P., Larousse et Boyer, s.d. (1862), gr. in-8°, xxiv-696 pp, 7 planches photographiques hors texte, reliure demi-chagrin vert, dos à 5 nerfs soulignés à froid, titres et fleurons dorés (rel. de l'époque), coins lég. émoussés, rousseurs éparses, bon état
Edition originale, ornée de 7 photographies originales collées sur papier fort, reproduisant des tableaux célèbres, elles viennent illustrer certains des propos de l'auteur. L'ouvrage était également mis en vente sans les photographies. (Vicaire V-57).
P., Duchartre et van Buggenhoudt, 1930, 2 vol. in-4°, (6)-284 et 412 pp, 512 gravures dans le texte, 40 planches hors texte, dont 8 en couleurs, brochés, couv. illustrées rempliées défraîchies, déchirure sans manque au 1er plat du tome II, intérieurs propres, état correct
"Une histoire de la marine bien illustrée depuis les origines." (Paul-Marie Duval)
Editions de France, 1925, in-12, 349 pp, jolie reliure demi-chagrin carmin avec dos à 6 faux-nerfs filetés et soulignés à froid (2 autour du titre et 4 groupés ensemble plus bas), titres et filets dorés, filet à froid sur les plats (rel. de l'époque), bon état
"Il existe des auteurs oubliés par le temps dont la biographie est introuvable. Nous ne savons pas grand chose de René Milan dit Maurice Larrouy (1882-1932), sauf qu'il a débuté dans la marine marchande ; lieutenant au long cours, il rejoint la Marine nationale pendant la guerre 14-18 et termine sa carrière militaire comme capitaine de corvette. (...) Le livre qui va le faire connaître est “L'Odyssée d'un transport torpillé” qui obtient le prix Fémina 1917. (...) Loïc du Rostu remarque « Les livres de Larrouy sont agréables à lire et bien écrits ; le seul reproche qui peut lui être fait c'est d'avoir voulu traiter tous les sujets maritimes, même ceux qu'il connaissait mal... »" (René Moniot Beaumont, Histoire de la littérature maritime, 2008)
Editions de France, 1929, in-12, v-248 pp, jolie reliure demi-chagrin carmin avec dos à 6 faux-nerfs filetés et soulignés à froid (2 autour du titre et 4 groupés ensemble plus bas), titres et filets dorés, filet à froid sur les plats (rel. de l'époque), bon état
Villeneuve d'Ascq, Musée d'art moderne ; Milano, Mazzotta, 2010, in-4°, 246 pp, très nombreuses illustrations en noir et en couleurs, biographie, biblio, liste des oeuvres, broché, couv. illustrée, bon état
Une lecture de l'oeuvre de Fernand Léger dans son contexte avant-gardiste. — "La rétrospective de Villeneuve-d'Ascq, organisée dans la foulée d’une exposition Léger à Milan (Hélène Lassalle est le commissaire commun aux deux expositions), donne une idée très juste de la multiplicité des recherches de l'artiste, en particulier dans l'entre-deux-guerres, et sur sa façon d'associer volumes et plans, couleurs et lignes contrastées ; de jouer à l'intérieur de compositions riches et complexes sur des formes lourdes et légères, oblongues et angulaires ; de traiter la femme allongée sur un canapé comme un grand remorqueur, et le remorqueur comme un patchwork... Catalogue très conséquent publié par Mazzotta." (Geneviève Breerette, Le Monde, 14 mars 1990)
Armand Colin, 1951, gr. in-8°, xvi-305 pp, préface de Raymond Aron, broché, bon état (Cahiers de la Fondation nationale des sciences politiques, 19)
Nombreuses et importantes contributions. — Table : I. Harold D. Lasswell, Les sciences de la politique aux États-Unis ; II. Ernest R. Hilgard et Daniel Lerner, La personne humaine, sujet et objet des sciences sociales ; III. Edward, A. Shils, L’étude du groupe élémentaire ; IV. Margaret Mead, L’étude du caractère national ; V. Clyde Kluckhohn, Le concept de culture ; VI. Rensis Likert, La méthode d’enquête par interview d’un échantillon de population ; VII. Alex Bavelas, Réseaux de communications au sein de groupes placés dans des conditions expérimentales de travail ; VIII. Kenneth J. Arrow, Utilisation des modèles mathématiques dans les sciences sociales ; IX. R.K. Merton et D. Lerner, Le “social scientist” en Amérique. — "Il existe aux Etats-Unis une catégorie de travailleurs intellectuels, qui