Paris, Alexis Eymery, 1817. 1 volume in-8 de XI+246 pages, demi percaline chocolat. Plat un peu insolés.
Orné d’un frontispice gravé contenant les portraits de Mme Manson, I. Jausion et Bastide-Grammont, qui furent mêlés à cette célèbre affaire. Edition originale. Ex-libris d’E. A. Naville.
, Paris, Plon-Nourrit et Cie 1922, in-12, br., (fané, défraîchi), ENVOI DE L’AUTEUR, IV-288p.
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, London, Hodder and Stoughton 1953, in-8, rel. pleine toile bleue éd., qq. annotations au crayon. On y joint des articles de presse relatifs à cette affaire, 280p.
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, Nancy, Claude Leseure 1775, in-12, br. provisoire, (lég. fané), 51p.
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Amiot-Dumont, 1955, in-8°, 412 pp, un tableau généalogique de la descendance de Naundorff, un plan de la tour du Temple, broché, couv. illustrée, rhodoïd, bon état
L’affaire Naundorff revient au Tribunal, un siècle plus tard. Les héritiers Naundorff avaient tenté de faire annuler l’acte de décès de Louis XVII en 1851 ; mais ils furent déboutés. Ils interjettent appel, mais l’affaire n’est plaidée que vingt ans plus tard. Les héritiers perdent également devant la cour d’appel. L’un d’entre eux n’ayant pas relevé appel à l’époque, ses descendants ont pu se prévaloir de cette abstention en 1951. Ce compte-rendu du procès, qui s’est tenu en 1954, est présenté par une note liminaire d’Alain Decaux. On y retrouve les explications du bâtonnier Chresteil, les plaidoieries de Me René Escaich, Me G.-A. Chresteil, Me Maurice Garçon et du bâtonnier Malzieu, puis les conclusions du procureur général Béteille, et l'Arrêt de la Cour d'appel de Paris du 7 juillet 1954. Selon Parois, « dans l’arrêt rendu le 7 juillet 1954, la Cour oppose l’historien qui peut admettre certaines hypothèses au juge qui ne peut que statuer sur des faits précis et des preuves suffisantes. La Cour a, semble-t-il, admis que les « reconnaissances sont sans conteste importantes », en ajoutant que les preuves fournies à l’appui des prétentions de Naundorff ne sont pas « telles » qu’elles peuvent permettre de faire annuler l’acte de décès du 24 prairial an III » (Parois, 865).
Budapest, Éditions d'État, 1949 in-8, 205 pp., un f. n. ch. de table, demi-toile grège, dos lisse muet, titre poussé en lettres jaunes sur le plat supérieur (reliure de l'éditeur).
Version française servant la propagande hongroise. Chef d'oeuvre d'hypocrisie totalitaire, le procès du cardinal Jozsef Mindszenty fut une farce qui se déroula en 1949 et aboutit à une condamnation à la réclusion à perpétuité. Dans la foulée, le pape Pie XII prononça l'excommunication de toutes les personnes impliquées dans son procès et sa condamnation. Toute une époque, qui sera engloutie par la Realpolitik d'accommodement avec les régimes communistes menée par Paul VI et son secrétaire d'État. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
À Paris, Chez Dumaka, s.d. in-8, 20 pp., broché, couv. factice.
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À Paris, Chez Hayez, s.d.; in-8, 20 pp., broché, couv. factice.
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Paris, éditions Payot 1922-1930. 7 bons volumes reliés, reliures demi cuir, dos ornés avec titres dorés, têtes dorées avec emboîtages, gd in-8 (20x15), 1800 pages avec annexes.
Paris, Adolphe Riou [Imprimerie de Poussielgue], 1834 in-8, 120 pp., demi-basane blonde, dos lisse orné de filets et fleurons dorés (reliure de l'époque). Coins abîmés.
