GALLIMARD. 8-03-1963. In-8. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 296 pages. . . . Classification Dewey : 841-Poésie
Classification Dewey : 841-Poésie
L'Herne Paris, L'Herne 1971. In-4 broché, couverture illustrée 323 pages. Illustrations hors texte.
Cahier de l'Herne n° 15. Toutes les expéditions sont faites en suivi au-dessus de 25 euros. Expédition quotidienne pour les envois simples, suivis, recommandés ou Colissimo.
Poesie gallimard 1989 poche. 1989. broché. 3 volume(s). Bon Etat intérieur propre
in 4 broché,couverture imprimée ornée d’un dessin de Joan Miro,double page illustrée en noir de Joan Miro,faux-titre, titre,16 pages,1 feuillet de justificatif de tirage,double page illustrée de Miro Un des exemplaires numérotés sur vélin GLM éditeur Mars 1954.Très bon état, RARE Rare
Paris, Gallimard, 1975. 1 vol. in-8 broché de 46-[6] pages, couverture imprimée à rabats.
Edition originale tirée à 4'935 (!) exemplaires, celui-ci un des 85 sur vélin (94), second papier après 50 Hollande, mais avant 4'800 bouffant alfa. Neuf, non coupé. !!! !!! Du 3 octobre au 24 octobre il n'y aura pas d'expédition de colis: le libraire est en voyage. La librairie reste ouverte et nous répondrons sporadiquement aux emails. Merci pour votre compréhension. ––> From 3 October to 24 October, there will be no parcel deliveries as the bookseller will be travelling. The bookshop will remain open and we will respond to emails sporadically. Thank you for your understanding.
Paris, Gallimard, 1975. 14 x 21, 46 pp., broché, très bon état.
N° 4578 sur 4800 exemplaires numérotés sur papier bouffant d'alfa Libert.
Paris : Gallimard, 1975 - In-8 broché de 48 pages - nom inscrit sur la page de titre au stylo sinon bon état - Edition originale numérotée sur papier bouffant d'alfa -
S.l., Gallimard, (1975). Un vol. au format pt in-8 (204 x 139 mm) de 43 pp., broché.
''Ce siècle a décidé de l'existence de nos deux espaces immémoriaux : le premier, l'espace intime où jouaient notre imagination et nos sentiments ; le second, l'espace circulaire, celui du monde concret. Les deux étaient inséparables. Subvertir l'un, c'était bouleverser l'autre. Les premiers effets de cette violence peuvent être surpris nettement. Mais quelles sont les lois qui corrigent et redressent ce que les lois qui infestent et ruinent ont laissé inachevé ? Et sont-ce des lois ? Y a-t-il des dérogations ? Comment s'opère le signal ? Est-il un troisième espace en chemin, hors du trajet des deux connus ?'' Excellente condition.
1972 Paris, Jean Hugues, 1972, in 8° broché, 57 pages ; couvetrure rempliée.
Seconde édition, tirée à 1000 exemplaires numérotés, celui-ci sur papier vergé (n°363) ; elle est illustrée d'un portrait silhouette de l'auteur en frontispice (lithographie en couleurs de Nicolas de STAEL, exécutée pour la première édition de 1953). ...................... Photos sur demande ..........................
Phone number : 04 77 32 63 69
de la main à la main, s.l. (Nîmes), 1930. 1 volume in-4 (270 x 215 mm) broché sous couverture rouge (279 x 220 mm) imprimée du titre en noir sur le premier plat uniquement, 35 pp. + 2 fnch. Seconde édition, (en partie originale), très rare du premier recueil de poèmes de René Char augmentée de cinq nouveaux, les quatorze originaux étant ici modifiés. Avec, en frontispice, une illustration hors-texte du peintre catalan Francesc Domingo imprimée en noir. Aussi rare que la première (26 ex.) celle-ci a été tirée "qu'on le veuille ou non" à 39 exemplaires hors-commerce le 5 Février 1930 : 5 Vergé d'Arches + 7 sur Guérimand vert d'eau + 27 sur couché Prioux. Au colophon on lit : " Il est réconfortant de savoir que les imbéciles n'en sauront rien ". Celui-ci 1 DES 27 EXEMPLAIRES SUR COUCHÉ PRIOUX, numéroté 31. Sur le faux-titre, ENVOI AUTOGRAPHE SIGNÉ DE RENÉ CHAR AU POÈTE ET ÉCRIVAIN PIERRE UNIK. Le recueil est dédié à Paul Eluard.
