Julliard Julliard 1983. In-8 broché de 551 pages illustrées de photos. Bon état
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Broché, 22X14 cm, 1995 (nouvelle édition refondue), 856 pages, photos en noir, éditions Fayard Julliard. Bon exemplaire.
Julliard 1983 (retirage de 1984), in-8 broché, 551 p. (petit heurt au bas du dos, sinon très bon état ; épuisé dans la collection) Avec deux cahiers illustrations, bibliographie et notes. Etude d'envergure, certainement une des plus complètes à l'heure actuelle sur l'affaire Dreyfus.
Perrin & Cie Paris, Perrin & Cie, 1898. In-12 broché de 93 + 16 pages. Rousseurs
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Couverture souple. Rare brochure (elle a été rééditée en fac similé aux Etats-Unis). 16 pages. Rousseurs à la couverture.
Livre. Demande de remise en liberté du colonel Picquart par un des fondateurs de l'enseignement laïque. Editions Ollendorff, 1899.
Fayard, 1994, fort gr. in-8°, 700 pp, traduit de l'anglais, un tableau généalogique, sources et biblio, index, broché, couv. illustrée, bon état
Selon Péguy, Alfred Dreyfus est devenu l'homme dont le monde a le plus répété le nom depuis la mort de Napoléon. Les innombrables livres et articles consacrés à l'Affaire ne retracent pourtant guère l'histoire de la famille, et en particulier du frère, Mathieu, qui a tant aidé à sauver le prisonnier d'une mort certaine à l'île du Diable. Alfred Dreyfus et sa femme, ses enfants, ses frères et soeurs et sa belle-famille jouent un rôle trop grand pour qu'on ne les fasse pas sortir de l'ombre. Chacun d'entre eux fait partie intégrante de ce drame, mais l'histoire de la famille, avant comme après l'Affaire, est plus éclairante et plus remarquable encore en ce qu'elle est exemplaire de l'histoire des juifs en France. A travers la crise des années 1890 puis lors de ses résurgences dans les luttes idéologiques qui ont culminé avec le régime de Vichy, la famille Dreyfus n'a cessé d'affirmer les principes de citoyenneté et d'égalité auxquels elle doit de s'être assimilée. Le loyalisme qui a soutenu le prisonnier et les siens prend en effet sa source dans le décret de 1791 qui émancipa les juifs et qui, l'éducation et la prospérité aidant, finit par les persuader que la France était une nouvelle Terre promise. Jeune témoin de la guerre de 1870 qui arracha son Alsace natale à sa patrie, Alfred Dreyfus se sentit tenu par l'honneur de servir la nation en embrassant la carrière militaire. Ce même esprit et ce même sens du devoir animeront les membres de sa famille qui se battront en 1914-1918 dans les tranchées ou qui entreront dans les mouvements de la Résistance. — "Publié en 1991 en anglais, l'ouvrage de Michael Burns était attendu tant son approche est originale et intelligente. Écrire l'histoire d'une famille française, d'origine juive, suivie sur cinq générations, afin d'éliminer le caractère trop conjoncturel de la trajectoire d'Alfred, le protagoniste du drame, était l'ambition de l'auteur. D'Abraham Israël Dreyfus, mort en 1819, à Madeleine Lévy, la petite-fille du capitaine, assassinée à Auschwitz en 1944, c'est un grand pan de notre histoire nationale qui transparaît dans cette anti-saga rédigée par un historien américain spécialiste des luttes franco-françaises de la fin du siècle dernier. De l'arrière grand-père, boucher né à Rixheim, dans le Haut-Rhin, au polytechnicien affecté à l'état-major de l'armée après son passage à l'École de Guerre, un colporteur alsacien et un industriel prospère, Jacob puis Raphaël, ont préparé l'ascension sociale du plus célèbre des Dreyfus de France. Du colporteur au commissionnaire en tissus établi à Mulhouse, à cinq kilomètres du village