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‎[REVUE]. [BERAUD Henri].‎

Reference : 11764

‎DEMAIN. N° 3. Juin 1924.‎

‎ Directeur : Raymond Escholier. J. Ferenczi & fils, éditeurs. In-8°. Exemplaire sous reliure bradel plein cartonnage, couverture conservée. Bon état. /// Notre catalogue " Henri Béraud " est disponible sur simple demande.‎


‎Contient en pré-originale " le Sergent Lèbre ", nouvelle dHenri Béraud, illustrée de 17 bois gravés de Pierre Lissac, parue ensuite en volume sous le titre de " Au Capucin gourmand " puis sous celui du " Beau Sergent du roi ".‎

Phone number : 06.10.17.78.84

EUR25.00 (€25.00 )

‎[REVUE]. [BERAUD Henri].‎

Reference : 11765

‎DEMAIN. N° 3. Juin 1924.‎

‎ Directeur : Raymond Escholier. J. Ferenczi & fils, éditeurs. In-8° broché. Bon état. /// Notre catalogue " Henri Béraud " est disponible sur simple demande.‎


‎Contient en pré-originale " le Sergent Lèbre ", nouvelle dHenri Béraud, illustrée de 17 bois gravés de Pierre Lissac, parue ensuite en volume sous le titre de " Au Capucin gourmand " puis sous celui du " Beau Sergent du roi ".‎

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‎[REVUE]. [BERAUD Henri].‎

Reference : 11756

‎EUX « Vingt têtes de Bib culottées par Henri Béraud ». Présentées par le Merle Blanc.‎

‎ Collection complète. 1ère & 2e séries. [Novembre 1921] & [Avril 1922]. Les deux numéros sont en bon état. Nous joignons un exemplaire de lédition fac-simile réalisée en 2000 par lAssociation Rétaise des Amis dHenri Béraud. /// Notre catalogue " Henri Béraud " est disponible sur simple demande.‎


‎Paris (142, rue Montmartre). Editions du Merle Blanc. Directeur : Eugène Merle. Fascicule in-4° agrafé. Deux numéros ont paru en deux livraisons. Le second numéro a fait lobjet dun tirage de luxe de 300 exemplaires sur vélin pur fil Lafuma. (Dupont, 16). /// Chaque numéro présente vingt caricatures par Bib de personnalités du temps (Bib est le pseudonyme du dessinateur Georges Breitel). Ces caricatures sont légendées sans pitié par Henri Béraud. Première série : Aristide Briand, Isadora Duncan, Henri de Rothschild, Lucie Delarue-Mardrus, Mandel, Delcassé, Silvain, Georges Pioch, Maurice Rostand, De Moro-Giafferi, Robert de Flers, Maurice Barrès, Cora Laparcerie, Paul Doumer, G. de la Fouchardière, Arthur Meyer, Mistinguett, André de Fouquières, De Max, Georges Clémenceau. Seconde série : Raymond Poincaré, Gustave Téry, Lucienne Bréval, Dorville, Yvette Guilbert, Edouard Herriot, Lucien Guitry, André Duvernois, Louis Barthou, Georges Courteline, les Frères Isola, Louis Forest, Georges Berr, Georges Carpentier, Mayol, Paul Reboux, André Tardieu, Sarah Bernhardt.‎

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‎[REVUE]. [BERAUD Henri].‎

Reference : 11753

‎FLORÉAL. « LHebdomadaire illustré du monde du travail ».‎

‎Du n° 1 (3 janvier 1920) au n° 23 (10 juillet 1920). Reliure de léditeur, pleine percaline marron, titre doré, motif floral frappé à froid sur le premier plat. Réunion des 23 livraisons du premier semestre de Floréal. 534 pages (pagination continue). Toutes les couvertures (illustrées) sont présentes. Bon état. /// Notre catalogue " Henri Béraud " est disponible sur simple demande.‎


