New York, Hacker Art Books, 1976, fort in-8°, xxvi-533 pp, pagination continue, 473 figures dans le texte, biblio, index, les 2 tomes reliés ensemble en un volume pleine toile bleue, bon état
Réimpression en un seul volume de la deuxième édition revue de 1926. — "M. Ward, déjà connu par un ouvrage sur les châteaux et les jardins français du XVIe siècle, vient de publier deux volumes abondamment illustrés dans lesquels il ne limite plus ses recherches au XVIe siècle, mais s'efforce de montrer ce qu'est devenu l'art classique pendant les deux siècles suivants, les transformations qu'il a subies de Louis XIV à Louis XVI, la vitalité qu'il possédait encore sous Napoléon, et finalement sa décadence aux temps de la Restauration. C'est une période d'environ trois cents ans, qui a donné lieu jusqu'ici à de nombreuses monographies de détail, mais qui n'a guère fait l'objet de travaux d'ensemble et, quoi qu'il en puisse coûter à notre amour-propre national, je suis obligé d'avouer qu'on ne lui a consacré en notre langue aucun ouvrage aussi complet que celui de M. Ward. L'ouvrage est divisé en huit chapitres correspondant aux règnes de Louis XII, François Ier, Henri II, Henri IV et Louis XIII, Louis XIV, Louis XV, Louis XVI, Napoléon. (...) L'ouvrage fait honneur à l'éditeur. Il est bien publié. Les illustrations sont nombreuses, bien choisies, bien exécutées, et quoique un peu petites parfois, elles peuvent donner une idée suffisante de l'architecture française pendant la longue période étudiée par M. Ward." (R. de Lasteyrie, Journal des savants)
Plon, 1972, in-8°, 340 pp, traduit de l'allemand, biblio, 2 index, broché, bon état (Coll. Recherches en sciences humaines)
En 1904-1905, Max Weber publie la première version de ce grand livre. Il signe là le manifeste inaugural d'une sociologie de la religion qui récuse la réduction exclusive du fait religieux à un irrationnel et étudie l'articulation entre les "intérêts" religieux et les pratiques sociales, les causes symboliques et les effets sociaux ou économiques. Max Weber décrit le grand bouleversement des Temps modernes, la transformation dans les mentalités du rapport à l'argent et à la fortune. Aux consciences médiévales marquées par la parole évangélique selon laquelle "il est plus aisé pour un chameau de passer le chas d'une aiguille que pour un riche d'entrer dans le royaume de Dieu" (Marc, x, 25), le protestantisme affirme que l'homme est sur terre pour se livrer à des œuvres terrestres, et que le succès de ses entreprises est le signe de la grâce divine. L'essor du capitalisme se fonde sur cette révolution des esprits, engendrée par la tourmente luthérienne. Max Weber est le premier à donner une explication spécifique de l'essor du capitalisme. A travers cette magistrale leçon de sociologie, il éclaire d'un jour nouveau notre civilisation.
Plon, 1981, in-8°, 340 pp, biblio, 2 index, broché, bon état (Coll. Recherches en sciences humaines)
Max Weber décrit le grand bouleversement des Temps modernes, la transformation dans les mentalités du rapport à l'argent et à la fortune. Aux consciences médiévales marquées par la parole évangélique selon laquelle "il est plus aisé pour un chameau de passer le chas d'une aiguille que pour un riche d'entrer dans le royaume de Dieu" (Marc, x, 25), le protestantisme affirme que l'homme est sur terre pour se livrer à des œuvres terrestres, et que le succès de ses entreprises est le signe de la grâce divine. L'essor du capitalisme se fonde sur cette révolution des esprits, engendrée par la tourmente luthérienne. Max Weber est le premier à donner une explication spécifique de l'essor du capitalisme. A travers cette magistrale leçon de sociologie, il éclaire d'un jour nouveau notre civilisation.
Plon, 1981, in-8°, 340 pp, traduits de l'allemand par Jacques Chavy, biblio, 2 index, broché, annotations stylo, sinon bon état (Coll. Recherches en sciences humaines)
Max Weber décrit le grand bouleversement des Temps modernes, la transformation dans les mentalités du rapport à l'argent et à la fortune. Aux consciences médiévales marquées par la parole évangélique selon laquelle "il est plus aisé pour un chameau de passer le chas d'une aiguille que pour un riche d'entrer dans le royaume de Dieu" (Marc, x, 25), le protestantisme affirme que l'homme est sur terre pour se livrer à des œuvres terrestres, et que le succès de ses entreprises est le signe de la grâce divine. L'essor du capitalisme se fonde sur cette révolution des esprits, engendrée par la tourmente luthérienne. Max Weber est le premier à donner une explication spécifique de l'essor du capitalisme. A travers cette magistrale leçon de sociologie, il éclaire d'un jour nouveau notre civilisation.
PUF, 1962 pt in-8°, vi-186 pp, 7 pl. d'illustrations en couleurs et 32 pl. d'illustrations en noir hors texte, biblio, cart. illustré de l'éditeur, bon état (Coll. Le Lys d'Or, Histoire de l'art français)
Cadre historique. Origines et caractères généraux du style Louis XIV. Les ornemanistes. Esthétique de l'éphémère. L'architecture. La sculpture et le bois. La peinture. L'estampe et le livre. Le mobilier. Les arts du tissus. Les arts du métal. Les arts de la terre. La province et l'étranger.
Paris Poulet-Malassis et De Broise 1860 1 vol. Relié in-12, bradel pleine percaline bleue, couvertures conservées, non rogné, 336 pp. et catalogue de l'éditeur in fine. Bon exemplaire en reliure d'époque de cette évocation de la Guerre des paysans dans le Saint-Empire romain germanique en 1524-1526 (Oberlé, 825).
Calmann-Lévy, 1973, gr. in-8°, 406 pp, broché, couv. à rabats, bon état (Coll. Archives des sciences sociales)
Seuil, 1992, in-8°, 145 pp, 12 pl. de gravures hors texte, biblio
Grasset, 1937, pt in-8°, 311 pp, traduit de l'allemand, broché, couv. illustrée d'un portrait, bon état
Flammarion, 1940, pt in-8°, 258 pp, broché, bon état (Coll. Les Grands Cœurs)
En 1929, le général Weygand contribue à une série d'ouvrages consacrés aux "Grands Cœurs" de l'histoire de France (éditions Flammarion) et ce, en rédigeant un livre sur le maréchal de Turenne. Pour l'auteur, il s'agit d'un chef militaire remarquable qui fait référence pour les officiers du moment, en particulier Foch par qui, si on en croit la dédicace, le général Weygand a appréhendé l'influence majeure de ce contemporain de Louis XIII et de Louis XIV. Dans cet ouvrage, on voit le jeune héritier de la maison de Bouillon rentrer au service du royaume de France dès son plus jeune âge et gravir les échelons au rythme des campagnes, d'abord à la tête d'une compagnie, puis d'un régiment avant de se voir confier une armée. Il deviendra un grand tacticien et participera aux grandes évolutions dans la conduite de la guerre au cours de cette période charnière de l'histoire militaire. — "Depuis les Commentaires de César, on sait que les grands hommes de guerre manient souvent la plume comme l'épée. Ce livre !e prouve une fois de plus. Sans aucune affectation ni recherche de style, sans rien qui vise à l'effet, il se révèle comme l'œuvre d'un maître. Il est difficile de mieux saisir et de mieux présenter Turenne. Le libérateur de Varsovie nous le montre sous tous ses aspects, stratège de premier ordre, dont la réflexion et l'expérience grandissent sans cesse le génie, diplomate, quand il le faut, très grand seigneur, malgré sa gaucherie et sa simplicité d'allure, homme profondément bon et d'une haute valeur morale. Il n'a garde d'oublier le chrétien, et le récit de la conversion du grand homme est un des meilleurs endroits du livre. Louis XIV en eut si grande joie, qu'il voulait dépêcher de suite un coursier pour en porter la nouvelle au pape Clément IX. Le pape, de son côté, songea un instant à faire de Turenne un cardinal. Si le héros s'y fut prêté, la chose était faite. Mais il préféra rester à la tête des armées de. Louis XIV... En véritable historien, le général Weygand s'efface entièrement derrière Turenne et le laisse seul apparaître. Mais, sans qu'il le veuille, quelques réflexions, quelques remarques jetées çà et là, trahissent le grand chef, l'homme qui sait observer, prévoir, commander, le patriote soucieux de l'avenir d'un pays, dont il est lui-même une gloire. Ce n'est pas là un des moindres mérites de son ouvrage." (Th. Malley, Revue d'histoire de l'Église de France, 1929) — "D'une très sûre documentation." (Annales sedanaises)
Fayard, 1978, in-8°, 222 pp, index, broché, bon état
Ce récit de la Fronde raconté par un contemporain que vient de retrouver Robert Mandrou est un document précieux pour comprendre l'histoire de cette rébellion multiforme. Le Hollandais Abraham de Wicquefort, représentant à Pairs d'un prince allemand, écrivait toutes les semaines à son correspondant pour l'informer des événements dont il était témoin. Remarquablement renseigné sur ce qui se passait tant à la Cour qu'au Parlement et chez les Grands, il était reçu dans toute l'élite parisienne et avait une connaissance approfondie de la société, de l'administration et des pouvoirs de la France au XVIIe siècle. De la révolte parlementaire de janvier-février 1648 au retour de Louis XIV à Paris, Robert Mandrou présente ici les chroniques qui correspondent aux temps forts de la Fronde. Constituant une sorte de reportage sur la vie quotidienne de ces années troublées, elles retracent et éclairent de façon tout à fait nouvelle l'essentiel d'une des plus graves crises que connut l'Ancien Régime.
P., G. Legrand, 1944, pt in-8°, 110 pp, biblio, broché, état correct
Le Réformé normand Pierre-Antoine Motteux (1663-1718) partit se réfugier en Angleterre chez son parent et parrain Paul Dominique Motteux après la révocation de l’Edit de Nantes. Il s’appliqua à l’étude des langues et se familiarisa si bien avec la langue de sa nouvelle patrie, qu’après six ans seulement, il était éditeur du Gentleman’s Journal. Comme d'autres huguenots, il a écrit l'une des pages les mieux remplies de l'histoire de la presse écrite, en pleine révolution financière britannique. Il fut aussi dramaturge et traducteur.
New York, Ams Press, 1971, pt in-8°, v-478 pp, 15 portraits, gravures et fac-similés hors texte, 2 tableaux généalogiques, index, reliure percaline bordeaux éditeur (reprint de l'édition originale, New York and London, 1893)
WILSON, Guy ; PILGRIM, Dianne H. ; TASHJIAN, Dickran
Reference : 19881
(2001)
ISBN : 0810914212
Abrams 2001 In-4, cartonné noir, sous jaquette illustrée, plus de 400 illustrations dont 55 planches en couleurs, 376 pp. Edition en anglais. Sous blister, état neuf.
Praise for the machine age in america Bon état d’occasion
Payot, 1927, in-8°, 334 pp, édition française avec notes par Georges Roth, préface de Charles Cestre, nombreux textes en annexes (pp. 239-332), broché, couv. illustrée, état correct (Bibliothèque Historique)
En 1893, Woodrow Wilson, futur président des États-Unis (1913-1921), écrit cette biographie de George Washington (1732-1799) alors qu'il n'est encore que professeur d'histoire et de sciences politiques à Princeton. S'intéressant avant tout à l'exemple moral de son héros, vainqueur de Yorktown à l'issue de la guerre d'Indépendance et premier président de la nation américaine, il dépeint un personnage sans faiblesses ni états d'âme, qui s'imposa dans la carrière militaire par sa droiture, une grande dignité et le souci de ses hommes. Glorieux général, homme politique averti, partisan d'un conservatisme tempéré et d'un renforcement du pouvoir fédéral, Washington incarne ce nationalisme américain que Wilson cherche à raviver. Portrait hagiographique, témoignage précieux d'un futur homme d'État.
Penguin Books 1967 1 vol. broché in-8, broché, 345 pp., 102 photographies en noir hors-texte, index. Dos légèrement ridé. Pli dans le coin inférieur de la 4e de couv. Sinon bon état.
Stock, 1970, gr. in-8°, 345 pp, 126 illustrations dans le texte et hors texte, reliure pleine toile citron illustrée de l'éditeur (très lég. salie), bon état
Depuis sa parution en 1898, “l'Art classique” d'Heinrich Wölfflin est devenu un classique mondial de l'histoire de l'art, c'est-à-dire un livre indispensable non seulement pour l'étudiant et le spécialiste, mais aussi pour l'honnête homme. Wölfflin n'ignore rien des travaux des écrivains de l'époque : L.-B. Albert, Léonard de Vinci, Politien, Castiglione, Vasari, etc. Il traite des précurseurs, Gioto, initiateur de la Renaissance italienne, les Pisani, Donatello, etc. Il montre admirablement le génie de Michel-Ange, ce qui caractérise celui de Raphaël, de Fra Bartolommeo, d'Andre del Sarto. Dans la seconde partie, Wölfflin, plus systématique, expose les divers aspects d'un sentiment, d'un idéal, d'une esthétique qui a contribué plus qu'aucune autre à l'enrichissement de l'humanité. Wölfflin a su rendre l'art classique extrêmement vivant et proche de nous. A l'influence de la race, du milieu, de l'époque, du climat, du génie particulier de chacun, il a su ajouter une conception purement optique et plastique de l'art qui font que ce classique est aussi un moderne. (L'Editeur)
New York, W. W. Norton, 1982, in-8°, xvii-364 pp, 71 illustrations, 13 cartes et tableaux, biblio, index, broché, couv. illustrée, bon état (Coll. The Norton History of Modern Europe). Texte en anglais
Club français du livre, 1957, in-8°, 346 pp, 16 illustrations, biblio, tableau chronologique, reliure toile brique décorée de l'éditeur, bon état. Edition originale tirée sur papier offset et numérotée
"La Catherine II d'Olga Wormser (Paris, 1957), inspirée à son auteur, semble-t-il, par la préface de Herzen aux Mémoires de l'impératrice, apportera à ses lecteurs le tableau vigoureux d'une époque et d'une Cour en même temps que le portrait à la fois impitoyable et admiratif de la Despote au pouvoir, oublieuse des philosophes et du libéralisme de sa jeunesse." Revue des Études Slaves, 1957)
Club français du Livre, 1961, in-8°, 301 pp, 8 gravures, biblio, chronologie, reliure toile éditeur, numéroté, bien complet du dépliant volant contenant 2 cartes
Club Français du Livre 1961 1 vol. relié in-8, cartonnage illustré de l'éditeur, 301 pp., bibliographie, carte volante. Exemplaire numéroté. Envoi de l'auteur. Très bon état.
Paris Albin Michel, coll. "L'art dans le monde" 1975 1 vol. relié in-8, cartonnage de l'éditeur, étui illustré, 272 pp., nombreuses illustrations en noir et en couleurs in-texte, index, bibliographie. Très bon état.
Dervy-Livres, 1987, gr. in-8°, 277 pp, 16 pl. de gravures et documents hors texte, index, broché, couv. illustrée à rabats, bon état
"La Philosophie Occulte à l'époque élisabéthaine" explore la philosophie magique secrète qui est une des principales sources d'inspiration de certaines grandes œuvres de l'art et de la littérature de la Renaissance qui constituent une part fondamental de notre héritage culturel. Dans ce livre, en mêlant de façon unique érudition extraordinaire et perspicacité provocatrice, Dame France Yates démontre, alors que nous pensons à la Renaissance comme à un siècle de la raison triomphante, l'importance primordiale de la pensée occulte et mystique pour l'homme de ce temps. Ce courant se reflète à la fois à travers l'analyse des œuvres et de la pensée de personnages particulièrement marquants tels que Spenser, Shakespeare, Dürer, Rembrandt, Pic de la Mirandole, Marlowe, Chapman et l'énigmatique John Dee, mage et magicien d'Astrée, la Reine vierge Élisabeth 1ère d'Angleterre. La kabbale, la philosophie hermétique, l'alchimie et toutes les sciences des mutations, enseignées dans les « écoles de la nuit » de cette période empreinte de magie, en Europe et dans l'Angleterre élisabéthaine, sont ici décrites. Ce livre talisman apporte une aide essentielle à la compréhension de la culture de la Renaissance, de la Réforme et de celle d'aujourd'hui.
Laffont, 1968-1969, 2 vol. in-8°, 383 et 362 pp, traduit de l'anglais, 16 pl. de gravures hors texte, brochés, couv. illustrées à rabats, bon état
Tout a été dit sur les Médicis, mais rien n'a été vraiment raconté, du moins en langue française, du moins avec le talent, la verve, la furie de G.-F. Young. Son livre était le premier et reste le seul à traiter d'une seule venue la chronique des Médicis, depuis leur apparition sur la scène, à l'aube du XIVe siècle, jusqu'à la fin du XVIIe siècle et l'extinction du nom. Chronique familiale d'abord, qui devient vite florentine, puis italienne, puis européenne. Le chef-d'oeuvre de Young, considéré comme un classique, comme l'un des viatiques, avec le Burckhardt, du "pèlerin passionné" en Italie, n'avait pas jusqu'à cette édition été traduit en français.
P., Librairie Georges Baranger, 1930, 2 vol. in-8°, 312 et viii-351 pp, 2e édition, 19 planches hors texte (portraits, armes, monuments, 2 cartes, 3 fac-similés et un tableau généalogique dépliants), table alphabétique, reliures demi-maroquin aubergine, dos à 5 nerfs soulignés à froid, titres et tomaison dorés, têtes dorées (rel. de l'époque), bon état. Bel exemplaire, très bien relié
"Ce livre est aussi intéressant que possible. Il est visible que M. Charles Yriarte a pris beaucoup de plaisir à l’écrire. C’est un grand curieux que M. Charles Yriarte. Son histoire de César Borgia, très étudiée, contient des parties neuves. Je signalerai particulièrement à cet égard les chapitres sur la captivité et la mort du héros, ainsi que quelques pages sur l’épée que César se fit faire en 1498 avec cette devise : Cum Numine Cesaris Omen." (Anatole France, La vie littéraire. Quatrième série) — "... Avec une sérénité singulière, une impartialité évidente, nous devons bien le dire, l'auteur, appuyé pas à pas sur tous les documents connus et sur un grand nombre de témoignages nouveaux, étudie tour à tour Alexandre VI, César, Lucrèce Borgia, reprend un à un les faits qu'on leur a reprochés ; ici les absout, plus loin les condamne, et substitue l'histoire vraie à la légende, sans se demander s'il ne valait pas mieux jeter une ombre discrète sur les arcanes du Vatican au temps des Borgia. Il y a là un effort considérable, les marques d'une persévérance et d'une ténacité singulières, et nous croyons effectivement que la figure de César, cette fois, est dessinée d'une façon définitive." (Le Figaro, Supplément littéraire du dimanche)