Hachette, 1909, in-12, xxvii-288 pp, 16 pl. de gravures hors texte, biblio, dos lég. fendu, envoi a.s.
Art et histoire ~ Le Louvre ~ Versailles ~ Le sentiment de la nature dans les beaux-arts ~ L'art de la mise en scène ~ L'orfévrerie dans ses rapports avec la richesse.
Hachette, 1928, in-12, 317 pp, 336 photographies et dessins dans le texte, 54 planches contenant 322 photographies et dessins, reliure toile verte de l'éditeur, dos orné, titres, médaillon et encadrement dorés au 1er plat, bon état
dans la Revue de Paris, 1931, gr. in-8°, 43 pp, broché, couv. lég. salie
On trouve dans le même numéro des études sur La Société japonaise contre le Bolchevisme, par le Dr A. Legendre (24 pp), Pierre Laval, par Ignotus (14 pp), etc.
Didier, 1973, gr. in-8°, 518 pp, un portrait de Marryat en frontispice, notes, biblio, index, broché, bon état (Coll. Etudes anglaises) (Prix 1972 de l'Académie de Marine)
La littérature anglaise étant riche de grands noms, pourquoi se pencher sur Frederick Marryat ou Captain Marryat – puisque telle est l'appellation la plus communément admise – qui semblerait faire plutôt figure de parent pauvre ? Peut-être bien pour cette raison même, car, à lire ses ouvrages nombreux et variés, le lecteur ne peut s'empêcher de remarquer que la critique mutile l'œuvre de Marryat en ne voulant voir en lui que le Captain ; en effet, Conrad qui tenait absolument à se définir lui-même comme un être amphibie a clairement signalé que les héros de Marryat participent de cette même nature ambivalente et que, dans ses œuvres romanesques, l'intrigue se déroule autant sur terre que sur mer.
Gallimard, 1962, in-8°, 504 pp, notes et références, biblio, broché, bon état (Coll. Bibliothèque des idées)
P., Paul Blondel, 2004, in-8°, 144 pp, préface de Benjamin Stora, 9 pl. en couleurs hors texte (dont 5 cartes anciennes), 7 photos et un fac-similé, broché, couv. illustrée, bon état, envoi a.s.
Pierre Maurice Geissmann, aviateur, fut l'un des premiers à rejoindre le général de Gaulle à Londres. Il vécut la décolonisation du Maghreb et ne cache pas son admiration pour Pierre Mendès France. Il propose ici, sous forme de courts chapitres, une synthèse de l'histoire des relations entre le monde arabo-musulman et la France, donnant son point de vue sur les débats actuels : laïcité, attentats, intégration. — "Pur produit du baby-boom de 1914-1918, Pierre Maurice Geissmann est né à Paris. – 1933 : ses parents viennent habiter Casablanca. Adolescence très politisée, le Front Populaire, la guerre d'Espagne (il était à Tanger). Puis c'est la “drôle de guerre”... descendu en combat aérien, prisonnier... évadé... rejoint en 1941 les FAFL “Squadron II /20 Bretagne”. – 1946 : démobilisé, marié, retour à Casablanca, carrière à l'International, pour de grands groupes industriels français. Fréquente le milieu des “Français libéraux”, “le mouvement Conscience Française” qui pense que l'ère coloniale est révolue ! – 1963 : Conseiller du Commerce Extérieur de la France..." (4e de couverture)
Mansfield Centre, Martino Publishing, 2004, *, xliii-599 pp, Deuxième Edition Economique avec supplément. (texte bilingue italien/français sur 2 colonnes), quelques illustrations, reliure pleine toile d'éditeur (bon état), réimpression de l'édition de Milan, 1
Genève, Slatkine Reprints, 1993, in-8°, xx-547 pp, biblio, index, broché, bon état. Réimpression de l'édition de Paris, Hachette, 1906.