‎FLORÉAL. « LHebdomadaire illustré du monde du travail ». Directeur : [Joseph] Paul-Boncour. Secrétaire général : Jean-Lorris. Editeur-fondateur : Aristide Quillet. In-4° agrafé. 24 pages par numéro. Floréal a paru chaque semaine, de janvier 1920 jusquà janvier 1924. /// Sous ce titre emprunté au calendrier révolutionnaire, se trouve une revue de stricte obédience socialiste, que son ton et son contenu classent à la tendance la plus sénestre de la S.F.I.O. La ferveur militante sy accompagne du souci évident doffrir aux travailleurs une revue de qualité, en sattachant la collaboration de bons auteurs, journalistes et dessinateurs, par une maquette soignée et des sommaires intéressants. Chaque numéro comporte un cahier central de 4 pages, composé de reproductions de photographies. Béraud donne un seul article lors de ce premier semestre (dans " Floréal " n° 11-12, 24 avril 1920). Il reflète bien les idées politiques du jeune socialiste et surtout ennemi des bourgeois de sa ville quil était alors (ses idées politiques changeront ; sa haine de la bourgeoisie locale, non). Sous le titre de « LYON EN PROIE AUX MERCANTIS », il dénonce le développement local de viles méthodes denrichissement. « Le nouveau riche qui pullule partout en France, grouille à Lyon dune manière surprenante. Le culte des affaires y a pris un caractère de fureur sacrée. Et nulle part on ne voit aussi clair dans les manuvres des mercantis quen ce pays de brumes et dombre. Tout se passe au vu et au su de tout le monde ; les fortunes scandaleuses nont lair de scandaliser personne. On entend daustères bourgeois lyonnais vanter, dun ton presque cynique, lastuce de tel négociant notoire et honoré, qui fournissait lAllemagne de soies destinées à la confection des gargousses à poudre, tandis que ses fils mouraient sur les champs de carnage ! Le rigorisme local a disparu ; les gains excusent tout. Les enrichis parlent avec jovialité de leurs condamnations, quils considèrent comme des encouragements à persévérer et que, dailleurs, ils ont raison de juger telles. [] Je sais quen dautres temps, ces choses eussent soulevé lunanime réprobation de mes compatriotes. [] Il faut dailleurs considérer que tout cela aura bientôt une fin. La vieille et rude honnêteté lyonnaise reprendra le dessus et, de même que Lyon vit naître les premiers mouvements révolutionnaires purement ouvriers, on apprendra quelque jour que les fils des Voraces de la Croix-Rousse auront accroché des mercantis aux lanternes de la Grand Côte et du Gourguillon. »‎

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‎[REVUE]. [BERAUD Henri].‎

Reference : 11786

‎GRINGOIRE.‎

‎ENSEMBLE DE 234 NUMEROS DE " GRINGOIRE ". Du n° 313 (2 novembre 1934) au n° 795 et dernier paru (26 mai 1944). Ensemble en état convenable. Les numéros ont été pliés horizontalement et verticalement ce qui est inévitable en raison du très grand format de ce journal. Certains numéros sont un peu usés à lendroit de ces pliures. La mauvaise qualité du papier de guerre a aussi rendu la conservation de ces journaux difficile. Mais, répétons-le, lensemble est en condition très acceptable. /// Ninsistons pas sur la rareté de ces journaux proscrits à la Libération. Beaucoup de collections, qui pouvaient se transformer en dangereuses pièces à conviction, entre les mains dépurateurs expéditifs, ont fini dans les cheminées ou les poêles à charbon. Doù la rareté de " Gringoire ", malgré limportance exorbitante de ses tirages et de ses ventes. /// Notre catalogue " Henri Béraud " est disponible sur simple demande.‎


