8, rue Bréa
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France
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Phone number : 01 43 54 43 61[Atlas historique] – BENGTSON (Hermann), Vladimir MILOJCIC.
Reference : 121721
(1954)
München, Bayerischen Schulbuch-Verlag, 1954, in-4° (24 x 34), viii pages, un tableau chronologique comparatif dépliant et 44 planches de cartes en couleurs (certaines doublées d'un calque imprimé pour bien voir les évolutions), plus 15 pages d'index, cart. illustré de l'éditeur avec dos toilé, bon état. Légendes des cartes en allemand
Excellent atlas historique. — "Le Grosser historischer Weltatlas est considérable. Beaucoup moins étroitement scolaire que d'autres atlas. Des croquis clairs et sérieusement établis..." (Lucien Febvre, Annales ESC, 1955)
PUF, 1955, in-4°, xi-55 pp, + 15 planches hors texte légendées en regard, biblio, index, reliure pleine toile carmin, dos lisse, pièce de titre basane vermillon (lég. salie), couv. et dos conservés (rel. de l'époque), bon état (Publications du musée Guimet, Recherches et documents d'art et d'archéologie, tome VI). Edition originale
"... Jeannine Auboyer avait pour objectif de développer une ligne de recherche constituée par une série de minutieuses enquêtes thématiques s'appuyant sur les documents archéologiques de l'Inde. Cette démarche apparaît déjà clairement dans sa thèse soutenue brillamment en 1946 à l'Ecole pratique des Hautes Etudes : « Le Trône et son symbolisme dans l'Inde ancienne », qui devait lui valoir le prix Paul Pelliot en 1950. Elle précise de nouveau sa méthodologie en 1955 dans l'introduction du premier fascicule paru du grand corpus de « La vie publique et privée dans l'Inde ancienne». Constatant combien les objets provenant des fouilles archéologiques sont finalement peu nombreux, il lui était apparu nécessaire de tirer parti des informations fournies par les reliefs narratifs des monuments pour éclairer la vie quotidienne, les cérémonies et les fêtes de l'Inde ancienne. Naturellement, dans cette entreprise, elle n'oublie pas les leçons de Marcel Mauss, de Rivet et des sociologues de l'époque. C'est ainsi qu'elle inaugure cette série de publications par une étude intitulée : Les jeux et les jouets, dans laquelle elle montre l'étroit parallèle entre le jeu et l'action sacrée. Mais on retrouve aussi dans cette approche, la formation qu'elle a reçue dans les ateliers d'artistes où elle a appris à voir les œuvres et à les dessiner. Elle a en effet fait du dessin qu'elle a toujours pratiqué, une véritable technique d'analyse. Cette familiarité avec les documents figuratifs devait aussi beaucoup l'aider à écrire « La vie quotidienne dans l'Inde ancienne », ouvrage paru en 1961, réédité plusieurs fois et traduit en huit langues..." (Jeannine Auboyer 1912-1990, par Jean-François Jarrige, Arts asiatiques, 1991)
PUF, 1969, in-4°, viii-68 pp, + 44 planches hors texte légendées en regard, biblio, index, broché, bon état (Publications du musée Guimet, Recherches et documents d'art et d'archéologie, tome VI). Edition originale
