COLLECTIF - Sous la direction de Kate Guyonvarch et Mathilde Thibault-Starzyk - Commissariat de Sam Stourdzé
Reference : 121234
(2019)
2019 Editions La Martinière, Catalogue d'exposition du Musée de la Musique, Philarmonie de Paris - 2019 - In-4, cartonnage illustré - 213 pages - Très nombreuses reproductions photographiques en N&B in et hors-texte
Bon état
Collectif – VINCENT (Jean-Pierre) et al.
Reference : 116737
(1977)
ISBN : 9782718600819
Editions Galilée, 1977, in-8°, 131 pp, 8 pl. hors texte in fine, broché, couv. à rabats, bon état (Coll. Politique et société)
Par Jean-Pierre Vincent, Peter Szondi, Daniel Lindenberg, Bernard Chartreux, Michel Deutsch, Paul Guérin, Roland Recht. — "En 1977, sous le titre « Alceste et l'absolutisme », ont été publiés des « Essais de dramaturgie sur le Misanthrope ». L’ouvrage, présenté par Jean-Pierre Vincent, regroupe un cours de Peter Szondi (« Molière dans la perspective d’une lecture sociologique ») et des interventions de dramaturges qui ont travaillé ensemble à cette mise en scène réalisée par J.-P Vincent. Ces contributions constituent de remarquables analyses de la pièce, ayant servi à produire une interprétation qui fait de la mise en scène de Vincent une véritable « Lecture du Misanthrope »." (Jean-Pierre Duso-Bauduin)
P., Veuve Nyon, An XII - 1804, in-12, 511 pp, un portrait en frontispice, reliure plein veau époque, dos lisse orné, tranches rouges
Laplace, Sanchez et Cie, 1882, in-12, xvii-518 pp, 4 belles gravures finement coloriées par MM. Geffroy et Henri Allouard, reliure demi-basane fauve, dos à nerfs orné de fleurons dorés (rel. de l'époque), bon état
Collin d'Harleville (1755-1806) fit jouer avec succès des comédies (l'Inconstant, 1786 ; l'Optimiste, 1788 ; les Châteaux en Espagne, 1789), dont se détachent deux pièces, “M. de Crac dans son petit castel” (1791), où le Gascon hâbleur reçoit un patronyme qui fera fortune, et “le Vieux Célibataire” (1792), qui brode sur le thème classique du vieillard à héritage, en faisant l'éloge de la famille et des vertus du citoyen. “L’Optimiste” fut vivement attaqué par Fabre d'Églantine, qui accusa l’auteur de propager des sentiments contre-révolutionnaires en peignant sous des couleurs optimistes la société d’Ancien Régime. Ces accusations n’affectèrent pas la carrière de l’auteur, qui se faisait désormais appeler Collin-Harleville, portait l’uniforme de commandant de la Garde nationale et faisait des déclarations patriotiques. Il eut un grand succès avec M. de Crac dans son petit castel en 1791, avant de triompher en 1792 avec la pièce en cinq actes qui fut aussitôt considérée comme son chef-d’œuvre, “le Vieux Célibataire”. Créée au Théâtre de la Nation par Molé et Louise Contat, la pièce fut publiée en 1794 et hautement approuvée par la critique.
