Mende, Société des Lettres, Sciences et Arts de la Lozère, 1988 in-8, 367 pp., ill. in-t., broché. Petites taches sur la couv.
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Paris, Contsant-Chantpie, Mansut, 1823 in-8, 32 pp., 351 pp., broché sous couverture imprimée.
Unique édition de ce recueil qui se concentre en fait sur les exils de souverains ou de membres de familles souveraines (comme Mesdames, chassées de France par l'application de la Constitution civile du clergé). Il a été réuni par le journaliste et polygraphe Charles de Saint-Maurice (1797-1865), futur rédacteur et directeur de publication de La Revue des modes de Paris (1833-1834). LIVRE NON DISPONIBLE À PARIS, VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Paris, L.G. Michaud, Delaunay et Dentu, février, 1815
In-8 (20 X 13 cm), 108 pp., Cartonnage papier marbré, dos lisse janséniste, pièce de titre maroquin vert, tranches marbrées (relié vers 1900). Édition originale. Étienne Bourgevin Vialart, comte de Saint-Morys, fils d'un conseiller à la grand'chambre du Parlement de Paris, naquit dans cette ville en 1772 et fut élevé avec le plus grand soin sous les yeux de son père qu'il suivit dans l'émigration en 1790. Il épousa, à Coblentz, en 1791, la nièce du Ministre Calonne; et il servit, à la même époque, comme simple volontaire dans la légion de Mirabeau: il fit, en qualité d'aide-de-camp du Maréchal de Broglie, la campagne de 1792, et continua dans les années suivantes à servir dans l'armée de Condé. Après le licenciement, il voyagea en Suède et en Russie ; et il recueillit dans ces contrées des observations précieuses pour les arts et l'histoire naturelle, qu'il alla publier en Angleterre, sous le titre de Voyage pittoresque de Scandinavie, Londres, 1802, in-4º, fig. Il revint, en 1803, à Paris, où sa mère n'avait pu conserver d'une fortune considérable que de faibles débris, échappés aux spoliations révolutionnaires. Compromis dans l'affaire Georges Cadoudal, en 1804, par suite de ses liaisons avec MM. de Polignac, il fut emprisonné à la Force, puis mis en surveillance à Houdainville près de Beauvais où son père avait bâti un très-beau château, dont il ne restait que des ruines. Ce fut alors, pour le comte de Saint-Morys, une grande faveur que d'obtenir la restitution d'obtenir la restitution d'une faible partie du terrain que son père avait possédé. L'autre partie était vendue ; et l'acquéreur lui disputa bientôt ce que les autorités de ce temps-là elles-mêmes avaient restitué. Il en résulta pour lui une discussion qui a fait le malheur de sa vie et qui enfin a été la cause de sa mort. Le 31 mars 1814, le comte de Saint-Morys fut du petit nombre des habitants de Paris qui contribuèrent si efficacement, par leur zèle, au rétablissement du trône des Bouchons. Le roi le nomma, dans la même année, sous-lieutenant de ses gardes, puis lieutenant et maréchal-de-camp. Il ne recouvrira rien de l'immense fortune de son père : mais les Bourbons avaient recouvré leur trône et il était au comble de ses voeux. Personne ne se soumit plus franchement à la constitution qui fut donnée par le roi ; et personne n'en accepta plus sincèrement toutes les conséquences. Admirateur passionné des lois anglaises, il manifestait, quelquefois, dans sa conversation, des opinions politiques qui ne plaisaient pas toujours à ses amis. Ce fut dans de tels principes qu'il publia en 1815, un petit écrit contre la traite des nègres, et, peu de jours après, ses Aperçus sur la politique de l'Europe et l'administration intérieure de la France, un 8º. Cette dernière brochure venait de paraître lorsque l'auteur fut obligé de suivre le roi à Gand. Il commanda dans la retraite un détachement des gardes-du-corps, et montra beaucoup de fermeté. Lors du retour, il fut un des premiers officiers de la maison du roi qui rentrèrent dans Paris ; il vint lui-même, dès le 8 juillet, faire placer le drapeau blanc sur le château des Tuileries. Après l'ordonnance du 5 septembre 1816, qui prononça la dissolution de la chambre des députés, Saint-Morys se rendit au collège électoral de son département, à Beauvais, avec l'intention, qu'il ne cacha point, d'y voter pour M.- de Kergorlay, que repoussait le ministère. C'est à cette circonstance que l'on a ensuite attribué ses malheurs. Ce qu'il y a de sûr, c'est que le prince de Poix, son capitaine, son capitaine, le menaça par écrit, de destitution, s'il ne votait pas pour le candidat ministériel, et que, bientôt après, l'acquéreur de ses biens, avec lequel il avait eu des démêlés qui paraissaient assoupis, recommença des attaques et des insultes auxquelles le comte de Saint-Morys répondit comme devait le faire un militaire, homme d'honneur. Il satisfit à tout ce que sa position et son rang exigeaient (Michaud. Bibliographie universelle).