Exemplaire personnalisé par le poète, conservé broché, en très bel état, sans la moindre décoloration des papiers. De toute rareté.
de la main à la main, s.l. 1930. 1 volume in-4 (270 x 215 mm) broché sous couverture rouge (279 x 220 mm) imprimée du titre en noir sur le premier plat uniquement, 35 pp. + 2 fnch. Seconde édition, (en partie originale), du premier recueil de poèmes de René Char augmentée de cinq nouveaux, les quatorze originaux étant ici modifiés. Avec une illustration hors-texte du peintre catalan Francesc Domingo imprimée en noir. Aussi rare que la première (26 ex.) celle-ci a été tirée "qu'on le veuille ou non" à 39 exemplaires hors-commerce le 5 Février 1930 : 5 Vergé d'Arches + 7 sur Guérimand vert d'eau + 27 sur couché Prioux. Au colophon on lit : " Il est réconfortant de savoir que les imbéciles n'en sauront rien ". Celui-ci 1 DES 7 EXEMPLAIRES SUR PAPIER VERT, numéroté et justifié à l'encre par René Char "EXEMPLAIRE D'ANDRÉ BRETON". Sur le faux-titre, René Char a ajouté de sa plume "Pour distraire Madame Marcelle Ferry, cet ARSENAL, René Char". Le recueil est dédié à Paul Eluard.
Exemplaire des plus précieux et d'une magnifique provenance. Marcelle Ferry (1904-1985), "femme surréaliste" a alors une liaison amoureuse avec André Breton. Celui-ci lui dédicacera un exemplaire de Violette Nozière ainsi : "À Marcelle / le sureau noir / le cornouiller sanguin / le bois de Ste Lucie / et toutes les autres fleurs, à / langage hermétique". Ses premiers poèmes "L'Île d'un jour" ne paraitront néanmoins qu'en 1938 aux Éditions surréalistes. Préservé broché, en parfait état sans la moindre décoloration des papiers.
GLM, 1950. In-12 broché, 46 p. L'un des 925 ex. num. sur alfama. Edition en partie originale. Quelques rousseurs, sinon bon état.
Port gratuit pour la France métropolitaine
Paris, GLM 1950, 190x113mm, 46pages, broché. Taches brunes sur page de garde, autrement bon état. Exemplaire numéroté sur papier Alfama 45/950.
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Édition originale. Un des 185 exemplaires sur papier Ingres rose. Précieux exemplaire offert à Raymond Roussel, le seul connu. Paris, Éditions Surréalistes, chez José Corti, (25 novembre) 1930. 1 vol. (185 x 235 mm) de [48] p. Broché. Édition originale. Un des 185 exemplaires sur papier Ingres rose (n° 38). Précieux exemplaire offert à Raymond Roussel, le seul connu. Envoi signé : « à Raymond Roussel », suivi de cette citation : « Il y avait un naufragé qui attirait tous les regards. Au lieu de crier : ‘Au secours, à l’aide, mon Dieu sauvez-nous !’ Il se bornait à s’accrocher à une fissure au rocher répétant avec un orgueil étrange en face d’une mort imminente : ‘qu’est-ce que je vous avais dit ? Vous voyez si j’avais raison !’ Ch. R. Maturin (Melmoth). » L’envoi est daté et signé « René Char, 4 avril 1931 ».
