Paris, Baudry [Imprimerie de Bourgogne et Martinet], 1836 2 tomes en un vol. in-12, xi pp., 292 pp., viii pp., 287 pp., demi-basane cerise, dos lisse orné de filets et guirlandes dorés, ainsi que de fleurons à froid, plats de toile gaufrée, tranches marbrées (reliure de l'époque). Coiffes frottées, deux coins abîmés.
Edition originale rare, publiée à Paris. Une traduction française due à Cohen parut la même année chez Fournier.Frances Trollope (1779-1863), la mère d'Anthony Trollope, fut un écrivain à succès particulièrement abondant, mais ce sont spécialement ces scènes de moeurs acides et sarcastiques qui forment le meilleur de sa production. Sa popularité littéraire ne se démentit pas jusqu'à sa mort. Ses livres étaient réédités régulièrement jusque dans les années 1880, puis disparurent complètement en conséquence de l'image peu flatteuse (et injuste) que son fils Anthony laissa d'elle dans son autobiographie de 1883. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Grenoble. Baratier. 1836. In-8 (145 x 220mm) broché, couverture bleue imprimée et ornée des symboles de la justice, 1f., 97 pages. Correction manuscrite marginale. Plat de couverture en partie détaché, qq. rousseurs mais plutôt bon exemplaire, non rogné, non coupé, peut être relié.
A propos du procès des Accusés d'Avril 1835. L'auteur dénonce le laxisme de la justice.
Paris, Imprimerie Municipale, 1964 in-4, 177 pp., broché.
- - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Paris, le 20 septembre 1840. Paris. Dufart. 1840. In-8 (140 x 220mm) broché, couverture verte imprimée, 4ff.n.ch., 113 pages. Couverture un peu froissée, petit manque dans le coin supérieur gauche, qq. rousseurs sinon bon exemplaire. Cachet de la bibliothèque d'Adrien de Gasparin. Rare.
Ancien premier secrétaire d'ambassade à Constantinople, il est l'auteur entre autres de La Turquie et ses Ressources. Lors des événements de 1840, où les relations entre la France et l'Angleterre parurent si tendues, il vint à Paris et on lui reprocha d'avoir montré pour le gouvernement français une sympathie excessive. C'est de cette époque que date la publication d'une brochure fort importante, intitulée La Crise ou La France devant les quatre puissances... (Larousse XIX°).
Paris, Hivert, 1843. In-8 broché de 64 pp., 1 planche., couverture bleue imprimée.
1947 Editions Presses Universitaires de France (P.U.F.), Collection "Que Sais-Je?", n°260 - 1947 - In-12, broché - 127 p.
Bon état - Discrètes rousseurs sur le haut de la couverture et la tranche de tête
Valenciennes, A. Prignet, 1846 petit in-8, 20 pp., broché.
- - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Grenoble, Alexandre Gratier, 1887 in-16, 31 pp., broché.
Cette affaire marqua durablement la ville de Grenoble. En mars 1832, le préfet de l'Isère interdisit un bal masqué suspect d'intentions anti-gouvernementales. Une manifestation est réprimée par le premier bataillon du 35e de ligne causant de nombreux blessés. Rare. Deux exemplaires uniquement dans les collections publiques (Orléans et Grenoble). - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Paris, Chez l'Auteur, 1962 gr. in-8, XX-431 pp., index, broché. Envoi au Vicomte d'Avout.
- - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
P., Chez l'auteur, 1962, gr. in-8°, xx-432 pp, préface de Fleuriot de Langle, index, broché, bon état (Saffroy III, 34277)
"Suivant la technique qui valut à deux de ses précédents ouvrages : “Les maréchaux du 1er Empire, leur famille et leur descendance” et ”Les princes et ducs du 1er Empire non maréchaux, leur famille et leur descendance”, d’être couronnés, respectivement, par l’Académie française et l’Académie des Sciences morales et politiques, M. Joseph Valynseele, dans ce nouveau livre, nous fait connaître les officiers qui furent appelés à porter, sous la Restauration et la Monarchie de Juillet, le titre de « maréchal de France », remplaçant celui de « maréchal d’Empire » . On peut considérer que ces pages rentrent dans nos études, car dix-sept des maréchaux promus par Louis XVIII, Charles X et Louis-Philippe, ont servi sous la Révolution et sous l’Empire. Nos lecteurs n’en seront nullement étonnés. L’adhésion de ces soldats au gouvernement monarchique leur est connue, de même que le changement de climat qui, bien avant la chute et l’expulsion de la branche aînée des Bourbons, s’opéra dans l’armée. Sous prétexte de « royaliser » celle-ci, on avait, dans les premières années de la Restauration, introduit, dans les cadres et les hauts grades, l’ancienne classe privilégiée et l’émigration. Mais, avec la promulgation de la loi du 10 mars 1818, les talents et les services prirent le pas sur la faveur. Cette mesure, vraiment libérale, fut, on le sait, l’œuvre du maréchal Gouvion Saint-Cyr, à qui avait été confiée la direction des affaires militaires. Celui-ci, qui était resté, au fond, le disciple fidèle de la Révolution, dont il avait, étant jeune, embrassé les principes avec ardeur, ne rechercha pas plus les bonnes grâces des Bourbons qu’il ne s’était appliqué à se concilier celles de Napoléon. Son projet de loi sur le recrutement de l’armée était un véritable code de l’égalité militaire, qui faisait reposer l’avancement sur le principe d’ancienneté. Ces règles strictes soulevèrent, naturellement, de très vives critiques de la part des royalistes purs, qui se plaisaient encore à considérer les hautes dignités militaires comme leur propriété exclusive. Mais Gouvion Saint-Cyr sut répondre, avec son inflexible logique, et aussi son obstination bien connue, à toutes les attaques, et, traitant la question comme elle devait l’être, c’est-à-dire comme une question nationale, obtint, finalement, gain de cause. (...) Avec l’excellente méthode que nous avons caractérisée à propos de ses deux premiers volumes, M. Valynseele nous donne, avec bonne foi et sans parti pris, tout ce que nous pouvons désirer savoir sur chacun de ces maréchaux et sur sa famille : états de service, écrits, lieu de sépulture, ascendance, frères et sœurs, épouse, postérité. Il utilise, pour cela, les éléments connus, qu’il complète, très souvent, par de sérieuses et fructueuses recherches personnelles. (...) Ce solide ouvrage, qui constitue une nouvelle preuve de l’extraordinaire et féconde activité de M. Valynseele, est, par certains côtés, d’une lecture attrayante. C’est ainsi qu’il nous révèle, au passage, que tels descendants de Mouton ont Necker pour aïeul, et que d’autres sont petits-neveux de Turgot ; que l’on trouve, dans la postérité du même personnage, un pilote et officier de liaison du régiment Normandie-Niemen, décoré de l’ordre de l’Etoile Rouge ; qu’un descendant de Sébastiani s’est allié à une petite-nièce du pape Léon XIII ; que deux descendantes de Molitor se sont alliées au petit-fils de Matisse et l’arrière-petit-fils de Gounod...." (Edouard Vellay, Annales historiques de la Révolution française, 1963)
Paris, Ponce Lebas et Cie, 1838 2 vol. in-8, 550 pp. et 452 pp., demi-maroquin brun à coins, dos à nerfs, tête dorée (Rousselle). Rousseurs.
Tulard 1462 indique que ces souvenirs sont la suite des Mémoires."Les souvenirs sont consacrés, outre des retours en arrière fréquents, à son activité politique de député à partir de 1820." (Bertier, 979).Très bel exemplaire. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Paris, Hetzel, 1863. In-8 de VII-496 pp., demi-chagrin fauve, dos orné à nerfs, pièce de titre en maroquin vert (reliure de l'époque).
Édition originale. Léon Verdier est le pseudonyme d'Hermine Reynald (1828-1883).
Marseille, Olive, s.d. (1830) in-4, 4 pp., dérelié. Rousseurs.
- - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Paris, G. de Gonet, 1853-1855 6 vol. in-8, demi-chagrin brun, dos à nerfs orné (reliure de l'époque). Petits frottements au dos.
Tulard, 1476.Bertier, 986 : "Véron souhaitait devenir le mémorialiste de Paris au XIXe siècle, dans la lignée de L'Estoile et de Barbier. Rédacteur à La Quotidienne en 1828, fondateur de la Revue de Paris en 1829, il consacre près de la moitié de ses mémoires à la fin de l'Empire et à la Restauration. On y trouve de nombreux portraits d'hommes politiques ou de lettres, d'artistes, de médecins, de très nombreuses anecdotes, le tout souvent de seconde main. Ces mémoires représentent bien la mentalité de la bourgeoisie du temps. Le succès de l'ouvrage fut tel qu'il suscita aussitôt une parodie : Mémoires de Bilboquet, recueillis par un bourgeois de Paris, Paris, Librairie Nouvelle, 1854, attribuée à E. Texier." - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Paris, G. de Gonet, 1853-1855 6 vol. in-8, demi-basane aubergine, dos à nerfs orné de filets dorés (reliure de l'époque). Cachet ex-libris Château des Coudreaux. Dos décoloré.
