Duculot (imp.) 1985 in8. 1985. Broché. illustré en noir et blanc
Bon état intérieur frais bords un peu frottés
Paris Pro Amici 1962 1 vol. relié plaquette in-16, bradel éditeur de toile orange, dos lisse muet, nom de l'auteur et tire en lettres dorées sur le premier plat avec filet doré en encadrement, étui noir, 35 pp. Edition originale. Avant-propos de Pierre Varenne et Alfred Diard. Tirage unique à 50 exemplaires numérotés sur vélin d'Arches pur chiffon. En bonne condition. La découverte par Colette en 1909 de la vente des droits des Claudine aux éditeurs fut à l’origine d’une querelle littéraire et matrimoniale qui alimenta la presse et l’édition pendant plus de vingt ans. Chaque partie avait ses défenseurs et ses tribunes, les proches étaient sommés de choisir leur camp et tous les coups étaient permis: menaces, chantages, procès, insultes… Le premier avait été donné par Willy, Colette le lui rend dès le mois de mars. Elle menace de porter à la connaissance de la justice des lettres compromettantes de Mme de Serres dans un procès qui opposait Willy à son ancienne maîtresse. Forte de ce moyen de pression, Colette obtient un premier accord concernant la signature des Claudine, qui paraîtront désormais sous leurs deux noms. L’année suivante, apprenant qu’une opérette tirée de Claudine va être montée au Moulin-Rouge, elle saisit la SACD, menace, réclame et obtient la moitié des droits et son nom sur l’affiche. La partie ne fait que commencer. Le second coup vient de Colette qui dans La Vagabonde fait de Willy l’odieux et félon Adolphe de Taillandy. La réplique de l’intéressé arrive, un an plus tard, et prend la forme de deux romans: le premier Lélie fumeuse d’opium, signé Willy et dû aux bons soins de Paul-Jean Toulet, où Colette apparaît sous les traits de Bastienne de Bize, un temps appelée la baronne Gousse de Bize, «épaisse, sa taille courte roulant sur des hanches évoquant la gourde plutôt que l’amphore», puis dans Les Imprudences de Peggy, signé Meg Villars et «traduit» par Willy où apparaît Vivette Wailly qui «s’acoquina publiquement à une vieille morphinomane qui s’habillait en homme, la baronne de Louviers.» Attentif à ces différentes passes d’armes, Jules Marchand, directeur de la revue Sur la Riviera propose à Willy de dire sa vérité. L’ancienne gloire des années 1900 avait alors perdu la plupart de ses collaborations journalistiques et faisait face à d’importants problèmes d’argent, dus notamment à sa manie du jeu. De décembre 1920 à février 1921, il s’acquitte de sa tâche depuis Monte-Carlo en inscrivant sur les premières pages des quatre Claudine sa version de la genèse et des personnages. Savait-il alors que Marchand débuterait, moins de quinze jours après sa mort, la publication de ces commentaires ? Il a emporté ce secret dans la tombe. Publié du 25 janvier au 15 février sous le titre «Willyana», il n’est pas certain que ces textes aient redoré son image si on en juge par la somme de calembours d’un goût douteux et de remarques fielleuses, voire ordurières, à l’égard des personnages, telle Olympe Terrain, l’institutrice de Colette devenue Mlle Sergent: «La directrice, Mlle Terrain, forniquait assidûment avec Merlou, quoique très laide, car elle avait des économies qu’appréciait ce poisson besogneux»… Le dernier mot revint à Colette qui en publiant, en 1936, Mes apprentissages, sous-titre «Ce que Claudine n’a pas dit», enterra définitivement Willy et cette période de sa vie. Les commentaires de Willy furent repris, sans doute à l’initiative de Pierre Varenne et d’Alfred Diard qui préfacent l’ouvrage, sous le titre Indiscrétions et commentaires sur les Claudine par le librairie Auguste Blaizot qui les publia en cette petite plaquette tirée à 50 exemplaires: «Allons-nous condamner l’un et gracier l’autre, alors que les deux qui nous sont différemment aussi chers, se sont rendus coupables de perversité, de méchanceté et de mauvaise foi, pour ne pas dire plus, à l’égard l’un de l’autre? Mais ne devons-nous pas tenir compte aussi du bien qu’ils se sont fait mutuellement? Sans Willy, Colette fût-elle devenue l’incomparable styliste qui fait honneur aux lettres françaises? Sans Colette et les Claudine dont elle fut la mère si Willy en fut le père, celui-ci eut-il connu la période la plus prestigieuse de sa vie?» Plaquette très recherchée. (Notice de Frédéric Maget pour le catalogue de la collection Colette des Clarac)