Compte rendu, d'un point de vue républicain, du procès de la manifestation du 28 juillet 1833, énième agitation fomentée par la Société des droits de l'homme, fondée en 1830 sur le modèle de la Charbonnerie, et qui voulait imposer par l'insurrection un programme intégralement jacobin et socialiste.RELIÉES À LA SUITE : 8 pièces politiques émanées des divers partis sous la Monarchie de Juillet : I. Cour d'assises de Saint-Omer. Affaire du Propagateur du Pas-de-Calais. Audience du 24 août 1833. [Paris], Imprimerie de L.-E. Herhan, s.d. [1833], 40 pp. - II. La Chambre non prostituée ; procès de la Tribune contre les députés, parties, accusateurs et juges (extrait de La Tribune du 17 avril 1833). Paris, au bureau de la Tribune [Imprimerie d'Auguste Mie], s.d. [1833], 36 pp. - III. Procès des lettres. Cour d'assises de la Seine du 24 avril 1841. [Paris], Imprimerie Lange Lévy, s.d. [1841], 24 pp. - IV. [BOBLET (Louis-Achille) :] Le Principe et les faits. Paris, chez tous les marchands de nouveautés [Imprimerie d'Herhan], 1832, [2] ff. n. ch., 68 pp. Manifeste royaliste. - V. Réponse d'un Pair de France à la brochure de M. de Chateaubriand. Paris, chez les marchands de nouveautés [Imprimerie de Decourchant], 1831, 30 pp. Sur le bannissement de Charles X et de sa famille. - VI. LE BELLÉ (Alphonse) : Parallèle entre la constitution des États-Unis d'Amérique et la Charte constitutionnelle des Français. Au peuple. Paris, Imprimerie de Poussin, 1831, [2] ff. n; ch., 10 pp., texte sur deux colonnes. - VII. Le Voeu du peuple, moyen d'amener l'égalité. Lyon, Imprimerie de G. Rossary, s.d. [1830], 40 pp. Un seul exemplaire au CCF (BnF). - VIII. L'Ami des peuples. Causes secrètes de la révolution de 1830. Révélations officielles sur le fameux Comité directeur et les carbonari de Paris. Paris, Imprimerie de Carpentier-Méricourt, s.d. [septembre 1830], pp. 73-88. - IX. DUPIN (Charles) : Compte de la session de 1828, adressé par le baron Charles Dupin, député du Tarn, à ses commettants. Paris, Bachelier [Imprimerie de Fain], 1828, [2] ff. n. ch., 34 pp., un f. n. ch. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Paris, Prévot [Imprimerie de Constant-Champie], 1831 in-8, 11 pp. (Introduction reliée par erreur avant les notices des prévenus), 268 pp., demi-chagrin noir, dos à nerfs, tranches mouchetées (rel. de la fin du XIXe). Rousseurs, des pages salies à certaines pièces.
Procès de membres de la Société des Amis du Peuple ou de la Société Ordre et Progrès, soupçonnés de menées insurrectionnelles juste après les journées de juillet ; parmi eux : Louis-Godefoy Cavaignac, Ulysse Trélat, Jules-Théophile Sambuc.RELIÉES À LA SUITE 4 pièces sur des procès politiques de la Monarchie de juillet : I. Jugement prononcé contre M. Laponneraye, précédé de l'article incriminé et du discours qu'il prononça devant le jury. S.l.n.d. [1832], 12 pp. Très rare. Au CCf exemplaires seulement à Grenoble. Albert Laponneraye (1808-1849), qui devait ultérieurement recevoir les confidences de Charlotte Robespierre, avait au cours de sa détention à La Force, rédigé un cours public d'histoire de France de 1789 à 1830, à l'usage des ouvriers, avec une douzième leçon consacrée à Robespierre. Sorti de prison, il donna sa première leçon le dimanche 6 novembre 1831, à midi, dans un local situé au 12, rue Thévenot [actuellement englobée dans la rue Réaumur], accueillant deux à trois cents auditeurs ; elle attira un important public d'ouvriers et de jeunes gens. Effrayées par son succès, les autorités firent fermer son cours par la police le 4 décembre suivant, et, en avril 1832, Laponneraye passa devant les assises pour excitation à la haine de classes ; il fut condamné à deux ans de