8, rue Bréa
75006 Paris
France
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Phone number : 01 43 54 43 61 Editions Hors Collection, 2017, gr. in-8°, 442 pp, 16 pl. de photos en noir et en couleurs hors texte, biblio, filmographie, index, broché, couv. illustrée, manque la page de titre, bon état
Les initiales DD ont été célèbres bien avant BB. Danielle Darrieux, jeune Bordelaise "montée à Paris" à l'âge de 2 ans, a tourné son premier film en 1931, elle avait 14 ans. Elle atteint le statut de star en 1936 grâce à “Mayerling” d'Anatole Litvak où elle partage la vedette avec Charles Boyer. Le film est un succès mondial qui lui ouvre les portes d'Hollywood, elle signe un contrat de 7 ans avec les studios Universal. Dans les années 30, elle incarne un fantasme de la société de l'entre-deux-guerres, le personnage de la femme moderne. A cette époque, elle est la plus populaire des actrices françaises, elle est également la mieux payée. Toutes les jeunes femmes veulent lui ressembler. Pendant la Seconde Guerre mondiale, elle tournera “Premier rendez-vous” pour la firme de cinéma allemande Continental ; ce voyage en Allemagne en 1941 lui sera longtemps reproché. DD revient à l'écran dans un film de Claude Autant-Lara “Occupe-toi d'Amélie” (1949) ; ce nouveau succès fait oublier les années grises et sa carrière se poursuivra, presque sans interruption, jusqu'en 2010. Danielle Darrieux s'est mariée à trois reprises, une première fois avec le réalisateur Henri Decoin,une deuxième fois avec un playboy diplomate, Porfirio Rubirosa et une troisième et dernière fois avec le scénariste Georges Mitsinkidès. Cette actrice élégante avait démarré une carrière de chanteuse avant de se consacrer entièrement au cinéma au début des années 30. Elle aura exploré tous les registres, de l'ingénue à la femme tragique en passant par la coquette, la naïve ou encore la vieille femme indigne. Danielle Darrieux, c'est aussi plus de 80 ans de cinéma, une filmographie impressionnante, un hymme à la gloire du cinéma français.
Editions Charles Mandel, 1963, in-8°, 474 pp, écrit en collaboration avec Rowland Barber, traduit de l'américain par Jean Paradis, broché, couv. illustrée à rabats, bon état
"... Sur les Marx Brothers toute une littérature a fleuri, dont l’intérêt semble à peu près nul depuis qu’ont été publiés le “Groucho and Me” de Groucho Marx (éd. Arthaud) et surtout le “Harpo Marx”, de Harpo (éd. Charles Mandel). Ce sont, par la drôlerie des anecdotes, la précision des portraits, la façon de concevoir l’existence, les trouvailles de toutes sortes, en somme le talent, des ouvrages bien supérieurs à ceux que la famille Marx a inspirés aux biographes et essayistes professionnels. Chez les Marx, c’est Groucho qui était considéré comme l’écrivain du groupe ; pourtant, il y a chez Harpo un reporter de classe, un observateur d’une grande finesse. Aucun des deux n’a eu la prétention d’écrire sur l’art comique." (Fernand Pouey) — "... Voilà, le moment est venu maintenant pour moi, d’enlever mes chaussures, de m’étirer et de dire quelques mots. Les jours de lutte sont terminés. Pourtant, je voudrai pouvoir dire en jetant un regard sur mon passé : « je n’ai pas un seul regret. » Malheureusement, j’en ai un. Il y a déjà plusieurs années de cela, un homme très sage du nom de Bernard Baruch me prit à part et me dit en me tapotant l’épaule : « Harpo, mon garçon, il faut que je te donne trois conseils, trois choses dont tu devras toujours te souvenir. » A ces mots, mon cœur bondit, je brûlais d’impatience : j’allais enfin connaître le mot magique, le sésame qui vous ouvre une vie fortunée et heureuse, et cela, de la bouche même du maître. « Oui, monsieur, lui dis-je. » Il me dit ces trois choses. Mon seul regret est d’avoir complètement oublié ce que c’était." (pp. 8-9)
