Lucien Vogel éditeur, Paris 1924, 18x24cm, une feuille.
Estampe originale en couleur, tirée sur papier vergé, signée en bas à droite de la planche. Gravure originaleréalisée pour l'illustration deLa Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: «En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France.» («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Lucien Vogel éditeur, Paris 1921, 18x24cm, une feuille.
Estampe originale en couleur, tirée sur papier vergé, signée en bas à droite dans la planche. La Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: «En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France.» («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Lucien Vogel éditeur, Paris 1922, 18x24cm, une feuille.
Estampe originale en couleur, tirée sur papier vergé, non-signée. La Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: «En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France.» («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Lucien Vogel éditeur, Paris 1922, 18x24cm, une feuille.
Estampe originale en couleur, tirée sur papier vergé, non-signée. La Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: «En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France.» («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Librairie artistique et littéraire, Paris Décembre 1906, 27,5x35,5cm, broché.
Edition originale de ce numéro entièrement consacré à Auguste Rodin. Texte de Gustave Kahn. Ouvrage illustré de reproductions d'oeuvres d'Auguste Rodin. Traces de frottements sur le dos, petites déchirures marginales sur les plats, agréable état intérieur. Rare envoi autographe signé d'Auguste Rodin à son ami Edmond Bigaud-Kaire. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Paris, Grasset, 1911, 1 volume, in-8 carré, relié, 318 p.. Edition originale. Nombreuses illustrations noir et blanc. Envoi autographe signé de Paul Gsell. Reliure d'époque, demi basane marbrée fauve clair, dos à 4 nerfs allant par deux, filets et fleurons dorés et à froid, pièces de titre de maroquin noir, tête dorée, petites épidermures, petite usure aux angles et aux coupes.
Bel exemplaire. ************* Remise 20 % pour toute commande supérieure à 100 €, envoi gratuit en courrier suivi et assurance à partir de 30 € d'achat (France seulement).
S.n., s.l. s.d. (circa 1900), 11,5x19cm, broché.
Edition originale imprimée à petit nombre sur vergé de Hollande. Ouvrage illustré, en frontispice, d'une esquisse de A. Rodin. L'oeuvre et ses aventures, Rodin dessinateur, caractères et projets et commentaires par Léon Riotor. Rare et agréable exemplaire. - Photos sur www.Edition-originale.com -
S.n., s.l. s.d. (circa 1900), 11,5x19cm, broché.
Edition originale imprimée à petit nombre sur vergé de Hollande. Envoi autographe signé de Léon Riotor à Gustave Coquiot en tête du premier plat de couverture. Ouvrage illustré, en frontispice, d'une esquisse d'Auguste Rodin. L'oeuvre et ses aventures, Rodin dessinateur, caractères et projets et commentaires par Léon Riotor. Une petite tache claire en tête du premier plat, légères déchirures marginales sur les plats, agréable état intérieur. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Paris, éd. Lapina s.d. (collection les Images du temps VII). Bel exemplaire broché, couverture rempliée d'éd., gd in-8 numéroté sur Vergé de Rives B.F.K. no 691/1100, 169 pages + planches.
Paris-La Haye : Mouton, 1969. Plaquette in-8 brochée, 26 pages. Édition originale. Tiré à part du volume collectif : Marx et la pensée scientifique moderne, paru chez Mouton en 1969. Envoi autographe signé de l’auteur : « Pour M. de Gandillac en lui demandant de m’excuser de lui envoyer si tard un article qu’il m’avait fait demander, bien amicalement M. Rodinson ». Une note autographe de l’auteur précise en couverture que le texte a d’abord paru dans la revue DIOGENE, n° 64, octobre-décembre 1968.
Exemplaire provenant de la bibliothèque de Maurice de Gandillac (1906-2006). Eminent universitaire spécialiste de la philosophie de la Renaissance et germaniste, il a dialogué avec tous ceux qui ont compté dans la pensée européenne : Husserl, Cassirer, Heidegger, Sartre, Raymond Aron ... Professeur de philosophie à la Sorbonne, son influence fut déterminante pour les principaux penseurs de la "French Theory" : Michel Foucault, Gilles Deleuze, Jacques Derrida, Jean-Francois Lyotard, Paul Ricoeur, Louis Althusser... Il fut également au centre de la vie intellectuelle française en dirigeant, avec son épouse Geneviève, l'Association des Amis de Pontigny-Cerisy, organisatrice des colloques du Centre culturel international de Cerisy-la-Salle.