n'a pas d'équivalent en France : les « social scientists ». Ce terme intraduisible désigne les chercheurs qui se consacrent aux sciences humaines, lesquelles englobent à la fois l'économie, la psychologie, la biologie, l'ethnologie, la sociologie, etc.. L'originalité de ces chercheurs tient au fait que leurs investigations ou leurs expériences sont toujours orientées dans une certaine mesure vers l'action. On s'adresse à eux pour « résoudre » des problèmes pratiques où se trouve impliquée l'action réciproque de « l'homme sur le milieu et du milieu sur l'homme », ce qui peut aller des problèmes de l'organisation du travail, de la psychologie industrielle, des conflits sociaux aux questions les plus diverses qui se posent à la conscience collective. Le « social scientist » formule implicitement trois désirs qu'il ne considère pas comme incompatibles : « être un homme de science au même titre que les savants des sciences physiques et biologiques, rendre des services techniques et jouer un rôle significatif dans l'élaboration des programmes d'action». Le livre comporte de longs développements sur les techniques, où les chercheurs français peuvent puiser une abondante documentation. M. Aron observe dans sa préface que les « sociologues américains reconnaissent les tensions entre catégories sociales, non les luttes entre classes, parce qu'effectivement la société américaine est riche de celles-là et, jusqu'à présent, relativement pauvre de celles-ci »..." (Alain Gérard, Population, 1951)
P., SPES, 1962, fort in-8°, 693 pp, broché, jaquette illustrée, bon état
Tome III seul (sur 3) : De la fin de l'Ancien Régime à 1958. — "Le troisième et dernier tome de la monumentale Histoire du catholicisme en France dont André Latreille a conçu le plan et écrit lui-même presque toute la partie contemporaine, à l'exception des ultimes chapitres confiés à René Rémond, pourrait porter en sous-titre "les Illusions perdues". Toute une série de drames douloureux et plus rarement d'heureuses surprises sont nés en effet de la méconnaissance du réel, soit entre la France et Rome, soit à l'intérieur de notre pays entre croyants et incroyants, durant ces deux siècles dont l'histoire religieuse est ici abordée avec une telle largeur de vues, un tel souci d'équité, que la science historique en offre peu d'exemples sur des sujets aussi brûlants. Illusion d'avoir pensé que le philosophisme du dix-huitième siècle avait profondément entamé la foi du peuple des villes et des campagnes ; illusion des évêques gallicans d'avoir cru que Pie VI pourrait jamais accepter, même avec certains tempéraments, la constitution civile du clergé, ou Grégoire XVI le libéralisme en quoi Lamennais et ses amis voyaient un moyen de renforcer l'action de l'Église sur les âmes ; double équivoque encore au début de 1848 d'avoir supposé que les timides réformes de Pie IX présageaient son ralliement à l'idée de l'indépendance italienne sous forme de confédération ou a fortiori d'État unitaire, et, en France, que l'euphorie de février amènerait une compréhension profonde des aspirations de la classe ouvrière de la part de la bourgeoisie catholique et du clergé ; lorsque à la fin du Second Empire l'athéisme et le scientisme des milieux intellectuels semblent avoir définitivement triomphé de l'inquiétude religieuse, que le Syllabus a braqué centre Rome tous les libres penseurs et que cette fois de larges couches populaires se détachent de l'Église ; erreur aussi chez les républicains et les socialistes oui tiendront solidement les majorités parlementaires après le bref interrègne d'une Assemblée nationale monarchiste d'avoir escompté le discrédit définitif des dogmes et le triomphe durable du positivisme. Refus d'autoriser la survie des congrégations, rupture des relations diplomatiques avec le Vatican, abandon du concordat, spoliation des biens ecclésiastiques : autant de succès du radicalisme et du combisme dont on voit aujourd'hui le caractère éphémère..." (Maurice Vaussard, Le Monde, 21 juin 1962)
L'AULNOIT (Béatrix de) et Philippe ALEXANDRE.
Reference : 121003
(2010)
ISBN : 9782213655192
Fayard, 2010, in-8°, 341 pp, illustrations de Marie Jaffredo, broché, couv. illustrée à rabats, bon état
Les virtuoses de la gastronomie ont fait davantage pour la gloire de la France que les maréchaux de Napoléon. Ils ont mis à genoux les tsars de Russie, les rois d’Angleterre et les milliardaires américains. Leur histoire est comme l’envers de la nôtre. Aux guerres, aux famines, aux révoltes répondent le bonheur, les splendeurs et les saveurs. Pourquoi la France est-elle le paradis de la table ? Grâce à son terroir d’une opulence incomparable. Dès la Renaissance, chaque région a sa spécialité, source de fierté, de rentabilité. Les coquilles Saint-Jacques viennent d’Erquy, les poulardes du Mans, les terrines de Nérac, les anchois de Collioure, les asperges d’Argenteuil, le brie de Meaux. Sans compter Champagne et grands crus. Cette histoire de richesses et de voluptés commence avec les moines qui déchiffrent les traités de cuisine du Romain Apicius. Rois et princes rivalisent de fastes. Le Régent impose la fourchette. Les petits soupers du XVIIIe siècle participent au génie des Lumières. La révolution met à la rue rôtisseurs et pâtissiers au service de la noblesse. Ils créent au Palais-Royal les premiers grands restaurants, ancêtres de ceux que le monde nous envie. “Des fourchettes dans les étoiles” part à la rencontre de Vatel, notre premier maître d’hôtel ; Parmentier qui lance la pomme de terre ; Carême, inventeur du vol-au-vent, des petits fours et de la toque ; la Mère Brazier, première femme à avoir décroché trois étoiles au guide rouge ; Guérard avec la nouvelle cuisine sans oublier ces jeunes Top Chef qui rêvent d’être consacrés par la télévision. Cette « Brève histoire de la gastronomie française » dresse le menu détaillé de notre patrimoine unique au monde.
Lausanne, Editions Rencontre, 1965, pt in-8°, 550 pp, sources publiées, sources non publiées, reliure simili-cuir éditeur, bon état
"Sur la période 1914-1945, J. de L. a réuni les interprétations d'une soixantaine de points d'histoire controversés, données par un millier d'ouvrages préalablement sélectionnés, puis les a reportées sur des cartes perforées I.B.M. Les témoignages originaux « dégagés » ainsi ont été « critiqués selon les techniques traditionnelles »..." (Revue française de science politique, 1965) — "L'auteur a passé au crible les mille ouvrages essentiels qui ont traité de la période de 1914 à 1945, et il nous offre ici une étude originale, approfondie et objective des grandes controverses de l’histoire contemporaine. Pour lecteurs cultivés." (Lectures, février 1965)
P., J.-B. Baillière et Fils, 1896, in-12, 382 pp, 80 figures dans le texte, reliure percaline sable imprimée de l'éditeur, titres en noir au 1er plat et au dos, bon état (Coll. Encyclopédie de chimie industrielle)
Propriétés physiques et chimiques (Dosage) ; Géologie (Minerais - Gisements) ; Métallurgie (Procédés de voie sèche, d'amalgamation et de lixiviation) ; Elaboration (Alliages - Frappe des monnaies) ; Orfèvrerie, argenture ; Rôle économique (Commerce - Statistique - Avenir).
P., C. Naud, 1905, in-8°, xii-167 pp, 27 gravures dont 13 à pleine page, imprimé sur beau papier, broché, bon état
Ouvrage dans lequel l'auteur (1856-1914), médecin anatomiste et histologiste, a réuni une série d'intéressantes études historiques, notamment sur Leuwenhoek, Malpighi, Ruysch, Harvey, De Graaf, Buffon, Spallanzani et Bichat : 1. Les origines du microscope. Leeuwenhoek ; 2. Les origines de l'histologie. Malpighi, Ruysch ; 3. Histoire des spermatozoïdes ; 4. Les doctrines des Anciens sur la génération ; 5. Evolution des recherches sur la génération. Harvey, de Graaf, les ovistes et les spermatistes, Buffon, Spallanzani ; 6. Xavier Bichat, son influence sur les sciences biologiques ; 7. Histoire de la cytologie. — Pierre-Emile Launois est également l'auteur d'importants travaux sur le gigantisme et l'acromégalie ; il décrivit le gigantisme hypophysaire (syndrome de Launois).
Editions du Toucan, 2011, in-4°, 175 pp, très nombreuses reproductions en noir et en couleurs, dans le texte et à pleine page, reliure illustrée de l'éditeur, bon état
Pourquoi les femmes font-elles peur aux hommes ? Loin d'incarner les seules valeurs de douceur, d'amour, d'angélisme, de générosité, la femme est d'abord, dans l'imaginaire collectif, une créature mystérieuse et inquiétante, «tout entière taboue», disait Freud. Elle perturbe, effraie, bouleverse, à la fois menaçante et désirable, agressive et rassurante. Dénoncée comme fatale, poursuivie comme sorcière, porteuse de déchéance et de mort, elle incarne aussi, par sa beauté, sa séduction et sa capacité d'enfanter, une formidable puissance symbolique, un monstre impossible à vaincre sans mourir soi-même. Mythes et religions ont transmis l'image d'un être démoniaque, d'une pécheresse animale et lubrique. Les arts, notamment la littérature et la peinture, matérialisent ces représentations souvent inconscientes, dont les formes ont évolué dans le temps sans que le noyau d'effroi en ait été vraiment dissous : peintres, plasticiens, écrivains, photographes nous donnent à voir l'irreprésentable. Partant de cette question toujours actuelle, Camille Laurens est allée à la recherche des représentations féminines à travers les oeuvres d'art et ses souvenirs de lecture. L'ouvrage se propose d'enquêter parmi ces multiples images, figures réelles ou fantasmées, afin de mieux comprendre, au fil des siècles et des oeuvres, les ressorts profonds d'une angoisse à la fois archaïque et universelle.
Balland, 1973, gr. in-8°, 503 pp, biblio, broché, couv. à rabats, bon état
"Dès avant le dernier conflit mondial et sans épargner nos États dits « de droit », la pratique de la torture n'a cessé de regagner le terrain qu'elle avait cédé à la fin du XVIIIe siècle. On la voit s'insinuer à nouveau dans les moeurs judiciaires et politiques, d'abord clandestine et honteuse, de plus en plus avouée ensuite, voire légitimée face à un public peu informé ... Exercice sadique d'une violence physique de l'homme tenant son semblable à sa merci ? Très souvent, sans doute. Mais avant tout, perpétuelle tentation du policier à la recherche du renseignement immédiat, du magistrat dans sa quête d'une vérité confirmée par l'aveu, de Pouvoirs qui y voient une façon de briser les oppositions par la terreur qu'elle inspire. (...) Les quelque cinq cents pages que nous livrent aujourd'hui MM. J.C. Lauret et R. Lasierra se veulent davantage exhaustives. Tentant d'abord de cerner la signification de la torture à travers la psychologie de l'homme, du gouvernement, du juge, du policier, les auteurs s'attachent ensuite à retracer l'histoire de l'institution à Rome, au Moyen Âge et dans l'Ancien Régime, puis à dégager les liens existant d'une part entre la torture et les régimes totalitaires (Allemagne nazie, Russie soviétique ...), d'autre part entre la torture et les États du tiers monde et d'Occident dans leur lutte contre la subversion et la délinquance. L'épisode de l'épuration en France en 1944-45 sera notamment évoquée comme une extériorisation particulièrement consternante de pulsions sadiques, déjà mise en lumière par Robert Aron, tandis que seront décrits, non sans réalisme, les paroxysmes insoutenables de la torture brésilienne, au service cette fois de l'efficacité technocratique et du « miracle économique »..." (Jacques Verhaegen, Revue théologique de Louvain, 1974)
Copenhagen, 1968, in-8°, 274 pp, nombreuses figures et gravures dans le texte, 32 pl. de photos hors texte, 5 cartes, index, reliure toile rouge éditeur, sans la jaquette
P., Recherches n° 35, 1978, in-8°, 299 pp, qqs illustrations, broché, couv. illustrée, bon état
Des masculinités, ils et elles parlent. Des leurs, des autres. Les figures de la mascarade sociale s’y retrouvent, la Féministe, le Phallocrate, le Pervers, l’Homme-ami-des-femmes, mais biseautées, parce que nous savons aussi que ces pantomimes sont des façons de parler, dont chacun joue selon ses propres besoins.Juxtaposition de prises de position et de témoignages, Masculinités se lit comme un texte suivi à voix multiples, marquées du sceau de l’amour de l’écriture, détournant le programme du « demain tu seras un homme, mon fils », et débusquant hypocrisie du « J’étais macho mais ça ne va pas durer ». Cette entreprise s’est hasardée à travers le tissu de l’expérience, le tout-venant de la vie, les bistrots, l’amour, les enfants, la violence, les pères, les mères, le travail, les femmes, les hommes, le couple, le corps, la cour de récréation, sans gloriole et sans regret. Creuser et aviver la différence des sexes. Il n’y a pas de secrets, plutôt de la méconnaissance.
P., G. Charpentier et Cie, 1880-1884 6 vol. in-12, rel. de l'époque demi-basane marron, dos à 5 nerfs, double filet doré sur les plats, titre et tomaison doré, tête dorée ; 520, 556, 604, 601, 603 et 571 pp.
Dos éclaircis, des rousseurs, sinon bel ex. relié. - Frais de port : -France 8,45 € -U.E. 13 € -Monde (z B : 23 €) (z C : 43 €)
Flammarion, 1952, in-8°, 347 pp, 170 croquis techniques de l'auteur dans le texte et 16 pl. de photos hors texte, broché, jaquette illustrée défraîchie, bon état
"La Navigation sentimentale résume à elle seule l’autre passion de La Varende : la mer. Cette histoire de la navigation, « un travail titanesque », est dédiée à tous les marins de sa famille, depuis le maréchal de Tourville jusqu’à son père le lieutenant de vaisseau Mallard de La Varende, en passant par l’amiral Fleuriot de Langle, son grand-père, et bien sûr tous les baillis et commandeurs de l’ordre de Malte de la famille, Laval-Montmorency, Cintray, Bonneville-Chamblac, Mallard. Ce livre-là, on le garde, on ne le vend pas, ou on le cherche." (Bertrand Galimard Flavigny)
P., pour Les Amis de La Varende, 1975, pt in-8° étroit, 55 pp, en feuilles, broché, couverture rempliée, bon état. Edition originale hors commerce réservée aux Amis de La Varende, un des 625 ex. sur vergé Romana (d'un tirage total de de 693 ex.)
PUF, 1944, pt in-8°, xi-583 pp, biblio, index, reliure pleine toile verte, bon état (Coll. Clio)
"... Un volume de la Collection Clio consacré à l'histoire de l'Art : moyen âge et temps modernes. Des Catacombes à Picasso, rien de moins ! Un lourd, un écrasant fardeau à supporter. Il faut féliciter cet homme de son courage : il s'agit de M. Pierre Lavedan. Il est évident qu'il y a des manques, des trous, des lacunes, des oublis et le lot obligé des menues erreurs de fait ou de date dans un tel ouvrage. Comment en irait-il autrement ? Mais la seule question qu'il faille se poser, c'est : l'ouvrage est-il utile ? Il l'est incontestablement. On n'avait à sa disposition, jusqu'à présent, que les bibliographies de l'André Michel, d'un maniement peu commode relativement, et qui datent déjà. Or, la Collection Clio ne donne pas seulement des bibliographies : elle attire l'attention des lecteurs sur les problèmes en cours – et ce petit volume, de maniement commode, sera très consulté. (...) Je répète que ce volume est le bienvenu et qu'il faut féliciter son auteur d'une intrépidité et d'une allégresse à porter les fardeaux qui sont toujours chose réconfortante." (Lucien Febvre, Annales ESC, 1947)
PUF, 1950, pt in-8°, xi-583 pp, biblio, index, broché, état correct (Coll. Clio)
"... Un volume de la Collection Clio consacré à l'histoire de l'Art : moyen âge et temps modernes. Des Catacombes à Picasso, rien de moins ! Un lourd, un écrasant fardeau à supporter. Il faut féliciter cet homme de son courage : il s'agit de M. Pierre Lavedan. Il est évident qu'il y a des manques, des trous, des lacunes, des oublis et le lot obligé des menues erreurs de fait ou de date dans un tel ouvrage. Comment en irait-il autrement ? Mais la seule question qu'il faille se poser, c'est : l'ouvrage est-il utile ? Il l'est incontestablement. On n'avait à sa disposition, jusqu'à présent, que les bibliographies de l'André Michel, d'un maniement peu commode relativement, et qui datent déjà. Or, la Collection Clio ne donne pas seulement des bibliographies : elle attire l'attention des lecteurs sur les problèmes en cours – et ce petit volume, de maniement commode, sera très consulté. (...) Je répète que ce volume est le bienvenu et qu'il faut féliciter son auteur d'une intrépidité et d'une allégresse à porter les fardeaux qui sont toujours chose réconfortante." (Lucien Febvre, Annales ESC, 1947)
PUF, 1944, pt in-8°, xi-583 pp, biblio, index, broché, bon état (Coll. Clio)
