52X33 cm.
Signé dans la planche. Imprimé sur vergé . Tiré à 500 exemplaires numérotés. Gravure coloriée au pochoir ( infimes rousseurs).
Devambez. 48X32 cm.
Signée dans la planche. Estampe en couleurs.
Devambez. 48X32 cm.
Signée dans la planche. Estampe en couleurs.
Vingt eaux-fortes par VAN OSTADE, Charles Jacque et Subercase Librairie à estampes Jules Maury & cie (sans date, vers 1870) format : 25 x 30 cm, couverture cartonnée, premier plat orné d'une gravure contrecollée, 15 pages de texte d'Arsène Houssaye suivies de 20 eaux-fortes. tiré à seulement 100 exemplaires couverture salie, manque au bas du dos, mors fendu sur 5 cm, une dédicace en page de titre sinon bon état, très bel état des eaux-fortes.
envoi en colissimo offert pour la France métropolitaine
Winterthur, C. Studer, (1838). Gef. Lithographie mit mehreren Randillustr. von Caspar Studer nach Paul J. Arter. Bildformat: 232 x 12 cm. Blattformat: 236 x 18 cm.
Illustr., kart. Orig.-Umschlag. Fusssteg mit 27 Ansichten verschiedener Ortschaften, Kirchen und Schlössern des Kantons Zürich. – Papier wenig stockfleckig und teilw. gebräunt. Pappdeckel leicht fleckig und berieben.
Zürich, Orell Füssli, 1874. Quer-Folio. IV, 19 S. (broschiert beigelegt). Mit 66 Aquatintatafeln von Paul Julius Arter. Schwarz- und goldgeprägter Orig.-Leinenbox.
Barth 18516. - Dritte Ausgabe der erstmals 1831-1837 erschienen Sammlung von Aquatintatafeln zu Salomon Vögelins Werk «Das alte Zürich historisch-topographisch dargestellt. Oder eine Wanderung durch dasselbe im Jahr 1504», erschienen 1829. Gezeigt werden u. a. Ansichten beider Ufer der Limmat, das Rathaus, die Wasserkirche, die Predigerkirche, das Ötenbachkloster, das Barfüsserkloser, der Kirchhof beim Grossmünster, der St. Peter, der Münsterhof, der Weinplatz, die Papiermühle, das Fraumünster, das Schützenhaus sowie architektonische Details, Fresken und Skulpturen. - Durchgehend etwas stockfleckig. - Die Leinenbox berieben. Mit Geschenkeintrag von Frau Dekan Tester, Horn. 1924. Vorbesitzerstempel "Lehrerbibliothek Rorschach".
[Miro, Chillida, Tapies, Giacometti] - Artistes multiples : MIRO, CALDER, TAPIES, UBAC, BURY, RIOPELLE, CHILLIDA, GIACOMETTI, etc.
Reference : 1458
(1971)
Paris, Maeght éditeur, 1971. In-folio (380 x 280 mm) en feuilles, 28 pages. DLM publié en décembre 1971, présentant de Grandes Editions Originales Illustrées et Albums. 1 LITHOGRAPHIE ORIGINALE EN COULEUR de Ubac. LITHOGRAPHIES EN COULEURS de Mirò, Calder, Ubac, Tàpies, Chillida, Giacometti, Palazuelo, Bury, Riopelle, Gardy-Artigas, Le Yaouanc, Fiedler. Tirage original.
Bel exemplaire, très bon état.
