s.d. (1924), 93x78mm, autre.
Epreuve originale probablement unique de cet état intermédiaire d'un bois dessiné et gravé d'après deux uvres de Paul Gauguin par Georges-Daniel de Monfreid. Tiragesur japon pelure, annotation de l'artiste au crayon en marge gauche. Bois dessiné et gravé d'après deux uvres, l'homme au bois étant une reprise d'une aquarelle de la page 37 du manuscrit de Noa Noa, tandis que la femme en pied originellement observée par ce fureteur, est ici présentée en buste avec main au visage, modèle repris sur un bois gravé de Gauguin en page 4 du manuscrit (et son croquis original collé en page 51), évoquant une scène similaire. Le bois définitifservira de tête au chapitre IV de la véritable édition originale illustrée deNoa Noa, parue chez Crès en 1924, premier ouvrage illustré d'après Paul Gauguin et majestueux hommage à l'un des précurseurs de l'art moderne. Superbe gravure synthétisant une aquarelle du manuscrit original de Noa Noa, inspirée du mythe de Diane et Actéon, gravée par le plus proche ami et exécuteur testamentaire de Gauguin, l'artiste Georges-Daniel de Monfreid, héritier de l'album qu'il offrira en 1927 à l'Etat Français. Cette épreuve, probablement unique, fait partie des 17 bois d'essais connus duprojet de publication précoce deNoa Noa, tous réalisés sur divers papiers fins et annotés par l'artiste. C'est à partir du manuscrit illustré original de Noa Noa rapporté de Tahiti par Segalen à la mort de l'artiste en 1903 que Monfreid entreprit, dès 1904, la réalisation de cette uvre fondamentale. Il s'agit de la seconde version de ce carnet « à lire et à regarder ». Le premier manuscrit, rédigé au retour de son premier voyage et confié par Gauguin à Charles Morice en 1893 répondait à un projet différent. Gauguin n'avait composé que le texte, entrecoupé de pages blanches destinées aux poèmes de Morice. Mais, après plusieurs années sans nouvelles, celui-ci préféra publier en 1901 une version entièrement réécrite par ses soins. Gauguin recopia donc son manuscrit et l'illustra lors de son second séjour en Polynésie, de croquis, aquarelles et collages. Cet album, que l'artiste enrichit et conserva précieusement jusqu'à sa mort, est aujourd'hui au Musée d'Orsay. C'est donc d'après ce manuscrit, le seul illustré, que Monfreid composa l'édition du Noa Noa de Gauguin. Cependant, si le projet de publication de Monfreid fut précoce, il mit plus de vingt ans à le mener à bien, en partie à cause d'un conflit de droit d'auteur avec Charles Morice qui souhaitait figurer comme co-auteur de l'édition en préparation et dont les poèmes seront finalement conservés. Fruit de plusieurs années de réflexion et de travail, l'édition de 1924 se veut à la fois fidèle aux aquarelles et bois gravés illustrant le précieux manuscrit, mais également à l'ensemble de l'uvre tahitienne de Gauguin, mort dans l'indifférence. Monfreid grave ainsi plusieurs dessins du cahier original et l'enrichit de bois réalisés à partir des autres uvres dont il est le dépositaire. Certaines de ces compositions associent plusieurs peintures, tout en respectant scrupuleusement le trait de l'artiste, transformant l'ouvrage en véritable voyage à travers les uvres du peintre. Le choix même de la gravure sur bois est un hommage à cette technique prisée par Gauguin qui réalisa à Pont-Aven 10 bois pour illustrer son manuscrit entre ses deux séjours polynésiens. Les bois intermédiaires, jusqu'alors inconnus, témoignent du lent travail de composition pour restituer la richesse artistique de l'uvre de Gauguin par son plus fidèle compagnon artistique et premier défenseur : «Quand je vis Gauguin pour la première fois, je fus fortement déconcerté par les données d'art émanant de ses uvres aussi bien que des conversations de cet homme extraordinaire... En lui tout de suite on sentait le Maître » (In L'hermitage, 1903) Epreuve unique du bois gravé d'après une aquarelle réinterprétant le mythe de Diane surprise au bain par Actéon. Monfreid a pris soin de conserver, dans la gravure, la forme typique en bois de cerf de la branche saisie par l'indiscret, qui évoque sa métamorphose par la déesse. Très rare uvre de Gauguin mêlant mythologie antique et exotisme insulaire dont la puissance subversive semble toute entière portée par l'expression de feinte surprise de la Diane vahiné. - Photos sur www.Edition-originale.com -
s.d. (1924), 93x78mm, autre.
