Paris, Ollendorff, 1910-1912 2 vol. in-12, VIII-334 pp. et XXI-330 pp., broché.
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Paris, Ollendorff, 1910-1912 2 vol. in-12, VIII-334 pp. et XXI-330 pp., demi-percaline bouteille (reliure de l'époque). Traits au crayon dans les marges.
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Paris, typographie de Firmin Didot frères, 1845 in-folio, [2]-18 pp. de texte, avec 12 planches lithographiées sur fond teinté, sous serpentes, broché sous couverture imprimée de l'éditeur. Couverture défraîchie, dos maladroitement renforcé.
Rare album commémoratif de manœuvres militaires commandées par Henri d'Orléans, Duc d'Aumale (1822-1897), cinquième fils de Louis-Philippe, et, de sa famille, le plus attiré par la chose militaire. A cette date, après de nombreuses opérations en Algérie depuis 1840, il était gouverneur de la province de Constantine.I. S.A.R. Mgr le Duc d'Aumale. - II. Vue générale du camp. - III. Frond de bandière du camp. - IV. Tente de S.A.R. Mgr le Duc d'Aumale. - V. Château de Saint-Médard. - VI. Campement du 1er Lanciers. - VII. Cantonnement de chasseurs. - VIII. Revue dans la lande du Tronquet. - IX. Grandes manoeuvres en avant de Martignas. - X. Garde d'honneur. - XI. Barraque du club bordelais à Saint-Médard. - XII. Bords de la Jalle (ruines).Un seul exemplaire au CCF (BnF). - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Genève, Droz, Lille, Giard, 1951 in-8, 369 pp., broché.
Il s'agit de la thèse du lexicologue Georges Matoré (1908-1998), dans laquelle est contenue en germe la méthode qu'il développera par la suite : partant du postulat que le vocabulaire d'une civilisation est révélateur de cette civilisation elle-même, il l'envisage dans une perspective historico-sociologique, où les faits de langue sont aussi des faits de société. Envoi autographe de l'auteur au doyen Georges Davy (1883-1976), professeur de sociologie à la Sorbonne. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Au Bureau de la Société des Travailleurs Réunis 1849 11 tomes. In-8, reliure de l’éditeur demi-chagrin bordeaux à coins, dos à 5 nerfs, auteur, titre et tomaison dorés, tête jaspée, 452 pp. + 13 planches - 474 + 16 - 469 + 45 + 9 - 551 + VIII + 551 + 577 ; 576 pp. + 26 planches - 495 + 15 - 535 + 13 - 500 + 6 - 512 + 4 - 447 + 10 . Importantes rousseurs ne gênant pas la lecture, planches fraîches. Assez bel ensemble en l’état.
Bon état d’occasion
Paris, Leroux, s.d. (1831) in-16, 108 pp., avec une vignette colorée au titre, et un frontispice en couleurs, toile Bradel chagrinée havane, dos lisse muet (reliure moderne). Rousseurs.
Edition originale de cette fantaisie anonyme, basée sur le célèbre Mayeux. Beaucoup d'autres tirages, avec un titre plus ou moins modifié, parurent jusque vers 1835.A l'instar de Robert Macaire inventé par Daumier, de M. Prudhomme fabriqué par Monnier, Mayeux fut créé par le dessinateur et graveur Edouard Traviès (1809-1876) à partir d'un homme de chair et d'os (un dénommé Léclaire) ; mais ces trois personnages de fiction en dépit de leurs dissemblances, forment finalement un même portrait : celui du bourgeois louis-philippard, espèce que la récente Révolution de Juillet venait de révéler au jour. Bossu avantageux et pérorant, Mayeux est affligé d'une épouse et de huit enfants ; il a sur tout un avis, comme les habitués modernes du Café du commerce, et ponctue toutes ses phrases d'un : Nom de Dieu ! très peu clérical, on doit au moins le concéder. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Paris, Plon, 1889 in-8, XV-420 pp., broché. Qqs rousseurs.
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Paris, Canel, Guyot, 1833 in-8, VII-475 pp., broché, couv. muette.
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Paris, Leneveu, 1842 in-8, 16 pp., broché. Rousseurs, petit trous de ver en marge sur certaines pages.
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depuis le retour de la Maison de Bourbon, jusqu'au 1er avril 1815. Considération sur l'état de la France à cette époque; examen de la charte constitutionnelle, de ses défectuosités, et des principes sur lesquels l'ordre social peut être recomposé. Bon exemplaire, gd in-8, 200x120, relié pleine basane époque, fendillement du mors, solide, frais, 512pp. Paris, Nicole, Egron & Delaunay, 1815 ref/141
MECKLEMBOURG-SCHWERIN (Hélène de) - Harcourt, (Paule de Saint-Aulaire, marquise Georges d')
Reference : 30305
Paris : Lévy, 1859 - in-12 demi basane dos lisse, filets, titre dorés (reliure de l'époque), 239 pages - bon état - bien relié -
Paris, Aubier, 1988 in-8, 445 pp., index, biblio., broché.
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Paris, Calmann-Lévy, 1882 2 vol. in-8, VIII-492 pp. et 464 pp., bradel papier marbré (rel. moderne).
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Paris, Calmann-Lévy, 1882 2 vol. in-8, VIII-492 pp. et 464 pp., demi-chagrin vert, dos à nerfs orné (reliure de l'époque). Infimes frottements au dos.
Prosper Ménière fut choisi pour être envoyé à Blaye comme médecin ordinaire de la duchesse de Berry durant sa détention.Ex-libris Bibliothèque de Barante. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Paris, Calmann-Lévy, 1882 2 vol. in-8, VIII-492 pp. et 464 pp., demi-chagrin vert, dos à nerfs orné (reliure de l'époque). Dos passé.
Prosper Ménière fut choisi pour être envoyé à Blaye comme médecin ordinaire de la duchesse de Berry durant sa détention. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Paris, Typographie A. Parent, 1876. In-8 de 71 pp., demi-veau blond, dos orné à nerfs, pièce de titre en maroquin noir, tranches peigne (reliure de l'époque).
Édition originale. Discours prononcé à l'ouverture de la Conférence des Avocats, le samedi 18 décembre 1875. Quelques rousseurs, dos bruni, petit manque sur la pièce de tite.
Hachette, 1939, in-12, 286 pp, broché, couv. illustrée, bon état
"Un portrait de Louis Bonaparte jeune où Mme Odette Merlat-Guitard. nous décrit la vie du futur empereur « de l'exil à l'Elysée ». Après avoir posé le problème de la naissance de Napoléon III et nous avoir laissé dans le doute devant lequel il est resté lui-même à ce sujet, elle nous montre que Louis-Napoléon Bonaparte n'avait « rien de Napoléon Ier », comme osa le lui dire avec une brutale insolence le prince Napoléon, fils du roi Jérôme. Il avait au contraire de nombreux traits de ressemblance avec sa mère, la reine Hortense : superficiel, rêveur, sensible, inconséquent et changeant comme elle... (...) Ce qu'il avait de commun avec Napoléon Ier – comme d'ailleurs avec sa mère, – c'était une sensualité se satisfaisant en des amours ausst rapides que brutales. Le roi Louis, frère de Napoléon, souffrit beaucoup de l'inconduite de la reine Hortense, dont il vécut presque tout le temps séparé, et l'impératrice Eugénie, de celle de Napoléon III. Pendant les années de sa jeunesse, qu'il passa en Italie, il mena toujours de front ses aventures amoureuses et ses intrigues politiques avec les Carbonari pour renverser le gouvernement pontitical qui lui donnait asile à luil et à toute sa famille ; il fut rappelé maintes fois à l'ordre sur ces deux chapitres par son père Louis, qui n'avait d'ailleurs aucune influence sur lui. M. Merlat-Guitard décrit en plusieurs chapitres sa vie de conspirateur en Italie quand, avec son frère .Napoléon, il prit part à l'insurrection de la Romagne contre le Pape. Il y poursuivait ces rêveries politiques qui devaient lui faire commettre tant de fautes quand il fut empereur... (...) Après la vie mondaine qu'il avait menée en Angleterre, il passa plusieurs « années de recueillement » au château d'Arenenberg, près du lac de Constance, où sa mère avait fixé sa résidence. Comme Napoléon avait commencé par être officier d'artillerie, il étudia cette arme sur laquelle il écrivit un traité en môme temps qu'il publiait un livre qu'il mtitula “Rêveries politiques”. (...) Il sortit de ce recueillement reatif pour tenter de soulever contre le gouvernement de Louis-Philippe la garnison de Strasbourg et marcher à sa tête sur Paris, comme son oncle l'avait fait à son retour de l'île d'Elbe. Mme Merlat-Guitard raconte en détail la préparation de ce coup d'Etat et aussi son lamentable échec en moins de deux heures (30 octobre 1836). Toujours débonnaire envers la reine Hortense et son fils, Louis-Philippe, au lieu d'ordonner contre le prince des poursuites, le fit expédier aux Etats-Unis où son oncle, l'ancien roi d'Espagne Joseph, refusa de le recevoir. Le séjour au Nouveau Monde déplut à Louis-Napoléon, et il se retira en Angleterre, son pays de prédilection, où il mena une vie mondaine. Londres était une ville qui pour les plus ardents au plaisir (Louis-Napoléon était de ceux-là) ne manquait pas d'attraits. Les dandys et tout ce monde un peu équivoque qui évoluent autour de Gore House et de la belle lady Blessington, accueillirent de bon cœur le prince Louis qui devint un des hôtes favoris de Gore House et un ami de l'inquiétant comte d'Orsay. En même temps, le prince, devenu, depuis la mort du duc de Reichstadt, en 1832, l'héritier de Napoléon Ier, poursuivait le rétablissement de l'Empire en écrivant une suite à ses “Rêveries”, les “Idées napoléoniennes”, qui parurent en 1839. Ce volume était à la fois un violent réquisitoire contre la Monarchie de juillet et un exposé du programme que prétendait réaliser le prince en le mettant sous le patronage de