Paris Michèle Broutta 1980 In-4 carré En feuilles, sous emboitage toilé de l'éditeur
Texte liminaire de René Passeron et SUITE de 10 GRAVURE en coeleurs sur cuivre de ASSADA, chacune justifiée et signée par l'rtiste. Tirage à 115 exemplaires sur papier vélin de Rives BFK, signés par l'éditeur et l'artiste. Un des 20 premiers numérotés en chiffres romains avec une SUITE des 10 estampes en ocre et sépia, chaque planches signées et justifiées. >Bel exemplaire. TRES BON ETAT 0
Paris, Bibliothèque Nationale de France, 2002. 725 g Petit in-4 broché sous étui, 119-[1] pp.. Catalogue de l'exposition de la BNF du 26 février au 19 mai 2002. Contient un poème d'André du Bouchet et des textes de Geneviève Asse, de Marie-Cécile Miessner et de Marie-Françoise Quignard. Un des 50 exemplaires numérotés et signés au crayon par Geneviève Asse celui-ci n°1/50, accompagné d'une pointe sèche originale (21x18 cm) également numérotée 1/50, signée par l'artiste et datée au verso de 2002. . (Catégories : Arts, Gravures / Estampes, )
Paris Féquet et Baudier 1969 Gravure originale en couleurs, 53 X 33 cm. Couverture non pliée de l'ouvrage de Pierre Lecuire "Litres". Quelques plis dans la marge supérieure. (couverture seule )
Paris Féquet et Baudier 1969 Gravure originale en couleurs, 53 X 33 cm. Couverture rempliée de l'ouvrage de Pierre Lecuire "Litres". (couverture seule)
[Maurice Asselin] - Asselin, Maurice - Diehl, Gaston (préf.)
Reference : 4347
(1946)
Paris Rombaldi 1946 in-folio en feuilles Paris, Rombaldi, 1946. Coll. "Les Maîtres de l'estampe française contemporaine" (n° 4). 38,5 x 28,5 cm, in-folio, 2 ff. bl. - 7 ff. n. ch. portant 2 eaux-fortes dans le texte - 10 estampes (4 lithographies en noir, 1 lithographie en couleurs, 4 eaux-fortes, 1 pointe-sèche) toutes numérotées et signées par l'artiste à la mine de plomb et montées sous passe-partout - 3 ff. n. ch. - 3 ff. blancs, en feuilles sous couverture blanche rempliée et imprimée et portefeuille de l'éditeur.
Tirage limité à 100 exemplaires sur vélin pur fil de Lana. Celui-ci n° 83. On JOINT une autre gravure de Maurice Asselin (format in-8, signée dans la planche). Bel exemplaire. (MONOD, 584) (2,5 kg) Très bon
1929 1929. Facture 1929 H. Soyer à Remiremont Atelier électro-technique dans les Vosges
Occasion
Gravure signée au crayon et justifiée 4/ 40 ex. (42/74,5 cm) Bon état.
Lithographie - Planche HT parue dans La Caricature morale, religieuse, littéraire et scénique, volume 4, 12 juillet 1832 (Planche n°177) - Dimensions - Hauteur: 35.6cm x Largeur: 27cm - Image : Hauteur: 20.9cm xLargeur: 15.6cmInscription - Titre en bas au centre : « Nous pouvons nous vanter de l’avoir joliment gagnée, nous autres ! » ; indications, en ht au centre : « La Caricature (Journal) // (N°88.) », en ht à dte : « Pl. 177. »Inscription - Dans la lettre : « Lith. De Becquet, rue Childebert N°9. » [imprimeur], « On s’abonne chez Aubert, galerie véro dodat. » [éditeur] ; dans l’image, en bas à dte, signature : « f B… »Inscription - Sur l’affiche, au fond à dte : « AV […] [AVIS ?] »description, analyse : trois gardes nationaux se tiennent debout dans un poste de garde et se montrent leurs décorations. La pl. dénonce une partie des hommes de la garde nationale qui reçut une distinction honorifique sans même s’être battue pour réprimer les républicains. La pl. propose en effet de se moquer d’une catégorie particulière de gardes nationaux, celle qui ne s’est pas battue mais a tout de même accepté d’être décorée : « Des croix ont été distribuées aux vainqueurs ; quelques hommes d’honneur les ont refusées. D’autres ont accepté. Ceux que nous stigmatisons ici appartiennent à une troisième espèce, l’espèce parasite ; c’est celle qui ne se bat pas, mais qui demande et qui reçoit toujours les récompenses. – Fi donc ! ».
