8, rue Bréa
75006 Paris
France
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Phone number : 01 43 54 43 61 P.,Tardy, 1959, in-8°, 125 pp, imprimé sur papier fin, biblio, broché, bon état
Le diocèse de Bourges et son chef ; La Révolution ; Faut-il participer aux élections ; Candidats dans le Cher ; Candidats dans l'Indre ; Après le scrutin ; Appendice.
Fayard, 1978, in-8°, 307 pp, une carte, biblio, broché, couv. illustrée à rabats, bon état
L’auteur examine l’histoire des XVe et XVIe siècles pendant lesquels les forteresses médiévales se métamorphosent en élégants châteaux. Il revisite cette histoire à l’aune de ces femmes, souveraines pour la plupart, qui ont contribué à la magnificence de la Renaissance ligérienne. Yolande d’Aragon ou encore Anne de Beaujeu, qui gouverne la France pendant huit ans et à qui l’on doit le château de Gien dans sa configuration actuelle, Catherine de Médicis, Agnès Sorel, etc.
Beauvais, Librairie Prévot, 1976, in-8°, 470 pp, 68 illustrations dans le texte, 4 planches en couleurs, 10 cartes et plans (dont 4 cartes dépliantes hors texte), biblio, index, broché, jaquette, bon état. Réédition complétée de l'édition de Beauvais, 1925 tirée à 1300 exemplaires numérotés.
Bar-le-Duc, 1938, gr. in-8°, xii-466 pp, qqs pl. de photos et plans et un plan replié hors texte, broché, bon état
Copieux et très complet ouvrage entièrement consacré à l'histoire d'Ornes, village martyr de la grande guerre. Bien qu'elle comporte encore quelques maisons et garde une poignée d'habitants permanents, cette commune est classée comme « morte pour la France ». Elle fait partie des neuf villages français détruits durant la Première Guerre mondiale non reconstruits car classés en zone rouge du département de la Meuse. — "Intéressante monographie d'un village entièrement détruit par la dernière guerre. Les chapitres V, XII, XV et XVI donnent de nombreux détails sur cette paroisse meusienne, avant, pendant et après la Révolution." (Revue d'histoire de l'Église de France, 1939) — Table : La terre et les habitants - Ornes, des origines au XIe siècle - La seigneurie d'Ornes - La commune d'Ornes et sa charte - La paroisse et les curés d'Ornes avant la Révolution - Les barons d'Ornes de la fin du XVe siècle jusqu'à la Révolution - Le château d'Ornes et ses dépendances - La commune d'Ornes jusqu'à la Révolution - La Révolution à Ornes - Ornes sous l'Assemblée Législative - Ornes sous la Convention - La Terreur - La fin de la Terreur - Ornes sous le Directoire et le Consulat - La paroisse d'Ornes après le Concordat - Les églises d'Ornes - Ornes sous le Premier Empire - Ornes sous la première Restauration et les Cent-Jours - Ornes sous la deuxième Restauration - Ornes sous la Monarchie de Juillet - Ornes de 1848 à 1870 - La guerre de 1870 et la Troisième République à Ornes - L'enseignement et les écoles - Les us et coutumes d'Ornes : l'élevage - Les us et coutumes d'Ornes : l'organisation de la police municipale. - Les us et coutumes d'Ornes : de la naissance à la mort - Les notabilités d'Ornes - La guerre de 1914. Les derniers jours d'Ornes - Ornes depuis la guerre - Appendice : les professions à Ornes.
