Directeur : Raymond Escholier. J. Ferenczi & fils, éditeurs. In-8°. Exemplaire sous reliure bradel plein cartonnage, couverture conservée. Bon état. /// Notre catalogue " Henri Béraud " est disponible sur simple demande.
Contient en pré-originale " le Sergent Lèbre ", nouvelle dHenri Béraud, illustrée de 17 bois gravés de Pierre Lissac, parue ensuite en volume sous le titre de " Au Capucin gourmand " puis sous celui du " Beau Sergent du roi ".
Directeur : Raymond Escholier. J. Ferenczi & fils, éditeurs. In-8° broché. Bon état. /// Notre catalogue " Henri Béraud " est disponible sur simple demande.
Contient en pré-originale " le Sergent Lèbre ", nouvelle dHenri Béraud, illustrée de 17 bois gravés de Pierre Lissac, parue ensuite en volume sous le titre de " Au Capucin gourmand " puis sous celui du " Beau Sergent du roi ".
Collection complète. 1ère & 2e séries. [Novembre 1921] & [Avril 1922]. Les deux numéros sont en bon état. Nous joignons un exemplaire de lédition fac-simile réalisée en 2000 par lAssociation Rétaise des Amis dHenri Béraud. /// Notre catalogue " Henri Béraud " est disponible sur simple demande.
Paris (142, rue Montmartre). Editions du Merle Blanc. Directeur : Eugène Merle. Fascicule in-4° agrafé. Deux numéros ont paru en deux livraisons. Le second numéro a fait lobjet dun tirage de luxe de 300 exemplaires sur vélin pur fil Lafuma. (Dupont, 16). /// Chaque numéro présente vingt caricatures par Bib de personnalités du temps (Bib est le pseudonyme du dessinateur Georges Breitel). Ces caricatures sont légendées sans pitié par Henri Béraud. Première série : Aristide Briand, Isadora Duncan, Henri de Rothschild, Lucie Delarue-Mardrus, Mandel, Delcassé, Silvain, Georges Pioch, Maurice Rostand, De Moro-Giafferi, Robert de Flers, Maurice Barrès, Cora Laparcerie, Paul Doumer, G. de la Fouchardière, Arthur Meyer, Mistinguett, André de Fouquières, De Max, Georges Clémenceau. Seconde série : Raymond Poincaré, Gustave Téry, Lucienne Bréval, Dorville, Yvette Guilbert, Edouard Herriot, Lucien Guitry, André Duvernois, Louis Barthou, Georges Courteline, les Frères Isola, Louis Forest, Georges Berr, Georges Carpentier, Mayol, Paul Reboux, André Tardieu, Sarah Bernhardt.
Du n° 1 (3 janvier 1920) au n° 23 (10 juillet 1920). Reliure de léditeur, pleine percaline marron, titre doré, motif floral frappé à froid sur le premier plat. Réunion des 23 livraisons du premier semestre de Floréal. 534 pages (pagination continue). Toutes les couvertures (illustrées) sont présentes. Bon état. /// Notre catalogue " Henri Béraud " est disponible sur simple demande.
FLORÉAL. « LHebdomadaire illustré du monde du travail ». Directeur : [Joseph] Paul-Boncour. Secrétaire général : Jean-Lorris. Editeur-fondateur : Aristide Quillet. In-4° agrafé. 24 pages par numéro. Floréal a paru chaque semaine, de janvier 1920 jusquà janvier 1924. /// Sous ce titre emprunté au calendrier révolutionnaire, se trouve une revue de stricte obédience socialiste, que son ton et son contenu classent à la tendance la plus sénestre de la S.F.I.O. La ferveur militante sy accompagne du souci évident doffrir aux travailleurs une revue de qualité, en sattachant la collaboration de bons auteurs, journalistes et dessinateurs, par une maquette soignée et des sommaires intéressants. Chaque numéro comporte un cahier central de 4 pages, composé de reproductions de photographies. Béraud donne un seul article lors de ce premier semestre (dans " Floréal " n° 11-12, 24 avril 1920). Il reflète bien les idées politiques du jeune socialiste et surtout ennemi des bourgeois de sa ville quil était alors (ses idées politiques changeront ; sa haine de la bourgeoisie locale, non). Sous le titre de « LYON EN PROIE AUX MERCANTIS », il dénonce le développement local de viles méthodes denrichissement. « Le nouveau riche qui pullule partout en France, grouille à Lyon dune manière surprenante. Le culte des affaires y a pris un caractère de fureur sacrée. Et nulle part on ne voit aussi clair dans les manuvres des mercantis quen ce pays de brumes et dombre. Tout se passe au vu et au su de tout le monde ; les fortunes scandaleuses nont lair de scandaliser personne. On entend daustères bourgeois lyonnais vanter, dun ton presque cynique, lastuce de tel négociant notoire et honoré, qui fournissait lAllemagne de soies destinées à la confection des gargousses à poudre, tandis que ses fils mouraient sur les champs de carnage ! Le rigorisme local a disparu ; les gains excusent tout. Les enrichis parlent avec jovialité de leurs condamnations, quils considèrent comme des encouragements à persévérer et que, dailleurs, ils ont raison de juger telles. [] Je sais quen dautres temps, ces choses eussent soulevé lunanime réprobation de mes compatriotes. [] Il faut dailleurs considérer que tout cela aura bientôt une fin. La vieille et rude honnêteté lyonnaise reprendra le dessus et, de même que Lyon vit naître les premiers mouvements révolutionnaires purement ouvriers, on apprendra quelque jour que les fils des Voraces de la Croix-Rousse auront accroché des mercantis aux lanternes de la Grand Côte et du Gourguillon. »
ENSEMBLE DE 234 NUMEROS DE " GRINGOIRE ". Du n° 313 (2 novembre 1934) au n° 795 et dernier paru (26 mai 1944). Ensemble en état convenable. Les numéros ont été pliés horizontalement et verticalement ce qui est inévitable en raison du très grand format de ce journal. Certains numéros sont un peu usés à lendroit de ces pliures. La mauvaise qualité du papier de guerre a aussi rendu la conservation de ces journaux difficile. Mais, répétons-le, lensemble est en condition très acceptable. /// Ninsistons pas sur la rareté de ces journaux proscrits à la Libération. Beaucoup de collections, qui pouvaient se transformer en dangereuses pièces à conviction, entre les mains dépurateurs expéditifs, ont fini dans les cheminées ou les poêles à charbon. Doù la rareté de " Gringoire ", malgré limportance exorbitante de ses tirages et de ses ventes. /// Notre catalogue " Henri Béraud " est disponible sur simple demande.
