Paris, Flammarion, 1963; in-8, 345 pp., br. Broché très bon état.
Broché très bon état.
édimontagne 1998 In-8 broché 21 cm sur 14,1. 197 pages. Avec un envoi de l’auteur. Bon état d’occasion.
Bon état d’occasion
Julliard, 1963, gr. in-8°, 612 pp, 32 pl. de photos hors texte, 7 cartes, annuaire des personnages, biblio, broché, couv. illustrée, bon état
Dien Bien Phu. Le nom de cette cuvette située dans le haut Tonkin demeure le symbole de l'échec militaire et politique de la France en Indochine. Jules Roy aborde tout à la fois en reporter, en historien et en moraliste ce moment capital de l'histoire du XXe siècle. Il fait par-dessus tout oeuvre de grand écrivain. Au-delà du document et de la chatoyante peinture d'un monde finissant, il dresse l'implacable réquisitoire des faiblesses françaises. — "De tous les écrits sur Dien Bien Phu, le livre de Jules Roy est probablement le plus sévère pour le général Navarre, au point qu'on a pu parler d'un “règlement de comptes”. Selon Roy, Navarre est le principal responsable du drame : il a choisi le lieu et le moment, n'écoutant pas les objections des gens de terrain, en particulier du Commandant du “Tonkin”, le général Cogny. (...) En annexe, une abondante documentation (la moitié du volume) : chronologie commentée (180 pages), jugements des contemporains de l'événement (Robert Guillain, J.-J. Servan-Schreiber, François Mauriac, le général Catroux), la première conférence de presse du général de Castries après son retour de captivité, notices biographiques." (Ruscio, La guerre "francaise" d'Indochine 1945-54)
Paris: René Julliard, 1963 in-8, 624 pages, 7 cartes (dont 2 sur un feuillet volant), 44 photos h.-t. Reliure toile rouge d'édit., bon état.
La bataille de Dien Bien Phu. (Paris: René Julliard, 1963) [M.C.: Vietnam, histoire militaire, guerre d'Indochine]
Nouvelles Presses Mondiales, Paris, 1956, nombreus documents photos en noir dans le texte, dos muet, broché, 225pp. bon état, 225x180 . (p4)
Phone number : 33 05 49 26 70 36
SAINT MARC (Hélie de) avec Laurent Beccaria.
Reference : 16835
(1999)
ISBN : 9782912485021
Les Arènes, 1999, in-8°, 203 pp, broché, couv. illustrée, bon état
"J'ai voulu rassembler tout ce qui, en moi, avait résisté au temps. Chacun avance avec quelques idées que le destin transforme et bouscule. Des certitudes nous quittent. D'autres mystères nous habitent. Après avoir vécu tout et le contraire de tout, certaines blessures brûlent encore comme si on les frottait de sel. Mais d'autres ombres, d'autres silhouettes, veillent en silence. Je les appelle les sentinelles du soir. Elles m'aident à vivre. Au Vietnam, à chaque saison, les paysans repiquent le riz. C'est en pensant à eux que nous avons écrit ce livre avec Laurent Beccaria. Ces pages n'ont de sens que si d'autres hommes et d'autres femmes trouvent parmi elles quelques graines pour les replanter ailleurs." — Résistant, déporté, officier de la Légion étrangère, Hélie de Saint Marc est un témoin des déchirures de l'Histoire récente de notre pays, de l'Occupation à la guerre d'Algérie, en passant par la grande passion indochinoise. Depuis la parution de ses mémoires, Les Champs de braises, prix Femina essai, il a donné plusieurs centaines de conférences en France et à l'étranger.