P., Laplace, Sanchez et Cie, 1882, in-12, xvii-518 pp, 4 belles gravures sous serpente, finement coloriées par MM. Geffroy et Henri Allouard, reliure demi-chagrin carmin à coins, dos à 5 nerfs pointillés soulignés à froid, titre et caissons ornés, doubles filets dorés sur les plats, tête dorée (rel. de l'époque), qqs rousseurs, bon état
Collin d'Harleville (1755-1806) fit jouer avec succès des comédies (l'Inconstant, 1786 ; l'Optimiste, 1788 ; les Châteaux en Espagne, 1789), dont se détachent deux pièces, “M. de Crac dans son petit castel” (1791), où le Gascon hâbleur reçoit un patronyme qui fera fortune, et “le Vieux Célibataire” (1792), qui brode sur le thème classique du vieillard à héritage, en faisant l'éloge de la famille et des vertus du citoyen. “L’Optimiste” fut vivement attaqué par Fabre d'Églantine, qui accusa l’auteur de propager des sentiments contre-révolutionnaires en peignant sous des couleurs optimistes la société d’Ancien Régime. Ces accusations n’affectèrent pas la carrière de l’auteur, qui se faisait désormais appeler Collin-Harleville, portait l’uniforme de commandant de la Garde nationale et faisait des déclarations patriotiques. Il eut un grand succès avec M. de Crac dans son petit castel en 1791, avant de triompher en 1792 avec la pièce en cinq actes qui fut aussitôt considérée comme son chef-d’œuvre, “le Vieux Célibataire”. Créée au Théâtre de la Nation par Molé et Louise Contat, la pièce fut publiée en 1794 et hautement approuvée par la critique.
Club des Éditeurs, 1957, in-8°, 324-xxvi pp, traduit de l'anglais, 32 pl. de gravures du temps et 25 pl. de photos d'oeuvres aztèques par Gisèle Freund hors texte, XXVI pp. de glossaire et index in fine, tirage numéroté sur pur alfa d'Avignon, reliure pleine toile carmin de l'éditeur avec une gravure en vignette au 1er plat, rhodoïd, bon état (Coll. Hommes et faits de l'histoire)
Payot, coll. "Bibliothèque historique" 1951 1 vol. broché in-8 broché, 342 pp., planches hors-texte. Papier un peu jauni, sinon bon état, en partie non coupé.
Paris, PUF, "Bibliothèque des Centres d'Etudes supérieures spécialisés", 1957, 1957 in-8, broché, 144 pp. Colloque organisé par le Centre d'Etudes Supérieures Spécialisé d'Histoire des Religions de Strasbourg. Participation de A. Renaudet, R. Lebègue, L.-E. Halkin, F. Schalk, J. Dagens, etc.
P., chez la Veuve Florentin Delaulne, 1731, in-12, 345 pp, reliure plein veau marbré, dos à 5 nerfs guillochés et caissons ornés, pièce de titre basane bordeaux, coupes filetées, tranches rouges (rel. de l'époque), coiffe sup. arasée, bon exemplaire. Reliure aux armes de la famille Compain indiquée par une vignette collée sur le 1er plat. Rare
Paul Colomiés (1638-1692), théologien, fut bibliothécaire de l'archevêque de Canterbury. Chaque ouvrage cité dans son ouvrage est agrémenté d'un commentaire érudit et curieux.
Grasset, 1999, in-8°, 430 pp, généalogie de la famille Mazarin, broché, couv. illustrée, bon état
Elles étaient sept petites Mazarines, nièces du grand Cardinal, arrivées comme des primeurs en cageots, de Rome à la cour de France. Olympe, Marie, Hortense, Marianne... et les autres. Les quatre premières seules nous intéressent qui menèrent leur existence à grandes guides. Avec la liberté des aventurières du théâtre espagnol, elles parcoururent leur siècle, participant à toutes les cabales, à toutes les affaires de leur temps et même à celle des poisons. Deux d'entre elles faillirent être reines, leur gloire fut spectaculaire, leur chute aussi. Elles furent des « stars », l'intrigue les poussa souvent vers des sentiers réprouvés par la morale où la galanterie les maintint. Elles lancèrent des modes, provoquèrent des scandales et se trouvèrent au carrefour de l'Histoire. Peu douées pour des existences rangées, leurs amours, leur fantaisie, leurs défauts même et cette étrange folle que chacune déclinait à son gré leur donnèrent un éclat rare, cette grâce particulière qui leur restitua ce que l'Histoire leur avait refusé.
