Villeneuve-lès-Avignon, Pierre Seghers, Mars-avril 1943, in-8, broché, 112 pp. Textes de Paulhan, Frenaud, Ribemont-Dessaignes, Guillevic, etc.
Villeneuve-lès-Avigno Pierre Seghers, mai-juin 1944 1 vol. broché in-8, broché, 119 pp. Textes de Fargue, Paulhan, Eluard, Cendrars, Bousquet, etc.
1 vol in-8 broché - 181 pages - N° 22 de avril - juin 1989
bel état de conservation
1945 Paris Maison du livre français [1945] in8, broché, couverture illustrée, 30 p. une planche en noir en frontispice Bon exemplaire
Éditions Tiresias, 1992, in-8°, 220 pp, 33 pl. de photos et documents hors texte, mémorial des Eyssois et des familles de disparus, broché, bon état
En octobre 1943, la prison d'Eysses, à Villeneuve-sur-Lot, devient un lieu stratégique où les autorités de Vichy décident de concentrer tous les condamnés politiques de la zone Sud. Le chiffre des prisonniers politiques détenus à Eysses atteindra 1.400 début 1944. Eysses contre Vichy est le récit unique des hommes, – tant par leur part dans la résistance, – tant par leur comportement en prison, – tant part leur attitude en déportation – que part leur combat d’hier jusqu’à nos jours, qui surent en plus conjuguer le mot humanité. De leur expérience au bagne d’Eysses (47), ils donnèrent sens et existence aux mots : Vie, Liberté, Respect, Solidarité, Culture, Démocratie, Instruction, République. Après leur insurrection, ils furent pour leur très grande majorité déportés au camp de la mort lente de Dachau. 12 furent fusillés par les GMR... — "En 1943, toutes les prisons de France regroupent des “terroristes” : le gouvernement de Pétain-Laval ne reconnaît pas de détenus politiques ; pourtant en regroupant, à l'automne 43, a la Centrale d'Eysses prés de Villeneuve-sur-Lot, des centaines d'emprisonnés politiques jusqu'alors disséminés dans diverses prisons (de la zone sud en majorité), il s'agissait pour lui de mieux empêcher les évasions qui se multipliaient dans les petites prisons, en même temps que de garder sous la main une masse d'otages tout désignés. Les 1200 détenus sont représentatifs de la Résistance considérée dans la diversité de ses composantes et de ses formes d'action. Mais “frères d’armes”, déjà organises, dés les premiers jours, les détenus patriotes et anti-fascistes élisent une délégation générale des différents “préaux” qui réussit a arracher à la direction de la Centrale des avantages (droit de fumer, d'enseigner, d’envoyer et recevoir des lettres...) qui permettent, entre autres, a l'organisation clandestine “militaire” de se renforcer sous couvert d'activités sportives. Bien vite, le collectif prend en main toute la vie quotidienne des détenus, sans un esprit de solidarité qui a imprégné ces militants bien au-delà des quelques mois passés à Eysses, et dont témoigneront les quelques survivants rescapés des camps ou les hitlériens, “conscients du danger que leur faisait courir ce rassemblement de patriotes indomptables, merveilleusement unis et organisés”, les avaient déportés après que Vichy les eut remis aux autorités allemandes en mai 44. En effet, tout entière tournée vers la perspective d'une évasion collective, I'héroïque action du bataillon d’Eysses, entreprise le 19 février 44, a échoué : livrant combat à armes inégales contre des GMR abrités dans des blockhaus qu'a fait élever récemment le nouveau directeur du fort (un colonel milicien nommé a la suite de l'évasion réussie, le 3 janvier, de 54 détenus politiques français et anglais), et malgré la complicité de quelques gardiens et l'attente des groupes locaux de résistance, les détenus, pris sous les mitraillettes et les grenades des miradors, durent se rendre plutôt que d'attendre le carnage (les Allemands alertés se préparaient à bombarder la partie de la prison tenue par les insurgés). Sans doute faut-il chercher la cause de cet insuccès en partie aussi dans la mauvaise liaison avec la Résistance à l'extérieur : l'insurrection à l'intérieur de la Centrale devait être appuyée par une action des Groupes Francs de Lyon à l'extérieur (sous la direction du COMAC). En février, sachant ne plus pouvoir compter sur une aide extérieure rapide et