P., Del Duca, s.d. (1955), in-4°, 60 pp, 68 photos reproduites en héliogravure, 6 pl. en couleurs hors texte, une carte, introduction et légendes des photos en français, anglais et allemand, cart. éditeur, jaquette illustrée (lég. frottée), bon état (Coll. Couleurs du Monde)
Saint-Laure [Puy-de-Dôme], Chez l'auteur, 1975, gr. in-8°, 61 pp, broché, bon état
P., Alphonse Picard, 1893, in-8°, 51 pp, broché, bon état (Variétés historiques ardennaises). Tiré à 75 ex. numérotés seulement
L'histoire de la cité de Mézières connaît un tournant décisif en 1521, lorsque la ville est assiégée par les troupes de l’empereur Charles Quint. Suite à un différend entre l’empereur du Saint-Empire et Robert II de la Marck, prince de Sedan, soutenu par le roi François Ier, les troupes germaniques s’abattent sur la florissante ville de Mézières, et commencent un long et fastidieux siège. La cité n’est alors sauvée que par l’intervention de Pierre du Terrail, le chevalier Bayard, surnommé « sans peur et sans reproche »... — "M. Paul Laurent, archiviste des Ardennes, poursuit avec un zèle studieux et persévérant ses “Variétés historiques ardennaises”. Utilisant les renseignements fournis par les anciens comptes de la ville de Mézières, il retrace ici une page entièrement inédite du siège de 1521 et ajoute aux noms de Bayard, de Montmorency, de Villeclair, d'Annebaud, de Sassenage, de Lorge, etc., ceux des Macériens qui contribuèrent à un titre quelconque à la résistance." (Revue critique d'histoire et de littérature, 1893)
Toulouse, Privat, 1987, gr. in-8°, 352 pp, 59 gravures, fac-similés et cartes, chronologie, biographies, biblio, index, reliure pleine toile de l'éditeur, jaquette illustrée, ex. numéroté sur vélin spécial Alfan Ventoux à l'intention des souscripteurs, bon état (Coll. Histoire provinciale de la Révolution française)
Dix ans de turbulences révolutionnaires ont particulièrement affecté la sensibilité du Languedoc méditerranéen : les passions se sont entrechoquées, plaines contre montagnes, villes contre campagnes, protestants contre catholiques, terroristes contre aristocrates...
P., De Soye et Fils et Vincennes, chez l'auteur, 1891, in-8°, 192 pp, 10 gravures et plans, broché, couv. abîmée, dos scotché, état correct. Edition originale
L'édifice affirme le pouvoir royal : il protège la capitale mais garantit aussi les rois contre ses soulèvements. Il est le cœur de la monarchie française jusqu'en 1682, quand Louis XIV lui préfère Versailles. Le donjon sert de prison dès le XVIe siècle et jusqu'au XIXe siècle : Fouquet, le marquis de Sade ou Mirabeau y sont détenus. Transformé en caserne et en arsenal par Napoléon Ier, la forteresse protège Paris lors des invasions du XIXe siècle.
Saint-Jean d'Angély, Bordessoules, 2003, in-8°, 319 pp, index des malfaiteurs et index des victimes, lexique, broché, bon état
Ce dictionnaire régional dénonce, sur une période de 1500 ans, 2500 hommes et femmes (plus rares, quelques dizaines) qui ont commis du simple larcin de raisin ou de pomme jusqu'au crime suprême, celui de régicide... Une compilation presque exclusivement poitevine malgré son titre.
André Barry, 1963, in-8°, 51 pp, 35 photos et documents (Coll. Monographies des châteaux de France)
dans le Bulletin de la Société historique et archéologique du Périgord, t. LXXXII, 1ère livraison, 1955, gr. in-8°, 64 pp, qqs illustrations, broché, bon état
Avec dans le même numéro une étude sur La chapelle de château de Montréal et son mobilier (11 pp avec plan et illustrations, par J. Secret).
Valencienne, Chez l'Auteur, 1985, in-8°, 255 pp, nombreuses illustrations dans le texte et hors texte, broché, index des communes, 2e plat lég. défraîchi, état correct
Bulletin de la société historique et archéologique de Corbeil, de l'Essonne et du Hurepoix, 1999, in-8°, 208 pp, un portrait, qqs fac-similés, tableaux généalogiques, gravures et photos, broché, couv. illustrée, bon état
Autres contributions : La mort de Jean Jacquart (1928-1998) ; La population de l'Etampois (Michel Martin) ; L'installation des Américains à Orly en 1918 (Jeannine Henin) ; Le site d'Etiolles en 1998 ; La Seine - prospection archéologique ; Une cave médiévale à Milly-la-Forêt ; Les polissoirs de La Guigneraie à Souzy-la-Briche ; Vigneux-sur-Seine : destruction du site de La Magnanerie.
