Pages d'Histoire - Librairie Clio

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‎LEROY (Gabriel).‎

Reference : 92740

(1906)

‎Ville de Melun. La Caserne Augereau, 1778-1904.‎

‎ Melun, A. Huguenin, 1906, in-12, 235 pp, 24 pl. d'illustrations hors texte, 34 gravures dans le texte et à pleine page, broché, bon état. Rare‎


‎Le quartier de cavalerie Augereau, principal site de casernement à Melun au XIXe siècle, le lieu le plus emblématique de la présence militaire à Melun. Tout au long du XIXe siècle, ce quartier de cavalerie ne cessa de s’étendre, jusqu’à devenir, selon l’historien melunais Gabriel Leroy, « une des plus vastes casernes de France ». Ouvrage peu courant étudiant les souvenirs, traditions, voire même les légendes qui se rattachent à la caserne Augereau et aux édifices plus anciens qui existèrent en ces lieux. L'ouvrage s'achève par une nomenclature des régiments qui ont caserné dans la Caserne Augereau. Le quartier de cavalerie Saint-Ambroise s'est développé, de 1780 à 1907, sur une vaste portion de la rive gauche de Melun. Il a peu à peu englobé dans son enceinte plusieurs édifices religieux désaffectés : le couvent des Visitandines dès 1780, le couvent des Ursulines puis des Frères de la doctrine chrétienne en 1818, et l'église paroissiale Saint-Ambroise (vendue comme bien national en 1793, transformée en lotissement par l'architecte Joseph Lesieur, et presque entièrement démolie en 1839). L'emprise militaire s'est également étendue sur le cimetière Saint-Ambroise, déplacé plus à l'est en 1854. L'extension progressive du quartier de cavalerie est allée de pair avec la construction de bâtiments répondant aux normes ministérielles : écuries, logements pour les troupes, forge, manège. A la suite d'une épidémie de dysenterie, le quartier de cavalerie fut déplacé dans les nouvelles casernes élevées en 1900 sur le plateau nord de Melun. Les bâtiments militaires désaffectés furent presque entièrement rasés entre 1905 et 1907. Le manège a cependant subsisté jusqu'aux années 1970, converti en salle des fêtes. Nulle trace ne demeure plus aujourd'hui de cette longue occupation militaire de la rive sud de la Seine. ‎

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‎LE ROY LADURIE (Emmanuel).‎

Reference : 68359

(1979)

ISBN : 9782070285785

‎Le Carnaval de Romans. De la Chandeleur au mercredi des Cendres, 1579-1580.‎

‎ Gallimard, 1979, in-8°, 426 pp, 2 cartes, un plan ancien de Romans sur double page, 8 fac-similés, biblio, reliure éditeur, bon état (Coll. Bibliothèque des Histoires)‎


‎Pendant quinze jours, en février 1580, les habitants de la cité de Romans (Drôme actuelle, Dauphiné d'autrefois) se sont déguisés, masqués de toutes les manières. Ils ont dansé à perdre l'âme, joué, couru, concouru, défilé. Ils se sont défiés entre artisans et notables dans le happening quotidien du Carnaval. Un théâtre populaire et spontané opposait rue contre rue, confrérie contre confrérie. Puis, au terme d'une embuscade, montée par le juge Guérin, personnage de Série Noire, les Romanais se sont entre-tués. Un événement aux significations multiples, que décrypte un grand historien. — "C'est au sein d'un monde rural accablé par les déprédations des gens de guerre, travaillé par une sourde animosité contre la noblesse, que se situent la sédition déclenchée par Jean Serve-Paumier contre l'oligarchie romanaise et l'infructueuse visite de Catherine de Médicis. Avant la Chandeleur 1579, révolte des villages ligués dans la région de Montélimar à laquelle se rallie le visénéchal, Jacques Colas, affaire de Chateaudouble et effervescence antiseigneuriale dans le plat-pays romanais. Après le Mardi gras 1580, guerre inexpiable menée par Maugiron, lieutenant général, contre les paysans de la Valloire jusqu'aux massacres de Moirans (26 mars 1580). De là l'intérêt du livre dont les rapports villes-campagnes constituent l'un des thèmes majeurs... En sus des spécialistes d'anthropologie historique ou d'institutions, cet ouvrage savant et nourri comblera les historiens des idées politiques par son dernier chapitre, Les primitifs de l'égalité..." (Vital Chomel, Bibliothèque de l'École des chartes, 1980) ‎

