8, rue Bréa
75006 Paris
France
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Phone number : 01 43 54 43 61 Hachette, 1932, in-4°, 157 pp, cart. rouge éditeur, premier plat orné de motifs floraux dorés (Coll. des grands romanciers). Bon état
Genève, Editions de l'Agora, 1981, in-4°, 252 pp, cartonnage rouge illustré de l'éditeur, dos et premier plat très ornés, tranches dorées (imitation des cartonnages Hetzel), dessins par J. Férat, gravures par Charles Barbant, pour Les Indes noires, dessins par A. Marie pour Un Hivernage dans les glaces. Réédition illustrée des Voyages extraordinaires de Jules Verne, reproduisant intégralement l'édition originale Hetzel (texte et gravures). Très bon état
Julliard, 1985, in-8°, 412 pp, textes choisis et préfacés par Ferny Besson, broché, bon état
Dans ces Bananes de Königsberg, Vialatte raconte l'Allemagne telle qu'il l'a vue, entendue, ressentie, de 1922 à 1949. Arrivé en Allemagne en 1922, Vialatte s'installe à Mayence. Il respire à grandes bouffées ce folklore rhénan dont il a tant rêvé. L'écrivain retrouve l'Allemagne éternelle qu'il imaginait, romantique, teintée de piété monastique, le Rhin mystérieux et sa fascinante Lorelei. Assez vite cependant, son enthousiasme faiblit. Déçu, inquiété par l'Allemagne pro-nazie dans laquelle il voit se dessiner très clairement le péril hitlérien, Alexandre Vialatte, entre 1933 et 1939, ne fait plus que de rares et brefs séjours au-delà du Rhin. Personne ne croit à ses angoisses de Cassandre. Ce qu'il pense, redoute, paraît tellement insensé qu'on le laisse rarement s'exprimer. En janvier 1945, « correspondant de presse », il assiste aux procès des criminels de guerre de Belsen. Il les suit, à la fois fasciné et atterré par l'ampleur et l'horreur du drame, par le flegme des bourreaux qui se présentent comme des champions de l'ordre, du devoir et de l'obéissance. « Ils ouvrent sur l'âme nazie et la psychologie du crime des horizons qu'on ignorait jusqu'à ce jour. » Ces Bananes de Königsberg éclairent et nuancent l'apparence de frivolité qu'Alexandre Vialatte s'est amusé, presque toujours, à donner de lui-même. Elles affirment qu'il est aussi un écrivain profond.
Julliard, 1978, in-8°, 314 pp, préface de Jacques Laurent, introduction de Ferny Besson, broché, bon état
"Vous connaissez Vialatte? Vous aimez? Ces questions n'en étaient pas; elles n'en sont toujours pas; elles font partie d'un mot de passe. Une réponse affirmative permet de classer l'interlocuteur. Si l'on aime Vialatte, c'est qu'on pratique une région de la littérature qui va de Morand à Giraudoux. Encore faut-il se méfier du diagnostic car on peut tomber sur un amateur de Vialatte qui déteste Morand et qui raffole d'Audiberti où, ce qui est le plus grave mais existe, sur un fervent de Kafka qui a intégré Vialatte à sa religion... Alexandre Vialatte mourut le 3 mai 1971. Depuis lors, sous les meilleures plumes le même appel a été répété : il faut publier ses chroniques. L'appel a été entendu, ce livre le prouve. II prouve, en paraissant, que notre civilisation subsiste et que contrairement aux sociétés manichéennes elle est toujours disposée à laisser autant de place aux écrivains mineurs qu'aux hercules de la littérature." (Jacques Laurent)
Julliard, 1979, in-8°, 296 pp, chroniques choisies par Ferny Besson, préface de Jacques Perret, broché, bon état
Etrange destin que celui d'Alexandre Vialatte... De son vivant, méconnu et célèbre : d'une part vénéré par un seul petit groupe d'initiés, d'autre part adulé par les milliers de lecteurs de "La Montagne" qui dévoraient ses chroniques quotidiennes chez le médecin ou le coiffeur. Aujourd'hui, enfin reconnu par tous comme un écrivain de génie. Explorateur des mots, capitaine au long cours de la grammaire et de la syntaxe, Vialatte donne ici ses lettres de noblesse à la chronique en embarquant sur son arche hommes, bêtes, choses, arts et bâtisses dont il étudie les édifiants rapports. Nous le suivons, irrésistiblement aimantés par son humour. Nous évoluons avec délices dans les méandres de la langue française. L'appel de ce magicien du verbe et la cocasserie de son monde sont irrésistibles.