natal, la gradation paraît presque naturelle, mais Raphaël Dreyfus ne s'arrêta pas en chemin et créa lui-même, en 1862, la filature de coton qui allait être à la source de la richesse familiale. La suite est davantage connue mais Michael Burns fournit les chiffres qui permettent d'apprécier le changement de condition sociale de cette famille. En investissant 300.000 F au départ (au moins 8 à 9 millions de francs 1995), le fondateur de la grande usine mulhousienne se hisse au niveau des plus performants de ses confrères, les Koechlin qui l'ont aidé notamment. Industriel alsacien reconnu et admis par ses pairs, il doit assurer l'éducation de ses sept enfants – deux étaient morts en bas âge –, dont Alfred, né le 9 octobre 1859 et le dernier. Comme Poincaré et tant d'Alsaciens-Lorrains de cette génération, l'enfant de onze ans restera marqué toute sa vie par l'entrée des Prussiens dans sa cité en 1870. Si Raphaël a choisi la France et Carpentras après la signature du traité de Francfort, son fils aîné, Jacques, veillera sur l'entreprise familiale. Mathieu, le frère chéri, optera également pour la voie des affaires, mais en fixant sa résidence à Bâle où le passage vers le Reich est aisé. Polytechnicien moyen, entré 182e sur 236 et sorti 128e, Alfred Dreyfus est promu capitaine en 1885, un an avant d'épouser la fille d'un diamantaire richissime – 50 millions de fortune en équivalent actuel – Lucie Hadamard, et d'entrer à l'École de Guerre (77e sur 81). Sorti 9e, il a démontré à sa manière l'extraordinaire capacité de ces Juifs français, parfaitement intégrés à la bonne société de leur temps, à réaliser, par leur acharnement à réussir, cette ascension sociale dont rêvent tant de Français de l'époque. La suite de la carrière de l'officier stagiaire à l'état-major était connue et, dans sa narration des péripéties de l'Affaire, Michael Burns n'apporte aucun élément neuf, ce qui n'était nullement son ambition. Il évite de s'appesantir sur les voyages semi-clandestins d'Alfred en Alsace, avant 1894, et ne signale pas les rapports secrets l'accusant, antérieurement à l'enquête du colonel Sandherr, d'être un espion à la solde de l'Allemagne. De même, il exagère probablement le succès bien réel de “La France juive”, qualifié de « plus grand best-seller » du siècle avec la “Vie de Jésus”, ce qui est faux dans les deux cas. C'est sur l'existence du condamné au bagne des îles du Salut que l'ouvrage se révèle, de loin, le témoignage le plus fidèle sur ces années d'exil. En historien rigoureux et scrupuleux, Burns ne manque pas de relever des détails majeurs. Ainsi révèle-t-il que Lucie adressa chaque mois un mandat de 500 F – 7 500 F 1995 au moins – à son mari et que celui-ci fut autorisé à utiliser cette « masse » pour améliorer son ordinaire. Les provisions achetées à Cayenne et les livres absorbent l'essentiel de ses revenus mais les colis expédiés par la maison Félix Potin améliorent singulièrement la nourriture de la geôle. Ses souffrances n'en furent pas moins grandes, mais il fallait un enquêteur aussi tenace que l'historien anglo-saxon pour oser utiliser ces renseignements sans que l'on ose l'accuser de nourrir la légende du « syndicat » juif corrupteur. On regrettera quelques erreurs qui trahissent une connaissance limitée de l'histoire de France. Ainsi Félix Faure aurait-il été le président de la République qui aurait battu tous les records de longévité à ce poste et le premier à aller jusqu'au bout de son mandat, ou encore la retraite du commandant Dreyfus aurait été arrêtée à 2 350 F par mois en 1906, ce qui aurait été énorme. De même, faire débuter l'Union sacrée en 1913 dès l'appel de Poincaré à Viviani pour former le gouvernement est-il osé et, bien entendu, absurde, mais on ne signale ces énormités que pour qu'elles disparaissent de la réédition d'un ouvrage destiné à durer. D'ailleurs la seconde partie de l'essai, après la grâce de 1899, est si riche que l'on oublie vite ces scories. On appréciera particulièrement les pages sur l'existence et les idées du capitaine entre 1900 et la Grande Guerre. Dans cette zone opaque que les biographes ont occultée ou méconnue, Michael Burns s'intéresse par exemple au refus du sionisme, du nationalisme juif, jugés utopiques par l'officier français. Il le montre lecteur averti des théories d'avant-garde, ami de Jaurès mais convaincu par Léon Bourgeois que le solidarisme permet aux élites de payer leur dette envers la société. Plus à gauche, quoique libéral, qu'on ne l'a dit et répété, Dreyfus refusera le socialisme mais acceptera le syndicalisme comme un mouvement naturel de la société industrielle avancée. Les passages consacrés à Mathieu Dreyfus qui dépensa un million – 15 millions 1995 – pour faire reconnaître l'innocence de son frère, à sa fille Magui qui épousa le fils de Joseph Reinach, Ado, tué à la guerre en 1914, sont excellents et souvent neufs puisque les descendants des deux familles alliées ont ouvert leurs archives à l'historien Michael Burns. Le militantisme de Marguerite au Redressement français d'Ernest Mercier situe nettement à droite cette branche de la famille, ce qui ne saurait surprendre les historiens du XXe siècle, lesquels savent que nombre d'héritiers de Gambetta aboutirent à la Fédération républicaine chère au cœur de Méline. Mariée au richissime « père » de l'industrie électrique française, Marguerite Dreyfus-Reinach ne s'écartait guère des modèles politiques familiaux et Mathieu, son père, approuvera l'anticégétisme viscéral du grand patron des années trente. Sans le savoir, il justifiait a posteriori les craintes de Jules Guesde et des anarchistes qui furent réticents à prendre la défense d'un galonné bourgeois et capitaliste et pour qui il fallut le “J'accuse” de Zola et les “Preuves” de Jaurès pour les convaindre d'oublier leurs préventions initiales. Alfred Dreyfus signa, lui, la pétition en faveur de Sacco et Vanzetti, en 1927, et il demeura jusqu'à sa mort, en 1935, hostile au sionisme, Français de confession israélite par choix raisonné, ce que l'auteur semble lui reprocher implicitement, quittant alors le territoire de l'historien pour celui du biographe partisan. Il insiste en revanche, à juste titre, sur la destinée de chacun des membres de la parentèle, sur le calvaire de Madeleine, enfermée à Drancy, déportée à Auschwitz, qui pesait 30 kg lors de son décès. Il évoque les autres Dreyfus qui émigrèrent aux États-Unis ou rejoignirent la France libre à Londres. Par cet éclairage exceptionnel sur l'histoire d'une famille française, d'origine juive, il offre au lecteur un recul qui fait de ce livre l'un des meilleurs écrits sur un sujet dont la bibliographie est considérable." (Jean-Yves Mollier, Revue d'Histoire du XIXe siècle - 1848, 1995)
Paris, Kra, s.d. (1930) petit in-8, 193 pp., avec 10 planches d'illustrations hors-texte, demi-baane marine, dos à nerfs, couverture rouge conservée Bon exemplaire. (reliure moderne).
Georges Charensol (1899-1995) est plus connu comme critique de cinéma que comme journaliste politique, et sa monographie n'émane de toutes façons pas d'un témoin de l'Affaire.Absent de Lispschutz. LIVRE NON DISPONIBLE À PARIS, VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Fasquelle, 1933, in-8°, 336 pp, 9 fac-similés hors texte, broché, bon état
in 8 broché,335 pages avec fac-similés de 7 documents secrets ou inédits.Rieder 1937.
P., Les éditions Rieder, s.d. (1937), pt in-8°, 335 pp, 7 planches de documents hors texte in-fine, broché, état correct
Les véritables origines de l'Affaire. – Esterhazy a écrit le bordereau sur l'ordre et sous la dictée du colonel Sandherr. – Dix lettres de la veuve du colonel Henry. – Le mystère du Mont-Valérien. – Un dossier de la police allemande de Mulhouse sur Dreyfus. — "Ce qui reste mystérieux dans l'affaire, ce sont les mobiles qui ont poussé Henry à charger Dreyfus par tous les moyens. D'après M. Charpentier, un “dossier Z” venu d'Alsace aurait induit Sandherr et Henry à croire Dreyfus coupable ; pour ne pas compromettre leur informateur en en faisant état, ils auraient fait écrire le bordereau par Esterhazy pour qu'il fût attribué à Dreyfus et permît de le condamner. Cette hypothèse me paraît non seulement à peu près gratuite, mais peu compatible avec l'ensemble des faits connus. L'hypothèse la plus vraisemblable reste que Henry a voulu perdre Dreyfus pour couvrir Esterhazy, soit qu'il eût trahi de concert avec celui-ci, comme le supposait Reinach, soit plutôt qu'il l'eût employé pour faire passer à l'ambassade d'Allemagne de faux documents et que, s'étant aperçu de sa trahison, il eut voulu la cacher par crainte qu'elle ne le compromît. D'après M. Charpentier, telle était l'opinion d'Alfred Dreyfus à la fin de sa vie." (J. Maurain, Revue Historique, 1938)
in 12 broché, titre, 172 pages, Imprimerie E. Masson 1902(angle inférieur droit restauré)
Pygmalion Pygmalion 1975. In-8 broché de 249 pages. Avec le texte intégral des déclarations de F. Mitterrand - M. Debré - A. Krivine - F. Brigneau - E. Faure. Bon état
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Paris, Pygmalion, 1975 in-8, 252 pp., demi-basane blonde, dos à nerfs, pièces de titre cerise et verte Dos insolé, mais bon exemplaire. (reliure moderne).
L'ouvrage est essentiellement formé par un recueil d'opinions : les auteurs ont demandé à plusieurs personnalités françaises, très diverses idéologiquement, d'expliquer pourquoi l'Affaire conserve dans les années 1970 une grande actualité. Répondent successivement (et de droite à gauche) : François Brigneau, Michel Debré, Edgar Faure, François Mitterand et Alain Krivine. LIVRE NON DISPONIBLE À PARIS, VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
In 8 demi-cuir vert raciné à 4 nerfs, pièce de titre cuir rouge. Fers filets, roulette dorés. filet à froid sur les plats. Faux-titre, un fac-similé d’une page manuscrite, titre, IV, 374 pages, un fac-similé de lettre du Maréchal FOCH au président Clémenceau. Premier plat de couverture conservé ; tête dorée ; Plon éditeur 10 avril 1930. Rousseurs éparses, dos insolé, sinon bon exemplaire
Denoël Collection l'histoire de France Dirigée par Régine Pernoud In-12°, reliure éditeur plein cartonnage ill (Clémenceau Jeune), 126 pages, nombreuses illustrations en couleur notamment Ht.Bel exemplaire de seconde main de belle fraicheur, sans défaut particulier.
Collection très pédagigique donnant à apprécier une période dans sa globalité et ses contextes. Bon Etat N'hésitez jamais à nous joindre directement. Réponse immédiate pour d'autres titres non répertoriés sur LRB . Franco de port pour la France par MONDIAL RELAY dés 30 euros pour les ouvrages modernes . Paiement immédiat par Paypal . Chèques ( fractionnement possible) et virement acceptés. Nous accompagnons toutes les étapes de vos achats. Achat et déplacement France Suisse pour vos propositions de ventes ( chiffrages et partages) .
Action Française Paris, Action Française, 1906. Plaquette In-8 brochée, 63 pages + appendice. La République de Dreyfus - La France trahie et mystifiée - La loi faussée par la Cour de Cassation pour réhabiliter un juif - Le Justicier - Hommage national au Général Mercier. Petite déchirure sans manque en dos sinon Bon état. Peu courant
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Presses universitaires de Rennes Dos carré collé 2007 In-8 (14,2 x 23 cm), dos carré collé, 213 pages ; plats un peu gondolés, par ailleurs assez bon état général. Livraison a domicile (La Poste) ou en Mondial Relay sur simple demande.
Société Nouvelle de Librairie et d'Edition Relié 1904 In-8 (15 x 22 cm), reliure pleine toile moderne, couverture conservée, 654 pages, rapport de M. le conseiller Boyer, réquisitoire de M. le procureur général Baudoin, plaidoirie de Me Mornard, arrêt de la cour, + documents annexes : réquisitoire écrit de M. le procureur général, mémoire de M. Alfred Dreyfus, conclusions de Me Mornard, débats parlementaires, etc.; papier bruni, par ailleurs bel état. Livraison a domicile (La Poste) ou en Mondial Relay sur simple demande.
Edité par Les Éditions Rieder, Paris. (12,5x18,5cm.) 376pp. Relié, demi-dos en toile bleue. Quelques taches sur les premières et dernières pages. L’intérieur est en bon état.
Armand Colin Revue en brochure d'éditeur 1994 In-4 (21 x 30 cm.), revue en brochure éditeur, couverture illustrée, 86 pages, illustrations en noir et blanc in et hors-texte ; menus incidents sur les plats, coiffes, mors et coins à peine frottés, intérieur frais, bon état général. Livraison a domicile (La Poste) ou en Mondial Relay sur simple demande.
Revue d'Histoire de la Shoah Revue d'Histoire de la Shoah, 2001. In-8 broché de 324 pages. Très bon état
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Paris, Edition du "Siècle", 1898. In-8, reliure cartonnée demi-toile, titre doré sur pièce au dos, floraison et filets ornés dorés sur dos, 464p. Avec les lettres de Mr. E. Zola et les poursuites, les dépositions, les jurés. Ensuite, de la première audience au verdict. Bon état, pages jaunies, reliure en très bon état
[COLLECTIF] / GAUVARD (Claude), SIRINELLI (Jean-François), sous la direction de.
Reference : 14183
(1999)
ISBN : 2130500226
Paris, Presses Universitaires de France, 1999 1 volume 15,4 x 23,9cm. Broché. 1 feuillet, puis paginé de [435] à 687; carte in texte. Très bon état.
N°611, de juillet-septembre 1999, de la revue fondée par Gabriel Monod; au sommaire: "Des druides aux clercs: quelques lectures françaises de Jules César aux XIIIe et XIVe siècles" par Serge LUSIGNAN et Audrée-Isabelle TARDIF, "Entre honneur et bien commun: le témoignage du "Jouvencel" au XVe siècle" par Christopher ALLMAND, "La croissance ambiguë du "Léviathan" dans l'Europe du XIXe siècle: l'exemple de la rationalisation de l'Etat espagnol" par Jean-Philippe LUIS, "Convergences maghrébines autour d'Alain Savary, secrétaire d'Etat aux affaires marocaines et tunisiennes en 1956" par Maryvonne PREVOT, "Mélanges": "Nation et nationalisme du Moyen Age à l'epoque moderne (France-Allemagne)" par Jean-Marie MOEGLIN, "L'affaire Dreyfus dans le roman français" par Jacqueline LALOUETTE; comptes rendus d'ouvrages.
Librairie d'Action Française Paris, Librairie d'Action Française 1930. In-12 agrafé de 59 pages. Peu courant; Très bon état
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Paris; Librairie des Nouvelles Collections Illustrées, sans date, 1 volume broché de format 16 x 9 cm, 128 pages, illustrations hors-texte, couverture abîmée, dos factice, il manque la page de titre.
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