“La légende de Don Juan” apparaît comme une somme qui servira longtemps de référence aux autres travaux et présente l‟intérêt de recenser, dans une perspective historique et diachronique, les différentes versions permettant d'établir un corpus. Ce travail reste la première tentative de synthèse complète autour du personnage et de ses attestations littéraires et c'est à ce titre qu'il doit encore sa postérité. Dès les premières lignes de son avant-propos, l'auteur annonce cette volonté d'exhaustivité : « Je me propose d‟offrir au public une étude complète sur la légende de Don Juan. » Ce travail est, selon lui, aussi ambitieux qu‟inédit puisque « ce n‟est pas la seule question des origines qu‟il faut traiter, c‟est l'histoire complète de la légende. Elle est à faire. » Ce projet n'est pas, néanmoins, exempt de difficulté et, parmi les obstacles, il souligne, notamment, l'étendue colossale du travail puisqu‟il mentionne le problème de « la longueur de l‟ouvrage », mais aussi sa « complexité » et également le fait qu'il nécessite de « se familiariser avec des littératures et avec des langues. » ... (Aurélia Gournay, “Don Juan en France au XXe siècle : réécritures d'un mythe”, 2013)
Genève, Slatkine Reprints, 1970, in-8°, xx-547 pp, biblio, index, reliure toile éditeur, bon état. Réimpression de l'édition de Paris, 1906.
“La légende de Don Juan” apparaît comme une somme qui servira longtemps de référence aux autres travaux et présente l'intérêt de recenser, dans une perspective historique et diachronique, les différentes versions permettant d'établir un corpus. Ce travail reste la première tentative de synthèse complète autour du personnage et de ses attestations littéraires et c'est à ce titre qu'il doit encore sa postérité. Dès les premières lignes de son avant-propos, l'auteur annonce cette volonté d'exhaustivité : « Je me propose d'offrir au public une étude complète sur la légende de Don Juan. » Ce travail est, selon lui, aussi ambitieux qu'inédit puisque « ce n'est pas la seule question des origines qu'il faut traiter, c'est l'histoire complète de la légende. Elle est à faire. » Ce projet n'est pas, néanmoins, exempt de difficulté et, parmi les obstacles, il souligne, notamment, l'étendue colossale du travail puisqu'il mentionne le problème de « la longueur de l'ouvrage », mais aussi sa « complexité » et également le fait qu'il nécessite de « se familiariser avec des littératures et avec des langues. »... (Aurélia Gournay, “Don Juan en France au XXe siècle : réécritures d'un mythe”, 2013)
Hatier, 1968, gr. in-8°, 640 pp, nombreux documents et cartes, cart. éditeur (Coll. d'histoire Hatier)
Hatier, 1946, in-12, 256 pp, broché, bon état (Cours d'histoire Victor-L. Tapié, Classe de Philosophie-Mathématiques)
Résumé Aide-mémoire pour le Baccalauréat.
Baillière, 1970, gr. in-8°, 448 pp, figures et cartes dans le texte, reliure pleine toile de l'éditeur, jaquette illustrée, trace de mouillure ancienne au 2e plat, bon état
Ce dictionnaire rassemble les termes employés communément dans les publications géographiques. Les définitions sont classées par ordre alphabétique.
L'Edition d'Art, H. Piazza, 1931, pt in-8°, 172 pp, bandeaux et lettrines très ornés (ornementation spécialement dessinée par Paul de Pidoll), broché, couv. illustrée, bon état (Coll. Epopées et légendes)
Le Roman de la violette ou de Gérard de Nevers est un roman d'aventure, écrit entre 1227 et 1229 par Gerbert de Montreuil et dédié à Marie, comtesse de Ponthieu. Le roman est bâti sur le pari que fait un chevalier, le comte Lisiard de Forez, de séduire Euriaut, la dame aimée par le comte Gérard de Nevers qui en vante la beauté et la fidélité. Lisiard découvre, en interrogeant une méchante vieille, qu'Euriaut porte depuis la naissance sur son sein une marque, une violette, dont Gérard connaît seul l'existence : il se targue, sur cette preuve, d'avoir gagné son pari. Le roi Louis, à la cour duquel appartiennent les chevaliers, malgré la sympathie qu'il éprouve pour Gérard, est lui-même frappé par le récit de Lisiard. Malgré son innocence Euriaut est déclarée infidèle, et le comté de Nevers, enjeu du pari, devient la propriété du conte Lisiard. Gérard emmène sa dame dans la forêt pour lui trancher la tête mais il est attaqué par un serpent monstrueux... — "Renouvellement fort agréable..." (Mario Roques, Romania, 1932)
PUF, 1977, pt in-8°, 384 pp, biblio, index, broché, couv. illustrée, bon état (Coll. Nouvelle Clio)
"La première partie de l'ouvrage (pp. 7-58) présente les sources, les instruments de travail et des orientations bibliographiques. La deuxième partie (pp. 59-243) résume nos connaissances sur la question. La synthèse est claire et bien charpentée. Après avoir décrit les conditions de l'évolution culturelle (les héritages, les influences économiques, sociales et politiques, les relais culturels, les modes d'information), l'auteur analyse l'impérialisme des cultures savantes de 1815 à 1914 et l'avènement de la culture de masse au XXe s. Il examine ensuite la vie religieuse sous ses différentes formes : catholicisme, protestantisme. Église orthodoxe, communautés israélites et Islam... La troisième partie, consacrée à un exposé des débats et recherches (pp. 245-351) est excellente. L'auteur décrit d'abord l'émergence tardive de l'histoire culturelle et les héritages de l'histoire religieuse. Ensuite, prenant du champ par rapport aux tendances et querelles du temps présent, il situe avec justesse l'historiographie actuelle entre la tradition positiviste et historiciste. les sollicitations et fascinations idéologiques (marxisme, structuralisme) et les démarches méthodologiques nouvelles (intrusion du quantitatif, analyse linguistique, références psychologiques et psychanalytiques)." (Jean Pirotte, Revue belge de philologie et d'histoire)
P., Librairie Joseph Gibert, 1945, in-12, 415 pp, index, broché, bon état
Par Louis Germain-Martin (1872-1948), chartiste spécialiste d'histoire et d'économie financière ou industrielle. — "... Il est l'auteur de deux beaux volumes, devenus classiques, sur “La grande industrie en France sous Louis XIV et sous Louis XV”, jalonnée par son “Histoire économique et financière”, formant le t. X de l'Histoire de la Nation française par Hanotaux, de multiples opuscules, de rapports et de très nombreux articles semés à travers les journaux et les revues, terminée, enfin, par ces derniers ouvrages : “De la civilisation latine à la dictature asiatique” ; “Le chef d'entreprise” ; “Les grands messieurs qui firent la France”, dénotant particulièrement un sens très vif de l'actualité et des besoins de son temps, constamment appuyé sur la référence judicieuse au passé d'une France qu'il chérissait et à la prospérité de laquelle il s'est constamment efforcé de travailler. Il avait, nous le savons, la noble ambition de pouvoir être classé parmi les émules de ces « grands messieurs », de ces « commis d'élite », serviteurs fidèles et clairvoyants de leur pays, dont il s'était appliqué, en des jours sombres, avec tant d'amour et de foi patriotiques, à rechercher les traits dans l'histoire et à camper les personnages." (Roger Grand, Bibliothèque de l'école des chartes, 1948)
P., Librairie Gründ, 1940, 2 vol. gr. in-8°, un volume de texte (76 pp, une carte) et un volume de planches (chemise rempliée contenant 74 planches illustrées en couleurs par P. A. Leroux), réunis dans une chemise cartonnée à lacets, dos toilé (lég. piqué) avec pièce de titre, 1er plat illustré en couleurs, bon état. Complet
P., Olivier Perrin, 1967, in-8°, xv-288 pp, traduit de l'américain, 32 pl. de gravures hors texte, broché, couv. illustrée, bon état (Coll. Art, théatre et métier)
"Comment dans l'histoire, la femme, malgré l'ancestrale interdiction, malgré l'excommunication et sa condition inférieure, a conquis la place qu'elle méritait sur la scène. Le roman de ces femmes, dont les caractères sont si différents, n'oublie pas le contexte social, le climat artistique, enfin l'époque qui justifie leur succès ou leur misère." (4e de couverture)
P., Éditions Bernard Klein, 1965, in-folio, 131 pp, préface inédite de Jean Lurçat, avant-propos de Jean Giono, en feuillets, avec 15 lithographies originales en couleurs de Jean Lurçat dont 3 sur double page, sous couverture imprimée rempliée beige, plus 4 lithographies originales signées par Jean Lurçat dans une chemise cartonnée toilée rouille ; l'ensemble sous emboîtage cartonné toilé rouille doublé de feutrine noire de l'éditeur, dos titré et signature des auteurs estampée au plat supérieur, bon état. Édition originale
Édition originale illustrée de lithographies originales de Jean Lurçat tirées sur les presses de José Berto et mises en couleur (procédé manuel) par Daniel Jacomet, sous le contrôle de l'artiste : soit 3 hors texte à double page, 11 hors texte à pleine page, la page de titre et quelques in-texte. L'exemplaire est complet de la chemise contenant les quatre lithographies originales à double page supplémentaires rehaussées et signées au crayon par l'artiste. Tirage limité à 250 exemplaires numérotés et quelques H.C., celui-ci un des 150 ex. sur vélin d Arches (n° 179), signé par l'auteur et l'artiste sur l'achevé d'imprimer.
Plon 1955, in-8 broché, 336 p. (plats de couverture et dos légèrement défraîchis, sinon bon exemplaire partiellement non coupé) Edition originale tirée à 50 exemplaires numérotés sur alfa ; bibliographie. Préfacée par André Siegfried, une profonde réflexion, fort utile à qui veut étudier l'histoire sociale française ; ingénieur et fondateur de la Société Française Radioélectrique qui fut à l'origine du radar, l'auteur critique les durs principes du marxisme et leur préfère les principes humanistes du christianisme.
La Table Ronde, 1972, in-8°, xi-332 pp, broché, bon état. Edition originale
L'idée coloniale a tenu trop de place et pendant trop longtemps dans l'esprit des Français pour que son histoire les laisse aujourd'hui indifférents. Comment s'est développée en France, après 1870, une volonté cohérente d'expansion coloniale ? Comment s'est-elle affirmée ? Autour de quels thèmes la vision impériale française s'est-elle progressivement définie ? A quelles résistances s'est-elle heurtée ? Quelle place le fait et le débat colonial ont-ils eu, en définitive, dans la conscience nationale française ? C'est à ces questions, presque jamais abordées, que Raoul Girardet répond dans ce livre d'histoire des mentalités, des sentiments et des croyances qui est aussi le roman d'une idée. — "R. Girardet nous donne un livre d'une importance et d'une nouveauté exceptionnelles. Importance, en raison du sujet : depuis que le souffle de la décolonisation est passé sur l'Europe, l'étude des impérialismes coloniaux est étrangement peu dans le vent. En ce qui concerne la France, seule la brillante étude de M. H. Brunschwig, 'Mythes et réalités de l'impérialisme colonial français' avait posé, il y a plus de dix ans, les premiers jalons. Encore l'auteur abordait-il son sujet dans une perspective purement économique : or le phénomène de la colonisation a touché de trop près l'opinion publique et la conscience collective pour que l'historien puisse se passer de ces indicateurs sensibles. (...) Il n'est peut-être pas inutile de rappeler, pour finir, que l'auteur de cette étude s'est trouvé mêlé de près aux épisodes les plus douloureux de la guerre d'Algérie. Son effort impartial, non seulement pour comprendre le passé à la lumière du présent, mais pour expliquer le présent à la lumière du passé, constituait sans doute la gageure la plus difficile qu'il eût à tenir : se faire l'historien de sa propre passion. Là encore, il a pleinement réussi. Ce n'est pas son moindre mérite. Et c'est aussi l'intérêt de l'histoire des idées, de rendre possible, par la profondeur des perspectives qu'elle embrasse, une telle hauteur de vue." (Alain-Gérard Slama, Revue française de science politique, 1972)
Seuil, 1986, in-8°, 211 pp, notes et références, index, broché, couv. illustrée, bon état. Edition originale
C'est par l'examen de ses rêves qu'une société révèle le plus sûrement ses désordres et ses souffrances. Essai d'exploration de l'imaginaire politique à travers les deux derniers siècles de notre histoire, le livre de Raoul Girardet montre comment les grands moments d'effervescence mythologique ont toujours correspondu à des phénomènes de crise, de mutation ou de rupture. C'est autour de l'étude de quatre "grands ensemble" politico-mythologiques que s'organise l'ouvrage : la Conspiration, le Sauveur, l'Age d'or et l'Unité. S'inspirant des leçons de Bacherlard et de Lévi-Strauss, il en décrit les thèmes et en analyse les stuctures. Mais il s'efforce aussi d'apporter un élément nouveau d'interprétation et de compréhension en les replaçant dans le cadre de l'histoire générale d'une société et d'une culture. C'est en fait à une nouvelle lecture de l'histoire idéologique de la France contemporaine que l'ouvrage de Raoul Girardet nous invite. — "Sur quatre motifs – la Conspiration, le Sauveur, l'Age d'or, l'Unité – quatre essais incisifs et sensibles pour traverser l'imaginaire politique de la France contemporaine. Un beau livre fondé sur un vaste savoir accumulé, épuré, maîtrisé." (Annales ESC, 1986)
Grasset, 1979, gr. in-8°, 492 pp, notes, biblio, broché, jaquette illustrée, qqs rares soulignures crayon, bon état
"... La « monarchie » est ainsi analysée, dans “La Violence et le sacré” puis dans les “Choses cachées depuis la fondation du monde”, sous l’angle des « monarchies sacrées » ou sacrificielles, qui, selon Girard, disent la vérité de l’institution royale bien plus clairement encore que les monarchies modernes. Le roi est en effet, aux yeux de Girard, une figure exemplaire de la « victime émissaire », c’est-à-dire de l’individu autour duquel se fait l’unité du groupe social : « l’esprit de la royauté, c’est la réconciliation unanime jadis spontanément réalisée contre une victime que le nouveau roi est appelé à remplacer »..." (Ramond Charles et Stéphane Vinolo, Cités 1/2013)
Gallimard, 1951, in-12, 249 pp, broché, non coupé, bon état (Coll. Blanche). Edition originale (22 janvier 1951), ex. du SP, prière d'insérer joint
Dès 1934, Giraudoux se préoccupait de la position de la femme dans la société française. C'est de 1934, en effet, que date le premier chapitre de cet essai, et on admirera la justesse de vues et la compréhension de données du monde moderne de celui qui, plus tard, devait être, comme Commissaire général, le premier chef de l'Information française. Giraudoux croit à « la possibilité d'une relève provisoire du Français par la Française, relève indispensable ». Tous les aspects du rôle que la femme est appelée à jouer en France, tous les postes auxquels elle a eu un accès par la suite, Giraudoux les décrit ou les prévoit avec la pénétration qu'on lui connaît. À chaque instant on retrouve un Giraudoux familier qui, ayant l'air d'effleurer les problèmes, les approfondit de façon à la fois brillante et pénétrante. Dans le dernier chapitre, écrit en 1940, pendant la drôle de guerre, Giraudoux décrit le monde de la machine, de la politique et de la violence avec un vérité dont le ton s'élève malgré l'élégance et l'ironie subtile, à la vision et à la prophétie. — En réussissant le concours d’admission dans les carrières diplomatiques et consulaires en 1930, Suzanne Borel (future épouse de Georges Bidault) ouvre une porte permettant l’entrée des femmes au Quai d’Orsay, mais elle ne peut guère aller plus loin. Giraudoux raconte comment et pourquoi Suzanne Borel (« Mlle X… » sous sa plume) se vit interdire les postes extérieurs...
Droguet et Ardant, 1991, pt in-8°, 346 pp, broché, bon état (Coll. Références)
Excellent et surtout clair résumé de la doctrine et des ramifications de ces mouvements religieux. — "... Trois grandes sections sont consacrées aux traditions que R.C. Zaehner donnait comme exemples de « religions mystiques » et qu'il distinguait de « religions révélées » telles que le judaïsme, l'islam ou le zoroastrisme. À chaque fois sont proposés une esquisse de l'histoire et des doctrines, des informations sur les situations contemporaines, des repères pour une approche chrétienne. Une quatrième section rappelle les positions de l'Église catholique sur le dialogue interreligieux et les grands axes de la recherche théologique depuis Vatican II. Une annexe signale les implantations, en France, de l'hindouisme et du bouddhisme. L'ouvrage est clair et vivant." (Jacques Scheuer, Revue théologique de Louvain, 1994)