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‎LE ROY LADURIE (Emmanuel).‎

Reference : 7738

(1979)

‎Montaillou, village occitan de 1294 à 1324.‎

‎ Gallimard, 1979, fort in-8°, 642 pp, 2 pl. hors texte, biblio, index, reliure toile éditeur, jaquette, bon état (Coll. Bibliothèque des histoires)‎


‎Montaillou : petit village de montagnards et de bergers en haute Ariège, à 1300 mètres d'altitude. En 1320, Jacques Fournier, évêque de Pamiers, plus tard pape d'Avignon, y déploie ses talents d'inquisiteur. Maigret avant la lettre, Jacques Fournier finit par déterrer tous les secrets du village. Rien n'échappe à cet évêque fureteur, ni les vies intimes, ni les drames de l'existence quotidienne. En s'appuyant sur cet extraordinaire document de Jacques Fournier, sorte de roman vrai du petit peuple du XIVe siècle, Emmanuel Le Roy Ladurie retrace la vie des habitants de ce village de Haute-Ariège, imprégné de catharisme, et démontre ainsi la possibilité d‘une histoire totale. ‎

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‎LE ROY (Nicole), Patrice Minart, Georgette et François Rezette.‎

Reference : 113919

(1998)

ISBN : 9782905684974

‎Il était une fois Viarmes.‎

‎ Saint-Ouen-l'Aumone, Editions du Valhermeil, 1998, in-8° carré (20 x 20,5), 134 pp, texte sur 2 colonnes, 8 pl. en couleurs hors texte, 36 gravures, photos et fac-similés en noir, sources et biblio, reliure cartonnée illustrée en couleurs de l'éditeur, bon état‎


‎Viarmes de l'époque préhistorique jusqu'au dernier quart du XXe siècle. ‎

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‎LESBROS (Dominique).‎

Reference : 118854

(2006)

ISBN : 9782840964018

‎Découvertes insolites autour de Paris. Jardins cachés, châteaux enchanteurs, musées méconnus...‎

‎ Parigramme, 2006, in-8°, 224 pp, très nombreuses photos en couleurs, index, broché, couv. illustrée à rabats, bon état‎


‎Curiosités, bizarreries, jardins secrets, legs intrigants du temps et de l'Histoire... les environs de Paris réservent bien des surprises. Les amateurs d'aventures insolites arpenteront ainsi les souterrains de Provins, découvriront la péniche-chapelle des bateliers, s'enfonceront dans la forêt de Fontainebleau à la recherche du mystérieux Cyclop, changeront d'horizon au skit orthodoxe du Mesnil-Saint-Denis ou frissonneront au musée des Vampires. Inutile de parcourir le monde pour plonger dans des univers surprenants : le dépaysement est à deux pas du périphérique. ‎

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EUR15.00 (€15.00 )

‎LESCOT (Pierre).‎

Reference : 97467

(1989)

‎Chaville. Chroniques des communautés chrétiennes.‎

‎ Chaville, Chez l'auteur, 1989, in-8°, 249 pp, 44 photos et 7 illustrations et fac-similés hors texte, sources et biblio, broché, couv. illustrée, bon état‎


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EUR20.00 (€20.00 )

‎LESCOT (Pierre).‎

Reference : 97466

(1987)

‎Chaville des origines à 1596.‎

‎ Chaville, Chez l'auteur, 1987, in-8°, 112 pp, 4 pl. de blasons en couleurs hors texte, une gravure, 2 cartes, 6 fac-similés, généalogie, tableau dépliant, broché, couv. illustrée, bon état‎


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EUR20.00 (€20.00 )

‎[LESPINAY, Jean de].‎

Reference : 115111

(1921)

‎Jean, marquis de Lespinay, lieutenant à l'Etat-Major de l'Infanterie divisionnaire de la 22e Division, tué à l'ennemi, le 4 novembre 1918.‎

‎ Chantonnay, Imp. A. Gaultier, s.d. (1921), gr. in-8°, 63 pp, 2 photos hors texte à pleine page, broché, pt tache en coin, bon état‎


