Paris, Firmin Didot, janvier 1821 in-8, XXIV-205 pp., broché sous couverture d'attente de papier bleu.
Réunie à Troppau (aujourd'hui Opava, en Tchéquie) au niveau des ambassadeurs des puissances absolutistes (Prusse, Autriche, Russie), cette conférence internationale qui se déroula du 20 octobre au 30 novembre 1820, avait pour principal objet la situation intérieure de l'Italie, traversée de troubles révolutionnaires, et spécialement l'instauration d'une monarchie constitutionnelle dans le royaume des Deux-Siciles. Ajournée, elle se poursuivit par la conférence de Laybach (26 janvier - 12 mai 1821), réunie cette fois-ci au niveau des souverains. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Plon, 1905, 2 vol. in-8°, 489 et 464 pp, broché, dos recollé, C. de bibl., état correct. Rare
Tome 2 seul (sur 2), par l'ancien ambassadeur de France à Rome. — "M. A. Billot, directeur politique au quai d'Orsay pendant le ministère de Jules Ferry, ambassadeur à Lisbonne de 1886 à 1890, fut appelé par Spuller, le 8 mars 1890, à l'ambassade de Rome. Il la dirigea jusqu'en février 1898. (...) M. B. n'a pas étudié seulement les relations des deux pays, mais tous les événements qui, pendant les années troubles, ont pu avoir une influence sur ces relations. (...) La politique intérieure de l'Italie, le régime crispinien, les débats des Chambres italiennes y occupent une place considérable. Toute l'entreprise d'Abyssinie y est retracée depuis l'établissement des Italiens à Massouah, en janvier 1885, jusqu'au désastre d'Adua du 1er mars 1896, et au traité de paix avec Ménélik du 26 octobre 1897. (...) Les deux tiers du second volume sont consacrés à la guerre d'Abyssinie, qui, en entraînant la chute du régime crispinien, rendit l'entente possible, à la négociation et à l'analyse des conventions, et à la politique concertée de la France et de l'Italie pendant les affaires de Crète." (P. Muret, Revue d'histoire moderne et contemporaine, 1906)
Paris Plon 1883. 2vol in-8 broché XXXIX 425 VIII 453pp. Couvertures abîmées.
Correspondance publiée en français d'après l'édition allemande de M. Poschinger sous la direction et avec une préface de Th. Funck-Brentano.
P., Ollendorff, 1885, in-12, x-338 pp, mention de 2e édition, traduction française par E.-B. Lang, reliure demi-basane fauve mordorée, dos à 5 nerfs soulignés à froid, auteur et titre dorés (rel. de l'époque), qqs marques au crayon en marges, bon état
Rome, 17 juin 1816 in-4, 2 pp. 1/3
«Je ne vous pas de tous les regrets que j’ai eu de ne point accompagner Madame la Duchesse de Berry. Maintenant que vous la connaissez vous pouvez en juger… Dans le moment où j’écris et vous êtes auprès d’elle. Je vous en félicite de tout mon cœur».Blacas, alors ambassadeur à Rome, négocia le mariage du duc de Berry avec Marie-Caroline de Bourbon-Siciles.Provenance: Archives Lévis. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Paris Perrin et Cie 1914. Petit in-8 broché faux-titre, titre VI-XII 2-222pp. Orné de 3 cartes réunies sur 1 planche dépliante. Dos de la couverture taché avec petits manques de papier en bordure, quelques pâles et rares rousseurs. Exemplaire solide et complet.
Les premières relations de Wallis avec la France, la déposition du Roi Sosefo Tokila, le règne de Soane Batita, la demande d'annexion, les avantages et les inconvénients de l'annexion.
Vatican, Libreria Editrice Vaticana 1965, 240x170mm, XVII - 552pages, broché. Nom de possesseur.
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P., Les Editions internationales, 1955, gr. in-8°, 287 pp, biblio, broché, bon état. Peu courant
"Après une analyse générale des relations franco-britanniques au cours de la période 1871-1878, l'auteur présente une étude fouillée de différents problèmes qui se sont posés dans ce cadre. Le jugement d'ensemble sur la diplomatie française de cette période qui clôt l'ouvrage est assez critique. On notera l'accent mis sur le caractère nouveau que commencent à prendre au cours de la période étudiée les relations internationales : importance croissante de l'opinion publique, déplacement du centre d'intérêt de la politique mondiale vers les régions d'outre-mer, apparition au premier plan des problèmes économiques et sociaux." (Revue française de science politique, 1956)
Hachette, 1892, fort in-8°, viii-586 pp, 18 cartes en couleurs hors texte et 5 diagrammes, index, reliure demi-basane havane, dos à nerfs, titres dorés, couv. conservées (rel. de l'époque), bon exemplaire sans rousseurs
London, Rich & Cowan, 1939, in-8°, 319 pp, un portrait en frontispice, cart. éditeur (légèrement taché, sans la jaquette)
Traduit de l’allemand par M.SCHMALZ.In 8 broché,faux-titre, titre,II,304 pages(marquée par erreur 237)Grandes marges, non coupé.Chez N.Maze 1813.Edition originale de la traduction française.Quelques taches,principalement en marges,en fin de volume,en croissant de la page 286 à la fin,sinon bon exemplaire.etc.Il na pas été réimprimé Peu courant
"L’auteur était conseiller du roi de Prusse et professeur de droit public à Berlin.L’ouvrage traite du droit européen sous le rapport de la diplomatie,du commerce,du droit maritime, des alliances et de la neutralité, etc."
