8, rue Bréa
75006 Paris
France
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Phone number : 01 43 54 43 61MONTPENSIER (Anne-Marie-Louise d'Orléans, duchesse de) – CONRART (Valentin).
Reference : 114718
(1838)
P., Chez l'éditeur du Commentaire analytique du Code civil, 1838, pt in-4°, 622 pp, texte sur 2 colonnes, reliure demi-chagrin carmin, dos à 4 larges faux-nerfs ornés, caissons dorés et à froid, titres et tomaison dorés (rel. de l'époque), qqs rousseurs, bon état (Nouvelle Collection des Mémoires pour servir à l'histoire de France depuis le XIIIe siècle jusqu'à la fin du XVIIIe, avec des notices, par MM. Michaud et Poujoulat)
"Pendant la Fronde, la Grande Mademoiselle fut d'abord du parti de la cour ; mais bientôt, poussée par son esprit aventureux, elle se rangea au côté de Condé et prit une part active à la lutte. Exilée par Mazarin à Saint-Fargeau en 1652, elle n'en revint qu'en 1657. Après avoir refusé des princes et des rois, elle s'éprit d'un cadet de Gascogne, Lauzun : elle l'épousa après avoir dû abandonner tous ses biens au duc du Maine, mais elle ne fut pas heureuse en ménage. Ses Mémoires rédigés sans notes et, pour partie longtemps après les faits comportent des incohérences, des erreurs et des longueurs. Mais, venant d'un témoin oculaire, les renseignements fournis sont très précieux." (Bourgeois et André II, 801) – "Premier sociétaire perpétuel de l'Académie française, Conrart note, au jour le jour, ses impressions pendant la Fronde. Habitant la rue Saint-Martin, il est bien placé pour narrer les événements qui se déroulèrent à Paris d'avril à août 1652. Dans cette narration, la partie principale est celle qui a trait à la journée du 4 juillet et aux massacres dont Conrart n'hésite pas à attribuer la responsabilité aux princes." (Bourgeois et André II, 811).
Versailles, J.-M. Mercier, 1927, gr. in-8°, 45 pp, broché, bon état. Tiré à part de la Revue de l'Histoire de Versailles et de Seine-et-Oise
"MM. Ch. Hirschauer et Ch. Bémont ont publié dans la Revue de l'Histoire de Versailles et de Seine-et-Oise (1927) une étude destinée par A. Morel-Fatio à cette revue et trouvée sur son bureau après sa mort ; elle est intitulée L'abbé Jean de Vayrac (1664-1734 ?) ; elle est incomplète et on a préféré la donner telle quelle, sans retouche ; mais elle contient beaucoup de choses intéressantes à propos de l'auteur de l'Etat présent de l'Espagne." (Bulletin Hispanique, 1928)
Armand Colin, 1968, in-8°, 344 pp, biblio, index, broché, bon état
Mercure de France, 1988, in-8°, 597 pp, introduction et notes de Jean-Pierre Guicciardi, index, broché, couv. illustrée, bon état (Coll. Le Temps Retrouvé)
Dans les Mémoires de l'abbé Morellet revit un microcosme qui, à Paris, rassemble philosophes, gens du monde et gens « en place ». Quelques dizaines de salons, quelques cafés, deux ou trois salles de théâtre, les Tuileries et l'Opéra : voilà l'univers. Morellet fait le récit d'une existence intimement mêlée à la vie littéraire et artistique de ces quarante ou cinquante années qui furent sans doute les plus belles de notre histoire. La description des « années heureuses » qui précèdent la Révolution nous apporte un des témoignages les plus riches et les plus complets qui soient. Nous voyons Mme Geoffrin sourire et Diderot s'envelopper dans sa robe de chambre pour contempler, goguenard, deux prêtres disputer d'athéisme ; Mlle de Lespinasse flatter ses visiteurs pour les faire parler et le baron d'Holbach, venimeux, alimenter le « complot » contre J.-J. Rousseau... Poètes, musiciens, journalistes, peintres, « amateurs », hommes de lettres de toute espèce composent des tableaux colorés où se mesurent les nostalgies et les regrets de toute une époque détruite par la Révolution.