Perrin, 1885, in-8°, 378 pp, broché, qqs rares rousseurs, bon état
P., Victor Palmé, 1873, in-8°, viii-352 pp, reliure demi-basane noire, dos à 4 nerfs soulignés à froid, titres dorés (rel. de l'époque), C. de bibl. annulés sur la page de titre, papier lég. jauni, bon état. Peu courant
"M. Combes, professeur d'histoire à la Faculté des lettres de Bordeaux, veut nous montrer que les Allemands ont été les perpétuels agresseurs et envahisseurs de la France ; depuis Attila jusqu'à l'empereur Guillaume Ier « leurs invasions chez nous sont incessantes et commandent des précautions égales au danger. » (p. 13). (...) M. Combes oppose Otton IV venant attaquer Philippe-Auguste à Bouvines, Charles-Quint envahissant la Provence, assiégeant Metz en 1552, les Allemands pénétrant jusqu'au cœur de la France sous Charles IX et Henri III à la faveur des guerres de religion, Gallas et Jean de Werth ravageant la Picardie en 1636, l'Alsace envahie en 1674-1675, la Flandre envahie en 1712, enfin la France attaquée en 1792, et occupée par les Allemands en 1814 et 1815. Naturellement les invasions des Français en Allemagne ne sont que les revanches naturelles des invasions subies..." (G. Monod, Revue critique d'histoire et de littérature, 1873)
Le Promeneur, 1989, in-8°, 380 pp, traduit de l'italien, broché, couv. illustrée à rabats, bon état. On joint un plan de Venise en couleurs (35 x 58 cm)
Un mémorialiste vénitien rapporte que la relation lue par un ambassadeur de Vienne, en retour de mission, devant le doge et le sénat, pouvait durer jusqu'à sept heures d'affilée. Ce qui suffit à indiquer qu'au-delà même de leur historique, considérable, ces rapports se devaient d'être "captivants", "réussis", construits de manière telle à retenir l'attention. Aussi chacun de ces portraits, chacune de ces scènes, de la cour papale, ou des principautés italiennes, des cours de Pologne, d'Espagne, de France, d'Angleterre, de Turquie, entre le XVIe et le XVIIIe siècle, visent-ils autant qu'à accroître le savoir politique de sénateurs qui ne bougeaient de toute façon jamais hors de Venise, à trouver le je ne sais quoi de spectaculaire, de bizarre chez tel roi, ou telle favorite, à instruire en distrayant... De manière, conclut Giovanni Comisso qui élabora ce petit panorama européen, à offrir "non seulement le témoignage de l'exécution fidèle des ordres reçus, mais aussi l'hommage d'un présent d'art dédié à la gloire immortelle de la petite république".
Paris chez Antoine de Sommaville 1661 1 vol. relié in-12, relié plein veau moucheté tabac, dos à nerfs orné de fleurons et encadrements dorés, (22) + 765 + (17) pp., frontispice gravé (dos frotté, coiffes émoussées, mors fendus sans atteinte à l'intégrité de la reliure). Bonne "dernière édition" de ces chroniques des règnes de Louis XI et Charles VIII.
Paris Chez Claude Micard 1572 1 vol. relié in-16, plein parchemin avec lacets de fermeture, 505 ff. + 19 ff. non ch., table. Excellente édition des mémoires du diplomate et mémorialiste franco-flamand, au service de Charles le Téméraire, duc de Bourgogne, puis de Louis XI, considérés comme l’une des premières oeuvres modernes d’histoire politique offrant une analyse lucide du pouvoir et des événements de son temps. Quelques discrètes mouillures, mais sympathique exemplaire de cet usuel dans son vélin d'époque tout racorni.