Epreuve originale probablement unique de cet état intermédiaire d'un bois dessiné et gravé d'après une aquarelle de Paul Gauguin par Georges-Daniel de Monfreid. Tiragesur vergé crème fin, annotation de l'artiste au crayon en marge gauche. Bois dessiné et gravé d'après une aquarelle du manuscrit de Noa Noa, contrecollée sur une page de texte du célèbre album. Le bois définitifservira de tête à l'édition originale illustrée deNoa Noa, parue chez Crès en 1924, premier ouvrage illustré d'après Paul Gauguin et majestueux hommage à l'un des précurseurs de l'art moderne. Superbe et importante gravure reprenant une aquarelle très particulière du manuscrit de Paul Gauguin, véritable percée graphique dans le texte,gravé par son plus proche ami et exécuteur testamentaire, l'artiste Georges-Daniel de Monfreid, héritier de l'album qu'il offrira en 1927 à l'Etat Français. L'aquarelle initiale était découpée en ondulations autour de la figure féminine et collée sur le dernier chapitre pour en empêcher la lecture et ainsi remettre le récit en route. Gauguin avait d'ailleurs ajouté des traits sinueux partant de l'aquarelle sur la page de texte, donnant ainsi l'impression d'une grotte percée dans la page, par le pouvoir psychique de la femme assise dont la tête diffuse des rayons ondulants. Monfreid décide de la placer en tête de l'ouvrage accompagnée de deux oiseaux tirés d'autres uvres, pour illustrer le pouvoir de l'artiste et de son imaginaire. Cette épreuve, probablement unique, fait partie des 17 bois d'essais connus duprojet de publication précoce deNoa Noa, tous réalisés sur divers papiers fins et annotés par l'artiste. C'est à partir du manuscrit illustré original de Noa Noa rapporté de Tahiti par Segalen à la mort de l'artiste en 1903 que Monfreid entreprit, dès 1904, la réalisation de cette uvre fondamentale. Il s'agit de la seconde version de ce carnet « à lire et à regarder ». Le premier manuscrit, rédigé au retour de son premier voyage et confié par Gauguin à Charles Morice en 1893 répondait à un projet différent. Gauguin n'avait composé que le texte, entrecoupé de pages blanches destinées aux poèmes de Morice. Mais, après plusieurs années sans nouvelles, celui-ci préféra publier en 1901 une version entièrement réécrite par ses soins. Gauguin recopia donc son manuscrit et l'illustra lors de son second séjour en Polynésie, de croquis, aquarelles et collages. Cet album, que l'artiste enrichit et conserva précieusement jusqu'à sa mort, est aujourd'hui au Musée d'Orsay. C'est donc d'après ce manuscrit, le seul illustré, que Monfreid composa l'édition du Noa Noa de Gauguin. Cependant, si le projet de publication de Monfreid fut précoce, il mit plus de vingt ans à le mener à bien, en partie à cause d'un conflit de droit d'auteur avec Charles Morice qui souhaitait figurer comme co-auteur de l'édition en préparation et dont les poèmes seront finalement conservés. Fruit de plusieurs années de réflexion et de travail, l'édition de 1924 se veut à la fois fidèle aux aquarelles et bois gravés illustrant le précieux manuscrit, mais également à l'ensemble de l'uvre tahitienne de Gauguin, mort dans l'indifférence. Monfreid grave ainsi plusieurs dessins du cahier original et l'enrichit de bois réalisés à partir des autres uvres dont il est le dépositaire. Certaines de ces compositions associent plusieurs peintures, tout en respectant scrupuleusement le trait de l'artiste, transformant l'ouvrage en véritable voyage à travers les uvres du peintre. Le choix même de la gravure sur bois est un hommage à cette technique prisée par Gauguin qui réalisa à Pont-Aven 10 bois pour illustrer son manuscrit entre ses deux séjours polynésiens. Les bois intermédiaires, jusqu'alors inconnus, témoignent du lent travail de composition pour restituer la richesse artistique de l'uvre de Gauguin par son plus fidèle compagnon artistique et premier défenseur : «Quand je vis Gauguin pour la première fois, je fus fortement déconcerté par les données d'art émanant de ses uvres aussi bien que des conversations de cet homme extraordinaire... En lui tout de suite on sentait le Maître » (In L'hermitage, 1903) Epreuve unique du bois gravé d'après l'aquarelle mystique effaçant la fin première du récit pour permettre au lecteur de pénétrer graphiquement dans l'album peint, et repris dans la version imprimée comme ouverture initiatique du récit gravé. - Photos sur www.Edition-originale.com -
s.d. (1924), 93x78mm, autre.
