Paris, Dolin, 1843. 2 vol. in-8 de (4)-356 pp. ; (4)-272 pp., demi-toile rouge, dos lisse (reliure de l'époque).
Édition originale. Bertier de Sauvigny, 249 : « Chodruc-Duclos prétend avoir participé aux mouvements royalistes sous la Révolution. A la Restauration, il revendiqua une récompense pour ses actions passées. Éconduit, il vécut comme un mendiant de 1818 à 1828. il aurait pris part aux journées de juillet 1830. personnage fantasque et méconnu, il a laissé des mémoires hautement fantaisistes dont le second volume traite de son malheur et de sa vie misérable sous la Restauration, sans qu'on y trouve une date ».Chodruc-Duclos, le Diogène du Palais-Royal, l'homme à la longue barbe exhibait ses loques au Palais-Royal pour mieux stigmatiser l'ingratitude de la Restauration. Rousseurs, mouillures. Fierro, 320 ; Bertier, 249 ; Tulard, 324.
Paris, Dolin, 1843. 2 vol. in-8 brochés de (4)-356 pp. zt (4)-372 pp., couvertures jaunes imprimées.
Édition originale. Bertier de Sauvigny, 249 : « Chodruc-Duclos prétend avoir participé aux mouvements royalistes sous la Révolution. A la Restauration, il revendiqua une récompense pour ses actions passées. Éconduit, il vécut comme un mendiant de 1818 à 1828. il aurait pris part aux journées de juillet 1830. personnage fantasque et méconnu, il a laissé des mémoires hautement fantaisistes dont le second volume traite de son malheur et de sa vie misérable sous la Restauration, sans qu'on y trouve une date ».Chodruc-Duclos, le Diogène du Palais-Royal, l'homme à la longue barbe exhibait ses loques au Palais-Royal pour mieux stigmatiser l'ingratitude de la Restauration.Bel exemplaire broché. Quelques rousseurs.
Un ouvrage de 250 pages, format 175 x 255 mm, illustré, broché, publié en 1984, Archives Nationales, bon état
III - La Monarchie de Juillet (1835-1848) : Inventaire
Phone number : 04 74 33 45 19
Paris, Imprimerie de Bourgogne et Martinet, s.d. (1837) in-8, 24 pp., deux cartes dépl., broché, sous couverture muette moderne.
Justification personnelle du général d'Arlanges (1774-1843) pour le rôle joué dans la malheureuse affaire du camp de Tafna (25 avril 1836), où il fut blessé et remplacé par Bugeaud.Tailliart, 1800. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Paris, Plon, 1934 in-12, XII-244 pp., 11 gravures sur 8 planches, bradel papier marbré, couverture conservée (reliure de l'époque). Dos bruni, pages jaunies.
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Paris-La Haye, Mouton, 1961 gr. in-8, 589 pp., index et biblio., broché.
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Paris, Perrin et Cie, 1908. In-8 de (6)-375 pp., demi-chagrin bordeaux, dos lisse orné, titre frappé or, chiffre G. H. frappé or en pied, tête dorée, couverture conservée (reliure de l'époque).
Édition originale. Ouvrage illustré de cinq portraits dont un en frontispice. Eugène Adélaïde Louise d’Orléans (1777-1847) fille de Louis-Philippe d’Orléans, duc de Chartres, et de son épouse Marie-Adélaïde de Bourbon-Penthièvre, est titrée à sa naissance Mademoiselle de Chartres, sa jumelle recevant le titre de Mademoiselle de Blois. Elle est élevée, comme ses frères, selon les idées philosophiques de leur gouvernante Madame de Genlis. Très proche de son frère, le duc d’Orléans, elle contribue à le convaincre de devenir roi des Français en 1830 et devient une conseillère très écoutée.Provenance : bibliothèque Georges Hersent, avec son chiffre en pied.