Le journal hebdomadaire " Gringoire " fut fondé en 1928 par Horace de Carbuccia. Horace de Carbuccia, Corse dascendance aristocratique génoise, doté dun indéniable sens des affaires, fera de ce journal un des plus populaires de son temps, atteignant un tirage de 700.000 exemplaires. Parallèlement, il développe une activité déditeur, elle aussi couronnée de succès, avec les éditions de France. Il sera député de la Corse de 1932 à 1936. Son salon de lavenue Foch fut un des plus courus de lépoque, où fréquentait le meilleur monde politique et littéraire. A ses débuts, " Gringoire " se situe politiquement au centre droit. Son style est déjà pamphlétaire, avec le communisme comme cible principale. Foncièrement germanophobe et antihitlérien, Gringoire prend pourtant position contre la guerre avec lAllemagne, en raison de la faiblesse militaire française. A partir de 1936, lidéologie droitiste et nationaliste de " Gringoire " saccentue. Le journal soppose ouvertement au gouvernement de Front populaire. Antijudaïsme et xénophobie saccentuent (alors même que plusieurs auteurs juifs collaborent à " Gringoire " : Romain Gary, Joseph Kessel, Irène Némirovsky). /// Une campagne, restée fameuse, est menée contre Roger Salengro (accusé de désertion pendant la Première Guerre mondiale), qui conduira au suicide le ministre de lIntérieur du gouvernement Blum. /// Après la défaite de juin 1940, " Gringoire " se replie à Marseille, puis à Clermont-Ferrand (pas trop loin de Vichy). Notons que jamais le journal ne sera diffusé en zone occupée. Sa ligne politique suit fidèlement le programme de la Révolution nationale, jusquen 1943. Le 795e et dernier numéro de Gringoire parait le 26 mai 1944. /// Cest en 1928 que Béraud, alors un des plus célèbres et des mieux payés journalistes de France, rejoint la rédaction de " Gringoire " notamment pour y retrouver son ami Joseph Kessel. Lévolution politique de Béraud qui, venu de la gauche socialiste penche de plus en plus à droite après laffaire Stavisky, suit lévolution politique de " Gringoire ". Il en devient, avec André Tardieu, un des plus virulents éditorialistes, mettant ses talents de polémiste au service de causes quil avait naguère combattues. Cela lui vaudra, en septembre 1944, dêtre arrêté puis jugé en deux jours, cest-à-dire : condamné à mort pour intelligences avec lennemi. Ce qua dexagéré et de fallacieux cette décision judiciaire est manifeste. Béraud na eu aucun contact avec loccupant. Deux de ses livres ont figuré sur la liste Otto : " Trois ans de colère " et " Vienne, clef du monde ". Ce procès ne peut cacher sa dimension de règlement de comptes ; sous le prétexte infamant de « collaboration avec loccupant », les nombreux ennemis quil a su sattacher font payer à Béraud des années décrits polémiques et, éventuellement, diffamatoires. La campagne contre Salengro pèse lourd dans ce jugement. Et aussi le pamphlet " Faut-il réduire lAngleterre en esclavage ? " Lamiral marseillais Emile Muselier « inventeur » du symbole de la Croix de Lorraine réclame sa mort : Béraud avait osé le traiter d « amiral de bateau-lavoir ». De nombreux intellectuels trouvent injuste ce procès particulièrement François Mauriac et interviennent en faveur du condamné à mort. In extremis, le général de Gaulle lui accordera sa grâce et la peine de mort sera commuée en détention à perpétuité. Horace de Carbuccia, moins naïf et ballot que Béraud et surtout ancien député, pourvu dun des meilleurs carnet dadresses de Paris se fera discret, prendra le maquis dans son île, et ne sera « jugé » quen 1955, le calme revenu et la soif de vengeance assouvie. Citons à ce propos larticle plein dironie de Jean-Marc Théolleyre, chroniqueur judiciaire du " Monde ", paru le 21 octobre 1955 : « Il paraît que les défenseurs et les amis de M. Horace de Carbuccia souhaitaient que le procès de lancien directeur de " Gringoire " se déroulât à linsu des chroniqueurs judiciaires et avec le minimum de publicité. On peut se demander pourquoi, car si jamais un accusé dintelligences avec lennemi fut autant loué, célébré, vanté pour son patriotisme, sa générosité, sa résistance, ce fut bien celui-là. Des témoins de laccusation, qui nen avaient que le nom, à ceux de la défense, ce fut un palmarès déloges. Ce fut à qui raconterait comment le directeur de ce journal pourfendeur de juifs, de francs-maçons, de