P., Champion et Beauvais, Impr. départementale de l'Oise, 1921, gr. in-8°, 352 pp, 7 pl. en phototypies et 80 marques, signatures et monogrammes hors texte, broché, bon état
"Sous ce titre, L'art et les artistes en Ile-de-France au XVIe siècle, M. V. Leblond a publié une série de documents concernant les manifestations artistiques dans le Beauvaisis de 1547 à 1595, notamment les marchés conclus pour toute œuvre d’art, pour les constructions et décoration d'églises où d’habitations privées. Ces textes sont extraits de minutes notariales qui demeurent, on le sait, une des sources les plus précieuses de l’histoire locale. Ils nous révèlent l'intensité de la vie artistique dans. ce coin de l‘Ile de France et la publication en est faite avec beaucoup de méthode et de soin. M. V. Leblond a reproduit toutes les marques, signatures et monogrammes qu'il a pu rassembler et enrichi son intéressant volume de sept phototypies qui en augmentent la valeur artistique et documentaire." (Combes de Patris, Revue des Questions historiques, 1922)
Rennes, Terre de Brume, 2002, in-8°, 234 pp, préface de Dominique Besançon, 17 illustrations de Dudoret, broché, jaquette illustrée, bon état (Bibliothèque Celte)
Célébré par tous pour son ouvrage "La Légende de la Mort en Basse-Bretagne", Anatole Le Braz est devenu le chantre d'une Bretagne du mystère et de la légende. Il nous offre, dans les "Contes du soleil et de la brume", une série d'histoires où est tapie l'ombre de l'Ankou et où rugit le souffle du Kornog. "Les Contes du soleil et de la brume" illustrent bien la richesse de la tradition orale en Bretagne, richesse à laquelle nul ne peut rester insensible. "Les Contes du soleil et de la brume" reste un ouvrage indispensable pour tous ceux qui se passionnent pour les récits traditionnels de la Bretagne. "Anatole Le Braz (1859-1926) reste sans doute, de tous les écrivains bretons sans exception, celui qui a le plus intimement pénétré tous les secrets de l'âme bretonne." Cette citation d'Anatole Rivoallan semble parfaitement définir la finesse d'écriture et de perception dont a fait preuve Anatole Le Braz à travers toute son œuvre. Romancier, poète, conteur, conférencier, il a su laisser la parole aux "grandes voix éternelles du vent, de la mer, de la forêt et de la légende." Dominique Besançon aime à dire qu'elle a rencontré Anatole Le Braz un beau jour de 1976 et que, depuis, elle ne l'a plus quitté. Elle lui a d'ailleurs consacré plusieurs travaux universitaires et de nombreuses publications depuis cette date.
Rennes, Terre de Brume, 1998, in-8°, 248 pp, textes inédits rassemblés et présentés par Dominique Besançon, broché, jaquette illustrée, bon état (Bibliothèque Celte)
"Contes du vent et de la nuit", c'est avant tout une atmosphère, une sensation d'étrange, le sentiment angoissant que l'inconcevable va surgir du quotidien, la folie de la sagesse, la mort de la vie. Anatole Le Braz nous a déjà montré à quel point il savait sonder les tréfonds de l'âme bretonne, il nous en dévoile ici l'un des pans les plus obscurs : celui des passions. Il ne s'agit pas de ces passions bruyantes, étalées au grand jour. Non, celles-là sont sourdes, rentrées ; elles sont de celles qui couvent silencieusement mais vont jusqu'au bout : jusqu'à la folie ou la mort. Rien n'est nommé mais tout est dit : l'amour, la vengeance, le remords, le chagrin. Avec les "Contes du vent et de la nuit", inédits jusqu'à ce jour en librairie, nous découvrons qu'Anatole Le Braz était aussi un remarquable auteur de nouvelles fantastiques qui nous plonge avec délice dans “les immenses ténèbres hurlantes” du vent et de la nuit...
