Imprimerie Eleuthère Brassart, 1909 - Monographie in octavo en feuillets cousus de 6 pages, bel exemplaire, belle typographie.
Bon Etat Franco de port pour la France jusqu'à 30 euros. MONDIAL RELAY privilégié et disponible pour les pays suivants : Portugal, Pologne, Espagne, Allemagne, Autriche, Pays Bas, Luxembourg, Italie, Belgique. Paiement immédiat par Paypal : https://paypal.me/Artlink?locale.x=fr_FR . Chèques et virement acceptés. Nous accompagne toutes les étapes de votre achat. Achat et déplacement France Suisse.
Moulins, Grégoire, "Curiosités Bourbonnaises" N° 22, 1910 ; plaquette in-8, brochée. 35pp.Bon état.
Édition originale. Jacques Fraichet, était originaire de Saligny-sur-Roudon (Allier). il fut appelé au milieu du XVIème siècle à diriger la Collège de la Trinité à Lyon et est l'auteur d'une "Comédine latine" publiée par Sébastien Gryphe en 1550, mais son nom n'a pas été retenu par Quiriel dans sa biobibliographie des écrvains bourbonnauis.
REURE, Le chanoine O.-C. (professeur à la faculté libre des lettres de Lyon, membre de la Société de la Diana)
Reference : 107818
(1914)
1914 A Montbrison, Imprimerie Eleuthere Brassart - De 1914 à 1919 - 3 forts volumes In-8, broché - 456 + 528 + 279 pages
Bon état, brochages compactes malgré couvertures légèrement défraichies (quelques rousseurs, salissures, plis, dos cassés, départ de fentes) - Quelques traces de stylo sur les première page et la couverture du second tome
Lyon, Editions Lyonnaises d'Art de d'Histoire, "Sciences et techniques" 1994, 16 x 24, 128 pages cousues sous couverture illustrée. Iconographie en noir & blanc.
Très bon état.
Paris, Revue générale des routes et des aérodromes, 1978, 15,5 x 23, 246 pages cousues sous couverture souple illustrée. Iconographie noir & blanc. Ouvrage enrichi d'un plan (dépliant) en couleurs.
Menus défauts d'usage.
Julliard-Lettres Nouvelles. 1958. In-8° broché. 129 pages. E.O. sur papier ordinaire.
Bon état.
Fondation Nationale de la Photographie 1990 Fondation Nationale de la Photographie, 1990, complet des 32 photographies de Blanc et Demilly, feuillets libres sous emboitage, environ 40x29cm, exemplaire numéroté 234/700. Des frottements d'usage sur l'étui de l'emboitage, bon état pour le reste et intérieur très propre.
Photographies extraites de "Aspects de Lyon par Blanc et Demilly", édité en 1933 pour le compte de la Société des Amis de Guignol. Merci de nous contacter à l'avance si vous souhaitez consulter une référence au sein de notre librairie.
In-8 (215 x 135 mm), cartonnage gris ancien, 112 p. A Paris, Chez la cit. Toubon (), la cit. Lefevre, rue Percée, près celle de la Harpe. On trouve aussi cet ouvrage, chez les citoyens Vezard et Le Normant, imprimeurs (). De l'imp. du Calculateur Patriote, au corps sans tête, l'an deuxième de la république française, une et indivisible et deuxième de la mort du tyran [1794].
Edition originale. En mai 1793, la municipalité jacobine de Lyon est renversée par une partie de la population. Quelques jours plus tard, les Jacobins prennent le pouvoir à Paris et envoient les armées révolutionnaires à Lyon qui assiègent et pénètrent dans la ville. Ils y exercent une répression féroce: la ville est vouée à la destruction, des massacres y sont perpétrés. Le 12 octobre 1793 on rebaptise Lyon: "Commune-affranchie" ou "Ville-affranchie". Des Lyonnais, Girondins, royalistes, prêtres réfractaires et personnes accusées d'incivisme, de "rébellion contre la nation" et sommairement condamnés à la guillotine.L'auteur, François-Barnabé Tisset, était ouvrier d'imprimerie et l'un des agents du redoutable Comité de surveillance institué par la Commune du 10 août. Il est l'un des responsables de l'arrestation du ministre Roland et de sa femme. Par la suite, sous le Directoire, il devint espion de la police parisienne pour la presse et l'édition.Le document restitue la liste nominative des condamnés à mort avec âge, lieu de naissance, domicile et profession. La liste est précédée d'une épouvantable "Lettre de la guillotine de ci-devant Lyon à la guillotine de Paris, sa soeur ainée" et est suivie du texte du décret de la Convention "portant que les conspirateurs de Bordeaux et de Lyon seront renvoyés aux tribunaux révolutionnaires établis dans ces villes". (Charlety, 'Bibliogr. de Lyon depuis 1789 à nos jours', n°3290. Martin & Walter, 32649. Monfalcon, 'Bibliographie de la ville de Lyon', p. 61. Monglond, III, 49-50)Mors et coiffes abîmées. Intérieur très frais, entièrement non rogné, témoins conservés.