Sté d'éditions et de publications parisiennes | Paris s. d. [circa 1910] | 12 x 18.50 cm | relié
Edition originale de la traduction française établie par Willy dont il n'est pas fait mention de grands papiers. Couverture illustrée d'une sanguine de Garnier Salbreux. Reliure en demi chagrin marron, dos lisse décoloré et orné de cartouches dorés, plats de papier marbré, gardes et contreplats de papier à la cuve, couvertures conservées, tête dorée, ex-libris gravé de Walter Furst encollé sur un contreplat. Envoi autographe daté et signé de Meg Villars, qui fut la maîtresse de Willy alors que celui-ci était marié à Colette, à Walter Furst enrichi d'un envoi autographe signé de Willy. Les deux envois sont rédigés en anglais et effectués sur la couverture illustrée. Notre exemplaire est également agrémenté d'une carte postale photographique, encollée sur une garde, représentant les auteurs sur laquelle Willy s'est fendu d'un nouvel envoi autographe daté et signé à Walter Furst : "... exilé à Bruxelles...", rédigé à Bruxelles et comportant aussi la signature manuscrite de Meg Villars. Enfin, trois cartes postales photographiques représentant Willy tout seul pour la première, puis Willy et Polaire pour la seconde et Willy et Claudine pour la dernière ont été montées sur onglets entre les pages 156-157, 264-265 et 294-295. Sur chacune des trois cartes postales photographiques, Willy s'est fendu d'un envoi autographe signé ou de quelques mots à l'adresse de Walter Furst. Unique exemplaire joliment enrichi de documents manuscrits. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
Phone number : 01 56 08 08 85
Dhouailly et Cie, Paris, 2001.
Un portfolio (55 x 41 cm) de couleur noire et à rabats de couleur rouge. Avec, sur le 1er plat, la signature du photographe WILLY RONIS agrandie (en lettres blanches) ainsi que son nom en caractères d’imprimerie, en rouge. Willy RONIS (1910-2009) est considéré comme un des Maîtres de la Photographie Humaniste française, à l’égal des plus grands. Ce portfolio comprend, dans cette version, 12 héliogravures choisies par Willy RONIS parmi ses clichés originaux selon l’ordre chronologique entre 1948 et 1994. _Après avoir été choisies ces photos ont été reproduites sur plaques de cuivre par le procédé de l’héliogravure au grain (résine) et ces plaques ont ensuite été pressées par le moyen d’une presse à bras sur un papier d’une grand qualité, le Hahnemühle, avec une encre spéciale. Précisons que les héliogravures ainsi obtenues sont toutes uniques. Elles sont comparables à des estampes puisqu’elles ont été encrées et pressées une à une, contrairement à ce qui se passe pour l’héliogravure industrielle. Signalons aussi que ce procédé de l’héliogravure au grain est le plus ancien des procédés de reproduction d’images photographiques. Il a été inventé au 19ème siècle par NIÉPCE et perfectionné par William Henri-Fox TALBOT (1841), Charles NÈGRE (1855), NIEPCE de SAINT-VICTOR (1856), Edouard BALDUS (1869) et Karl KLIC (1878). Les hélios de cette version à 12 hélios sont les suivantes : Carrefour Sèvres-Babylone (1948), Avenue Simon Bolivar (1950), Quai de Conti (1956), Champigny sur Marne (1957), La Péniche aux enfants ((1959), Quai de Montebello (1964), L’Isle-sur-la-Sorgue (1979), Pluie sur Beaubourg (1981), Les Feuilles mortes (1988), La Chevelure (1790), Valmorel, 1992, Marseille (1994). Toutes sont protégées par une serpente. A côté des 12 hélios que contient ce portfolio, il faut signaler la présence de 19 feuillets de texte imprimés à l’ancienne et en version bilingue (français-anglais, recto-verso). Il s’agit en particulier d’un avant-propos de l’éditeur, d’une brève biographie de Willy RONIS, d’une Introduction écrite par celui-ci, de 12 pages de commentaires également rédigés de sa main relatant les circonstances dans lesquelles chaque photo a été prise, d’un justificatif avec la signature de Willy RONIS (avec le numéro de l’exemplaire), d’une liste des héliogravures et enfin d’une page mentionnant les noms des collaborateurs et le dépôt légal (2001). Le présent portfolio, dont les 12 hélios ont été pressées directement sur Hahnemühle, est l’un des 10 venant après les 10 du tirage de tête dont les hélios ont été pressées, elles, sur Tosawashi, papier japonais. Chacune des 12 hélios est signée par Willy RONIS.Exemplaire en PARFAIT ETAT.