"Dans les Publications du Musée Guimet a paru le Fascicule I (Première partie) de la “Vie publique et privée dans l'Inde ancienne (IIe s. av. J.-C.-VIIIe s. environ)”, ouvrage qui constitue le tome VI de la collection “Recherches et documents d'Art et d'Archéologie”. Ce fascicule, écrit en collaboration par Jeannine Auboyer, Conservateur en chef du Musée Guimet, et Jean-François Enault, Architecte de la Mission archéologique de l'Indus (auquel sont dus d'autre part les dessins), est consacré à “L'architecture civile et religieuse” (jusqu'au IIIe/IVe s. de notre ère) : 67 pages de texte suivi (Avertissement. Présentation de l'architecture indienne (J. Auboyer). Étude technique (Jean- François Enault). Bibliographie. Index. Table des illustrations in texte. Table des planches) et 44 planches de dessins sur feuilles libres, avec les commentaires afférents disposés en regard." (Arts Asiatiques, 1970)
P., Librairie Lecoffre, J. Gabalda et Cie éditeur, 1958, gr. in-8°, xvi-(1)-498 pp, biblio, 4 index, reliure pleine toile bleue, dos lisse avec titres dorés (dos lég. passé), couv. et dos conservés (rel. de l'époque), bon état (Coll. Etudes Bibliques)
"Voici un gros livre qui mérite la plus sérieuse attention tant en raison de la nouveauté et de la portée des thèses qu'il défend (ne prétend-il pas retrouver dans la Didachè une oeuvre chrétienne antérieure aux Evangiles !) que de l'érudition qui les fonde. Si, bien souvent, les conclusions ne nous semblent pas devoir emporter la conviction, il faut néanmoins dire très nettement combien il nous paraît bon de reprendre aujourd'hui, et d'une manière aussi fondamentale, l'étude de ces écrits du christianisme primitif, en particulier des Pères apostoliques dont la Didachè est un joyau. Il faut en repenser les problèmes en y projetant la lumière de nos connaissances sans cesse plus précises de cette période et de ces milieux si importants dans lesquels se réalisa la jonction entre le bas-judaïsme et le christianisme naissant. (...) Si nous nous sommes exclusivement arrêté sur les deux cents premières pages du livre examiné, c'est que les thèses qui y sont exposées appelaient, par leur nouveauté et leur portée, un sérieux examen. Il ne faut cependant pas manquer d'attirer l'attention des lecteurs sur la seconde moitié du travail qui nous offre un commentaire suivi. Il y a là d'excellentes pages, mais dont il est difficile de rendre compte." (Pierre Prigent, Revue de théologie et de philosophie, 1960)
Flammarion, 1970, in-8°, 267 pp, nombreuses illustrations, biblio, glossaire, broché, bon état
"Les spectacles de l'Ancienne Rome n'étaient pas ces divertissements passagers, dépendant d'un choix personnel, que notre civilisation connaît. Devenus sous l'Empire une sorte d'opium, ils ont fini par donner à la vie quotidienne de Rome son rythme et son éclat. D'un bout à l'autre de l'année, le Romain vit dans l'attente des prochains jeux. C'est par eux qu'il oublie la médiocrité de sa condition et son esclavage politique : on peut, sans exagération, parler à ce propos d'une civilisation du loisir."
CDU, 1949, in-4°, 104 pp, texte dactylographié, qqs soulignures crayon, broché, bon état (Coll. Les cours de Sorbonne)
Tome I seul (sur 2).
PUF, 1955, fort in-8° carré, 701 pp, 48 pl. en héliogravure hors texte, 34 cartes et plans, tableau synchronique, biblio, index, cart. éditeur, sans la jaquette, bon état (Coll. Histoire générale des civilisations)
Plon, 1993, in-8°, 280 pp, une carte, biblio, broché, état correct
London, 1925, fort in-8°, 324 pp, 32 pl. de photos et documents hors texte dont 4 en couleurs, index, reliure toile bleue éditeur, état correct. Edition originale.