Phone number : 33 01 47 07 40 60
S.l., 1789. In-8° dérelié de 31 pp.[C30]
Martin & Walter, Anonymes, 9236.
Phone number : 02 47 97 01 40
Lyon. Directeur : Patrick Beurard. Fascicules in-8° agrafés.
Collection complète, du n° 1 (1er trimestre 1980) au n° 10 (1987). Textes et illustrations de Georges Adilon, Jean-Philippe Aubanel, Daniel Aulagnier, Jean-Marc Baillieu, Patrick Beurard, Pierre Bocéréan, Patrice Boissonnet, Jean Noël Brasier, Gilles Chomer, Christine Crozat, Patrick Drevet, Patrick Dubost, Denis Dufour, Claudie Faure, Frederika Fenollabbate, Maxime Gammes, Marc Gerenton, Enno P. Gramberg, Daniel Grenier, Joseph Guglielmi, Jean-Claude Hauc, David Hecht, Denis Henry, Jean Paul Klee, Philippe Lacoue-Labarthe, Michel Legros, Pierre Le Pillouër, Christian Lhopital, Catherine Loth, Hubert Lucot, François Martin, Reinhard von der Marwitz, Michael Meyer, Bartolomeo Migliore, Claude Minière, Bodo Morshaüser, Bernard Parmegiani, Christophe Petchanatz, Claude Piot, Marcelin Pleynet, Siegfried Plumper Huttenbrink, Patrick Ravella, Patrick Raynaud, Karin Reschke, Julián Ríos, Alain Robinet, Paul Röhken, Wolfgang Schlüter, Lothar Schreyer, Denis Serre, Norbert Tefelski, Jean-Paul Thaéron, Martine Traegger, Paul Velly, Éric Villeneuve, Pierre Vinit, Ernest Wichner, Liette Yergeau...
Lyon. N° 5. Novembre 1921. 16 pages. Henri Focillon ("Lettre à Jean Epstein"), Ozenfant et Jeanneret ("Esthétique et Purisme"), Pierre Combet-Descombes (Texte télégraphique), Louis Delluc ("Toros"), Chlebnikoff (Poème), Marcel Requien ("Expiation", film). Bois gravés hors texte de Jean Epstein, Jeanneret, Pierre Deval, Jean Lacroix (et un frontispice non signé, très beau). Catalogue de la 1ère Exposition du Promenoir : "Cubisme - Purisme - Expressionnisme" (oeuvres de Albert Gleizes, Ch. E. Jeanneret, Oscar Kokoschka, Fernand Léger, Amédée Ozenfant, Lasar Segall).
" Promenoir " fut une des rares revues lyonnaises d'avant-garde, influencée par le dadaïsme et le surréalisme. L'autre grande revue lyonnaise d'avant-garde était " Manomètre ", dirigée par Emile Malespine, où l'on retrouve les mêmes protagonistes. Ces deux revues n'eurent qu'une brève existence. ----------- Très rare. Très bel exemplaire.
Forcalquier, Les Alpes de Lumière, n° 142, 2002, in-8 broché de 120 pages, photographies, fac-similés. Bel exemplaire à létat quasi neuf.
1974 br. 2 fasc. in-8, ill., Dijon R.A.E. 1974
Phone number : 33 (0)6 77 77 12 33
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Revue Archéologique du Centre ( R.A.C ) - consacrée aux antiquités nationales de Allier, Cantal, Cher, Corrèze, Creuse, eure-et-Loire, Indre, Indre-et-Loire, Haute-Loire, Loir-et-Cher, Loiret, Puy-de-Dôme, Haute-Vienne
Reference : 69928
Actes des journées d'étude de la céramique antique. Organisées par le groupe de Recherches archéologiques de Roanne, sous l'égide du Groupe d'Etude de la Céramique antique en gaule - Roanne : 12-14 mai 1967 - 1 vol in-8 - revue illustrée - 90 pages
Assez bon état - Trace de pli verticale sur la couv. - Tampon en haut de la couv. et sur le haut d'une ou deux pages de l'ouvrage
Bon état. /// « Satirique hebdomadaire ». Paris (362, rue Saint-Honoré). Rédacteur en chef : Léo Marchès. Fascicule in-4° agrafé. Fondé en 1924, ce magazine satirique continuait de paraître en 1935. /// Notre catalogue " Henri Béraud " est disponible sur simple demande.