son oncte. It avait pour objet de rallier à la cause de l'Empire la bourgeoisie et les républicains et de rassurer les ouvriers. L'année 1840 fut une année difflcile pour la France et son gouvernement. La politique de Thiers en Orient, l'appui qu'il y prêta à Mehemet Ali, amena avec l'Angleterre une tension qui risquait d'amener la guerre et qui provoqua une crise ministérielle. Bonaparte crut le moment favorable pour une nouvelle tentative d'insurrection. Cette fois, il s'agissait de s'emparer du port de Boulogne avec une troupe venue d'Angleterre, puis de prendre cette ville comme base d'opérations pour une marche sur Paris. L'échauffourée de Boulogne (6 août 1840) dura moins que celle de Strasbourg : trois des conjurés furent tués, d'autres blessés ; le prince fut fait prisonnier. Cette fois on ne le lâcha pas ; avec 21 autres personnes il fut traduit devant la Cour des pairs pour « crime d'attentat à la sûreté de l'Etat » et malgré l'éloquence du grand orateur royaliste Berryer auquel il avait confié sa défense, il fut condamné ; le 9 octobre 1840, et enfermé au fort de Ham avec plusieurs de ses complices. Il y vécut plus de cinq ans jusqu'à son évasion, le 29 mai 1855, déguisé avec les vêtements d'un maçon qui s'appelait Badinguet. Moins de deux ans après, éclatait la Révolution de 1848 qui, en renversant la Monarchie de juillet et la remplaçant par la République, allait faire, de l'ancien détenu de Ham, d'abord un représentant du peuple, puis le président de la République, ce qui lui donna le moyen de préparer, cette fois avec succès, un coup d'Etat qui mit le comble à toutes ses ambitions en le portant au pouvoir d'abord comme prince président de la République, puis comme empereur. La dernière partie du livre de M. Merlat-Guitard décrit cette rapide ascension qui conduisit le fils de la reine Hortense au pouvoir suprême." (Jean Guiraud, La Croix, 26 février 1939)
Le Puy, Archives départementales, 1974 2 vol. in-8, 667 pp. et fascicule d'annexes non paginé, broché.
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Paris, Champion, 1948 in-12, 321 pp., portraits, broché.
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Paris, Champion, 1948 in-12, 321 pp., portraits, broché. Annotations et marques au crayon sur quelques pages.
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Paris, Plon-Nourrit et Cie, 1909. In-8 broché de LXXIII-420-(2) pp., index, couverture imprimée.
Première édition établie par Jean Hanotaux.
Paris, Dauvin et Fontaine, 1843. In-8 broché de VII-274 pp., couverture crème imprimée.
Édition originale. « Les embellissements de Paris entrepris dès la Restauration sacrifient le vieux tissu urbain au profit d'une conception hygiéniste de la ville. Avant l'oeuvre du préfet Haussmann, Hippolyte Meynadier, fonctionnaire affecté aux travaux de la ville, préconise l'ouverture de grandes voies qui “assainiraient ces quartiers où la moitié de la population s'élève et grandit chétive, blafarde dans l'air vicié” et qui permettraient “en partant d'un point quelconque, pour arriver à un autre, d'avoir toujours devant soi une ligne droite » (Architecture et monuments par Guillaume Le Gall, B.N.F.). Contient : Introduction au plan général d'ensemble ; Grande voies de communication et voies de deuxième ordre sur la rivre droite ; Essai sur la rive gauche ; Choix d'emplacement pour divers monuments d'utilité publique ; Monuments d'art, créations nouvelles ; Suite d'embellisements, Revue et critique ; Les moyens d'exécution - derniers aperçus. Note manuscrite à l'encre du temps sur le plat supérieur "analysé 1843".Catalogue Lacombe, 1650 ; Mareuse, 332.
Paris, Hachette, 1837. In-8 de CXXIV-452 pp., demi-veau brun, dos lisse orné (reliure de l'époque).
Édition originale du premier livre de Michelet après sa thèse publiée en 1819 (Examen de la Vie des hommes illustres de Plutarque). Rousseurs éparses. Bon exemplaire.
Première partie contenant l'École du Soldat et du Peloton d'après l'Ordonnance d'Infanterie du 4 mars 1831, la Loi sur l'Organisation de la Garde Nationale; celle sur les Attroupemens; le Service dans les postes, rondes, patrouilles, mots d'ordre, etc.;la manière de nettoyer les galons d'argent, de blanchir la buffleterie, de fabriquer la cire à giberne; la manière de la cirer, de confectionner les cartouches, de démonter et de remonter le fusil, etc., etc. Paris. Chez Anselin. 1832. In-16 (92 x 148mm) broché, couverture jaune imprimée, 211 pages. A la suite: Consigne générale pour le service des gardes dans les postes, 36 pages; 14 planches, la plupart dépliantes. Dos absent, des rousseurs souvent importantes mais exemplaire complet et solide.
Imprimerie Royale. 1845. In-f°br. 239pp. Dos un peu mangé, couverture lgt brunie mais bon état intérieur.
Etat de la Marine à cette date.