Librairie des Connaissances Médicales. Non daté. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur bon état. 119 pages. Tampon sur le 1er plat.. . . . Classification Dewey : 306.74-Prostitution
'Bibliothèque populaire' des Sciences médicales. Classification Dewey : 306.74-Prostitution
Les Presses d'aujourd'hui. 1975. In-12. Broché. Etat d'usage, Couv. légèrement passée, Dos satisfaisant, Papier jauni. 212 pages - couverture jaunie.. . . . Classification Dewey : 306.74-Prostitution
Collection la France Sauvage. Classification Dewey : 306.74-Prostitution
Olivier Orban 1975, in-8 broché, couverture illustrée, 269 p. (pli marqué au dos, sinon bon état) Edition originale ; cahier photos. Couvrant la période 1930-1946, ce sont les souvenirs haut en couleurs de la tenancière d'un des plus mythiques bordels parisiens…
Olivier Orban, 1975, in-8°, 269 pp, 8 pl. de photos hors texte, broché, couv. illustrée, bon état
L'histoire du célèbre bordel du 122 rue de Provence par celle qui le dirigea de 1930 à 1946. — "« Je me souviens de ces SS tout en noir, si jeunes, si beaux, souvent d'une intelligence extraordinaire, qui parlaient parfaitement le français et l'anglais », et avec ça « d'une éducation parfaite, adorant les femmes, et d'une délicatesse ! » Il y a peu d'humains à trouver les SS délicats, mais Fabienne Jamet, la taulière du One Two Two, l'un des plus célèbres bordels parisiens de l'entre-deux-guerres, en fait partie. Elle l'écrit sans fard dans cette espèce de biographie insensée de mauvaise foi, de méchanceté et de naïveté cynique : « Bien sûr, j'avais la haine des boches (sic), mais nous étions un établissement d'accueil, nous ne pouvions pas refuser de recevoir les hautes autorités de l'armée allemande. » Naturellement. Dès la fin de l'été 1940, la jeune maquerelle s'en va pleurnicher à la Kommandantur que c'est quand même un monde de voir son claque, au 122 de la rue de Provence, occupé par des troufions vert-de-gris. Pas tant que ça soit des schleus, le problème, non, mais du soldat bas de gamme, pas question. On y avait quand même vu Bogart, Dietrich, Michel Simon, Jean Gabin, l'Aga Khan, le roi des Belges, qui venaient pour le restaurant le Bœuf à la ficelle, et l'ambiance night de folie. Pour la trentaine de gagneuses, aussi, que les michetons fortunés lutinaient dans les 22 chambres décorées façon cinéma : la cabine de paquebot, la chambre corsaire avec baldaquin qui tangue, l'igloo, la chambre des supplices, très prisée, les chambres grecques et romaines, la galerie des glaces ou encore la chambre Renaissance, avec courtisanes de François Ier... La Kommandantur jugea la demande tout à fait justifiée, et classa les claques par ordre décroissant, attribuant les plus prestigieux, comme le Chabanais ou le Sphinx (dont les tauliers, le fait est assez rare pour être cité, partirent et entrèrent en Résistance) aux officiers. Et le tout-venant aux soldats. Les Allemands vont devenir les meilleurs clients des maisons, donnant raison à leur Führer qui appelait Paris « der sogenannte Puff Europas », le lupanar de l'Europe. On organise ça correctement : carte, formulaire, fiche de lieu et date des ébats, nom de la fille, capote distribuée, et accusation de « sabotage envers la Wehrmacht » si le toubib du bordel ne signale pas une fille malade. On ne rigole pas avec la chtouille dans l'armée allemande. Commentaire de Fabienne : « Rien du relâché de nos régiments à la bonne franquette.» Certaines pensionnaires se révoltèrent sûrement d'être vendues à l'occupant. Mais Vichy ayant promulgué un arrêté ministériel le 24 décembre 1940, accordant un statut légal aux tenanciers de maisons de tolérance, et la guerre étant ce qu'elle est, tout ce petit monde de la nuit accueillit donc à cuisses ouvertes officiers, SS, et hommes d'affaires « d'une nouvelle génération », comme le dit pudiquement Fabienne Jamet. Moins pudiquement, elle avoue ne s'être « jamais autant amusée de [ma] vie que pendant ces nuits de l'Occupation, qui ont été fantastiques »..." (Emmanuèle Peyret, Libération) — "Sous le titre One Two Two, ce livre retrace l'histoire de la "maison" la plus select du "gay Paris" de l'entre-deux-guerres, située rue de Provence, entre la gare Saint-Lazare et les grands magasins. Fabienne Jamet, qui s'appelle en réalité Georgette, née de mère corrézienne, âpre au gain, et de père inspecteur des mœurs, fut, si l'on peut dire, élevée dans le sérail. Ses parents tenaient un hôtel de passe modeste, mais propre, près de la gare Montparnasse. Par les trous de serrures et les persiennes mal jointes, la fillette sut très vite quel genre de sieste faisaient, au milieu de l'après-midi, les messieurs et les dames que ses parents recevaient. Sa vocation fut précoce et sa carrière bien conduite puisque, après avoir grimpé tous les échelons, et sans doute beaucoup