Paris, Dumez, [An II - 1793]. 512 x 584 mm.
Première carte imprimée du département du Doubs, issue de l'Atlas National de France, premier atlas des départements français. Décrété le 5 février 1790 par l’Assemblée Nationale, le département fut divisé en 6 districts ou arrondissements et 52 cantons. Besançon, chef-lieu et métropole de l'Est, est aquarellée en rouge et signalée d’une croix. Les communes principales des cantons sont aquarellées en rouge. L’échelle est de 20 000 toises. Peu après le début de la Révolution française, la France fut découpée en départements à la suite du décret du 22 décembre 1789, pris par l'Assemblée constituante afin de remplacer les provinces de France jugées contraires à l'homogénéité de la nation. Leur nombre exact et leurs limites furent fixés le 26 février 1790, et leur existence prit effet le 4 mars 1790. Initialement au nombre de 83, trois autres départements vinrent s'ajouter entre 1791 et 1793 : le Vaucluse regroupant Avignon et le Comtat Venaissin annexés en 1791, puis le département du Mont-Blanc, lorsque la Savoie fut incorporée à la France en 1792 ; le troisième département fut créé en 1793, lorsque le département du Rhône-et-Loire fut scindé en deux. Leur nombre augmentera au fil des années, jusqu'à atteindre 133 départements en 1812, lors des conquêtes napoléoniennes. Bel et rare exemplaire dont les districts ont été entièrement aquarellés à l'époque. Petites rousseurs dans la partie supérieure, marges gauche et droite légèrement brunies.
Paris, P.G. Chanlaire, [1818]. 515 x 589 mm.
Première carte imprimée des anciens départements de la Seine-et-Oise et de la Seine, gravée par François d'Houdan pour l'Atlas National de France, premier atlas des départements français. Décrété le 27 janvier 1790 par l’Assemblée Nationale, le département de Seine-et-Oise fut divisé en 6 arrondissements ou sous-préfectures, et 36 cantons ou justices de paix. Versailles était sa préfecture. Le département fut dissous en 1968 pour constituer les départements de l'Essonne, du Val-d'Oise et des Yvelines. Le département de la Seine fut décrété à la même date, et divisé en 3 arrondissements ou sous-préfectures, et 8 cantons ou justices de paix. Il fut également dissous en 1968, pour former les départements de Paris, des Hauts-de-Seine, de la Seine-Saint-Denis et du Val-de-Marne. Les villes sous-préfectures sont aquarellées en bleu, la commune principale des cantons est aquarellée en rouge. Les limites des arrondissements sont aquarellées en bleu, celles des cantons en rouge. L’échelle est de 20 000 toises et 40 000 mètres. Peu après le début de la Révolution française, la France fut découpée en départements à la suite du décret du 22 décembre 1789, pris par l'Assemblée constituante afin de remplacer les provinces de France jugées contraires à l'homogénéité de la nation. Leur nombre exact et leurs limites furent fixés le 26 février 1790, et leur existence prit effet le 4 mars 1790. Initialement au nombre de 83, trois autres départements vinrent s'ajouter entre 1791 et 1793 : le Vaucluse regroupant Avignon et le Comtat Venaissin annexés en 1791, puis le département du Mont-Blanc, lorsque la Savoie fut incorporée à la France en 1792 ; le troisième département fut créé en 1793, lorsque le département du Rhône-et-Loire fut scindé en deux. Leur nombre augmentera au fil des années, jusqu'à atteindre 133 départements en 1812, lors des conquêtes napoléoniennes. Bel exemplaire, contours aquarellés à l'époque.
Paris, P.G. Chanlaire et Veuve Dumez, [1806]. 501 x 571 mm.
Première carte imprimée du département de l’Eure, gravée par François d'Houdan pour l'Atlas National de France, premier atlas des départements français. Décrété le 1er février 1790 par l’Assemblée Nationale, le département fut divisé en 5 arrondissements ou sous-préfectures, et 36 cantons ou justices de paix. Évreux, préfecture du département, est aquarellée en rouge et signalée d’une croix. Les villes sous-préfectures sont aquarellées en bleu, la commune principale des cantons est aquarellée en rouge. Les limites des arrondissements sont aquarellées en bleu, celles des cantons en rouge. L’échelle est de 20 000 toises et 40 000 mètres. Peu après le début de la Révolution française, la France fut découpée en départements à la suite du décret du 22 décembre 1789, pris par l'Assemblée constituante afin de remplacer les provinces de France jugées contraires à l'homogénéité de la nation. Leur nombre exact et leurs limites furent fixés le 26 février 1790, et leur existence prit effet le 4 mars 1790. Initialement au nombre de 83, trois autres départements vinrent s'ajouter entre 1791 et 1793 : le Vaucluse regroupant Avignon et le Comtat Venaissin annexés en 1791, puis le département du Mont-Blanc, lorsque la Savoie fut incorporée à la France en 1792 ; le troisième département fut créé en 1793, lorsque le département du Rhône-et-Loire fut scindé en deux. Leur nombre augmentera au fil des années, jusqu'à atteindre 133 départements en 1812, lors des conquêtes napoléoniennes. Bel exemplaire à grandes marges, contours aquarellés à l'époque.
