Olivier-Pinot | Épinal s. d. [circa 1880-1900] | 49 x 39 cm
Image d'Épinal, lithographie couleurs, grand format, imprimée sur papier fort. Légères rousseurs marginales sinon bel état, couleurs très bien conservées. Ces planches sont des constructions ou maquettes en carton, sur lesquelles un patron était imprimé. Ce patron doit être découpé puis assemblé pour construire divers objets ou scènes de vie. L'imagerie d'Épinal publia plusieurs séries de modèles à découper dont les "Grandes Constructions" au format de 39 x 49 cm, les "Moyennes Constructions" et les "Petites Constructions". De 1880 à 1908, des constructions furent éditées avec pour objets l'architecture, les costumes, les bateaux et divers véhicules. Durant cette même période, les théâtres de papier ou "théâtre chez soi" connurent également un grand succès. Ce modèle de jouet se développa et perdura jusqu'à la seconde Guerre Mondiale. Vendues autrefois par des colporteurs, les images d'Épinal doivent leur nom à Jean-Charles Pellerin, qui fut le premier imprimeur à éditer en série ce type d'image, et qui habitait la ville d'Épinal (Vosges). Les sujets sont très variés mais généralement tournent autour de la religion, de l'histoire (Révolution française, batailles, uniformes militaires), ou tirés de romans à succès. L'imagerie d'Épinal prend ses origines dans l'imagerie, art populaire né au XVème siècle destiné principalement au public illettré des campagnes. À l'origine, l'image est gravée sur une planche de bois et l'impression s'effectue à l'aide d'une presse à bras. Elle est ensuite mise en couleur au moyen de pochoirs. Au XIXème siècle, on réalise à partir des bois gravés des moulages en plomb : les stéréotypes, qui permettent d'augmenter la production. En 1820, on passe à la lithographie, qui induit un changement de style radical, des dessins plus fins. En 1900, la mise en couleurs se fait toujours au pochoir, grâce à une machine qui peut colorier 300 images à l'heure, l'Aquatype. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
Phone number : 01 56 08 08 85
Olivier-Pinot | Épinal s. d. [circa 1880-1900] | 49 x 39 cm
Image d'Épinal, lithographie couleurs, grand format, imprimée sur papier fort. Déchirures restaurées en marge gauche affectant légèrement la gravure et comportant de petits manques, sinon bel état, couleurs très bien conservées. Ces planches sont des constructions ou maquettes en carton, sur lesquelles un patron était imprimé. Ce patron doit être découpé puis assemblé pour construire divers objets ou scènes de vie. L'imagerie d'Épinal publia plusieurs séries de modèles à découper dont les "Grandes Constructions" au format de 39 x 49 cm, les "Moyennes Constructions" et les "Petites Constructions". De 1880 à 1908, des constructions furent éditées avec pour objets l'architecture, les costumes, les bateaux et divers véhicules. Durant cette même période, les théâtres de papier ou "théâtre chez soi" connurent également un grand succès. Ce modèle de jouet se développa et perdura jusqu'à la seconde Guerre Mondiale. Vendues autrefois par des colporteurs, les images d'Épinal doivent leur nom à Jean-Charles Pellerin, qui fut le premier imprimeur à éditer en série ce type d'image, et qui habitait la ville d'Épinal (Vosges). Les sujets sont très variés mais généralement tournent autour de la religion, de l'histoire (Révolution française, batailles, uniformes militaires), ou tirés de romans à succès. L'imagerie d'Épinal prend ses origines dans l'imagerie, art populaire né au XVème siècle destiné principalement au public illettré des campagnes. À l'origine, l'image est gravée sur une planche de bois et l'impression s'effectue à l'aide d'une presse à bras. Elle est ensuite mise en couleur au moyen de pochoirs. Au XIXème siècle, on réalise à partir des bois gravés des moulages en plomb : les stéréotypes, qui permettent d'augmenter la production. En 1820, on passe à la lithographie, qui induit un changement de style radical, des dessins plus fins. En 1900, la mise en couleurs se fait toujours au pochoir, grâce à une machine qui peut colorier 300 images à l'heure, l'Aquatype. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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Olivier-Pinot | Épinal s. d. [circa 1880-1900] | 49 x 39 cm