P., La Librairie Mondiale, s.d. (v. 1910), in-8°, xv-262 pp, nombreuses gravures, reliure demi-basane rouge, dos à 5 nerfs filetés, titre doré (rel. de l'époque), dos lég. frotté, bon état (Coll. Nouvelle collection des mémoires historiques)
Jeanne Bécu de Cantigny, dite Mademoiselle de Vaubernier, devenue par son mariage comtesse du Barry, née le 19 août 1743 à Vaucouleurs en Lorraine et guillotinée à Paris le 8 décembre 1793, fut la dernière favorite du roi Louis XV. Son origine roturière et sa jeunesse agitée suscitèrent des pamphlets injurieux et même orduriers. — 1. Anecdotes sur Mme la comtesse du Barry : "C'est au mois de septembre 1775, et probablement à Londres que parut la première édition des Anecdotes sur la comtesse du Barry. Bien que l'ancienne favorite, déchue de ses grandeurs passées, vécût alors, exilée et comme prisonnière, à l'abbaye du Pont-aux-Dames, le souvenir de ses triomphes était trop récent pour que le livre ne fît point éclat. Il était, au reste, curieux, plein de renseignements précis mêlés de gravelures. Comme par-dessus la tête de la maîtresse, il atteignait très directement le roi défunt et ne se pouvait vendre que sous le manteau, le danger de le posséder accrut encore son succès..." (Introduction) — 2. De l'exil à l'échafaud : "Cette dernière partie est empruntée aux “Mémoires historiques de Jeanne Gomart de Vaubernier, comtesse du Barry, rédigés sur des pièces authentiques par M. de Favrolle”, publiés chez Lerouge en l'an XI. Ces mémoires ont pour auteur la baronne Brossin de Méré. Née à Paris, en 1751, Mme de Méré publia de 1794 à 1829, année de sa mort, sous son nom de jeune fille (Elisabeth Guénard) ou sous divers pseudonymes (A. L. de Boissy, J. H. F. de Geller, de Favrolle), cent dix ouvrages, romans, mémoires historiques et contes galants dont on trouvera le détail dans l'excellente notice que Quérard a consacrée à cet auteur. “Les Mémoires de Madame du Barry”, dont les deux premiers volumes reproduisent à peu près “les Anecdotes” de Pidansat de Mairobert, sont la source unique où ont puisé tous les biographes de la favorite. Les historiens n'ont même, à l'exception de M. C. Vatel, rien ajouté, ou presque, à ce premier fonds : c'est une justice qu'il convient de rendre à la baronne de Méré qu'elle a connu et utilisé adroitement tous les documents essentiels de l'époque révolutionnaire concernant Mme du Barry."
Genève, chez François Dufart ; Lyon, chez Bruyset ; P., chez Volland, 1788-1789, 16 vol. in-12, 9 planches dépliantes hors texte au tome 3, reliures papier vert bouteille à la bradel, dos lisses à filets dorés, pièces de titre basane carmin (rel. de l'époque), manque 8 pièces de titre, qqs cahiers légèrement déboîtés, pas de rousseurs mais pt travail de vers sans gravité sur qqs feuillets de 4 des volumes, les 2 dernières pages de la table des matières du tome 1 et les pages de faux-titre et de titre du tome 6 ont été recopiées à la plume très proprement, sinon bon état
Élève des Jésuites de Lyon, puis du Séminaire de Paris, ordonné prêtre en 1740, Condillac (1714-1780) quitta très tôt le sacerdoce pour la vie mondaine des gens de lettres. De 1758 à 1767, il vit à Parme, précepteur de l’Infant, pour lequel il rédige un Cours d’études. De retour à Paris, il est élu à l’Académie française ; en 1759, il sera membre de l’Académie de Berlin, puis en 1776, de la Société Royale d’Agriculture d’Orléans. Déclinant l’offre du Dauphin qui souhaitait lui confier l’éducation de ses fils, il se retire chez sa nièce pour y préparer l’édition future – et posthume – de son œuvre. — Table : tome 1. Grammaire. De l'analyse du discours. Des éléments du discours ; tome 2. L'art d'écrire ; tome 3. L'art de raisonner ; tome 4. De l'art de penser ; tomes 5 à 10. Histoire ancienne ; tomes 11 à 15. Histoire moderne (jusqu'en 1720) ; tome 16. De l'étude de l'histoire.