Paris, Au Bureau de l'Atlas National, [1792]. 185 x 202 mm.
Première carte imprimée du département du Finistère (orthographié Finisterre ou fin de la terre), issue de l'Atlas National portatif de la France, destiné à l'instruction publique, de Pierre-Grégoire Chanlaire et Edmé Mentelle. Cet atlas, ainsi que l'Atlas National de France, premier atlas des départements français, par les mêmes auteurs, ont tous deux été publiés en 1792. Décrété le 22 janvier 1790 par l’Assemblée Nationale, le département fut divisé en 9 districts ou arrondissements, et 80 cantons. Quimper fut désignée comme préfecture. Les districts sont aquarellés de quatre couleurs, les villes sous-préfectures sont signalées à l'aquarelle rouge. L’échelle est de 20 000 toises. Peu après le début de la Révolution française, la France fut découpée en départements à la suite du décret du 22 décembre 1789, pris par l'Assemblée constituante afin de remplacer les provinces de France jugées contraires à l'homogénéité de la nation. Leur nombre exact et leurs limites furent fixés le 26 février 1790, et leur existence prit effet le 4 mars 1790. Initialement au nombre de 83, trois autres départements vinrent s'ajouter entre 1791 et 1793 : le Vaucluse regroupant Avignon et le Comtat Venaissin annexés en 1791, puis le département du Mont-Blanc, lorsque la Savoie fut incorporée à la France en 1792 ; le troisième département fut créé en 1793, lorsque le département du Rhône-et-Loire fut scindé en deux. Leur nombre augmentera au fil des années, jusqu'à atteindre 133 départements en 1812, lors des conquêtes napoléoniennes. Bel et rare exemplaire dans de très beaux coloris de l'époque.
Paris, P.G. Chanlaire et Veuve Dumez, [1806]. 511 x 585 mm.
Première carte imprimée du département du Finistère (orthographié Finisterre ou fin de la terre), gravée par François d'Houdan pour l'Atlas National de France, premier atlas des départements français. Décrété le 22 janvier 1790 par l’Assemblée Nationale, le département fut divisé en 5 arrondissements ou sous-préfectures, et 42 cantons ou justices de paix. Quimper, préfecture du département, est aquarellée en rouge et signalée d’une croix. Les villes sous-préfectures sont aquarellées en bleu, la commune principale des cantons est aquarellée en rouge. Les limites des arrondissements sont aquarellées en bleu, celles des cantons en rouge. L’échelle est de 20 000 toises et 40 000 mètres. Peu après le début de la Révolution française, la France fut découpée en départements à la suite du décret du 22 décembre 1789, pris par l'Assemblée constituante afin de remplacer les provinces de France jugées contraires à l'homogénéité de la nation. Leur nombre exact et leurs limites furent fixés le 26 février 1790, et leur existence prit effet le 4 mars 1790. Initialement au nombre de 83, trois autres départements vinrent s'ajouter entre 1791 et 1793 : le Vaucluse regroupant Avignon et le Comtat Venaissin annexés en 1791, puis le département du Mont-Blanc, lorsque la Savoie fut incorporée à la France en 1792 ; le troisième département fut créé en 1793, lorsque le département du Rhône-et-Loire fut scindé en deux. Leur nombre augmentera au fil des années, jusqu'à atteindre 133 départements en 1812, lors des conquêtes napoléoniennes. Bel exemplaire, contours aquarellés à l'époque.
[Paris, P.G. Chanlaire et E. Mentelle, An six de la République - 1798]. 333 x 429 mm, sur papier bleuté.
Belle carte figurant la partie sud-est des États-Unis, dressée par Edmé Mentelle et Pierre-Grégoire Chanlaire, et gravée par Pierre François Tardieu. Elle est issue de l'Atlas universel de géographie physique et politique, ancienne et moderne, présenté à l'Instruction des Écoles Centrales, pour les classes de Géographie, d'Histoire et de Législation, publié l'An six de la République, soit 1798. La carte couvre la partie est de la Louisiane jusqu'au fleuve Mississippi, la Caroline du Nord depuis le Cap Lookout, la Caroline du Sud, la Géorgie, la Floride et les Bahamas. Le long du fleuve Mississipi figurent le Fort Rosalie et les Nattchees détruits par les François en 1730. Ces deux mentions font référence à la révolte des Natchez, conflit ayant opposé, de 1729 à 1731, les Natchez, tribu amérindienne, et leurs alliés, aux colons français du Fort Rosalie. À l'issue de la révolte, la tribu fut définitivement anéantie. Les chaînes de montagnes sont aquarellées en brun. Chanlaire et Mentelle sont les auteurs de l'Atlas National de France, premier atlas des départements français, publié en 1793. Bel exemplaire à grandes marges, finement aquarellé à l'époque. The Lowery collection, A descriptive list of maps of the Spanish possessions within the present limits of the United States, 1502-1820, 1912, p. 437.
