25 Stahlstichtafeln. Orig.-Halblederband mit reicher Rückenverg.
Durchgehend stockfleckig.