‎Jean de Lespinay, 1886-1918. Recueil biographique illustré comprenant un récit de ses faits de guerre par René Vallette (tiré de la Revue du Bas-Poitou, 1921), des témoignages, des extraits de lettres, et des discours prononcés à ses obsèques, le 14 mars 1921. ‎

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‎LESPINAY (Marquise de).‎

Reference : 114941

(1938)

‎Jehan de Lespinay, trésorier de Bretagne, 1448-1524.‎

‎ Fontenay-Le-Comte, Imprimerie Moderne, 1938, gr. in-8°, 246 pp, blasons, cartes, dessins, fac-similés, pièces justificatives, broché, couv. lég. piquée, bon état. Rare‎


‎Les débuts de l'histoire bretonne connue des Lespinay (XVe-XVIe siècles), en particulier la place de Jean (IV) de Lespinay, trésorier de Bretagne, décédé en 1524, qui par ses relations a donné à cette famille son importance pour les siècles suivants, négociant des alliances familiales et politiques à haut niveau, des offices, des acquisitions foncières pour ses enfants, petits-enfants et collatéraux, avec l'appui inconditionnel de la duchesse Anne de Bretagne. ‎

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‎LESPINAY (Marquise de).‎

Reference : 115110

(1939)

‎Pierre de Lespinay et les débuts du calvinisme à Blain.‎

‎ Chantonnay, Imp. A. Gaultier, s.d. (1939), gr. in-8°, 90 pp, blasons, gravures et fac-similés, pièces justificatives, broché, bon état. Rare‎


‎Les Lespinay semblent avoir été, en Bretagne, des protestants de la première heure. Les idées de la Réforme circulaient dans les villes et les ports, en Bretagne comme ailleurs en Europe, mais aussi dans les Cours royales et dans tous les lieux d’intenses échanges, qu’ils soient économiques, philosophiques, politiques. Dans les campagnes, ce sont plutôt des membres de la noblesse et de la bourgeoisie qui ont pris en charge, à l’aide de leur réseau, l’animation des jeunes communautés réformées. À Blain, les Rohan surent entraîner vers le calvinisme autant leurs vassaux que des laboureurs, des artisans, des marchands et des bourgeois d’alentour, auxquels ils apportèrent ensuite leur aide et protection. Les premiers Lespinay protestants sont d’abord membres de la communauté de Blain, sous la tutelle des Rohan. Très vite, du fait des persécutions (celles de Mercoeur en 1585) et de leurs possessions en Pays de Retz et en Poitou, ils vont s’installer dans la communauté de Vieillevigne, plus sûre... ‎

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EUR40.00 (€40.00 )

‎LE STANG (Anne).‎

Reference : 107703

(2006)

‎Histoire de Toulouse illustrée.‎

‎ Le Pérégrinateur, 2006, gr. in-8°, 221 pp, plus de 250 gravures et photos en noir et en couleurs, index, sources bibliographiques, broché, couv. illustrée à rabats, bon état‎


‎Toulouse semble avoir toujours rayonné de façon singulière. Grande cité romaine, elle devient la capitale du royaume des Wisigoths puis du royaume d’Aquitaine. Siège d’une principauté féodale, la ville s’affranchit du pouvoir de ses comtes grâce aux capitouls. Intégrée à la Couronne, elle devient une capitale administrative et judiciaire jusqu’à la fin de l’Ancien Régime. Restée à l’écart de la révolution industrielle, l’ancienne "capitale du Languedoc" se réveille au XXe siècle et se lance dans la conquête de l’air et de l’espace. elle s’affirme aujourd’hui comme une métropole d’envergure européenne. ‎

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‎LESUEUR (Emile).‎

Reference : 122637

(1934)

‎Mon Pays d'Artois. (2e série).‎

‎ P., Eugène Figuière, 1934, in-12, 254 pp, 4 pl. de gravures et portraits hors texte, carte, fac-similés et tableau généalogique dans le texte, broché, couv. illustrée, bon état‎


‎Fresque artésienne – Eustache de Saint-Pierre – Jacqueline Robins – Jean Bodel et les joyeux écoliers de Saint-Omer – Thérouanne, ville martyre – Les tapisseries d'Arras – Les Francs maçons d'Hesdin – Robespierre avocat au Conseil d'Artois – La petite Vendée de Pernes – Nos douaniers en guerre contre les Anglais – Guislain Decrombecque, le défricheur de la plaine de Lens – Les mobiles du Pas-de-Calais à l'affaire de Longpré – L'Artois vu par Paul Adam. ‎