d'étages, Fabienne se retrouva à la trentaine la patronne de l'établissement le plus réputé de la capitale et l'épouse du "tôlier" le plus respecté : Marcel Jamet. On était en pleine prospérité, et l'on sortait de la période faste de l'occupation qui avait amené au One Two Two "les SS tout en noir, si jeunes, si beaux, souvent d'une intelligence extraordinaire, qui parlaient parfaitement le français et l'anglais", quand la nouvelle république née de la libération transforma en profession de plein air un métier dont la sédentarité assurait jusque-là le confort. Fabienne y laissa ses bijoux, sa propriété à la campagne, sa belle auto, et Marcel, reconverti dans la cuisine pour compagnies aériennes, ses chemises de soie et sa santé. La vie était belle au One Two Two entre 1930 et 1946. Vingt-deux chambres "personnalisées" du style voilier de haut bord à celui des Indes galantes, en passant par la salle des tortures, la grange aux fées, la tente africaine, le cabinet de Barbe-Bleue, etc. Soixante-cinq filles toutes belles, sélectionnées dans les meilleurs "élevages", trois cents clients par jour vidant des magnums de Dom Perignon et dégustant des plats raffinés au restaurant du sixième étage. Et quels clients ! Des hommes politiques de tous les bords, des princes, des banquiers, de grands médecins, d'importants gangsters, des vedettes de théâtre, de cinéma, des auteurs dramatiques, des ecclésiastiques de haut rang, (et Fabienne donne des noms), venus boire un verre entre amis, avant d'épancher leurs soucis sur les épaules de belles demoiselles à la fois dociles et pleines d'imagination ! Les crises, les grèves, le Front populaire, les changements de gouvernement étaient sans influence sur la marche de la maison. En 1940, bien sûr, la clientèle évolua soudain. Les officiers allemands, les trafiquants du marché noir, les membres français de la Gestapo, entre deux séjours sur le front, entre deux contrats occultes, entre deux interrogatoires de résistants, venaient se détendre. Fabienne et Marcel ne trouvèrent pas aux marks de l'occupant ni aux billets volés au cours des perquisitions, chez les juifs, une odeur gênante. Et quand le dollar arriva avec les libérateurs, il fut pareillement encaissé. On inculqua simplement un nouveau vocabulaire aux pensionnaires toujours disposées à délasser le guerrier. Pour les proxénètes, la patrie c'est le coffre-fort. Le client est estimable quand il paie ; ce qu'il fait hors de l'univers clos de l'établissement ne regarde que lui. "M. Joanovici, dit Fabienne, était un être merveilleux ! M. Radecke, le patron de l'Abwehr, était devenu un intime de la maison... toujours un mot aimable !" Grâce à ce genre d'amis, on avait des ausweiss, du Champagne, des victuailles. "Ces soirées, j'ai presque honte de le dire (presque, seulement !), je ne m'étais jamais autant amusée de ma vie. Pourtant, c'est la vérité. Ces nuits de l'occupation ont été fantastiques", confesse encore Fabienne qui a. dès cette période, évincé ses rivales et épousé "Monsieur Jamet". La chute, à la fermeture des "maisons" en 1946, sera d'autant plus dure pour cette femme que son confort équivoque n'avait été acquis que par les condescendances les plus triviales. Ce qui étonne dans cette confession, c'est la sereine amoralité des propos. Aujourd'hui, l'immeuble aux persiennes enfin ouvertes appartient au Syndicat national des cuirs et peaux. La grande salle du rez-de-chaussée, l'ancien salon "du choix", autrefois décoré de nymphes peintes à fresques, a été loué à une banque..." (Maurice Denuzière, Le Monde, 1975)
André Martel. 1954. In-8. Broché. Etat d'usage, Couv. légèrement passée, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 218p, jaquette illustrée couleurs d'une photo est abimée aux coiffes.. Avec Jaquette. . . Classification Dewey : 306.74-Prostitution
Il y a des femmes dont le métier est de vendre du plaisir aux hommes. Classification Dewey : 306.74-Prostitution
Jean Chédaille. Préface d'Alphonse Boudard.
Reference : 22442
(1990)
ISBN : 2868080480
Paris, Christian Pirot, 1990, Broché, 207 pages. Bon état. Ill. N/B.
NB. Les commandes et questions sont traitées dans les 24 heures, les envois seront postés à partir du 22 septembre. Merci.
"1945. Paris Compagnie Française des Arts Graphiques 1945 tiré à 310 ex. num. 1/255 (n°212) sur pur fil des Papeteries de Marais - Sous emboitage couv. rempliée en feuilles 21 5 cm x 26 cm 72 pages 17 lithographies couleur dont 7 hors-texte pleine page - Texte de Jean de Tinan lithographies de Robert Bonfils - Très bon état"
1683 1683 placard 48x 34,5 cm,plié ,bon état
Le Camus (Jean) Lieutenant civil, puis maître des requêtes et Conseiller d’Etat (1637 ; 1710) Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 200 €
Albin Michel, collection "Illustration", 1981.In-8° broche, sous couverture illustree, 179 pages.Bon etat.