‎Le journal hebdomadaire " Gringoire " fut fondé en 1928 par Horace de Carbuccia. Horace de Carbuccia, Corse dascendance aristocratique génoise, doté dun indéniable sens des affaires, fera de ce journal un des plus populaires de son temps, atteignant un tirage de 700.000 exemplaires. Parallèlement, il développe une activité déditeur, elle aussi couronnée de succès, avec les éditions de France. Il sera député de la Corse de 1932 à 1936. Son salon de lavenue Foch fut un des plus courus de lépoque, où fréquentait le meilleur monde politique et littéraire. A ses débuts, " Gringoire " se situe politiquement au centre droit. Son style est déjà pamphlétaire, avec le communisme comme cible principale. Foncièrement germanophobe et antihitlérien, Gringoire prend pourtant position contre la guerre avec lAllemagne, en raison de la faiblesse militaire française. A partir de 1936, lidéologie droitiste et nationaliste de " Gringoire " saccentue. Le journal soppose ouvertement au gouvernement de Front populaire. Antijudaïsme et xénophobie saccentuent (alors même que plusieurs auteurs juifs collaborent à " Gringoire " : Romain Gary, Joseph Kessel, Irène Némirovsky). /// Une campagne, restée fameuse, est menée contre Roger Salengro (accusé de désertion pendant la Première Guerre mondiale), qui conduira au suicide le ministre de lIntérieur du gouvernement Blum. /// Après la défaite de juin 1940, " Gringoire " se replie à Marseille, puis à Clermont-Ferrand (pas trop loin de Vichy). Notons que jamais le journal ne sera diffusé en zone occupée. Sa ligne politique suit fidèlement le programme de la Révolution nationale, jusquen 1943. Le 795e et dernier numéro de Gringoire parait le 26 mai 1944. /// Cest en 1928 que Béraud, alors un des plus célèbres et des mieux payés journalistes de France, rejoint la rédaction de " Gringoire " notamment pour y retrouver son ami Joseph Kessel. Lévolution politique de Béraud qui, venu de la gauche socialiste penche de plus en plus à droite après laffaire Stavisky, suit lévolution politique de " Gringoire ". Il en devient, avec André Tardieu, un des plus virulents éditorialistes, mettant ses talents de polémiste au service de causes quil avait naguère combattues. Cela lui vaudra, en septembre 1944, dêtre arrêté puis jugé en deux jours, cest-à-dire : condamné à mort pour intelligences avec lennemi. Ce qua dexagéré et de fallacieux cette décision judiciaire est manifeste. Béraud na eu aucun contact avec loccupant. Deux de ses livres ont figuré sur la liste Otto : " Trois ans de colère " et " Vienne, clef du monde ". Ce procès ne peut cacher sa dimension de règlement de comptes ; sous le prétexte infamant de « collaboration avec loccupant », les nombreux ennemis quil a su sattacher font payer à Béraud des années décrits polémiques et, éventuellement, diffamatoires. La campagne contre Salengro pèse lourd dans ce jugement. Et aussi le pamphlet " Faut-il réduire lAngleterre en esclavage ? " Lamiral marseillais Emile Muselier « inventeur » du symbole de la Croix de Lorraine réclame sa mort : Béraud avait osé le traiter d « amiral de bateau-lavoir ». De nombreux intellectuels trouvent injuste ce procès particulièrement François Mauriac et interviennent en faveur du condamné à mort. In extremis, le général de Gaulle lui accordera sa grâce et la peine de mort sera commuée en détention à perpétuité. Horace de Carbuccia, moins naïf et ballot que Béraud et surtout ancien député, pourvu dun des meilleurs carnet dadresses de Paris se fera discret, prendra le maquis dans son île, et ne sera « jugé » quen 1955, le