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‎LEUILLIOT (Paul).‎

Reference : 70198

(1923)

‎Les Jacobins de Colmar. Procès-verbaux des séances de la société populaire, 1791-1795, publiés avec une introduction et des notes.‎

‎ P., Strasbourg, Istra, 1923, gr. in-8°, xxxiv-504 pp, préface de Christian Pfister, index, broché, bon état‎


‎"Le club de Colmar fut fondé en janvier 1791, quelques mois avant celui de Thann. Sa première tâche a d'abord été de défendre l'église constitutionnelle menacée. Comme tous les autres clubs, il se recruta au début dans la bourgeoisie aisée. Ses fondateurs paraissent avoir appartenu en majorité à une société littéraire, la Tabagie, qui existait à Colmar dans les dernières années de l'ancien régime. Après l'affaire du Champ-de-Mars, il s'affilia aux Feuillants ; après le 10 août, il pensa d'abord à résister, comme Dietrich l'avait fait à Strasbourg, contre la chute de la royauté. Même en 1793, il compte encore parmi ses membres l'ex-abbé Chayrou, qui avait rédigé à Strasbourg la feuille de Dietrich et qui s'était compromis avec les Feuillants. Bien mieux, Chayrou devient un instant, en mai 1793, président du club et il rédige le journal de propagande patriotique, le Décadaire, alimenté par les fonds du département. Dans la lutte des Jacobins contre les Montagnards, le club prend d'abord parti pour les premiers, comme il avait pris parti auparavant pour les Feuillants. Mais il les désavoue promptement et se rallie, en apparence, du moins, à la politique montagnarde. Il est épuré à diverses reprises sous la Terreur, mais il excite néanmoins la défiance, des représentants Hentz et Goujon, qui suspectent son ardeur patriotique. Après thermidor, il cherche sa voie et semble avant tout préoccupé de défendre ses membres contre les persécutions qui commencent. Il cesse bientôt d'être fréquenté et termine obscurément sa vie avec le décret qui supprime les diverses sociétés populaires. L'édition de ses procès-verbaux que nous donne M. Leuilliot est très soignée et rendra de grands services à tous ceux qui étudient l'histoire de la Révolution en Alsace. L'éditeur a résumé la vie du club dans une introduction fort claire et très précise. Il a muni les procés-verbaux d'un commentaire presque continuel qui met en œuvre une foule de renseignements précieux, difficilement accessibles. Il a dressé la liste des membres du club, qui comprend 1.033 noms. Un index bien fait facilite les recherches. J'ajoute enfin que M. Leuilliot est très au courant de l'histoire générale et que sa critique est sûre. Je ne suis pas surpris que la Faculté de Strasbourg ait décerné la mention bien à son travail, qui est un mémoire de diplôme. Si le club de Colmar ressemble en gros à beaucoup d'autres clubs, il en diffère cependant par quelques traits particuliers, et, en première ligne; par son antisémitisme violent. A. diverses reprises il dénonce l'oisiveté, les menées accapareuses, l'immoralité des juifs d'Alsace, et ne demande pas moins que leur expulsion du territoire français. On pourrait s'attendre à ce que, dans cette Alsace de la fin du XVIIIe siècle, où le français n'était encore que très peu répandu, les actes du club fussent rédigés en allemand. J'ai été surpris de constater qu'à de très rares exceptions ils sont écrits en français. Il est manifeste que la plupart des orateurs qui prenaient la parole aux séances s'exprimaient également en français. Leurs paroles étaient ensuite traduites en allemand, d'ordinaire par les soins du pasteur Lucé. A de certains indices, on pourrait noter l'existence d'une sorte de rivalité et de défiance entre les autochtones et les Français venus de l'intérieur. Le club fit de louables efforts pour seconder « la francilisation » du pays, comme on disait. Il recruta les instituteurs chargés d'enseigner la langue française et ce ne fut pas chose commode. Je ne peux pas signaler tout ce que ce volume très nourri apporte de nouveau à l'histoire d'Alsace ou même à l'histoire générale. Il me fant pourtaņt attirer l'attention sur le fameux Rapinat, ce beau- frère de Reubell, qui eut si mauvaise réputation sous le Directoire. Rapinat figure à plusieurs reprises dans les procès-verbaux du club et il n'y figure pas à son avantage. On lui reproche, à l'épuration de ventóse an II, d'avoir abusé de ses fonctions de juge, de recevoir des cadeaux, « de faire gagner aux communes les procès relatifs aux biens communaux pour en dépouiller la nation », de se livrer au commerce des assignats, etc.. etc. Rapinat se défend mal et il est exclu." (A. Mathiez., Annales révolutionnaires, 1923) ‎