Paris, P.G. Chanlaire et Veuve Dumez, [1806]. 511 x 583 mm.
Première carte imprimée du département du Gers, gravée par François d'Houdan pour l'Atlas National de France, premier atlas des départements français. Décrété le 28 janvier 1790 par l’Assemblée Nationale, le département fut divisé en 5 arrondissements ou sous-préfectures, et 29 cantons ou justices de paix. Auch, préfecture du département, est aquarellée en rouge et signalée d’une croix. Les villes sous-préfectures sont aquarellées en bleu, la commune principale des cantons est aquarellée en rouge. Les limites des arrondissements sont aquarellées en bleu, celles des cantons en rouge. L’échelle est de 20 000 toises et 40 000 mètres. Peu après le début de la Révolution française, la France fut découpée en départements à la suite du décret du 22 décembre 1789, pris par l'Assemblée constituante afin de remplacer les provinces de France jugées contraires à l'homogénéité de la nation. Leur nombre exact et leurs limites furent fixés le 26 février 1790, et leur existence prit effet le 4 mars 1790. Initialement au nombre de 83, trois autres départements vinrent s'ajouter entre 1791 et 1793 : le Vaucluse regroupant Avignon et le Comtat Venaissin annexés en 1791, puis le département du Mont-Blanc, lorsque la Savoie fut incorporée à la France en 1792 ; le troisième département fut créé en 1793, lorsque le département du Rhône-et-Loire fut scindé en deux. Leur nombre augmentera au fil des années, jusqu'à atteindre 133 départements en 1812, lors des conquêtes napoléoniennes. Bel exemplaire à grandes marges, contours aquarellés à l'époque.
Paris, P.G. Chanlaire, [1806]. 505 x 574 mm.
Première carte imprimée du département de la Haute-Loire, gravée par François d'Houdan pour l'Atlas National de France, premier atlas des départements français. Décrété le 29 janvier 1790 par l’Assemblée Nationale, le département fut divisé en 3 arrondissements ou sous-préfectures, et 28 cantons ou justices de paix. Le Puy-en-Velay, préfecture du département, est aquarellée en rouge et signalée d’une croix. Les villes sous-préfectures sont aquarellées en bleu, la commune principale des cantons est aquarellée en rouge. Les limites des arrondissements sont aquarellées en bleu, celles des cantons en rouge. L’échelle est de 20 000 toises et 40 000 mètres. Peu après le début de la Révolution française, la France fut découpée en départements à la suite du décret du 22 décembre 1789, pris par l'Assemblée constituante afin de remplacer les provinces de France jugées contraires à l'homogénéité de la nation. Leur nombre exact et leurs limites furent fixés le 26 février 1790, et leur existence prit effet le 4 mars 1790. Initialement au nombre de 83, trois autres départements vinrent s'ajouter entre 1791 et 1793 : le Vaucluse regroupant Avignon et le Comtat Venaissin annexés en 1791, puis le département du Mont-Blanc, lorsque la Savoie fut incorporée à la France en 1792 ; le troisième département fut créé en 1793, lorsque le département du Rhône-et-Loire fut scindé en deux. Leur nombre augmentera au fil des années, jusqu'à atteindre 133 départements en 1812, lors des conquêtes napoléoniennes. Bel exemplaire à grandes marges, contours aquarellés à l'époque.
Paris, P.G. Chanlaire et Veuve Dumez, [1806]. 514 x 584 mm.
Première carte imprimée du département de la Haute-Marne, gravée par François d'Houdan pour l'Atlas National de France, premier atlas des départements français. Décrété le 28 janvier 1790 par l’Assemblée Nationale, le département fut divisé en 3 arrondissements ou sous-préfectures, et 28 cantons ou justices de paix. Chaumont, préfecture du département, est aquarellée en rouge et signalée d’une croix. Les villes sous-préfectures sont aquarellées en bleu, la commune principale des cantons est aquarellée en rouge. Les limites des arrondissements sont aquarellées en bleu, celles des cantons en rouge. L’échelle est de 20 000 toises et 20 000 mètres. Peu après le début de la Révolution française, la France fut découpée en départements à la suite du décret du 22 décembre 1789, pris par l'Assemblée constituante afin de remplacer les provinces de France jugées contraires à l'homogénéité de la nation. Leur nombre exact et leurs limites furent fixés le 26 février 1790, et leur existence prit effet le 4 mars 1790. Initialement au nombre de 83, trois autres départements vinrent s'ajouter entre 1791 et 1793 : le Vaucluse regroupant Avignon et le Comtat Venaissin annexés en 1791, puis le département du Mont-Blanc, lorsque la Savoie fut incorporée à la France en 1792 ; le troisième département fut créé en 1793, lorsque le département du Rhône-et-Loire fut scindé en deux. Leur nombre augmentera au fil des années, jusqu'à atteindre 133 départements en 1812, lors des conquêtes napoléoniennes. Bel exemplaire à grandes marges, contours aquarellés à l'époque.