calme revenu et la soif de vengeance assouvie. Citons à ce propos larticle plein dironie de Jean-Marc Théolleyre, chroniqueur judiciaire du " Monde ", paru le 21 octobre 1955 : « Il paraît que les défenseurs et les amis de M. Horace de Carbuccia souhaitaient que le procès de lancien directeur de " Gringoire " se déroulât à linsu des chroniqueurs judiciaires et avec le minimum de publicité. On peut se demander pourquoi, car si jamais un accusé dintelligences avec lennemi fut autant loué, célébré, vanté pour son patriotisme, sa générosité, sa résistance, ce fut bien celui-là. Des témoins de laccusation, qui nen avaient que le nom, à ceux de la défense, ce fut un palmarès déloges. Ce fut à qui raconterait comment le directeur de ce journal pourfendeur de juifs, de francs-maçons, de résistants, abrita des juifs, sauva des francs-maçons, aida des résistants. Les juges militaires ont donc prononcé lacquittement, et leur jugement a été accueilli sans surprise, tout comme en 1945 [sic pour 1944, le 29 décembre 1944] lopinion publique avait accueilli sans surprise la condamnation à mort de Henri Béraud, collaborateur du même Gringoire. Pourtant, entre la condamnation de Béraud, qui nétait pas la justice, et cet acquittement, la marge est quand même un peu trop grande... M. de Carbuccia sest plu à dire quil laissait toute liberté à ses rédacteurs pour exprimer des sentiments quil a reconnu avoir été les siens de 1940 à 1942. Mais il a attendu 1955 pour venir le proclamer devant la justice. Il a bien fait, dira-t-on, puisque cet « attentisme » lui vaut labsolution totale. Cest bien la morale de ce procès : la fuite, labandon des anciens amis, se révèlent parfois payants. » /// Fin 1942, après linvasion de la zone libre par larmée allemande (en réponse au débarquement anglo-américain en Afrique du Nord), la ligne politique de " Gringoire " sinfléchit et cesse son soutien absolu au gouvernement de Vichy. Béraud ignore ces consignes, dictées par le propriétaire du titre, son ami Horace de Carbuccia. Il poursuit ses articles polémiques, particulièrement hostiles à lAngleterre. Après plusieurs interruptions, les articles de Béraud cessent définitivement de paraître dans Gringoire en octobre 1943. Horace de Carbuccia pense déjà à lheure où il devra rendre quelques comptes, et cet inconscient de Béraud, qui a fait le succès de son journal, devient gênant, en prévision des temps à venir. On le réduit au silence. De plus, une clause de non-concurrence interdit à Béraud de donner ses articles à un autre journal. Béraud explique cette situation, à ceux qui « depuis dix mois cherchent en vain ma signature dans le journal où jécrivais depuis dix ans », par un libelle, " les Raisons dun silence ", quil confie à une officine éditoriale collaborationniste, les éditions Inter-France (dirigée par Dominique Sordet). « Le 12 janvier 1934, je me suis jeté dans la bataille. Jétais un homme heureux, comblé par la vie, jeune encore, tout à sa tâche, et qui, loin des agitations du forum, poursuivait une uvre entreprise depuis ses débuts dans la vie littéraire. [] Un jour de janvier, en 1934, jai posé la plume du romancier et jai consacré mes veilles aux centaines darticles quon a pu lire dans " Gringoire ". Au service dun idéal qui pouvait contrarier bien des gens parmi les meilleurs, jai renoncé à bien des joies, jai rompu de chères amitiés. [] Quoi quil en soit, lhomme que jétais, absolument étranger à la politique, sest tout à coup jeté dans la mêlée. Pourquoi ? Reportons-nous, je vous prie, à ces jours lointains qui chez tant doublieux ont laissé si peu de traces. On était à la veille du 6 février. Aux miasmes dun régime en pleine crevaison, le cadavre de Stavisky mêlait ses puanteurs. Tout annonçait la guerre et le désastre. A qui voulait ouvrir les yeux, il était clair que le pays légal allait entrainer le pays réel aux catastrophes. On désarmait, on démoralisait notre peuple avant de lenvoyer à la boucherie. [] Que faire ? Ce que nous fîmes : sarcbouter, tenir tête, braver outrages et menaces, dire et redire la vérité, crier infatigablement malheur sur la cité, maudire la guerre, déshonorer les bellicistes, dévoiler leur rôle souterrain dans la préparation du malheur universel, montrer au doigt les stipendiés du massacre. Tel fut le combat nécessaire. [] Or, à la date du 12 novembre 1943, on put lire, en tête de " Gringoire ", un article au titre sibyllin. Ordre durgence exposait un programme assez imprévu. En deux colonnes harmonieusement balancées, le plus violent de nos journaux exhortait sa clientèle à la douceur. Il se plaçait, disait-il, à la pointe du combat pour la réconciliation française. [] Si les mots ont un sens, cette phrase voulait dire : Tout ce qui fut écrit à cette place nétait que mensonge et foutaise. Nous avons, il est vrai, traité de fripouilles un grand nombre dindividus, que nous tenions pour responsables des malheurs de la France. Il nous est même arrivé de réclamer leurs têtes. Nous les prions très humblement de bien vouloir accepter nos excuses. » La diplomatie, le style précautionneux, les demi-mesures, ne furent jamais les premières qualités dHenri Béraud. Il en devrait bientôt payer le prix fort. Horace de Carbuccia rédigea, après la condamnation de Béraud, un " Mémoire en réponse aux Raisons dun silence " (demeuré inédit jusquà sa publication en annexe des " Ecrits de Gringoire ", éditions Consep, 2004-2005. Les jeux étants faits et les sentences tombant (Carbuccia, pour éviter la sienne, est en fuite et ne se rendra quen 1955, le calme revenu), Carbuccia « charge » Béraud (alors que Béraud avait évité de trop le malmener dans les Raisons dun silence, refusant de croire à sa malicieuse stratégie : « Non, réellement, non, Horace de Carbuccia na pas voulu ces choses. Moins que personne jen crois mon vieil ami capable. Il connaît mes sentiments, je connais les siens »). Aux accusations de reniement et dopportuniste retournement de veste, Horace de Carbuccia répond : « La vérité est que dans les dernières semaines de 1942 [] jai progressivement modifié la politique de mon journal et bientôt cessé de soutenir le gouvernement de Vichy, et que jai développé la partie littéraire au détriment de la partie politique. [] A quels mobiles ai-je donc obéi ? Pour les comprendre, il faut se souvenir que, dans les dernières semaines de 1942, il se produisit dans le monde des événements auxquels " les Raisons dun silence " ne font aucune allusion : invasion de la zone libre, tentative de rapt par les Allemands de la flotte française de Toulon, licenciement imposé de larmée darmistice, occupation par les Italiens de la Corse, du sud-est de la France, de la Tunisie, odieuses revendications territoriales italiennes. Jai alors pensé quil fallait renoncer à tout espoir de réconciliation avec lAllemagne, que larmée qui se constituait en Afrique, serait larmée de la libération, que les Français devaient sunir face à loccupant [] Bref, il mapparut impossible de faire en zone militairement occupée le même journal quen zone libre. » Les uvres de Carbuccia étaient mieux écrites et plus convaincantes, quand Béraud tenait sa plume.‎