Béraud donne dans cette livraison un long article (deux pleines pages, texte sur deux colonnes, illustré de deux dessins de H. P. Gassier) évoquant, sous le titre ironiquement emphatique et ironique de « Souvenirs dun condamné », ses démêlés avec lauteur dramatique Félix Gandéra [de son vrai nom Félix Pensieri, connu aussi comme acteur sous le nom de Jacques Vitry]. « Il y a environ deux ans, je massis sur les bancs de la police correctionnelle. [] Il faisait ce temps épais et triste qui projette, par les hautes croisées des prétoires, latmosphère des erreurs judiciaires Car je fus condamné. Après des débats que je ne raconterai point, je fus reconnu coupable de diffamation à légard de M. Gandéra (Félix), auteur de je ne sais plus quelle pièce à lusage du Couvent des Oiseaux, où ma naturelle malveillance avait cru discerner des allusions capables dilluminer les visages des macaques du reflet de leur propre derrière. On me dit que je métais trompé et que, si la comédie de M. Gandéra faisait rougir les singes, cétait de déception. Je payai à M. Gandéra la somme de un franc à laquelle le tribunal évaluait le dommage causé par mon article [Gandéra réclamait 100.000 francs]. » Cest une nouvelle affaire impliquant Félix Gandéra qui conduit Béraud à revenir sur son procès perdu. « Il se trouve, en effet, que M. Gandéra a fait une autre comédie, destinée, non pas au Couvent des Oiseaux, mais au Monastère des Grands Pélicans, cest-àdire à la Comédie-Française. » Cette pièce, Nicole et sa vertu, a, au sein de la prestigieuse Maison de Molière, ses partisans et ses adversaires. Béraud se range évidemment au côté de ceux-ci. « Ils sont allés chercher comme auteur à succès un homme de qui le nom suffit à discréditer un théâtre ; ils ont pensé à lui pour la Comédie-Française, alors que le seul rapprochement de ces deux noms eût dû suffire à faire aboyer les chiens dans la rue. [] On ne discute pas avec M. Gandéra, on lécarte du bout du pied. »
Bon état. /// « Satirique hebdomadaire ». Paris (362, rue Saint-Honoré). Rédacteur en chef : Léo Marchès. Fascicule in-4° agrafé. Fondé en 1924, ce magazine satirique continuait de paraître en 1935. /// Notre catalogue " Henri Béraud " est disponible sur simple demande.
Henri Béraud donne des « SOUVENIRS SUR ROBERT DE JOUVENEL » (2 pages, texte à deux colonnes), après la mort prématurée de celui-ci. Robert de Jouvenel, journaliste de grand renom, proche des milieux républicains radicaux, aida Béraud lors de ses débuts dans la presse parisienne. Il était le bras droit de Gustave Téry, patron de luvre quand Béraud y fit ses débuts. Article empreint dune émotion sincère. Longtemps après, Béraud restait encore marqué par la perte de cet ami et lévoquait dans " les Derniers beaux jours " (écrit en prison à partir de 1945, paru en 1953) : « Il mourut en 1925 [en réalité : 1924], dune sorte de crime chirurgical. Il avait tout juste quarante ans. La nouvelle de sa mort me vint par un journal, dans ma solitude rhétaise. Je fus une semaine sans en accepter la certitude. Chaque nuit je croyais entendre son pas dansant sur la route. Je lui dois beaucoup. Dès le premier jour il me témoigna une sympathie que ne pouvaient expliquer ni nos origines, ni nos tempéraments. Indulgent à mes débuts, il aida mon inexpérience de ses conseils et ma solitude de ses relations. Tel il fut tout de suite, avant de se montrer, bien plus tard car la familiarité nétait pas son genre linoubliable ami quil demeure dans mon souvenir. » (" Les Derniers beaux jours ", I, II)
Bon état. /// « Satirique hebdomadaire ». Paris (362, rue Saint-Honoré). Rédacteur en chef : Léo Marchès. Fascicule in-4° agrafé. Fondé en 1924, ce magazine satirique continuait de paraître en 1935. /// Notre catalogue " Henri Béraud " est disponible sur simple demande.
Dans son éditorial, Béraud moque linauguration dun circuit automobile à Lyon, « pays de la lenteur ». « Ce quà Lyon on appelle se presser, cest aller à ses affaires sans relire son testament, fermer le compteur à gaz, brûler ses papiers et dire adieu à sa famille. [] Le Lyonnais (même riche) se moque bien de lauto ! Il va à pied, sous son parapluie, et il dit au départ, dans son patois : Jarriverai quand moi. Il arrive en effet quand lui, lorsquon ne lattend plus. » Dans une seconde partie de cet éditorial, il sen prend au Général de Saint-Just, député du Pas-de-Calais, seul parlementaire à sêtre opposé au prochain transport des cendres de Jaurès au Panthéon. « A vrai dire, le général ne sait au juste, ni au saint-juste, qui est ce Jaurès, quelles sont ces cendres, quel est ce Panthéon. Il a seulement compris quil sagissait dun civil et quon parlait de déranger des militaires pour laccompagner »