résistants, abrita des juifs, sauva des francs-maçons, aida des résistants. Les juges militaires ont donc prononcé lacquittement, et leur jugement a été accueilli sans surprise, tout comme en 1945 [sic pour 1944, le 29 décembre 1944] lopinion publique avait accueilli sans surprise la condamnation à mort de Henri Béraud, collaborateur du même Gringoire. Pourtant, entre la condamnation de Béraud, qui nétait pas la justice, et cet acquittement, la marge est quand même un peu trop grande... M. de Carbuccia sest plu à dire quil laissait toute liberté à ses rédacteurs pour exprimer des sentiments quil a reconnu avoir été les siens de 1940 à 1942. Mais il a attendu 1955 pour venir le proclamer devant la justice. Il a bien fait, dira-t-on, puisque cet « attentisme » lui vaut labsolution totale. Cest bien la morale de ce procès : la fuite, labandon des anciens amis, se révèlent parfois payants. » /// Fin 1942, après linvasion de la zone libre par larmée allemande (en réponse au débarquement anglo-américain en Afrique du Nord), la ligne politique de " Gringoire " sinfléchit et cesse son soutien absolu au gouvernement de Vichy. Béraud ignore ces consignes, dictées par le propriétaire du titre, son ami Horace de Carbuccia. Il poursuit ses articles polémiques, particulièrement hostiles à lAngleterre. Après plusieurs interruptions, les articles de Béraud cessent définitivement de paraître dans Gringoire en octobre 1943. Horace de Carbuccia pense déjà à lheure où il devra rendre quelques comptes, et cet inconscient de Béraud, qui a fait le succès de son journal, devient gênant, en prévision des temps à venir. On le réduit au silence. De plus, une clause de non-concurrence interdit à Béraud de donner ses articles à un autre journal. Béraud explique cette situation, à ceux qui « depuis dix mois cherchent en vain ma signature dans le journal où jécrivais depuis dix ans », par un libelle, " les Raisons dun silence ", quil confie à une officine éditoriale collaborationniste, les éditions Inter-France (dirigée par Dominique Sordet). « Le 12 janvier 1934, je me suis jeté dans la bataille. Jétais un homme heureux, comblé par la vie, jeune encore, tout à sa tâche, et qui, loin des agitations du forum, poursuivait une uvre entreprise depuis ses débuts dans la vie littéraire. [] Un jour de janvier, en 1934, jai posé la plume du romancier et jai consacré mes veilles aux centaines darticles quon a pu lire dans " Gringoire ". Au service dun idéal qui pouvait contrarier bien des gens parmi les meilleurs, jai renoncé à bien des joies, jai rompu de chères amitiés. [] Quoi quil en soit, lhomme que jétais, absolument étranger à la politique, sest tout à coup jeté dans la mêlée. Pourquoi ? Reportons-nous, je vous prie, à ces jours lointains qui chez tant doublieux ont laissé si peu de traces. On était à la veille du 6 février. Aux miasmes dun régime en pleine crevaison, le cadavre de Stavisky mêlait ses puanteurs. Tout annonçait la guerre et le désastre. A qui voulait ouvrir les yeux, il était clair que le pays légal allait entrainer le pays réel aux catastrophes. On désarmait, on démoralisait notre peuple avant de lenvoyer à la boucherie. [] Que faire ? Ce que nous fîmes : sarcbouter, tenir tête, braver outrages et menaces, dire et redire la vérité, crier infatigablement malheur sur la cité, maudire la guerre, déshonorer les bellicistes, dévoiler leur rôle souterrain dans la préparation du malheur universel, montrer au doigt les stipendiés du massacre. Tel fut le combat nécessaire. [] Or, à la date du 12 novembre 1943, on put lire, en tête de " Gringoire ", un article au titre sibyllin. Ordre durgence exposait un programme assez imprévu. En deux colonnes harmonieusement balancées, le plus violent de nos journaux exhortait sa clientèle à la douceur. Il se plaçait, disait-il, à la pointe du combat pour la réconciliation française. [] Si les mots ont un sens, cette phrase voulait dire : Tout ce qui fut écrit à cette place nétait que mensonge et foutaise. Nous avons, il est vrai, traité de fripouilles un grand nombre dindividus, que nous tenions pour responsables des malheurs de la France. Il nous est même arrivé de réclamer leurs têtes. Nous les prions très humblement de bien vouloir accepter nos excuses. » La diplomatie, le style précautionneux, les demi-mesures, ne furent jamais les premières qualités dHenri Béraud. Il en devrait