P., Institut des Hautes Etudes Cinématographiques, 1963-1964, 2 vol. gr. in-8°, 231 et 284 pp, texte dactylographié, brochés, couv. illustrées, discret C. de bibl., bon état (Coll. cours et publications de l'IDHEC, série Histoire et sociologie). Rare
France-Empire, 1978, gr. in-8°, 267 pp, 16 pl. de photos et documents hors texte, filmographie, broché, couv. illustrée à rabats, bon état
"De toutes les vedettes de l'écran, Rudolph Valentino demeure la plus célèbre mais aussi la plus contestée. Cinquante ans après sa mort, il a gardé une telle aura de fascination et de mystère que son personnage inspire encore aux auteurs dramatiques, aux musiciens, aux scénaristes et aux metteurs en scène de cinéma et de télévision, des oeuvres qui s'acharnent le plus souvent à salir sa mémoire. Les calomnies et les ragots ne peuvent, pourtant, ternir l'image d'un homme qui, en moins de dix ans de carrière cinématographique, fut l'idole de toutes les femmes et l'acteur le plus jalousé du monde. À l'annonce de sa mort, le drapeau américain fut mis en berne. 300 000 personnes défilèrent devant le catafalque de Valentino, à New York. 1000 policiers escortèrent son cercueil dans l'avenue de Broadway où pendant trois jours, plusieurs équipes de balayeurs s'employèrent à déblayer les fleurs jetées sur le parcours de l'escorte funèbre par une foule hystérique. Au cours de la semaine qui suivit, treize femmes se suicidèrent par amour. Mais personne ne songea à payer les frais de sépulture de Rudy qui laissait 160 000 dollars de dettes ! Une souscription fut ouverte et 12 acteurs seulement sur les 12 000 lettres envoyées, consentirent à se dessaisir de quelques dollars pour assurer une dernière demeure à celui qui avait été sacré des titres prodigieux d'« amant du monde » et du « plus grand séducteur de l'écran ». Tous ceux qui le jalousaient affirmèrent alors que Rudolph Valentino était homosexuel alors même qu'une enquête révélait que… 65 femmes reconnaissaient avoir eu un enfant de lui ! Tout comme sa virilité, le talent de Rudolph Valentino fut mis en doute. Il n'est que de revoir à la Cinémathèque ou dans les cinémas qui reprennent, avec profit, aujourd'hui ses principaux films – « Les quatre cavaliers de l'apocalypse », « Le Sheik », « Arènes sanglantes », « L'hacienda rouge « , « Monsieur Beaucaire », « L'aigle noir », etc. pour être convaincu que le charme et les qualités de comédien de Valentino étaient indéniables. Victime de cabales d'envieux, Rudolph Valentino ne pouvait échapper, même au-delà de sa mort, à la critique. Il importait de le faire sortir d'une légende abusive et méprisable. C'est pourquoi il faut lire Rudolph Valentino, ce livre de Jeanne de Recqueville qui, en s'appuyant sur une documentation précise, fruit de cinquante années de recherches minutieuses, restitue pour la première fois l'image véritable de Valentino."