On connaît l’admiration passionnée de René Char et des surréalistes pour l’œuvre de Raymond Roussel. Dans son testament daté du 20 janvier 1933, quelques mois avant son suicide, ce dernier avait indiqué d’envoyer « un exemplaire de chacun de [ces] livres par la poste à Messieurs… ». Suivaient les noms et adresses de Robert Desnos, Paul Éluard, Tristan Tzara, Michel Leiris, Fernand Gregh, André Breton, Jacques-Émile Blanche, René Char, Salvador Dali, André Gide, Philippe Soupault, Louis Aragon et Edmond Jaloux, en joignant une lettre à l’adresse de ces « chers confrères » : « Songeant à la bienveillance que vous avez bien voulu manifester à mes livres, je me suis dit qu’il vous intéresserait peut-être de savoir par quel procédé très spécial j’ai écrit certains d’entre eux - procédé expliqué dans le manuscrit ci-inclus […] [Il s’agit de Comment j’ai écrit certains de mes livres] ». Artine semble être le seul livre que Char offrit à Raymond Roussel : le jeune poète n’avait publié, auparavant, que trois ouvrages : Les Cloches sur le cœur, en 1928, Arsenal, en 1929 et Le Tombeau des secrets, en avril 1930. Pour ces trois livres, aucun exemplaire n’est connu comme envoyé à Roussel, que Char, à ces dates, n’a pas encore rencontré. Sans doute grâce à l’amitié naissante avec Éluard et Breton, le rendez-vous n’aura lieu qu’au début de l’année suivante. Le poète lui offre alors Artine, son dernier livre paru, avec cette dédicace qui en appelle au chef-d’œuvre du roman noir gothique de Charles Maturin, Melmoth : ce roman-labyrinthe, construit en dédales et abîmes, renouvelle le thème faustien du pacte démoniaque et brosse avec fureur sur près de six cents pages la vie d’un « héros » possédé par le mal, pour qui le temps n’existe pas. Arrêtons-nous un instant sur cette présence, car elle est d’importance : le révérend Maturin, vicaire à Dublin, publie Melmoth ou l’Homme errant en 1820. L’ouvrage est traduit en français dès l’année suivante. Bien qu’incomplète, cette traduction d’un certain Jean Cohen marque les esprits des décennies durant. Nodier, Walter Scott, Banville, Nerval, Edgar Poe l’honorent ; Balzac, en premier, en écrit une suite, intitulée Melmoth réconcilié. « Pour lui, Melmoth a été une grande œuvre inspiratrice, à l’égal de Tristram Shandy de Sterne, des Contes d’Hoffman, des romans historiques de Scott : il est une source reparaissante, aux multiples résurgences, de l’œuvre balzacienne »(Le Yaouanc). Avant que Baudelaire ne s’en empare. Hanté par le regard insoutenable de ce « rire qui ne dort jamais », le poète évoque par deux fois, dans Les Curiosités esthétiques puis dans L’Art romantique, le « rire terrible de Melmoth », selon son expression, emblème satanique par excellence : « Aussi comme il rit, comme il rit, se comparant sans cesse aux chenilles humaines, lui si fort, si intelligent, lui pour qui une partie des lois conditionnelles de l’humanité, physiques et intellectuelles, n’existent plus ! Et ce rire est l’explosion perpétuelle de sa colère et de sa souffrance. Il est, qu’on me comprenne bien, la résultante nécessaire de sa double nature contradictoire, qui est infiniment grande relativement à l’homme, infiniment vile et basse relativement au Vrai et au Juste absolus. Melmoth est une contradiction vivante ». Insatisfait par ailleurs de la traduction, il projeta d’en donner une traduction plus conforme pour le compte des éditeurs belges Lacroix et Verboeckhoven, mais finalement ces derniers firent réaliser la traduction par Maria de Fos en 1867 - mais elle aussi toujours incomplète. C’est probablement André Breton qui signale l’existence du roman à René Char, ainsi qu’aux autres membres du groupe surréaliste. Breton, dès lors, ne lâchera plus le texte et sera à l’origine de son édition, enfin complète, en 1954 chez Jean-Jacques Pauvert. Jacqueline M.-Chadourne, la traductrice de cette version moderne, précise que les parties retranchées correspondent surtout aux passages où le romancier « donne le plus libre cours à ses assauts contre les jésuites, l’Église romaine, l’Inquisition en Espagne, les misères des couvents, le sadomasochisme monacal, bref contre toutes les perversions d’une religion, fondée selon lui, sur la souffrance et les tourments. Là, Maturin pousse aux extrêmes la dialectique de la révolte luciférienne » (note du traducteur de la première traduction intégrale en français, Phébus, 1996, p. 29). « Ce célèbre roman noir dont l’imagination frénétique atteignit un degré qui ne fut égalé que par Le Moine de Lewis […] exerça une influence énorme sur la littérature fantastique française » (Marc Loliée) et constitue « l’apogée du roman noir. Il eut une influence considérable sur la jeunesse romantique, sur Balzac qui déclarait que Melmoth était égal et par endroits supérieur au Faust de Goethe (…) André Breton en fit le plus grand cas » (Gérard Oberlé). Ce concentré couleur de nuit, que ni Sade ni Goya n’auraient reniés, fascina également Lautréamont, ainsi que le rappelle André Breton dans la préface qu’il donne en tête de l’édition Pauvert : « il n’est pas douteux que Lautréamont a pourvu Maldoror de l’âme même de Melmoth. Il s’agit bien dans les deux cas, non point du démon lui-même, mais de l’agent du démon : l’“ennemi du genre humain”. Le génie de Maturin est de s’être haussé au seul thème qui fût à la mesure des très grands moyens dont il disposait : le don des noirs à jamais les plus profonds, qui sont aussi ceux qui permettent les plus éblouissantes réserves de lumière. Il tenait l’éclairage voulu pour appeler à s’y inscrire le problème des problèmes, celui du mal ». Dans cette même préface, dont l’intérêt est aussi grand que celle rédigée en 1931 par Artaud pour la traduction du Moine, Breton précise que « la présente réédition de Melmoth, ou l’Homme errant vient combler une des plus considérables lacunes de cette information qui nous est nécessaire non seulement pour l’élucidation du problème des sources - on en a rarement vu jaillir d’aussi fécondantes - mais encore pour la fixation d’un point véritablement crucial de l’histoire des idées », celui de l’union du ciel et de l’enfer : certes, ce moment unique a été guetté par Blake et Hugo mais Maturin, lui, « n’a eu besoin que de sonder à l’origine les profondeurs du cœur ». Breton donne alors en exemple la réponse d’Immalee à son amant satanique : « Vous devez m’apprendre à souffrir et je serai bientôt préparé à entrer dans votre monde, mais j’aime mieux pleurer sur vous que sourire sur des roses ». Charles R. Maturin est accessoirement le grand-oncle d’Oscar Wilde, qui puisera dans Melmoth quelques éléments pour son Portrait de Dorian Gray, notamment celui du tableau caché dans le grenier. À sa sortie de prison, Wilde adopte d’ailleurs le pseudonyme de Sébastien Melmoth, s’identifiant au héros maudit créé par son grand-oncle par alliance. Signalons enfin que Humbert Humbert, le héros du Lolita de Vladimir Nabokov, avait baptisée sa voiture Melmoth. Roussel lui offrira l’année suivante ses Nouvelles impressions d’Afrique, avec un envoi plein de gratitude, daté de décembre 1932. C’est, là aussi, le seul exemplaire connu de Roussel envoyé à René Char. Cet envoi, du printemps précédent, est remarquablement poétique, noir et prémonitoire de la disparition de Roussel, que l’on retrouve mort dans sa chambre d’hôtel à Palerme le 14 juillet 1933. Exemplaire bien complet du prière d’insérer.