À Paris, chez l'auteur, 1823. Leporello de 22 feuillets mobiles circulaires et 2 feuillets contrecollés à l'intérieur des couvercles de la boîte, de 44 mm de diamètre, contenu dans un boîte-médaille en laiton doré ornée d'un profil lauré sur l'avers et d'un texte sur le revers gravé par F. Henrionnet avec la légende « Louis Antoine Duc d’Angoulême. Il nous a rendu la victoire » ; au revers le texte « A la gloire de l’Armée française - 1823 ».
Rare boîte-médaille commémorative de la victoire du corps expéditionnaire français en Espagne commandé par le duc d’Angoulême en 1823.En 1820, les libéraux espagnols obtiennent du roi Ferdinand VII (1784-1833), roi d'Espagne depuis la défaite des troupes napoléoniennes en Espagne et le traité de Valencay de 1813, qu'il remette en vigueur la Constitution de 1812 et confie le pouvoir à des ministres libéraux, mettant ainsi fin à son autorité absolue. En France, l'agitation libérale qui secoue l'Europe inquiète les Bourbons et les ultras obtiennent au début de 1823 qu'un corps expéditionnaire français soit envoyé en Espagne pour rendre le pouvoir à Ferdinand VII, prisonnier des Cortès. Louis XVIII annonce que « cent mille Français sont prêts à marcher en invoquant le nom de saint Louis pour conserver le trône d'Espagne à un petit-fils d'Henri IV ». Il confie le commandement d'honneur de l'expédition à son fils Louis-Antoine d'Artois (1775-1844), duc d'Angoulême, tandis que le commandement militaire est assuré en fait par un état-major essentiellement composé de généraux d'Empire expérimentés, passés aux Bourbons (Oudinot, Molitor, Moncey et Pommeroux de Bordesoulle). Les troupes constitutionnelles espagnoles sont définitivement vaincues après la prise de Cadix et la victoire de Trocadéro, le 31 août 1831.Bel exemplaire. Les ergots de papier qui permettaient de solidariser les feuillets ont rompu.
Paris, Champion, 1911 in-4, 268 pp., portrait-frontispice, 11 croquis h.-t., bibliographie, demi-basane maroquinée cerise, dos lisse, tranches mouchetées (reliure de l'époque). Accroc à la coiffe sup., coins usés. Cachets (annulé).
Ouvrage tiré à 200 exemplaires numérotés (179/200). - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Paris, Champion, 1911 in-4, 268 pp., portrait-frontispice, 11 croquis h.-t., bibliographie, broché. Légt défr. Mouillure angulaire en début d'ouvrage.
Ouvrage tiré à 200 exemplaires numérotés. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Paris, Imprimerie royale, 1841 in-4, [2] ff. n. ch., 96 pp., broché sous couverture bleue imprimée.
Encore une tentative contre Louis-Philippe, qui les accumula : le 15 octobre 1840, le Roi quittait Paris pour Saint-Cloud, quand, au niveau du quai des Tuileries, une forte détonation se fit entendre. Un homme fut immédiatement arrêté qui déclara sans ambages que son intention avait été "de tirer sur le plus grand des tyrans", et regretta que sa carabine se fût brisée au moment du coup de feu. Il se nommait Marius-Edmond Darmès, était ouvrier-frotteur et fut condamné à la peine des parricides. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Paris, Imprimerie royale, 1836 4 vol. in-4, brochés sous couvertures bleues imprimées.
Forme quatre des nombreuses parties de la publication officielle du procès de Fieschi devant la Cour des Pairs, compétente pour connaître des complots contre la sûreté de l'État : en dépit de ses revendications républicaines, les débats firent apparaître un assassin et aventurier paranoïaque, vaniteux, arrogant et avide d’attirer l’attention sur lui. Il se révéla comme un pur caractériel, sans motivations politiques ou idéologiques réelles. Cela ne l'empêcha évidemment pas de se faire proprement guillotiner avec Pépin et Morey, ses complices, le 19 février 1836. I. . Procédure. Dépositions de témoins :[2] ff. n. ch. 777 pp. - II. Interrogatoires des accusés :[2] ff. n. ch., 363 pp. - III. Arrêt du jeudi 19 novembre 1835. Acte d'accusation : 93 pp. - IV. Réquisitoire prononcé par M. Martin (du Nord), procureur général : 91 pp. ON JOINT : Cour des Pairs de France. Attentat du 28 juillet 1835. Procès-verbal des séances relatives au jugement de cette affaire. Paris, Imprimerie de Crapelet, 1836, in-8 de : titre, 203 pp. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Paris, Imprimerie royale, 1837 4 vol. in-4, brochés sous couvertures bleues imprimées. Dos défraîchis.