Paris, P.G. Chanlaire et Veuve Dumez, [1806]. 511 x 581 mm.
Première carte imprimée du département des Hautes-Pyrénées, gravée par François d'Houdan pour l'Atlas National de France, premier atlas des départements français. Décrété le 4 février 1790 par l’Assemblée Nationale, le département fut divisé en 3 arrondissements ou sous-préfectures, et 26 cantons ou justices de paix. Tarbes, préfecture du département, est aquarellée en rouge et signalée d’une croix. Les villes sous-préfectures sont aquarellées en bleu, la commune principale des cantons est aquarellée en rouge. Les limites des arrondissements sont aquarellées en bleu, celles des cantons en rouge. L’échelle est de 20 000 toises et 20 000 mètres. Peu après le début de la Révolution française, la France fut découpée en départements à la suite du décret du 22 décembre 1789, pris par l'Assemblée constituante afin de remplacer les provinces de France jugées contraires à l'homogénéité de la nation. Leur nombre exact et leurs limites furent fixés le 26 février 1790, et leur existence prit effet le 4 mars 1790. Initialement au nombre de 83, trois autres départements vinrent s'ajouter entre 1791 et 1793 : le Vaucluse regroupant Avignon et le Comtat Venaissin annexés en 1791, puis le département du Mont-Blanc, lorsque la Savoie fut incorporée à la France en 1792 ; le troisième département fut créé en 1793, lorsque le département du Rhône-et-Loire fut scindé en deux. Leur nombre augmentera au fil des années, jusqu'à atteindre 133 départements en 1812, lors des conquêtes napoléoniennes. Bel exemplaire, contours aquarellés à l'époque.
Paris, Au Bureau de l'Atlas National, [1792]. 186 x 202 mm.
Première carte imprimée du département de l’Hérault, issue de l'Atlas National portatif de la France, destiné à l'instruction publique, de Pierre-Grégoire Chanlaire et Edmé Mentelle. Cet atlas, ainsi que l'Atlas National de France, premier atlas des départements français, par les mêmes auteurs, ont tous deux été publiés en 1792. Décrété le 22 janvier 1790 par l’Assemblée Nationale, le département fut divisé en 4 districts ou arrondissements, et 52 cantons. Montpellier fut désignée comme préfecture. Les districts sont aquarellés de trois couleurs, les villes sous-préfectures sont signalées à l'aquarelle rouge. L’échelle est de 20 000 toises. Peu après le début de la Révolution française, la France fut découpée en départements à la suite du décret du 22 décembre 1789, pris par l'Assemblée constituante afin de remplacer les provinces de France jugées contraires à l'homogénéité de la nation. Leur nombre exact et leurs limites furent fixés le 26 février 1790, et leur existence prit effet le 4 mars 1790. Initialement au nombre de 83, trois autres départements vinrent s'ajouter entre 1791 et 1793 : le Vaucluse regroupant Avignon et le Comtat Venaissin annexés en 1791, puis le département du Mont-Blanc, lorsque la Savoie fut incorporée à la France en 1792 ; le troisième département fut créé en 1793, lorsque le département du Rhône-et-Loire fut scindé en deux. Leur nombre augmentera au fil des années, jusqu'à atteindre 133 départements en 1812, lors des conquêtes napoléoniennes. Bel et rare exemplaire dans de très beaux coloris de l'époque.
Paris, Dumez, [An II - 1793]. 511 x 636 mm.
Première carte imprimée du département de l’Hérault, gravée par François d'Houdan pour l'Atlas National de France, premier atlas des départements français. Décrété le 22 janvier 1790 par l’Assemblée Nationale, le département fut divisé en 4 districts et 52 cantons. Montpellier, chef-lieu du département, est signalée d’une croix. L’échelle est de 20 000 toises. Peu après le début de la Révolution française, la France fut découpée en départements à la suite du décret du 22 décembre 1789, pris par l'Assemblée constituante afin de remplacer les provinces de France jugées contraires à l'homogénéité de la nation. Leur nombre exact et leurs limites furent fixés le 26 février 1790, et leur existence prit effet le 4 mars 1790. Initialement au nombre de 83, trois autres départements vinrent s'ajouter entre 1791 et 1793 : le Vaucluse regroupant Avignon et le Comtat Venaissin annexés en 1791, puis le département du Mont-Blanc, lorsque la Savoie fut incorporée à la France en 1792 ; le troisième département fut créé en 1793, lorsque le département du Rhône-et-Loire fut scindé en deux. Leur nombre augmentera au fil des années, jusqu'à atteindre 133 départements en 1812, lors des conquêtes napoléoniennes. Bel et rare exemplaire dont les districts ont été finement aquarellés à l’époque.
Paris, J.B. Delaval, [1818]. 515 x 589 mm.