Artists like Bouchot, Gavarni, and Daumier were masters of lithography, depicting Paris life, manners, and dress with a vulgar and bawdy twist. Hand-colored lithographed plates by Bouchet are rare. Frederic Bouchot (1798-?) was a leading French lithographic caricaturist and illustrator who regularly contributed to such publications as Le Charivari, La Caricature, and Journal pour rire. He also collaborated on individually published albums with such artists as Daumier and Morin. He is known primarily for his depictions of musical subjects and domestic scenes. Remise de 20% pour toutes commandes supérieures à 200 €
Planche HT parue dans La Caricature politique, morale, littéraire et scénique, volume 7, 13 mars 1834 (Planche n°368)- LithographieHauteur: 27cmx Largeur: 35.5cm - Image: Hauteur: 20cmx Largeur: 25.8cm - Titre en bas au centre : « Le grand prix de vertu. » ; indications : en ht à gche : « La Caricature (Journal) N°175. », en ht à dte : « Pl. 368. »Inscription - Dans la lettre : « Chez Aubert, galerie véro dodat. » [éditeur], « L. de Benard. » [imprimeur]Inscription - Sur la petite tribune, inscription à l’intérieur d’une couronne de lauriers : « Aux // vertus // Civiques »
Cette pl. met en image l’idée de remettre un prix de vertu au roi. Cette idée était née dans un article du numéro 171 (13 février 1834) de "La Caricature" (p. 1363-1365). "La Caricature" a créé pour le roi l’épithète « de plus honnête homme du royaume » et propose de lui remettre le premier prix de vertu créé par Jean-Baptiste Auget de Montyon. Remise de 20% pour toutes commandes supérieures à 200 €
Attribué à Debon, François-Hippolyte (Paris, 02–12–1807 - Paris, 29–02–1872), dessinateur-lithographe- Attribué à Grandville (Nancy, 15–09–1803 - Vanves, 17–03–1847), dessinateur
Reference : 25990
(1831)
1831 La Caricature morale, religieuse, littéraire et scénique - 1831- Lithographie originale en noir sur Velin blanc,rousseurs dans les bonnes margesOeuvre:: Hauteur: 27cmx Largeur: 35.6cm - Image:: Hauteur: 22.3cmx Largeur: 27.3cm- Planche HT parue dans La Caricature morale, religieuse, littéraire et scénique, volume 2, 11 août 1831, (Planche n°82) - Titre en bas au centre : « Les Grenouilles qui demandent un roi. / De celui-ci contentons nous, / De peur d’en rencontrer un pire » ; indications, en ht au centre : « La Caricature (Journal) », en ht à dte : « N°82. » - Dans la lettre : « Lith. de Delaporte » [imprimeur], « On s’abonne chez Aubert, galerie Véro Dodat. » [éditeur] ; dans l’image, en bas à dte, date tronquée : « 183 […] » Sur le carnet tenu par la grenouille incarnant Casimir Périer, ses initiales : « C P »
Allusion à la fable de La Fontaine "Les grenouilles qui demandent un roi". Des grenouilles adorent la tête d’un roi soliveau (Louis-Philippe) directement envoyé par Dieu qu’on aperçoit en ht de la composition. Sur cette tête est assis Casimir Périer sous l’apparence d’une grenouille, acclamée par d’autres batraciens. A dte, certaines tiennent un bonnet phrygien au bout d’une tige végétale. En ht à gche, un volatile (pélican ?) assiste à la scène.Personnages représentés:Périer, Casimir; Louis-Philippe Ier, roi des Français Remise de 20% pour toutes commandes supérieures à 200 €
Attribué à Debon, François-Hippolyte (Paris, 02–12–1807 - Paris, 29–02–1872), dessinateur-lithographe- Attribué à Grandville (Nancy, 15–09–1803 - Vanves, 17–03–1847), dessinateur
Reference : 25992
(1831)
1831 La Caricature morale, religieuse, littéraire et scénique - 1831- Lithographie originale en noir sur Velin blanc,petites rousseurs dans les marges courtes du bas.Oeuvre:: Hauteur: 27cmx Largeur: 35.6cm - Image:: Hauteur: 22.3cmx Largeur: 27.3cm- Planche HT parue dans La Caricature morale, religieuse, littéraire et scénique, volume 2, 11 août 1831, (Planche n°82) - Titre en bas au centre : « Les Grenouilles qui demandent un roi. / De celui-ci contentons nous, / De peur d’en rencontrer un pire » ; indications, en ht au centre : « La Caricature (Journal) », en ht à dte : « N°82. » - Dans la lettre : « Lith. de Delaporte » [imprimeur], « On s’abonne chez Aubert, galerie Véro Dodat. » [éditeur] ; dans l’image, en bas à dte, date tronquée : « 183 […] » Sur le carnet tenu par la grenouille incarnant Casimir Périer, ses initiales : « C P »
Allusion à la fable de La Fontaine "Les grenouilles qui demandent un roi". Des grenouilles adorent la tête d’un roi soliveau (Louis-Philippe) directement envoyé par Dieu qu’on aperçoit en ht de la composition. Sur cette tête est assis Casimir Périer sous l’apparence d’une grenouille, acclamée par d’autres batraciens. A dte, certaines tiennent un bonnet phrygien au bout d’une tige végétale. En ht à gche, un volatile (pélican ?) assiste à la scène.Personnages représentés:Périer, Casimir; Louis-Philippe Ier, roi des Français Remise de 20% pour toutes commandes supérieures à 200 €
Lithographie - Planche HT parue dans La Caricature morale, religieuse, littéraire et scénique, volume 4, 10 mai 1832 (Planche n°160),pli central, - Œuvre : Hauteur: 27cmx Largeur: 35.6cm - Image : Hauteur: 20.2cmx Largeur: 27.5cm - Titre en bas au centre : « Emporté dans l’amas de ces noirs tourbillons, // Il ne voit plus du char les écarts vagabonds. » ; légende plus bas : « (Desaintonge [Saint-Ange], métamorphoses d’ovide) » ; indications, en ht au centre : « La Caricature (Journal) N°80. », en ht à dte : « Pl. 160. » - Dans la lettre : « Lith. de Becquet, rue Childebert N°9 » [imprimeur], « On s’abonne chez Aubert, galerie véro dodat » [éditeur]Inscription - Au-dessus du soleil à dte : « 27, 28, 29 » juillet 1830Description iconographique:Louis-Philippe, debout, de profil sur son char, associé à Phaëton. Les chevaux du char tombent. Les nuages noirs menacent de cacher le soleil des Trois Glorieuses. Ils entraînent dans leur chute les ministres du gouvernement. En ht à gche, le zodiaque du cancer visible à travers les nuages. La pl. compare le roi à Phaëton qui fut incapable de maîtriser le char de son père. Par ce parallèle, la pl. met ainsi en lumière l’incompétence de Louis-Philippe et de ses ministres de bien gouverner la France. Le titre est un extrait de la traduction par Ange-François Fariau de Saint-Ange des "Métamorphoses" d’Ovide.Personne / Personnage représenté:Louis-Philippe Ier, roi des Français
iconographie:Louis-Philippe, debout, de profil sur son char, associé à Phaëton. Les chevaux du char tombent. Les nuages noirs menacent de cacher le soleil des Trois Glorieuses. Ils entraînent dans leur chute les ministres du gouvernement. En ht à gche, le zodiaque du cancer visible à travers les nuages. La pl. compare le roi à Phaëton qui fut incapable de maîtriser le char de son père. Par ce parallèle, la pl. met ainsi en lumière l’incompétence de Louis-Philippe et de ses ministres de bien gouverner la France. Le titre est un extrait de la traduction par Ange-François Fariau de Saint-Ange des "Métamorphoses" d’Ovide.Personnage représenté:Louis-Philippe Ier, roi des Français Remise de 20% pour toutes commandes supérieures à 200 €
Planche HT parue dans La Caricature politique, morale, littéraire et scénique, volume 8, 4 décembre 1834 (Planche n°444)Lithographie - Oeuvre: Hauteur: 35.5cmx Largeur: 27cm - Image: Hauteur: 25cmx Largeur: 21.5cm - Titre en bas au centre : « La Baraque politique » ; indications : en ht à gche : « La Caricature (Journal) N°213 », en ht à dte : « Pl. 444. »Inscription - Dans la lettre : « Au bureau, chez Aubert, pass. Véro-Dodat. » [éditeur], « Lith : Delaunois, r. du Bouloi, 19. » [imprimeur]
Louis-Philippe apparaît en marionnettiste, derrière une toile tendue, dans le jardin des Tuileries. "Il signor Lapoire entrepreneur, y fait jouer à juste prix le grrrand combat du ministère Mortier et Rigny avec le ministère Bassano et Charles Dupin [...] Il signor Lapoire tient en réserve dans sa poche Soult, Thiers, Guizot et Persil, et l'on voit cachés dans un coin d'Argout et Barthe, marionnettes hors de service." C'est la monarchie parlementaire qui est ici dénoncée comme spectacle infantile et dérisoire, où les ministres ne sont que des pantins inertes dans les mains du roi. Cette planche s'inscrit ainsi dans la veine des caricatures précédentes inspirées par les crises ministérielles de 1834 et en particulier l'éphémère "ministère des trois jours". On peut aussi la rapprocher de la planche de Grandville "Zin ! zin ! baoun – baoun – baoun !! – zin ! baoun ! zin ! baoun ! zin – zin – zin !.......... Entrrrrrrrrrrrez, messieurrrrs et dames ! venez, venez, venez voirrrr ici dedans les grrrands sauteurrrs politiques qui font l’admirrration de tous les souverrrains de l’eurrrope c’est l’instant, c’est la minute, ça va finirrrr !" (Dessin de l'association, août 1833). L'explication reprend d'ailleurs le jeu sur les onomatopées de l'adresse aux spectateurs : "Et dzing! et dzing! et baound, baound, baound!". Plus proche encore, "Théâtre royal des marionettes", ("La Caricature", 12 octobre 1834, planche 426)) présentait déjà Louis-Philippe en manipulateur et ses ministres en marionettes. Dans le "Charivari" du 22 avril 1850, Daumier reprend le motif des "Marionnettes politiques" et en donne à voir les coulisses en adoptant comme dans "La baraque politique" un point de vue non face à la scène mais derrière le rideau. Mais en 1850, Thiers a remplacé Louis-Philippe dans le rôle du marionettiste.Personne / Personnage représenté:Thiers, Adolphe; Louis-Philippe Ier, roi des Français; Barthe, Félix; Persil, Jean-Charles; Soult, Nicolas-Jean de Dieu; Guizot, François; Argout, Antoine Maurice Apollinaire d', baron Remise de 20% pour toutes commandes supérieures à 200 €
Planche HT parue dans La Caricature morale, religieuse, littéraire et scénique, volume 4, 16 août 1832 (Planche n°190) :Lithographie - Oeuvre: Hauteur: 27cmx Largeur: 35.6cm - Image: Hauteur: 19cmx Largeur: 28.3cm - Titre en bas au centre : « LA POLICE TENAIT LE FIL DU COMPLOT. » ; légende plus bas à dte : « (Moniteur // Après toutes les émeutes) » ; indications, en ht au centre : « La Caricature (Journal) // (N°93.) », en ht à dte : « Pl. 190. »Inscription - Dans la lettre : « Lith. de Becquet, rue Childebert N°9 » [imprimeur], « On s’abonne chez Aubert Galerie véro dodat » [éditeur] ; attribution : Auguste Desperet, dessinateur lithographe ?Inscription - Sur le mur (d’un cachot vraisemblablement) à dte, inscription : « Vive La République »
Observations : cf. explication de la pl. p. 742 ; description, analyse : la pl. dénonce ici les procédés d’une certaine partie de la police qui tend des pièges à la population. Mise en image parodique de la déclaration officielle parue dans Le Moniteur (cf. titre). A gauche de la composition, au second plan, se trouvent des insurgés derrière des barricades, sur lesquels fondent des policiers à cheval. Tandis qu’à dte, au premier plan, trois membres de la police surveillent le fil au bout duquel ils ont placé des pièges, en attirant les révolutionnaires avec un bonnet phrygien posé à terre. Face au gouvernement qui se sent sans cesse être la cible de complots révolutionnaires (ou autres), cette pl. tend à penser que c’est le gouvernement même qui manipule les situations en créant un climat de suspicion.Au fond se distingue la tour Saint-Jacques. Remise de 20% pour toutes commandes supérieures à 200 €
Planche HT pârue dans La Caricature politique, morale, littéraire et scénique, volume 6, 29 août 1833 (Planche n°307)Lithographie - Hauteur: 35.8cmx Largeur: 27.3cm - Image: Hauteur: 16cmx Largeur: 18.5cmInscription - [sans titre] ; indications : en ht à gche : « La Caricature (Journal) N°147. », en ht à dte : « Pl. 307. »Inscription - Dans la lettre : « Chez Aubert, galerie véro dodat. » [éditeur], « Lith. de Becquet, rue Furstemberg N°6. » [imprimeur]Inscription - Sur le bureau sont posés le « PLAN DU FORT PHIL […] [PHILIPPE] » et un plan de « Forts Détachés » ; sur les tiroirs du secrétaire, classement des plans par ordre alphabétique : « A.B.C. », « D.E.F. », « […] [G.H.] I. » et « J.K.L. »
De dos, le roi Louis-Philippe est assis à son bureau. Il regarde le « PLAN DE PARIS » qu’il tient dans les mains. Le dossier de sa chaise est décoré d’une poire sculptée. Une petite statue de poire (sans doute en bronze) posée sur un socle sert de presse-papiers. Sous la table, des chiens viennent renifler le pied droit du roi. Il a posé son chapeau haut de forme décoré d’une cocarde tricolore à l’envers sur le bureau. Enfin, des motifs en forme de poire décorent le tapis au sol. La pl. critique la décision du gouvernement de faire construire toujours davantage de fortifications autour de Paris. Un premier projet fut présenté par Soult à la chambre des députés au début de 1833. Mais l’opposition de gche estima que ces fortifications sont plus un moyen de maîtriser les Parisiens que de défendre la France. Remise de 20% pour toutes commandes supérieures à 200 €
Attribué à Ferogio, François-Fortuné-Antoine (Marseille, 02–04–1805 - Paris, en 1888), dessinateur
Reference : 26266
(1834)
1834 Lithographie parue dans le La Caricature (Journal) N°176.- Pl. 370,pli central - Hauteur: 35.5cmx Largeur: 27cmDimensions - Image:: Hauteur: 21.5cmx Largeur: 17cm - Titre en bas au centre : « LES TROIS PARQUES » ; indications : en ht à gche : « La Caricature (Journal) N°176. », en ht à dte : « Pl. 370. » - Dans la lettre : « Chez Aubert, galerie véro dodat. » [éditeur], « Litho. de Benard » [imprimeur] ; dans l’image, en bas à dte, signature : « F. F. » Inscription - Sur l’extrêmité des manches de la robe de Louis-Philippe : « VALMY » et « […] mmapes [Jemmapes] », en référence aux combats révolutionnaires dans lesquels le roi dit s’être illustré en 1792. Ses pieds reposent sur le socle de la « Pensée // immuable ». Le trône est décoré de deux parapluies entrecroisés, d’un chapeau portant une cocarde tricolore et d’une petite poire. Cette scène se déroule au « BUREAU Central de l’Arbitraire » de la « 37e POLICE secrète »
C’est le destin de la presse d’opposition qui est mis en image dans cette pl., par le biais de la mythologie gréco-romaine. Il s’agit des Trois Parques, présidant traditionnellement au destin des hommes. Elles sont représentées ici en train de décider du sort des journaux contestant le régime. D’abord, à gche, Louis-Philippe, incarnant la Parque la moins âgée, (Clotho, ou Nona) fabrique le fil de la censure sur sa quenouille. Les réserves de fil sont contenues dans des paniers portant des inscriptions : il s’agit du fil de la « CENSURE », des « SAISIES », du […] ort [fort] St Michel », des « Procès », de l’ « interdiction », des « AMENDES » et de la « condamnation ». Ensuite Ferogio, au lieu de montrer une Parque déroulant le fil de la vie (Lachésis, ou Decima), et une troisième (Atropos, ou Morta) coupant ce dernier pour signifier la mort, a représenté Persil, armé d’une grande paire de ciseaux avec laquelle il s’apprête à découper un exemplaire du National, aidé par d’Argout. D’Argout appuie sa main gche sur un exemplaire du « […] RIVAR [CHARIVARI] » et du « POPULAIRE ». Les trois hommes politiques sont travestis en femmes. De nombreuses liasses de journaux d’opposition sont posées à dte, au premier plan. Ce sont des liasses des journaux La « CARICATURE », le « CHARIVARI », la « TRIBUNE », le « CORSAIRE ». Deux longues pl. sont déroulées sur le bureau, mais ne sont pas reconnaissables (l’une pourrait être la pl. 362-363 du numéro 172 de "La Caricature"). La pl. souligne la mise à mort souhaitée des journaux de l’opposition, et par conséquent, de la liberté d’expression, par le régime de juillet. Personnages représentés: Persil, Jean-Charles; Argout, Antoine Maurice Apollinaire d', baron; Louis-Philippe Ier, roi des Français Remise de 20% pour toutes commandes supérieures à 200 €
1834 Planche HT parue dans La Caricature politique, morale, littéraire et scénique, volume 7, 27 février 1834 (Planche n°365) - LithographieDimensions - Hauteur: 27cm x Largeur: 35.5cm - Image: Hauteur: 21.7cm x Largeur: 27.9cm - Titre en bas au centre : « On dansait au Château !!... » ; indications : en ht à gche : « La Caricature (Journal) N°173. », en ht à dte : « Pl. 365. »Inscription - Dans la lettre : « Chez Aubert, galerie véro dodat. » [éditeur], « L. de Benard. » [imprimeur]Description iconographique:La composition est clairement séparée en deux parties. La partie de dte montre un cortège funéraire en pleine rue de Paris, tandis que la partie de gche laisse le spectateur entrevoir à travers la fenêtre d’un bâtiment, certainement celui des Tuileries puisque s’y trouvent Louis-Philippe jouant du violon lors d’une réception donnée dans son palais. Aux second et arrière-plans, des gens dansent. L’auteur de cette pl. a voulu créer un contraste saisissant entre la scène de réception royale, légère et insouciante, et la scène du cortège funèbre. Le corbillard progresse dans la rue, séparé et protégé de la population par une rangée de gardes. Quelques personnes suivent le carrosse, la tête basse et le chapeau ôté. La personne que les hommes pleurent est François-Charles Dulong. Député de l’opposition, il fut tué le 30 janvier 1834 en duel par un député de la monarchie, le général Bugeaud, qui s’était senti offensé sur une question militaire (à propos de l’obéissance des membres de l’armée) lors de la séance de la chambre des députés du 16 janvier 1834. Bugeaud aurait été poussé par Louis-Philippe (plus précisément, il aurait été encouragé par un proche de Louis-Philippe, Marie-Théodore Gueilly, vicomte de Rumigny) à provoquer Dulong en duel. Les journaux défenseurs de la cause républicaine y ont vu une manière commode que le roi aurait eue pour se débarrasser d’un député de l’opposition encombrant. Ainsi, la pl. crée un contraste significatif entre l’humeur joviale et insouciante du roi et de ses convives, alors que la mort de Dulong affecte profondément une grande partie de la population. Sur le même sujet, et pour plus de détails, cf. pl. 361, du numéro 171 (13 février 1834)Personne / Personnage représenté:Louis-Philippe Ier, roi des Français
iconographiqe: La composition est clairement séparée en deux parties. La partie de dte montre un cortège funéraire en pleine rue de Paris, tandis que la partie de gche laisse le spectateur entrevoir à travers la fenêtre d’un bâtiment, certainement celui des Tuileries puisque s’y trouvent Louis-Philippe jouant du violon lors d’une réception donnée dans son palais. Aux second et arrière-plans, des gens dansent. L’auteur de cette pl. a voulu créer un contraste saisissant entre la scène de réception royale, légère et insouciante, et la scène du cortège funèbre. Le corbillard progresse dans la rue, séparé et protégé de la population par une rangée de gardes. Quelques personnes suivent le carrosse, la tête basse et le chapeau ôté. La personne que les hommes pleurent est François-Charles Dulong. Député de l’opposition, il fut tué le 30 janvier 1834 en duel par un député de la monarchie, le général Bugeaud, qui s’était senti offensé sur une question militaire (à propos de l’obéissance des membres de l’armée) lors de la séance de la chambre des députés du 16 janvier 1834. Bugeaud aurait été poussé par Louis-Philippe (plus précisément, il aurait été encouragé par un proche de Louis-Philippe, Marie-Théodore Gueilly, vicomte de Rumigny) à provoquer Dulong en duel. Les journaux défenseurs de la cause républicaine y ont vu une manière commode que le roi aurait eue pour se débarrasser d’un député de l’opposition encombrant. Ainsi, la pl. crée un contraste significatif entre l’humeur joviale et insouciante du roi et de ses convives, alors que la mort de Dulong affecte profondément une grande partie de la population. Sur le même sujet, et pour plus de détails, cf. pl. 361, du numéro 171 (13 février 1834). Personnage représenté: Louis-Philippe Ier, roi des Français Remise de 20% pour toutes commandes supérieures à 200 €