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EUR45.00 (€45.00 )

‎LEVASSEUR (Alphonse).‎

Reference : 69869

(1914)

‎Histoire de Louviers, des origines à nos jours.‎

‎ Pacy-sur-Eure, Imp. Grateau, 1914 gr. in-8°, 190 pp, un plan de la ville, broché, reproduction des armoiries de la ville au 1er plat, couv. recouverte d'un film transparent autocollant, bon état‎


‎Louviers, en Normandie, dans le département de l'Eure. Fils d’un coiffeur et d’une domestique, Alphonse Levasseur (1880-1965) était instituteur à Louviers. Il participa à la création du Syndicat national des instituteurs. (Maitron) ‎

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‎LEVAVASSEUR (Chanoine).‎

Reference : 69839

(1975)

‎Saint-Denis à travers l'histoire. Une Cité pas comme les autres.‎

‎ Montrouge, Imprimerie Ferrey, 1975, in-8°, 331 pp, nombreuses gravures, 3 dépliants hors texte (dont 2 plans anciens), biblio, reliure skivertex bordeaux de l'éditeur, titres dorés au 1er plat et au dos, bon état‎


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‎LEVEAU-FERNANDEZ (Madeleine) et Antoine BERTONCINI.‎

Reference : 110541

(1986)

‎Bagneux, des origines a nos jours.‎

‎ Ville de Bagneux, 1986, in-4°, 255 pp, 200 gravures et photos, éléments de biblio, reliure cartonnée illustrée de l'éditeur, bon état‎


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‎LEZÉ-OLIVIER (Elisabeth)(dir.).‎

Reference : 124130

(1997)

ISBN : 9782911236020

‎Histoires d'eaux à l'Usine de Colombes.‎

‎ Colombes, SIAAP - Musée municipal d'art et d'histoire, 1997, pt in-4°, 144 pp, 77 gravures, photos, plans et fac-similés (20 en couleurs ou sépia), biblio, broché, couv. illustrée, bon état‎


‎Catalogue de l'exposition présentée par le Musée Municipal d'Art et d'Histoire de Colombes du 17 septembre au 20 décembre 1997. — Sommaire : Flux et reflux (Geneviève Chauveau) ; L'Usine en ses murs (Christelle Inizan) ; De l'usine élévatoire à la station d'épuration de l'an 2000 (Bernard Védry) ; Les hommes dans l'usine (Elisabeth Lezé-Olivier). ‎

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‎LHERITIER (Michel).‎

Reference : 70438

(1942)

‎La Révolution à Bordeaux. La fin de l'Ancien Régime et la préparation des Etats Généraux (1787-1789).‎

‎ PUF, 1942, in-8°, 326 pp, biblio, index, broché, couv. lég. piquée, sinon bon état‎


‎Tome 1er, seul paru, de "La Révolution à Bordeaux dans l'histoire de la Révolution française". ‎

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‎LHERMITTE (Emmanuel).‎

Reference : 28215

(1992)

‎Ouvrages sur la Champagne. Contribution à la bibliographie champenoise.‎

‎ P., Emmanuel Lhermitte, 1992, in-8°, 259 pp, préface de Jean Guitton, index, broché, bon état‎


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‎[Littérature] – BÉRIMONT (Luc).‎

Reference : 115902

(1963)

‎Le Bois Castiau.‎

‎ Laffont, 1963, in-8°, 286 pp, broché, papier lég. jauni, bon état. Edition originale sur papier courant, envoi a.s.‎