Dhouailly et Cie, Paris, 2001
Un portfolio (55 x 41 cm) de couleur noire et à rabats de couleur rouge. Avec, sur le 1er plat, la signature du photographe WILLY RONIS agrandie (en lettres blanches) ainsi que son nom en caractères d’imprimerie, en rouge. Willy RONIS (1910-2009) est considéré comme un des Maîtres de la Photographie Humaniste française, à l’égal des plus grands. Ce portfolio comprend 12 héliogravures choisies par Willy RONIS parmi ses clichés originaux selon l’ordre chronologique, entre 1948 et 1994. Après avoir été choisies ces photos ont été été reproduites sur plaques de cuivre par le procédé de l’héliogravure au grain (de résine) et ces plaques ont ensuite été pressées par le moyen d’une presse à bras sur un papier de haute qualité (ici le Tosawashi encollé sur du Hahnemühle) avec une encre spéciale. Les héliogravures ainsi obtenues sont toutes uniques. Elles sont comparables à des estampes puisqu’elles ont été encrées et pressées une par une, contrairement à ce qui se passe pour l’héliogravure industrielle. (Précisons que ce procédé de l’héliogravure au grain est le plus ancien des procédés de reproduction d’images photographiques. Il a été inventé au 19ème siècle par NIÉPCE et perfectionné par William Henri-Fox TALBOT (1841), Charles NÈGRE (1855), NiÉPCE de SAINT-VICTOR (1856), Edouard BALDUS (1869) et Karl KLIC (1878)).Les hélios de cette version à 12 hélios sont les suivantes : Carrefour Sèvres-Babylone (1948), Avenue Simon Bolivar (1950), Quai de Conti (1956), Champigny sur Marne (1957), La Péniche aux enfants ((1959), Quai de Montebello (1964), L’Isle-sur-la-Sorgue (1979), Pluie sur Beaubourg (1981), Les Feuilles mortes (1988), La Chevelure (1790), Valmorel, 1992, Marseille (1994). Toutes sont protégées par une serpente.A côté des 12 hélios que contient ce portfolio, il faut signaler la présence de 19 feuillets de texte, imprimés à l’ancienne et en version bilingue (français-anglais, recto-verso). Il s’agit en particulier d’un avant-propos de l’éditeur, d’une brève biographie de Willy RONIS, d’une Introduction écrite par celui-ci, de 12 pages de commentaires également rédigés de sa main relatant les circonstances dans lesquelles chaque photo a été prise, d’un justificatif, d’une liste des héliogravures et enfin d’une page mentionnant les noms des collaborateurs et le dépôt légal (2001).Précisons que le tirage total de cette édition a été limité à 130 portfolios (après l’impression desquels les plaques de cuivre ont été détruites) et que seuls les 20 premiers contiennent 12 hélios , qui sont toutes signées par le photographe.Précisons également que, sur les 20 portfolios de tête, seuls les 10 premiers (dont le présent exemplaire) contiennent des hélios spécialement pressées sur Tosawashi, un papier japonais extrêmement fin encollé sur un support d’Hahnemühle. Le Tosawashi avait été choisi dans le but de rendre au mieux les nuances de gris les plus fines des photos de Willy RONIS.Et notre exemplaire, qui porte le N°9 présente la signature manuscrite de Willy RONIS au colophon, comme chacun d’ailleurs des 130 portfolios de cette édition. Il est en PARFAIT ETAT.