Paris, Gallimard, 10 avril 1951. Grand in-8, broché, (19 cm x 24), 49 pp. -[2] ff. Les Vignettes ont été dessinées par Louis Fernandez.
Edition originale. Un des exemplaires numérotés sur vélin Plumex. N° 453. Bel exemplaire. Photos sur demande.
Marseille Cahiers du Sud 1963 in-8 plaquette agrafée Sl [Marseille], Cahiers du Sud, 1963. 21 x 13,5 cm, 13 (2) pp., plaquette agrafée sous couverture imprimée.
Edition originale de cette deuxième version. Tiré à part du n° double 373-374 des "Cahiers du Sud". Tirage à 120 exemplaires (n° 35). Bel exemplaire (une rousseur en couverture). Très bon
S.l. [Alès] PAB 1955 1 vol. broché 1 feuillet rempliée in-16 carré. Édition originale. Exemplaire sur vélin crème numéroté 42/48 et signé par PAB. En parfait état.
PAB PAB, 1955. In-32 en feuillets, sous couverture rempliée non paginé. Tirage limité à 130 exemplaires, celui-ci n°96 sur rives BFK. Peu courant. Bel état
Toutes les expéditions sont faites en suivi au-dessus de 25 euros. Expédition quotidienne pour les envois simples, suivis, recommandés ou Colissimo.
P., NRF, Gallimard, 1977, in 8° broché, 86 pages.
Edition Originale tirée à 5385 exemplaires numérotés, celui-ci un des 5250 sur bouffant alfa Libert (le notre porte le n°3373). ...................... Photos sur demande ..........................
Phone number : 04 77 32 63 69
Paris, Gallimard, 1977. In-8 broché de 80-[10] pages, couverture à rabats. Non coupé.
Edition originale tirée à 5385 (!) exemplaires, celui-ci un des 85 sur vélin d’Arches (82). !!! !!! Du 3 octobre au 24 octobre il n'y aura pas d'expédition de colis: le libraire est en voyage. La librairie reste ouverte et nous répondrons sporadiquement aux emails. Merci pour votre compréhension. ––> From 3 October to 24 October, there will be no parcel deliveries as the bookseller will be travelling. The bookshop will remain open and we will respond to emails sporadically. Thank you for your understanding.
1977 Paris NRF Gallimard 1977 Un volume in°8 broché 80 pages. Eo numérotée Un des 5250 ex sur Vélin Bouffant
Très bon état dos légèrement jauni N'hésitez pas à nous mettre dans vos favoris. Vous serez ainsi tenu au courant de nos nouveautés
S.l., Gallimard, (1990). Un vol. au format pt in-8 (206 x 139 mm) de 80 pp., broché.
''Les mots qui vont surgir savent de nous ce que nous ignorons d’eux. Un moment nous serons l’équipage de cette flotte composée d’unités rétives, et le temps d’un grain, son amiral. Puis le large la reprendra, nous laissant à nos torrents limoneux et à nos barbelés givrés''. Rares et très discrètes rousseurs affectant le premier et le dernier feuillets. Du reste, très belle condition.
Gallimard Broché 1982 In-12 (14,1 x 20,5 cm), broché, 80 pages ; rousseurs et traces sur les plats, coin inférieur du premier plat corné, par ailleurs intérieur frais, assez bon état général. Livraison a domicile (La Poste) ou en Mondial Relay sur simple demande.
Paris, Éditions Gallimard, Collection NRF, 1978, 1 vol. (20,5 x 14 cm). 81 p. suivies de 2 f. de table, d'un f. de liste de oeuvres du même auteur et d'un f. d'achevé d'imprimer et de justification. Édition originale en édition courante. René Char (1907-1988) : poète français.
Broché cousu sous couverture souple, imprimée. Couverture salie et piquée très modérément, intérieur très frais. Bon exemplaire.