Première carte imprimée du département de l’Ille-et-Vilaine, gravée par François d'Houdan pour l'Atlas National de France, premier atlas des départements français. Décrété le 30 janvier 1790 par l’Assemblée Nationale, le département fut divisé en 6 arrondissements ou sous-préfectures, et 44 cantons ou justices de paix. Rennes, préfecture du département, est aquarellée en rouge et signalée d’une croix. Les villes sous-préfectures sont aquarellées en bleu, la commune principale des cantons est aquarellée en rouge. Les limites des arrondissements sont aquarellées en bleu, celles des cantons en rouge. L’échelle est de 20 000 toises et 20 000 mètres. Peu après le début de la Révolution française, la France fut découpée en départements à la suite du décret du 22 décembre 1789, pris par l'Assemblée constituante afin de remplacer les provinces de France jugées contraires à l'homogénéité de la nation. Leur nombre exact et leurs limites furent fixés le 26 février 1790, et leur existence prit effet le 4 mars 1790. Initialement au nombre de 83, trois autres départements vinrent s'ajouter entre 1791 et 1793 : le Vaucluse regroupant Avignon et le Comtat Venaissin annexés en 1791, puis le département du Mont-Blanc, lorsque la Savoie fut incorporée à la France en 1792 ; le troisième département fut créé en 1793, lorsque le département du Rhône-et-Loire fut scindé en deux. Leur nombre augmentera au fil des années, jusqu'à atteindre 133 départements en 1812, lors des conquêtes napoléoniennes. Bel exemplaire, contours aquarellés à l'époque.
Paris, P.G. Chanlaire et Veuve Dumez, [1806]. 507 x 572 mm.
Première carte imprimée du département de l’Indre, gravée par François d'Houdan pour l'Atlas National de France, premier atlas des départements français. Décrété le 4 février 1790 par l’Assemblée Nationale, le département fut divisé en 4 arrondissements ou sous-préfectures, et 23 cantons ou justices de paix. Châteauroux, préfecture du département, est aquarellée en rouge et signalée d’une croix. Les villes sous-préfectures sont aquarellées en bleu, la commune principale des cantons est aquarellée en rouge. Les limites des arrondissements sont aquarellées en bleu, celles des cantons en rouge. L’échelle est de 20 000 toises et 40 000 mètres. Peu après le début de la Révolution française, la France fut découpée en départements à la suite du décret du 22 décembre 1789, pris par l'Assemblée constituante afin de remplacer les provinces de France jugées contraires à l'homogénéité de la nation. Leur nombre exact et leurs limites furent fixés le 26 février 1790, et leur existence prit effet le 4 mars 1790. Initialement au nombre de 83, trois autres départements vinrent s'ajouter entre 1791 et 1793 : le Vaucluse regroupant Avignon et le Comtat Venaissin annexés en 1791, puis le département du Mont-Blanc, lorsque la Savoie fut incorporée à la France en 1792 ; le troisième département fut créé en 1793, lorsque le département du Rhône-et-Loire fut scindé en deux. Leur nombre augmentera au fil des années, jusqu'à atteindre 133 départements en 1812, lors des conquêtes napoléoniennes. Bel exemplaire à grandes marges, contours aquarellés à l'époque.
Paris, Au Bureau de l’Atlas National, [1792]. 510 x 583 mm.
Première carte imprimée du département de l’Indre-et-Loire, gravée par François d'Houdan pour l'Atlas National de France, premier atlas des départements français. Décrété le 26 janvier 1790 par l’Assemblée Nationale, le département fut divisé en 7 districts et 35 cantons. Tours, chef-lieu et évêché du département, est aquarellée en rouge. Les villes sous-préfectures et la commune principale des cantons, sont aquarellées en rouge, tout comme les limites des arrondissements. L’échelle est de 20 000 toises. Peu après le début de la Révolution française, la France fut découpée en départements à la suite du décret du 22 décembre 1789, pris par l'Assemblée constituante afin de remplacer les provinces de France jugées contraires à l'homogénéité de la nation. Leur nombre exact et leurs limites furent fixés le 26 février 1790, et leur existence prit effet le 4 mars 1790. Initialement au nombre de 83, trois autres départements vinrent s'ajouter entre 1791 et 1793 : le Vaucluse regroupant Avignon et le Comtat Venaissin annexés en 1791, puis le département du Mont-Blanc, lorsque la Savoie fut incorporée à la France en 1792 ; le troisième département fut créé en 1793, lorsque le département du Rhône-et-Loire fut scindé en deux. Leur nombre augmentera au fil des années, jusqu'à atteindre 133 départements en 1812, lors des conquêtes napoléoniennes. Bel et rare exemplaire dont les districts ont été entièrement aquarellés à l'époque.
Paris, P.G. Chanlaire et Veuve Dumez, [1806]. 541 x 591 mm.