Marseille, Laffitte Reprints, 1979, 2 vol. in-8°, 24-xc-448 et 506 pp, préface et notes par Georges Dottin, un portrait de l'auteur en frontispice, biblio, index, brochés, bon état. Réimpression de l'édition Champion de 1928
"Je suis bien incompétent pour parler de ce grand et bel ouvrage, imposant monument d'érudition, qui représente quinze années de travail et qui a classé depuis longtemps M. Anatole Le Braz parmi les maîtres du Folklore breton. Aussi bien n'ai-je pour devoir que de signaler les principales modifications introduites dans cette seconde édition. L'auteur a ajouté à l'ouvrage primitif plus de trente récits et une centaine de croyances et coutumes funéraires, ce qui l'a naturellement amené à remanier différents chapitres et à en créer de nouveaux. Parmi les notes qui accompagnent le texte, les unes, rédigées par M. Le Braz, « ont pour objet d'éclairer ou de compléter, soit par des observations personnelles, soit par des renseignements de topographie ou d'ethnographie,... les récits des conteurs ». – Quant aux autres, elles sont toutes de M. Dottin « et donnent à cette édition son véritable caractère par les comparaisons qu'elles établissent, d'une part, avec les légendes de la Bretagne armoricaine ; d'autre part, avec les croyances analogues des Irlandais, des Ecossais, etc. » De M. Dottin est aussi l'index développé qui termine le second volume de l'ouvrage. La collaboration de M. Dottin est, on le voit, la grande et caractéristique innovation de cette nouvelle édition. (...) L'auteur nous dit la genèse de son ouvrage ; il nous dit la vaste enquête entreprise par lui dans toutes les régions de la Bretagne, et enfin ces veillées familiales de Port-Blanc où, grâce à la confiance qu'inspire une cordiale hospitalité, il recueillit une à une de la bouche même des gens du pays la plupart des légendes funèbres qui remplissent aujourd'hui ces deux gros volumes. Et ainsi des centaines de légendes qui, jusqu'ici, ne subsistaient que par la tradition orale, sont désormais fixées par le livre ; elles vivront avec lui et ne périront plus." (Gustave Allais, Annales de Bretagne et des pays de l'Ouest, 1903)
Grasset, 1977, in-8°, 285 pp, broché, jaquette illustrée (pelliculage de la jaquette très lég. décollé), qqs rares marques au stylo sur 7 pages, bon état (Coll. Figures). Edition originale (il n'est pas mentionné de grands papiers), envoi a.s.
"Nous irons quelque jour, par-delà l'horizon, à la recherche de nos Mondes." Que serait un voyage sans le livre qui l'avive et en prolonge la trace – sans le bruissement de tous ces livres que nous lûmes avant de prendre la route ? Samarcande, Trébizonde, tant de mots, dès l'enfance, qui nous furent comme des portes, tant de récits, tant de légendes ! A sa parution, en 1977, “L'Homme aux semelles de vent” fut salué comme un livre en rupture avec les idéologies du temps. Mais il était bien plus que cela : l'annonce d'un grand retour de la fiction, le premier manifeste pour une "littérature aventureuse". Écrivain, critique littéraire, Michel Le Bris est le fondateur du festival "Étonnants Voyageurs" de Saint-Malo.
P. et La Haye, Mouton, 1971, gr. in-8°, 562 pp, 7 pl. hors texte, biblio, index, broché, couv. illustrée, bon état
Professeur à l'Université de Haute-Bretagne, François Lebrun a consacré sa thèse à l'étude d'une province typique de l'ancienne France : l'Anjou aux XVIIe et XVIIIe siècles. Se tenant quasi totalement à l'écart des "révolutions" démographiques ou mentales du XVIe siècle finissant, l'Anjou fait partie du vaste ensemble Normandie-Poitou-Bretagne qui connaît, dans un siècle de progrès, la stagnation des déshérités et des médiocres. Faire l'histoire de ces temps et de ces lieux, c'est observer des hommes qui vivent mal, donc vulnérables, face aux nombreux fléaux qui les accablent : hommes, femmes et enfants, tous se débattent ou se résignent, désarmés devant la mort.
Toulouse, Privat, 1975, gr. in-8° carré, 340 pp, 12 pl. de gravures et photos hors texte, 23 cartes et illustrations dans le texte, biblio, index, reliure pleine toile éditeur, jaquette illustrée, bon état (Coll. Univers de la France et des pays francophones)
Par Fr. Lebrun, J. Mallet, S. Chassagne.