bientôt payer le prix fort. Horace de Carbuccia rédigea, après la condamnation de Béraud, un " Mémoire en réponse aux Raisons dun silence " (demeuré inédit jusquà sa publication en annexe des " Ecrits de Gringoire ", éditions Consep, 2004-2005. Les jeux étants faits et les sentences tombant (Carbuccia, pour éviter la sienne, est en fuite et ne se rendra quen 1955, le calme revenu), Carbuccia « charge » Béraud (alors que Béraud avait évité de trop le malmener dans les Raisons dun silence, refusant de croire à sa malicieuse stratégie : « Non, réellement, non, Horace de Carbuccia na pas voulu ces choses. Moins que personne jen crois mon vieil ami capable. Il connaît mes sentiments, je connais les siens »). Aux accusations de reniement et dopportuniste retournement de veste, Horace de Carbuccia répond : « La vérité est que dans les dernières semaines de 1942 [] jai progressivement modifié la politique de mon journal et bientôt cessé de soutenir le gouvernement de Vichy, et que jai développé la partie littéraire au détriment de la partie politique. [] A quels mobiles ai-je donc obéi ? Pour les comprendre, il faut se souvenir que, dans les dernières semaines de 1942, il se produisit dans le monde des événements auxquels " les Raisons dun silence " ne font aucune allusion : invasion de la zone libre, tentative de rapt par les Allemands de la flotte française de Toulon, licenciement imposé de larmée darmistice, occupation par les Italiens de la Corse, du sud-est de la France, de la Tunisie, odieuses revendications territoriales italiennes. Jai alors pensé quil fallait renoncer à tout espoir de réconciliation avec lAllemagne, que larmée qui se constituait en Afrique, serait larmée de la libération, que les Français devaient sunir face à loccupant [] Bref, il mapparut impossible de faire en zone militairement occupée le même journal quen zone libre. » Les uvres de Carbuccia étaient mieux écrites et plus convaincantes, quand Béraud tenait sa plume.
Collection suivie et complète en 22 fascicules, du n° 1 (15 juin 1922) au n° 22 ([septembre] 1923). Manque donc un seul numéro (le n° 24, et dernier) pour le complètement de cette collection (le n° 23 nayant jamais paru). Ensemble en très bon état (seule la couverture du n° 22 est un peu défraîchie). Peu courant. /// Notre catalogue " Henri Béraud " est disponible sur simple demande.
Directeur : Eugène Merle. Rédacteur en chef : Paul Reboux. In-4° agrafé. 24 numéros ont paru en 23 livraisons (le n° 23 nétant jamais sorti), de juin 1922 à fin 1923. Eugène Merle fonda cette revue satirique avec lintention de concurrencer lAssiette au Beurre. Comme son modèle, la Charrette « charrie » propose des numéros thématiques abondamment illustrés par de bons artistes. /// Béraud donne un article à cette revue de son ami, le Marseillais Eugène Merle :- « LES NOUVELLES GEORGIQUES ET LA TETE DE CAEN », dans le n° 10 (novembre 1922) consacré à « NOS PAYSANS ». /// Autres articles de : Colette, Curnonsky, Maurice Dekobra, Luis Delluc, Roland Dorgelès, Henri Duvernois, Franc-Nohain, Jean Galtier-Boissière, Michel Georges-Michel, Michel Herbert, Charles-Henri Hirsch, Henri Jeanson, Pierre Mac-Orlan, Francis de Miomandre, Paul Reboux, Séverine, Fernand Vandérem, Pierre Veber, Émile Vuillermoz, André Warnod... Illustrations de : Bécan, Gus Bofa, Boris, Abel Faivre, Pierre Falké, R. Guérin, Joseph Hémard, Lucien Laforge, Jean Oberlé, Pavis, Roubille, Sem.
Textes dHenry Béraud, Charles Dullin, David Cigalier, Jehan Marlieu, Frédéric Guitard, Frédéric Gunther. (Volume in-16 agrafé). Bon état.
LA HOULE. « Revue dart, de littérature et de combat ». Lyon (4, place des Terreaux). Direction : Henry Béraud, Charles Dullin, Frédéric Guitard, Frédéric Gunther, Jehan Marlieu. Correspondant à Paris : Albert Londres. Les premiers numéros sont de minces fascicules in-16 agrafés ; les suivants sont de grands in-8° en feuilles ou brochés. 9 numéros ont paru en 9 livraisons, de janvier 1904 à août 1905. (Le biographe et spécialiste dHenri Béraud, Jean Butin, ne recense que 5 numéros de " la Houle "). Revue de très grande rareté. Une seule collection complète en bibliothèque publique, à la B.N. /// Notre catalogue " Henri Béraud " est disponible sur simple demande.
Textes de Just Evelin, Bernard Clotaire, Henry Béraud, Jean Marlieu, Robert Galane, André Saget. (Volume in-16 agrafé). Bon état.
LA HOULE. « Revue dart, de littérature et de combat ». Lyon (4, place des Terreaux). Direction : Henry Béraud, Charles Dullin, Frédéric Guitard, Frédéric Gunther, Jehan Marlieu. Correspondant à Paris : Albert Londres. Les premiers numéros sont de minces fascicules in-16 agrafés ; les suivants sont de grands in-8° en feuilles ou brochés. 9 numéros ont paru en 9 livraisons, de janvier 1904 à août 1905. (Le biographe et spécialiste dHenri Béraud, Jean Butin, ne recense que 5 numéros de " la Houle "). Revue de très grande rareté. Une seule collection complète en bibliothèque publique, à la B.N. /// Notre catalogue " Henri Béraud " est disponible sur simple demande.
Textes dHenry Béraud, Alexandre Arnoux, Xavier Privas, David Cigalier, José Bloch, Pierre Vierge, André Saget, Just Evelin, Vertublineau, Robert Galane. (Volume grand in-8° en feuilles). Bon état.
LA HOULE. « Revue dart, de littérature et de combat ». Lyon (4, place des Terreaux). Direction : Henry Béraud, Charles Dullin, Frédéric Guitard, Frédéric Gunther, Jehan Marlieu. Correspondant à Paris : Albert Londres. Les premiers numéros sont de minces fascicules in-16 agrafés ; les suivants sont de grands in-8° en feuilles ou brochés. 9 numéros ont paru en 9 livraisons, de janvier 1904 à août 1905. (Le biographe et spécialiste dHenri Béraud, Jean Butin, ne recense que 5 numéros de " la Houle "). Revue de très grande rareté. Une seule collection complète en bibliothèque publique, à la B.N. /// Notre catalogue " Henri Béraud " est disponible sur simple demande.
Textes dHenry Béraud, Gustave Kahn, Gabriel Montoya, Robert Chanlis, Charles Franhor, Alexandre Arnoux, David Cigalier, Just Evelin, André Saget. (Volume grand in-8° broché). Bon état.
LA HOULE. « Revue dart, de littérature et de combat ». Lyon (4, place des Terreaux). Direction : Henry Béraud, Charles Dullin, Frédéric Guitard, Frédéric Gunther, Jehan Marlieu. Correspondant à Paris : Albert Londres. Les premiers numéros sont de minces fascicules in-16 agrafés ; les suivants sont de grands in-8° en feuilles ou brochés. 9 numéros ont paru en 9 livraisons, de janvier 1904 à août 1905. (Le biographe et spécialiste dHenri Béraud, Jean Butin, ne recense que 5 numéros de " la Houle "). Revue de très grande rareté. Une seule collection complète en bibliothèque publique, à la B.N. /// Notre catalogue " Henri Béraud " est disponible sur simple demande.
Textes de Jean Marlieu, Frédéric Guitard, Léon Vallas, F.-T. Marinetti, Albert Londres, Charles Jeanneau, Henry Béraud, José Bloch. (Volume grand in-8° en feuilles). Bon état.
LA HOULE. « Revue dart, de littérature et de combat ». Lyon (4, place des Terreaux). Direction : Henry Béraud, Charles Dullin, Frédéric Guitard, Frédéric Gunther, Jehan Marlieu. Correspondant à Paris : Albert Londres. Les premiers numéros sont de minces fascicules in-16 agrafés ; les suivants sont de grands in-8° en feuilles ou brochés. 9 numéros ont paru en 9 livraisons, de janvier 1904 à août 1905. (Le biographe et spécialiste dHenri Béraud, Jean Butin, ne recense que 5 numéros de " la Houle "). Revue de très grande rareté. Une seule collection complète en bibliothèque publique, à la B.N. /// Notre catalogue " Henri Béraud " est disponible sur simple demande.
Contient l'édition pré-originale, complète en ces quatre volumes, de "Mon ami Robespierre". Exemplaires usagés, dos fatigués. /// Notre catalogue " Henri Béraud " est disponible sur simple demande.
LA REVUE DE FRANCE. Directeur : Marcel Prévost. Secrétaire général : Horace de Carbuccia. Editions de France. Grand in-8° broché. Cette revue, fondée par Horace de Carbuccia (futur patron de Gringoire), a paru de 1921 à 1939. En 1925, elle absorba la revue Demain de Ferenczi.
« Numéro consacré à Henri Béraud ». 3 photographies hors texte. 24 pages. 1/20 sur vergé de Hollande, avec la signature autographe dHenri Béraud sous son portrait photographique hors texte. Mention « Edition de luxe » sur la couverture. Pages en partie non coupées. Très bel exemplaire. Rare en tirage ordinaire ; improbable en tirage de luxe. Nous joignons un exemplaire de lédition fac-simile réalisée vers 2005 par lAssociation Rétaise des Amis dHenri Béraud. /// « Entretien avec Henri Béraud », par Robert Valette. « Henri Béraud, reporter », par Georges Peeters. « Nouveaux pauvres et matériel humain », par Henri Béraud. « Henri Béraud, pamphlétaire », par Georges Machin. « Henri Béraud, écrivain français », par Raoul Follereau. « Béraud, moraliste », par Christian Tézé.
