Toulouse : Milan, 1986. In-8 (24 cm), broché, couverture souple illustrée, 250 pages, 510 gr.
Très bon état
Guerret, Editions Verso, 1987 ; in-8, broché. 214pp. 7 illustrations en noir in-texte. Couverture illustrée. Légers frottements sur la couverture, mais bon état.
Réimpression de l'édition originale de 1945, augmentée d'une courte notice biographique sur les auteurs. Témoignage à chaud des évènements qui se déroulèrent sous l'occupation allemande à Montluçon et aux environs, et sur la vie quotidienne durant cette période. Introduction de Marcel Moreau.
Journal 42x59,8cm. quotidien de 4 pages illustrées. Pliures avec deux fentes sans gravité. Textes de Julien Gracq publié en préface du Lautréamont aux Editions la Jeune Parque : "Lautréamont, ce dynamiteur archangélique ou le ressentiment de l'adolescence." Maurice Nadeau : Kaputt, de Curzio Malaparte.
Paris, Balland, 2003. In-8 broché, couverture ill., 281 p. 8 p. de planches en noir h.-t. Etat neuf.
par un collectif cosignataires du présent document: Amicale des anciens de l'Armée Secrète, Amicales des Français Libres, Amicale de la Résistance Espagnole, etc. Nombreuses. Illustrations.In-8 (23x18cm) broché couverture illustrée. 111pp.
Bon état
Hachette, 1974, gr. in-8°, 275 pp, préface de C. Hettier de Boislambert, 12 pl. de photos et documents hors texte, 3 cartes, biblio, index, broché, couv. à rabats, bon état (Coll. La Libération de la France), avec un copieux envoi a.s. à Alain Decaux
"L'ouvrage porte la signature d'un acteur et d'un historien. Chef des F.F.I, de la région C depuis novembre 1943, Gilbert Grandval a cumulé ces fonctions avec celles de D.M.R. désigné par le G.F.L.N. avant d'être nommé, par le général de Gaulle, commandant militaire du 20e corps. Quant à A.-J. Collin, c'est un universitaire de souche lorraine, qui a participé tout jeune à la Résistance..." (Claude Lévy, Revue d'histoire de la Deuxième Guerre mondiale)
Bordeaux, Edition des Cahiers de la Résistance, 1974, in-12, 117 pp, préface de Jacques Debu-Bridel, introduction de Albert Guerville, 8 pl. hors texte (50 portraits photo), index, broché, bon état
Témoignages. L'ouvrage de Marie Granet montre le jeune intellectuel Jean Cavaillès devenant chef de guerre lucide, homme d'action à la tête du réseau qu'il avait créé. — Depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale, Marie Granet (1892-1990) s'est consacrée à l'étude de l'histoire de la Résistance. Elle a d'abord travaillé comme attachée de recherches, avec Edouard Perroy, professeur à la Sorbonne, fondateur de la Commission d'histoire de l'occupation de la France, puis, avec son successeur Henri Michel. A partir de 1950 et jusqu'en 1967 elle a collaboré avec Henri Michel, comme membre du Comité d'histoire de la Seconde Guerre mondiale, crée par celui-ci. Pendant ces vingt années, Marie Granet recueillit les témoignages de plusieurs centaines de résistants et de déportés et publia, avec H. Michel ou seule, un certain nombre de volumes : avec H. Michel, « Combat », histoire d'un mouvement de Résistance de juillet 1940 à août 1943 (PUF, 1957, Coll. Esprit de la Résistance), seule, « Défense de la France », histoire d'un mouvement de Résistance (1940-1944) (PUF, 1960, Coll. Esprit de la Résistance), Le journal « Défense de la France » (PUF, 1961, Coll. Esprit de la Résistance), Ceux de la Résistance (1940-1944) (Edition de Minuit, 1964), "Cohors-Asturies" (Bordeaux, Cahiers de la Résistance, 1974), Les Jeunes dans la Résistance (1985).