efficace, le collectif décide de l'action : on ne peut risquer de voir les miliciens découvrir les armes cachées à l'intérieur, et d'autre part les combattants libérés pourront former un noyau de résistance renforçant les actions des bataillons Soleil, Hercule, Carlos de Dordogne-Sud (eux-mêmes constituant un important élément de diversion pour soulager les maquis de Savoie). Il faut lire le récit détaillé de ce combat, avec ses moments d'espoir et de repli, les multiples actes d’héroïsme de la part de ces hommes jeunes (moyenne d'âge : 28 ans) mais ayant déjà de nombreuses luttes et actions derrière eux (y compris dans la guerre d'Espagne) : il faut lire le récit de sa féroce répression par les miliciens (12 fusillés le 23 février) et l'horrible rappel des conditions de la déportation, dans des wagons à bestiaux ou les hommes sont entassés sans nourriture, et, plus horrible encore, sans eau (d'où l'hécatombe du convoi de la mort, de Compiégne à Dachau, 2-5 juillet 44). Ce livre écrit par Michel Reynaud à la demande de I'Amicale d’Eysses, après et d'après celui de Jean-Guy Modin, maintenant épuisé, en citant les noms et les actions de nombreux combattants de l'ombre, rappelle utilement qu'au-delà des statistiques et des explications historiques, c'est l'engagement individuel dans l'esprit de révolte et de désobéissance au “désordre établi” et à la honte comme politique qui a été le terreau de la Résistance..." (Claude Papp, Gavroche, 1993)
Éditions Tiresias, 1992, in-8°, 220 pp, 33 pl. de photos et documents hors texte, mémorial des Eyssois et des familles de disparus, reliure toile rouge de l'éditeur, titres dorés au 1er plat et au dos, bon état. Un des ex. du tirage de tête ; 721 ex. numérotés de 1 à 721, tirés sur papier vergé et reliés pleine toile
En octobre 1943, la prison d'Eysses, à Villeneuve-sur-Lot, devient un lieu stratégique où les autorités de Vichy décident de concentrer tous les condamnés politiques de la zone Sud. Le chiffre des prisonniers politiques détenus à Eysses atteindra 1.400 début 1944. Eysses contre Vichy est le récit unique des hommes, – tant par leur part dans la résistance, – tant par leur comportement en prison, – tant part leur attitude en déportation – que part leur combat d’hier jusqu’à nos jours, qui surent en plus conjuguer le mot humanité. De leur expérience au bagne d’Eysses (47), ils donnèrent sens et existence aux mots : Vie, Liberté, Respect, Solidarité, Culture, Démocratie, Instruction, République. Après leur insurrection, ils furent pour leur très grande majorité déportés au camp de la mort lente de Dachau. 12 furent fusillés par les GMR... — "En 1943, toutes les prisons de France regroupent des “terroristes” : le gouvernement de Pétain-Laval ne reconnaît pas de détenus politiques ; pourtant en regroupant, à l'automne 43, a la Centrale d'Eysses prés de Villeneuve-sur-Lot, des centaines d'emprisonnés politiques jusqu'alors disséminés dans diverses prisons (de la zone sud en majorité), il s'agissait pour lui de mieux empêcher les évasions qui se multipliaient dans les petites prisons, en même temps que de garder sous la main une masse d'otages tout désignés. Les 1200 détenus sont représentatifs de la Résistance considérée dans la diversité de ses composantes et de ses formes d'action. Mais “frères d’armes”, déjà organises, dés les premiers jours, les détenus patriotes et anti-fascistes élisent une délégation générale des différents “préaux” qui réussit a arracher à la direction de la Centrale des avantages (droit de fumer, d'enseigner, d’envoyer et recevoir des lettres...) qui permettent, entre autres, a l'organisation clandestine “militaire” de se renforcer sous couvert d'activités sportives. Bien vite, le collectif prend en main toute la vie quotidienne des détenus, sans un esprit de solidarité qui a imprégné ces militants bien au-delà des quelques mois passés à Eysses, et dont témoigneront les quelques survivants rescapés des camps ou les hitlériens, “conscients du danger que leur faisait courir ce rassemblement de patriotes indomptables, merveilleusement unis et organisés”, les avaient déportés après que Vichy les