‎Le Bois Castiau nous présente la vie dans les années 1920 à Ferrière-la-Grande, non loin de Maubeuge, du point de vue du petit André Leclercq. Si ses parents sont présents, c'est avant tout Man Toinette qui marque le futur Luc Bérimont. Matriarche ardennaise, cette grand-mère sévère mais immensément protectrice, voue à son petit-fils un amour exclusif. Sa mémoire inépuisable berce l'auteur d'histoires tragiques, où se bousculent les uhlans de 1870, les exils forcés, les veuvages... Bérimont serait-il devenu écrivain sans Man Toinette ? Lui-même en doute. Dans ce roman d'apprentissage, ce temps retrouvé fait aussi surgir un monde de petites gens, gentiment excentriques. Avec pour décor tout un pays oublié – ce Nord rural à la terre lourde – pays d'origine tatoué au plus profond de l'auteur, par-delà des décennies de vie parisienne... ‎

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EUR30.00 (€30.00 )

‎[Littérature] – BÉRIMONT (Luc).‎

Reference : 115900

(1954)

‎Le Grand Viager.‎

‎ P., Debresse, 1954, pt in-8°, 114 pp, un hors-texte de Fernand Léger, broché, non coupé, bon état. Edition originale, un des 600 ex. sur Bouffant Gothic, envoi a.s.‎


‎Bien complet de la jaquette imprimée de la “Collection des Neuf” qui précise que les hors-texte illustrant chacun des ouvrages de la collection ne figureront que dans l'édition originale. ‎

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‎LIVET (Georges)(dir.).‎

Reference : 70531

(1983)

‎Histoire de Colmar.‎

‎ Toulouse, Privat, 1983, gr. in-8° carré, 331 pp, 8 pl. de gravures et photos hors texte, 13 cartes et illustrations dans le texte, biblio, index, reliure pleine toile éditeur, sans la jaquette, bon état (Coll. Pays et villes de France)‎


‎Par Georges Livet, Georges Bischoff, Charles Bonnet, Gabriel Braeuner, Jean-Marie Schmitt, Lucien Sittler, Christian Wilsdorf. — "Le nom de Colmar viendrait du mot latin columbarium (colombier), mais à l'époque romaine le centre de peuplement, le camp fortifié d'Argentovaria, se situe sur l'emplacement du village actuel de Horbourg, un peu plus à l'Est. La première mention assurée de Colmar se trouve dans un diplôme de 823, accordé par Louis le Pieux. Une autre référence qualifie en 865 le lieu de villa : c'est le centre d'un grand domaine rural, qui est bientôt morcelé au profit d'institutions ecclésiastiques. La véritable entrée dans l'histoire est l'octroi du statut de ville en 1212 par Frédéric II, alors roi de Germanie. Un conseil gère la bourgade, qui prospère, et le prévôt Jean Roesselmann, un tanneur, mène la résistance contre les ambitions temporelles de l'évêque de Strasbourg. Une charte de franchises est accordée en 1278 par Rodolphe de Habsbourg, à qui les bourgeois ont envoyé douze tonneaux de leur meilleur vin ! Dans les troubles du XIVe siècle, l'union avec les autres villes impériales semble indispensable, des contacts sont pris et en 1354 Charles IV constitue officiellement la Ligue des dix villes, la fameuse Décapole. Au XVIe siècle, Colmar est ainsi décrite par Sébastien Munster comme «une plaisante cité... située en une plaine fertile... ayant de toutz costez grand