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‎[REVUE]. [BERAUD Henri].‎

Reference : 11759

‎LA CHARRETTE « CHARRIE ».‎

‎Collection suivie et complète en 22 fascicules, du n° 1 (15 juin 1922) au n° 22 ([septembre] 1923). Manque donc un seul numéro (le n° 24, et dernier) pour le complètement de cette collection (le n° 23 nayant jamais paru). Ensemble en très bon état (seule la couverture du n° 22 est un peu défraîchie). Peu courant. /// Notre catalogue " Henri Béraud " est disponible sur simple demande.‎


‎Directeur : Eugène Merle. Rédacteur en chef : Paul Reboux. In-4° agrafé. 24 numéros ont paru en 23 livraisons (le n° 23 nétant jamais sorti), de juin 1922 à fin 1923. Eugène Merle fonda cette revue satirique avec lintention de concurrencer lAssiette au Beurre. Comme son modèle, la Charrette « charrie » propose des numéros thématiques abondamment illustrés par de bons artistes. /// Béraud donne un article à cette revue de son ami, le Marseillais Eugène Merle :- « LES NOUVELLES GEORGIQUES ET LA TETE DE CAEN », dans le n° 10 (novembre 1922) consacré à « NOS PAYSANS ». /// Autres articles de : Colette, Curnonsky, Maurice Dekobra, Luis Delluc, Roland Dorgelès, Henri Duvernois, Franc-Nohain, Jean Galtier-Boissière, Michel Georges-Michel, Michel Herbert, Charles-Henri Hirsch, Henri Jeanson, Pierre Mac-Orlan, Francis de Miomandre, Paul Reboux, Séverine, Fernand Vandérem, Pierre Veber, Émile Vuillermoz, André Warnod... Illustrations de : Bécan, Gus Bofa, Boris, Abel Faivre, Pierre Falké, R. Guérin, Joseph Hémard, Lucien Laforge, Jean Oberlé, Pavis, Roubille, Sem.‎

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‎[REVUE]. [BERAUD Henri].‎

Reference : 11740

‎LA HOULE. N° 1. 1904.‎

‎Textes dHenry Béraud, Charles Dullin, David Cigalier, Jehan Marlieu, Frédéric Guitard, Frédéric Gunther. (Volume in-16 agrafé). Bon état.‎


‎LA HOULE. « Revue dart, de littérature et de combat ». Lyon (4, place des Terreaux). Direction : Henry Béraud, Charles Dullin, Frédéric Guitard, Frédéric Gunther, Jehan Marlieu. Correspondant à Paris : Albert Londres. Les premiers numéros sont de minces fascicules in-16 agrafés ; les suivants sont de grands in-8° en feuilles ou brochés. 9 numéros ont paru en 9 livraisons, de janvier 1904 à août 1905. (Le biographe et spécialiste dHenri Béraud, Jean Butin, ne recense que 5 numéros de " la Houle "). Revue de très grande rareté. Une seule collection complète en bibliothèque publique, à la B.N. /// Notre catalogue " Henri Béraud " est disponible sur simple demande.‎

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‎[REVUE]. [BERAUD Henri].‎

Reference : 11741

‎LA HOULE. N° 5. Avril 1905.‎

‎Textes de Just Evelin, Bernard Clotaire, Henry Béraud, Jean Marlieu, Robert Galane, André Saget. (Volume in-16 agrafé). Bon état.‎


‎LA HOULE. « Revue dart, de littérature et de combat ». Lyon (4, place des Terreaux). Direction : Henry Béraud, Charles Dullin, Frédéric Guitard, Frédéric Gunther, Jehan Marlieu. Correspondant à Paris : Albert Londres. Les premiers numéros sont de minces fascicules in-16 agrafés ; les suivants sont de grands in-8° en feuilles ou brochés. 9 numéros ont paru en 9 livraisons, de janvier 1904 à août 1905. (Le biographe et spécialiste dHenri Béraud, Jean Butin, ne recense que 5 numéros de " la Houle "). Revue de très grande rareté. Une seule collection complète en bibliothèque publique, à la B.N. /// Notre catalogue " Henri Béraud " est disponible sur simple demande.‎

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‎[REVUE]. [BERAUD Henri].‎

Reference : 11742

‎LA HOULE. N° 7. Juin 1905.‎

‎Textes dHenry Béraud, Alexandre Arnoux, Xavier Privas, David Cigalier, José Bloch, Pierre Vierge, André Saget, Just Evelin, Vertublineau, Robert Galane. (Volume grand in-8° en feuilles). Bon état.‎