Paris, Plon-Nourrit et Cie, 1906 in-8, CXXVIII-198 pp., broché. Manque le second plat de couv. Qqs rousseurs.
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1974 Editions Klincksieck, Paris - 1974 - In-4, broché, couverture illustrée - 476 pages
Bon état - Couverture légèrement frottée - Bas de la tranche taché - Un tampon "défraîchi" sur la dernière page
Paris, 1850 petit in-8, 1 pp. sur double feuille.
Correspondance du 15 août 1850 par laquelle le Prince Napoléon, fils de Jérôme demande de faire parvenir "une lettre pour Cernuschi". Elle est sans doute adressée à Madame Cornu qui lui servait d'intermédiaire avec M. Cernuschi.D'une famille d'industriels milanais, Henri Cernuschi (1821-1896) avait défendu l'idée de l'unité italienne au sein d'une fédération. Réfugié en France, il est contraint à l'exil suite à son opposition au plébiscite de Louis-Napoléon. Il est un des fondateurs de la Banque de Paris, futur Paribas.Fils cadet de Jérôme Bonaparte, le "prince Napoléon" (1821-1891) est une figure importante de la famille impériale, proche de la société italienne par son mariage avec Clotilde de Savoie, fille de Victor-Emmauel. Il incarnait l'aile gauche du bonapartisme, de tendance républicaine et franchement anti-cléricale. Après la mort du Prince Impérial, il est désigné comme le chef de file du parti sous le nom de Napoléon V.Surnommé "Plon-Plon", il avait l'habitude de signer Napoléon (Jérôme). Il signe ici "Na. Bonaparte". - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Paris Paulin 1839. In-8 2 feuillets non chiffrés faux-titre et titre VI-VIII (table, préface) 1 feuillet non chiffré 4-266pp. Cartonnage de papier ocellé bleu bradel postérieur, pièce de titre noire. Quelques rares et pâles rousseurs par endroits. Bel exemplaire complet, bien relié (reliure postérieure soignée et en bon état). Intéressante défense de la mémoire de Napléon 1er par son neveu.
Des gouvernements en général, idées générales, questions intérieures (organisation, administrative, judiciaire, enseignement), question étrangère (bienfaits apportés aux peuples, Italie, Suisse, Allemagne, Westphalie, Pologne, Espagne), buts de Napoléon (association européenne), cause de la chute.
Paris ADP 1960. In-8 broché couverture illustrée 99pp. Avec quelques ilustrations hors texte.
(2329)
Cologne, 1668 in-12, 89 pp., maroquin cerise à long grain, dos à nerfs cloisonné et fleuronné, encadrement de triple filet doré sur les plats, simple filet doré sur les coupes, encadrement de guirlandes, filets et pointillé dorés sur les contreplats (Thibaron-Joly).
Très rare recueil de documents sur la diplomatie pontificale en faveur de l'Espagne après même la fin de la guerre entre Philippe IV et Louis XIV.La pièce principale de ce recueil est formée par le Discorso di Monsignore Bonelli, nuntio in Madrid, fatto al Rè Catolico (...) sopra la lega proposta dal Papa a Sua Maestà catolica contra la Francia (pp. 3-21), avec, à la suite la réponse de Stefano di Chemarra (pp. 21-60).Carlo Bonelli (1612-1676), parent du pape Pie V, avait été nommé par Alexandre VII nonce ordinaire près la Cour de Madrid en octobre 1656, mais il ne fut reconnu officiellement qu'en juillet 1658. C'est en 1663, c'est-à-dire en plein conflit entre le Saint-Siège et la France (Affaire de la Garde corse), que Bonelli fut chargé de proposer à Philippe IV une alliance contre le royaume de Louis XIV, destinée à protéger la Curie des ingérences gallicanes et à maintenir le statu quo territorial en Italie. Cette ouverture fut très mal prise du côté espagnol, et le diplomate connut là le moment le plus humiliant de sa carrière, avant d'être rappelé à Rome en 1665. Le chapeau cardinalice récompensa ses efforts pourtant infructueux.Bel exemplaire.Exemplaire du médecin et anthropologue Georges Montandon (1879-1944), avec vignette ex-libris contrecollée sur les premières gardes. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Paris, Leroux, 1894 gr. in-8, LXXVIII-287 pp., portrait et 2 pl. h. t. dt 1 sur double page, demi-vélin ivoire (reliure de l'époque). Ex-libris Bibliothèque de M. de Barante.