Julliard, 1980, in-8°, 318 pp, chroniques choisies par Ferny Besson, préface de Pierre Daninos, broché, bon état
Dernières nouvelles de l'univers : l'homme aujourd'hui ne descend plus du singe mais de l'avion... Il achète un chien imaginaire qui ne tient pas de place, consomme peu et oblige à prendre de l'exercice... D'éminents chimistes ont inventé un produit miraculeux qui ne tue pas les mites mais leur coupe l'appétit... Gardez-vous bien de rire ! Tout est vrai. Vialatte a toujours raison. Il observe et raconte. Il désarticule le temps à loisir et saisit l'irrésistible cocasserie du monde. Fables, pamphlets, poèmes, prophéties, ces chroniques célèbrent l'art d'écrire. Avec une justesse et une virtuosité qui font mouche.
Hachette, 1967, gr. in-8°, 294 pp, 8 planches en couleurs, 70 gravures, portraits et fac-similés en noir dans le texte, imprimé sur papier vergé, reliure simili-cuir vert bouteille décoré de l'éditeur, rhodoïd, étui carton, bon état (Coll. Génies et Réalités)
Hugo (Jacques de Lacretelle) ; Le Romantique (Pierre Moreau) ; Le Dramatique (Pierre-Aimé Touchard) ; Le Lyrique (Gilbert Sigaux) ; Le Romancier populaire (Roger Ikor) ; Le Visionnaire (Paul Zumthor) ; Le Politique (Henri Guillemin) ; L'Homme (André Maurois) ; Hugo, en somme... (Claude Roy). — "On sait avec quel soin sont édités, illustrés et reliés les volumes de la collection « Génies et Réalités »." (André Gavoty, Revue des Deux Mondes)
Editions du Cèdre, 1958, in-8°, 158 pp, broché, prière d'insérer
Plon, 1986, in-8°, xi-454 pp, préface d'André Bourin, biblio, glossaire, index, broché, couv. illustrée à rabats, bon état
"... Chantal Vieuille nous entretient donc, non seulement des écrivains du terroir, chantres d'une province à laquelle ils sont attachés par leurs racines et qu'ils n'ont pas quittée, mais aussi de ceux qui, bien que provinciaux de naissance, n'ont pas évoqué leur province dans leur oeuvre, ceux aussi qui, quoique nés et demeurant ailleurs, ont situé un ou plusieurs de leurs livres dans telle ou telle région, enfin ceux qui, par choix délibéré, par affinité élective, ont adopté un coin de France pour y vivre et y travailler..." (André Bourin, préface)
Grasset, 1946, 2 vol. in-8°, xix-444 et 346 pp, 16 planches hors texte, notes bibliographiques, brochés, couv. illustrées, traces de scotch sur les gardes, qqs annotations crayon, bon état
François Bourin, 1991, in-8°, v-389 pp, préface de J.-B. Duroselle, 8 pl. de photos hors texte, sources et biblio, index, broché, couv. illustrée, bon état, envoi a.s. On joint 2 lettres a.s. de l'auteur
La longue vie de Victor Margueritte (1866-1942) : davantage qu'une biographie, un tableau de la vie politique et littéraire de la IIIe République.