Première carte imprimée du département de l’Isère, gravée par François d'Houdan pour l'Atlas National de France, premier atlas des départements français. Décrété le 3 février 1790 par l’Assemblée Nationale, le département fut divisé en 4 arrondissements ou sous-préfectures, et 46 cantons ou justices de paix. Grenoble, préfecture du département, est aquarellée en rouge et signalée d’une croix. Les villes sous-préfectures sont aquarellées en bleu, la commune principale des cantons est aquarellée en rouge. Les limites des arrondissements sont aquarellées en bleu, celles des cantons en rouge. L’échelle est de 20 000 toises et 40 000 mètres. Peu après le début de la Révolution française, la France fut découpée en départements à la suite du décret du 22 décembre 1789, pris par l'Assemblée constituante afin de remplacer les provinces de France jugées contraires à l'homogénéité de la nation. Leur nombre exact et leurs limites furent fixés le 26 février 1790, et leur existence prit effet le 4 mars 1790. Initialement au nombre de 83, trois autres départements vinrent s'ajouter entre 1791 et 1793 : le Vaucluse regroupant Avignon et le Comtat Venaissin annexés en 1791, puis le département du Mont-Blanc, lorsque la Savoie fut incorporée à la France en 1792 ; le troisième département fut créé en 1793, lorsque le département du Rhône-et-Loire fut scindé en deux. Leur nombre augmentera au fil des années, jusqu'à atteindre 133 départements en 1812, lors des conquêtes napoléoniennes. Bel exemplaire, contours aquarellés à l'époque.
Paris, P.G. Chanlaire et Veuve Dumez, [1806]. 508 x 579 mm.
Première carte imprimée du département du Jura, gravée par François d'Houdan pour l'Atlas National de France, premier atlas des départements français. Décrété le 5 février 1790 par l’Assemblée Nationale, le département fut divisé en 4 arrondissements ou sous-préfectures, et 32 cantons ou justices de paix. Lons-le-Saunier, préfecture du département, est aquarellée en rouge et signalée d’une croix. Les villes sous-préfectures sont aquarellées en bleu, la commune principale des cantons est aquarellée en rouge. Les limites des arrondissements sont aquarellées en bleu, celles des cantons en rouge. L’échelle est de 20 000 toises et 30 000 mètres. Peu après le début de la Révolution française, la France fut découpée en départements à la suite du décret du 22 décembre 1789, pris par l'Assemblée constituante afin de remplacer les provinces de France jugées contraires à l'homogénéité de la nation. Leur nombre exact et leurs limites furent fixés le 26 février 1790, et leur existence prit effet le 4 mars 1790. Initialement au nombre de 83, trois autres départements vinrent s'ajouter entre 1791 et 1793 : le Vaucluse regroupant Avignon et le Comtat Venaissin annexés en 1791, puis le département du Mont-Blanc, lorsque la Savoie fut incorporée à la France en 1792 ; le troisième département fut créé en 1793, lorsque le département du Rhône-et-Loire fut scindé en deux. Leur nombre augmentera au fil des années, jusqu'à atteindre 133 départements en 1812, lors des conquêtes napoléoniennes. Bel exemplaire, contours aquarellés à l'époque.
Paris, Au Bureau de l'Atlas National, [1792]. 188 x 205 mm.
Première carte imprimée du département des Landes, issue de l'Atlas National portatif de la France, destiné à l'instruction publique, de Pierre-Grégoire Chanlaire et Edmé Mentelle. Cet atlas, ainsi que l'Atlas National de France, premier atlas des départements français, par les mêmes auteurs, ont tous deux été publiés en 1792. Décrété le 15 février 1790 par l’Assemblée Nationale, le département fut divisé en 4 districts ou arrondissements, et 25 cantons. Mont-de-Marsan fut désignée comme préfecture. Les districts sont aquarellés de trois couleurs, les villes sous-préfectures sont signalées à l'aquarelle rouge. L’échelle est de 20 000 toises. Peu après le début de la Révolution française, la France fut découpée en départements à la suite du décret du 22 décembre 1789, pris par l'Assemblée constituante afin de remplacer les provinces de France jugées contraires à l'homogénéité de la nation. Leur nombre exact et leurs limites furent fixés le 26 février 1790, et leur existence prit effet le 4 mars 1790. Initialement au nombre de 83, trois autres départements vinrent s'ajouter entre 1791 et 1793 : le Vaucluse regroupant Avignon et le Comtat Venaissin annexés en 1791, puis le département du Mont-Blanc, lorsque la Savoie fut incorporée à la France en 1792 ; le troisième département fut créé en 1793, lorsque le département du Rhône-et-Loire fut scindé en deux. Leur nombre augmentera au fil des années, jusqu'à atteindre 133 départements en 1812, lors des conquêtes napoléoniennes. Bel et rare exemplaire dans de très beaux coloris de l'époque.
Paris, P.G. Chanlaire et Veuve Dumez, [1806]. 511 x 625 mm.
Première carte imprimée du département des Landes, gravée par François d'Houdan pour l'Atlas National de France, premier atlas des départements français. Décrété le 15 février 1790 par l’Assemblée Nationale, le département fut divisé en 3 arrondissements ou sous-préfectures, et 28 cantons ou justices de paix. Mont-de-Marsan, préfecture du département, est aquarellée en rouge et signalée d’une croix. Les villes sous-préfectures sont aquarellées en bleu, la commune principale des cantons est aquarellée en rouge. Les limites des arrondissements sont aquarellées en bleu, celles des cantons en rouge. L’échelle est de 20 000 toises et 20 000 mètres. Peu après le début de la Révolution française, la France fut découpée en départements à la suite du décret du 22 décembre 1789, pris par l'Assemblée constituante afin de remplacer les provinces de France jugées contraires à l'homogénéité de la nation. Leur nombre exact et leurs limites furent fixés le 26 février 1790, et leur existence prit effet le 4 mars 1790. Initialement au nombre de 83, trois autres départements vinrent s'ajouter entre 1791 et 1793 : le Vaucluse regroupant Avignon et le Comtat Venaissin annexés en 1791, puis le département du Mont-Blanc, lorsque la Savoie fut incorporée à la France en 1792 ; le troisième département fut créé en 1793, lorsque le département du Rhône-et-Loire fut scindé en deux. Leur nombre augmentera au fil des années, jusqu'à atteindre 133 départements en 1812, lors des conquêtes napoléoniennes. Bel exemplaire, contours aquarellés à l'époque.
[Paris, P.G. Chanlaire et E. Mentelle, An six de la République - 1798]. En quatre feuilles pouvant être jointes pour former une carte de 639 x 847 mm, sur papier bleuté.
Belle carte du gouvernement du Languedoc en quatre feuilles, comprenant le Rouergue, appartenant au gouvernement de la Guyenne. Ella a été dressée par Edmé Mentelle et Pierre-Grégoire Chanlaire, et gravée par Pierre François Tardieu. Elle est issue de l'Atlas universel de géographie physique et politique, ancienne et moderne, présenté à l'Instruction des Écoles Centrales, pour les classes de Géographie, d'Histoire et de Législation, publié l'An six de la République, soit 1798. Sous l'Ancien Régime, les gouvernements militaires étaient des circonscriptions administratives correspondant aux anciennes provinces du royaume. Les gouverneurs étaient nommés par le roi. Jusqu'au XVIe siècle, la France en comptait 12. En 1776, elle en comptait 39, dont dix-huit de la première classe (les titulaires percevaient 60 000 livres par an), et vingt-et-un de la seconde classe (30 000 livres par an). Le gouvernement du Languedoc appartenait à la première classe, son chef-lieu était Toulouse. Les chaînes de montagnes sont aquarellées en brun. Chanlaire et Mentelle sont les auteurs de l'Atlas National de France, premier atlas des départements français, publié en 1793. Bel exemplaire à grandes marges, finement aquarellé à l'époque.
Paris, P.G. Chanlaire, 1818. 490 x 535 mm.
Carte gravée par Tardieu, issue de l'Atlas National de France, premier atlas des départements français. Représente le département de La Sesia, chef-lieu Verceil, annexé par Napoléon et resté sous administration française entre avril 1801 et mai 1814. Mouillure dans la marge inférieure sinon bel exemplaire aux contours aquarellés à l'époque. Rare.
[Paris, P.G. Chanlaire et E. Mentelle, An six de la République - 1798]. 340 x 447 mm.
Très rare et beau plan de la ville de Lisbonne, dressé par Edmé Mentelle et Pierre-Grégoire Chanlaire, et gravé par Antoine-François Tardieu. Il est issu de l'Atlas universel de géographie physique et politique, ancienne et moderne, présenté à l'Instruction des Écoles Centrales, pour les classes de Géographie, d'Histoire et de Législation, publié l'An six de la République, soit 1798. Cet atlas contient sept autres plans de villes capitales. Les bâtiments et principaux lieux de la ville sont nommés : la place du Commerce, l'Hôtel des Monnaies, la douane, le parc d'artillerie, etc. Les bâtiments publics sont en gris hachuré, les bâtiments privés, en rose cerclé de rouge, les parcs, jardins et bois, en vert. La partie de la ville rebâtie depuis le tremblement de terre de 1755 a été aquarellée en jaune. Le plan est orné en bas à droite d'une rose des vents. Il existe une édition plus tardive de ce plan, publiée chez Jean à Paris vers 1810, intitulée Plan de la ville de Lisbonne dressé par E. Mentelle, Ingénieur Géographe. Chanlaire et Mentelle sont les auteurs de l'Atlas National de France, premier atlas des départements français, publié en 1793. Très rare exemplaire en pleins coloris de l'époque. La Bibliothèque Nationale d'Espagne possède une édition de 1806 de l'Atlas universel, et ce plan, comme les sept autres, est resté en noir et blanc. Bel exemplaire.
Paris, Au Bureau de l'Atlas National, [1792]. 183 x 200 mm.