Epreuve originale probablement unique de cet état intermédiaire d'un bois dessiné et gravé de Paul Gauguin par Georges-Daniel de Monfreid. Tiragesur vergé crème fin, annotation de l'artiste au crayon en marge gauche. Bois dessiné et gravé d'après deux uvres différentes. La femme de dos étant une reprise exacte d'une encre de la page 92 du manuscrit de Noa Noa, tandis que la femme allongée reprend le célèbre thème de la femme aux manges, Te Arii Vahine-Opoi, que Gauguin représenta en peinture mais aussi en gravure. Le bois définitifservira de tête au chapitre V de la véritable édition originale illustrée deNoa Noa, parue chez Crès en 1924, premier ouvrage illustré d'après Paul Gauguin et majestueux hommage à l'uvre d'un des précurseurs de l'art moderne. Superbe et importante gravure rassemblant deux thèmes majeurs de l'uvre tahitienne, dont le dessin central du manuscrit de Noa Noa, gravé fidèlement par le plus proche ami et exécuteur testamentaire de Gauguin, l'artiste Georges-Daniel de Monfreid, héritier de l'album qu'il offrira en 1927 à l'Etat Français. Cette épreuve, probablement unique, fait partie des 17 bois d'essais connus duprojet de publication précoce deNoa Noa, tous réalisés sur divers papiers fins et annotés par l'artiste. C'est à partir du manuscrit illustré original de Noa Noa rapporté de Tahiti par Segalen à la mort de l'artiste en 1903 que Monfreid entreprit, dès 1904, la réalisation de cette uvre fondamentale. Il s'agit de la seconde version de ce carnet « à lire et à regarder ». Le premier manuscrit, rédigé au retour de son premier voyage et confié par Gauguin à Charles Morice en 1893 répondait à un projet différent. Gauguin n'avait composé que le texte, entrecoupé de pages blanches destinées aux poèmes de Morice. Mais, après plusieurs années sans nouvelles, celui-ci préféra publier en 1901 une version entièrement réécrite par ses soins. Gauguin recopia donc son manuscrit et l'illustra lors de son second séjour en Polynésie, de croquis, aquarelles et collages. Cet album, que l'artiste enrichit et conserva précieusement jusqu'à sa mort, est aujourd'hui au Musée d'Orsay. C'est donc d'après ce manuscrit, le seul illustré, que Monfreid composa l'édition du Noa Noa de Gauguin. Cependant, si le projet de publication de Monfreid fut précoce, il mit plus de vingt ans à le mener à bien, en partie à cause d'un conflit de droit d'auteur avec Charles Morice qui souhaitait figurer comme co-auteur de l'édition en préparation et dont les poèmes seront finalement conservés. Fruit de plusieurs années de réflexion et de travail, l'édition de 1924 se veut à la fois fidèle aux aquarelles et bois gravés illustrant le précieux manuscrit, mais également à l'ensemble de l'uvre tahitienne de Gauguin, mort dans l'indifférence. Monfreid grave ainsi plusieurs dessins du cahier original et l'enrichit de bois réalisés à partir des autres uvres dont il est le dépositaire. Certaines de ces compositions associent plusieurs peintures, tout en respectant scrupuleusement le trait de l'artiste, transformant l'ouvrage en véritable voyage à travers les uvres du peintre. Le choix même de la gravure sur bois est un hommage à cette technique prisée par Gauguin qui réalisa à Pont-Aven 10 bois pour illustrer son manuscrit entre ses deux séjours polynésiens. Les bois intermédiaires, jusqu'alors inconnus, témoignent du lent travail de composition pour restituer la richesse artistique de l'uvre de Gauguin par son plus fidèle compagnon artistique et premier défenseur : «Quand je vis Gauguin pour la première fois, je fus fortement déconcerté par les données d'art émanant de ses uvres aussi bien que des conversations de cet homme extraordinaire... En lui tout de suite on sentait le Maître » (In L'hermitage, 1903) Epreuve unique du bois gravé d'après deux uvres majeures: la fameuse femme aux mangues dont Gauguin tira lui-même une première gravure en 1898 et la grande encre bleue au centre de l'album manuscrit de Noa Noa. En rassemblant ces deux vahinés aux postures sensuelles, Monfreid opère une véritable synthèse de l'uvre de Gauguin tout en reprenant la traditionnelle double figure des tableaux de l'artiste. - Photos sur www.Edition-originale.com -
s.d. (1924), 93x78mm, autre.