Image d'Épinal, lithographie couleurs, grand format, imprimée sur papier fort. Légères et marginales rousseurs, sinon bel état, couleurs très bien conservées. Ces planches sont des constructions ou maquettes en carton, sur lesquelles un patron était imprimé. Ce patron doit être découpé puis assemblé pour construire divers objets ou scènes de vie. L'imagerie d'Épinal publia plusieurs séries de modèles à découper dont les "Grandes Constructions" au format de 39 x 49 cm, les "Moyennes Constructions" et les "Petites Constructions". De 1880 à 1908, des constructions furent éditées avec pour objets l'architecture, les costumes, les bateaux et divers véhicules. Durant cette même période, les théâtres de papier ou "théâtre chez soi" connurent également un grand succès. Ce modèle de jouet se développa et perdura jusqu'à la seconde Guerre Mondiale. Vendues autrefois par des colporteurs, les images d'Épinal doivent leur nom à Jean-Charles Pellerin, qui fut le premier imprimeur à éditer en série ce type d'image, et qui habitait la ville d'Épinal (Vosges). Les sujets sont très variés mais généralement tournent autour de la religion, de l'histoire (Révolution française, batailles, uniformes militaires), ou tirés de romans à succès. L'imagerie d'Épinal prend ses origines dans l'imagerie, art populaire né au XVème siècle destiné principalement au public illettré des campagnes. À l'origine, l'image est gravée sur une planche de bois et l'impression s'effectue à l'aide d'une presse à bras. Elle est ensuite mise en couleur au moyen de pochoirs. Au XIXème siècle, on réalise à partir des bois gravés des moulages en plomb : les stéréotypes, qui permettent d'augmenter la production. En 1820, on passe à la lithographie, qui induit un changement de style radical, des dessins plus fins. En 1900, la mise en couleurs se fait toujours au pochoir, grâce à une machine qui peut colorier 300 images à l'heure, l'Aquatype. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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Olivier-Pinot | Épinal s. d. [circa 1880-1900] | 49 x 39 cm
Image d'Épinal, lithographie couleurs, grand format, imprimée sur papier fort. Légères et marginales rousseurs, sinon bel état, couleurs très bien conservées. Ces planches sont des constructions ou maquettes en carton, sur lesquelles un patron était imprimé. Ce patron doit être découpé puis assemblé pour construire divers objets ou scènes de vie. L'imagerie d'Épinal publia plusieurs séries de modèles à découper dont les "Grandes Constructions" au format de 39 x 49 cm, les "Moyennes Constructions" et les "Petites Constructions". De 1880 à 1908, des constructions furent éditées avec pour objets l'architecture, les costumes, les bateaux et divers véhicules. Durant cette même période, les théâtres de papier ou "théâtre chez soi" connurent également un grand succès. Ce modèle de jouet se développa et perdura jusqu'à la seconde Guerre Mondiale. ?Vendues autrefois par des colporteurs, les images d'Épinal doivent leur nom à Jean-Charles Pellerin, qui fut le premier imprimeur à éditer en série ce type d'image, et qui habitait la ville d'Épinal (Vosges). Les sujets sont très variés mais généralement tournent autour de la religion, de l'histoire (Révolution française, batailles, uniformes militaires), ou tirés de romans à succès. L'imagerie d'Épinal prend ses origines dans l'imagerie, art populaire né au XVème siècle destiné principalement au public illettré des campagnes. À l'origine, l'image est gravée sur une planche de bois et l'impression s'effectue à l'aide d'une presse à bras. Elle est ensuite mise en couleur au moyen de pochoirs. Au XIXème siècle, on réalise à partir des bois gravés des moulages en plomb : les stéréotypes, qui permettent d'augmenter la production. En 1820, on passe à la lithographie, qui induit un changement de style radical, des dessins plus fins. En 1900, la mise en couleurs se fait toujours au pochoir, grâce à une machine qui peut colorier 300 images à l'heure, l'Aquatype. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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Paris, Aux dépens d'un amateur, 1960. Petit in-4 de [84] pages en feuilles, aux cahiers numérotés de I à XXI, couverture à grands rabats imprimée en noir, dos muet.