Toulouse, Privat, 1972, gr. in-8° carré, 462 pp, 43 pl. de gravures et photos hors texte (dont une en couleurs), 38 cartes et illustrations dans le texte, biblio, index, reliure éditeur, 1er plat illustré, rhodoïd, bon état (Coll. Univers de la France et des pays francophones)
Par M. Gruet, J. Siraudeau, J.-M. Bienvenu, M. Le Mené, Fr. Lebrun, P. Bois et P. Wagret.
Luçon, Editions Sud-Ouest, 1992, gr. in-8°, 317 pp, illustrations dans le texte et hors texte, biblio, chronologie, broché, couv. illustrée, bon état
Occupée par l'homme depuis 500.000 ans, la région aquitaine est une terre au destin remarquable. L’Aquitaine, en effet n’est pas une région comme les autres. D’abord parce qu’au temps des Gaulois elle n’appartenait pas à la Gaule, comme le notaient tous les auteurs grecs et romains. Ensuite parce qu’au Moyen Âge, comme la Bretagne, elle constituait un duché indépendant sous la suzeraineté du roi de France. Elle sera remplacée par les provinces de Guyenne et Gascogne sous la monarchie... — De l'art préhistorique à certaines idées de 1789, en passant par les grands crus ou la place de la femme dans le monde occidental, l'apport des Aquitains à la civilisation a été capital. D'Aliénor et des troubadours aux aventuriers des mers, tels Borda ou Cousteau, du Prince Noir à Henri IV, des croquants périgourdins aux cadets de Gascogne, ce livre raconte l'histoire de tous les Aquitains. On voit les bourgeois médiévaux dépenser leur richesse acquise grâce au négoce du vin, les frondeurs de 1651 faire de Mazarin le roi du Carnaval. On assiste à la transformation de l'habitat au XVIIIe siècle. On pénètre dans l'atmosphère feutrée de la vie urbaine au XIXe... Un ouvrage aussi riche en réflexions qu'en anecdotes : « Il y a dans ce livre et cette histoire la matière de dizaines de films qui raconteraient tous les âges de l'humanité » (Claude Villers, France Inter).
Editions de la Tour Gile (Ain), 1996, in-8°, xi-324 pp, broché, couv. bordeaux imprimée or, bon état. Réimpression à tirage limité de l'édition de Paris, 1848. Exemplaire n° 141
Le livre de Auguste-François Lecanu (1803-1884) étudie la période gallo-romaine, mérovingienne, la fondation de la seigneurie et l'histoire des premières familles seigneuriales, les moines de Saint-Denis, Saint-Vincent de Paul, la Révolution et la Restauration, etc. — "Ce livre commence au temps des Gaulois, sous ce prétexte que la fameuse bataille livrée par Labiénus au chef des Parisii, Camulogène, aurait eu pour théâtre non pas le Roule, comme le croyait l'abbé le Beuf, ni les hauteurs de Chaillot, comme d'autres l'ont pensé, mais la plaine de Clichy. Nous citons cet ouvrage à cause des détails intéressants qu'il contient sur saint Vincent de Paul et sur la suite des seigneurs entre les mains de qui le fief de Clichy a successivement passé depuis les premières années du treizième siècle. On y voit aussi la constatation de l'inutilité de tous les efforts qui ont été faits pour retrouver l'emplacement de l'habitation que le roi Dagobert avait à Clichy. Enfin M, Lecanu a eu la bonne fortune d'y faire connaître un triens inédit frappé à Clichy la Garenne au sixième siècle." (Bibliothèque de l'école des chartes, 1849)
France-Empire, 1984, in-8°, 206 pp, 8 pl. de photos hors texte, broché, couv. illustrée, bon état (Coll. Si 1900 m'était conté)
Mémoires : une petite fille habillée en garçon vit au début du XXe siècle dans une grande ferme isolée, située au sommet d'une falaise dominant l'embouchure de la Canche. Orpheline de mère, elle est élevée par son père et son oncle, et aussi par les domestiques de l'exploitation qui lui inculquent l'amour de la nature. A l'âge où les petites filles de son époque dorlotent des poupées, Marguerite apprend à traire les vaches, à régler une charrue, à affuter une lame, à aider au ferrage des chevaux... Un émouvant témoignage sur un milieu agricole disparu...