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‎Louis SAVOT‎

Reference : 37892

(1627)

‎Discours sur les medalles antiques. Divisé en quatre parties. Esquelles il est traicté si les medalles antiques estoient monnoyes : de leur matiere : de leur poids : de leur prix : de la valeur [...]‎

‎Chez Sebastien Cramoisy | à Paris 1627 | 16.50 x 24 cm | relié‎


‎Edition originale, assez rare. Marque de l'imprimeur en page de titre. Reliure en plein veau blond glacé d'époque. Dos à nerfs richement orné. Pièce de titre en maroquin rouge. Triple filet d'encadrement sur les plats. Roulette sur les coupes et intérieure. Tranches dorées. Mors fendus avec divers manques en queue et tête. Coiffes élimées. Manques entre le nerf et la pièce de titre. Cahiers assez jaunis. Coins émoussés. Reliure de qualité comportant de nombreux défauts, mais encore de belle tenue. Etude fort intéressante qui se distingue dans ce domaine par son intérêt quant à la matière et à la valeur des médailles et monnaies, alors que la grande majorité des études s'occupent essentiellement des effigies et figures. Elle se fait très précise et érudite sur les divers alliages de plomb et d'étain, et d'or, chez les romains en particulier, sur l'emploi des monnaies et le système sur lequel elles reposent. L'approche de l'ouvrage est donc beaucoup plus archéologique que la plupart des ouvrages sur le domaine, comparant, reconstituant, tant à partir des différentes monnaies connues que de la littérature sur le domaine. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

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Phone number : 01 56 08 08 85

EUR750.00 (€750.00 )

‎Louis SCUTENAIRE‎

Reference : 58341

(1976)

‎La fidélité des images. - René Magritte. - Le cinématographe et la photographie‎

‎Editions Lebeer Hossmann | Bruxelles 1976 | 14 x 19 cm | broché‎


‎Edition originale. Ouvrage illustré dephotographies. Agréable exemplaire. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

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Phone number : 01 56 08 08 85

EUR50.00 (€50.00 )

‎Louis SCUTENAIRE‎

Reference : 58163

(1962)

‎Le monument de la guenon - In Temps mêlés N°56‎

‎Temps mêlés | Verviers 1962 | 11.50 x 16.50 cm | broché‎


‎Edition originale, un des 300 exemplaires, seul tirage après 25 exemplaires numérotés. Dos muet décoloré, sinon agréable exemplaire complet de son feuillet de supplément. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

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Phone number : 01 56 08 08 85

EUR40.00 (€40.00 )

‎Louis SCUTENAIRE‎

Reference : 20561

(1945)

‎Les degrés‎

‎Fontaine | Paris 1945 | 11.50 x 14 cm | broché‎


‎Edition originale, un des 25 exemplaires hors commerce sur papier vert, tirage de tête avec 25 Arches. Couverture illustré par Mario Prassinos. Marges très légèrement et marginalement éclaircies sans gravité. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

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Phone number : 01 56 08 08 85

EUR200.00 (€200.00 )

‎Louis Scutenaire sous le pseudonyme de Jean Scutenaire.‎

Reference : 3948

(1977)

‎La Santé.‎

‎ Bruxelles, Belgique, Editions Brassa, 1977. In-8 agrafé, non paginé, au format 16 x 21 cm. Couverture crème, rempliée, muettes, avec petite tache pâle et légères traces d'insolation. Cahier composé de collages - mots et images - et de textes inventés, dédiés à Irène Hamoir, épouse et muse de l'auteur. Certains textes sont imprimés en deux ou trois couleurs et tous sont accompagnés d'un portrait en regard. Tirage imprimée sur couché, après 50 exemplaires numérotés et signés sur vergé. Edition originale, de ce texte rédigé en 1933, sous le nom Jean Scutenaire, et resté inédit.‎


‎ Vente exclusivement par correspondance. Le libraire ne reçoit, exceptionnellement que sur rendez-vous. Il est préférable de téléphoner avant tout déplacement.Forfait de port pour un livre 8,50 €, sauf si épaisseur supérieure à 3 cm ou valeur supérieure ou égale à 100 €, dans ce cas expédition obligatoire au tarif Colissimo en vigueur. A partir de 2 livres envoi en colissimo obligatoire. Port à la charge de l'acheteur pour le reste du monde.Les Chèques ne sont plus acceptés.Pour destinations extra-planétaire s'adresser à la NASA.Membre du Syndicat Lusitanien Amateurs Morues‎