eut remis aux autorités allemandes en mai 44. En effet, tout entière tournée vers la perspective d'une évasion collective, I'héroïque action du bataillon d’Eysses, entreprise le 19 février 44, a échoué : livrant combat à armes inégales contre des GMR abrités dans des blockhaus qu'a fait élever récemment le nouveau directeur du fort (un colonel milicien nommé a la suite de l'évasion réussie, le 3 janvier, de 54 détenus politiques français et anglais), et malgré la complicité de quelques gardiens et l'attente des groupes locaux de résistance, les détenus, pris sous les mitraillettes et les grenades des miradors, durent se rendre plutôt que d'attendre le carnage (les Allemands alertés se préparaient à bombarder la partie de la prison tenue par les insurgés). Sans doute faut-il chercher la cause de cet insuccès en partie aussi dans la mauvaise liaison avec la Résistance à l'extérieur : l'insurrection à l'intérieur de la Centrale devait être appuyée par une action des Groupes Francs de Lyon à l'extérieur (sous la direction du COMAC). En février, sachant ne plus pouvoir compter sur une aide extérieure rapide et efficace, le collectif décide de l'action : on ne peut risquer de voir les miliciens découvrir les armes cachées à l'intérieur, et d'autre part les combattants libérés pourront former un noyau de résistance renforçant les actions des bataillons Soleil, Hercule, Carlos de Dordogne-Sud (eux-mêmes constituant un important élément de diversion pour soulager les maquis de Savoie). Il faut lire le récit détaillé de ce combat, avec ses moments d'espoir et de repli, les multiples actes d’héroïsme de la part de ces hommes jeunes (moyenne d'âge : 28 ans) mais ayant déjà de nombreuses luttes et actions derrière eux (y compris dans la guerre d'Espagne) : il faut lire le récit de sa féroce répression par les miliciens (12 fusillés le 23 février) et l'horrible rappel des conditions de la déportation, dans des wagons à bestiaux ou les hommes sont entassés sans nourriture, et, plus horrible encore, sans eau (d'où l'hécatombe du convoi de la mort, de Compiégne à Dachau, 2-5 juillet 44). Ce livre écrit par Michel Reynaud à la demande de I'Amicale d’Eysses, après et d'après celui de Jean-Guy Modin, maintenant épuisé, en citant les noms et les actions de nombreux combattants de l'ombre, rappelle utilement qu'au-delà des statistiques et des explications historiques, c'est l'engagement individuel dans l'esprit de révolte et de désobéissance au “désordre établi” et à la honte comme politique qui a été le terreau de la Résistance..." (Claude Papp, Gavroche, 1993)
1947 Librairie des sciences aeronautiques, Vivien editeur , 1947 Deuxieme edition entierement refondue ; broché , 153 pages tres illustré de dessins , croquis .bon etat quelques manques sur le dos
ray AA15*
Editions J.-P. Gisserot, 1988, gr. in-8°, 157 pp, 16 photos et fac-similés, broché, couv. illustrée, bon état
Récit romancé sur la Résistance en Normandie avant et après la Libération. Le personnage principal est inspiré par le Commandant Robert Leblanc, chef du Maquis Surcouf, que l'auteur a bien connu. — "Toute l'histoire du maquis... Et le drame de l'après-maquis ! Enthousiasmés par la Résistance, déçus par la Libération, des maquisards voulurent continuer en 1945-1946 à rendre la justice, leur Justice ! Et, pour la seconde fois ils devinrent des « hors-la-loi ». Hors-la-loi de Vichy, ils l'avaient été en 1943... 1944... et ce livre raconte la naissance et le développement de ces maquis où fraternisaient jeunes paysans, étudiants des villes, ouvriers, prêtres et « mauvais garçons »... et les faits d'armes héroïques, les pertes infligées à l'ennemi, les tortures subies, les « bavures »... sans rien cacher. Toute l'histoire de la Résistance, de la Libération, de l'après-Libération, apparaît ici en une suite de scènes fulgurantes, pathétiques, cruelles ou tendres, parfois incroyables et pourtant vraies – l'auteur les a vécues.. — L'auteur, Charles Rickard, journaliste puis sous-préfet, résistant, médaillé militaire à ce titre, puis préfet, président de société, écrivain, est né à Toulouse en 1914." (4e de couverture)