Mame, 1978, fort et gr. in-8°, 784 pp, introduction initiant le lecteur au sens et aux fonctions de l'Utopie. Traduction en regard du texte de More (reproduction de l'édition intégrale de Bâle (novembre 1518) en fac-similé), notes en bas de page et commentaires à la suite du texte, 2 portraits hors texte de More, dont un en couleurs, par Hans Holbein, 6 gravures du temps, biblio, index des matières traitées, définitions des mots techniques, reliure toile de lin écrue de l'éditeur, dos lisse avec pièces d'auteur et de titre basane bordeaux, empreinte de la signature de More au 1er plat, bon état, envoi a.s. d'André Prévost
"Il s'agit d'une « somme » sur ce fameux libelle. Elle était depuis longtemps en chantier et A.P. la mène ici à terme avec une ferveur méticuleuse. Le texte de l'Utopie nous est livré en deux versions synoptiques : l'édition latine de Bâle (1518) en fac-similé et une nouvelle version française prenant le relais des nombreuses déjà produites : 1550, par Jean Leblond, 1643, par Samuel Sorbière, 1715, par Nicolas Gueudeville, 1780, par Thomas Rousseau, 1842, par Victor Stouvenel, 1935, par Grunebaum- Ballin, 1966, par Marie Delcourt. But : « permettre au lecteur d'entrer directement en contact avec un témoin de la pensée occidentale » (p. 262). Cet objectif est d'autant mieux atteint que ce texte-perle est ici présenté dans un copieux contexte-écrin de pièces complémentaires et de commentaires circonstanciés portant sur : la genèse de livre ; sa structure, ses rythmes et sa logique interne ; son activation comme « expérience existentielle » ; ses fonctions archétypiques pour l'auteur et pour ses audiences... et naturellement sa langue, ses éditions, ses traductions. On retiendra les pénétrantes pages sur la signification religieuse d'une telle utopie ; on appréciera et on discutera les nombreuses notations comparatives entre l'utopie et le millénarisme... On voudrait écrire des pages sur cette contribution capitale qui sera pendant longtemps une source classique et irremplaçable. Elle est à elle seule toute une bibliothèque et celle-ci, par son ampleur, sa pertinence, démontre qu'une utopie, aussi mince et aussi fragile soit-elle, est de nature à s'avérer topique, expansive et perenne." (Henri Desroche, Archives de sciences sociales des religions, 1979)
Lille, Université de Lille III / Editions Universitaires, 1973, gr. in-8°, 190 pp, biblio, broché, prière d'insérer, bon état
Fayard, 2002, in-8°, 445 pp, 44 figures en couleurs dans le texte, 39 tableaux, index, broché, bon état
Au cours des sept siècles qui séparent les grands défrichements médiévaux de la Révolution industrielle, contrairement à une image convenue, les campagnes françaises sont loin d'être restées immobiles. A des rythmes variables selon les époques et les systèmes agraires, les paysages et l'environnement rural changent, sous l'action des hommes et des agents naturels. L'essor de l'industrie, la multiplication des échanges, les mutations de l'agriculture ouvrent l'économie rurale sur des espaces économiques élargis. Les savoirs techniques et scientifiques, les pratiques individuelles effectives, la perception collective des changements instaurent des phases indéniables d'accélération de l'histoire. De l'An Mil au XIXe siècle, en l'absence même de toute révolution, les campagnes ont connu un dynamisme discontinu, inégal et multiforme. C'est aux conditions, aux facteurs et aux conséquences de cette mobilité rurale que l'auteur s'attache. Il met en évidence, bien avant les bouleversements du second XXe siècle, les étonnantes capacités d'adaptation et de progression d'un monde rural qui a su allier identité et flexibilité.