Le bon Louis-Philippe fut la cible de tant d'attentats au cours de son règne, que certains tombèrent rapidement dans l'oubli, surtout si les procès consécutifs ne purent mettre en relief de conspiration au sens strict du terme. C'est le cas ici, avec l'attentat de Pierre-François Meunier : le 27 décembre 1836, le roi Louis-Philippe, accompagné de ses deux fils aînés, se rendait au Palais-Bourbon. Au moment où la voiture passait devant une terrasse, un coup de feu est tiré par un ouvrier sellier, Pierre-François Meunier, jeune exalté de 22 ans. La balle, qui pénétra dans la voiture, ne toucha ni le Roi ni ses fils. Meunier et quatre complices furent jugés par la Cour des pairs. Cette dernière condamna le 25 avril 1837 Meunier à la peine du parricide. Ses complices furent acquittés faute de charges suffisantes.I. [CARRÉ (Franck) :] Arrêt du mercredi 5 avril 1837. Acte d'accusation : 41 pp., interversion des ff. 5-6 et 7-8. - II. Interrogatoires des accusés : titre, 210 pp. - III. Procédure. Dépositions de témoins : titre, 275 pp. mal chiffrées 725 (réparation de papier au titre et au premier feuillet). - IV. BARTHE (Félix) : Rapport fait à la Cour. Épreuve : titre, 87 pp. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Paris, Imprimerie royale, 1841 in-4, 170 pp., un f. n. ch., broché sous couverture bleue imprimée. Petits manques de papier au dos.
Le 13 septembre 1841, le duc d'Aumale accompagné de ses frères, les ducs d'Orléans et de Nemours, fit son entrée dans Paris à la tête du 17e léger dont il était colonel. Dans le faubourg Saint-Antoine, un coup de feu fut tiré par un nommé Quenisset dit Papart, scieur de long de son état. Au cours des interrogatoires, il déclara appartenir à la Société des ouvriers égalitaires qui comportait trois fractions: les égalitaires, les communistes et les réformistes. Il dénonça les personnes qui ont participé au complot et affirma qu’elles l’avaient trahi.La Cour des pairs fut chargée du jugement. Elle condamnera Quénisset et deux complices à la peine de mort; trois complices à la déportation et six autres complices à des peines de cinq à quinze ans de détention. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
S.l., Cheminements, 2006 in-8, 397 pp., broché, couverture illustrée.
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Paris, Bibliothèque des Deux-Mondes, L. Frinzine, 1886 in-8, 373 pp., broché. Dos factice.
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Paris, chez l'auteur et éditeur, Haut-Coeur Martinet, Terry, et chez tous les libraires, 1832 in-16, VIII pp., 352 pp., 48 pp., typographie en petit corps, avec 22 planches hors texte, sans le plan de Paris qui manque généralement, demi-basane bouteille, dos lisse orné de dent-de-rat, guirlandes et urnes dorées, tranches citron (reliure de l'époque). Coins abîmés.
La première édition est de 1830. Une dernière sera publiée en 1833. L'attribution à Audin est de Quérard.Au CCF, exemplaires seulement à la BnF, Sainte-Geneviève et Strasbourg. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Paris, Lacroix, Verboeckhoven et Cie, 1868 in-12, 299 pp., demi-percaline bleue (reliure de l'époque).
Envoi d'Alton Shée. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
AUMALE (Henri d'Orléans, duc d'), CUVILLIER-FLEURY (Alfred-Auguste)
Reference : 236885
Paris, Plon, 1910-1914 4 vol. in-8, 4 portraits dont 3 en frontispice, index, toile bleue, couv. cons.