PUF, 1960, in-8°, 302 pp, 4 pl. hors texte, broché, bon état (Coll. Esprit de la Résistance)
Le Mouvement Défense de la France, s'il ne fut pas l'un des plus nombreux, fut, à coup sûr, l'un des plus originaux des Mouvements de Résistance de la zone nord. II fut un Mouvement de jeunes, essentiellement recruté au début parmi les étudiants et les étudiantes (il comprit beaucoup de femmes), et, jusqu'à la fin, dirigé par eux. II fut longtemps un Mouvement exclusivement parisien. En outre, contrairement aux autres Mouvements de zone nord, axés surtout vers les activités de caractère militaire et la collecte des renseignements, il se consacra presque exclusivement (à peu près jusqu'à la formation du M.L.N.) à la propagande et à la fabrication des faux papiers. II eut sa propre imprimerie, ce qui facilita l'impression de ces faux papiers et permit a son journal d'atteindre les plus forts tirages de la zone nord. Enfin, à cause de son ralliement tardif au « gaullisme », il resta très indépendant financièrement – et par suite, fort pauvre – et ne reçut pas de fonds de Londres avant la fin de 1943. (Marie Granet)
Editions France-Empire (1985) - In-8 broché de 252 pages - Couverture en couleurs - Avec la collaboration de Claude Lévy, Ginette Gros, Pierre Mermet - Postface de C. Ripoche - 16 pages hors-texte de photos en noir et blanc - Enrichi d'un double envoi de l'auteur de C. Ripoche - Exemplaire en très bon état
France-Empire, 1985, in-8°, 250 pp, 16 pl. de photos hors texte, brève chronologie, notes, sources, broché, couv. illustrée, bon état
Pour chacun ce fut un engagement volontaire, tantôt murement réfléchi, tantôt provoqué par un évènement fortuit : on assiste à une rafle, on héberge un prisonnier évadé, un juif. S'appuyant sur de nombreux témoignages vécus, ce livre raconte ce qu'il sont fait et pourquoi. Durant ces années terribles et passionnantes, où presque tout était possible, de jeunes ouvriers, paysans, lycéens, étudiants, ont engagé toutes leurs forces et leur vie même, pour défendre leur patrie et leur liberté. Ils ont imprimé et distribué des tracts et des journaux clandestins, cherché et transmis des renseignements, sillonné les villes et les campagnes comme agents de liaison, organisé des maquis, réalisé des coups de main et des sabotages. Souvent faits prisonniers, ils ont été torturés, déportés, fusillés. Ils ont prouvés que les actes étaient plus utiles que les paroles et ils ont été parmi les meilleurs artisans de la libération de la France.
PUF, 1957, in-8°, 330 pp, notes, broché, discrète trace d'humidité ancienne au coin des premiers et derniers feuillets, bon état (Coll. Esprit de la Résistance). Édition originale, un des 150 ex. numérotés sur vélin pur fil Lafuma Navarre (seuls grands papiers). Très rare en grand papier
"... Combat devait mener une vie autonome. parallèle à d'autres mouvements comme Libération ou Franc-Tireur, jusqu'à l'intégration, en juillet 1943, des trois grands mouvements de la Résistance intérieure dans les Mouvements unis de la Résistance. Sans qu'il soit possible de donner des chiffres d'adhérents ou de sympathisants, on peut affirmer que l'apport de Combat aux M.U.R. fut le plus important. Il avait en effet réussi à créer de nombreux. services : un journal (qui porte le nom du mouvement), un service des faux papiers, un service de renseignements, des groupes francs. une armée secrète (prise en charge, à l'instigation de Frenay et de d'Astier, responsable de Libération. par un comité de coordination, présidé par Jean Moulin, assisté du chef de l'Armée secrète unifiée, qui sera le général Delestraint jusqu'à son arrestation en juin 1943), un service social, un service de noyautage des administrations publiques (qui fut l'œuvre principalement de Claude Bourdet) , une action ouvrière, et même un embryon de représentation diplomatique par l'intermédiaire d'une délégation près de l'ambassade américaine en Suisse. Il s'était aussi organisé, d'une manière très