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‎SILVESTRE (Israël)‎

Reference : 16581

‎[Estampe]. Prosp. dess Schlosses de Bourbon l'Archambaut. [Gravure à l'eau-forte].‎

‎S.l.,, (c.1657). 29,2 x 19,2 cm à la cuvette. ‎


‎Célèbre vue du château de Bourbon l'Archambault, gravée par Israël Silvestre pour la Topographia Galliae de Martin Zeiller publiée par Mérian à partir de 1657. Nommé dessinateur et graveur du roi en 1662, puis maître de dessin du Dauphin en 1675, I. Silvestre (1621-1691) est l'un des meilleurs graveurs de vues topographiques du XVII°s. Son oeuvre se compose de près de quatre cent pièces représentant des vues d'Italie et de France. - Marges correctes. Trace de pli central.‎

Librairie Devaux - Moulins

Phone number : 33 04 70 44 02 65

EUR150.00 (€150.00 )

‎SILVESTRE (Israël)‎

Reference : 14252

‎[Estampe]. Veüe du Chasteau de Blois. Conspectus Regia Blesensis. [Gravure à l'eau-forte].‎

‎S.l.,, fin XIX°-début XX°s. 102 x 38 cm. à la cuvette + marges. ‎


‎Retirage tardif, sur papier vergé, de la grande vue panoramique du château de Blois, gravée par Silvestre en 1672. Elle est en 2 parties assemblées. - Marges un peu salies, plis marqués.‎

Librairie Devaux - Moulins

Phone number : 33 04 70 44 02 65

EUR180.00 (€180.00 )

‎SIMECEK Françoise.‎

Reference : 3568

‎Pietro Sarto. Les Estampes 1947-1992. Catalogue raisonné des gravures et lithographies‎

‎Fondation William Cuendet & Atelier de Saint-Prex & Cabinet des estampes de Genève, 1992. Relié toile d'éditeur sous jaquette illustrée. 205 pages. Nombreuses reproductions, dont 18 en couleurs. Index. Edition tirée à 2000 exemplaires. Parfait état. Envoi en colissimo.‎


Phone number : 33 49 48 63 073

EUR80.00 (€80.00 )

‎SIMENON G., MAUROIS A., LANDRY C.-F., GUILLEMIN H., FREY C., ESCARPIT R., DUESBERG D., BEGUIN P., NORDMANN R:‎

Reference : 679

(1963)

‎Ma conviction profonde.‎

‎Sans lieu [Vésenaz], Pierre Cailler, 1963. In-4 (16,7x25,9) de 125 pages, broché sous emboîtage. ‎


‎Illustré de 4 estampes originales de Carzou, Dunoyer de Segonzac, Michel Ciry et Lecoultre. Edition originale. Tiré à 720 ex. num., celui-ci un des 220 sur vélin du Marais, seul tirage qui contient les gravures originales, les 500 suivants n'étant illustrés que de reproductions. ‎

Phone number : +4122 310 20 50

CHF580.00 (€593.63 )

‎SIMEON‎

Reference : 43226

(1920)

‎Le Retour des autans. Tailleur et Robe d'après-midi, de Doeuillet. (La Gazette du Bon ton, n°7 - Planche 55 )‎

‎Lucien Vogel éditeur, Paris [circa 1920], 19,5x25cm, une feuille.‎


‎Estampe originale en couleur tirée sur papier vergé, non-signée. Gravure originaleréalisée pour l'illustration deLa Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: «En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France.» («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎

Le Feu Follet - Paris
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EUR50.00 (€50.00 )

‎SIMEON‎

Reference : 73139

(1920)

‎L'ondulation permanente Eugène (Publicité, La Gazette du Bon ton, 1920)‎

‎Lucien Vogel éditeur, Paris 1920, 18x24cm, une feuille.‎


‎Estampe originale en couleur faisant la publicité de la boutique Verlaine, tirée sur papier vergé. Deux vignettes publicitaires au dos sur Valaze et les produits du Dr Dys. Gravure originaleréalisée pour l'illustration deLa Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: «En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France.» («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎

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‎SIMEON‎

Reference : 39039

(1920)

‎Un peu beaucoup. (La Gazette du Bon ton, n°5. Année 1920 - Planche 34 )‎

‎Lucien Vogel éditeur, Paris 1920, 19,5x25cm, une feuille.‎


‎Estampe originale en couleur tirée sur papier vergé, signée en bas au centre dans la planche. Gravure originaleréalisée pour l'illustration deLa Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: «En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France.» («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎

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‎SIMEON Fernand‎

Reference : 54861

(1921)

‎Au bal noir et blanc. Manteau du soir (pl.25, La Gazette du Bon ton, 1921 n°4)‎

‎Lucien Vogel éditeur, Paris 1921, 18x24cm, une feuille.‎


‎Estampe originale en couleur, tirée sur papier vergé, non-signée. Gravure originaleréalisée pour l'illustration deLa Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: «En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France.» («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎

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‎SIMEON Fernand‎

Reference : 57636

(1912)

‎Costumes parisiens. Tailleur de velours blanc frappé garni de loutre et de passementerie (pl.28, Journal des Dames et des Modes, 1912 n°15)‎

‎S.n., Paris 1912, 14x22,5cm, une feuille.‎


‎Estampe originale en couleur, tirée sur papier vergé, signée en bas à gauche de la planche. L'une des premières revues de mode françaises, parue quelques temps avant la fameuse Gazette du bon ton et réunissant les grands artistes français de la mouvance Art déco. Le Journal des dames et des modes est une revue trimensuelle de mode française illustrée créée en 1797. Sa publication est stoppée en 1839 avant d'être reprise en juin 1912 sous l'impulsion de Tommaso Antongini, le secrétaire, ami et biographe de Gabriele d'Annunzio. Elle disparaîtra en août 1914 à l'aube de la Première Guerre mondiale. La revue était tirée à 1279 exemplaires ce qui en fait, pour l'époque, une publication relativement confidentielle. Les 186 planches, d'une grande finesse, sont gravées sur papier fort puis coloriées au pochoir. Elles représentent, la majorité du temps, des femmes, mais aussi des hommes et des enfants. Les modèles ne sont pas, à la différence de ceux de la Gazette du bon ton dont la publication verra le jour quelques mois plus tard, ceux des couturiers de renom mais sont le fruit de l'imagination des illustrateurs eux-mêmes. Les pochoirs sont, la plupart du temps, exécutés par George Barbier, mais d'autres artistes collaborent à la revue: Léon Bakst, B. Berty, Bernard Boutet de Monvel, Roger Broders, Jan van Brock, Umberto Brunelleschi, H. Robert Dammy, Étienne Drian, Abel Faivre, Marie-Madeleine Franc-Nohain, Xavier Gosé, Paul Iribe, Kriegck, Victor Lhuer, Pierre Legrain, Charles Martin, Fernand Siméon, Ismael Smith, Armand Vallée et Gerda Wegener. Nombre de ces illustrateurs seront également associés à La Gazette du bon ton. Leurs travaux, emblématiques du mouvement Art déco, soulignent l'influence de l'orientalisme et des costumes des ballets russes tout en les inscrivant dans les activités quotidiennes des Français aisés de l'époque. Dès la préface du premier numéro de 1912, Anatole France déclare: « Au bout de soixante-quinze ans, il renaît. Il renaît par les soins de quelques esprits ingénieux et artistes. Il renaît pour les curieux (s'il en est encore) que ne contentent pas les journaux de modes tirés à plusieurs milliers et illustrés par la photographie.Et si les éditeurs nous rendent très exactement, dans son format, avec son papier, son impression, ses procédés de gravure et de coloris, le vieux classique des modes d'autrefois, c'est qu'ils entendent le continuer agréablement et devenir les classiques charmants de la mode d'aujourd'hui et de demain. » - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎

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EUR70.00 (€70.00 )

‎SIMEON Fernand‎

Reference : 54711

(1920)

‎La Lettre surprise (pl.3, La Gazette du Bon ton, 1920 n°1)‎

‎Lucien Vogel éditeur, Paris Février 1920, 18x24cm, une feuille.‎


‎Estampe originale en couleur rehaussée à l'or, tirée sur papier vergé, signée en bas à gauche de la planche. Gravure originaleréalisée pour l'illustration deLa Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: «En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France.» («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎

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‎SIMEON Fernand‎

Reference : 54773

(1920)

‎Un peu beaucoup (pl.34, La Gazette du Bon ton, 1920 n°5)‎

‎Lucien Vogel éditeur, Paris Juin 1920, 18x24cm, une feuille.‎


‎Estampe originale en couleur, tirée sur papier vergé, non-signée. Gravure originaleréalisée pour l'illustration deLa Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: «En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France.» («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎

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‎SIMEON Fernand‎

Reference : 39027

(1920)

‎Vous avez vu ? Cette petite. Robe de promenade en Parquetine de Rodier. (La Gazette du Bon ton, n°4. Année 1920 - Planche 24 )‎