prison et 1 000 francs d'amende. II. Procès des vingt-deux accusés du Cloître Saint-Méry, événemens des 5 et 6 juin 1832, suivi de pièces justificatives. Paris, Rouanet [Imprimerie de Auguste Mie], 1832, 146 pp., avec un portrait-frontispice lithographié par Didion d'après Lecler. Avec un avant-propos d'Armand Marrast. A l'occasion des obsèques du général Lamarque, ancien officier de l'Empire devenu député, l'un des chefs de file des Républicains, une insurrection populaire eut lieu le 5 janvier 1832 qui devait se poursuivre le jour suivant. III. Cour d'assises de la Seine. Procès du droit d'association. Audience du 15 décembre 1832. S.l.n.d. [Paris, Rouanet, Chaumerot, 1833], 60 pp., manque la page de titre. Procès intenté contre les membres de la Société des amis du peuple (dont Achille Roche, Louis-Godefroy Cavaignac, François-Vincent Raspail, Ulysse Trélat). IV. Procès des citoyens Vignerte et Pagnerre, membres de la Société des droits de l'homme et du citoyen. Cour d'assises de Paris. Audience du 22 février 1834. [Paris], Imprimerie de L.-E. Herhan, s.d. [1834], 20 pp. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
[Procès, Procédures - Emmanuel-Armand de Vignerot du Plessis-Richelieu, duc d'Aiguillon]
Reference : 108207
Sans mention d'Editeur, 1770, 1 volume in-8 de 245x185x35 mm environ, 1f.blanc, faux-titre, titre, 407 pages, 5ff. (table), 1f.b, demi basane mouchetée fauve avec coins en parchemin crème, titre doré sur dos lisse. Relation du procès intenté au Duc d'Aiguillon par le Parlement de Rennes et le Procureur La Choletais. Rousseurs et pages brunies, petits frottement sur le cuir et le cartonnage.
Emmanuel-Armand de Vignerot du Plessis-Richelieu, duc d'Aiguillon, pair de France (1740), comte d'Agénois et de Condomois puis duc d'Agénois et duc d'Aiguillon, est un militaire et homme d'État français né à Paris le 31 juillet 1720 et mort à Paris le 1er septembre 1788.Maréchal de camp, commandant en chef de Bretagne, il s'y rend impopulaire par sa lutte contre La Chalotais et le Parlement de Bretagne. Il est rappelé à la cour. Plus tard secrétaire d'État des Affaires étrangères pendant trois ans et momentanément secrétaire d'État de la Guerre à la fin du règne de Louis XV, il est disgracié sous Louis XVI. Merci de nous contacter à l'avance si vous souhaitez consulter une référence au sein de notre librairie.
, Paris, Payot 1932, in-8, br., bon état, 225p.
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, Paris, Payot 1926, in-8, débr., (couv. défraîchie), ouvrage orné de 40 illustrations, 256p.
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Paris, aux bureaux du Journal de la petite presse, et chez tous les libraires [Imprimerie A. Pougin], 1872 in-8, 71 pp., texte sur deux colonnes, broché.
Il s'agit d'un procès pour diffamation et outrage à l'encontre de Louis-Jules Trochu en raison d'articles insérés dans le Figaro des 23 et 27 janvier 1872. Le jury retint le chef d'outrage, mais pas celui de diffamation. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
[Procès] – VALOIS (Georges), ses témoins, ses avocats et ses adversaires.
Reference : 103748
(1927)
P., Librairie Valois, 1927, fort in-8°, xlvi-696 pp, index, broché, bon état, envoi a.s. de Jacques Marx
La rupture de l'ancien syndicaliste révolutionnaire Georges Valois (Alfred-Georges Gressent, 1878-1945) avec l'Action Française dont il fut un moment un compagnon de route, eut lieu en 1925. Bien sûr, le mouvement royaliste et les journalistes de l'Action française se déchaînèrent d'autant plus contre lui que la fondation du nouveau mouvement "Le Faisceau des combattants" (en 1925 également) créait une concurrence à droite. D'où ce procès pour calomnie.