Champion, 1967, in-8°, xvii-431 pp, biblio, reliure toile éditeur, bon état (Coll. Bibliothèque littéraire de la Renaissance. Les grands écrivains du XVIe siècle. Evolution des oeuvres et inventions des formes littéraires)
Hachette, 1939, in-12, 254 pp, biblio, broché, couv. illustrée, bon état (Coll. Les Vies privées)
P., Jean de Bonnot, 1969, in-8°, 440 pp, très nombreuses gravures, reliure plein cuir doré de l'éditeur, dos orné de caissons dorés, pièces d'auteur et de titre basane bordeaux, décor frappé à froid sur les plats, tête dorée, signet, imprimé avec de l'encre mélangée de poudre d'or sur papier vergé filigrané, bon état
Villon, dont l'oeuvre tient tout entière en un peu plus de 2 000 vers, est considéré depuis l'époque romantique comme l'un des plus grands poètes français. Il en est, certainement, l'un des plus profonds et des plus ambigus, mêlant, dans une poétique remarquablement maîtrisée, le grave et l'ironique, le sérieux et la grossièreté pour traiter de l'amour, de la mort et de la misère humaine.
Paris, 1853, 2 vol. in-8°, ix-404 et 378 pp, reliure demi-chagrin havane à coins, dos à nerfs ornés, tête dorées, bon état
Critique littéraire suisse estimé de Sainte-Beuve, Alexandre Vinet (1797-1847) fut aussi un moraliste et théologien protestant libéral, partisan de la séparation de l'Église et de l'État, dénonçant l'intellectualisme des Lumières, l'utilitarisme anglo-saxon, le socialisme matérialiste, et défenseur d'un humanisme individualiste. Le dictionnaire des philosophes des PUF note son influence sur Secrétan, et sa parenté avec Kierkegaard.
Fayard, 2010, gr. in-8°, 383 pp, biblio, index, broché, bon état
Pour la première fois, une biographie s'attache à éclairer le génie d'Albert Camus par le génie de sa terre natale, l'Algérie, et celui de sa ville tant aimée, Alger, sans lesquelles, disait-il, il ne pouvait pas vivre... L'Algérie est l'espace tout entier de son imaginaire et de son engagement. Avec le temps, le conflit et l'exil, elle est même devenue une sorte d'Eden illuminant cette part intime qu'il appelait "obscure" et dont il regrettait, un an avant sa mort, qu'elle ne fût pas davantage perçue. Il fallait un autre fils d'Alger pour comprendre cette dimension sensible de l'écrivain. Alain Vircondelet a grandi dans un quartier populaire, il a fréquenté les mêmes écoles, les mêmes plages, les mêmes lieux qu'Albert Camus. Grâce à son ample connaissance de l'oeuvre, il raconte la douleur de l'exil et la nostalgie d'un pays devenu mythique, lieu de refuge et de consolation...
Seuil, 2008, in-8°, 187 pp, broché, jaquette illustrée, bon état. Edition originale (il n'est pas mentionné de grand papier), envoi a.s. On joint un carton d'invitation à rencontrer Bertrand Visage à l'occasion de la parution du roman
Un homme retourne en Sicile huit ans après en avoir été chassé. Il a quarante-quatre ans, sa vie est devenue flottante, aussi éprouve-t-il une indescriptible émotion à arpenter les rues qui sentent le linge et la tomate. Et le voici qui rôde chaque soir autour d'un certain immeuble populaire d'un quartier de Catane, où continue de vivre Veronica, cette "fille de gangster" qui a été sa femme. Elle n'est pas là. Il décide alors, sur un coup de tête, de pénétrer dans l'appartement. Bientôt il prend ses aises, et, dans un sentiment d'euphorie et de surexcitation, il élimine tous les objets qui se sont accumulés en son absence. Les voisins lui font fête, tout se passe pour le mieux... Mais une nuit, un violent orage éclate. Arturo qui ne parvient pas à dormir se dirige à tâtons vers la cuisine. Là, il aperçoit sur le balcon à la lueur des éclairs le corps étendu d'une jeune femme. Qui n'est pas celle qu'il attendait. Le mystère et la sensualité sont partout présents dans ce roman qu'on ne lâche plus jusqu'à la dernière page. L'histoire aurait pu être banale, celle de la fin d'un amour. Elle est ici transfigurée par un sens aigu du récit, une acuité quasi visuelle à l'égard des personnages qui le peuplent. On ne les lit pas, on les voit.