Phone number : 06 80 26 72 20

EUR35.00 (€35.00 )

‎[Louis SILVY]‎

Reference : 78254

(1832)

‎Relation concernant les évènemens qui sont arrivés à Thomas Martin, laboureur à Gallardon, en Beauce, dans les premiers mois de 1816. Nouvelle édition revue et augmentée de plusieurs lettres du sieur Martin écrites en 1821 sur de nouvelles apparitions, avec un exposé de plusieurs autres qui lui sont arrivées en 1830.‎

‎L.- F Hivert | Paris 1832 | 14 x 22.50 cm | relié‎


‎Edtion en partie originale. Ecrit sous le pseudonymePar M. S***, ancien magistrat. Reliure à la bradel en demi percaline bleue, dos lisse orné d'un fleuron doré et de doubles filets dorés, pièce de titre de maroquin havane, couvertures avec larges manques restaurés conservées. Importante anecdote historique ayant défrayé la chronique de l'époque et qui eut ensuite de nombeuses répercusssions sur les convictions religieuses, historiques et spirites au cours du siècle. Thomas Martin, paysan sans éducation, reçut la visite de l'archange Raphaël qui lui ordonna de rapporter au roi Louis XVIII que son neveu Louis XVII est vivant ainsi que diverses autres prophéties et conseils pour restaurer l'équilibre du Royaume au lendemain des cent jours et à la veille des trois glorieuses puis de l'insurrection de 1832. Cette histoire de paysan reçu par le roi de France et lui constetant sa légitimité sur la foi d'une apparition divine est un véritablerenversement du pouvoir divin, délégué ici au plus humble représentant du peuple mais visant un retour à l'Ancien Régime et une reconnaissance du pouvoir éclesiastique. Cette aventure, dont la première édition est contemporaine de l'événement, ne cessa de s'enrichir de nouvelles anecdotes, comme en témoigne cette nouvelle édition augmentée des dernières apparitions, plus de 15 ans après les faits. Mais au delà du fait étonnant, mais semble-t-il véridique, d'un roi acceptant de recevoir les conseils d'un laboureur, l'affaire Thomas Martin servira également de source aux Naundorfistes et aux adeptes d'une science occulte s'apprétant à faire son apparition dans la société : le spiritisme. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

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Phone number : 01 56 08 08 85

EUR200.00 (€200.00 )

‎Louis SIMOND‎

Reference : 58681

(1828)

‎Voyage en Italie et en Sicile‎

‎A. Sautelet et Compagnie | Paris 1828 | 13.50 x 21.50 cm | 2 tomes en un volume relié‎


‎Edition originale, illustrée de 2 figures in-texte et deux hors-texte (répétés), ainsi que d'un tableau (mouvement de la population dans la ville de Rome). Reliure en demi veau glacé noisette d'époque. Dos à faux nerfs orné de filets gras et maigres, à froid et à chaud, roulette en queue et tête. Pièce de titre de chagrin noir. Traces de frottements. Brunissures éparses, notamment en page de titre, puis essentiellement dans les marges, mais de manière erratique. Un petit manque au mors inférieur en queue. Bel exemplaire. Voyage qui commence au lac majeur de Duomo d'Ossola, petite ville sur la frontière italienne en 1817 et s'achève en 1818 à Suze, près de Turin. Outre l'intérêt du voyage en Sicile et sur l'Etna, à Pompéi et Herculanum, l'ensemble du voyage brille de certaines résonnances politiques, puisqu'il fut fait au lendemain de l'Empire et à l'aube des révolutions italiennes. Nombreuses descriptions en rapport aux beaux-arts, intérêt pour le pittoresque et l'anecdote (chapitre sur les mendiants et les voleurs de grand chemin en Italie). - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

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EUR450.00 (€450.00 )

‎Louis SOULAJON‎

Reference : 62916

(1890)