Paris, Calmann-Lévy, 1929 2 vol. in-12, IX-251 pp. et 237 pp., frontispice à chaque volume, index, broché. Qqs annotations au crayon dans les marges. Dos un peu défraîchi.
Tulard, 1306. "Ambassadeur de France à Constantinople, Saint-Priest est ministre dans le cabinet Necker, secrétaire à la Maison du Roi de juillet 1789 à 1790, ministre de l'intérieur en août, démissionnaire en décembre 1790. Il émigre aussitôt après, se rend à Stockholm, puis en Russie, Prusse, Autriche ... sollicitant l'intervention des autres souverains d'Europe en faveur de Louis XVI. En 1795, Louis XVIII l'appelle à Vérone et le nomme ministre de sa maison. Il suit le roi à Blankenburg et à Mittau avant de se retirer en Suisse en 1808. Ses mémoires sont capitaux pour les deux premières années de la Révolution et l'histoire de la montée de la subversion et de la dillution de l'autorité. La période allant de 1797 à 1807 est traitée dans le dernier chapitre du tome second". LIVRE NON DISPONIBLE À PARIS, VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Phone number : 33 01 43 26 71 17
Paris, Calmann-Lévy, 1929 2 vol. in-12, IX-251 pp. et 237 pp., frontispice à chaque volume, index, broché. Traits au crayon dans les marges.
Tulard, 1306. "Ambassadeur de France à Constantinople, Saint-Priest est ministre dans le cabinet Necker, secrétaire à la Maison du Roi de juillet 1789 à 1790, ministre de l'intérieur en août, démissionnaire en décembre 1790. Il émigre aussitôt après, se rend à Stockholm, puis en Russie, Prusse, Autriche ... sollicitant l'intervention des autres souverains d'Europe en faveur de Louis XVI. En 1795, Louis XVIII l'appelle à Vérone et le nomme ministre de sa maison. Il suit le roi à Blankenburg et à Mittau avant de se retirer en Suisse en 1808. Ses mémoires sont capitaux pour les deux premières années de la Révolution et l'histoire de la montée de la subversion et de la dillution de l'autorité. La période allant de 1797 à 1807 est traitée dans le dernier chapitre du tome second". LIVRE NON DISPONIBLE À PARIS, VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
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Presses Universitaires de France Edition originale Première édition 4ème trimestre 1963. 1963. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 128 pages illustrées de quelques dessins en noir et blanc. . . . Classification Dewey : 304.8-Emigration
La première encyclopédie de poche fondée en 1941 par Paul Angoulvent, traduite en 43 langues, diffusée, pour les éditions françaises, à plus de 160 millions d'exemplaires, la collection Que sais-je? est l'une des plus importantes bases de données internationnales, construite pour le grand public par des spécialistes. 3800 titres ont été publiés depuis l'origine par 2500 auteurs. Classification Dewey : 304.8-Emigration
Paris, Impr. de Ballard, s.d. in-4, 6 pp., en feuilles. Trace de pliure sur le document.
Contre les aristocrates et les Anglais. "Les Anglais sont les agioteurs de l'Europe ; leur puissance est fondée sur la fraude et la duplicité : leur commerce prend sa source dans l'agiotage : leurs richesses découlent d'une banque dont les fonds simulés ne peuvent offrir pour résultat qu'une odieuse banqueroute : tout est fictif sur cette terre de proscription."Martin & Walter, III, 22265.
St Côme, le 25 messidor an 7, (13 juillet 1799), in-folio (31 x 19 cm.), 1 p.
Lettre adressée à l'administration municipale du canton de Mamers l'avertissant de la présence d'émigrés et lui faisant part des mesures prises contre eux.
SAULX-TAVANES (Aglaé-Marie-Louise de Choiseul-Gouffier, duchesse de)
Reference : 212528
Paris, Calmann-Lévy, 1934 in-12, 179 pp., broché.
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Paris, Calmann-Lévy, 1934. Petit in-8, (2) ff., 179 pp., bradel percale bleue, plats de couverture conservés.
Séjours en Belgique, Hollande, Angleterre et Russie.
Seuil. 1999. In-8. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 437 pages.. . . . Classification Dewey : 304.8-Emigration
Préface de Pierre Bourdieu - Collection liber. Classification Dewey : 304.8-Emigration
Bamberg, 1989 xviii + 352pp., 21cm., Doctoral Dissertation (Inauguraldissertation Universität Bamberg, Fakultät Geschichts- u. Geowissenschaften), softcover, stamp at verso of title page, text is clean and bright (looks unread), good condition, G112351
Tübingen, Gulde-Druck 1995, gr. in-8vo, 182 S. m. Abbildungen. ill. Original-Pappband. (Auf Umschlag-Vorne: Auswandererschiff beim Auslaufen).