stricte, en régions, sur le modèle de la structure administrative adoptée par le gouvernement de Vichy : Combat s'était également implanté en Afrique du Nord. Une des réussites les plus frappantes de Marie Granet et Henri Michel est d'avoir pu reconstituer l'organigramme de Combat pour chacune de ces régions ; les auteurs nous donnent ainsi un tableau d'ensemble des responsabilités à l'intérieur du mouvement : on mesurera le prix de ces renseignements à la difficulté qu'il y avait à les réunir, ainsi qu'aux indications qu'ils peuvent fournir sur l'orientation de Combat. Les chapitres consacrés à la vie et aux prises de position politiques du mouvement sont aussi parmi les meilleurs. On y voit combien Combat fut prudent, au départ, à l'égard de Vichy pour ne pas effaroucher les hésitants : comment il manifesta un attachement de plus en plus profond au général de Gaulle, tout en refusant de n'apparaître que comme une section continentale de la France libre ; avec quelle méfiance il accueillit Jean Moulin, dont la mission était d'unifier la résistance en y intégrant les partis politiques renaissants ; en un mot quelles divisions idéologiques et tactiques partageaient la résistance, dont la seule opposition à l'ennemi allemand cimentait l'unité." (Louis Bodin, Revue française de science politique, 1958)
Vendémiaire Editions, 2014, in-8 br. (14,5 x 20), 603 p., coll. "Chroniques", 8 planches ill. h.-t., bon état.
La légende dorée de Georges Guingouin n’a d’égale que sa légende noire. Premier maquisard de France, qui multiplia les actions de sabotage et de guérilla et libéra Limoges sans effusion de sang, on l’accusa à la Libération de chercher à imposer une « république soviétique dans les monts du Limousin ». S’appuyant sur des archives inédites, Fabrice Grenard retrace pour la première fois, avec précision et sans fard, la biographie de ce « préfet du maquis », de ce militant communiste qui, après guerre, fut brièvement maire de Limoges : un stalinien orthodoxe garant de la légalité républicaine... avant d’être exclu du PCF pour dissidence et de se retrouver emprisonné, victime d’une sombre affaire judiciaire sur laquelle circulent encore hypothèses et rumeurs. Voir le sommaire sur photos jointes.
Paris Editions sociales 1979 Un volume in-12 broché, couverture illustrée, 238 pages. Couverture insolée.
La librairie est ouverte du mardi au samedi de 9h30 à 12h30 et de 13h30 à 19h00. Commandes par courriel ou téléphone. Envoi rapide, emballage soigné.
Editions Sociales, 1970, in-8°, 284 pp, 7e édition revue et complétée, documents en annnexe, broché, bon état
Mémoires : la Résistance, Châteaubriant, Londres, Alger, le Vercors, Dachau. — Mobilisé en septembre 1939, Fernand Grenier (1901-1992) connaît, un an plus tard, la déchéance parlementaire ainsi que l’emprisonnement. Evadé en 1941, il vit dans la clandestinité, avant que le PCF le charge, en novembre 1942, d’établir les premiers contacts avec la résistance gaulliste, puis de s’installer à Londres. Il sera député à l'assemblée consultative provisoire à Alger, puis commissaire à l'Air (civil et militaire) du Comité français de libération nationale, puis du gouvernement provisoire formé par De Gaulle à Alger (avril-septembre 1944). — "Ces « souvenirs » sont un document non négligeable : en retraçant les principales étapes de sa participation à la Résistance, F. G. restitue le climat de l'action clandestine du Parti communiste en France, donne son point de vue sur la mission qu'il eut à remplir à Londres au nom de son parti et sur son accession, comme Commissaire à l'air, au gouvernement d'Alger. Une certaine violence de l'auteur à l'égard du général de Gaulle et de l'entourage « gaulliste » s'explique sans doute en partie par la date de rédaction de cet ouvrage (juin 1958-mars 1959)." (Revue française de science politique)
Londres, Corbett Publishing Co. Ltd, s.d. (vers 1943?) plaquette in 12 agrafée de 36 pages
Couverture piquée sinon bel exemplaire.