S. l;, Jean-Paul Gisserot, s.d. ; in-8, br. - 256pp. Illustrations in-texte. Bon état.
L'auteur, sous-préfet d'Albertille puis de Bernay, est entré en résistance dés 1940. Il livre dans ce second recueil de souvenirs et de témoignages, son expérience de l'époque et ses réflexions sur les événements qu'il eut à connaître.
RIMBAUD, C. / BREDIN, J.-D. / JENNINGS E. T. / DOMPNIER, N. / IHL, O. / AMOUROUX, H. / EPSTEIN, Simon:
Reference : 110995aaf
Paris, Perrin, 1986, gr. in-8vo, brochure originale.
Phone number : 41 (0)26 3223808
1971 Editions Sociales, coll. Souvenirs, 1971, 1 volume petit in-8 de 190 pages, broché.
Bon état.
Un ouvrage de 292 pages, format 145 x 210 mm, illustré de documents, broché, publié en 2002, bon état (avec un envoi de l'auteur à "Ariel" -Gabrielle Giffard- Résistante, ancien chef de Groupe Franc en 1943-1944 à Vizille)
Témoignage de l'adjoint du Commandant Louis Nal. Préface du Général Alain Le Ray
Phone number : 04 74 33 45 19
France-Empire, 1984, gr. in-8°, 238 pp, 8 pl. de photos et documents hors texte, broché, couv. illustrée, bon état, envoi a.s. de R. Hervet (nom du destinataire effacé)
De père espagnol et de mère anglaise, élevé en France depuis le berceau, Ferdinand Rodriguez-Redington, dit "Pie" passe en Angleterre en 1940 et s'engage dans l'armée britannique. Deux ans plus tard, il est affecté par l'Intelligence Service comme chef radio auprès du Réseau Alliance, qu'animaient Marie-Madeleine Fourcade, Léon Faye et Paul Bernard. Une trahison permettra son arrestation et celle de plusieurs camarades de son réseau. "L'escalier sans retour" était gravi par les hommes promis au peloton d'exécution. L'auteur a été l'un d'entre eux... Le livre est paru en 1958 sous le titre "L’escalier de fer".
Chez l'auteur, 1982. In-8, broché, 236 sur papier couché, ill. dans le texte en noir émaillant les propos de l'auteur et envoi de ce dernier page de ft. Bel exemplaire.
Franco de port pour la France jusqu'à 30 euros. MONDIAL RELAY privilégié et disponible pour les pays suivants : Portugal, Pologne, Espagne, Allemagne, Autriche, Pays Bas, Luxembourg, Italie, Belgique. Paiement immédiat par Paypal : https://paypal.me/Artlink?locale.x=fr_FR . Chèques et virement acceptés. Nous accompagne toutes les étapes de votre achat. Achat et déplacement France Suisse.
Un ouvrage de 75 pages, format 155 x 240 mm, illustré, broché, publié en 1985, Impr. Gatheron, bon état
Un maquisard de l'Ain
Phone number : 04 74 33 45 19
Chez l'auteur (1986) - In-8 broché de 112 pages - Couverture illustrée - Un cahier de 16 pages de photos en noir et blanc - Exemplaire en bon état
Editions L'Histoire en Partage, 2019, in-8 br. (16 x 24,5), 249 p., 221 photographies et documents, très bon état.