1854 Paris, Victor Lecou, 1854. 18x27,5 cm. Édition originale, magnifiquement illustrée d'après les dessins de Töpffer. Magnifique reliure en demi maroquin vert à grands coins. Dos lisse élégamment orné de motifs dorés, et d'une pièce de titre sur maroquin rouge. Filets dorés sur les plats. Tranche supérieure dorée. Couverture d'origine conservée. Six pages (les premières) dégraffées mais présentes, sinon très bon exemplaire. Envoi de photographies sur demande.
Langue
Au bureau du Globe, Paris 1832, 13,5x21,5cm, broché.
Edition originale suivie de l'édition originale de la traduction française établie par l'auteur de 'L'éducation du genre humain' de Lessing. Rare et bel exemplaire malgré quelques petites rousseurs. - Photos sur www.Edition-originale.com -
P., Dentu, 1872, in-12, 254-(5) pp, reliure demi-percaline violine, dos lisse avec fleuron et date en queue, pièce de titre basane noire, plats de couv. conservés (rel. de l'époque), bon état, mais il MANQUE un cahier de 10 pp (pages 157 à 166). Edition originale. Rare
Démissionnaire en mars 1864, Leone Giuseppe Franchetti (1834-1870), Livournois entré au service de la France en 1855, reprit du service comme chef d'escadrons au moment de la déclaration de guerre franco-prussienne. Il commanda alors les Eclaireurs à cheval de la Seine, plus communément appelés « Eclaireurs Franchetti » et c'est à la bataille de Champigny (2 décembre 1870) qu'il reçut la blessure qui devait l'emporter. (Palat, p. 397)
Edition liberté 1934.Demi-maroquin rouge in-12,198 pp., édition originale, sur papier courant, couverture originale et dos conservés,papier jauni,;dos à nerfs,usures aux coins.Q3.
Ediciones Poligrafa, Barcelona 1974, 244p., relié.
Edition originale. Texte en espagnol, nombreuses illustrations en couleur. Une petite mouillure en pied de la jaquette, sinon agréable exemplaire. - Photos sur www.Edition-originale.com -
L'Estampe Moderne, Imprimerie Champenois pour CH. Masson & H. Piazza, Paris 1898-1899, 30x40cm, une feuille.
Lithographie originale en couleur exécutée spécialement par l'artiste pour l'Estampe Moderne. Epreuve tirée sur vélin fort protégé par une serpente imprimée, timbre sec de l'éditeur en marge inférieure. Signature de l'artiste dans la planche. Très bel exemplaire. Editée par Ch. Masson et H. Piazza, les deux années de l'Estampe Moderne constituent une des plus belles réalisations lithographiques de l'époque. Chaque estampe est une oeuvre originale réalisée spécialement pour la revue par les plus grands artistes français et étrangers représentant des courants Symbolistes, Art Nouveau, Orientalistes et "Belle Epoque". - Photos sur www.Edition-originale.com -
Imprimerie Champenois pour CH. Masson & H. Piazza, Paris 1898, 30x40cm, une feuille.
Lithographie originale en couleurs exécutée spécialement par l'artiste pour l'Estampe Moderne. Epreuve tirée sur vélin fort protégée par une serpente imprimée, timbre sec de l'éditeur en marge inférieure. Signature de l'artiste dans la planche.Très bel exemplaire. Lithographie inspirée d'un poème intituléLes Fraisesde P. Dupontdont un extrait est reproduit sur la serpente de l'estampe. Editée par Ch. Masson et H. Piazza, les deux années de l'Estampe Moderne constituent une des plus belles réalisations lithographiques de l'époque. Chaque estampe est une oeuvre originale réalisée spécialement pour la revue par les plus grands artistes français et étrangers représentant des courants Symbolistes, Art Nouveau, Orientalistes et "Belle Epoque". - Photos sur www.Edition-originale.com -
Apud Victorinum Bossiegel, Goettingae (Goettingen) 1783, In-12 (10,5x17,5cm), (6) XXXVIII 331pp. (1), relié.