Epreuve originale probablement unique de cet état intermédiaire d'un bois dessiné et gravé d'après une aquarelle de Paul Gauguin par Georges-Daniel de Monfreid. Tiragesur vergé crème fin, annotation de l'artiste au crayon en marge gauche. Bois dessiné et gravé d'après la première aquarelle du manuscrit de Noa Noa, contrecollée sur le contreplat de la reliure du célèbre album. Le bois définitifservira de tête au chapitre X de la véritable édition originale illustrée deNoa Noa, parue chez Crès en 1924, premier ouvrage illustré d'après Paul Gauguin et majestueux hommage à l'uvre de ce précurseur de l'art moderne. Superbe et importante gravure de l'uvre ouvrant le manuscrit de Paul Gauguin,gravé par son plus proche ami et exécuteur testamentaire, l'artiste Georges-Daniel de Monfreid, héritier de l'album qu'il offrira en 1927 à l'Etat Français. Cette épreuve, probablement unique, fait partie des 17 bois d'essais connus duprojet de publication précoce deNoa Noa, tous réalisés sur divers papiers fins et annotés par l'artiste. C'est à partir du manuscrit illustré original de Noa Noa rapporté de Tahiti par Segalen à la mort de l'artiste en 1903 que Monfreid entreprit, dès 1904, la réalisation de cette uvre fondamentale. Il s'agit de la seconde version de ce carnet « à lire et à regarder ». Le premier manuscrit, rédigé au retour de son premier voyage et confié par Gauguin à Charles Morice en 1893 répondait à un projet différent. Gauguin n'avait composé que le texte, entrecoupé de pages blanches destinées aux poèmes de Morice. Mais, après plusieurs années sans nouvelles, celui-ci préféra publier en 1901 une version entièrement réécrite par ses soins. Gauguin recopia donc son manuscrit et l'illustra lors de son second séjour en Polynésie, de croquis, aquarelles et collages. Cet album, que l'artiste enrichit et conserva précieusement jusqu'à sa mort, est aujourd'hui au Musée d'Orsay. C'est donc d'après ce manuscrit, le seul illustré, que Monfreid composa l'édition du Noa Noa de Gauguin. Cependant, si le projet de publication de Monfreid fut précoce, il mit plus de vingt ans à le mener à bien, en partie à cause d'un conflit de droit d'auteur avec Charles Morice qui souhaitait figurer comme co-auteur de l'édition en préparation et dont les poèmes seront finalement conservés. Fruit de plusieurs années de réflexion et de travail, l'édition de 1924 se veut à la fois fidèle aux aquarelles et bois gravés illustrant le précieux manuscrit, mais également à l'ensemble de l'uvre tahitienne de Gauguin, mort dans l'indifférence. Monfreid grave ainsi plusieurs dessins du cahier original et l'enrichit de bois réalisés à partir des autres uvres dont il est le dépositaire. Certaines de ces compositions associent plusieurs peintures, tout en respectant scrupuleusement le trait de l'artiste, transformant l'ouvrage en véritable voyage à travers les uvres du peintre. Le choix même de la gravure sur bois est un hommage à cette technique prisée par Gauguin qui réalisa à Pont-Aven 10 bois pour illustrer son manuscrit entre ses deux séjours polynésiens. Les bois intermédiaires, jusqu'alors inconnus, témoignent du lent travail de composition pour restituer la richesse artistique de l'uvre de Gauguin par son plus fidèle compagnon artistique et premier défenseur : «Quand je vis Gauguin pour la première fois, je fus fortement déconcerté par les données d'art émanant de ses uvres aussi bien que des conversations de cet homme extraordinaire... En lui tout de suite on sentait le Maître » (In L'hermitage, 1903) Epreuve unique du bois gravé d'après l'aquarelle inaugurant l'un des plus beaux albums de peintre et symbolisant l'art de vivre tahitien, entre mer nourricière et plaisirs terrestres. - Photos sur www.Edition-originale.com -
s.d. (1924), 93x78mm, autre.