"... Un volume de la Collection Clio consacré à l'histoire de l'Art : moyen âge et temps modernes. Des Catacombes à Picasso, rien de moins ! Un lourd, un écrasant fardeau à supporter. Il faut féliciter cet homme de son courage : il s'agit de M. Pierre Lavedan. Il est évident qu'il y a des manques, des trous, des lacunes, des oublis et le lot obligé des menues erreurs de fait ou de date dans un tel ouvrage. Comment en irait-il autrement ? Mais la seule question qu'il faille se poser, c'est : l'ouvrage est-il utile ? Il l'est incontestablement. On n'avait à sa disposition, jusqu'à présent, que les bibliographies de l'André Michel, d'un maniement peu commode relativement, et qui datent déjà. Or, la Collection Clio ne donne pas seulement des bibliographies : elle attire l'attention des lecteurs sur les problèmes en cours – et ce petit volume, de maniement commode, sera très consulté. (...) Je répète que ce volume est le bienvenu et qu'il faut féliciter son auteur d'une intrépidité et d'une allégresse à porter les fardeaux qui sont toujours chose réconfortante." (Lucien Febvre, Annales ESC, 1947)
André Barry, 1963, in-8°, 51 pp, 35 photos et documents (Coll. Monographies des châteaux de France)
Hachette, 1900-1910, 17 vol. pt in-4°, chaque volume comprend de 380 à 484 pp, reliures demi-basane verte, dos à 4 nerfs soulignés à froid, titres, sous-titres et fleurons dorés (rel. de l'époque), qqs rares rousseurs, bon état. Bel exemplaire
Chaque volume de ce classique inégalé traite d'une période de l'Histoire de France et est rédigé par un (ou plusieurs) éminent(s) spécialiste(s). Les plus grands historiens de l'époque ont participé à la rédaction de cette somme. Manque le volume de tables. — "Pourquoi lire aujourd'hui les volumes de l'Histoire de France d'Ernest Lavisse ? Parce que ce monument est l'expression indépassable d'un grand moment historique et national, au croisement d'une histoire en train de se faire scientifique et d'une République en train de se faire définitive, du début du XXe siècle (1900) au lendemain de la guerre (1922). Un miroir de réfraction, le socle d'un édifice en partie détruit, en partie indestructible et dans lequel nous vivons encore, un roman qui nous permet une meilleure compréhension de ce que nous sommes par le récit de ce que nous ne sommes plus." (Pierre Nora de l'Académie française) — Détail : I.1. Tableau de la géographie de la France. Par P. Vidal de la Blache, 64 cartes et figures dont une grande carte dépliante en couleurs – I.2. Les origines. La Gaule indépendante et la Gaule romaine. Par G. Bloch – II.1. Le christianisme, les barbares, Mérovingiens et Carolingiens. Par Ch. Bayet, Ch. Pfister et A. Kleinclausz – II.2. Les Premiers Capétiens (987-1137). Par A. Luchaire – III.1. Louis VII, Philippe-Auguste, Louis VIII (1137-1226). Par A. Luchaire – III.2. Saint Louis, Philippe le Bel, les derniers Capétiens directs (1226-1328). Par Ch.-V. Langlois – IV.1. Les premiers Valois et la guerre de Cent ans (1328-1422). Par A. Coville – IV.2. Charles VII, Louis XI et les premières années de Charles VIII (1422-1492). Par Ch. Petit-Dutaillis – V.1. Les guerres d'Italie, la France sous Charles VIII, Louis XII et François Ier (1492-1547). Par H. Lemonnier – V.2. La lutte contre la maison d'Autriche. La France sous Henri II. Par H. Lemonnier – VI.1. La Réforme et la Ligue. L'Édit de Nantes (1559-1598). Par J. H. Mariéjol – VI.2. Henri IV et Louis XIII (1598-1643). Par J. H. Mariéjol – VII.1 et VII.2. Louis XIV (1643-1685). Par E. Lavisse – VIII.1. Louis XIV. La fin du règne (1685-1715). Par A. de Saint-Léger, A. Rébelliau, P. Sagnac et E. Lavisse – VIII.2. Louis XV (1715-1774). Par H. Carré – IX.1. Louis XVI (1774-1789). Par H. Carré, P. Sagnac et E. Lavisse.
London, The Telegraph construction & Maintenace Co Ltd, 1950, in-8°, 173 pp, très nombreuses illustrations dans le texte (gravures, photos), reliure plein maroquin vert, dos à 4 nerfs soulignés à froid, titres dorés, quadrillage doré en losange et vignette de basane verte comportant le titre doré au 1er plat, tranches dorées, emboîtage toilé vert, bel exemplaire. Exemplaire nominatif du commandant S. Petrovsek. Texte en anglais.
Histoire de la société Telegraph Construction & Maintenance Company, de 1850 à 1950. Une des plus importante société anglaise de l'industrie du câble sous-marin télégraphique.