Tulard, 1476.Bertier, 986 : "Véron souhaitait devenir le mémorialiste de Paris au XIXe siècle, dans la lignée de L'Estoile et de Barbier. Rédacteur à La Quotidienne en 1828, fondateur de la Revue de Paris en 1829, il consacre près de la moitié de ses mémoires à la fin de l'Empire et à la Restauration. On y trouve de nombreux portraits d'hommes politiques ou de lettres, d'artistes, de médecins, de très nombreuses anecdotes, le tout souvent de seconde main. Ces mémoires représentent bien la mentalité de la bourgeoisie du temps. Le succès de l'ouvrage fut tel qu'il suscita aussitôt une parodie : Mémoires de Bilboquet, recueillis par un bourgeois de Paris, Paris, Librairie Nouvelle, 1854, attribuée à E. Texier."Bon exemplaire. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Paris, G. de Gonet, 1853-1855 6 vol. in-8, demi-chagrin noir, dos à nerfs (reliure de l'époque). Mors supérieur du tome 1 fragile
Tulard, 1476.Bertier, 986 : "Véron souhaitait devenir le mémorialiste de Paris au XIXe siècle, dans la lignée de L'Estoile et de Barbier. Rédacteur à La Quotidienne en 1828, fondateur de la Revue de Paris en 1829, il consacre près de la moitié de ses mémoires à la fin de l'Empire et à la Restauration. On y trouve de nombreux portraits d'hommes politiques ou de lettres, d'artistes, de médecins, de très nombreuses anecdotes, le tout souvent de seconde main. Ces mémoires représentent bien la mentalité de la bourgeoisie du temps. Le succès de l'ouvrage fut tel qu'il suscita aussitôt une parodie : Mémoires de Bilboquet, recueillis par un bourgeois de Paris, Paris, Librairie Nouvelle, 1854, attribuée à E. Texier." - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Paris, Gabriel de Gonet, 1853-1855 . 6 vol. in-8, demi-basane fauve, dos lisse orné, pièces de titre et de tomaison en maroquin rouge (reliure de l'époque).
Édition originale. Le docteur Véron souhaitait devenir le mémorialiste de Paris au XIXe siècle dans la lignée de L'Estoile et de Barbier. Rédacteur à la Quotidienne en 1828, fondateur de la Revue de Paris en 1829, il consacra près de la moitié de ses mémoires à la fin de l'Empire et à la Restauration. On y trouve de nombreux portraits d'hommes politiques ou de lettres, d'artistes, de médecins, de très nombreuses anecdotes. La Fin De L'Empire - La Restauration - La Monarchie De Juillet - La République Jusqu'au Retablissement de L'Empire.Coiffes usées et mors fendus aux tomes I et IV, quelques rousseurs, cerne clair en coin au tome VI. Bon exemplaire. Tulard, 1476 ; Bertier, 986 ; Vicaire VII, 1019.
Paris, Librairie nouvelle, 1856-1857. 5 vol. in-12 de XII-334-(6) pp. ; (4)-403-8 pp. ; (4)-394-2 pp. ; (4)-425-(2) pp., 3 fac simile repliés ; (6)-387 pp., demi-basane verte, dos lisse orné de filets dorés (reliure de l'époque).
Deuxième édition. Véron souhaitait devenir le mémorialiste de Paris au XIXe siècle dans la lignée de L'Estoile et de Barbier. Rédacteur à la Quotidienne en 1828, fondateur de la Revue de Paris en 1829, il consacra près de la moitié de ses mémoires à la fin de l'Empire et à la Restauration. On y trouve de nombreux portraits d'hommes politiques ou de lettres, d'artistes, de médecins, de très nombreuses anecdotes. La Fin De L'Empire - La Restauration - La Monarchie De Juillet - La République Jusqu'au Rétablissement de L'Empire. 3 fac-similés dépliants (tome 4). Rousseurs. Tulard, 1476 ; Bertier, 986 ; Vicaire VII, 1020.
Paris, Gabriel de Gonet, 1853-1855 . 6 vol. in-8, demi-veau olive, dos orné à nerfs (reliure de l'époque).
Édition originale. Véron souhaitait devenir le mémorialiste de Paris au XIXe siècle dans la lignée de L'Estoile et de Barbier. Rédacteur à la Quotidienne en 1828, fondateur de la Revue de Paris en 1829, il consacra près de la moitié de ses mémoires à la fin de l'Empire et à la Restauration. On y trouve de nombreux portraits d'hommes politiques ou de lettres, d'artistes, de médecins, de très nombreuses anecdotes. La fin de l'Empire - La Restauration - La Monarchie de Juillet - La République jusqu'au rétablissement de l'Empire. Quelques pâles rousseurs, sinon bel exemplaire.Tulard, 1476 ; Bertier, 986 ; Vicaire VII, 1019.
Paris. Sagnier et Bray. 1847. In-8 (134 x 215mm) dos lisse basane violine, filets or, 2ff.n.ch., VIII, 500 pages. Des rousseurs mais assez bon exemplaire, bien relié.
P., Rivière, 1952, fort in-8°, xix-700 pp, 20 pl. hors texte (dont 6 cartes dépliantes in-fine), broché, bon état
"L'histoire normande bénéficie d'un copieux et remarquable apport, d'une véritable mine, grâce à la publication de M. Vidalenc. Tout ce qui a trait à l'histoire de ce département de l'Eure pendant près d'un demi-siècle a été traité par l'auteur. Le domaine exploré correspond exactement aux soucis de l'historien moderne, tels que le premier numéro des Annales de Normandie les a définis : composition du champ politique, économique, social, culturel, et non pas de façon « historisante », « événementielle », mais bien « structurale ». L'auteur a prouvé son aisance à manier les techniques les plus variées, il a fourni un exemple saisissant des exigences d'une histoire intégrale. En particulier, l'histoire économique et sociale est excellente pour la métallurgie. Il reste hors de doute que ce travail est une somme indispensable à tout Normand curieux du proche passé. C'est une source abondante et sûre, comportant un appareil critique et bibliographique favorisant la consultation des sources et les comparaisons avec l'histoire des autres régions de Normandie." (Marcel Reinhard, Annales de Normandie, 1953) — "Un département français sous la monarchie constitutionnelle. Dans sa thèse récente, l'auteur a étudié dans un département moyen, outre la vie politique, religieuse et intellectuelle, la vie économique et sociale précisément. Observons tout d'abord que l'Eure n'a pas eu de journal départemental avant 1838 ! M. Vidalenc passe donc en revue les classes dirigeantes, l'évolution agricole, le développement industriel, les échanges et les voies de communications. (...) A une histoire de la province française dans la première moitié du XIXe siècle, l'ouvrage apporte donc une contribution précieuse." (Paul Leuilliot, Annales ESC, 1953)
Paris, Michel Lévy frères, 1860-1878. 20 vol. in-8 demi-chagrin brun, dos à nerfs (reliure de l'époque).
Un des meilleurs "classique" pour cette période. Très bon exemplaire.
Paris, Amiot-Dumont, 1955 in-8, 354 pp., index, broché.
Bertier, 991. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Paris, Devarenne, 1852 in-8, 358 pp., demi-chagrin vert, dos à nerfs orné de filets dorés, chiffre en queue (rel. de l'époque).
- - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Paris, , Le Normant , 1819. In-8 de 246-4 pp., 1 plan replié. Exemplaire truffé d’un frontispice gravé par Dambrun d’après Queverdo : Minerve tient sur un autel un livre ouvert ayant pour titre : "Télémaque", Tu longe sequere (…)[DESLYONS (baron)]. Réflexions sur la conduite de l'Armée qui vient d'être licenciée par suite des événements de mars 1815. Paris, Petit, 1816. In-8 de (2)-136 pp.CHATEAUBRIAND (François René, vicomte de). Réflexions Politiques sur quelques écrits du jour et sur les intérêts de tous les Français. Paris, Le Normant, 1814. In-8 de (6)-145 pp.3 pièces reliées en 1 vol. in-8, demi-basane brune, dos lisse orné, pièce de titre noire, tranches jaspées (reliure de l'époque).
1. Édition originale de la première partie seule, publiée en 1819 illustrée d'un Plan de l'affaire qui eut lieu sur la falaise de Quiberon tandis que la carte annoncée dans le titre n'a pu être fournie selon un "Avis aux lecteurs" relié in fine. Une seconde partie parut trois ans plus tard (1822). Louis-Gabriel de Villeneuve-Laroche-Barnaud, rescapé de Quiberon, aurait dès son retour à Londres en 1795, réuni des notes sur ce désastre militaire, mises en forme par Joseph Bocous, ou Boccuci (1772-1835). Rousseurs. Fierro, 1477 : « C'est un témoignage intéressant sur l'Affaire de Quiberon ».2. Édition originale. Trace de mouillure sur les quatre premiers feuillets. Quérard, II, 518.3. Édition originale publiée en réaction au pamphlet de Carnot qui visait en 1814 la nouvelle monarchie. « Un des meilleurs écrits politiques de Chateaubriand qui définit notamment avec netteté l'état de la société française et prêche pour la réconciliation nationale » (Benoît Yvert).