Epreuve originale probablement unique de cet état intermédiaire de "Tehura", bois dessiné et gravé d'après le tableauMerahi metua no tehamanade Paul Gauguin par Georges-Daniel de Monfreid. Tiragesur vergé crème fin, annotation de l'artiste au crayon en marge gauche. Le bois définitifservira de tête au chapitre VI, Le Conteur parle, page 81 de la véritable édition originale illustrée deNoa Noa, parue chez Crès en 1924, premier ouvrage illustré d'après Paul Gauguin et majestueux hommage à l'uvre d'un des précurseurs de l'art moderne. Très important et tout premier bois du célèbre tableau de Paul Gauguin,gravé par son plus proche ami et exécuteur testamentaire, l'artiste Georges-Daniel de Monfreid, auquel Gauguin offrit cette toile après deux infructueuses expositions. Cette épreuve, probablement unique, fait partie des 17 bois d'essais connus duprojet de publication précoce deNoa Noa, tous réalisés sur divers papiers fins et annotés par l'artiste. C'est à partir du manuscrit illustré original de Noa Noa rapporté de Tahiti par Segalen à la mort de l'artiste en 1903 que Monfreid entreprit, dès 1904, la réalisation de cette uvre fondamentale. Il s'agit de la seconde version de ce carnet « à lire et à regarder ». Le premier manuscrit, rédigé au retour de son premier voyage et confié par Gauguin à Charles Morice en 1893 répondait à un projet différent. Gauguin n'avait composé que le texte, entrecoupé de pages blanches destinées aux poèmes de Morice. Mais, après plusieurs années sans nouvelles, celui-ci préféra publier en 1901 une version entièrement réécrite par ses soins. Gauguin recopia donc son manuscrit et l'illustra lors de son second séjour en Polynésie, de croquis, aquarelles et collages. Cet album, que l'artiste enrichit et conserva précieusement jusqu'à sa mort, est aujourd'hui au Musée d'Orsay. C'est donc d'après ce manuscrit, le seul illustré, que Monfreid composa l'édition du Noa Noa de Gauguin. Cependant, si le projet de publication de Monfreid fut précoce, il mit plus de vingt ans à le mener à bien, en partie à cause d'un conflit de droit d'auteur avec Charles Morice qui souhaitait figurer comme co-auteur de l'édition en préparation et dont les poèmes seront finalement conservés. Fruit de plusieurs années de réflexion et de travail, l'édition de 1924 se veut à la fois fidèle aux aquarelles et bois gravés illustrant le précieux manuscrit, mais également à l'ensemble de l'uvre tahitienne de Gauguin, mort dans l'indifférence. Monfreid grave ainsi plusieurs dessins du cahier original et l'enrichit de bois réalisés à partir des autres uvres dont il est le dépositaire. Certaines de ces compositions associent plusieurs peintures, tout en respectant scrupuleusement le trait de l'artiste, transformant l'ouvrage en véritable voyage à travers les uvres du peintre. Le choix même de la gravure sur bois est un hommage à cette technique prisée par Gauguin qui réalisa à Pont-Aven 10 bois pour illustrer son manuscrit entre ses deux séjours polynésiens. Les bois intermédiaires, jusqu'alors inconnus, témoignent du lent travail de composition pour restituer la richesse artistique de l'uvre de Gauguin par son plus fidèle compagnon artistique et premier défenseur : «Quand je vis Gauguin pour la première fois, je fus fortement déconcerté par les données d'art émanant de ses uvres aussi bien que des conversations de cet homme extraordinaire... En lui tout de suite on sentait le Maître » (In L'hermitage, 1903) Epreuve sans doute unique du bois gravé d'après le chef-d'uvre de Gauguin, Merahi metua no Tehamana, représentant l'épouse du peintre et son principal modèle tahitien. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Paris Editions Rombaldi - Collection "Les Maîtres de l'estampe française contemporaine" 1949 en feuilles, couverture rempliée, emboitage éditeur