Cet ouvrage dépasse les lieux communs et les discours convenus sur la Résistance. L’été 1944 se caractérise par une lutte à mort entre la Résistance et les troupes allemandes jusqu’à leur départ de Périgueux le 19 août. Alors que les maquisards sortent des bois pour occuper les villes et harceler l’occupant en retraite, la liesse populaire de la Libération se mêle à un puissant désir de vengeance des Périgourdins qui se traduit par un épisode de violence collective ; c’est le temps de l’Epuration et des femmes tondues en place publiques. Toutefois, passé le temps de l’allégresse les Périgourdins vivent une profonde désillusion. La République peine à rétablir son autorité dans un contexte de désordre et d’insécurité et l’Epuration est considérée comme inachevée. Cette frustration, qui suscite indignation et colère, entraîne une vague de violence dans le département au cours du printemps et de l’été 1945. Tous ces aspects sont abordés et replacés dans leur contexte dans cet ouvrage qui souhaite dresser un tableau exhaustif et objectif de la vie d’un groupe de maquisards dans toute sa complexité, avec sa grandeur, mais aussi sa part d’ombre. L’auteur évoque les combats de l’été 1944, mais également des thèmes plus rarement abordés, tels que les rivalités entre maquisards, l’emploi de tueurs chargé des basses oeuvres et l’Epuration. Il relate dans cet ouvrage très documenté, issu de plus de 15 années de recherches auprès de centaines de témoins et dans de nombreux centres d’archives, l’histoire de maquisards du Périgord de la forêt de la Double au front de la Rochelle. Voir le sommaire sur photos jointes.
New York Editions de la Maison Française 1944 1 vol. broché in-12, broché, non coupé, 347 pp. Edition originale. Un des 150 exemplaires numérotés sur papier Corsican (n°82), en parfait état. Ce volume manque parfois à la collection des Hommes de bonne volonté, ayant paru à New York.
New York Editions de la Maison Française 1942 1 vol. broché in-12, broché, non coupé, 300 pp. Edition originale. Un des 150 exemplaires numérotés sur papier Corsican (n°82), en parfait état. Ce volume manque parfois à la collection des Hommes de bonne volonté, ayant paru à New York.
New York Editions de la Maison Française 1941 1 vol. broché in-12, broché, non coupé, 358 pp. Edition originale. Un des 150 exemplaires numérotés sur papier Corsican (n°82), en parfait état. Ce volume manque parfois à la collection des Hommes de bonne volonté, ayant paru à New York.
New York Editions de la Maison Française 1943 1 vol. broché in-12, broché, non coupé, 334 pp. Edition originale. Un des 150 exemplaires numérotés sur papier Corsican (n°82), en parfait état. Ce volume manque parfois à la collection des Hommes de bonne volonté, ayant paru à New York.
New York Editions de la Maison Française 1944 1 vol. broché in-12, broché, non coupé, 310 pp. Edition originale. Un des 150 exemplaires numérotés sur papier Corsican (n°82), en parfait état. Ce volume manque parfois à la collection des Hommes de bonne volonté, ayant paru à New York.
New York Editions de la Maison Française 1942 1 vol. broché in-12, broché, non coupé, 286 pp. Edition originale. Un des 50 exemplaires de tête numérotés sur papier Texte, en parfait état.
New York Editions de la Maison Française 1940 1 vol. broché in-4, broché, non coupé, 330 pp. Edition originale. Un des 50 exemplaires de tête numérotés sur Japon Linweave, sous double couverture. Récit des missions culturelles et pacifistes dont Jules Romains s'acquitta auprès des principales nations européennes avant la guerre, en tant que président de la Fédération internationale de P.E.N. Club. C'est le second volume de la célèbre collection "Voix de France" qui publia des écrivains français réfugiés à New York entre 1940 et 1944.