P., Société Parisienne d'Edition, 1943, in-12, 237 pp, 16 pl. de photos hors texte, index des noms cités, broché, couv. ornée d'un petit portrait photo de Charles de Rochefort, bon état, envoi a.s. de Ch. de Rochefort
Mémoires de l'acteur et réalisateur Charles de Rochefort. Star du cinéma muet, il tourne en France, aux Etats-Unis et en Italie une trentaine de films en tant qu'acteur et une dizaine d'autres en tant que réalisateur. Comparse habituel de Max Linder, il joue aussi sous la direction d'Abel Gance, Léonce Perret et Victor Fleming. Son rôle le plus prestigieux est celui du pharaon Ramsès II dans la version muette des Dix Commandements réalisée par Cecil B. DeMille en 1923. Ses souvenirs, rédigés par Pierre Andrieu, évoquent le théâtre, la Grande Guerre, le cinéma, les Etats-Unis, la prohibition, Hollywood, etc. — Charles de Rochefort grandit à Oran, en Algérie française, où son père, le Marquis Paul Charles Dominique d’Authier de Rochefort, occupe le poste de directeur de la Compagnie Générale Transatlantique. Sa mère Camille est issue d'une illustre famille Corse. Adolescent, il fait du sport assidument et se forge un corps d’athlète. En 1905, il termine ses études à Paris où nait son attirance pour la scène. Charles de Rochefort se consacre rapidement exclusivement à sa nouvelle passion. Avec son charisme, son allure et son ardeur, il est très vite employé pour jouer des petits rôles au théâtre ou dans des revues de music-hall. Dès 1910, il fait ses premières apparitions pour le cinéma dans des petits films d’une ou deux bobines de Max Linder. Quand la Première Guerre Mondiale éclate, il s’engage aussitôt. En qualité de lieutenant, il participe à plusieurs campagnes et se bat à Verdun. Il est démobilisé en 1918. Charles de Rochefort est aussitôt engagé par Jean Durand pour être le partenaire de Jacqueline Forzane dans Impéria (1918), un sérial en costumes de douze épisodes produit par la Société des Cinéromans. Il travaille ensuite sous la direction de Gaston Roudès, Camille de Morlhon, Léonce Perret, et devient une vedette à part entière avec Le roi de Camargue (1921), adapté du roman de Jean Aicard par André Hugon. Ses qualités physiques sont mises à contribution dans des drames, des films d’aventure ou romanesques. Il tourne entre-autres, dans Gigolette (1921) d'Henri Pouctal, L’empereur des pauvres (1921) de René Leprince, L’arlésienne (1922) d'André Antoine, Le diamant noir (1922) d'André Hugon et La dame au ruban de velours (1923) de Giuseppe Guarino. Parallèlement, Charles de Rochefort commence une carrière américaine dans Sous le soleil d’Espagne (1922), une production de la Famous Players-Lasky tournée en Espagne par John S. Robertson. Sous le nom de Charles de Roche, il est la vedette d’une demi-douzaine de films à Hollywood, parmi lesquels La flétrissure (1923) de George Fitzmaurice avec Pola Negri, et surtout Les dix commandements (1923) de Cecil B. DeMille, dans le rôle de Ramsès II. De retour en France, il passe à la réalisation et dirige sept films dans les années 1930. En 1936, il prend la direction du Théâtre Albert 1er et le renomme Théâtre Charles-de-Rochefort. Pour sa première pièce il présente Allo, Police-secours, une œuvre policière dont il est l’auteur. Le succès le pousse à monter de nombreuses pièces du même genre, assurant souvent lui-même la mise en scène. Mobilisé et blessé au cours de la Seconde Guerre mondiale, c’est son épouse, la comédienne Mary Grant, qui reprend la direction du théâtre, poste qu’elle occupera jusqu’en 1972. En 1943, l’acteur publie ses mémoires sous le titre "Le film de mes souvenirs : Secrets de vedettes". Malade, il s’éloigne du métier à la fin des années 1940. Il décède à Paris, le 31 janvier 1952. (notrecinema.com)
Editions Universitaires, 1959, in-8°, 223 pp, 140 photos, biblio, couv. illustrée rempliée, dos lég. abîmé, discret C. de bibl., envoi a.s. de R. Claude
Alsatia, 1939, pt in-8°, 80 pp, prière d'insérer, discret C. de bibl.
P., Editions du Cygne, 1932, in-4°, 366 pp, préface par Henri Fescourt, 16 planches hors texte (dont une en couleurs), 198 photos imprimées en sépia, 84 illustrations et figures dans le texte, broché, couv. lég. défraîchie, bon état
Bon ouvrage de documentation sur le cinéma muet et les débuts du parlant en France et dans le monde. Les notions techniques fondamentales sont également traitées. Par G.-A. Auriol, Jean-Louis Bouquet, Charles Burguet, Henri Charollais, G.-M. Coissac, Dr Comandon, J.-L. Croze, Ch. Delac, Gaël Fain, Henri Fescourt, Joé Hamman, René Jeanne, Georges Maurice, Dr Noguès, Michel Picot, Louis Saurel, Germaine Dulac.