quantité de vin et de bled, et la terre est principalement bonne à pourter frouments, oignons et aultres jardinages ». Le couvent des Dominicaines (Unterlinden) est réputé pour la qualité de sa vie spirituelle. Un grand artiste, Martin Schongauer, a illustré avec génie la dévotion mariale, tandis que Matthias Grunewald a peint son admirable retable pour le couvent proche d'Issenheim. Cependant en 1575 la ville passe au protestantisme, par la volonté de l'oligarchie municipale. Mais le régime confessionnel est bientôt remis en question par les péripéties de la Guerre de Trente Ans. Celle-ci a aussi pour effet d'introduire le roi de France dans les pays du Rhin. Il installe pour la première fois des troupes à Colmar en 1635 et il obtient au traité de Westphalie la cession de la Décapole et de toutes les possessions alsaciennes des Habsbourg. Le bourgmestre, présent à Munster, toujours avec des barriques, a lutté pour que la ville « ne soit pas réduite d'un libre État d'Empire en servitude et esclavage éternels ». Le maintien formel de l'immédiateté d'Empire est illusoire, il craque vite sous l'action des agents de Louis XIV. Et à partir de 1679, Colmar constitue le centre de l'influence française, avec une garnison que double la place de Brisach, avec une subdélégation qui administre l'Alsace moyenne, avec enfin en 1698 le Conseil souverain qui exerce la souveraineté judiciaire. La société se transforme : la culture française et la religion catholique prennent l'avantage, plus nettement qu'à Strasbourg. Comme Mulhouse reste encore une cité indépendante, c'est tout naturellement à Colmar que la Constituante établit le chef-lieu du haut Rhin quand elle partage l'Alsace en deux départements. Bientôt son plus illustre fils, le général Rapp, devient l'aide de camp et l'interprète de l'Empereur. Depuis un siècle, l'histoire de la ville a suivi l'histoire de la province et participé à ses épreuves. Elle s'est montrée une « capitale de la protestation » contre l'annexion allemande, par une série de scrutins comme par les fameuses gravures du caricaturiste Hansi, tandis que le sculpteur Bartholdi connaissait la gloire à Paris et à New- York. Mais, en réaction contre la centralisation parisienne, l'autonomisme y a aussi trouvé des partisans, autour de l'abbé Haegy et du député Rossé. L'industrie textile s'est développée au xtx* siècle et sensiblement diversifiée ensuite. Après 1945, la ville a beaucoup changé. De nouvelles usines ont été installées, des ensembles de logements ont été construits, sous l'impulsion d'un maire remarquable, Joseph Rey, populaire pour sa simplicité, son patriotisme et son efficacité, réélu sans interruption pendant trente ans de 1947 à 1977. Sept auteurs qualifiés se sont partagés cette fresque millénaire. Leur écrit vivant et précis se fonde sur une solide connaissance des sources et sur une riche bibliographie. Des gravures et des photographies évoquent les aspects successifs de la ville, des graphiques saisissent certaines données de sa croissance économique. Il est également présenté quelques plans." (Pierre Barral, Revue belge de philologie et d'histoire, 1987) ‎