Illustré par Louis Guillaume de 11 compostions imprimés sur papier couché, contrecollées (et non pas 10 comme annoncé à la justification, et ce ne sont d'ailleurs pas non plus des lithographies, comme l'annonce encore de manière erroné la justification). On ne compte pas les deux vignettes ne comportant que la seule mention "Censuré"... Édition originale des ces sonnets érotiques. Tiré à 310 exemplaires le nôtre un des 300 sur papier édition bouffant vélin Libris sans bois (24). Manque à Dutel. Couverture légèrement ombragée.
Paris Sources 1962 In-4 En feuilles, couverture rempliée, chemise et étui toilé éditeur
Edition illustrée. Préface de Jacques Audiberti. Hors texte, 6 LITHOGRAPHIES ORIGINALES en couleurs de Antoni Clavé, Jean-Jacques Morvan et Simon Segal, deux de chaque artistes. Les deux estampes de Segal sont exceptionnellement signée. ENVOI autographe signé de l'auteur. Tirage à 150 exemplaires numérotés sur vélin pur fil de Rives. Un des 119 avec les lithographies. >> Il existe une autre édition de ce livre, tirée la même année à 350 exemplaires, illustré de reproductions de dessins de Bernard Gantner, Marcel Gromaire, Jean-Jacques Morvan, Simon-Auguste, Simon Segal, Jean Vinay. Très bon 0
L'Obsidienne En feuilles, sous boîtier Montréal 1982 Ed. numérotée
Très bon Signé par l'auteur et l'artiste Grand in-4. Non paginé. Exemplaire no. 4/32/40, signé au colophon. Impression de Pierre Guillaume, boîtier de Pierre Ouvrard. Complet des 9 lithographies signées et numérotées. Belle réalisation.
1 En feuillets, sous couverture illustrée rempliée et emboîtage en pleine toile de l'éditeur. Quelques traces d'usure sur l'emboîtage. Bièvres, Pierre de Tartas, 1973.
Édition illustrée de 20 lithographies originales en couleurs d'André Berry, tirage à 321 exemplaires, celui-ci est un des 190 numérotés sur grand vélin d'Arches comportant trois doubles planches signées par l'artiste. Il est également signé à la justification par l'artiste, l'éditeur, et visé par un huissier de justice (!). ""Ces célèbres pages du poète latin Ovide sont traduites et présentées par André Berry. Ce livre est conçu par Pierre de Tartas"". Très bon état
Lausanne, Gonin, 1935. In-folio en feuilles de 122-[2] pages, couverture blanche rempliée ornée d’une composition de Maillol, sous chemise demi-vélin blanc et étui cartonné. Belle condition.
Illustré de 11 bois originaux, 3 lettres gravées et 12 lithographies originales d’Aristide Maillol. Tiré à 225 exemplaires numérotés sur papier spécial pur chanvre fabriqué à la main, dans les manufactures Canson et Montgolfier, d’après les procédés d’Aristide et Gaspard Maillol. Exemplaire signé par l’artiste à l’achevé d’imprimer. Guérin, cat. raisonné,; 64 à 75 pour les bois et 307 à 318 pour les lithographies; Le Peintre et le Livre, p. 163); Rauch, 140; Carteret, IV, 309.
Paris, Crevot, libraire, 1820. 2 volumes in-18 de VIII-251; IV-282-[2] pages, plein maroquin rouge à grains long, dos lisses ornés de filets et fleurons dorés, jolie guirlande de roses dorées bordée de filets large et fin encadrant les plats. Roulette de points dorés sur les coupes, grecque dorée intérieure, garde de soie moirée bleue, tranches dorées.