Sté d'éditions et de publications parisiennes | Paris s. d. [circa 1910] | 12 x 19 cm | broché
Édition originale de la traduction française établie par Willy dont il n'est pas fait mention de grands papiers. Important et superbe envoi de Meg Villars, qui fut la maîtresse de Willy alors que celui-ci était marié à Colette, à la vicomtesse Jeanne de Bellune «pour mon amie Jeannot de Bellune / en souvenirs de plaisirs (qu'on ose à peine qualifier de champêtres) partagés à Monte-Carlo...» Couverture illustrée d'une sanguine de Garnier Salbreux. Meg Villars, de son vrai nom Marguerite Maniez commença à fréquenter Willy en 1906 et l'épousa en 1911. Après la rupture entre ce dernier et Colette, Jeanne de Bellune continua à fréquenter Willy et sa nouvelle femme, rapportant leurs frasques à son amie bourguignonne. «Willy osa même faire signer un livre à Meg, Les Imprudences de Peggy, 'traduction de Willy', où Colette est persiflée en Vivette Wailly, à la vie emplie de coucheries stériles [...], avec des «prêtresses de Sapho» des plus débauchées et infidèles, finissant sa vie en soûlarde dans son château de Bretagne avec une vieille qui a les traits de Missy. Goujaterie supplémentaire, Meg envoie le livre dédicacé à la vicomtesse Jeanne de Bellune, dite «Jeannot», l'une des lesbiennes les plus cocasses de Paris, également amie de Colette.» (La Vie sexuelle des écrivains, publié sous la direction de Gilles Bouley-Franchitti, 2006) Précieux exemplaire, d'une exceptionnelle provenance et relatant la relation tumultueuse de Colette et Willy dans le Paris du début de siècle. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
Phone number : 01 56 08 08 85
Dhouailly et Cie, Paris, 2001.
Un portfolio (55 x 41 cm) de couleur noire et à rabats de couleur rouge. Avec, sur le 1er plat, la signature du photographe WILLY RONIS agrandie (en lettres blanches) ainsi que son nom en caractères d’imprimerie, en rouge. Ce portfolio comprend dans cette version 10 héliogravures choisies par Willy RONIS parmi ses clichés originaux selon l’ordre chronologique entre 1948 et 1990. Willy RONIS (1910-2009) est considéré comme un des Maîtres de la Photographie Humaniste française, à l’égal des plus grands. Après avoir été choisies, ces photos ont été reproduites sur plaques de cuivre par le procédé de l’héliogravure au grain (de résine) et ces plaques ont ensuite été pressées par le moyen d’une presse à bras sur un papier de haute qualité, le Hahnemühle, avec une encre spéciale. Les héliogravures ainsi obtenues sont toutes uniques. Elles sont comme des estampes, puisqu’elles ont été encrées et pressées une par une, contrairement à ce qui se passe pour l’héliogravure industrielle. (Précisons que ce procédé de l’héliogravure au grain est le plus ancien des procédés de reproduction d’images photographiques. Il a été inventé au 19ème siècle par NIÉPCE et perfectionné par William Henri-Fox TALBOT (1841), Charles NÈGRE (1855), NIÉPCE de SAINT-VICTOR (1856), Edouard BALDUS (1869) et Karl KLIC (1878).Les hélios de cette version à 10 hélios sont les suivantes : Carrefour Sèvres-Babylone (1948), Avenue Simon Bolivar (1950), Quai de Conti (1956), Champigny sur Marne (1957), La Péniche aux enfants ((1959), Quai de Montebello (1964), L’Isle-sur-la-Sorgue (1979), Pluie sur Beaubourg (1981), Les Feuilles mortes (1988), La Chevelure (1790). Elles sont toutes protégées par une serpente et précédées d’un commentaire rédigé par Willy RONIS en français et en anglais sur les circonstances dans lesquelles le cliché initial a été pris.Précisons qu’il s’agit ici d’un des 130 portfolios de l’édition unique de 2001 après laquelle les plaques de cuivre ont été détruites. Sur ces 130 portfolios, après les 20 premiers (qui contiennent 12 hélios et sont donc numérotés de 1 à 20) , les 110 suivants ne contiennent que 10 hélios, ce qui est le cas du présent portfolio ,Ce portfolio, comme chacun des 120 exemplairss, se termine par un page justificative avec le numéro de l'exemplaires et la signature manuscrite de Willy RONIS. Notre exemplaire est en PARFAIT ÉTAT.