LA REVUE DES VISAGES. « Critique, littéraire, artistique ». Villeneuve Saint-Georges (Seine-et-Oise). Directeur : Georges Machin. In-4° agrafé. Cette revue, rare et peu connue, débuta sa parution en 1923 sous le titre des " Passereaux " elle semble devenir " Revue des Visages " en 1928, tout en poursuivant la numérotation commencée sous les " Passereaux ". Elle cessa de paraître en 1931. /// Notre catalogue " Henri Béraud " est disponible sur simple demande.
Très bon dossier sur le procès Béraud, avec de nombreux extraits des débats entre le Président Raoult, Béraud et son accusateur, le Commissaire du gouvernement Raymond Lindon (Raymond Lindon était le père de Jérôme Lindon, futur directeur des éditions de Minuit. Premier avocat général à la Cour de cassation, il fut maire dEtretat de 1929 à 1959. Il est lauteur, sous le pseudonyme de Valère Catogan anagramme davocat général dun livre, paru chez son fils en 1955, qui occupe une place particulière chez les spécialistes du mystère de Rennes-le-Château : " Le Secret des rois de France ou la véritable identité dArsène Lupin " (Cf. Patrick Ferté, " Arsène Lupin, Supérieur Inconnu ", Guy Trédaniel, 1992, pp. 26-27 & Henri Vignes, " Bibliographie des Editions de Minuit ", 2010, p. 161). Bon état.
LE CRAPOUILLOT. Fondateur : Jean Galtier-Boissière. In-4° agrafé. Revue fondée en août 1915. Elle a paru, sous de très diverses formules, jusquen février 2017 (en attendant la prochaine résurrection). /// Notre catalogue " Henri Béraud " est disponible sur simple demande.
Contient « LE BEAUJOLAIS DU BON TEMPS », par Henri Béraud (2 pages, texte sur 2 colonnes). Très bon état.
LE CRAPOUILLOT. Fondateur : Jean Galtier-Boissière. In-4° agrafé. Revue fondée en août 1915. Elle a paru, sous de très diverses formules, jusquen février 2017 (en attendant la prochaine résurrection). /// Notre catalogue " Henri Béraud " est disponible sur simple demande.
Contient limportant article de Béraud « MARTIN DU GARD PAR BERAUD DU RHONE » (8 pages, illustré par 11 vignettes de Jean Oberlé), important épisode de l"affaire de la " Croisade des Longues Figures ". Bon état. /// Lors de laffaire de la " Croisade des Longues Figures ", la N.R.F. manda (on pourrait dire : envoya au casse-pipe) Maurice Martin du Gard pour affronter Béraud. Ledit Gardois en devint une des cibles préférées du Rhodanien. En octobre 1927, Maurice Martin du Gard est fait chevalier de la Légion dhonneur par une autre vieille connaissance de Béraud, Edouard Herriot, alors ministre de lInstruction publique et des Beaux-Arts, et bien sûr maire de Lyon. A quel titre ? « Au titre de son journal ! [Du Gard avait fondé les " Petites Affiches littéraires ", et avait en vain tenté dy attirer Béraud, qui préféra rester alors au Mercure de France], aux titres de ses futurs ouvrages ! [Du Gard navait encore rien publié]. Titres nominatifs, titres au porteur ! Sans parler des titres de noblesse, les Martin nétaient-ils pas « de » tout un département ? [Ces Martin dits par eux-mêmes « du Gard », sans doute pour éviter les confusions neurent jamais le moindre quartier de noblesse]. Béraud révèle les coulisses et manigances de cette décoration et comment le réticent Comité dut se plier aux pressions ministérielles. Il amuse aussi son lecteur de quelques bourdes et gaffes du Gardois. « Mais voici linstant, je pense, de vous présenter ce cher Maurice Le chevalier du Gard est long, excessivement long. Ce moins-de-trente-ans est un plus-de-deux-mètres. Mince, pointu, peu articulé, coupé à langlaise, avec ce quil faut de sécheresse dans le drapé et de rigueur dans les entournures. [] Au sommet de cette découpure britannique, il y a une chose extraordinaire : la tête. Cest un objet ovoïde sans bosse, sans creux ni méplats, une sorte de quenelle pour la forme et de ris-de-veau pour le ton. Encore ce blanc, ni mat, ni terne, ni blafard, est-il, en vérité, dune consistance à la fois élastique, dense et moite, dont aucune matière connue ne peut donner lidée, et qui tient le milieu entre le fromage mou jauni et le pain dépice albinos. »
LE CRAPOUILLOT. Fondateur : Jean Galtier-Boissière. In-4° agrafé. Revue fondée en août 1915. Elle a paru, sous de très diverses formules, jusquen février 2017 (en attendant la prochaine résurrection). /// Notre catalogue " Henri Béraud " est disponible sur simple demande.
Numéro entièrement consacré à Guignol. Béraud donne un texte dune page (texte sur deux colonnes), « GUIGNOL AU CONSERVATOIRE », avec une illustration de A. F. Bonnardel. Autres articles de A. Bidaud, G. Champeaux, Dalph & Marga, Justin Godart, Marius Mermillon, P. Neichthauser. Dessins de A. F. Bonnardel, Marga, T. Vialy. Exemplaire un peu usagé. /// Notre catalogue " Henri Béraud " est disponible sur simple demande.