Mulhouse, Bader-Dufour, 1948, in-8°, 324 pp, broché, bon état, morceau de la bande éditeur conservé (“Comment fut organisée la Résistance dans la clandestinité par le chef suprême de la Résistance en zone sud”)
Mémoires. Seul volume paru. La défaite. – Les premières organisations à Vichy. – Visites et contacts à Londres. — "Le 5 juin 1940, le colonel Georges Groussard quitte son commandement en Alsace. Il est désigné pour remplir les fonctions de chef d’état-major de la région de Paris. A ce stade de la guerre, il ne se fait plus aucune illusion sur le sort des armes. Il va très vite constater à quel point la désorganisation et l’incompétence règnent au sein des plus hautes instances militaires de la capitale. Puis ce sont les jours sombres de l’arrivée des troupes allemandes à Paris. Son attitude, alors jugée rebelle par certains de ses pairs, relève simplement de l’honneur pour ce vétéran de la Grande Guerre. Après la défaite, il est nommé inspecteur général des services de la Sûreté nationale. Avec le soutien du général Huntzinger, alors ministre de la Guerre, il entreprend la création d'une vaste organisation secrète aux desseins ambitieux. A Vichy, ses fonctions au sein de l’Armée d’armistice lui servent de couverture pour recruter des cadres et réunir des moyens matériels. Il y dirige le Centre d’informations et d’études, un service de renseignements renforcé par des unités d’action, les Groupes de protection. L’auteur se trouve alors plongé au centre des intrigues de palais qui prospèrent dans l’entourage du maréchal Pétain. A cet égard, l’ouvrage offre un descriptif assez saisissant des luttes intestines opposant les diverses personnalités politiques et militaires de Vichy. Dans cette atmosphère de complot permanent, il ressort que le colonel Groussard est lui-même englué dans ce système de gouvernement fantoche, et cela dès le début. Ses prises de position franchement antiallemandes n'en font pas moins un fidèle du maréchal Pétain. Sans totalement justifier la gouvernance de ce dernier, il lui reconnaît d'ailleurs de nombreuses circonstances atténuantes. Sur ce chapitre, l’indulgence dont il fait preuve à l’égard du vainqueur de Verdun est sans doute liée à un esprit de caste, très perceptible dans le récit. La relation qu’il fait de son entrevue avec le "vieux chef", en décembre 1940, a quelque chose de surréaliste (173). Il nourrit beaucoup moins de mansuétude pour le personnel politique, en particulier pour Pierre Laval. Après avoir fomenté sa chute, il est chargé le 13 décembre 1940 de procéder à son arrestation. Mais les Allemands n’acceptent pas cette destitution. Laval est libéré et les Groupes de protection sont dissous. Conscient d’avoir perdu la partie, Groussard offre sa démission le 18 décembre. En dépit de cet échec, l'auteur n’entend pas abandonner pour autant la lutte clandestine. Le 14 juin 1941, il s’envole pour l’Angleterre. A Londres, il rencontre Winston Churchill en personne. Sa mission consiste à poser les bases d’un accord secret entre les "Vichyssois antinazis" et les Britanniques tout en trouvant un terrain d’entente avec de Gaulle. Aucune alliance ne ressort de cette entrevue, rien qui fasse bouger les lignes sinon l’impression très forte que laisse le Premier ministre sur son hôte. Il est mis ensuite en présence d’Antony Eden, le chef du Foreign Office, avec lequel il évoque le sort de l’Empire colonial français. S’il rencontre à de nombreuses reprises le colonel Passy pendant son séjour en Grande-Bretagne, il n'est pas reçu par le général de Gaulle, sans que les raisons de ce rendez-vous raté ne soient évoquées. Hors ses souvenirs d’avant-guerre, il appert que rien dans son ouvrage ne nous renseigne vraiment sur ses sentiments à l’égard du chef de la France libre (294). En connaisseur, il perçoit les tensions vives qui s’exercent au sein des diverses composantes des Forces françaises libres ainsi que les différends qui les opposent aux autorités britanniques. De retour en France à la mi-juillet 1941, il est arrêté sur ordres de Darlan et de Pucheu. Là prend fin son récit." (Stéphane Lamache, « Ecrits de Guerre et d’Occupation » EGO 1939-1945)
Couverture rigide. Reliure rouge de l'éditeur. 289 pages. 26 x18 cm. Légères rousseurs.