Seconde édition latine, illustrée de 3 planches dépliantes in fine. Reliure en demi basane d'époque. Dos lisse orné de 3 caissons à la grotesque, 2 fleurons. Pièce de titre de veau rouge glacé. Coiffes arasées. Mors fendus en tête et queue. Rousseurs. Etude exhaustive de la Typhoïde, que les auteurs confondent avec la dysenterie et d'autres fièvres communes. Lors de l'épidémie grave de typhoïde qui sévit à Goettingen de 1757 à 1763, Roederer, professeur de médecine dans la même ville, publia en 1762 (avec l'aide de son assitant Wagler qui pratiquait l'autopsie des corps) une relation très précise du développement de la maladie. Ouvrage important sur le sujet. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Typographie de Firmin Didot frères, Paris 1835, 13,5x21,5cm, broché.
Edition originale. Notre exemplaire est présenté sous verte couverture d'attente de reliure, étiquettes de titre encollées sur le dos et sur le premier plat. Quelques petites rousseurs sans gravité, une tache claire sur la page de titre en dessous de l'envoi autographe. Envoi autographe de Paul-Louis Roederer : "Donné à mademoiselle Neydé par l'auteur". - Photos sur www.Edition-originale.com -
Imprimerie de Firmin Didot, Paris 1819, 13,5x21cm, broché.
Edition originale présentée dans son brochage d'origine. Tampon imprimé de bibliothèque sur la page de titre, rousseurs. Exemplaire présenté sous couverture muette et bleue d'attente, étiquette de titre encollée en tête du dos, petits manques et déchirures angulaires sur les plats. Provenance : de la bibliothèque du comte de Montalembert avec son ex-libris à la plume en tête de la page de faux-titre. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Typ. A. Hennuyer, Paris 1897, 16x24,5cm, broché.
Edition originale. Notre exemplaire se présente sous couvertures renforcées sur lesquelles ont été encollés les plats d'origine qui comportent des piqûres, quelques piqûres marginales intérieures sans gravité, dos muet. - Photos sur www.Edition-originale.com -
S.n., à Londres 1750, in-12 (10x17cm), 59pp., relié.
Edition originale française. Reliure en plein veau d'époque marbré et glacé. Dos à nerfs orné de 5 fleurons. Pièce de titre en maroquin rouge. Une fente au mors inférieur en tête. Réponse à la lettre adressée à la société royale de Londre par John Hill, où celui-ci affirmait et démontrait qu'une femme peut concevoir et enfanter sans commerce charnel, et qu'il pouvait ainsi rendre l'honneur à ces femmes qui avaient accouché sans avoir eu commerce avec leur mari ; cette réponse est satirique et pleine d'humour, raillant le système de Hill, lequel, il faut le rappeler, n'avait écrit son ouvrage que pour se venger de la Société Royale de Londres qui avait refusé sa candidature. - Photos sur www.Edition-originale.com -
S.n., s.l. [Bruxelles] s.d.(1906), 16x24cm, agrafé.
Edition originale imprimée à petit nombre de ce tiré à part de la Revue générale. Professeur, imprimeur et helléniste telle fut la carrière de cet humaniste belge méconnu. Premier plat détaché. - Photos sur www.Edition-originale.com -
S.n., Paris 1901, 14x19cm, broché.
Edition originale imprimée à petit nombre sur vergé. Ouvrage illustré de 8 planches hors-texte. Une trace de pliure centrale sur les couvertures parcheminées, une mouillure marginale sur les derniers feuillets. Rare. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Bruxelles, Chez tous les libraires, 1866. In-12, demi veau époque, dos à nerfs orné de filets dorés, titre doré. Faux-titre, titre, XXXIX, 120 pp, 1 p non chiffrée. Edition originale. Dos légèrement insolé, coins supérieurs un peu frottés, rousseurs.
Louis-Augustin Rogeard (1820-1896), opposant à Napoléon III, il refusa de prêter serment au nouvel empereur. Après un exil, il revint en France en 1870, fut élu à la Commune de Paris et participa à la Semaine Sanglante en tant qu'artilleur. Il s'exila à nouveau et fut condamné à mort par contumace. Il ne revint en France qu'après l'amnistie des communards, en 1880.