‎Les cohortes de la Légion d'Honneur (1802-1809). Législation, monographies‎

‎Librairie militaire de L. Baudoin & Cie | Paris 1890 | 15.50 x 24.50 cm | relié‎


‎Edition originale. Reliure en demi basane bordeaux, dos lisse décoloré et éclairci orné de doubles filets dorés comportant de petites éraflures sans gravité, plats de papier marbré, gardes et contreplats de papier à la cuve, trois accrocs sur les coupes, reliure de l'époque. Quelques rousseurs, ex-dono à la plume d'un précédent possesseur sur une garde. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

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Phone number : 01 56 08 08 85

EUR230.00 (€230.00 )

‎Louis SOULLIÉ‎

Reference : 11673

(1896)

‎Les ventes de tableaux, dessins et objets d'art au XIXème siècle, essai de bibliographie‎

‎Librairie des catalogues de ventes L. Soullié | Paris 1896 | 14.50 x 22.50 cm | broché‎


‎Edition originale imprimée à petit nombre. Un manque en tête du dos, sinon bel et rare exemplaire. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

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EUR120.00 (€120.00 )

‎Louis STRIMPL‎

Reference : 54524

(1913)

‎Giboulée. Robes d'après-midi de Doeuillet (pl.7, in La Gazette du Bon ton, 1912-1913 n°6)‎

‎Lucien Vogel éditeur | Paris Avril 1913 | 19 x 24.50 cm | une feuille‎


‎Estampe originale en couleur, rehaussée au palladium, tirée sur papier vergé et signée en bas à gauche dans la planche. Gravure originale réalisée pour l'illustration deLa Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) La Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: « En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France. » («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, La Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

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EUR80.00 (€80.00 )

‎Louis STRIMPL‎

Reference : 84695

(1914)

‎La Fumée noire. Robe du soir de Redfern (pl.29, La Gazette du Bon ton, 1914 n°3)‎

‎Lucien Vogel éditeur | Paris Mars 1914 | 19 x 24.50 cm | une feuille‎


‎Estampe originale en couleur, tirée sur papier vergé, signée en bas à droite de la planche. Gravure originaleréalisée pour l'illustration deLa Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: «En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France.» («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

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‎Louis STRIMPL‎

Reference : 89449

(1914)

‎La Fumée noire. Robe du soir de Redfern (pl.29, La Gazette du Bon ton, 1914 n°3)‎

‎Paris Mars 1914 | 19 x 24.50 cm | une feuille‎


‎Estampe originale en couleur, tirée sur papier vergé, signée en bas à droite de la planche. Gravure originaleréalisée pour l'illustration deLa Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. * Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: «En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France.» («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

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EUR100.00 (€100.00 )

‎Louis STRIMPL‎

Reference : 89399

(1913)

‎Le Bel Eté. Robe de lingerie pour la campagne (pl.3, La Gazette du Bon ton, 1913 n°9)‎

‎Lucien Vogel éditeur | Paris Juillet 1913 | 19 x 24.50 cm | une feuille‎


‎Estampe originale en couleur, tirée sur papier vergé, signée en bas à droite dans la planche. Gravure originaleréalisée pour l'illustration deLa gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. * Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: «En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France.» («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

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‎Louis STRIMPL‎

Reference : 43190

(1913)

‎Le Bel été. Robe de lingerie pour la campagne. (La Gazette du Bon ton, n°9. Année 1913 - Planche III )‎

‎Lucien Vogel éditeur | Paris 1913 | 19.50 x 25 cm | une feuille‎


‎Estampe originale en couleur tirée sur papier vergé, signée en bas à droite dans la planche. Gravure originaleréalisée pour l'illustration deLa Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: «En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France.» («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

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‎Louis STRIMPL‎

Reference : 54615

(1914)

‎L'Encens, le cinname et la myrrhe (pl.1, La Gazette du Bon ton, 1914 n°1)‎

‎Lucien Vogel éditeur | Paris Janvier 1914 | 36.50 x 24 cm | une feuille‎


‎Estampe double originale en couleur rehaussée à l'or, tirée sur papier vergé, signée en bas à gauche de la planche. Gravure originaleréalisée pour l'illustration deLa Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: «En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France.» («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

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‎Louis STRIMPL‎

Reference : 84689

(1914)