Livre. Préface de Daniel Mayer. Illustrations originales de Frayer. Editions du Burin. Editions Martinsart (Collection : L'humanité en marche), 1971.
France-Loisirs (2000) - In-8 sous reliure éditeur toilé noire de 1806 pages - Jaquette illustrée en couleurs - Préfaces de Marie-Madeleine Fourcade et Henri Rol-Tanguy - Annexes, bibliographie et index - Exemplaire en très bon état
Omnibus Omnibus, 2004. Fort In-8 broché de 1806 pages. Bon état
Toutes les expéditions sont faites en suivi au-dessus de 25 euros. Expédition quotidienne pour les envois simples, suivis, recommandés ou Colissimo.
Omnibus, 2000, fort in-8°, 1806 pp, annexes, biblio, index, broché, couv. illustrée, bon état
Plus de quatre cents témoignages, recueillis de la bouche même des protagonistes, sont à l'origine de cette Chronique de la Résistance qu'ils nourrissent, page après page. "Celui qui croyait au ciel" et "celui qui n'y croyait pas" ; le plastiqueur et le "pianiste" ; le militant du PCF clandestin et l'agent du BCRA londonien ; le maquisard et l'agent de liaison ; le "corps franc" et la "boîte aux lettres" ; le torturé et l'évadé ; "l'apatride" des FTP-MOI et l'officier des "Travaux ruraux" ; celui de l'AS (Armée secrète) et celui de l'AJ (Armée juive) ; l'ancien des Glières et l'ancien du Mont Mouchet ; le FFI et le FFL ; celui de "l'Intelligence Service" et celui de "l'Orchestre rouge"... – c'est à montrer ce qu'ils furent, comment ils vivaient et comment ils mouraient, que s'attache le livre d'Alain Guérin.
Paris, Livre Club Diderot Paris, Livre Club Diderot, 1973. 5 volumes in-4 pleines reliure noire éditeur titre en rouge; Nombreuses reproductions dans et hors texte.
Toutes les expéditions sont faites en suivi au-dessus de 25 euros. Expédition quotidienne pour les envois simples, suivis, recommandés ou Colissimo.
Livre Club Diderot 1972 Livre Club Diderot 1972/ 1976 , 5 volumes forts In-4 reliure éditeur plein skyvertex noir à impressions rouges + un coffret de fac-similés et documents divers reproduits. Préfaces de Louis SAILLANT, Jacques DEBU-BRIDEL, Marie Madeleine FOURCADE, Jacques BOUNIN et Henri ROL-TANGUY, avant propos de l'auteur, postface de Robert VOLLET. 414 + 414 + 382 + 381 + 434 pages. Trés importante iconographie. Bien complet du coffret de cartes et fac similes. Bon état.
Toutes les expéditions sont faites en suivi au-dessus de 25 euros. Expédition quotidienne pour les envois simples, suivis, recommandés ou Colissimo.
CLERMONT- FERRAND INSTITUT D' ETUDES DU MASSIF CENTRAL 1991 Un volume grand in-8 broché de 182 pages , couverture en couleurs , illustrations en noir et blanc et en couleurs , les coins sont très légèrement émoussés , autrement bon exemplaire . Bon Couverture souple
Phone number : 04.71.02.85.23
Institut d'Etudes du Massif Central Institut d'Etudes du Massif Central, 1991. In-8 broché, 182 pages, avec photos. Bon état
Toutes les expéditions sont faites en suivi au-dessus de 25 euros. Expédition quotidienne pour les envois simples, suivis, recommandés ou Colissimo.
PARIS, Imp. La Bonne Presse - 1946 - In-12, 19 x 12 cm -Broché - Illustré dune photo en frontispice et de dessins - 187 pages + table - Ex non coupé - Très bon Exemplaire.
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