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Paris, Rouen, Evreux, Derache, Frère, l'Auteur, 1839. 2 parties en 1 vol. grand in-8 d'1 faux-titre, 1 titre gravé, IV-526 pp. et 7 lithographies hors texte en noir sur Chine collées dont le frontispice ; (8) pp. dont 1 plan replié en frontispice, XVI-148 pp., demi-basane rouge, dos lisse orné (reliure de l'époque).
Édition originale. Exemplaire imprimé sur papier bleu.Plan des châteaux et Jardins de Navarre levé en 1775 par l'ingénieur Petit, titre-frontispice gravé par Lacoste d'après E. de Lonlay, vignettes, lettrines et 7 vues lithographiques en noir hors texte.Recueil en forme de correspondance consacré au château de Navarre, près d'Évreux, construit par Jeanne de Navarre en 1330 considérablement modifié au XVIIe siècle. Joséphine de Beauharnais y séjourna deux ans après son divorce ; il fut détruit en 1836. Le second volume renferme uniquement les notes et les pièces justificatives.Vice-président du tribunal civil d'Évreux, Théophile d'Avannes a laissé plusieurs travaux érudits sur l'histoire de son département.Exemplaire à grandes marges sur papier bleu, rehaussé d'un envoi autographe signé de la comtesse de Balliez (?) la probable destinataire des lettres de Théophile d'Avannes : Souvenir d'amitié et de regrets à Melle Chaniez institutrice et ses enfants Ctesse de Balliez .Quelques menus défauts, mors frottés. Frère, I, 57.
Rennes, Imprimerie de Madame de Caila, née Frout, s.d. (1838) placard in-4 carré de 34 x 44 cm, texte dans un encadrement gravé à motifs funéraires (urnes, cyprès, crânes et faux, pleureurs de chaque côté du texte).
Bel exemple d'affiche funéraire, invitant au convoi et messe d'enterrement de Jeanne Fléaux, veuve de Guillaume Letimbre, décédée le 13 novembre 1838, âgée de 56 ans et 5 mois, rue de Nantes à Rennes. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Paris, Anselin et Pochard ; Brunot-Labbe ; Cordier ; Chateauroux, Migné, 1824. In-8 de (4)-VIII-531 pp., maroquin rouge à grain long, dos orné à 4 nerfs, double filet doré et dentelle dorée d'encadrement sur les plats, rosace à froid au centre, dentelle intérieure, tranches dorées (reliure de l'époque signée Ducastin).
Édition originale imprimée à Châteauroux par Jean-Baptiste Migné, imprimeur qui introduisit la lithographie à Châteauroux.Exemplaire sur papier vélin fin.Rare traité de discipline militaire magnifiquement établi par Pierre-Alexis Ducastin ou son fils ; relieurs parisiens, leurs ateliers étaient situés au 110 et 118 rue Saint-Jacques.Fléty, p. 62 ; Culot, p. 497 ; Devauchelle II, p. 232.
Paris. Gosselin. Ledoyen. Octobre 1840. Edition originale. In-8 (139 x 221mm) broché, couverture jaune imprimée en noir, encacrement et ornements typographiques, 1f.blanc, 2ff.n.ch., 195, (2) pages. Rares rousseurs mais bon exemplaire. De la bibliothèque du comte Adrien de GASAPARIN, avec son cachet. Hommage de l'auteur. Ouvrage peu courant.
Curieux ouvrage d'un curieux personnage.
Collection Centenaire de l'AlgérieParis, Plon, 1936 fort in-4, 524 pp., 62 planches dont 15 en couleurs et des fac-similés, 3 cartes repliées, broché.
- - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Paris, Charles-Lavauzelle, s.d. gr. in-8, 756 pp., nbses ill. in-t., 1 pl. en coul. et 2 fac-similés, 3 cartes dépl., index, broché. Qqs rousseurs sur la couverture.
Envoi au Capitaine Sadi Carnot. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT