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Edition delroisse 1973 In-4 relié. Jaquette un peu ternie, fendillée en tête, sinon bon état.
Bon état d’occasion
Paris Maisonneuve Frères & Charles Leclerc, éditeurs 1886 in 4 (28,5x22,5) 1 volume broché, couverture imprimée, 152 pages, non rogné. Imprimé sur papier vergé. Ouvrage posthume. Rare. Bel exemplaire ( Photographies sur demande / We can send pictures of this book on simple request )
Très bon
Times Editions Cartonné avec jaquette 1990 In-4 (22,7 x 24,7 cm), cartonné avec jaquette, 125 pages, photographies en couleurs ; coiffes de la jaquettes et de l'ouvrge frottées, par ailleurs bon état. Livraison a domicile (La Poste) ou en Mondial Relay sur simple demande.
S.l., 1791. In-8 de 10-(1) pp.; cartonnage de papier marbré fauve, pièce de titre marron (reliure moderne).
Durant la Guerre d'Indépendance des états-Unis, les Français prirent l'île de Tobago, et il fut convenu, par le traité de cession, que les lois françaises s'appliqueraient mais que les engagements antérieurs seraient soumis aux lois anglaises qui étaient alors en vigueur. De ce fait, un tribunal spécial fut créé. Mais il y eut de nombreuses contestations sur les dettes des colons contractées envers des créanciers anglais, lesquels portèrent un mémoire devant l'Assemblée Nationale. L'auteur, commissaire-général et ordonnateur de Tobago fut chargé de rédiger une réponse à ces réclamations, et dans cette pétition, il demande à l'assemblée de l'examiner avec impartialité. Inconnu de Monglond. — Roquincourt, 2871. — Sabin, 73470.
Roman de moeurs martiniquaises. P. Edt. de France 1944. In-4, 132 pages. Broché.
8 hors texte en couleurs d'Emile Baes. Tiré à 1200 exemplaires numérotés.
Paris Les editions de France 1944. In-8 broché couverture rempliée, dos muet (21cm sur 18,5cm) III 130pp 3 feuillets non chiffrés dont table. Orné de bandeaux, lettrines, culs de lampe, dessin dans le texte en noir et 8 belles compositions en couleurs hors texte le tout par Emile Baès. Tiré à 1200 exemplaires numérotés. Exemplaire en bon état, solide et bien complet.
P., Editions de France (Editions de Paris, sur la couverture), 1946, in 12 broché, 229pp. ; couverture fanée.
Exemplaire enrichi d'un long et bel envoi autographe signé, à Habib BENGLIA, sur le faux-titre. ...................... Photos sur demande ..........................
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Éditions Duchartre, Paris, 1931. Coll. Laque orange aventures et voyages, 478 p. Frontispice à la page de garde.
Bon état pour l'exemplaire. Intérieur très fais et extérieur bien conservé malgré quelques frottements naturels. Dos décolorée.
Avec une préface de Charles de Rémusat. Paris. Didier. 1857. In-8 (138 x 221mm) dos lisse basane verte, fx-nerfs, caissons ornés et filets or, plats toile granitée, gardes marbrées, 2ff.n.ch., XVII, 404 pages. Petits défauts à la reliure, rousseurs, qq.annotations marginales au crayon, mais bon exemplaire. 1ère édition.
Le chapitre IX est entièrement consacré au problème de l'esclavage. Le pasteur William Ellery Channing est né à Newport (USA) en 1780.
[Paris], Dépôt Général de la Marine, 1800. 415 x 530 mm.
Grand et beau plan figurant le port et la ville de La Havane, levé en 1798 par Don José del Río de La Cosa, capitaine de frégate de la Marine royale espagnole, gravé par E. Collin, et publié par le Dépôt Général de la Marine en 1800. Il est accompagné de 38 légendes numérotées, permettant de repérer la cathédrale, la nouvelle maison du gouverneur, la prison, les établissements religieux, les portes, les églises, ou encore les batteries. À l'entrée du port, on remarque les fortifications chargées de protéger la ville : le fort El Morro, la forteresse de la Cabaña, et la forteresse San Salvador de la Punta. Dans la ville sont nommés le Champ de Mars et l'arsenal. Autour de la ville, on peut voir les villages de Cojímar, Marimelena, Regla, Guanabacoa, El Horcón, ainsi que les magasins à poudre et les châteaux d'Atarés et del Principe. Le long des côtes figurent les mesures des profondeurs marines. L'orientation est inversée, le nord étant placé au bas du plan, indiqué par une fleur de lys. Bel exemplaire. Petite tache claire au niveau du titre. Catalogue des cartes, plans et vues de côtes qui composent l'hydrographie française, 1837, Tome 1, p. 32, 370 ; Phillips, p. 336, 69 ; Gazette nationale ou Le Moniteur universel, 1802, p. 774.
Paris: Maisonneuve et Larose, 1972 in-8, (12)-309 pp., broché (couv. défraichie).
Les Antilles sans complexes, une expérience de décolonisation. (Paris: Maisonneuve et Larose, 1972). [M.C.: Amérique, Caraïbes, Antilles, histoire]
Maisonneuve et Larose 1993 In-8 broché, couv. illustrée en n & b, 267 pp. Très bon état. Poids : 1 kg avec emballage d’expédition.
Les Antilles annexées à la France depuis Louis XIII, un laboratoire où étaient mises à l’épreuve les doctrines qui secouaient l’histoire nationale. Les souvenirs politiques d’un Martiniquais de Fort-de-France, vécus sous trois Républiques, au Sénat, à l’Assemblée Nationale et au Parlement Européen, entre la France et la Martinique : un récit édifiant. L’auteur, débarrassé des servitudes politiciennes, brosse les portraits des personnages qu’il a cotoyés, et nous entraine dans son enfance créole des années 20, puis de la dramaturgie de la décolonisation aux revendications des identités nationales d’aujourd’hui. Très bon état d’occasion
Sablon Jean - Sullavan Jeri,Baron Paul - Blanche Francis,Amsterdam Morey
Reference : 32638
(1944)
Partitions sur l'Alcool,Partitions sur les Antilles France Mélodie 1944
Bon état Petit format
Maisonneuve & Larose 1972 In-8 broché, 309 p.
Bon état d’occasion
Maisonneuve & Larose 1993 In-8 broché, 267 pp;
Les Antilles ont connu laMonarchie et la traite, la République et la citoyenneté, le capitalisme, le communisme et l’anticolonialisme...Le rappel du passé suxcite toujours, en dépit du temps écoulé, des polémiques et des intimités.... Bon état d’occasion
Paris, Albert Messein, 1924, gr. in-4to, 242 p., ill., brochure originale, plat supérieur très abîmé et détaché, emboîtage.
Phone number : 41 (0)26 3223808
S.l., 1754 in-12, [3] ff. n. ch. (titre, table, errata), 360 pp., manque le faux-titre, veau fauve marbré, dos à nerfs cloisonné et fleuronné, pièce de titre cerise, encadrement de simple filet à froid sur les plats, tranches rouges (reliure de l'époque). Coiffes et coins restaurés, petites salissures à certains ff.
Première partie (discours I à XI) seule parue ; la seconde (discours XII à XVIII, les plus documentés sur l'île), annoncée à la table, n'a pas été imprimée pour une raison inconnue.Tel qu'il se présente à nous, l'ouvrage se divise donc en onze discours, les neuf premiers : Du Service miliaire, Du Tribunal d'Attribution commune, Des matières de terrein, Du Droit d'évocation, Des Juridictions inférieures, Des Conseils, Du Peuple, Des Remèdes généraux, Suite des Remèdes, dressent une description politique, économique et démographique de ce Saint-Domingue, tout en abordant les problèmes de juridiction, de politique ou d'ordre militaire. Dans les deux derniers Discours, Du commerce extérieur de la Nation avec la Colonie, & de sa balance, et Du Crédit, l'auteur propose des mesures qui favoriseraient les relations entre métropole et colonies. L'auteur, Pierre-Louis de Saintard, faisait partie du milieu des colons : habitant propriétaire à l’Arcahaye et à Léogane, il était fils de Louis-Bonaventure Saintard, qui fut en 1716 Directeur de la Compagnie de Saint-Domingue à Saint-Louis. Conseiller au Conseil Supérieur du Port-au-Prince, Député de ce Conseil à l’Assemblée Coloniale du Cap (1763), il joua un rôle certain dans l’agitation des milices et mourut à l’Arcahaye à 48 ans en 1766.INED 4032. Sabin 75 518. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
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Paris, Imprimerie nationale exécutive du Louvre, an II (1794) in-4, 3 pp., en feuille. Mouillures marginales.
Le décret met un terme aux assemblées de colons blancs à Saint-Domingue, dans le contexte où la Convention cherchait à reprendre la main dans la colonie après le Traité de Whitehall et la Capitulation de la Grande Anse, qui livraient purement et simplement le pays aux Britanniques.Cachet à l'encre rouge et griffe de Gohier.Roquincourt, 5012. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Troyes, Imprimerie de Garnier, s.d. (1794) in-4, 2 pp., broché sous couverture factice de papier bleu imprimée.
La loi prévoyait l'arrestation de "tous les colons qui ont été membres de l'Assemblée de Saint-Marc & de celle connue depuis sous le nom d'Assemblée coloniale, des agens de ces assemblées & des membres des clubs de Massiac & des colonies actuellement en France". Le tout se plaçait dans le contexte de la répression des milieux coloniaux de Saint-Domingue. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Réquisitoire signé De Thébaudière et Chevalier de Marmé, A Paris, en Comité, le 19 mars 1790. In-12 sans couverture, 4pp. Réquisitoire contre les actions de M. de La Luzerne.
Serait-il possible que l'Assemblée Nationale voulût abandonner les infortunés Colons (de Saint-Domingue) à la merci d'un Pouvoir exécutif qui repose entre les mains de SUBALTERNES PRÉVARICATEURS, et d'un Ministre JUSTEMENT EXÉCRÉ d'une Colonie dont il a fait personnellement le malheur et dont il semble vouloir consommer la ruine...
In-8, broché (sans couverture), 6 p. Paris, Imprimerie Nationale, 1790.
Edition originale. Les députés du nord de Saint-Domingue justifient la dissolution du parlement de Saint-Marc et la répression qui suivirent ses velléités d'indépendance. Ils conjurent leur voisin de retourner dans le giron de la métropole. Signé nommément par les députés du Nord.Signé par les députés de la province du Nord de Saint-Domingue: Bouyssou, Gauvain, Couet de Montarand, Chesneau de La Mégrière. Egalement Hardivillier "pour le corps des mulâtres", De Pont-Levoye, "pour le corps des nègres libres". (Sabin, 75144. Martin & Walter, 'Anonymes', 16330).Bon exemplaire, très frais.
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[Nantes], [vers 1825]. 2 pp. petit in-4 (20 x 15,7 cm) ; sur une feuille double, ratures et corrections.
La difficile succession d’une habitation de Saint-Domingue. Brouillon d’une lettre écrite par l’un des héritiers de l’habitation Chaussée, à Saint-Domingue, au moment du versement des indemnités accordées aux anciens colons : « Nous avons cédé un peu bénévolement nos droits à la moitié des 12784,77 que nous laisse l’obligation de 1791 : mais enfin nous acceptâmes la proposition des héritiers Gerbier de nous en tenir au tiers en grand de l’indemnité, et bien certainement ma femme et moi eussions signé l’acte que vous nous avez soumis s’il nous eût accordé ce tiers. Les héritiers Gerbier élèvent de nouvelles prétentions au lieu de se considérer comme liés par notre acceptation… ». En conséquence, il renonce à accepter le tiers de la somme, et demande à nouveau la moitié de l’indemnité accordée. Il évoque ensuite une autre difficulté : « Il paraîtrait que les héritiers Gerbier n’ont pas été indemnisés sur Valière des Nègres y transportés de l’habitation Chaussée ? Il paraîtrait aussi que M. Chaussée depuis son acquisition fit valoir son habitation avec le tiers seulement des Nègres nécessaires à sa culture ? Est-ce possible ? … ». Une autre branche de la famille, les héritiers Lafaucherie, a aussi des droits sur la succession ; comme elle comprend des enfants mineurs en faveur desquels il pourrait se désister, il demande à son correspondant de lui fournir des renseignements sur leur position juridique. De plus, il existe une créance sur l’habitation qu’un autre héritier voudrait récupérer en partie : « Que veut dire cette réclamation si rigoureuse de M. Fairmaire pour le 1/10e des 60000 # des colonies ou 40000 f argent de France. C’était bien le moment d’être exigeant quand nous venions d’abandonner nos prétentions à la de l’indemnité ? Et puis les héritiers Gerbier peuvent-ils croire que nous devions toujours ces 60000 # ? Les héritiers Gerbier doivent être indemnisés en raison des droits […] et non en raison de la créance qu’ils avaient d’abord contre M. Chaussée ». Il pourrait s’agir de Nicolas Olivier Chaussée, né à Nantes en 1762, décédé avant 1798, propriétaire d’une caféterie à Saint-Domingue et qui émigra par la suite à Goshenhoppen, en Pennsylvanie (Etats-Unis). Sa sœur, Françoise Claudine Chaussée, née à Nantes en 1761 et morte à Paris en 1814, avait épousé en secondes noces Aimé Jean-Baptiste Gerbier de Vologé (sources : sites domingino.de et gw.geneanet.org). Cote d’inventaire ajoutée au début, probablement lors du dépôt des dossiers relatifs aux demandes d’indemnisation des anciens colons de Saint-Domingue. Intéressant document.
Dijon, Imprimerie de Capel, 1791. In-4 de 3 pp., broché.
Loi du 11 février 1791 qui décida d'envoyer à Saint-Domingue trois commissaires pour y rétablir l'ordre, et avec "tous pouvoirs […] même celui de suspendre […] les jugemens des affaires criminelles qui auroient été intentés à raison des troubles". Il est également spécifié que l'assemblée coloniale devra attendre l'arrivé des commissaires avant de "mettre à exécution aucun de ses arrêtés sur l'organisation de la colonie". Bon exemplaire, avec les signatures autographes des représentants d'un district de la Côte d'or? Roquincourt, 5135.
Le Cap, 4 mars 1769. Manuscrit in-folio (37,2 x 22,8 cm) de (12) pp.; broché, rubans de soie verte, sceau de cire rouge en dernière page.
Le redressement d’une erreur dans les comptes d’une habitation. Propriétaires d’une habitation sucrière située sur la paroisse de l’Acul, à environ 10 km au sud-ouest du Cap-Français (actuellement Cap-Haïtien), les héritiers Sacquenville, qui résidaient en France, avaient chargé la maison Auger, Andrieux et Cie, négociants au Cap, de la régie et de l’administration de leur exploitation agricole. Ces derniers ont géré eux-mêmes l’habitation, avant d’en confier la gestion à un négociant nommé Duplessis. Lorsque le temps de la régie fut expiré, les régisseurs durent rendre des comptes. On s’aperçut alors d’une erreur: «Par le compte rendu par le Sieur Duplessis il se trouva un article à la date du quatorze janvier mil sept cent soixante par lequel il étoit dit qu’il avoit payé au Sieur Boissou raffineur sur ladite habitation une somme de dix mil huit cens vingt cinq livres cinq sols huit deniers pour solde de ses appointements à compter du premier janvier mil sept cens cinquante sept jusques au quatorze janvier mil sept cens soixante…». Apparemment, Duplessis aurait payé en trop au Sieur Boissou une somme de 9 228 livres 7 sols et 4 deniers. Les héritiers Sacquenville se retournèrent contre Auger, Andrieux et Cie, qui eux-mêmes menèrent une action contre Duplessis. Après un examen plus approfondi, on constata que l’erreur ne venait pas des appointements du raffineur, mais d’une somme de 8445 livres 13 sols qui correspondait à des dépenses effectuées par Boissou pour l’exploitation, et qu’on lui avait remboursées en les ajoutant par erreur à ses appointements. Or, cette somme fut enregistrée deux fois dans les comptes de l’habitation: «Il a été pleinement reconnu que le Sieur Duplessis qui avoit reçu du Sieur Boissou toutes les quittances au soutien du compte au détail […], avoit porté ces mêmes quittances au détail et article par article par ordre de date dans le compte par lui rendu aux héritiers Sacquenville […]. Cette somme il l’avoit portée deux fois dans la dépense de son compte…». Duplessis étant décédé depuis cette date, c’est le Sieur Aubert, son exécuteur testamentaire, qui devra rembourser les héritiers Sacquenville en hypothéquant les biens de Duplessis. Cet acte, ici en copie authentique, est signé par Grimperel et Pertuis, notaires du roi au Cap-Français, et contresigné par Esteve, sénéchal, juge civil et criminel au siège royal du Cap. En dernière page se trouve le sceau aux armes de France de la juridiction royale du Cap. Moreau de Saint-Méry, Description topographique, physique, civile, politique et historique de la partie française de l’isle Saint-Domingue, t. I, Philadelphie, 1797, p. 637 (sucrerie Sacquenville).