Armand Colin, Société d'Histoire moderne, 1986, gr. in-8°, 168 pp, broché, bon état
Histoire et société (Jean-A. Gili et Pierre Milza) – Le cinéma à l'Exposition universelle de 1900 (Emmanuelle Toulet) – Aux origines du spectacle cinématographique en France. Le cinéma forain : l'exemple des villes du Midi méditerranéen (Guy Olivo) – La fortune critique de Bêla Balâzs en France (Barthélémy Amengual) – L'accueil du cinéma français en Italie pendant l'époque fasciste (1930-1945) (Jean-A. Gili) – Cinéma suisse de fiction et « défense nationale spirituelle » de la Confédération helvétique (1933-1945) (Rémy Pithok) – « La bataille du rail » : de l'authenticité à la chanson de geste (Jean-Pierre Bertin-Maghit) – L'accueil des films américains en France pendant la guerre froide (1946-1953) (Patricia Hubert-Lacombe) – Les origines de la légende noire des accords Blum-Byrnes sur le cinéma (Jacques Portes) – Comptes-rendus d'ouvrages d'histoire sur le cinéma.
CORCY (Marie-Sophie), Jacques Malthète, Laurent Mannoni, Jean-Jacques Meusy.
Reference : 100475
(1999)
Association française de recherches sur l'histoire du cinéma (AFRHC), 1999, gr. in-8°, 495 pp, 30 pl. de photos et fac-similés hors texte, biblio, index, cart. illustré de l'éditeur, bon état
Ce recueil de lettres s’ouvre en 1895, lorsque le jeune Léon Gaumont reprend le Comptoir général de photographie, situé au 57 rue Saint-Roch, à Paris. La même année, il commercialise les appareils chronophotographiques de Georges Demenÿ, l’ancien collaborateur de Marey. En 1896, il lance une excellente caméra réversible à pellicule 58 mm perforée, qui lui permet de constituer son premier catalogue de films. Ce format est délaissé en 1897 pour le 35 mm, et de nouveaux ateliers et un studio de prises de vues sont alors édifiés. Le chiffre d’affaires de la société augmente peu à peu, grâce au soutien actif et intéressé des principaux commanditaires, dont Gustave Eiffel. En 1899, la société "L. Gaumont & Cie", après avoir fabriqué en série le Mutoscope, se prépare à participer à l’Exposition universelle de 1900. Les lettres et documents d’archives rassemblés ici – avec une quarantaine d’illustrations – concernent aussi bien l’histoire économique de la société Gaumont que l’évolution technique du cinéma. On pénètre ainsi dans l’intimité de l’entreprise; on découvre les locaux de la future "Cité Elgé" des Buttes-Chaumont; on savoure les arguties des contrats qui lient les inventeurs, les fabricants au distributeur Gaumont. Par ailleurs, certains appareils de photographie ou de cinématographie sont minutieusement décrits (une quinzaine d’illustrations les reproduisent). Gaumont sait s’intéresser à d’autres domaines ; avec Gustave Eiffel, par exemple, il expérimente les fameux rayons X qui viennent d’être découverts. Cette correspondance apporte une somme de nouvelles informations sur l’industrie et la science de la fin du 19e siècle, et sur les débuts du cinéma français - au point de vue technique, artistique et économique.
Publications Henry Coston, 1998, in-8°, 128 pp, 3 documents en fac-similé et et un dessin à pleine page, annexes, broché, bon état
L'Harmattan, 1984, in-8°, 360 pp, 16 pl. de photos hors texte, index, discret C. de bibl.
André Bonne, 1956, pt in-8°, 250 pp, dos lég. abîmé, discret C. de bibl., envoi a.s.