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‎LIVET (Georges)(dir.).‎

Reference : 121392

(1983)

‎Histoire de Colmar.‎

‎ Toulouse, Privat, 1983, gr. in-8° carré, 331 pp, 8 pl. de gravures et photos hors texte, 13 cartes et illustrations dans le texte, biblio, index, reliure pleine toile éditeur, jaquette illustrée, bon état (Coll. Pays et villes de France). Edition originale, numérotée sur vélin spécial Pétrarque des Papeteries de la Rochette Cenpa‎


‎Par Georges Livet, Georges Bischoff, Charles Bonnet, Gabriel Braeuner, Jean-Marie Schmitt, Lucien Sittler, Christian Wilsdorf. — "Le nom de Colmar viendrait du mot latin columbarium (colombier), mais à l'époque romaine le centre de peuplement, le camp fortifié d'Argentovaria, se situe sur l'emplacement du village actuel de Horbourg, un peu plus à l'Est. La première mention assurée de Colmar se trouve dans un diplôme de 823, accordé par Louis le Pieux. Une autre référence qualifie en 865 le lieu de villa : c'est le centre d'un grand domaine rural, qui est bientôt morcelé au profit d'institutions ecclésiastiques. La véritable entrée dans l'histoire est l'octroi du statut de ville en 1212 par Frédéric II, alors roi de Germanie. Un conseil gère la bourgade, qui prospère, et le prévôt Jean Roesselmann, un tanneur, mène la résistance contre les ambitions temporelles de l'évêque de Strasbourg. Une charte de franchises est accordée en 1278 par Rodolphe de Habsbourg, à qui les bourgeois ont envoyé douze tonneaux de leur meilleur vin ! Dans les troubles du XIVe siècle, l'union avec les autres villes impériales semble indispensable, des contacts sont pris et en 1354 Charles IV constitue officiellement la Ligue des dix villes, la fameuse Décapole. Au XVIe siècle, Colmar est ainsi décrite par Sébastien Munster comme «une plaisante cité... située en une plaine fertile... ayant de toutz costez grand quantité de vin et de bled, et la terre est principalement bonne à pourter frouments, oignons et aultres jardinages ». Le couvent des Dominicaines (Unterlinden) est réputé pour la qualité de sa vie spirituelle. Un grand artiste, Martin Schongauer, a illustré avec génie la dévotion mariale, tandis que Matthias Grunewald a peint son admirable retable pour le couvent proche d'Issenheim. Cependant en 1575 la ville passe au protestantisme, par la volonté de l'oligarchie municipale. Mais le régime confessionnel est bientôt remis en question par les péripéties de la Guerre de Trente Ans. Celle-ci a aussi pour effet d'introduire le roi de France dans les pays du Rhin. Il installe pour la première fois des troupes à Colmar en 1635 et il obtient au traité de Westphalie la cession de la Décapole et de toutes les possessions alsaciennes des Habsbourg. Le bourgmestre, présent à Munster, toujours avec des barriques, a lutté pour que la ville « ne soit pas réduite d'un libre État d'Empire en servitude et esclavage éternels ». Le maintien formel de l'immédiateté d'Empire est illusoire, il craque vite sous l'action des agents de Louis XIV. Et à partir de 1679, Colmar constitue le centre de l'influence française, avec une garnison que double la place de Brisach, avec une subdélégation qui administre l'Alsace moyenne, avec enfin en 1698 le Conseil souverain qui exerce la souveraineté judiciaire. La société se transforme : la culture française et la religion catholique prennent l'avantage, plus nettement qu'à Strasbourg. Comme Mulhouse reste encore une cité indépendante, c'est tout naturellement à Colmar que la Constituante établit le chef-lieu du haut Rhin quand elle partage l'Alsace en deux départements. Bientôt son plus illustre fils, le général Rapp, devient l'aide de camp et l'interprète de l'Empereur. Depuis un siècle, l'histoire de la ville a suivi l'histoire de la province et participé à ses épreuves. Elle s'est montrée une « capitale de la protestation » contre l'annexion allemande, par une série de scrutins comme par les fameuses gravures du caricaturiste Hansi, tandis que le sculpteur Bartholdi connaissait la gloire à Paris et à New- York. Mais, en réaction contre la centralisation parisienne, l'autonomisme y a aussi trouvé des partisans, autour de l'abbé Haegy et du député Rossé. L'industrie textile s'est développée au xtx* siècle et sensiblement diversifiée ensuite. Après 1945, la ville a beaucoup changé. De nouvelles usines ont été installées, des ensembles de logements ont été construits, sous l'impulsion d'un maire remarquable, Joseph Rey, populaire pour sa simplicité, son patriotisme et son efficacité, réélu sans interruption pendant trente ans de 1947 à 1977. Sept auteurs qualifiés se sont partagés cette fresque millénaire. Leur écrit vivant et précis se fonde sur une solide connaissance des sources et sur une riche bibliographie. Des gravures et des photographies évoquent les aspects successifs de la ville, des graphiques saisissent certaines données de sa croissance économique. Il est également présenté quelques plans." (Pierre Barral, Revue belge de philologie et d'histoire, 1987) ‎

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‎LIZIER (Henri).‎

Reference : 70382

(1972)

‎Chartres et la Beauce au temps de Louis-Philippe, 1830-1848.‎

‎ Chartres, Librairie Jean Legué, 1972, gr. in-8°, vi-252 pp, un plan dépliant de la ville de Chartres en 1836, 15 pl. de gravures et un tableau généalogique dépliant hors texte, annexes, biblio, broché, pt accroc au 1er plat, bon état‎


‎Chartres et le terroir chartrain ; La Société. Citadins et campagnards ; Du Roi citoyen au Prince Président. ‎

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‎LODS (Armand).‎

Reference : 28221

(1888)

‎Un Conventionnel en mission : Bernard de Saintes et la réunion de la principauté de Montbéliard à la France, d'après des documents originaux et inédits.‎

‎ P., Fischbacher, 1888, gr. in-8°, 301 pp, un portrait et un fac-similé hors texte, biblio, reliure récente demi-basane brune à coins, couv. et dos conservés (rel. récente), bel exemplaire (Extrait des Mémoires de la Société d'Emulation de Montbéliard) ‎


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