Illustré de 4 portraits par Migneret, lithographiés par C. Motte, imprimés sur papier rose. Édition originale. Jolie publication élégamment reliée. Avec les portraits de Mme Deshoulières, Jeanne d'Arc, Baronne de Stael-Holstein et Mme de Graffigny. "J'ai voulu présenter aux Françaises une femme célèbre par jour, comme un encouragement ou comme un modèle" Avertissement. Les dernières lignes: "Les dames doivent y puiser cette leçon, qu'elles peuvent pratiquer toutes les vertus, et de distinguer par tous les talens, puisqu'elles ont ici des modèles dans tout les genres, et que l'autre sexe n'a aucune gloire où il n'ai été égalé par quelques femmes." France littéraire, t. 6, p. 540. Notre ouvrage figure au répertoire des Dictionnaires et recueils établi par le SIEFAR (Société Internationale pour l'Étude des Femmes de l'Ancien Régime).
1 En feuillets, sous couverture imprimée rempliée et emboîtage en velours bleu nuit de l'éditeur. 35,5 x 26,5 cm, 211 p. + planches hors-texte. Paris, Éditions du Club de l'Honnête Homme, 1988.
Édition illustrée de 10 lithographies originales en couleurs de Valadié, dont deux à double page, tirage strictement limité à 600 exemplaires numérotés, un des 200 sur pur chiffon de Lana, sans les deux suites annoncées. Très bon état
Monte-Carlo, Editions du livre, 1948. 3 volumes grand in-8 brochés de 279-[3]; 227-[3] et 283-[3] pages, couvertures rempliées respectivement brune, bleue et rouge-framboise imprimées en blanc sous chemise et étui, titres en rouge au dos de la chemise. Chemise et étui un peu tachés, mais ils ont magnifiquement préservé les livres qui sont eux en parfait état.
66 lithographies hors-texte en couleurs de Dubout, tirées par Mourlot, et 75 dessins en noir in-texte. Tirage limité à 3000 exemplaires numérotés sur grand vélin blanc, les nôtres portant le numéro 415. Monod 8826.
Monte-Carlo, Editions du livre, 1948. 3 volumes grand in-8 brochés de 279-[3]; 227-[3] et 283-[3] pages, couvertures rempliées respectivement brune, bleue et rouge-framboise imprimées en blanc sous chemise et étui, titres en rouge au dos de la chemise.
66 lithographies hors-texte en couleurs de Dubout, tirées par Mourlot, et 75 dessins en noir in-texte. Tirage limité à 3000 exemplaires numérotés sur grand vélin blanc, les nôtres portant le numéro 750. Monod 8826.
Monte-Carlo, Editions du livre, 1948. 3 volumes grand in-8 de 279-[3]; 227-[3] et 283-[3] pages. Demi-maroquin bordeaux à coins, dos à nerfs, têtes dorées, couvertures et dos conservées, étui bordé de maroquin bordeaux.
66 lithographies hors-texte en couleurs de Dubout, tirées par Mourlot, et 75 dessins en noir in-texte. Exemplaire en parfaite condition, sans le moindre défaut. Tirage limité à 3000 exemplaires numérotés sur grand vélin blanc, les nôtres portant le numéro 1420. Monod 8826.
LE PUY EN VELAY A COMPTE D ' AUTEUR 1975 1 volume in-4 broché de 92 pages non paginées , reproduisant gravures , dessins , tableaux , aquarelles etc. sur la Haute- Loire , tirage à 250 ex. , bon exemplaire . Bon Couverture souple
Phone number : 04.71.02.85.23
LE PUY IMPRIMERIE L' EVEIL 1974 1 volume in-8 broché de 109 pages , illustrations , une pliure à l' angle inférieur du premier plat , bon exemplaire . " Divers articles composent ce volume dont une étude sur la gravure de paysage dans l' ancien Velay et la Haute- Loire de la fin du XVIIIe siècle à 1850 , de la page 10 à la page 109 . " Bon Couverture souple
Phone number : 04.71.02.85.23
Parigi, Flammarion, 1997.Grand In-4°, relié sous jaquette illustrée, 443 pp.