Lyon. Directeur : Guy Aroud. In-4° agrafé. Cet hebdomadaire semble avoir paru de mars 1909 à juin 1939.
Contient une « LETTRE AU COMITE DE PATRONAGE DU GRAND PRIX LITTERAIRE DES AMIS DE LYON », par Henri Béraud. /// Béraud sélève contre le report du Grand Prix triennal, « en raison de la Crise », et présente sa démission au Comité de Patronage, composé de notables lyonnais. Bon exemple de la permanence du mépris de Béraud envers la bourgeoisie de sa ville, dont il dénonçait dès ses débuts lhypocrisie, la médiocrité et le mauvais goût en musique et peinture. /// « Il est vrai, Messieurs, que les temps sont difficiles. On ne met pas en doute les embarras de nos banquiers, de nos industriels, de nos commerçants. [] Cependant, la crise ne frappe pas moins les écrivains. Et là, elle sappelle la misère. [] Avouerai-je quen lisant votre lettre et vos communiqués, jai rougi pour ma cité natale ? Sans doute, si lon se fût adressé au menu peuple, eût-on trouvé cet argent que les plus fortunés refusent. Voyons, messieurs, moyennant 25.000 francs-papier tous les trois ans, soit 700 francs par mois, deux cents opulents bourgeois pouvaient jouer au mécène et substituer une ceinture dorée à la réputation beaucoup moins reluisante dont ils jouissent par le monde. Trois francs par tête et par mois, deux sous par jour ! Il paraît que même à ce tarif, la protection des arts leur a paru trop onéreuse. »
LES AMITIÉS. « Revue littéraire et artistique des provinces françaises ». Saint-Etienne. Directeur : Louis Rimaud. Rédacteur en chef : Jean Tenant. In-8° broché. /// Notre catalogue " Henri Béraud " est disponible sur simple demande.
Contient l'édition pré-originale de « LA GERBE DOR », complète en ces cinq numéros des " Annales politiques et littéraires ". Dessins de M. Sauvayre. Bon état. /// Notre catalogue " Henri Béraud " est disponible sur simple demande.
LES ANNALES POLITIQUES ET LITTÉRAIRES. « Grande revue moderne de la vie littéraire ». Fondateur : Adolphe Brisson. Directeur (à lépoque où Béraud y écrit) : Pierre Brisson. In-4° agrafé. Environ 64 pages par numéro. Les Annales politiques et littéraires ont paru de juillet 1883 jusquen 1971. Pierre Brisson, fils du fondateur des Annales et directeur de 1925 à 1939 (puis historique directeur du Figaro, de 1934 à 1964), fut un des meilleurs et plus fidèles amis dHenri Béraud (qui dresse son portrait dans " les Derniers beaux jours ", VI, III). /// Henri Béraud collabora régulièrement à cette institution quétaient les Annales politiques et littéraires (avec, entre autres, Paul Morand, Pierre Mac Orlan, André Salmon, Colette, Francis Carco, Jacques de Lacretelle, André Maurois). Il réserva à cette revue la primeur de plusieurs romans.
« LE 14 JUILLET ». Edition pré-originale complète en ces six numéros des " Annales politiques et littéraires ". Dessins de Laforge. Bon état. /// Notre catalogue " Henri Béraud " est disponible sur simple demande.
LES ANNALES POLITIQUES ET LITTÉRAIRES. « Grande revue moderne de la vie littéraire ». Fondateur : Adolphe Brisson. Directeur (à lépoque où Béraud y écrit) : Pierre Brisson. In-4° agrafé. Environ 64 pages par numéro. Les Annales politiques et littéraires ont paru de juillet 1883 jusquen 1971. Pierre Brisson, fils du fondateur des Annales et directeur de 1925 à 1939 (puis historique directeur du Figaro, de 1934 à 1964), fut un des meilleurs et plus fidèles amis dHenri Béraud (qui dresse son portrait dans " les Derniers beaux jours ", VI, III). /// Henri Béraud collabora régulièrement à cette institution quétaient les Annales politiques et littéraires (avec, entre autres, Paul Morand, Pierre Mac Orlan, André Salmon, Colette, Francis Carco, Jacques de Lacretelle, André Maurois). Il réserva à cette revue la primeur de plusieurs romans.
« LOPÉRA DE DEUX SOUS». (4 pages, texte sur 3 colonnes). Un dessin de Jean Bruller. 5 photos de scène. Bon état. /// Critique satirique de M. Rouché, directeur de lOpéra de Paris, « seul Français assez riche, assez inoccupé et assez munificent pour diriger (même au prix dune subvention accrue) le plus onéreux théâtre du monde ». /// Notre catalogue " Henri Béraud " est disponible sur simple demande.
LES ANNALES POLITIQUES ET LITTÉRAIRES. « Grande revue moderne de la vie littéraire ». Fondateur : Adolphe Brisson. Directeur (à lépoque où Béraud y écrit) : Pierre Brisson. In-4° agrafé. Environ 64 pages par numéro. Les Annales politiques et littéraires ont paru de juillet 1883 jusquen 1971. Pierre Brisson, fils du fondateur des Annales et directeur de 1925 à 1939 (puis historique directeur du Figaro, de 1934 à 1964), fut un des meilleurs et plus fidèles amis dHenri Béraud (qui dresse son portrait dans " les Derniers beaux jours ", VI, III). /// Henri Béraud collabora régulièrement à cette institution quétaient les Annales politiques et littéraires (avec, entre autres, Paul Morand, Pierre Mac Orlan, André Salmon, Colette, Francis Carco, Jacques de Lacretelle, André Maurois). Il réserva à cette revue la primeur de plusieurs romans.