Importante publication sur une ambassade française à Constantinople à la fin du règne de Louis XIV. L'introduction constitue une véritable histoire diplomatique des relations entre la France et l'Empire Ottoman au début du XVIIIe siècle.Rare. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Paris, Ernest Leroux, 1894 in-8, LXXVIII-287 pp., 3 planches dont 1 dépliante, broché. Petits manques à la couverture, la planche dépliante est coupée en deux.
Importante publication sur une ambassade française à Constantinople à la fin du règne de Louis XIV. L'introduction constitue une véritable histoire diplomatique des relations entre la France et l'Empire Ottoman au début du XVIIIe siècle.Rare. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
In-8, broché, couverture factice, XI, 452 p., non coupé. Paris, A. Savaète, 1912.
Phone number : 33 01 47 07 40 60
P., Perrin, 1902, in-8, XXIII+514pp broché, dos sali avec étiquette
Paris, Fayard, 1961 in-8, 519 pp., demi-basane mirabelle, dos à nerfs, premier plat de couverture conservé. Dos passé. Un index dactylographié ajouté en fin de volume.
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Genève, Constant Bourquin, 1946. In-8, broché, hors-texte.
Bel exemplaire. [10277]
Genève, Editions du Cheval Ailé, 1948, in-8°, 433 pp, 8 pl. de photos hors texte, broché, bon état (Défense de la Paix, II)
"Avec beaucoup de force et de conviction, G. B. retrace dans ses mémoires son combat pour la paix. Doit-on juger un homme à l'échec de sa politique ? Evitant les justifications reconstruites, G. B. présente un document historique sur la fin de la Troisième République." (Revue française de science politique) — "Ministre des Affaires étrangères d'avril 1938 à septembre 1939, M. Georges Bonnet présente avec une grande loyauté la politique extérieure de la France durant cette période critique. Il apporte ainsi une contribution essentielle à l'histoire des origines du deuxième conflit mondial. Plus que le récit d'un historien : ses souvenirs personnels sont appuyés et complétés par la documentation qu'il avait pu sauvegarder, alors que tant d'archives officielles disparaissaient." (Pierre Genevey, Politique étrangère)
Fayard, 1962, in-8°, 519 pp, broché, bon état (Coll. Les Grandes études contemporaines)
"Quand un historien se double d’un homme d’État, son analyse du passé prend un singulier intérêt. En effet, abordant l’histoire en connaissant les dessous des grandes affaires, les passions, les calculs qui se cachent derrière toute négociation, il peut nous en donner une vue plus nuancée, plus large et plus humaine. A tous ceux qui veulent savoir ce que sont les traités de Versailles, Locarno, Munich, Yalta, Potsdam, etc. il apporte une série de notions claires qui expliquent notre monde contemporain. Tout ce récit est d’une lecture vivante. Rien ne traîne. Le style est clair et alerte, l’ouvrage fortement composé. En 1924, Georges Bonnet entre dans la vie publique ; en 1938, l’Élysée l'appelle pour former le Gouvernement. Deux mois plus tard, Hitler prend l’Autriche. Après ce coup, la panique règne. On l’appelle au Quai d’Orsay. Puis c’est le voyage de George VI ; la crise tchécoslovaque. Enfin Munich et l’accueil délirant de Paris et de la France. Mais le ministre ne cache pas son pessimisme ; la guerre est seulement retardée, il faut réarmer précipitamment. Alors, c’est la tragique année 1939. Hitler entre à Prague, la France négocie avec l’URSS, mais le 23 août, Molotov signe avec Hitler. Georges Bonnet fait réunir le Comité de la Défense Nationale. Le Généralissime répond “L’armée est prête”. Ce sont les dernières journées avant l’invasion de la Pologne. Les lecteurs découvrent ses conversations téléphoniques avec Ciano, les ministres anglais, puis avec l’Ambassadeur qui porte la déclaration de guerre à Hitler. Ensuite, c’est la défaite, l’effort de la France pour la surmonter... (...) C’est toute une longue période de notre passé, replacée au milieu des événements internationaux, que Georges Bonnet a racontée en enrichissant le récit de l’historien de l’expérience de l’homme d’action." (L'Editeur) — "L'étude ne commence réellement qu'en 1919 : il s'agit en fait d'une esquisse d'histoire diplomatique, assortie d'un plaidoyer pro domo que prononce l'ancien ministre des affaires étrangères à propos de Munich. L'auteur ne ménage pas ses accusations contre l'Union soviétique, les Etats-Unis et la Grande-Bretagne, responsables de l'isolement de la France – après comme avant la seconde guerre mondiale." (Revue française de science politique, 1961)