Grand Livre du Mois, 2002, in-8°, 445 pp, 44 figures en couleurs dans le texte, 39 tableaux, index, reliure souple illustrée de l'éditeur, bon état
P., Editions de la Maison des sciences de l'homme et Cambridge University Press, 1984, fort gr. in-8°, 687 pp, 43 graphiques, tableaux, sources et biblio, broché, bon état
"II s'agit de cinq études écrites de 1969 à 1976 réunies en ce gros volume dans l'ordre de leur rédaction et précédées d'un article liminaire intitulé d'Amsterdam à Séville : de quelle réalité l'histoire des prix est-elle le miroir. Puis viennent : Gazettes hollandaises et trésors américains (1580-1660) ·, Or brésilien et gazettes hollandaises (1699-1806) (pp. 120-217); Métaux précieux américains et conjoncture (1659-1720) (pp. 218-350) ; L'argent et l'or d'Amérique au XVIIIe siècle (pp. 351-549) ; Le flux, le stock et les norias (pp. 550-655). Suit l'indication des sources (pp. 656-661) et une bibliographie (pp. 661-679). L'originalité de l'effort de M. Morineau consiste évidemment dans l'utilisation de sources auxquelles on n'avait guère eu recours jusqu'à présent. Pour la période 1580 à 1618, il s'agit des gazettes des foires de Francfort (Messrelationen) contrôlées par les Fuggerzeitungen pour la période la plus ancienne et complétées par diverses correspondances utilisées dans les travaux d'une série d'auteurs récents. En 1618 commence la publication des gazettes hollandaises. D'abord les Tydinghen uyt verscheydene Quartieren de Broer Jansz et le Courant uyt Italien, Duytsland enz. de Caspar van Hilten, puis le Haarlemsche Courant. II y a des lacunes assez importantes dans la conservation de ces publications, mais l'auteur y supplée par l'utilisation des Nieuwe Tydinghen d'Abraham Verhoeven d'Anvers, du Mercure Allemand rédigé en français à Genève, du Mercure de France et de la Gazette de France de Téophraste Renaudot, des Relations Véritables de Bruxelles. Il existe aussi des sources espagnoles non officielles, c'est-à-dire pas uniquement basées sur les comptes de la Hacienda utilisés par Hamilton. Des sondages ont été opérés, en outre, pour la période jusqu'à 1660 à Venise et Florence. En 1666 commence la Gazette d'Amsterdam, principale source de l'auteur jusqu'en 1778 dont les lacunes ont été comblées par d'autres publications analogues et par des correspondances consulaires. Pour la fin de la période, l'auteur utilise aussi la Gazette de Leyde et celle d'Utrecht, toutes deux rédigées en fiançais, ainsi que la Gaceta de Madrid et la Gaceta de Lisboa et même les rapports du consul russe à Lisbonne. Matériel énorme on le voit – plus de 300.000 pages (p. 661) – et notre énumeration n'est pas complète. (...) Le gros volume dont je rends compte mérite très largement de retenir l'attention de tous les historiens de l'économie, de la colonisation et de la société durant toute l'époque moderne." (Charles Verlinden, Revue belge de philologie et d'histoire, 1989)
Armand Colin, 1971, in-8°, 387 pp, 36 tableaux et cartes, 5 graphiques hors texte, sources et biblio, broché, bon état (Coll. Cahiers des Annales), envoi a.s.