Presses de la Cité, 1975, in-8°, 189 pp, broché, couv. illustrée, une marque au stylo en marge sur une page, bon état
Une étude de la tactique et de la stratégie militaires vietnamiennes, assortie d’une conclusion tonitruante. — "Ancien adjoint de Leclerc et de De Lattre, ancien commandant en chef du corps expéditionnaire français en Extrême-Orient, se vantant de l'amitié que lui a témoignée Ho Chi Minh en 1945-1946 (il faudrait en préciser les circonstances), R. S. tente d'analyser les raisons du succès communiste en Indochine non sans recourir éventuellement à des raisonnements simplistes ou de mauvaise foi (ainsi l'utilisation persistante du terme Vietminh à défaut de tout autre pour désigner la résistance vietnamienne au Sud comme au Nord). Les références à Mao et à certains textes vietnamiens (pas toujours utilisés à propos) visent surtout à effrayer le lecteur en lui montrant l'imminence du danger communiste. Ainsi Giap devient-il « l'artisan d'une stratégie agressive qui conduit tout droit à une troisième guerre mondiale », et R. S. termine sur cette sombre prophétie : « Nous serons communisés ! Et l'Amérique s'enfermera chez elle... »." (Revue française de science politique, 1977) — "Dans ce document d’une qualité incontestable, Raoul Salan tente de nous faire partager sa grande expérience des pays d’extrême Orient et de nous donner une explication vraie des évènements inquiétants qui viennent de s’y dérouler. En Indochine de 1924 à 1937, il fut successivement chef de poste dans le haut Tonkin, délégué administratif à Muong Sing dans le haut Laos, chef de la province du Haut Mékong à Ban Houei Sai, puis délégué à Dinh Lap, à la frontière des provinces chinoises du Kouang Si et du Kuang Toung. En 1945 et 1946, à Hanoi, il devint l’ami d’Hô Chi Minh, le familier de Dong et de Giap avec lesquels il eut de longues conversations. Adjoint de Leclerc, il alla en Chine pour obtenir le retrait des troupes chinoises du Tonkin puis, lors de la conférence de Fontainebleau accompagna Hô Chi Minh à Paris. Revenu au Tonkin, il conduisit les opérations en 1947 et 1948, devint l’adjoint de De Lattre en 1950 , puis commissaire de la république au Tonkin et en Cochinchine et commandant en chef en 1952 et 1953. Envoyé en mission à Saigon au cours de l’année 1954, il désapprouve les accords de Genève du mois de juillet et rentre en France après avoir libéré nos prisonniers des camps de la mort. Tout au long de ces années, il n’a cessé d’étudier le communisme indochinois, rassemblant des centaines de documents sur sa pensée, sa forme, ses méthodes, ses idéaux. Breveté de laotien et de siamois, il a vécu de longues années au Laos, aux confins de la Birmanie et de la Thaïlande, pays menacé de glisser à leur tour dans l’orbite soviétique cependant que Sihanouk, que Raoul Salan connaît bien, donne le Cambodge aux Khmers rouges. C’est un monde de 50 millions d’habitants qui a fait son « unité » dans le communisme…Déjà l’URSS jette les yeux vers la baie de Cam Ranh dont les USA ont fait la plus grande base d’Extrême Orient. Et tandis que le Monde libre ne cesse de discuter stérilement sur la construction d’une hypothétique Europe, le communisme étend de jours en jours sa domination et gagne à la partie... « Prenons garde ! », dit Raoul Salan."
Presses de la Cité, 1970-1974, 4 vol. in-8°, 443, 479, 445 et 380 pp, 156 planches de photos et documents hors texte, 42 cartes, index, cartonnages éditeur, dos lisses avec titres dorés, jaquettes illustrées (sur les 3 premiers volumes ; manque la jaquette du tome IV), bon état. Edition originale
Complet en 4 volumes : I. Le sens d'un engagement (juin 1899 – septembre 1946) – II. Le Viêt-minh, mon adversaire (octobre 1946 – octobre 1954) – III. Algérie française (1er novembre 1954 – 6 juin 1958) – IV. L'Algérie, de Gaulle et moi (7 juin 1958 – 10 juin 1960). — "Dans le premier volume de ses Mémoires, le général Salan, a retracé ses premières années d'Indochine de 1924 à 1937, alors qu'il était jeune officier au Laos et au Tonkin, ainsi que les affrontements diplomatiques et militaires qui, entre octobre 1945 et septembre 1946, ne firent que retarder l'ouverture de la guerre en Indochine du Nord où il commandait le C.E.F.E.O. Il ne devait pas cesser, ensuite, d'être impliqué dans le conflit ; aux plus hautes responsabilités, puisqu'il fut l'adjoint du général de Lattre et exerça le commandement en chef par intérim à deux reprises, notamment de novembre 1951 à mars 1953 ; et jusqu'à la fin, puisqu'il retourna en Indochine en juin 1954, comme adjoint du général Ely, diriger les opérations d'évacuation du Nord. Ses souvenirs intéressent avant tout l'histoire militaire proprement dite et composent une chronique vivante des activités du haut et des principales opérations. De l'offensive sur Caobang et Bac Kan à l'automne 1947 jusqu'à l'opération « Auvergne » dans le delta du fleuve Rouge en juin 1954, celles-ci sont toutes relatées, à l'exception de Dien Bien Phu. L'exposé des plans de bataille et de leurs développements sur le terrain est détaillé, et on le suit facilement grâce aux nombreux croquis qui le résument. Il est complété par de nombreux extraits de documents et de officiels dont l'auteur fut le signataire ou le destinataire. Le témoignage est à classer parmi les sources de l'histoire militaire de la guerre d'Indochine. (...) En dehors même de son intérêt pour l'histoire militaire, ce deuxième volume de Mémoires, témoignage « de l'intérieur » sur la vision des hauts responsables français en Indochine, n'est pas à négliger." (Daniel Hémery, Revue française d'histoire d'outre-mer, 1973, à propos du tome II)
Presses de la Cité, 1971, fort in-8°, 479 pp, 32 pl. de photos et documents hors texte, 23 cartes, cart. éditeur, sans la jaquette, bon état
Tome II seul (sur 4). — "L’Indochine française, soumise de février 1940 à août 1945 à l’occupation japonaise, connaît, dès septembre 1945, la période chinoise, l’installation du Viêt-minh, puis la « convention préliminaire » signée à Hanoi le 6 mars 1946 et la demi-rupture à la conférence de Fontainebleau au mois de septembre de la même année. Le premier livre de mes mémoires relate cette époque jusqu’au départ de France de Hô Chi Minh pour rejoindre son pays. Le président est rentré chez lui ; des incidents où nous déplorons des morts se produisent au Tonkin et en Cochinchine. Je demeure sans commandement mais ne puis me désintéresser de ce qui se passe là-bas, et c’est malheureusement inactif que je suis les événements. Des camarades, à leur retour, m’informent. Je rencontre à Paris, venu en mission, le colonel Trocard, chef du 2ème bureau du commandant supérieur des forces françaises d’Extrême-Orient, ancien officier du service de renseignement inter-colonial que je dirigeais en 1937-1939. – C’est une guerre qui s’annonce, lui dis-je, prenez vos dispositions... Trocard sera tué quelques semaines plus tard. Mon vieux camarade, le général Valluy, dans ses lettres, me fait part de ses craintes. Le général Leclerc me demande souvent d’aller le voir à l’hôtel Continental où réside son état-major. Il me dit combien il se désespère de n’avoir pas été écouté. Puis le 19 décembre 1946, c’est l’attaque soudaine de Hanoi par le Viêt-minh. Des semaines difficiles commencent. Bien que je n’en ai pas été le témoin direct, je les décris en me basant sur les documents que j’ai recueillis. Le début de l’année 1947 passe. Valluy me demande de revenir pour mener une offensive contre les forces Viêt-minh, dont le gros s’est replié en haute région dans le Cao-Bac-Lang (provinces de Cao-Bang, Bac Kan, Langson ) que je connais bien. J’accepte et en mai je repars. Désormais, il faudra se battre... les combats menés par les forces françaises se termineront par la signature des accords de Genève le 22 juillet 1954. Je quitte Saigon le 9 octobre suivant. Nous avions perdu l’Indochine, le plus beau fleuron de l’Empire Français. C’est la période qui va d’octobre 1946 à octobre 1954 que je décris dans ce tome de mes mémoires. A la fin de cet ouvrage, en quelques pages, je donne mon sentiment sur la phase actuelle de la guerre et sur la situation présente du Viêt-nam... cette guerre qui dure toujours. Elle avait commencé le 19 décembre 1946, il y a un quart de siècle. La prédiction d’Hô Chi Minh : « Nous irons vers une guerre de cent ans... » Va-t-elle se réaliser ?" — "... Le général Salan ne devait pas cesser, ensuite, d'être impliqué dans le conflit ; aux plus hautes responsabilités, puisqu'il fut l'adjoint du général de Lattre et exerça le commandement en chef par intérim à deux reprises, notamment de novembre 1951 à mars 1953 ; et jusqu'à la fin, puisqu'il retourna en Indochine en juin 1954, comme adjoint du général Ely, diriger les opérations d'évacuation du Nord. Ses souvenirs intéressent avant tout l'histoire militaire proprement dite et composent une chronique vivante des activités du haut et des principales opérations. (...) En dehors même de son intérêt pour l'histoire militaire, ce volume de Mémoires, témoignage « de l'intérieur » sur la vision des hauts responsables français en Indochine, n'est pas à négliger." (Daniel Hémery, Revue française d'histoire d'outre-mer, 1973)
1966 Paris, éditions Rouff, 1966, 11,5 x 16,5 , 191 pp, couverture jaune,
collection : "Dossiers de l'histoire". edition originale-envoi-
Paris, Fayard, 1978 ; in-8 broché ; 4ff.-405pp.-1f. 8ff. hors-texte d'illustrations en noir. Couverture à rabats. Bon état.
Préface de Hélie de Saint-Marc.
Fayard, 1977, gr. in-8°, 432 pp, 16 pl. de photos hors texte, chronologie, 7 cartes et documents, broché, couv. illustrée, bon état. Bien complet des 2 cartes en dépliant volant
L'odyssée du 5e Etranger, 1940-1945. — La Légion ouvre ses portes à tous, venus du monde entier, qui parlent toutes les langues, à tous ceux qui refusent de subir leur destin et de vivre asservis. L'un fomente un complot contre les bolcheviks, un autre s'enfuit d'Autriche parce qu'il a du sang juif et que les nazis le cherchent, un troisième, chef d'une compagnie de jeunesses hitlériennes, a insulté un ministre de Hitler. Ils se retrouvent à la Légion, leur famille à présent. Une clause de l'armistice de 1940 prévoit le retour des sujets allemands dans leur pays. Pour beaucoup, ce serait la mort. Un détachement clandestin est constitué qui rejoindra, après cinq mois, l'Indochine à la fin de 1941. L'entraînement, les parachutages et les batailles sont l'ordinaire de ces hommes, attaqués en mars 1945 par les Japonais, avec une sauvagerie inouïe. Ils « sauvent l'honneur », presque seuls à lutter. Tels sont ces sous-officiers qui font la force de la Légion et dont les meilleurs mériteraient de porter, avec le galon d'adjudant-chef, le cercle d'or des Maréchaux de France sur lequel sont gravés ces mots : « Terror Belli, Decus pacis » (Terreur de la guerre, Honneur de la paix). (4e de couverture)
1975 Editions Fayard - 1975 - In-8, broché, couverture illustrée - 169 pages
Bon état - Dos et bords de l'ouvrage légèrement insolé - Infimes frottements sur la couverture Bon
La Table Ronde, 1967, in-8°, 289 pp, une photo hors texte, broché, jaquette illustrée, bon état
Pierre Sergent, ancien résistant devenu légionnaire, participa activement au putsch d'avril 1961 alors qu'il commandait la 1ère compagnie du 1er REP. Reconstituant cet épisode à l'aide du journal qu'il tenait à l'époque, il en évoque les moments les plus dramatiques jusqu'à l'échec du mardi 25 avril. La situation se retourne à ce moment ; Pierre Sergent rend le général Challe responsable d'abandon et décrit ainsi la décision qui va le conduire à devenir membre de l'OAS : "Vaincu, je ne songe pas à me rendre. [...] Peut-on se rendre lorsque l'on n'a aucun reproche à se faire, lorsque l'on méprise les procédés de son vainqueur, lorsque l'on a le sentiment de servir une cause plus noble et plus généreuse que celle de son adversaire ? Puisque c'est sa force qui fait son droit, qu'il l'emploie donc contre moi. Je ne céderai que forcé. Mais, jusque-là, je porterai témoignage." — "Comment un officier qui, jeune, possède déjà de brillants états de service et semble promis à une très belle carrière choisit-il le refus, la révolte, c'est ce que peut faire comprendre le livre du capitaine Sergent. « J'ai décidé de parler, expose-t-il. Je dépose sans crainte et sans haine. » L'honnêteté, la hauteur de vues sont en effet la marque de ces pages. Nous y voyons le jeune Pierre Sergent, à 17 ans, partir pour un maquis du Loiret. D'une famille bourgeoise qui a de solides attaches paysannes, il a été terrassé par la défaite et l'occupation, il a vivement souffert – comme on souffre dans l'adolescence – de la sclérose et de la fatigue d'une France qu'il voulait grande et héroïque. Ce sentiment commandera sa vie. Il entre à Saint-Cyr, choisit la Légion, se bat en Indochine d'abord, puis en Algérie. Chef humain, il sait parler de ses hommes. Attentif à comprendre le temps et l'action où il est engagé, il sait qu'au défi qui est lancé il faut répondre par une action immense qui mobiliserait toute l'énergie et toute la générosité françaises. Déçu il ne renonce pas. Le livre se termine avec l'échec du putsch d'Alger. On y trouvera moins de révélations sur tel ou tel point d'histoire que la définition d'une ligne d'action qui a mené Pierre Sergent jusqu'à la révolte et à l'exil." (Revue des Deux Mondes, 1967)
Economica "Guerres & guerriers" 2011, in-8 broché, 206 p. (initiales et date écrits en page de faux-titre, sinon bel état) Illustrations et dessins in-texte, index des noms. Jeune lieutenant, l'auteur décrit sans complaisance l'odieux traitement qu'il eut à subir dans les mains du viêt-minh, brimades et marches épuisantes s'accompagnant toujours d'un redoutable lavage de cerveau...
Exemplaire enrichi d'un ENVOI AUTOGRAPHE de L'AUTEUR à Pierre Sabatier d'Espeyran Pierre Sabatier d'Espeyran (1892-1989) est homme de lettres, écrivain, romancier, auteur, dramaturge, compositeur et critique d'art français. Reliure demi-toile, dos lisse orné d'un fleuron, pièce de titre, couvertures conservées, 18x12, très bel état, 206pp. Paris, Durassié, 1968. Edition Originale. ref/277
Paris : Flammarion, impr. 2005. In-8 (24 cm), couverture souple illustrée, 16 p. de pl. hors texte en noir, en appendice, choix de documents. - Bibliogr. p. 419-426. Index, 434 pages, 600 gr.
Très bel état
Ed. Robert Laffont, Paris, 1977 in-8 broché, couverture illustrée en couleurs 307 pp. Albert Spaggiari, connu pour "le casse du siècle" nous livre ici un poignant récit d'une belle écriture sur sa période de guerre en Indochine.
Paris Editions Robert Laffont 1977. In-8 broché couverture illustrée 306pp. Exemplaire en bon état de ce témoignage poignant sur la Guerre d'Indochine par Albert Spaggiari, moins connu pour son indéniable talent de conteur que pour l'affaire du spectaculaire "casse de Nice". (4725)
Paris, VENDEMIAIRE, 2013, fort in-8, Broché, 553 pages. Très bon état.
Paris, Nouvelles Editions Latines, coll. Survol du Monde, 1964, in-12, broché, 158p. Bon état.
Paris, Fayard, 1968, in-8, broché, 197 pages. Couverture insolée. Intérieur bon.
Editions France-Empire 1999, in-8 broché, 409 p. (plis au dos, sinon très bon exemplaire ; épuisé) Cahier photos, glossaire et index. Un des témoignages les plus précis sur la vie dans les camps du Viêt-minh.
France-Empire 2001, grand in-8 broché, 629 p. (pliure au quatrième de couverture, sinon très bon état, avec envoi de l'auteur ; épuisé) Cahier photos, bibliographie et index. Toute la guerre reconstituée à partir de 140 témoignages, du général au simple soldat ; un livre solide.
France-Empire, 1997, gr. in-8°, 223 pp, préface de Philippe Franchini, 8 pl. de photos hors texte, index des personnes citées, broché, couv. illustrée, bon état
Indochine, octobre 1950. Au nord du pays, la Chine de Mao tend la main au "parti de l'Indépendance vietnamienne" d'Hô Chi Minh. Devant la menace, le commandement français décide d'évacuer les postes les plus exposés bordant la frontière. De violents combats s'engagent. En quinze jours, la moitié des soldats français mourra. Les autres prendront le chemin des camps... où les deux tiers succomberont. Quelques-uns, miraculeusement, résisteront à la faim, à la maladie, à la nature hostile, à l'ambiance avilissante, à la perfidie des commissaires politiques. Amédée Thévenet est de ceux-là. Sans ressentiment, il raconte son histoire et celle de ses compagnons d'infortune. Il témoigne pour ceux qui ne sont pas revenus, il témoigne pour que l'on sache quelles ont été leurs souffrances. Un livre poignant qui fait appel à l'émotion la plus pure.