Plon, 1985, in-8°, 238 pp, 16 pl. de photos hors texte, jolie reliure demi-toile verte à coins, pièce de titre de maroquin noir, couv. conservées
Gallimard, 2001, in-8°, 282 pp, 31 pl. de photos hors texte, broché, bon état (Coll. Blanche)
La plupart des films de Guy Debord, l'un des théoriciens de l'Internationale situationniste, sont constitués par les textes ou déclarations de l'auteur plus ou moins directement illustrés de bandes documentaires détournées. Ces "Oeuvres cinématographiques" ont été publiées pour la première fois en 1978.
Secaucus, New Jersey, The Citadel Press, 1972, in-4°, 255 pp, 478 photos
Secaucus, New Jersey, The Citadel Press, 1972, in-4°, 192 pp, 268 photos, index
Perrin, 1988, in-8°, 277 pp, 16 pl. de photos hors texte, broché, couv. illustrée, bon état
Yvonne Printemps (1894-1977), figure multiple, de ses premiers pas au music-hall, dans de lestes revues dont les couplets le sont autant, à la gloire du théâtre et du cinéma. Le critique Jox de Brux déclare dans Comoedia : « Un rossignol ne fait pas le printemps affirme un proverbe. Par contre , mademoiselle Printemps fait très bien le rossignol. Quelle voix pure, cristalline, si joliment timbrée, si adroitement conduite ! » La petite Printemps est lancée...
Institut des Hautes Etudes Cinématographiques, 1964, gr. in-8°, 71 pp, 4 dépliants hors texte, discret C. de bibl. (Coll. cours et publications de l'IDHEC, série Enseignement Cinéma-Télévision)
La Manufacture de livres, 2021, in-8°, 201 pp, notes, broché, couv. illustrée, bon état
Bernard Natan, émigré d'origine roumaine, a 34 ans quand il fonde sa première société de production cinématographique. Entrepreneur visionnaire, passionné par le 7ème art et certain de son essor malgré les crises économiques et politiques de l'entre-deux guerres, il investit sans relâche, modernise, transforme en précurseur. Production, diffusion, premiers films parlants, importation des dessins animés de Walt Disney en France, il est de toutes les avancées modernes du grand et du petit écrans, à l'instar des Goldwyn, Mayer et Warner américains. Il acquiert en 1929 le groupe Pathé qu'il tentera de sortir de la faillite. Ses difficultés économiques, les attaques constantes des médias et une cabale publique sur fond d'antisémitisme, le conduiront à son emprisonnement en 1939 puis à sa déportation en 1942, jusqu'à sa mort dans le camp d'Auschwitz. Personnage fascinant et pilier français du cinéma des années 1920 et 1930, Bernard Natan deviendra le monstre sacré oublié du cinéma, l'investisseur génial dont la mémoire fut sacrifiée aux heures noires de l'Histoire.
Odège, 1977, in-4°, 400 pp, très nombreuses photos en noir et blanc et en couleurs, index, cartonnage éditeur illustré
Editions Universitaires, 1964, in-12, 192 pp, 32 pl. de photos hors texte, filmographie, dos lég. abîmé, discret C. de bibl. (Coll. Classiques du Cinéma)
New York, The Orion Press, 1962, in-8°, xx-362 pp, 153 photos, index, reliure toile éditeur, jaquette illustrée, discret C. de bibl.
Jean-Pierre Taillandier, 2003, in-8°, 165 pp, 88 pl. de photos et documents hors texte en noir et en couleurs, broché, couv. illustrée, bon état
Suivez Vincent Fernandel dans la maison familiale des "Mille roses"... Découvrez l'esprit d'une famille pas comme les autres, des anecdotes jamais racontées, des histoires en coulisses inédites, des correspondances très privées et des cahiers photos qui révèlent un Fernandel que vous ne pouviez pas connaître. Vincent, son petit-fils, nous raconte aujourd'hui avec un bel accent tonique et un parler authentique de son Marseille, des histoires sur celui qui fut un artiste d'exception mais aussi un homme "ordinaire" à travers ses joies, ses peines, ses doutes, ses coups de gueule, ses amitiés de Pagnol à Guitry, de Gabin à Verneuil, en passant par Galabru et tant d'autres encore... Un ouvrage drôle, tendre et sincère. Tout simplement un mistral d'émotion et des plages de souvenirs.