"Y a-t-il eu réellement une révolution agricole en France au XVIIIe siècle ? L'évaluation des rendements céréaliers est choisie par M. comme critère de la dite « révolution ». L'emploi de la moyenne nationale ne lui paraissant guère approprié, il entreprend une enquête rétrospective à partir de la statistique de 1840, laquelle fait apparaître une nette concordance des rendements à l'hectare et à la semence, pour le froment comme pour le seigle, avec les chiffres de Young, Lavoisier, Quesnay, voire d'Olivier de Serres. Des coups de sonde régionaux confirment cette stabilité durant tout le XVIIIe siècle, voire depuis le Moyen Âge, jusqu'au milieu du XIXe. Selon M., il n'y a donc pas eu de décollage, mais un glissement continu, des progrès parcellaires, imposés par la nécessité. En Angleterre, par contre, à la fin du XVIIIe siècle, le rendement à l'hectare était supérieur de 40 à 50 % au rendement français, et le rendement à la semence plus élevé de 2 points. Comment expliquer le passage de la population de 19 à 25 millions, soit un accroissement annuel de 4 p. 1 000 ? Là aussi, fortes disparités entre les régions. En aucun cas, la population n'a dépassé les subsistances, ce qui permet de comprendre l'« entassement » rural prolongé jusqu'en 1848. M. ramène donc la prétendue révolution à une simple récupération. En conclusion : ni révolution démographique, ni révolution agricole, mais des Frances inégales, et un siècle disjoint, disjoint de l'avenir, et conjoint au passé. Peut-être la population sous François Ier était-elle égale à celle de 1789 ? D'importants documents – cartes, graphiques, données statistiques – , appuient cette thèse, qui conteste la présentation trop optimiste du XVIIIe siècle." (J. Hecht, Population, 1972)
P., Mme Vve Jules Renouard, 1868-1869, 2 vol. gr. in-8°, viii-396 et lvii-330 pp, reliures demi-veau blond, dos lisses à filets dorés, pièces de titre et de tomaisons basane noire (rel. de l'époque), un mors fendu et recollé au tome 1, bon exemplaire
Un texte exceptionnel. Les Mémoires de Charlotte Duplessis-Mornay retracent l'histoire des guerres de religion et l'adoption par la France de l'édit de Nantes, dit Traité de tolérance (1598). Epouse de Philippe Duplessis-Mornay, bras droit du futur Henri IV, Charlotte Duplessis-Mornay recueille des informations de première main qu'elle présente et analyse dans un style clair et élégant avec un souci d'exactitude et d'objectivité qui font de ce texte une source historique cruciale. Son point de vue de femme, d'épouse et de mère fait de son témoignage un document rare et poignant d'écriture historienne et féminine sur les guerres de religion. On y trouve des récits d'enfance et de voyages, l'histoire du ralliement à la cause protestante, le témoignage de la saint Barthélemy niais aussi la mise en place des réseaux internationaux de soutien au protestantisme. Entre les lignes de l'histoire, s'inscrit la chronique d'une famille noble entièrement dévouée à la cause protestante.
Armand Colin, 1940, gr. in-8°, 552 pp, broché, bon état. Très importante bibliographie.
Recherche sur la doctrine des oeuvres , l'art de plaire, la préciosité en littéraire, des genres tragiques et comiques et épistolaires. Intéressants chapitres sur La Fontaine , La Fayette et Bossuet.
P., Del Duca, 1960, in-8°, 481 pp, 16 pl. hors texte, index, broché, qqs soulignures et annotations stylo, bon état (Coll. Histoire de la littérature française)
Des origines de l'humanisme à la Pléiade ; De Ronsard à Malherbe.
P., Librairie Fontaine, 1984, in-8°, 236 pp, notice biographique par Mme Carette, préface de Madame de Motteville [1643-1666], broché, couv. illustrée à rabats, bon état
"Dame de compagnie d'Anne d'Autriche, Françoise de Motteville (1621-1689) a laissé un témoignage vivant sur les événements de la Régence." (Bourgeois et André II, 773) — Françoise Bertaut (1621-1689) fut mariée en 1639 au premier président de la cour des comptes de Rouen, Nicolas Langlois, seigneur de Motteville, octogénaire. Veuve à vingt ans, elle rejoint la cour après la mort de Louis XIII et vécut dans l'intimité d'Anne d'Autriche.
P., Chez l'éditeur du Commentaire analytique du Code civil, 1838, pt in-4°, 625 pp, texte sur 2 colonnes, reliure demi-chagrin carmin, dos à 4 larges faux-nerfs ornés, caissons dorés et à froid, titres et tomaison dorés (rel. de l'époque), qqs rares rousseurs, bon état (Nouvelle Collection des Mémoires pour servir à l'histoire de France depuis le XIIIe siècle jusqu'à la fin du XVIIIe, avec des notices, par MM. Michaud et Poujoulat)
"Dame de compagnie d'Anne d'Autriche, Françoise de Motteville (1621-1689) a laissé un témoignage vivant sur les événements de la Régence. Le texte de cette édition est revu sur une copie faite par Conrart." (Bourgeois et André II, 773) – "Le Père Berthod fut un de ces agents que la royauté employait pour intriguer et négocier, afin d'attirer à elle la population. Il s'acquitta de sa tâche à Paris, et surtout à Bordeaux, où, pendant la Fronde, 1652-1653, il courut parfois de graves dangers." (Bourgeois et André II, 812).