Livre en tri bon état, intérieur frais et complet. Quelques erres et petites déchirures sur la jaquette, mais sinon un excellent exemplaire
[Lithographies artistiques J. Minot et Cie] - PARVILLEE FRERES & Cie
Reference : 65179
(1900)
1 chemise in-4 recueillant 6 feuilles d'album (sur 8 annoncées) : 1 : Frises ; 2 : Panneaux carrés ; 3 : Panneaux en relief ; 6 : Motifs ajourés & motifs divers ; 7 : Carrelages émaillés pour cheminées, etc. ; 8 : Briques & briquettes émaillées pour cheminées, etc..., Lithographies artistiques J. Minot et Cie, s.d. (circa 1900)
L'architecte et décorateur Léon Parvillée (1835-1885) avait ouvert une manufacture de céramique au 46 rue Caulaincourt (Paris) et à sa mort, ses fils Achille et Louis reprirent l'entreprise sous le nom de : "Parvillée Frères & Cie". Rare exemplaire de ce catalogue en beaux feuillets volants, en couleurs pour les 3 premiers. Bon état (manque les feuilles 4 : Rosaces et 5 : Clos cabochons & motifs divers, bon exemplaire par ailleurs).
[PASCIN] - /PASCIN/ HEMIN (Yves) - KROHG (Guy) - PERLS (Klaus) - RAMBERT (Abel).
Reference : 2010
(1990)
Rambert, Paris, 1990, format 27x21cm, 263 pages, relié pleine toile imprimée (signature Pascin) sous jaquette illustrée en couleurs. Tirage limité à 2000 exemplaires numérotés.
Très nombreuses reproductions photographiques en noir et en couleurs sur beau papier glacé: Simplicissimus: 82+4; gravures (taille-douce): 171; bois de bout: 19; lithographies: 10; illustrations de livres: 227; sculptures et objets: 15. Bel exemplaire.
le XXe siècle et ses sources ", France, 1979. Collection particulière d'un imprimeur. In-4° broché. Photographies et illustrations en couleurs. 90 pp.
Livre en très bon état, intérieur frais et complet. Quelques légères plissures et marques de frottement. Il reste néanmoins un excellent exemplaire pour la documentation.
André Masson Office du Livre 30 x 36 Fribourg 1973 Volume relié de toile rouge bordeaux, titre doré au dos, sous jaquette illustrée, emboîtage de toile, 176 p et 1 ff. de colophon, comprenant 3 lithographies originales en couleurs hors texte. Le volume est accompagné d'une suite de 5 épreuves d'artistes insérées dans un portfolio cartonnée de toile rouge bordeaux, fermé par deux cordons. Notre exemplaire numéroté F 46 fait partie des 50 exemplaires de tête de l'édition de luxe. Les trois lithographies originales en couleurs du volume sont "Oaristys" en frontispice, "Séduction" et "Astres et Visages". Le portfolio à la suite comprend ces trois lithographies signées et numérotées F46/50 par l'artiste, une eau-forte originale "La Leda aux trois perles" et une lithographie originale "La dame du Soleil" signées et numérotées par l'artiste F46/50. Les lithographies ont été tirées sur les presses du Maître Imprimeur F. Mourlot à Paris. L'eau-forte a été tirée sur les presses des Maîtres Taille-douciers Crommelynck à Paris. Le texte est de Roger Passeron. Il est suivi de la reproduction de 51 gravures d'André Masson, d'un catalogue détaillé et commenté et des dates des principales estampes d'André Masson. La suite des 5 estampes originales signées et numérotées est précédée d'un feuillet de présentation. Rare exemplaire en parfait état, quasi neuf, dos très légèrement insolé. (WB88) PHOTOS NUMERIQUES DISPONIBLES PAR EMAIL SUR SIMPLE DEMANDE-DIGITAL PHOTOGRAPS MAY BE AVAILABLE ON REQUEST. Estampes - Gravures - Dessins
Imprimerie Champenois pour CH. Masson H. Piazza | Paris (Décembre 1898) | 23 x 35 cm | une feuille