Edition originale. Présentation de Maximilien Gauthier et suite de 10 ESTAMPES ORIGINALES d'Emile Othon FRIESZ, 3 en noir, 6 en couleurs & 8 lithographies et 2 eaux-fortes. L'artiste a également exécuté les deux lithographies en tête et cul-de-lampe du texte. Une note encartée explique : " le tirage de 7 des estampes de cet album n'était pas encore achevé lorsque survint la mort du peintre E. Othon Friesz. Il ne put malheureusement pas signer ces estampes, parmi les dernière qu'il ait faites ". 3 planches en revanche sont bien signées. Tirage limité à 100 exemplaires numérotés sur pur fil à la forme Lana. plus quelques nominatifs. ENVOI autographe signé de la femme du peintre. Bien complet de la chemise à rabats de l'éditeur. Bon 0
DU LYS. 1972. In-Folio. En feuillets. Très bon état, Couv. remarquable, Dos impeccable, Intérieur frais. Environ 50/75 pages. Nombreuses gravures, lettrines, vignettes et estampes en noir et blanc et monochromes, en hors-texte. Feuillets rangés dans une couverture souple. Emboîtage de l'éditeur sous forme de coffret avec une illustration dorée sur le 1er plat, et tissu rouge à l'intérieur.. . Sous Emboitage. . Classification Dewey : 769-Estampes
Gravées sur cuivre au burin d'épargne. La Gaieté - Le Temps - L'Instant - L'Indifférence -La Sagesse - L'Idéal - Souvenirs. Exemplaires H.C. (Hors Commerce). Classification Dewey : 769-Estampes
[s. l.] [s. n.] [1882] Eau-forte dessinée et gravée par Lucien Gautier. 23,3 x 35,5 cm hors marges ; 34 x 41,5 cm toutes marges comprises.
Tirage de l'époque sur papier beige contrecollé. Quelques piqûres sur la gravure et sur les marges. Un coin déchiré. Néanmoins belle vue de Notre-Dame de Paris et de la Seine, finement exécutée.
Genf, Skira, 1943. 8°. 91 S. Orig.-Brosch.
1 von 1010 Exemplaren.
Paris, Imp. d'Aubert et Cie., (1840 circa). 12 planches litographiées, coloriées et gommées.GAVARNI. Paris le soir. Paris, Beauger et Cie, Aubert et Cie., sans date (Ca 1840). 25 planches lithographiées, coloriées et gommées.Ensemble 1 vol. in-4, demi-basane rouge, dos lisse orné de fers romantiques (reliure de l'époque).
Deux suites complètes lithographiées sur blanc de Gavarni, le chroniqueur mondain et social du XIXe siècle, quand Daumier était son caricaturiste politique.« Au Gavarni dessinateur de modes, au talent charmant et mince de la première manière, succède le grand Gavarni de la seconde manière, qui éclate dans les mille lithographies données au Charivari de 1837 à 1848, le Gavarni des Fourberies de Femmes et des Lorettes, de la Boîte aux lettres et des Enfants terribles etc. - le Gavarni qui, comme dit Sainte-Beuve, se met à peindre, à silhouetter dans tous les sens la société à tous les étages : le monde, le demi-monde et toutes les espèces de monde ; prenant la vie de son temps, la vie moderne, par tous les bouts n’imitant rien, ne cherchant rien ailleurs, nageant en pleine eau et nous faisant nager avec lui dans le courant et le torrent des moeurs du jour - le Gavarni à la verve inépuisable qui, au-dessous d’un dessin élégant et d’un intérêt considérable parce qu’il est toujours rationnel par l’observation, inscrit ces légendes d’un comique si fin tantôt développées comme des petites scènes de comédie, tantôt condensées comme un axiome de géométrie » (Beraldi).Provenance : Bibliothèque Descamps-Scrive (ex-libris), n°497.Bel exemplaire. Quelques rousseurs n'atteignant pas les gravures dont les coloris sont d'une grande fraîcheur.Beraldi, Les Graveurs du XIXe siècle, VII, p. 52, n°112 et 113 ; Inventaire du fonds français, VIII, n°229.
[Gavarni] - Gavarni -GAVARNI [Paul, Sulpice-Guillaume Chevalier dit
Reference : 25913
(1852)
1852 [Paris], [Librairie Nouvelle, imprimerie Lemercier], sans date (vers 1852).grande feuille non rognée sur chine volant,rare
PAULIN LE CHEVALLIER Editeurs de l'Illustration rue Richelieu 60. s.d. (1857). Grand in-folio (31x 43,5 cm).broché, en feuilles sous 10 chemises Collection de 100 splendides lithographies originales de GAVARNI, tirées par LEMERCIER, lithographies en noir numérotées de 1 à 50 dans les séries PAR CI PAR LA et PHYSIONOMIES PARISIENNES , 2 suites « Masques et visages ». Edition sur grand papier,bon etat
IN FOLIO - 100 lithographies en noir ht legendées ,Beraldi V, 299. Sander 295. Vgl. Vicaire III, 955. GAVARNI (Paul Chevalier, dit), 1801-1857, est dessinateur et caricaturiste. En 1835, il crée le journal satiriste "Gens du Monde". Il saisit les attitudes de ses contemporains, lorettes, grisettes, bourgeois et pauvres gens, avec une verve inépuisable et une grande vérité d'observation. Au bas de chaque croquis de spirituelles légendes expliquent la situation et complètent la signification. C'est "Le La Bruyère des lorettes, des bals masqués et des boudoirs" (Jules Janin). La virtuosité des dessins de Gavarni est magnifiée par des légendes non moins savoureuses qu’il rédige lui-même. Les frères Goncourt, auteurs d’un livre sur leur artiste d’ami témoignent de la composition de ces dernières: «Un soir que nous parlions à Gavarni de ses légendes et que nous lui demandions comment elles lui venaient: "Toutes seules, nous dit-il ; j’attaque ma pierre sans penser à la légende, et ce sont mes personnages qui me la disent..."» (Gavarni, l’homme et l’œuvre).
1852 [Paris], [Librairie Nouvelle, imprimerie Lemercier], sans date (vers 1852).grande feuille non rognée ,Dimensions de la feuille : 38,5 x 28 cm environ Dimensions de la lithographie : 19,5 x 16 environ Papier vélin fort. Tirage sur blanc (verso blanc). rare
[DRIAN (Adrien Désiré ETIENNE dit).] - GAZETTE DU BON TON.
Reference : 17416
(1921)
Paris 1921 Pochoir signé dans la planche pour la Gazette du Bon Ton, rehauts au pochoir, 1921, 24 x 19 cm.
Cette 13e planche du deuxième numéro de la Gazette du Bon Ton de 1921, représente des costumes de mariée et de demoiselle d'honneur pour Paul Poiret. Sous l'inspiration du grand couturier, DRIAN dessine deux femmes aux tenues futuristes, qui évoque plus le music-hall que la traditionnelle robe longue. Coiffées de plumes, les jeunes femmes semblent venues d'îles lointaines. Infimes taches marginales.
32X50 cm.Editions Capon, 22 rue Brochant.
Estampe en couleurs sur vélin.
32X50 cm. Editions Capon, 22 rue Brochant.
Estampe en couleurs sur vélin.
Genf, Skira, 1943. 8°. 47 S. Abb. nach Töpffer. Orig.-Brosch.
1 von 1010 Exemplaren. Buchblock lose.
Lucien Vogel éditeur, Paris 1924-1925, 18x24,5cm, deux doubles feuillets.
Extrait original tiré de La Gazette du bon ton, illustré de huit dessins en couleurs de Geffroy. On y joint un double feuillet de texte concernant la mode d'hiver chez différents créateurs (Lanvin, Poiret, Vionnet et Worth). Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) La Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: « En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France. » («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, La Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. Très bel exemplaire. - Photos sur www.Edition-originale.com -
1923 A Paris, Chez Gaston Boutitié, 1923. Deux volumes in-quarto (234 X 283) demi-maroquin carmin à coins, dos lisse orné de deux larges caissons dorés à encadrement de filets gras et perlés, auteur, titre et tomaison dorés, date en queue, filet doré sur les plats, tête dorée, plats de la couverture et dos conservés (BERNASCONI). Craquelures sur quelques centimètres au mors supérieur du second plat du premier tome.
ÉDITION au tirage limité à 1 030 exemplaires numérotés, celui-ci un des 900 sur vélin. Ce catalogue décrit et reproduit 271 pièces qui constituent l'oeuvre gravé de l'artiste. Reproduites en phototypie, elles sont toutes présentées sous serpente légendée. Édition bilingue avec le texte français et anglais. BEL EXEMPLAIRE dans une reliure solide et décorative de BERNASCONI. TEXT BOTH IN FRENCH AND ENGLISH. NICE COPY. PICTURES AND MORE DETAILS ON REQUEST.
Phone number : 06 21 78 12 79
Chez Gaston Boutitie & Cie, éditeurs d’art, Paris, 1923.
…Deux forts volumes in-4 (22,8 x 4,5x 28,5 cm) broché, couverture souple couleur crème avec lettrage usuel imprimé en rouge sur le 1er plat et le dos. Les deux tomes annoncent sur les pages de titre ESTAMPES. Le tome 1 s'ouvre sur une introduction de Gustave GEFFROY (un journaliste, critique d'art, historien et romancier qui fut l'un des dix membres fondateurs de l'Académie Goncourt), une introduction de 6 pages, trois en français, trois en anglais. Ce tome 1 compte 141 reproductions d’estampes, en noir et blanc, bien sûr, toutes précédées d'une serpente où l'on trouve imprimées les indications relatives à chaque estampe: dimensions de l'oeuvre originale, sa nature (eaux fortes, gravures à la roulette, aquatintes), son niveau d'état (1er, 2ème,...définitif) et le nombre des épreuves tirées; le tout en français et en anglais. Le tome 1 se termine par une table des reproductions avec quelques indications de variantes et d'errata. Le tome 2 comprend 130 reproductions d'estampes , présentées exactement de la même manière que dans le premier tome et suivie in fine , d'une table des reproductions. Il s'agit, dans ces 271 estampes, au total, d'un vaste panorama social, la plupart du temps citadin, mais pas toujours (certaines estampes sont également situées dans les villages ou les campagnes profondes). Il s'agit en tout cas toujours de personnage du peuple (le petit peuple, comme on dit souvent), saisis dans des attitudes quotidiennes, la plupart du temps dans leur travail. Chaque estampe est riche de détails qui, non seulement sont d'un grand intérêt artistique mais qui encore recèlent toutes sortes de détails d'un intérêt historique et ethnologique.Auguste BROUET (1872 -1941) qui a appris son métier chez le grand graveur et imprimeur Auguste DELATTRE est un de ces très grands artistes aujourd'hui presque oubliés. Précisons bien que les 271 estampes de ce catalogue de l’oeuvre gravé de Auguste BROUET été reproduites en phototypie chez CATALA Frères, un des grands ateliers de l’époque.Nos deux tomes (tirés à 1000 exemplaires) contiennent bien la lithographie originale volante, à l’état définitif, numérotée 392 sur 1000. Ils portent le même numéro et sont en excellent état.
Winterthur, Steiner'sche Buchhandlung, 1857. 8°. 736 S. Mit 1 lithogr. Titel u. 14 lithogr. Tafeln nach Holzschnitten von E. Kretzschmar. Illustr. Halblederband.
Dritte Auflage des erstmals 1853-54 in 2 Bänden erschienenen Werks. Die Tafeln zeigen den Kampf der Länder, den Toggenburger Krieg, die Hexenverbrennung, die Folterung während des Bauernkrieges, Nikolaus von Wenge, den 2. Kappeler Krieg, den Aufstand gegen die Römer, die Schlacht bei Sempach, Wilhelm Tell, Felix Hemmerlin gen. Malleolus, die Gefangennahme Waldmanns, das Schweizermädchen, Samuel Henzi in Bern und Pestalozzi. - Seite 193 mit grösserem Einriss. Stellenweise stärker stockfleckig. Der Einband berieben.
Bern, A. Francke, 1902. 4°. 40 S. Mit 8 Kupfertafeln und 4 Textkupfer. Leinenband der Zeit.
Die Kupfer reproduziert nach den alten Vorlagen.
Genève, Bibliothèque Publique et Universitaire Genève / Imprimerie Roto-Sadag.
Reproduction au format 29.5 x 39 cm. (feuille) d'une peinture de Geissler, prix offert aux élèves des écoles primaires. Trous de punaise aux coins supérieurs.
Zürich, Orell Füssli & Comp., 1817. 12°. (8) 200 S. Mit 1 gest. Portrait, 4 gest. gef. Tafeln von F. Hegi nach C. Hackert u. G. Lory u. 1 kol. gest., gef. Karte von J. J. Scheurmann nach D. v. Escher. Illustr. Orig.-Pappbd. (leicht berieben u. bestossen).
Das Portrait zeigt Calvin, die Karte Genf u. die gefalteten Tafeln zeigen Ansichten von Genf. - Leicht gebräunt u. vereinzelt leicht stockfleckig. - Einbandrücken mit kl. Fehlstelle am Fuss.