‎Lucien Vogel éditeur, Paris 1920, 19,5x25cm, une feuille.‎


‎Estampe originale en couleur tirée sur papier vergé, la signature ne permet pas d'identifier l'artiste. Gravure originaleréalisée pour l'illustration deLa Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: «En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France.» («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎

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‎SIMEON Mario‎

Reference : 38999

(1921)

‎La Partie de cache-cache. Robe en ruban. (La Gazette du Bon ton, n°1. Année 1921 - Planche 1 )‎

‎Lucien Vogel éditeur, Paris 1921, 19,5x25cm, une feuille.‎


‎Estampe originale en couleur tirée sur papier vergé et signée dans la planche par l'auteur en bas à gauche. Gravure originale réalisée pour l'illustration deLa gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: «En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France.» («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. Quelques petites ombres ne portant néanmoins pas atteinte à l'estampe. - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎

Le Feu Follet - Paris
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‎Simler, Josias:‎

Reference : 5159CB

(1627)

‎Helvetiorum respublica. Diversorum autorum, quorum nonnulli nunc primum in lucem prodeunt.‎

‎Leiden, Ex Officina Elzeviriana (Bonaventura & Abraham Elzevier), 1627. 12°. 535 (1) S., (16) S. Index, (1) S. Privileg. Mit gest. figürlichem Titel (Rütlischwur), signiert P.S. Etwas späteres Pergament.‎


‎Haller IV, 409. – Barth 17193. – Willems 278. – Simler's (1530-1576) berühmtes Werk «De Republica Helvetiorum» in zwei Büchern bildet den Hauptteil der vorliegenden Ausgabe (S. 26–484). Ferner enthalten sind: Brevis Helvetiae Geographica descriptio, ex Francisco Guillimanno & Osualdo Molitore, Helvetiae; Soli naturae, ex Henrico Glareano; De Fluvis aliquot Helvetiae; Danielis Heremita Belga De Helvetiorum ... epistola ad D. Ferdinandum Gonzagam Mantua fil. Eine von drei Ausgaben mit demselben Erscheinungsjahr. – Alter hs. Eintrag auf Titel, Stempel auf Titel verso, teilw. etwas fleckig, knapp beschnitten, Widmung auf Vorsatz.‎

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CHF250.00 (€255.87 )

‎Simond Charles‎

Reference : 11106

‎Paris de 1800 à 1900 D'après les estampes et les mémoires du temps - TOME I : LE CONSULAT - LE PREMIER EMPIRE - LA RESTAURATION‎

‎ E.Plon Nourrit et Cie, Rue garancière, 10. In-4°, forte reliure demi chagrin brun, tête dorée et dos à cinq nerfs, 4000 gravures reproduites en fac-similé dans le texte, d'après les documents des bibliothèques publiques, musées, collections particulières, portraits, caricatures, monuments, évènements...etc, 676 pages, bonne reliure et agréable tranche de titre , les coins supérieurs des plats sont cependant émoussés ainsi que les tranches des plats. ‎


‎ Bon Etat Port inclus dans le prix général. . Paiement immédiat par Paypal . Chèques et virement acceptés. Nous accompagnons toutes les étapes de vos achats. ‎

Artlink - Saint-Haon-le-Vieux

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EUR65.00 (€65.00 )

‎SIMON Mario‎

Reference : 54988

(1922)

‎Les Soeurs jumelles. Robes trois voiles (pl.34, La Gazette du Bon ton, 1922 n°5)‎

‎Lucien Vogel éditeur, Paris 1922, 18x24cm, une feuille.‎


‎Estampe originale en couleur, tirée sur papier vergé, signée en bas à droite de la planche. La Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: «En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France.» («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎

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EUR80.00 (€80.00 )

‎SLOANE HANS‎

Reference : PHO-1273

(1751)

‎Histoire de la Jamaïque, Traduite de l'Anglois. Par M. *** [Joseph Raulin], ancien Officier de Dragons. ‎

‎LONDRES (CHEZ NOURSE) 1751 2 VOL. RELIES EN 1, IN-12°, 17 X 10 CMS, RELIÉ VEAU MOUCHETÉ, DOS A 5 NERFS ORNÉ DE FLEURONS DORÉS, TR. ROUGE. 2FF-285PPS; 1FF-148PPS. PREMIÈRE ÉDITION FRANÇAISE TRADUITE PAR RAULIN, ANCIEN OFFICIER DES DRAGONS. ‎


‎CETTE RELATION EST UN EXTRAIT DE L'IMMENSE OUVRAGE D'HISTOIRE NATURELLE DE SIR HANS SLOANE, MÉDECIN NATURALISTE, SUR QUELQUES UNE DES ANTILLES ET SPÉCIALEMENT SUR LA JAMAÏQUE. L'AUTEUR Y AVAIT RÉSIDÉ QUINZE MOIS EN QUALITÉ DE MÉDECIN; IL PUT AINSI OFFRIR UNE MINE FÉCONDE POUR LES NATURALISTES. L'OUVRAGE EST AGRÉMENTE DE 6 PL. DÉPL. GRAVÉES EN TAILLE-DOUCE A LA FIN DE VOLUME 2 : MOULIN A SUCRE, POISSONS, PLANTES, BOTANIQUE. BEL EXEMPLAIRE. SLOANE HANS : HISTOIRE DE LA JAMAÏQUE. 1751 2 VOL. BOUND IN 1, IN-12°, 17 X 10 CMS. TRANSLATED FROM THE ENGLISH BY RAULIN. ILLUSTRATED WITH 6 FOLDING FULL PAGE PLATES BY DE POILLY : SUGAR MILL, BIRDS, HERBS, FISH. FINE COPY. P2-7C ‎

Phone number : 09 86 72 59 94

EUR1,300.00 (€1,300.00 )

‎SMEDT Marc de‎

Reference : 9993482

(1984)

ISBN : 2263006206

‎L'érotisme chinois ‎

‎ Solar Solar 1984, In-4 cartonnage éditeur sous jaquette illustrée, 96 pages. Reproductions couleur. Bon état‎


‎ Toutes les expéditions sont faites en suivi au-dessus de 25 euros. Expédition quotidienne pour les envois simples, suivis, recommandés ou Colissimo. ‎

Phone number : 05 65 42 95 21

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‎SOLIS Y RIBADENEIRA Antonio de:‎

Reference : 6273

(1771)

‎Historia de la conquista de Mexico, poblacion, y progresos de la America Septentrional, conocida por el Nombre de Nueva España. Dividida en dos tomos e ilustrada con Laminas finas.‎

‎Barcelona, Thomas Piferrer, 1771. 2 volumes petit in-8 de [24]-479 pages [16]-488 pages, plein veau moucheté brun, dos lisses ornés de filets et fleurons dorés, pièces de titre et de tomaison rouges et vertes. Petit manque à la coiffe supérieure du tome 1. Au tome 2, manque de peau à un coin et mouillure à un autre. Intérieur très frais, sans défaut.2 small in-8 volumes of [24] -479 pages and [16] -488 pages, full brown speckled calf, smooth backs decorated with gilt fillets and floral ornaments, red and green title and number label. Small wear in the turn in at the top of volume 1. In volume 2, wear of skin at one corner and waterstain at another. Very fresh interior, without defects. ‎


‎Illustré d'une carte dépliante et de 7 planches hors-texte dont 5 dépliantes.Illustrated with a folding map and 7 engravings, 5 of which are folding. Antonio de Solís y Ribadeneyra (1610-1686) est un dramaturge et historien espagnol. Il est considéré comme l'un des plus grands écrivains espagnol de l'époque baroque. "Historia de la conquista de Mexico" (première édition en 1684) couvre les trois ans entre la nomination de Cortés pour commander l'armée et la chute de la ville. Le livre fut extrêmement populaire des deux côtés de l'Atlantique, il est resté, jusqu'au milieu du XIXe siècle une source importante de l'histoire latino-américaine.Antonio de Solís y Ribadeneyra (1610-1686) is a Spanish playwright and historian. He is considered one of the greatest Spanish writers of the Baroque era. "Historia de la conquista de Mexico" (first edition in 1684) covers the three years between the appointment of Cortés to command the army and the fall of the city. The book was extremely popular on both sides of the Atlantic, it remained, until the mid-nineteenth century, an important source of Latin American history. ‎

Phone number : +4122 310 20 50

CHF1,200.00 (€1,228.20 )

‎Solothurn.-‎

Reference : 798DB

(1805)

‎Wir Schultheiss und Rath des Kantons Solothurn thun kund (...) (Polizeiverordnung).‎

‎Solothurn, o. Vlg., 1805. 8°. 7 S. Moderne Broschur.‎


‎Bekanntmachung einer Gesetzesänderung, die der Stadt Solothurn zur Kompetenz in strafrechtlichen Fällen verhilft, die bis anhin dem Kanton unterlagen. Die Aenderungen betreffen: "Innerliche Ordnung und Ruhe überhaupt, Gesundheits- und Annehmlichkeits-Anstalten, Persönliche Polizey dähnet sich aus". Mit Exlibris auf fest. Vorsatz. - Durchgehend gebräunt u. stockfleckig.‎

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‎SOULIE-CAPPIELLO (Marie-Laure)‎

Reference : 580474

(2011)

ISBN : 9782354920128

‎CAPPIELLO. Catalogue raisonné des caricatures. (1898-1905)‎

‎ Marseille, Editions Sillages, 2011. In-4 oblong, 238 pp., large iconographie, plusieurs ill. hors-texte, bibliographie, biographie. ‎


‎ Bonne cond. - Frais de port : -France 4,95 € -U.E. 11 € -Monde (z B : 18 €) (z C : 31 €) ‎

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EUR45.00 (€45.00 )

‎SOULIER (Gustave) [dir] (ROPS, BOUTET DE MONVEL)‎

Reference : 16088

‎L'Art décoratif. Revue mensuelle d'art contemporain. 7me année, 2e semestre. Juillet 1905 - Décembre 1905 ‎

‎ Paris, L'Art décoratif, 1905. In-4, 240 pp., jolie reliure éditeur de percaline bleu ardoise Art Nouveau.‎


‎Six numéros de la revue, avec notamment en supplément une gravure de Rops "Celle qui fait celle qui lit Musset", une de R. du Gardier, et une en couleurs de Boutet de Monvel "Le Jardin français".* Voir photographie(s) / See the picture(s). * Membre du SLAM et de la LILA / ILAB Member. La librairie est ouverte sur rendez-vous. ‎

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Phone number : 01 42 57 20 24

EUR80.00 (€80.00 )

‎Spahn, Carl:‎

Reference : 2782DB

(1913)

‎Die Randenbahn.‎

‎Zürich, Arnold Bopp, 1913. 8°. 22 S. Orig.-Heft.‎


‎Aus der Reihe: "Wirtschaftliche Publikationen der Zürcher Handelskammer", Heft 12. - Papier leicht gebräunt.‎

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‎Spanheim, Wigand:‎

Reference : 5638CB

(1588)

‎Oratio Prognostica: Das ist Deutung und Spiegel dess LXXXVIII. Jars, unnd dieser letzten trübseligen zeyt, neben eynverleybter historischer Erzehlung der schedlichen Effecten unnd Würckungen der Finsternussen ... durch Wigandum Spanhemium Curcenacensem Palatinum, der mathematischen Künst Liebhabern.‎

‎Getruckt zu Züriych, in der Froschow, anno 1588. Kl.-4°. XXXI, (1) Bl. (letztes leer). Spätere schlichte Borschur.‎


‎VD 16 S 8181; Vischer C 1115; Rudolphi 843. - Der Autor, Wigand Spanheim (gest. 1620) aus der Oberpfalz, Theologe, war der Vorfahr der Gelehrtenfamilie Friedrich Spanheim und dessen Söhne Ezechiel und Friedrich. Das vorliegende Werk bietet eine Übersicht über Weissagungen, angefangen bei Paulus. Der Autor zitiert u.a. Johannes Regiomontanus, der zum Jahr 1588 folgenden Vers verfasste: "Tausent fünffhundert achtzig acht, Das ist das jar das ich betracht. Geht in dem die welt nit under, gschicht sonst gross mercklich wunder". Die Schrift ist David Schobinger (1531-1590) aus St. Gallen gewidmet, einem reichen Kaufmann, Gelehrten und Wohltäter seiner Stadt (HBLS). - Durchwegs gebräunt. - Mit Exlibris Paul Ad. Leemann.‎

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‎Sperli, Johann Jakob (1794-1843):‎

Reference : 845CG

(1838)

‎Die ehemahlige Kirche zum Kreuz.‎

‎(1838). Aquatinta, gezeichnet und gestochen von Johann Jakob Sperli d. Ä. Blattgrösse: 40 x 53 cm. Plattengrösse: 31 x 40 cm. Bildausschnitt: 23,2 x 34,5 cm.‎


‎Die alte Kreuzkirche am Kreuzplatz in Zürich, die 1839 abgetragen wurde und auf der rechten Seite das erste Postbüro von Hottingen, an der damaligen Postkutschenlinie von Zürich nach Maur. – Blatt etwas gebräunt und fleckig. Blattrand mit kleineren Beschädigungen und Einrissen.‎

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