Rare lithographie originale, exécutée par Paul-César Helleu pour L'Estampe Moderne, série numéro 20 publiée en décembre 1898. Une des50 épreuves de grand luxe tirées sur Chine à grandes marges, signature de l'artiste dans la planche, timbre à sec de l'éditeur représentant un profil d'enfant en marge inférieure, contrecollée sur un feuillet de papier vélin avec au dos le tampon numéroté du tirage de luxe, quelques rousseurs. Lithographie inspirée d'un extrait de Polichinellede Charles Nodier. Magnifique publication mensuelle française éditée entre mai 1897 et avril 1899,L'Estampe modernese constitue de chromolithographies inédites qui, contrairement à d'autres revues commeLesMaîtres de l'Afficheet tel qu'il est stipulé sur les serpentes, ont été réalisées spécialement par chaque artiste pour la revue. Ce sont ainsi 100 estampes qui paraissent au total, couvrant les courants artistiques majeurs de la fin du XIXème siècle: Symbolisme, Art Nouveau, Préraphaélites, Orientalistes et Belle Epoque. Chaque livraison de quatre estampes est tirée à 2000 exemplaires vendus 3,50F et 100 sur papier Japon proposés à 10F. Henri Piazza prévoit également un tirage confidentiel de très grand luxe: 50 exemplaires sur Japon à grandes marges et 50 en noir sur Chine au prix considérable de 30F. Cette estampe d'un beau format est superbement imprimée sur l'un des plus prestigieux papiers: le Chine. «Malgré toutes ses qualités, le papier de Chine, trop inconsistant, doit sa réputation, non pas à sa propre beauté, mais bien à ses affinités particulières avec l'encre d'impression. Son tissu, lisse et mou tout ensemble, est plus apte qu'aucun autre à recevoir un beau tirage. Cette propriété fait rechercher le papier de Chine pour le tirage des gravures...» (Anatole France). L'intérêt des collectionneurs français pour les affiches artistiques s'amplifie au début des années 1890. Octave Uzanne, pour qualifier cette fièvre invente le terme d'«affichomanie». L'affiche, à l'origine populaire et placardée dans les rues de la capitale, devient alors objet d'art et son support éphémère se fait précieux et voué à la conservation. Piazza décide de soustraire l'affiche à sa vocation publicitaire et de l'élever au rang d'uvre d'art à part entière au même titre que le livre illustré de luxe. Il compose ainsi une collection prestigieuse d'uvres entièrement originales, par les artistes européens les plus en vue du moment: Georges de Feure, Eugène Grasset, Henri Detouche, Emile Berchmans, Louis Rhead, Gaston de Latenay, Lucien Lévy-Dhurmer, Gustave-Max Stevens, Charles Doudelet, Hans Christiansen, Henri Fantin-Latour, Steinlen, Ibels, Engels, Willette, Henri Meunier, Evenepoël, Bellery-Desfontaines, Charles Léandre, etc. Bel exemplaire. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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Imprimerie Champenois pour CH. Masson H. Piazza | Paris (Décembre 1898) | 23 x 35 cm | une feuille et une serpente
Rare lithographie originale, exécutée par Patrice Dillon pour L'Estampe Moderne, série numéro 20 publiée en décembre 1898. Une des50 épreuves de grand luxe tirées sur Japon à grandes marges, signature de l'artiste dans la planche, timbre à sec de l'éditeur représentant un profil d'enfant en marge inférieure, tampon numéroté du tirage de luxe au dos ; gravure précédée d'une serpente légendée du nom de l'artiste, du titre, et d'un extrait d'oeuvre. Lithographie inspirée d'un extrait de Polichinellede Charles Nodier, reproduit sur la serpente de l'estampe. Magnifique publication mensuelle française éditée entre mai 1897 et avril 1899, L'Estampe moderne se constitue de chromolithographies inédites qui, contrairement à d'autres revues comme Les Maîtres de l'Affiche et tel qu'il est stipulé sur les serpentes, ont été réalisées spécialement par chaque artiste pour la revue. Ce sont ainsi 100 estampes qui paraissent au total, couvrant les courants artistiques majeurs de la fin du XIXème siècle: Symbolisme, Art Nouveau, Préraphaélites, Orientalistes et Belle Époque. Chaque livraison de quatre estampes est tirée à 