Image disp.
Phone number : 41 (0)26 3223808
"Paris. 13 cm x 20 cm. 2000. Broché. 76 pages. Paris Leila Wanick Salgado - Canal+ 2000. Broché 13 cm x 20 cm 76 pages 69 photographies noir & blanc pleine page Photographies et commentaires de Sebastiao Salgado préface de Pierre Lescure biographie. Très bon état" "Bon état"
S.l., s.d. (avril-mai 1794) in-4, 4 pp., imprimé renseigné manuscritement, en feuille, quelques mouillures angulaires.
Du 29 germinal an II [18 avril 1794], et du 14 floréal [3 mai]. Expédition d'un compte-rendu de vente aux enchères de biens nationaux de seconde origine, pour lesquels il n'y eut ni soumissionnaire ni enchérisseur le premier jour, mais qui furent acquis le second par Jean Briet, notaire à Francheval (d'après les annuaires, il était encore en fonctions à Francheval en l'an VIII), pour la somme de 4000 livres.Ce type de documents est à recommander pour comprendre le mécanisme concret des ventes de biens nationaux sous la Révolution, et notamment le système des feux qui rythmaient les enchères, mais aussi sur les acquéreurs privilégiés (ici un notaire, beaucoup s'étant considérablement enrichis par ce biais).
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Paris, Fontemoing, 1904; in-8, XXVI-304 pp., portrait-frontispice, demi-basane fauve marbrée, dos à nerfs orné, tête dorée, couv. cons. Ex-libris Ogden Colman. Bon exemplaire. (rel. de l'époque).
Édition dotée d'une intéressante préface du plus célèbre roman d'émigration mais qui n'est malheureusement pas publié dans son intégralité. Il faut donc s'en contenter étant donné la rareté insigne de l'édition originale et l'absence de réédition. LIVRE NON DISPONIBLE À PARIS, VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
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Couverture souple. Broché. 327 pages. Mouillure à la couverture.
Livre. Librairie Plon-Nourrit, 1915.
Paris, Champion, 1933 gr. in-8, 521 pp., broché. Dos abîmé.
Vachon, 4557. LIVRE NON DISPONIBLE À PARIS, VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Spes Paris 1939
Traduction du russe. Les aventures d'un chef scout.420 pp (non coupées) Couverture souple Satisfaisant
Paris, Douniol, 1867 gr. in-8, 54 pp., broché. Légt défr.
Très intéressante correspondance adressée par les princes au comte de Foucquet. Ce dernier, émigré à Carlsruhe, était proche du margrave de Bade. C'est à ce titre qu'il servit d'interlocuteur entre les princes français et le prince allemand, mission d'ailleurs souvent délicate, d'août 1792 à août 1797. LIVRE NON DISPONIBLE À PARIS, VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
s.d. 1 p. in 8°.
Elle lui a écrit plusieurs fois à Amsterdam sans avoir de réponse et est inquiète «que vous ne me croyez capable d’oublier les bons soins, et la complaisance avec laquelle vous nous avez secourus et accompagnés en Hollande.» Elle confie cette lettre à M. de Brett, «je n’y ajouterai rien ignorant si elle vous parviendra…»Adélaïde de Flahaut n’émigra qu’en septembre 1792, d’abord en Angleterre où elle connut une vie difficile avant que le succès de son premier roman Adèle de Senange ne la sorte quelque temps de ses difficultés financières. Ses ressources épuisées et trouvant la vie en Angleterre trop dispendieuse, en août 1794 elle partit en Hollande où elle vécut tout aussi difficilement. Elle ne regagna la France qu’en 1797.
Neuchâtel, Editions Alphil 2017, 190x130mm, 281pages, broché. Bel exemplaire.
Lausanne, Editions Payot, 2000, gr. in-8vo, 287 p., rich. illustr. en n./bl., cartonnage original illustr.
image disp.
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Paris , Perrin, 1904. Petit in-8 , 435 pp. broché, non coupé, couverture factice
Plon, 1908, in-8°, iii-447 pp, broché, bon état
"Une étude sur les Bourbons, rentrés en France après vingt-cinq ans d’exil ; étude pleine d’intérêt, car le contraste fut grand entre les princes qui s’étaient installés aux Tuileries, entre leur manière de vivre et de penser, et celle du grand capitaine que l’Europe coalisée avait abattu. Et puis, la société qui entourait l’empereur, en 1814, s’était évanouie. On l’eût, en vain, cherchée dans les salons de l’aristocratie. Elle avait fait place aux grands seigneurs, revenus d’émigration, et à ceux qui s’étaient fait oublier dans une retraite absolue, pendant l’Empire..." (Préface) — "Les misères de l'émigration, la peinture de la petite cour de ces Bourbons exilés, les nombreux portraits qui y sont tracés, donnent à cette étude un intérêt puissant." (La Quinzaine, 1906)