Sl.n.n. (P., Ophrys), s.d. (1971), gr. in-8°, 84 pp, paginé 55-136, 3 tableaux, notes, broché, bon état. Tiré à part extrait de “Études d'histoire provençale”, 1971, envoi a.s.
P., Charavay frères, 1884, in-8°, 14 pp, notes bibliographiques, broché, bon état
P., Charavay frères, 1884, in-8°, 15 pp, notes bibliographiques, broché, bon état, envoi a.s.
Club Français du Livre, 1969, in-8°, 227 pp, 10 illustrations, biblio critique, reliure plein cuir acajou de l'éditeur, dos et plats décorés, ex. numéroté, bon état (Coll. Portraits de l'Histoire). Manque le dépliant volant contenant 2 cartes
"Ouvrage de base sur la vie, les écrits de Machiavel et sur l'environnement qu'il a connu. Utile exposé du machiavélisme et des utilisations successives et contradictoires qui ont été faites de cette pensée. G. M. montre que Machiavel ne fut ni un « machiavélique », ni un grand historien, ni le précurseur des spécialistes de science politique, ni un personnage très influent à son époque, ni un grand patriote... mais qu'il fut un peu de chaque chose à travers beaucoup de cheminements et d'hésitations. C'est dire que G. M. s'intéresse d'abord au côté humain du personnage." (Revue française de science politique)
P., EDHIS, 1973, pt in-8°, viii-76 pp, reliure skivertex marron de l'éditeur, bon état. Reprint de l’édition originale publiée à Paris, chez Maradan en 1801 (An IX). Tirage à 250 exemplaires numérotés
Première enquête systématique sur une population urbaine, celle de Montpellier, de 1772 à 1792. Cet ouvrage a valeur d’exemple pour la démographie de l’époque.
Editions du Rocher, 1998, gr. in-8°, 358 pp, 4 pl. de gravures hors texte, biblio, broché, couv. illustrée, bon état
Tantôt en robe à paniers, tantôt en tunique de capitaine de dragons, maniant aussi bien l'éventail que l'épée, le chevalier d'Éon, connu également sous le nom de Mlle de Beaumont, fut une figure étonnante du XVIIIe siècle. Cet agent secret de Louis XV, ancêtre de James Bond, traverse l'Europe de Versailles à Saint-Petersbourg pour accomplir les missions que lui commande son ami et protecteur le Roi. Pour quelles raisons le chevalier d'Éon est-il obligé de se travestir en charmante demoiselle aussi bien dans les faubourgs de Londres qu'à la cour du roi Georges III ? Pourquoi se laisse-t-il courtiser par M. de Beaumarchais jusqu'à en accepter une proposition de mariage ? Beaucoup d'historiens ont attribué le mystère d'une telle obligation à une relation amoureuse avec un personnage trop haut placé. Mais le secret du chevalier d'Éon est peut-être plus noble : sa vie durant, l'honneur et le service de la France n'ont-ils pas guidé ses pas ?
Editions du Rocher, 1997, gr. in-8°, 348 pp, 4 pl. de gravures hors texte, biblio, broché, couv. illustrée, bon état
Biographie de Paul Ier (1754-1801), tsar de Russie de 1796 à 1801, fils de Catherine II qui l'écarta du pouvoir jusqu'à sa mort, assassiné à la suite d'un complot formé avec l'accord tacite de son héritier, Alexandre.
CDU, 1966, in-4°, 340 pp, texte dactylographié, broché, qqs rares soulignures stylo, bon état (Coll. Les cours de Sorbonne)
CDU, 1966, in-4°, 340 pp, pagination continue, texte dactylographié, brochés, bon état (Coll. Les cours de Sorbonne)
CDU, 1970, 2 vol. in-4°, 193 et 120 pp, texte dactylographié, brochés, trace de mouillure ancienne, bon état (Coll. Les cours de Sorbonne - Agrégation)
I. Le clergé - La noblesse ; II. La bourgeoisie - Les travailleurs manuels des villes et des campagnes.