S.l., s.n. (chez l'auteur), 2009, in-4°, 137 pp, 6 planches en couleurs, biblio, broché, couv. illustrée, dos à spirale, qqs annotations stylo, bon état
Master 2 Histoire Contemporaine réalisé sous la direction de Didier Musiedlak (Université Paris X Nanterre).
Écriture, 2009, in-8°, 310 pp, points de vues et témoignages, biblio, index, broché, couv. illustrée, bon état
« Chaque écrivain, chaque intellectuel, chaque maître à penser veut désormais se mesurer à l'auteur du Voyage, le jauger, le juger, l'accabler ou le louer » estime Frédéric Vitoux, qui fut l'un des premiers à se risquer à cet exercice et qui pose aujourd'hui la question : « Céline serait-il l'auteur le plus notoirement méconnu de la littérature moderne ? » Écrivain maudit ? Il était célèbre dès la publication de Voyage au bout de la nuit, en 1932. Écrivain controversé ? Sa gloire n'a cessé de croître depuis sa mort, au point qu'il est aujourd'hui l'un des Français les plus traduits dans le monde. Écrivain ordurier ? Son style ajouré, éclaté comme de la dentelle, en fait aussi l'un des plus précieux de notre littérature. Écrivain consacré ? Son œuvre, à l'exception de ses deux premiers romans, reste largement ignorée. Aborder sans jargon les singularités de l'écriture célinienne. Raconter les principales étapes de sa vie. Évoquer sans complaisance aucune le signataire de pamphlets antisémites d'une violence et d'une outrance telles qu'elles indignèrent ou décontenancèrent ses détracteurs comme ses amis : tel est le triple défi relevé par ce livre. Étude objective et dépassionnée, "Céline, l'homme en colère" se complète de témoignages, d'une bibliographie et d'un index.
P., PUF et Firenze, Sansoni editore, 1961, 3 vol. in-12, 643 pp, introduction, notes, reliures toile crème de l'éditeur, jaquettes illustrées, bon état (Coll. Les Petits Classiques Français, sous la dir. de Antoine Adam)
Vol. I. Micromégas - Zadig ou la destinée - Le monde comme il va - Memnon ou la sagesse humaine - Histoire des voyages de Scarmentado. – Vol. II. Candide ou l'optimisme - Le blanc et le noir - Jeannot et Colin - L'ingénu . – Vol. III. L'homme aux quarante écus - La Princesse de Babylone - Le taureau blanc.
Sans lieu, ni éditeur [Genève, chez les Frères Cramer], 1775, in-8°, 355 pp, un portrait gravé en frontispice, texte encadré, reliure plein veau marbré, dos lisse à caissons ornés, pièce de titre basane bordeaux, coupes filetées, tranches marbrées (rel. de l'époque), manque une pièce de titre, pt épidermure au 2e plat, bon état (tome 21 des oeuvres complètes)
L'Histoire de Charles XII est celle d'un roi guerrier et du chef d'un grand pays du Nord. A la fin du XVIIe siècle la Suède s'étendait en Carélie, en Poméranie aux duchés de Brême et de Verden. Le jeune roi était bien jeune et son redoutable voisin le tsar Pierre, bien puissant, bien assez en tout cas pour tenter de mettre la main sur tout l'Orient de la mer Baltique et, signant une entente avec le roi de Pologne, tenter d'enlever à la Suède "tous ces pays qui sont entre le golfe de Finlande, la mer Baltique, la Pologne et la Moscovie..." — L'Histoire de Charles XII est un chef-d'oeuvre de la littérature française. Chef-d'oeuvre d'élégance, de pittoresque, de clarté, que Voltaire publia en 1731, à 37 ans. L'amour de la gloire l'avait attiré vers un tel personnage, qui brillait au nord de l'Europe par ses exploits et ses malheurs. Pour écrire l'Histoire de Charles XII, « l'homme le plus extraordinaire peut-être qui ait jamais été sur la terre », Voltaire eut la chance de pouvoir interroger les témoins et parfois les acteurs. Charles XII, orphelin à 15 ans, se proclama roi de Suède lui-même, se couronnant des ses propres mains. En 1700, à 18 ans, il soumet le Danemark, puis, en tête de 8 000 hommes, met les « Moscovites » en déroute. Il occupe Varsovie en 1704, attaque la Russie en 1708, investit l'Ukraine, est vaincu le 8 juillet 1709 au siège de Pultava, par Pierre Ier. « Prisonnier chez les Russes ? Allons plutôt chez les Turcs ! » Il reste cinq années fort mouvementées chez le Sultan, regagne la Suède à cheval, réorganise son armée, envahit la Norvège, et meurt – assassiné ? – au siège de Fredrikshald, fin 1718, à 37 ans. Sa mort reste la plus mystérieuse des grandes morts de l'Histoire. Telle est l'Histoire de Charles XII, « moitié Alexandre, moitié Don Quichotte », que nous conte, dans un style aussi noble que superbe, un Voltaire fasciné.