Dhouailly et Cie, Paris, 2001
Un portfolio (55 x 41 cm) de couleur noire et à rabats de couleur rouge. Avec, sur le 1er plat, la signature du photographe WILLY RONIS agrandie (en lettres blanches) ainsi que son nom en caractères d’imprimerie, en rouge. Willy RONIS (1910-2009) est considéré comme un des Maîtres de la Photographie Humaniste française, à l’égal des plus grands. Ce portfolio comprend, dans cette version, 10 héliogravures choisies par Willy RONIS parmi ses clichés originaux selon l’ordre chronologique entre 1948 et 1990. Après avoir été choisies, ces photos ont été reproduites sur des plaques de cuivre par le procédé de l’héliogravure au grain (de résine) et ces plaques ont ensuite été pressées par le moyen d’une presse à bras sur un papier particulièrement tendre (ici le Hahnemühle) et avec une encre spéciale. Les héliogravures ainsi obtenues sont toutes uniques. Elles sont comparables à des estampes puisque non seulement elles ont été encrées et pressées une par une, contrairement à ce qui se passe pour l’héliogravure industrielle, mais encore parce queles plaques de cuivre héliogravées on été détruites à la fin d el’impression.. (Signalons que ce procédé de l’héliogravure au grain est le plus ancien des procédés de reproduction d’images photographiques. Il a été inventé au 19 ème siècle par NIÉPCE et perfectionné par William Henri-Fox TALBOT (1841), Charles NÈGRE (1855), NIÉPCE de SAINT-VICTOR (1856), Edouard BALDUS (1869) et Karl KLIC (1878)). Les 10 hélios de cette version sont les suivantes : Carrefour Sèvres-Babylone (1948), Avenue Simon Bolivar (1950), Quai de Conti (1956), Champigny sur Marne (1957), La Péniche aux enfants (1959), Quai de Montebello (1964), L’Isle-sur-la-Sorgue (1979), Pluie sur Beaubourg (1981), Les Feuilles mortes (1988), La Chevelure (1790). Elles sont toutes protégées par une serpente et accompagnées , sur une page ne rehard, d’un commentaire rédigé par Willy RONIS en français et en anglais sur les circonstances dans lesquelles le cliché initial a été pris.Précisons que le présent porte portfolio fait partie des 30 qui viennent juste après le tirage de tête (constitué, lui, d’exemplaires à 12 heliogravures). Chacun de ces trente contient une hélio signée par Willy Ronis, qui a également apposé sa signature au colophon, comme c’est le cas pour chacun des 130 exemplaires qui constituent l’édition totale de cet ouvrage.Notre exemplaire est en PARFAIT ÉTAT.
1904 Paris, Nilsson; Per Lamm, [1904]. IN8 broche,tres illustre, 8vo, pp. 256, with photographic illustrations throughout; with the original illustrated wrappers and spine bound in. First edition. Willy posed for the numerous photographic illustrations himself, together with Marcel Boulestin and Marcelle Rossat, and Colette"s famous bull-dog Toby-Chien ENVOI AUTOGRAPHE AUTEUR, fente au dos,quelques rousseurs,
256 pp. - EDITION ORIGINALE. Roman moderne en effet, par la technique matérielle disent Pichois et Brunet. Colette p.116. Ce roman-chronique qui met en scène Willy, ses frasques, ses amis et amies, est en effet illustré de photographies. Ces photographies très nombreuses ont été découpées et complétées de décors à la gouache, en sorte qu"elles peuvent déborder le texte. C"est Marcelle Rossat et non Colette, qui pose avec Willy et Marcel Boulestin pour les illustrations de cet ancêtre du photo-roman. Quant au célèbre bouledogue de Colette, c"est bien Toby-chien en personne qui pose p. 49, et qui joue un vrai rôle dans le roman. Colette devient Marcelle, Willy reste Maugis, comme dans quelques romans antérieurs. les couvertures delicieusement illustrees (l'auteur a pose lui-meme pour les illustrations photographiques ). Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 200 €