Paris, Éditions du Carrefour, 1934 in-12, 356 pp., un f. n. ch. de table, avec des illustrations dans le texte, broché, non coupé. Dos fragile.
Traduction française de Dimitroff contra Goering: Enthullungen über die wahren Brandstifter (Paris, 1934), d'inspiration communiste. L'ouvrage forme une présentation des défenses de Marinus Van der Lubbe (1909-1934) et de Georgi Dimitrov (1882-1949, le futur dirigeant bulgare), tous les deux accusés d'avoir fomenté l'incendie du Reichstag.Lors du procès qui se tint à Leipzig de septembre à décembre 1934, Dimitrov assura lui-même sa défense — aucun avocat de son choix n'ayant été accepté — avec une forte détermination et chargea ses accusateurs, ce qui lui valut une renommée mondiale, y compris en Allemagne. Il fut acquitté le 23 décembre 1933, à la différence de Van der Lubbe, abandonné par le KPD sur ordre de Staline, mais fut néanmoins maintenu en détention. Sa libération fut cependant prononcée le 27 février 1934, après que l'URSS lui a octroyé la citoyenneté soviétique et réclamé son expulsion vers son territoire. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Paris, Imprimerie Nationale, s. d. (1792) in-8, 6 pp., broché. Dernier feuillet froissé.
L'auteur était député de l'Orne.Inconnu à Martin et Walter, Monglond et Tourneux. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Phone number : 06 80 15 77 01
Angoulême, Chasseignac, Angoulême, Chasseignac1843-1893 ; in-8 br. 4o vol Les délibérations du conseil général. Diverses Sessions de 1843 à 1893. Nombreux tableaux
Paris Garnier fréres, Paris,1858
Trois petits volumes in 12°(12x18cm), demi-reliure cuir rouge, dos à 4 nerfs, avec fleurons, titre et tomaison dorés dans les caissons, 1er tome : 520 pp, 2ème tome: 544 pp, 3ème tome: 612 pp.(tome 3).Ce livre capital, saisi par la justice française sitôt sa parution, valut à PROUDHON une condamnation à 3 ans, un mois, 15 jours d’emprisonnement, qu’il évita en fuyant en Belgique.On notera que le titre de cet ouvrage insiste ironiquement sur le nom de son Eminence Monseigneur MATHIEU, Cardinal-Archevêque de Besançon. Or, sur les pages de garde du 1er tome sont collés, ironiquement là aussi, des coupures d’articles de presse signalant le décés de ce même Monseigneur MATHIEU dont il est dit “qu’il jouissait d’une grande autorité dans le sein du Sacré-Collège, où il était considéré comme un des plus éloquents défenseurs de la foi catholique”.On lit aussi, sur ces mêmes pages de garde, la mention manuscrite du fait que cet ouvrage “a été remis le 3 mai 1858 par PROUDHON à M. le Docteur ANTHELME, pour M. TILLOY (dont il est dit, sur la page titre, qu’il est le Rédacteur de la Gazette de Péronne).On peut facilement comprendre cette “entremise” puisque PROUDHON était réfugié en Belgique et que le commerce de son livre était interdit en France.Nos trois tomes contiennent par endroit des soulignages ou marques marginales au crayon noir (de la main de TILLOY?) Elles sont aisément effaçables mais nous avons cru bon de les laisser.L’densemble est en TRÈS BON ÉTAT.
Editions du Rocher, 1992. in-8, 277 pp., illustrations h.t., broche, couverture illustree.
Tres bel exemplaire. [TX-10]
1956 Editions Le Club du Meilleur Livre 1956 - in-8 cartonné - 338 pages
Bon état - Coiffe supérieure légèrement émoussée ainso que les coins inferieurs
Paris, La Bibliothèque des Arts, 1998, in-4to, 421 p., richement illusr. avec des peintures en couleur, reliure en toile originale avec jaquette orig. illustrée
Phone number : 41 (0)26 3223808