Première carte imprimée de l'ancien département de la Loire Inférieure, issue de l'Atlas National portatif de la France, destiné à l'instruction publique, de Pierre-Grégoire Chanlaire et Edmé Mentelle. Cet atlas, ainsi que l'Atlas National de France, premier atlas des départements français, par les mêmes auteurs, ont tous deux été publiés en 1792. Décrété le 30 janvier 1790 par l’Assemblée Nationale, le département fut divisé en 9 districts ou arrondissements, et 53 cantons. Nantes fut désignée comme préfecture. Le département sera renommé Loire-Atlantique le 9 mars 1957, après qu'il ait été décidé que l'adjectif "Inférieure" nuisait à l'économie de la région. Les districts sont aquarellés de trois couleurs, les villes sous-préfectures sont signalées à l'aquarelle rouge. L’échelle est de 20 000 toises. Peu après le début de la Révolution française, la France fut découpée en départements à la suite du décret du 22 décembre 1789, pris par l'Assemblée constituante afin de remplacer les provinces de France jugées contraires à l'homogénéité de la nation. Leur nombre exact et leurs limites furent fixés le 26 février 1790, et leur existence prit effet le 4 mars 1790. Initialement au nombre de 83, trois autres départements vinrent s'ajouter entre 1791 et 1793 : le Vaucluse regroupant Avignon et le Comtat Venaissin annexés en 1791, puis le département du Mont-Blanc, lorsque la Savoie fut incorporée à la France en 1792 ; le troisième département fut créé en 1793, lorsque le département du Rhône-et-Loire fut scindé en deux. Leur nombre augmentera au fil des années, jusqu'à atteindre 133 départements en 1812, lors des conquêtes napoléoniennes. Bel et rare exemplaire dans de très beaux coloris de l'époque.
Paris, P.G. Chanlaire et Veuve Dumez, [1806]. 506 x 574 mm.
Première carte imprimée de l'ancien département de la Loire Inférieure, gravée par François d'Houdan pour l'Atlas National de France, premier atlas des départements français. Décrété le 30 janvier 1790 par l’Assemblée Nationale, le département fut divisé en 5 arrondissements ou sous-préfectures, et 45 cantons ou justices de paix. Il sera renommé Loire-Atlantique le 9 mars 1957, après qu'il ait été décidé que l'adjectif "Inférieure" nuisait à l'économie de la région. Nantes, préfecture du département, est aquarellée en rouge et signalée d’une croix. Les villes sous-préfectures sont aquarellées en bleu, la commune principale des cantons est aquarellée en rouge. Les limites des arrondissements sont aquarellées en bleu, celles des cantons en rouge. L’échelle est de 20 000 toises et 40 000 mètres. Peu après le début de la Révolution française, la France fut découpée en départements à la suite du décret du 22 décembre 1789, pris par l'Assemblée constituante afin de remplacer les provinces de France jugées contraires à l'homogénéité de la nation. Leur nombre exact et leurs limites furent fixés le 26 février 1790, et leur existence prit effet le 4 mars 1790. Initialement au nombre de 83, trois autres départements vinrent s'ajouter entre 1791 et 1793 : le Vaucluse regroupant Avignon et le Comtat Venaissin annexés en 1791, puis le département du Mont-Blanc, lorsque la Savoie fut incorporée à la France en 1792 ; le troisième département fut créé en 1793, lorsque le département du Rhône-et-Loire fut scindé en deux. Leur nombre augmentera au fil des années, jusqu'à atteindre 133 départements en 1812, lors des conquêtes napoléoniennes. Bel exemplaire à grandes marges, contours aquarellés à l'époque.
Paris, P.G. Chanlaire, [1818]. 507 x 576 mm.
Première carte imprimée du département du Loir-et-Cher, gravée par François d'Houdan pour l'Atlas National de France, premier atlas des départements français. Décrété le 26 janvier 1790 par l’Assemblée Nationale, le département fut divisé en 3 arrondissements ou sous-préfectures, et 24 cantons ou justices de paix. Blois, préfecture du département, est aquarellée en rouge et signalée d’une croix. Les villes sous-préfectures sont aquarellées en bleu, la commune principale des cantons est aquarellée en rouge. Les limites des arrondissements sont aquarellées en bleu, celles des cantons en rouge. L’échelle est de 20 000 toises et 40 000 mètres. Peu après le début de la Révolution française, la France fut découpée en départements à la suite du décret du 22 décembre 1789, pris par l'Assemblée constituante afin de remplacer les provinces de France jugées contraires à l'homogénéité de la nation. Leur nombre exact et leurs limites furent fixés le 26 février 1790, et leur existence prit effet le 4 mars 1790. Initialement au nombre de 83, trois autres départements vinrent s'ajouter entre 1791 et 1793 : le Vaucluse regroupant Avignon et le Comtat Venaissin annexés en 1791, puis le département du Mont-Blanc, lorsque la Savoie fut incorporée à la France en 1792 ; le troisième département fut créé en 1793, lorsque le département du Rhône-et-Loire fut scindé en deux. Leur nombre augmentera au fil des années, jusqu'à atteindre 133 départements en 1812, lors des conquêtes napoléoniennes. Bel exemplaire à grandes marges, contours aquarellés à l'époque.