2000 exemplaires vendus 3,50F et 100 sur papier Japon proposés à 10F. Henri Piazza prévoit également un tirage confidentiel de très grand luxe: 50 exemplaires sur Japon à grandes marges et 50 en noir sur Chine au prix considérable de 30F. Cette estampe d'un beau format est superbement imprimée sur le plus prestigieux des papiers: le Japon. Epais, soyeux, satiné et nacré, il contribue à faire de chaque page une uvre à part entière. Sa qualité d'absorption de l'encre et son affinité avec les couleurs en font également le support idéal de ces très belles lithographies. L'intérêt des collectionneurs français pour les affiches artistiques s'amplifie au début des années 1890. Octave Uzanne, pour qualifier cette fièvre invente le terme d'«affichomanie». L'affiche, à l'origine populaire et placardée dans les rues de la capitale, devient alors objet d'art et son support éphémère se fait précieux et voué à la conservation. Piazza décide de soustraire l'affiche à sa vocation publicitaire et de l'élever au rang d'uvre d'art à part entière au même titre que le livre illustré de luxe. Il compose ainsi une collection prestigieuse d'uvres entièrement originales, par les artistes européens les plus en vue du moment: Georges de Feure, Eugène Grasset, Henri Detouche, Emile Berchmans, Louis Rhead, Gaston de Latenay, Lucien Lévy-Dhurmer, Gustave-Max Stevens, Charles Doudelet, Hans Christiansen, Henri Fantin-Latour, Steinlen, Ibels, Engels, Willette, Henri Meunier, Evenepoël, Bellery-Desfontaines, Charles Léandre, etc. Bel exemplaire. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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Imprimerie Champenois pour CH. Masson H. Piazza | Paris (Janvier 1898) | 32 x 22 cm | une feuille et une serpente
Rare lithographie originale, exécutée par Paul Albert Laurens pour L'Estampe Moderne, série numéro 9 publiée en janvier 1898. Une des50 épreuves de grand luxe tirées sur Japon à grandes marges, papier velin contrecollé sur Japon, signature de l'artiste dans la planche, timbre à sec de l'éditeur représentant un profil d'enfant en marge inférieure, tampon numéroté du tirage de luxe au dos ; gravure précédée d'une serpente légendée du nom de l'artiste, du titre et d'un poème ; serpente vierge. Lithographie inspirée du poème Les trophées de José-Maria de Heredia, reproduit sur la serpente de l'estampe. Magnifique publication mensuelle française éditée entre mai 1897 et avril 1899, L'Estampe moderne se constitue de chromolithographies inédites qui, contrairement à d'autres revues comme Les Maîtres de l'Affiche et tel qu'il est stipulé sur les serpentes, ont été réalisées spécialement par chaque artiste pour la revue. Ce sont ainsi 100 estampes qui paraissent au total, couvrant les courants artistiques majeurs de la fin du XIXème siècle: Symbolisme, Art Nouveau, Préraphaélites, Orientalistes et Belle Epoque. Chaque livraison de quatre estampes est tirée à 2000 exemplaires vendus 3,50F et 100 sur papier Japon proposés à 10F. Henri Piazza prévoit également un tirage confidentiel de très grand luxe: 50 exemplaires sur Japon à grandes marges et 50 en noir sur Chine au prix considérable de 30F. Cette estampe d'un beau format est superbement imprimée sur le plus prestigieux des papiers: le Japon. Epais, soyeux, satiné et nacré, il contribue à faire de chaque page une uvre à part entière. Sa qualité d'absorption de l'encre et son affinité avec les couleurs en font également le support idéal de ces très belles lithographies. L'intérêt des collectionneurs français pour les affiches artistiques s'amplifie au début des années 1890. Octave Uzanne, pour qualifier cette fièvre invente le terme d'«affichomanie». L'affiche, à l'origine populaire et placardée dans les rues de la capitale, devient alors objet d'art et