Fayard, 1984, in-8°, 438 pp, reliure cartonnée crème de l'éditeur, bon état (Coll. Corpus des œuvres de philosophie en langue française)
Elève des Jésuites de Lyon, puis du Séminaire de Paris, ordonné prêtre en 1740, Condillac (1714-1780) quitta très tôt le sacerdoce pour la vie mondaine des gens de lettres. De 1758 à 1767, il vit à Parme, précepteur de l’Infant, pour lequel il rédige un Cours d’études. De retour à Paris, il est élu à l’Académie française ; en 1759, il sera membre de l’Académie de Berlin, puis en 1776, de la Société Royale d’Agriculture d’Orléans. Déclinant l’offre du Dauphin qui souhaitait lui confier l’éducation de ses fils, il se retire chez sa nièce pour y préparer l’édition future – et posthume – de son oeuvre. Les contemporains apprécièrent le Traité des Systèmes plus que ceux qui suivirent : l’abbé Raynal le trouve « plus agréable et plus estimable » ; d’Alembert, à l’article Système de l’Encyclopédie, cite abondamment le premier chapitre. Par la suite, les Idéologues puis Auguste Comte en retiendront les leçons. Le Traité critique l’abstraction sous toutes ses formes, en analysant, non les contenus, mais les conditions logico-formelles du discours qui rendent la pensée systématique inacceptable : cela permet à l’auteur d’envelopper sous la même réfutation des doctrines aussi disparates que la métaphysique des idées innées et l’art divinatoire. Un bon système n’est pas une totalisation partant de principes a priori, mais la liaison d’une multiplicité de données à partir d’un phénomène bien choisi : celui de Newton montre en science le modèle optimal de la systématicité, paradigme à importer dans les autres disciplines, arts mécaniques, beaux-arts, éthique et politique. (Catalogue des Auteurs, CF) — "Le Traité des sensations est paru en 1754; le Traité des animaux en 1755. Nous publions les textes revus et corrigés par l'Auteur, figurant dans l'édition posthume des Œuvres de Condillac (1798) établie d'après les manuscrits autographes. Nous nous sommes contentés de moderniser la typographie." (Francine Markovits)
Londres [Paris], 1786, in-8°, 287 pp, reliure demi-veau brun, dos lisse orné de filets dorés, pièce de titre basane noire (rel. moderne, très bon état
Bel exemplaire sans rousseurs dans une sobre reliure moderne imitation d'une reliure du XVIIIe siècle. Cet ouvrage et celui de Dupont de Nemours (publié en 1782) sont les deux principales biographies contemporaines du grand homme d'Etat français, économiste et réformateur des finances. Le livre est aussi important car il contient un passage où Condorcet discute les diverses méthodes mathématiques par lesquelles les taxations indirectes pourraient être remplacées par une fiscalité directe et les effets d'un tel changement. (Theocharis, Early Development in Mathematical Economics, p. 65)
Plon, 1931, in-12, ix-240 pp, 11 gravures hors texte, broché, bon état (Coll. Les Grandes Figures coloniales)
"Le livre de M. Constantin-Weyer est bien écrit, clairement présenté. L'auteur ne s'est servi que des œuvres de Champlain et de bons ouvrages de seconde main, dont celui de Dionne. Sa biographie contient des pages intéressantes (un exposé de la lutte soutenue par Champlain et les missionnaires contre les spéculateurs). Elle est juste de ton et contient peu d'erreurs. L'auteur croit que la polygamie était rare chez les Algonquins, dont les Hurons sont la principale branche. Wrong (The Rise and Fall of New France, t. I, p. 227) montre excellemment le contraire." (E. Préclin, Revue Historique, 1932) — "Il s'agit plus ici d'une analyse des livres antérieurs, particulièrement de celui de Dionne, et des écrits de Champlain lui-même, mais très agréable et qui pourra en suppléer la lecture pour le grand public. C'est de la bonne vulgarisation." (Revue d'histoire des Colonies, 1932)