Réformes à opérer dans la service sanitaire. Discussion des règlements exécutés dans les principales villes d'Europe.- Paris. Baillière. 1868. In-12 (118 x 181mm) dos veau fauve à fx-nerfs, filets or et noir, pièce de titre rouge, plats mouchetés, gardes marbrées, X, 416, (3) pages. Dos un peu frotté, coins lgt émoussés, menus défauts mais bon exemplaire.
BAILLIERE & FILS. 1868. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Quelques rousseurs. 416 pages. Couverture muette.. . . . Classification Dewey : 306.74-Prostitution
Question générales d'hygiène, de moralité publique et de légalité. Mesures prophylactiques internationales. Réformes à opérer dans le service sanitaire, discussion des règlements exécutés dans les principales villes de l'Europe. Classification Dewey : 306.74-Prostitution
Paris, Baillière et Fils, 1868. Un volume in-8 demi maroquin marine, dos à nerfs sobre, titre et date dorés, tête dorée, 416 pages. Bel exemplaire agréablement relié, intérieur frais.
La librairie est ouverte du mardi au samedi de 9h30 à 12h30 et de 13h30 à 19h00. Commandes par courriel ou téléphone. Envoi rapide, emballage soigné. La librairie est ouverte du mardi au samedi de 9h30 à 12h30 et de 13h30 à 19h00. Commandes par courriel ou téléphone. Envoi rapide, emballage soigné.
Zéromacho. 2014. In-8. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 113 pages.. . . . Classification Dewey : 306.74-Prostitution
2e édition enrichie. Classification Dewey : 306.74-Prostitution
J-B BAILLIERE ET FILS .1874 . RELIURE EDITEUR . 648 PAGES .
Egalement disponible à 13 € ROSE DE LAVAL FILLES DE JOIE ET MAISONS CLOSES EDITIONS DE CREMILLE . 1994 . Bon état
Joanyd,Carliès,Stradel,Berlot,Elvhard - Krier Georges - Dumont Ernest
Reference : 103583
(1910)
Partitions sur la Prostitution , Cocottes , Courtisanes , Gigolettes Krier Georges 1910 approx.
Bon état Petit format
1954 Deux rives 1954 fort volume in 8, sous couverture rempliée et illustrée en couleurs, 185 pp illustrations en couleurs et en sanguineun des 900 exemplaire numérrotés sur vélin chiffon d'annonay (num 660)
Dans une longue lettre à une amie, Fanny lorpheline raconte les aventures quelle a connues après avoir quitté le village de son enfance. Avec franchise, elle évoque son expérience dun plaisir vécu dans son évidence et sa pleine mesure. Linitiation de Fanny dans une maison, les circonstances qui la conduisent à faire commerce de son corps avant de retrouver lamour de sa vie, lépanouissement érotique dont elle témoigne sont sans nul doute, pour leur accent de vérité, à lorigine du succès de ces Mémoires. Fanny Hill, la fille de joie sest en tout cas très vite imposé comme une oeuvre de première grandeur dans la littérature érotique du XVIIIe siècle. bon état
SELECTION DU READER'S DIGEST. 2001. In-8. Relié. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 189 pages augmentées de nombreuses planches en couleurs.. . . . Classification Dewey : 306.74-Prostitution
Classification Dewey : 306.74-Prostitution
Un ouvrage de 183 pages, format 135 x 205 mm, illustré de photographies, publié en 1985, bon état
Drame de la prostitution enfantine : histoire vécue
Phone number : 04 74 33 45 19
"1927. Paris Éditions Georges-Anquetil 1927 - Broché 12 5 cm x 19 cm XXIII+ 306 pages - Texte de Jules Violet - Etat d'usage-Dénonciation de la corruption et de la prostitution dans différents pays d'Europe et particulièrement en Grande-Bretagne"
Groningen, 1993 278pp. + 2pp. theses, 23cm., text in German, Doctoral Dissertation (Rijksuniversiteit Groningen, the Netherlands), softcover, stamp at verso of title page, text is clean and bright, G111898
Kellow Chesney, René Brest (Traduction)
Reference : RO20261399
(2007)
ISBN : 284734425X
TALLANDIER. 2007. In-12. Broché. Etat d'usage, Couv. convenable, Dos plié, Quelques rousseurs. 520 PAGES. . . . Classification Dewey : 306.74-Prostitution
Classification Dewey : 306.74-Prostitution
Bamboo Sinfonia Dos carré collé 2008 In-8 (14 x 21.5 cm), dos carré collé, 350 pages, photographies en noir et blanc ; coins un peu frottés, très bon état. Livraison a domicile (La Poste) ou en Mondial Relay sur simple demande.
1971 Ed. La Table Ronde - 1971 - In-8, broché - 243 p.
Assez bon état - Coins légèrement émoussés - Dos très légèrement insolé.
2020 Editions Seuil - 2020 - In-8, broché, couverture illustrée - 391 p.
Bon état - Coins légèrement émoussés et cornés - Menus frottements sur la couverture