son support éphémère se fait précieux et voué à la conservation. Piazza décide de soustraire l'affiche à sa vocation publicitaire et de l'élever au rang d'uvre d'art à part entière au même titre que le livre illustré de luxe. Il compose ainsi une collection prestigieuse d'uvres entièrement originales, par les artistes européens les plus en vue du moment: Georges de Feure, Eugène Grasset, Henri Detouche, Emile Berchmans, Louis Rhead, Gaston de Latenay, Lucien Lévy-Dhurmer, Gustave-Max Stevens, Charles Doudelet, Hans Christiansen, Henri Fantin-Latour, Steinlen, Ibels, Engels, Willette, Henri Meunier, Evenepoël, Bellery-Desfontaines, Charles Léandre, etc. Bel exemplaire dans le style Art Nouveau. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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Imprimerie Champenois pour CH. Masson H. Piazza | Paris (Janvier 1898) | 27 x 35 cm | une feuille
Rare lithographie originale, exécutée par Paul Albert Laurens pour L'Estampe Moderne, série numéro 9 publiée en janvier 1898. Une des50 épreuves de grand luxe tirées sur Chine à grandes marges, signature de l'artiste dans la planche, timbre à sec de l'éditeur représentant un profil d'enfant en marge inférieure, contrecollée sur un feuillet de papier vélin avec au dos le tampon numéroté du tirage de luxe, pâles rousseurs marginales. Lithographie inspirée du poème Les trophées de José-Maria de Heredia. Magnifique publication mensuelle française éditée entre mai 1897 et avril 1899,L'Estampe modernese constitue de chromolithographies inédites qui, contrairement à d'autres revues commeLesMaîtres de l'Afficheet tel qu'il est stipulé sur les serpentes, ont été réalisées spécialement par chaque artiste pour la revue. Ce sont ainsi 100 estampes qui paraissent au total, couvrant les courants artistiques majeurs de la fin du XIXème siècle: Symbolisme, Art Nouveau, Préraphaélites, Orientalistes et Belle Epoque. Chaque livraison de quatre estampes est tirée à 2000 exemplaires vendus 3,50F et 100 sur papier Japon proposés à 10F. Henri Piazza prévoit également un tirage confidentiel de très grand luxe: 50 exemplaires sur Japon à grandes marges et 50 en noir sur Chine au prix considérable de 30F. Cette estampe d'un beau format est superbement imprimée sur l'un des plus prestigieux papiers: le Chine. «Malgré toutes ses qualités, le papier de Chine, trop inconsistant, doit sa réputation, non pas à sa propre beauté, mais bien à ses affinités particulières avec l'encre d'impression. Son tissu, lisse et mou tout ensemble, est plus apte qu'aucun autre à recevoir un beau tirage. Cette propriété fait rechercher le papier de Chine pour le tirage des gravures...» (Anatole France). L'intérêt des collectionneurs français pour les affiches artistiques s'amplifie au début des années 1890. Octave Uzanne, pour qualifier cette fièvre invente le terme d'«affichomanie». L'affiche, à l'origine populaire et placardée dans les rues de la capitale, devient alors objet d'art et son support éphémère se fait précieux et voué à la conservation. Piazza décide de soustraire l'affiche à sa vocation publicitaire et de l'élever au rang d'uvre d'art à part entière au même titre que le livre illustré de luxe. Il compose ainsi une collection prestigieuse d'uvres entièrement originales, par les artistes européens les plus en vue du moment: Georges de Feure, Eugène Grasset, Henri Detouche, Emile Berchmans, Louis Rhead, Gaston de Latenay, Lucien Lévy-Dhurmer, Gustave-Max Stevens, Charles Doudelet, Hans Christiansen, Henri Fantin-Latour, Steinlen, Ibels, Engels, Willette, Henri Meunier, Evenepoël, Bellery-Desfontaines, Charles Léandre, etc. Bel exemplaire dans le style Art Nouveau. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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