Nanteuil-lès-Meaux, Chez l'auteur, s.d. (1968), in-4°, 84 pp, 19 pages de croquis, texte dactylographié, dos toilé muet
Payot, 1938, in-8°, 264 pp, traduit de l'anglais, 3 cartes, broché, couv. illustrée, bon état (Bibliothèque historique)
Tibère est né à Rome le 16 novembre 42 av. J.-C. et mort à Misène le 16 mars 37 ap. J.-C. C'est le deuxième empereur romain de 14 à 37. Il appartient à la dynastie Julio-Claudienne. Durant sa jeunesse, Tibère se distingue par son talent militaire en conduisant avec succès de nombreuses campagnes le long de la frontière septentrionale de l'Empire et en Illyrie, souvent aux côtés de son frère Drusus, qui meurt en Germanie. Après une période d'exil volontaire dans l'île de Rhodes, il retourne à Rome en 4 ap. J.-C. où il est adopté par Auguste... Une fois empereur, il met en place d'importantes réformes dans les domaines économiques et politiques, met un terme à la politique d'expansion militaire, se limitant à sécuriser les frontières grâce à l'action de son neveu Germanicus. Après la mort de ce dernier et de celle de son fils Drusus II, Tibère favorise l'ascension du préfet du prétoire Séjan. Il s'éloigne de Rome et se retire sur l'île de Capri. Lorsque le préfet essaie de s'emparer du pouvoir, Tibère le fait destituer et assassiner. L'empereur ne retourne plus dans la capitale où il est haï jusqu'à sa mort en 37. Caligula, fils de Germanicus et d'Agrippine l'Aînée, lui succède. Tibère a été durement critiqué par les historiens antiques tels que Tacite et Suétone, mais sa personnalité a été réévaluée par les historiens modernes, qui reconnaissent en lui un politicien habile et prudent.
Scorpion Publishing, MCS, 1994, in-8°, 216 pp, 96 photos sur 48 pl. en couleurs hors texte, 34 figures, cartes et plans, biblio, index, broché, couv. illustrée, bon état. Texte en anglais
Musée du Louvre, Editions Khéops, 2007, in-4°, 368 pp, 872 illustrations en couleurs, broché, couv. illustrée à rabats, bon état
Volume de planches seul. — Le Nouvel Empire, qui marque l'apogée dans le domaine artistique, est la période la plus connue de l'histoire égyptienne. Ses plus grands souverains, Thoutmosis III, Aménophis III, Akhénaton et Nefertiti, Toutânkhamon ou encore Ramsès II, ainsi qu'une foule de divinités et d'animaux, sont superbement représentés au Louvre. Ce catalogue en constitue la publication exhaustive.
Bloud et Gay, 1935, gr. in-8°, 318 pp, broché, bon état
Les Pères apostoliques. La fin du IIe siècle. Les Alexandrins. Les Evêques du IIIe siècle. — "M. Bardy est inépuisable quand il s'agit d'exploiter la littérature patristique. Il ne s'agit ici que des Pères anténicéens est non pas de tous, mais de ceux dont les œuvres sont suffisamment conservées pour qu'il y ait intérêt à les analyser..." (E. Amann, Revue des Sciences religieuses, 1936)
PUF, 1964, gr. in-12, viii-300 pp, traduit de l'italien par Maurice Vaussard, 16 pl. de photos hors texte, 21 cartes et plans, 2 index, cart. illustré de l'éditeur (lég. frotté), bon état (Coll. Nous partons pour...)
"A Florence, avec simplicité, mais aussi avec une conscience aiguë, on a donné à l'art, comme à toute autre activité humaine, une fin immédiate et directement pratique : fins religieuses, fins politiques, fins sociales, fins économiques aussi, voire fins partisanes... Les œuvres et les monuments, à Florence, « vivent » à côté des hommes, compagnons de leurs fatigues et de leurs joies. Pour s'en convaincre, le visiteur est invité à faire dix promenades florentines, dont l'itinéraire, calculé chaque fois sur un thème, sur une idée, ou autour d'un ensemble majeur, est décrit ici sobrement, clairement. Deux excursions complémentaires sont prévues, l'une vers San Miniato et vers la Chartreuse, l'autre vers les Villas médicéennes et vers Vallombreuse. L'antiquité n'est pas oubliée ; les vestiges de la cité romaine (fondation césarienne, devenue au IIIe siècle le siège du Corrector Italiae) ont droit à quelques pages, ainsi que les ruines de Fiesole, la ville étrusque transformée en municipe romain." (J. Marcadé, Revue des Études Anciennes, 1965)
Julliard, 1973, in-8°, 317 pp, 22 illustrations dans le texte, 16 pl. hors texte, 2 cartes, notes et biblio, cart. éditeur, jaquette illustrée, bon état
Les Pierres Levées ont été jusqu'ici une énigme. Cimetières pour guerriers. enceintes pour rites druidiques, temples, forums, toutes les hypothèses ont été émises. Henry Bar s'est penché sur ce mystère : les pierres se sont levées pour porter une imagerie. L'auteur ressuscite ici une immense galerie de tableaux d'ancêtres et nous restitue une « atmosphère du temps » qu'on croyait perdue à jamais. Il évoque tous les aspects de la mort ancienne, qui expliquent les formes mégalithiques. Il révèle les gestes de la Grande Déesse, maîtresse de la tombe, et des héros ses sujets. Quand la Grande Déesse se retrouve Fée, quand les héros se muent en nains dans les légendes ou en dieux sur les autels, rien ne change en vérité. Aujourd'hui encore, les contes dont on berce les enfants, les superstitions dont on se défend mal viennent en ligne directe de ce passé oublié. Pour ressusciter ce grand héritage, il fallait un mythologue et un dessinateur. Henry Bar est l'un et l'autre. Il a su déchiffrer ces lointains messages et nous apprend à les découvrir à notre tour.
Imprimerie nationale de Monaco, 1968, in-12, 136 pp, 24 figures dans le texte, une carte des sites préhistoriques de la Côte d'Azur orientale, broché, couv. illustrée, bon état
SEDES, 1975, gr. in-8° carré, xliv-381 pp, préface de Jean Beaujeu, 22 pl. commentées et 3 plans hors texte, glossaire, broché, couv. illustrée, état correct
Albin Michel, 1979, in-8°, 287 pp, une carte, qqs illustrations dans le texte, broché, couv. illustrée, bon état
Fayard, 1993, in-8°, 440 pp, 7 cartes, notes bibliographiques, index, reliure souple illustrée de l'éditeur, qqs discrètes marques au crayon en marges, bon état
Paul est surtout connu comme un champion de la conversion des païens. En réalité, l'homme d'action dut composer avec les pouvoirs publics et fut contesté par ses pairs. L'apôtre connut des échecs, et ceux-ci témoignent de l'individualisme des premières communautés chrétiennes. Rechercher Paul à travers les portraits stéréotypés que nous en livrent les sources, c'est donc découvrir la différence entre un homme doté de pouvoirs surnaturels, comme l'attendaient les Grecs, et un charismatique qui les renvoie à Dieu. Derrière le portrait du saint apparaît alors une personnalité complexe : un homme qui resta attaché à ses origines juives ; un homme doué d'un sens évident de la communication, qui acquit une formidable maîtrise de l'espace politique romain. Un homme, enfin, qui partout suscita des attachements au point qu'on en fit le premier héros de roman chrétien.
Marseille, Imprimerie Giraud et Richelme, 1909, in-8°, 80 pp, broché, couv. un peu effrangée, scotch au dos, discret C. de bibl., état correct, envoi a.s.
Saint Eugène, évêque de Carthage de 480 à 484, et de 487 à 495, fut persécuté sous les rois vandales Hunéric et Gunthamund, et mourut dans un monastère du Languedoc près d'Albi en 505. On l'honore le 13 juillet. Eugène est élu à l'unanimité évêque de Carthage en 480 pour succéder à Deogratias (mort en 457). L’élection épiscopale, reportée 23 ans en raison de l'opposition de Genséric, fut, à la fin, autorisée par le roi Hunéric à la requête de l'empereur Zénon et de Placidia, parents de sa femme Eudoxie. Sa bonne administration, sa charité, son style de vie austère et son courage lui ont valu l'admiration des ariens. Dans sa défense intransigeante de l'orthodoxie, il est imité par ses fidèles, dont beaucoup seront exilés avec lui, en 484. Début 484, le roi organise, à Carthage, une conférence entre théologiens ariens et évêques orthodoxes. La conférence, tourne court avec le départ du chef des évêques ariens sur le prétexte qu'il ne comprend pas le latin. Hunéric est furieux, il exile, quarante-six évêques en Corse et trois cent deux dans les déserts africains. Parmi ces derniers se trouve Eugène, qui, sous la garde d'un homme nommé Antonius, est déporté dans le désert de Tripoli. Au moment de partir, il écrit une lettre de consolation et d'exhortation aux fidèles de Carthage. Gunthamund, qui succède à Hunéric en 484, permet à Eugène de retourner à Carthage et de rouvrir les églises, en 487. Après huit années de paix, Eugène est arrêté et condamné à mort, en 495, mais la peine est commuée en exil à Vienne, près d'Albi, où règne l’arien Alaric. Eugène y construit un monastère sur le tombeau de Saint-Amaranthus, et mène une vie de pénitence jusqu'à sa mort le 13 juillet 505.
Hachette, 1880-1881, 2 vol. in-8°, ix-552 et 518 pp, deuxième édition, index, broché, dos factices, bon état
Complet pour l'Antiquité. – Les tomes 3 et 4 parus en 1880 traitent du Moyen Age et des temps modernes. Sommaire : Tome 1. Théorie du luxe. Le luxe primitif. Le luxe dans l'Orient antique et moderne. Le luxe en Grèce. - Tome 2. Le luxe romain : Le luxe à Rome sous la République et l'Empire. Le luxe byzantin. La censure du luxe par les écrivains romains et les Pères de l'Eglise. Le luxe funéraire dans l'antiquité.
Athènes, Ecole Française d'Athènes et P., de Boccard, 1984, in-4°, viii-388 pp, préface de Vassos Karageorghis, 12 cartes, 29 figures dans le texte, 2 planches hors texte, 17 tableaux, biblio, index, broché, bon état (Etudes chypriotes VI)
"... Les spécialistes du monde grec archaïque l’attesteront : capitale a été la contribution de Claude Baurain à la compréhension historique de la Méditerranée orientale et de ses civilisations aux IIe et Ier millénaires av. J.-C., grâce à sa thèse de doctorat consacrée à Chypre et la Méditerranée orientale au Bronze Récent puis aux travaux qu’il a menés à Amathonte, à Chypre, et à Mallia, en Crète, et mène encore régulièrement à Athènes. Une approche de longue haleine anime l’ensemble de cette recherche : les frontières disciplinaires et chronologiques figées par la pratique académique y perdent tout leur poids au profit d’une vision d’ensemble polyphonique, variée et complexe. Membre étranger de l’École française d’Athènes puis professeur associé à l’université de Nanterre-Paris X, il a acquis à l’étranger ses plus beaux titres de noblesse avant de revenir à l’Alma Mater en 1986, pour reprendre la chaire d’Histoire grecque. Chargé des cours de méthodologie de l’histoire dès 1988 puis de la chaire d’histoire romaine (1998 -), il a dû restreindre à Liège son enseignement de la Grèce archaïque. Nonobstant, sa synthèse sur Les Grecs et la Méditerranée orientale : des « siècles obscurs » à la fin de l’époque archaïque demeure un ouvrage de référence..." (Florence Close, Université de Liège, 2015)
Bruxelles, 1964, gr. in-8°, 29 pp, broché, bon état
Extrait de la Collection Latomus, vol. LXX (1964) : Hommages à Jean Bayet.
Payot, 1969, in-8°, 341 pp, deuxième édition, revue et corrigée, biblio, index, broché, état correct (Coll. Bibliothèque historique)
"Une admirable synthèse, remarquablement informée, où les problèmes sont posés avec netteté et objectivité, où les hypothèses sont formulées avec beaucoup de prudence. Jamais l'ouvrage ne dément son titre, car il est continuellement fidèle au point de vue, si intéressant et peut-être trop rarement adopté, de la religion déterminée par les exigences politiques et psychologiques." (L'Antiquité classique)