‎LA HOULE. « Revue dart, de littérature et de combat ». Lyon (4, place des Terreaux). Direction : Henry Béraud, Charles Dullin, Frédéric Guitard, Frédéric Gunther, Jehan Marlieu. Correspondant à Paris : Albert Londres. Les premiers numéros sont de minces fascicules in-16 agrafés ; les suivants sont de grands in-8° en feuilles ou brochés. 9 numéros ont paru en 9 livraisons, de janvier 1904 à août 1905. (Le biographe et spécialiste dHenri Béraud, Jean Butin, ne recense que 5 numéros de " la Houle "). Revue de très grande rareté. Une seule collection complète en bibliothèque publique, à la B.N. /// Notre catalogue " Henri Béraud " est disponible sur simple demande.‎

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‎[REVUE]. [BERAUD Henri].‎

Reference : 11743

‎LA HOULE. N° 8. Juillet 1905.‎

‎Textes dHenry Béraud, Gustave Kahn, Gabriel Montoya, Robert Chanlis, Charles Franhor, Alexandre Arnoux, David Cigalier, Just Evelin, André Saget. (Volume grand in-8° broché). Bon état.‎


‎LA HOULE. « Revue dart, de littérature et de combat ». Lyon (4, place des Terreaux). Direction : Henry Béraud, Charles Dullin, Frédéric Guitard, Frédéric Gunther, Jehan Marlieu. Correspondant à Paris : Albert Londres. Les premiers numéros sont de minces fascicules in-16 agrafés ; les suivants sont de grands in-8° en feuilles ou brochés. 9 numéros ont paru en 9 livraisons, de janvier 1904 à août 1905. (Le biographe et spécialiste dHenri Béraud, Jean Butin, ne recense que 5 numéros de " la Houle "). Revue de très grande rareté. Une seule collection complète en bibliothèque publique, à la B.N. /// Notre catalogue " Henri Béraud " est disponible sur simple demande.‎

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‎[REVUE]. [BERAUD Henri].‎

Reference : 11744

‎LA HOULE. N° 9. Août 1905.‎

‎Textes de Jean Marlieu, Frédéric Guitard, Léon Vallas, F.-T. Marinetti, Albert Londres, Charles Jeanneau, Henry Béraud, José Bloch. (Volume grand in-8° en feuilles). Bon état.‎


‎LA HOULE. « Revue dart, de littérature et de combat ». Lyon (4, place des Terreaux). Direction : Henry Béraud, Charles Dullin, Frédéric Guitard, Frédéric Gunther, Jehan Marlieu. Correspondant à Paris : Albert Londres. Les premiers numéros sont de minces fascicules in-16 agrafés ; les suivants sont de grands in-8° en feuilles ou brochés. 9 numéros ont paru en 9 livraisons, de janvier 1904 à août 1905. (Le biographe et spécialiste dHenri Béraud, Jean Butin, ne recense que 5 numéros de " la Houle "). Revue de très grande rareté. Une seule collection complète en bibliothèque publique, à la B.N. /// Notre catalogue " Henri Béraud " est disponible sur simple demande.‎

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Reference : 11767

‎LA REVUE DE FRANCE. N° 3 à 6 (7e année). 1er et 15 février & 1er et 15 mars 1927.‎

‎Contient l'édition pré-originale, complète en ces quatre volumes, de "Mon ami Robespierre". Exemplaires usagés, dos fatigués. /// Notre catalogue " Henri Béraud " est disponible sur simple demande.‎


‎LA REVUE DE FRANCE. Directeur : Marcel Prévost. Secrétaire général : Horace de Carbuccia. Editions de France. Grand in-8° broché. Cette revue, fondée par Horace de Carbuccia (futur patron de Gringoire), a paru de 1921 à 1939. En 1925, elle absorba la revue Demain de Ferenczi.‎

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