Plon, 1931, in-12, ix-240 pp, 11 gravures hors texte, broché, couv. lég. abîmée, papier lég. jauni, état correct (Coll. Les Grandes Figures coloniales)
"Le livre de M. Constantin-Weyer est bien écrit, clairement présenté. L'auteur ne s'est servi que des œuvres de Champlain et de bons ouvrages de seconde main, dont celui de Dionne. Sa biographie contient des pages intéressantes (un exposé de la lutte soutenue par Champlain et les missionnaires contre les spéculateurs). Elle est juste de ton et contient peu d'erreurs. L'auteur croit que la polygamie était rare chez les Algonquins, dont les Hurons sont la principale branche. Wrong (The Rise and Fall of New France, t. I, p. 227) montre excellemment le contraire." (E. Préclin, Revue Historique, 1932) — "Il s'agit plus ici d'une analyse des livres antérieurs, particulièrement de celui de Dionne, et des écrits de Champlain lui-même, mais très agréable et qui pourra en suppléer la lecture pour le grand public. C'est de la bonne vulgarisation." (Revue d'histoire des Colonies, 1932)
P., J.-P. Costard, 1773, 6 vol. in-8°, xv-535-(4), 528, 516, 527, 552 et 502 pp, nouvelle édition (la première en 1770), 22 vignettes de titre gravées, reliures plein veau naturel moucheté, dos à 5 nerfs ornés de caissons fleuronnés dorés, pièces de titre maroquin rouge, coupes guillochées, tranches rouges (rel. de l'époque), ex-libris gravé Château des Perrays, qqs épidermures sur qqs plats, qqs coiffes lég. usées, bon état
"Ouvrage curieux et recherché pour l'abondance et le pittoresque de sa documentation. C'est un des recueils les plus complets de traditions et superstitions peu connues et bizarres qui intéressent le symbolisme, la magie, la démonologie, le folklore, etc. Les moindres peuplades y sont l'objet de révélations curieuses avec un luxe de détails forts piquants. Un certain nombre de gravures sur cuivre ajoute au texte déjà très suggestif un rehaut attrayant." (Caillet) — "Ouvrage des plus curieux sur les mœurs des sauvages du Canada, de la Floride, de la Virginie, du Brésil, de l'Asie, de l'Afrique, etc." (Chadenat II- 6963) — Le tome V est consacré aux Amériques, notamment des états de l'Amérique du Nord (Nouvelle-Angleterre) et du Canada. L'ouvrage ne se contente pas d'exposer les grands peuples (Japon, Turquie, Inde) mais s'intéresse également à des peuplades peu connus voir oubliés comme les Guèbres.
Plon, 1933, pt in-8°, xviii-256 pp, 4 gravures hors texte, reliure demi-basane beige, dos à 3 larges nerfs soulignés à froid, titres dorés, couv. et dos conservés, papier lég. jauni, bon état (Coll. Nouvelle bibliothèque des voyages)
Alonso de Contreras a passé une partie de sa vie à courir la Méditerranée sur les galères de Malte ; il nous montre l'Espagne de son temps, le royaume de Naples, la Sicile, la Rome pontificale et sa verve, son talent sont si drus et si verts, qu'on a peine à quitter le livre. Il en est peu de plus captivant et plus haut en couleurs que ces souvenirs d'un soldat d'Espagne au début du XVIIe siècle. (Introduction).
Plon, 1933, pt in-8°, xviii-256 pp, 4 gravures hors texte, broché, papier lég. jauni, bon état (Coll. Nouvelle bibliothèque des voyages)
Alonso de Contreras a passé une partie de sa vie à courir la Méditerranée sur les galères de Malte ; il nous montre l'Espagne de son temps, le royaume de Naples, la Sicile, la Rome pontificale et sa verve, son talent sont si drus et si verts, qu'on a peine à quitter le livre. Il en est peu de plus captivant et plus haut en couleurs que ces souvenirs d'un soldat d'Espagne au début du XVIIe siècle. (Introduction).
Paris Aubier, coll. "Histoires" 1997 1 vol. broché in-8, broché, couv. illustrée, 310 pp., index. Traduit de l'espagnol par Bernard Vincent. Très bon état.