P., Ménard et Desenne, 1821, 2 vol. in-12, 298 et 314 pp, reliure demi-veau glacé, dos à 4 nerfs soulignés à froid, pièces de titre et de tomaison chagrin brun (rel. de l'époque), mors faibles, trace de mouillure en marge sup., état correct, ex. sur vergé
S'il est une figure qui ne cessa de fasciner Voltaire, c'est assurément celle de Pierre le Grand. En 1731 déjà, l'Histoire de Charles XII laissait percevoir la séduction exercée par l'empereur de Russie sur le philosophe. Comme souvent pour la rédaction de ses ouvrages historiques, Voltaire utilisa des documents imprimés et manuscrits pour la rédaction de l'ouvrage. Ici, ce furent principalement des sources fournies par le conte Ivan Ivanovitch Schouvalov, chambellan et favori de l'Impératrice Elisabeth Petrovna, qui avait commandé l'oeuvre à Voltaire.Tous les matériaux nécessaires lui furent envoyés par l'Académie des sciences de Russie ; Voltaire n'eut alors "qu'à plonger à pleines mains au milieu de richesses de toutes espèces": notes, récits, mémoires, extrait du journal de Pierre-le-Grand, ainsi "qu'une foule de pièces historiques et critiques".
Desjonquères, 2000, in-8°, 175 pp, broché, bon état (Coll. XVIIIe siècle)
"On le sait mais on l'oublie, Voltaire a voulu être poète, par essence, du premier mouvement. Poète de tragédie et d'épopée d'abord : par là seulement, on va jusqu'aux astres. Mais être poète ne se borne pas là: il faut encore composer odes, épîtres, satires et philosopher en vers ; il faut brocher l'épigramme, rimer la ballade et le conte, bref illustrer tous les genres et porter toutes les pensées. Conçue et pratiquée dans le respect de la pureté de la langue et l'orthodoxie des formes, la poésie est l'art par excellence. Retrouver la saveur et le sens de cette poésie, c'est l'ambition de ce florilège."
P., P. C. Lehury, 1847, in-12, vi-524 pp, 20 gravures hors texte par Célestin Nanteuil, reliure demi-chagrin noir, dos à 4 nerfs pointillés ornés de caissons dorés, médaillon doré sur le 1er plat (rel. de l'époque), qqs rousseurs éparses, bon exemplaire (Bibliothèque littéraire de la Jeunesse)
"Cette édition nouvelle du Siècle de Louis XIV diffère de celles qui ont été publiées jusqu'à ce jour ; on a retranché plusieurs passages dans lesquels l'auteur, par des insinuations malveillantes, ou par des plaisanteries déplacées, pouvait donner sur la religion des idées fausses et dangereuses. On a aussi supprimé de trop longs détails sur les égarements coupables de Louis XIV." (Avis au lecteur)
Alger, Société Baconnier frères, 1955, in-4°, 56 pp, illustrations hors texte de Christian de Gastyne en couleurs, tiré à 300 exemplaires, exemplaire nominatif sur Marais Licorne, feuillets sous emboitage. Très bon état