‎L'Encens, le cinname et la myrrhe (pl.1, La Gazette du Bon ton, 1914 n°1)‎

‎Lucien Vogel éditeur | Paris Janvier 1914 | 36.50 x 24 cm | une feuille‎


‎Estampe double originale en couleur rehaussée à l'or, tirée sur papier vergé, signée en bas à gauche de la planche. Gravure originaleréalisée pour l'illustration deLa Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: «En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France.» («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

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‎Louis STRIMPL‎

Reference : 89464

(1914)

‎L'Encens, le cinname et la myrrhe (pl.1, La Gazette du Bon ton, 1914 n°1)‎

‎Paris Janvier 1914 | 36.50 x 24 cm | une feuille‎


‎Estampe double originale en couleur rehaussée à l'or, tirée sur papier vergé, signée en bas à gauche de la planche. Gravure originaleréalisée pour l'illustration deLa Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. * Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: «En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France.» («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

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‎Louis STRIMPL‎

Reference : 89511

(1913)

‎Le Vase brisé. Robe d'intérieur (pl.3, La Gazette du Bon ton, 1913 n°12)‎

‎Paris Octobre 1913 | 19 x 24.50 cm | une feuille‎


‎Estampe originale en couleur, tirée sur papier vergé, signée en bas à gauche de la planche. Gravure originaleréalisée pour l'illustration deLa Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. * Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: «En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France.» («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

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‎Louis STRIMPL - (John REDFERN)‎

Reference : 89463

(1914)

‎Le Frisson nouveau. Robe de tango de Redfern (pl.20, La Gazette du Bon ton, 1914 n°2)‎

‎Paris Février 1914 | 19 x 24.50 cm | une feuille‎


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‎Louis-Sébastien LE NAIN DE TILLEMONT‎

Reference : 64407

(1732)

‎Histoire des empereurs, et des autres princes qui ont régné durant les six premiers siècles de l'eglise, de leurs guerres contre les Juifs, des écivains profanes, & des personnes les plus illustres de leur temps‎

‎Chez François Pitteri | Venise 1732 - 1739 | 20.50 x 28 cm | 6 volumes reliés‎


‎Première édition vénitienne, après l'originale parue à Paris de 1690 à 1701 pour les cinq premiers volumes, 1738 pour le sixième volume posthume publié sur le manuscrit de l'auteur. 6 vignettes de titre signées Cattini. Reliure italienne en plein velin d'époque. Dos lisse janséniste. Pièces de titre en maroquin beige. Des salissures sur les dos et taches diverses sur les plats. Très bel ensemble en velin sur beau papier chiffon parfaitement frais. Cette histoire des empereurs, somme biographique de tous les empereurs et grands princes des six premiers siècles sans distinction entre l'orient et l'occident, valut à l'auteur janséniste sa réputation et son influence durable en tant qu'historien. Ce pourquoi il fut critiqué de son temps lui assura un avenir fécond, à savoir un style simple, dépourvu d'affèteries ou de fioriture, car Le Nain s'adressait aux érudits et non au grand public, une méthode fondée sur l'utilisation de matériaux historiques fiables, c'est à direvalidés par un examen scrupuleux et des principes de critique historique ; cependant il avoue lui-même que pour séparer les vraies informations des fausses, il se base sur son expérience. En contrepoint de cette histoire des empereurs, et de tous les empereurs, l'auteur ne perd jamais de vue celle des juifs et du christianisme, qui est pour lui le fil directeur, le vrai sens de l'Histoire. Le Nain de Tillemont connut très tôt sa vocation d'historien, et rassembla dès l'âge de 18 ans la matière historique qui lui permit la rédaction à la fin de sa vie de cet ouvrage. Les nombreuses notes et tables clarifient la vaste somme de connaissances contenue dans les six tomes. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

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‎Louis-Sébastien MERCIER‎

Reference : 15550

(1782)

‎La destruction de la ligue, ou la réduction de Paris, pièce nationale en quatre actes‎

‎S. n. | à Amsterdam 1782 | 19 x 12 cm | broché‎


‎Edition originale. Broché, recouvert d'un papier crème. Traces de colle sur le faux titre, la couverture étant détachée. Cette pièce est un des premiers exemples de drame historique. Elle fut écrite dans un souci d'enseignement des erreurs du passé. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