Contient : « GRANDEUR ET SERVITUDE DES FLANEURS SALARIÉS » (2 pages, texte sur 3 colonnes). Bon état. /// Notre catalogue " Henri Béraud " est disponible sur simple demande.
LES ANNALES POLITIQUES ET LITTÉRAIRES. « Grande revue moderne de la vie littéraire ». Fondateur : Adolphe Brisson. Directeur (à lépoque où Béraud y écrit) : Pierre Brisson. In-4° agrafé. Environ 64 pages par numéro. Les Annales politiques et littéraires ont paru de juillet 1883 jusquen 1971. Pierre Brisson, fils du fondateur des Annales et directeur de 1925 à 1939 (puis historique directeur du Figaro, de 1934 à 1964), fut un des meilleurs et plus fidèles amis dHenri Béraud (qui dresse son portrait dans " les Derniers beaux jours ", VI, III). /// Henri Béraud collabora régulièrement à cette institution quétaient les Annales politiques et littéraires (avec, entre autres, Paul Morand, Pierre Mac Orlan, André Salmon, Colette, Francis Carco, Jacques de Lacretelle, André Maurois). Il réserva à cette revue la primeur de plusieurs romans.
« HENRI BÉRAUD », par André Billy. (2 pages, texte sur 3 colonnes). Bon état. /// Notre catalogue " Henri Béraud " est disponible sur simple demande.
LES ANNALES POLITIQUES ET LITTÉRAIRES. « Grande revue moderne de la vie littéraire ». Fondateur : Adolphe Brisson. Directeur (à lépoque où Béraud y écrit) : Pierre Brisson. In-4° agrafé. Environ 64 pages par numéro. Les Annales politiques et littéraires ont paru de juillet 1883 jusquen 1971. Pierre Brisson, fils du fondateur des Annales et directeur de 1925 à 1939 (puis historique directeur du Figaro, de 1934 à 1964), fut un des meilleurs et plus fidèles amis dHenri Béraud (qui dresse son portrait dans " les Derniers beaux jours ", VI, III). /// Henri Béraud collabora régulièrement à cette institution quétaient les Annales politiques et littéraires (avec, entre autres, Paul Morand, Pierre Mac Orlan, André Salmon, Colette, Francis Carco, Jacques de Lacretelle, André Maurois). Il réserva à cette revue la primeur de plusieurs romans.
« UNE DRÔLE DHISTOIRE ». (2 pages, texte sur 3 colonnes). (Au sujet de " lHistoire de France ", dAndré Villebuf, venant de paraître). Bon état. /// Notre catalogue " Henri Béraud " est disponible sur simple demande.
LES ANNALES POLITIQUES ET LITTÉRAIRES. « Grande revue moderne de la vie littéraire ». Fondateur : Adolphe Brisson. Directeur (à lépoque où Béraud y écrit) : Pierre Brisson. In-4° agrafé. Environ 64 pages par numéro. Les Annales politiques et littéraires ont paru de juillet 1883 jusquen 1971. Pierre Brisson, fils du fondateur des Annales et directeur de 1925 à 1939 (puis historique directeur du Figaro, de 1934 à 1964), fut un des meilleurs et plus fidèles amis dHenri Béraud (qui dresse son portrait dans " les Derniers beaux jours ", VI, III). /// Henri Béraud collabora régulièrement à cette institution quétaient les Annales politiques et littéraires (avec, entre autres, Paul Morand, Pierre Mac Orlan, André Salmon, Colette, Francis Carco, Jacques de Lacretelle, André Maurois). Il réserva à cette revue la primeur de plusieurs romans.
« BUVONS DU VIN », par Henri Béraud. Dessins de Hervé Baille. (2 pages, texte sur 2 colonnes). Bon état. /// Notre catalogue " Henri Béraud " est disponible sur simple demande.
LES ANNALES POLITIQUES ET LITTÉRAIRES. « Grande revue moderne de la vie littéraire ». Fondateur : Adolphe Brisson. Directeur (à lépoque où Béraud y écrit) : Pierre Brisson. In-4° agrafé. Environ 64 pages par numéro. Les Annales politiques et littéraires ont paru de juillet 1883 jusquen 1971. Pierre Brisson, fils du fondateur des Annales et directeur de 1925 à 1939 (puis historique directeur du Figaro, de 1934 à 1964), fut un des meilleurs et plus fidèles amis dHenri Béraud (qui dresse son portrait dans " les Derniers beaux jours ", VI, III). /// Henri Béraud collabora régulièrement à cette institution quétaient les Annales politiques et littéraires (avec, entre autres, Paul Morand, Pierre Mac Orlan, André Salmon, Colette, Francis Carco, Jacques de Lacretelle, André Maurois). Il réserva à cette revue la primeur de plusieurs romans.