Sceaux CHARAIRE IMPRIMEUR pour Librairie NILSSON, PER LAMM Sucesseur 1904 Une affiche Publicitaire de Librairie, imprimée (d'un seul côté) en rouge et noir et illustrée de 4 photographies en noir, format : 22,6 x 29,7 cm, 1904 Sceaux CHARAIRE IMPRIMEUR pour Librairie NILSSON, PER LAMM Sucesseur Editeur,
Henry Gauthier-Villars, dit Willy, né à Villiers-sur-Orge le 10 août 1859 et mort à Paris (15e arrondissement) le 12 janvier 1931, est un journaliste, critique musical et romancier français qui signa une centaine d'ouvrages (dont les six premiers romans de COLETTE). C'est ainsi qu'en 1900, "Claudine à l'école" paraît sous la signature de Willy, celui-ci prétendant avoir reçu le manuscrit d'une inconnue, créant ainsi la légende de la fameuse Claudine. Devant le succès, Willy pousse sa femme à écrire 3 suites ("Claudine à Paris" 1901, "Claudine en ménage" 1902, "Claudine s'en va" 1903), assorties d'un volume intitulé "Minne" (1904) et des "Égarements de Minne" (1905), toujours sous la seule signature de Willy. Il vend les droits des "Claudine" à ses éditeurs, sans même la prévenir. COLETTE ne lui pardonnera jamais ...... dans le texte de cette affiche il ment effontément en se disant l'Auteur des "CLAUDINE"....... RARISSIME .... en trés bon état (very good condition). en trés bon état
, Plaizier Brussel, 1019 KALENDER 2020 Gewicht : 600 gr | Hoogte : 620 mm | Breedte : 400 mm | Dikte : 7 mm ; 14 bladen ringband. Text NL/ FR / ENG. ISBN 9789079005215.
2020 Kalender Brussels at work / Brussel aan het werk / Bruxelles au travail / Calendier 2020 / calender 2020 / photo's WILLY KESSELS / De Kessels-collectie is een uitzonderlijk geheel van meer dan 8000 foto?s over architectuur, industrie en ambachten in België tussen 1930 en 1960. Willy Kessels maakte de meeste van deze foto?s in opdracht van architecten, aannemers, bedrijfsleiders, uitgeverijen en voedings- of farmaceutische bedrijven. De collectie bevat ook een artistiek onderdeel met foto?s die aansluiten bij de avant-garde van het interbellum; onder meer zijn befaamde fotocollages. In 1987 verwierven de Archives d?Architecture Moderne (AAM) 7370 zilvergelatine gedrukte glasnegatieven, bewaard in hun oorspronkelijke dozen. Het geheel werd in 1989 aangevuld met 460 monochrome negatieven op glas en plastic en met kleurnegatieven op plastic. In 1991 en 1992 werd de collectie geregeld aangevuld met oude afdrukken en publicaties. Dit fonds maakt nu deel uit van de CIVA collecties. Enkele jaren eerder, in 1981, verwierf het Institut supérieur d'Architecture de l?Etat ? La Cambre 650 monochrome glasnegatieven en oude afdrukken, waarvan een veertigtal grote afdrukken met foto?s van de school. In april 1987 begonnen de AAM met een eerste identi?catie van 7830 negatieven op basis van het bestelboekje van Willy Kessels en van tijdschriften waarin hij foto?s had gepubliceerd La Revue Documentaire, Bâtir, Clarté of l?Emulation. In 2016 werd begonnen met de digitalisering van 5000 negatieven. Deze actie werd ge?nancierd door het fonds Courtin-Bouché via de tussenkomst van de Koning Boudewijnstichting. De nummering van de digitale bestanden is gebaseerd op die van de dozen van Willy Kessels, zodat er een overeenkomst blijft bestaan tussen het oorspronkelijke negatief en zijn digitale versie. Om het onderzoekswerk te vergemakkelijken wordt dezelfde logica gebruikt voor de opslag van de negatieven zelf, die met de nodige zorgen geconserveerd worden. In 2017 werd een tweede project opgestart voor de identi?catie van de negatieven op basis van onderzoek dat al in 1987 en 1990 was begonnen. Datzelfde jaar werden de 2830 resterende negatieven en de 144 glasnegatieven van de Archives et Bibliothèque d?Architecture de l?ULB die worden bewaard bij CIVA, gedigitaliseerd met een subsidie van de Directie van het Cultureel Erfgoed van het Brussels Hoofdstedelijk Gewest.
OLLENDORFF. Non daté. In-12. Broché. Etat d'usage, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Quelques rousseurs. 307 pages. Nombreuses illustrations en noir et blanc, dans et hors texte par H. MIRANDE. Recouvert d'un papier de protection.. . . . Classification Dewey : 840.091-XX ème siècle
"""La collaboration Willy-Colette ayant pris fin, il devenait indispensable de rendre à chacun la part qui lui est due, et de remplacer la signature unique de ces volumes par celle de Willy et Colette Willy. Des motifs purement typographiques ont voulu que mon nom fut placé avant celui de Colette Willy, alors que toutres les raisons littéraires et autres eussent exigé que son nom fût à la première place."" Classification Dewey : 840.091-XX ème siècle"
Paris, Albin Michel, "Le roman-succès", sans date. In-8, demi-toile noire, de 125 pages, nombreuses illustrations par Supparo,.relié avec MAITRESSE D'ESTHETE,ill; de Gottlob, Le retour d'âge, 127 pages; Une Passade par Pierre Weber et Willy,104 pages et UN VILAIN MONSIEUR;illustrations de SAMANOS,125 pages.
couvertures illustrées conservées, Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 200 €
Mercure de france 1932 in12. 1932. Broché. 2 volume(s).
Bon état dans l'ensemble couvertures défraîchies intérieurs propres
BELLES LETTRES 1984 15 748x4 318x23 876cm. 1984. Broché.
couverture défraîchie dos creusé présence de quelques notes au stylo noir dans les marges
s. d. [avril 1948] | 21 x 30 cm | 4 pages sur 4 feuillets
Exceptionnel manuscrit autographe complet de Louis Aragon. 4 pagesau crayon sur 4 feuillets numérotés de sa main. Discrètre trace de décharge de rouille sur le premier feuillet et au verso du dernier. Pli horizontal sur l'ensemble des feuillets. L'article sera publié sous le titre "L'Art de prendre une photo pour Les Lettres Françaises" (Regards, 14 mai 1948). Aragon accompagne le grand Willy Ronis, le temps d'une séance photographique d'un portrait de mode pour LesLettres Françaises. Sur les pas de Ronis faisant virevolter son modèle, l'écrivainnous entraîne pendant quatre pages à travers un Paris enchanteuroù se mêlent vie populaire et élégance mondaine. "Il s'agissait d'illustrer Le Nez au vent, de Louis Chéronnet. La chronique avait pour thème : L'Elégance de Paris se déplace vers l'ouest, et plus précisément portait sur l'avenue Montaigne" commence Aragon dans sa chronique. Le temps d'une journée, l'écrivain documente avec fascination le travail du photographe dans l'un de ses décors de prédilection : les rues de Paris. Plusieurs tableaux se succèdent, dans le quartier Montorgueil,chez la chapelière, au studio de Ronis, dans l'avenue Montaigne,au théâtre des Champs-Elysées. Le maître mot, chez Aragon comme chez Ronis, est le mouvement. La photographien'a rien de statique, les impressions d'Aragon non plus. On saute, comme la modèle sur les clichés du photographe, d'un endroit à l'autre. Le portrait de l'élégante s'élargit, sous la plume de l'écrivain, à ses alentours, à la bouillonante vie de Paris qui s'arrête un instant le temps de contempler la silhouette de la mannequin animée par les instructions du photographe. Soixante ans plus tard, Ronis se souviendra de cette mémorable journée : "[Aragon] avait un très beau regard sur la photo. Il savait ce que c'était que l'image. Elsa aussi. Lui m'a fait travaillé quand il a fondé et dirigé les Lettres françaises. J'ai fait plusieurs reportages pour lui. Le premier petit reportage, c'était en 1947 ou 48, un reportage sur la mode avenue Montaigne. Aragon est venu avec moi, on avait choisi un mannequin. J'étais un peu intimidé par Aragon, c'était mon premier contact avec lui. Je voulais tirer le maximum de mon mannequin, je me démenais beaucoup car j'avais le trac. Me voir, ça l'a tellement amusé qu'il n'a pas fait le reportage écrit sur le mannequin mais sur moi travaillant. Je l'avais ensuite revu d'assez nombreuses fois, on se tutoyait." (Willy Ronis, entretien dansLibération,14 septembre 2009) Leurs chemins militants se croisèrent à de nombreuses reprises - Ronis contribua par ses clichés à témoigner des révoltes sociales qui secouent les années 1930 tandis qu'Aragon y consacra de nombreux articles. En 1949,le photographe suivra la journée commémorative de la tragédie d'Oradour-sur-Glane, à laquelle participent près de 400 artistes à l'initiative d'Aragon. Il sera également l'auteur de beaux portraits du couple Aragon-Triolet. Extraits du manuscrit : Willy Ronis m'avait donné rendez-vous à 10 h. 30, au coin de la rue Tiquetonne et de la rue Montorgueil. Paraît qu'il y photographiait des sportifs. Ah ! c'était ce restaurant où, jadis, on allait manger avec Vaillant-Couturier, et il y avait des types de l'AF [Action Française] qui nous fusillaient du regard... En fait de sportifs, Willy était là, dans son veston de velours, avec ses bésicles, qui prenait de droite et de gauche, au comptoir, un couple d'amoureux. Gentils, les amoureux... La petite, surtout... C'est peut-être un sport. [...] Il n'y a rien de plus solennel que Caroline Reboux. C'est le temple des chapeaux. S'il vivait de nos jours, c'est ici qu'Aristote écrirait. Caroline Reboux, elle, a fait les bibis de Nana et d'Eugénie de Montijo ; chez elle, Bel-Ami se tortillait la moustache en regardant dans les glaces les dames essayer leurs coiffures... La cour d'Angleterre n'a été, pendant trois règnes, chapeautée que de ces mains-là...Enfin, un photographe ici, c'est un scandale. J'ai laissé le mien
Phone number : 01 56 08 08 85
Payot 2025 in8. 2025. Broché.
Bon état couverture défraîchie intérieur propre
Rex 1935 in8. 1935. Broché.
Etat correct couverture défraîchie rousseurs manque garniture en bas du dos intérieur propre
Musée royal de l'Afrique Centrale Tervuren BE 1967 123 pages Annales in-8° Archives historiques n°4. in-8. 1967. Broché. 123 pages.
Bon état bordure de couverture légèrement brunie intérieur très bon
E.J. Brill 1958 106+16 pages 16 planches comportant 72 figures. In-4. 1958. broché. 106+16 pages.
Bon seulement des plis de lecture en marge
Association royale littéraire wallonne 1985 411 pages in-4. 1985. broché. 411 pages.
Bon état ex libris en début d'ouvrage int très bon
Hachette 1946 292 pages in8. 1946. broché. 292 pages.
Etat correctBordure de couverture et dos un peu abimée intérieur très bon
Bruges 1958 in8. 1958. Broché.
bords abîmés couverture défraîchie intérieur propre
Pieter Jacobs, Dimitri Meessen en Françoise Vermeersch. / Archieven Willy Van Der Meeren.
Reference : 59672
, aa50 & Archieven Willy Van Der Meeren., 1994 Deze zeefdruk op karton,oblong; 62x20 cm, werd gemaakt op 300 exemplaren, naar aanleiding van de retrospectieve tentoonstelling Wonen & Building Design (Antwerpen, 1994) over de architectuur en de meubelen van Willy Van Der Meeren. *collectors- item!
Willy Van Der Meeren wordt alom beschouwd als een van de belangrijkste naoorlogse Belgische architecten en designers. Sinds zijn dood in 2002 is hij nooit uit de belangstelling verdwenen. In 2014 werd in Lennik, ter gelegenheid van de Open Monumentendag Vlaanderen , de tentoonstelling Willy Van Der Meeren. Wonen 1958-1985 georganiseerd. Hierin was de focus op de jaren zestig gelegen, de periode waarin Van Der Meeren op een vrije en inventieve wijze met woontypologieën te werk ging en waarin hij het experimentele Atelier Alpha oprichtte om een interdisciplinaire research uit te voeren naar de Coördinatie van Industrie en Architectuur. Het zijn de jaren die Van Der Meeren een historische plaats in de architectuurgeschiedenis hebben opgeleverd, onder meer met het CECA-huis (1954) , het legendarische prototype van een goedkope arbeiderswoning, en met de hoogbouw Ieder Zijn Huis (1952-1960).