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‎Louis-Sébastien MERCIER‎

Reference : 82188

(1774)

‎L'an deux mille quatre cent quarante‎

‎S. n. | Londres 1774 | 11.50 x 19.50 cm | relié‎


‎Nouvelle édition de cette utopie littéraire publiée anonymement et qui compte parmi les tous premiers ouvrages d'anticipation. Gardes partiellement ombrées, quelques petites rousseurs sans gravité en début et fin de volume. Reliure en demi basane aubergine, dos lisse éclairci orné de triples filets dorés, plats de cartonnage marbré. Exemplaire légèrement gauchi. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

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‎Louis-Sébastien Mercier ‎

Reference : LB45

(1772)

‎L'An Deux Mille Quatre Cent Quarante. Rêve s'il en fût jamais, Londres 1772‎

‎in-8° plein veau restauré, ex-libris Caminade de Castres l'aîné collé sur le contre-plat , gardes colorées , 416 p. , une feuille blanche, gardes colorées. ‎


‎Célèbre texte contre le despotisme, critique virulente de l'Ancien régime [p.312 , note a : Pourquoi les François ne pourroient-ils soutenir le gouvernement républicain ?]. Les notes en bas de page ne sont pas les moins intéressantes : p.327 note a : Dois-je rappeler ici la nuit horrible du 30 mars 1770 ? Elle accusera éternellement notre police , qui favorise uniquement les riches , qui protège le luxe barbare des voitures... s'il ne sort pas de cet accident épouvantable une ordonnance sévère qui rende au citoyen l'usage du pavé sans encombre, qu'espérer d'autres maux plus enracinés et plus difficiles à guérir ? Louis-Sébatien Mercier fait ici allusion à la catastrophe du 30 mai [et non mars] 1770 qui fit 132 morts à Paris [Mercier dit 800] à l'occasion d'un feu d'artifice donné pour le mariage de Louis XVI et Marie-Antoinette . Une fusée avait incendié une partie du décor et la foule ne put fuir que par la rue royale, les autres étant obstruées par les carrosses. Cette édition de 1772 pose question : il est fort probable que ce puisse être un reliquat de l'édition originale (1771) auquel on aurait ajouté un I à la date pour les écouler sous prétexte d'une nouvelle édition [M DCC LXXII au lieu de M DCC LXXI ] Caminade de Castres l'aîné est vraisemblablement Claude-Olivier Caminade de Castres, fils de Jean Caminade de Castres [banquier à Paris] et Marie-Anne de Chalopin. Né en février 1745, il fut maître des requêtes du comte d'Artois. Son frère, Marc-Antoine de Caminade de Castres, banquier et grammairien, était né en 1746. Sa date de décès est inconnue, mais il se maria en 1773 et en 1789. ‎

L'ARTISAN BIBLIO-PHIL - Verrières-le-Buisson

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EUR400.00 (€400.00 )

‎Louis-Sébastien MERCIER - DESFORGES‎

Reference : 15419

(1774)

‎Le vindicatif. Le déserteur. Jenneval. La piété filiale. Tom Jones. Richard et Derlet‎

‎Chez Phillipot Jean-Florent Baour | Bordeaux et Toulouse 1774 -1784 | 20 x 13 cm | relié‎


‎Recueil de diverses pièces, contenant, de Mercier : Le Vindicatif (date correspondant au privilège 1774), Le déserteur (1770), Jenneval (1783), et de Desforges : La piété filiiale (1784), Richard et Derlet (1779), Tom Jones (tiré du roman de Fielding 1783). Reliure en pleine basane d'époque brune marbrée et granitée, tranches marbrées, dos à nerfs orné. un accroc avec manque au mors inférieur sur le premier plat, légères épidermures. Bon état d'ensemble du papier, mais tâches d'humidité sur les premiers feuillets. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

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‎Louis TERNIER‎

Reference : 52129

(1922)

‎La sauvagine en France‎

‎1922 | 17 x 25.50 cm | broché‎


‎Nouvelle édition illustrée de 125 gravures d'après nature. Contributions de E. Thivier et M. Moisand. Une petite déchirure en pied du dos, traces de pliures angulaires sur les plats, agréable exemplaire. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

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